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dimanche 12 mai 2024

L’analyse que vous n’entendrez jamais à la télé (13/05/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/EqpSO0zHIQ4

Bonjour !
De même que (sauf à être un gay sot, comme la loi éponyme) davantage de sodomie, même avec beaucoup d’amour et de persévérance, ne semble pas être la solution lorsque l’on envisage la conception de quelque chose capable de dire « papa », il semblerait que la multiplication de textes liberticides, non seulement peine à éradiquer l’antisémitisme, mais si l’on se fie aux chiffres communiqués par la Dilcrah, aurait plutôt tendance à « l’amplifier » (là encore façon « enceinte », plutôt qu’enceint) le phénomène semblant, comme les prix et la circonférence mammaire de notre première dame, en augmentation constante. Une autre explication à cette augmentation pourrait être que de plus en plus de choses deviennent de l’antisémitisme, certains nazis pervers n’hésitant plus à qualifier des Juifs de juifs, à oser critiquer Israël, ou même à prétendre qu’en sus des doubles nationaux russes pour lesquels le principe de précaution s’impose, être binational et en responsabilité pourrait constituer une faille potentielle de sécurité y compris, ce qui est absurde, lorsque cela concerne des citoyens israéliens, comme si le très vertueux MOSSAD pourrait, ne serait-ce qu’envisager de les recruter.

Je me demande même si la cinquième place d’Israël à l’eurovision, sous les huées, en dépit des votes retweetés de certaines figures du RN et de Reconquête et certainement de Pascal Praud (lequel s’est fendu d’une tirade sur la demande d’exclusion de sa représentante par une foule pacifique, mais haineuse, diatribe qui lui a valu d’être qualifié « d’honneur de la France » par Meyer Habib), ne serait pas aussi un peu antisémite. Mais l’honneur est sauf puisque le vainqueur est un homme en tutu rose et à bit (non informatique puisque non binaire) preuve que l’Europe avance avec enthousiasme, reste à savoir vers quoi. La France est d’ailleurs à la pointe et ce n’est juste pas de chance qu’après que la flamme olympique a été portée ce samedi par un sympathique Drag Queen, entre autres, le chaudron a refusé de s’allumer à l’étape ; à moins que la providence n’ait souhaité sanctionner le plagiat du thème de Jurassic Park par le compositeur de la musique officielle desdits JO, mais je digresse comme leur pays d’origine.

Même aux États-Unis, en dépit du premier amendement déjà abîmé en son temps par le très sioniste Trump qui avait promulgué un premier décret dans ce sens, vient d’être approuvé un texte bipartisan qui reconnaît la définition de l’antisémitisme tel que rédigé par la très impartiale « alliance internationale pour le souvenir de l’holocauste », définition selon laquelle même citer le passage de la bible accusant des Juifs d’avoir fait tuer Jésus, négligeant la possibilité qu’il soit en réalité mort du Covid, pourrait être considéré comme antisémite, ce qui, allez savoir pourquoi, a fait tiquer certains réfractaires au progrès. Toutefois, contrairement à la France, le texte ne prévoit pas (encore) d’emprisonnement ou pire (la peine de mort n’y ayant pas été abolie), mais peut toutefois justifier le refus d’aides fédérales et autres subventions et agréments, notamment pour les universités, lesquelles, coïncidence, manifestent pour Gaza. 

Plutôt que serrer toujours plus le couvercle de la cocotte-minute, la question taboue serait de savoir si l’antisémitisme est simplement une sorte de virus sorti d’un anus de pangolin que l’on peut contracter en côtoyant sans masque des gens infectés, en buvant son café assis en dehors des périodes autorisées ou en promenant son chien sans formulaire autosigné, ou s’il y a des causes objectives derrière, sur lesquelles on pourrait plutôt travailler pour diminuer le ressentiment des masses. Quand j’étais petit, avant de dormir, je regardais « Bonne nuit, les petits ». La version palestinienne pourrait s’intituler « bonne nuit éternelle les petits » avec Netanyahou dans le rôle du marchand de sable (et de gravats, beaucoup de gravats). Je verrais bien aussi Meyer Habib en nounours. Dans cette version, Nicolas et Pimprenelle, on dira Ahmed et Yasmina, ne peuvent plus mettre la main devant la bouche pour bâiller parce que, souvent, ils n’en ont plus. Il est clair que, dans la majorité des cas, cette méthode d’endormissement cultivera l’amour inné des Palestiniens pour leurs gentils voisins, mais il n’est pas impossible qu’à la marge, quelques graines de terroriste qui n’ont pas compris leurs intentions pacifistes, entre deux tirs ludiques de snipers, leur en veuillent mesquinement pour leur membre arraché, le décès de toute leur famille, le manque d’eau, de nourriture, de médicaments et d’électricité. Il est même possible que certains extrémistes ne fassent plus la distinction, trop compliquée à cet âge, entre Juif et Israélien, ce qui devient de toute façon légalement la même chose puisque la critique des deux est désormais interdite, et paf, vous avez fabriqué de l’antisémitisme.

Dans son bouquin, un type à frange et à moustache donne une liste exhaustive et caricaturale des comportements qu’il reprochait à certains prépuçophobes. Une première approche constructive serait peut-être d’éviter de se mettre d’un coup à cocher frénétiquement toutes lesdites cases, les mêmes causes ayant tendance à produire les mêmes effets.

Si l’antisémitisme a certes conduit à la Shoah, ce qui était très mauvais pour les Juifs, son interdiction a conduit à la destruction progressive de la liberté d’expression et, comme lutter contre l’antisémitisme sans étendre ladite lutte à toute forme de discrimination et de racisme eût pu passer pour du favoritisme de nature à le renforcer (les gens étant mesquins), elle a également mené à la validation de l’immigration de masse ce qui s’est avéré très mauvais pour tous les autres et aussi, paradoxalement, pour les Juifs eux-mêmes, pas toujours appréciés par les populations bigarrées et festives qui viennent généreusement nous enrichir et payer nos retraites (d’où la nécessité, apparemment, de reculer l’âge de départ). Sous peine de se retrouver avec tous les inconvénients d’une dictature sans en avoir les avantages sécuritaires (du fait de ladite immigration de masse dans notre « France orange macronique »), comme de deux maux, il faut choisir le moindre, la question se pose donc de changer radicalement d’approche, de supprimer toutes les lois liberticides et de libérer complètement la parole, tout en continuant, bien sûr, à sanctionner les actes.

Je suis tombé récemment sur une vidéo d’Aymeric Caron, plus convaincant, face à 5 intervenants hostiles, sur la défense des Palestiniens que sur celle des moustiques, comme quoi, même une horloge arrêtée peut donner l’heure juste deux fois par jour. Je l’ai déjà dit, même si, humainement, ces horreurs me révulsent, les bons sentiments et la morale sont à la politique ce qu’une râpe à fromage est à un plug anal, ce qui explique les larmes, souvent à géométrie variable, versées par ceux qui les confondent, façon crocodile avec un piment de Cayenne enfoncé dans le rectum. J’ai toujours en mémoire le satisfecit de Madeleine Albright, membre éminente du camp du bien, lorsqu’on lui demandait si les 500 000 enfants irakiens morts des sanctions américaines en valaient la peine, ou les Anglais, la guerre déjà gagnée, pilonnant sans raison stratégique Dresde avec des bombes incendiaires, fondant les populations civiles dans l’asphalte des rues. Dès lors, si je raisonne, non plus humainement (oxymore), mais politiquement, façon Xi Jinping que Macron, probablement en manque de neige, est allé balader dans les Pyrénées, peu me chaut qu’on tue des enfants palestiniens, de même que le 7 octobre ne m’a pas empêché de reprendre des frites et, si je penche plutôt côté palestinien, c’est uniquement parce que, pour une fois que des populations allogènes se battent pour rester chez elles plutôt que pour venir chez nous, il serait illogique de ne pas encourager cet état d’esprit. 
 
À l’inverse, les sionistes de plateaux TV, dont la plupart sont potentiellement binationaux (ou en tout cas se comportent comme tels) non seulement ne prennent pas le premier avion pour aller soutenir leur patrie en danger, mais passent leur temps à nous soûler avec un conflit qui ne nous concerne pas, si ce n’est qu’à force de fanatisme tout cela pourrait finir en apothéose nucléaire. Dans la même situation, si je considérais que la France (et non la république) était en danger, j’irais la défendre ou alors je fermerais honteusement ma gueule de planqué. Sachant qu’il y a probablement davantage de juifs hors Israël que dedans, le discours justificatif « génocide contre génocide » consistant à dire que les Palestiniens veulent les éliminer alors qu’ils veulent juste, si j’ai bien compris, qu’ils partent, comme c’était le cas pendant plus de 2000 ans, ne tient pas. Sachant que la solution à deux états est un mirage et que cela sera, à terme, ou les uns ou les autres, la seule façon de justifier partiellement le massacre en cours serait que l’immense majorité des Juifs de par le monde fasse son Alya (Israël n’ayant pas été fondé, ce me semble, pour n’être qu’une simple maison secondaire), auquel cas, effectivement, la situation serait tout autre, même si ce ne serait pas davantage notre problème. Par contre, je n’ai pas encore vérifié si la logique était antisémite.

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dimanche 5 mai 2024

Meurice, Bardella-Hayer le carnage, Drag-queen olympique, Matisse et autres news… (06/05/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/dBLnEudoEG8

Bonjour !
Encore tout auréolé (sous les bras) du penalty, marqué du plat du pied lors du match du Varietés Club de France et qu’aurait pu nonchalamment esquiver tout escargot, même neurasthénique, qui se serait trouvé sur la trajectoire au sortir d’une sieste, pitoyable créature hermaphrodite (je parle de l’escargot), Emmanuel Macron n’a pu s’empêcher de bander, telle Brigitte dans ses bons jours… ses muscles éminemment photoshopables et d’évoquer une nouvelle fois l’envoi (pas spécialement « recommandé » et dont l’accusé de réception pourrait être nucléaire) de troupes en Ukraine si les Russes perçaient les défenses de Zelensky, ce que, OUPS ! ils sont justement en train de faire tandis qu’ils exposent à Moscou, pour l’édification des bambins, les chars Abrams, canons Caesar et autres armes magiques hors de prix supposées changer le cours de la guerre qu’ils ont collectées sur le champ de bataille avec mode d’emploi et certificat de garantie, un peu façon Kärcher® (et non casher, attention au dérapage) de Sarkozy. 
 
Un qui a dérapé, justement, c’est le très prépuçophile Guillaume Meurice qui s’est fait virer par la compagne de Raphaël Enthoven, Adèle Van Reeth (Directrice de France Inter, parce que le monde est petit) pour avoir récidivé à traiter le philanthrope Netanyahou (contre lequel la cour pénale envisage de délivrer un mandat d’arrêt international) de nazi sans prépuce, considérant probablement que le zi de nazi serait une version, elle aussi raccourcie, de zizi, sinon le terme correct serait nazizi. Je comprends la logique et fort heureusement, il ne l’a pas traité de na tout court ce qui eût été transphobe. D’ailleurs, je connaissais quelqu’un qui s’appelait comme ça : une Asiatique « née Tanya ou » Albert, je n’ai jamais su, elle aussi impliquée dans le trafic d’orgasmes, mais je digresse. Ceci dit, j’attendrai de peler des oignons pour verser des larmes sur Meurice lequel a passé son temps, sur les deniers publics, à se moquer, non point des puissants, mais de leurs victimes caricaturées en fachos à QI de fer à repasser débranché et qui se prend enfin le mur de la réalité dans le nez (autre appendice tabou) façon Mélenchon, lequel se plaint quand, pour une fois, c’est lui qui voit ses meetings censurés pour critiquer (mais c’est un hasard) les mêmes.
 
Il semblerait que nous soyons pris en tenaille par des fanatiques prépuçophobes et, pour quelque absconse raison, réfractaires au saucisson. Des fanatiques certes non représentatifs, mais pas, pour autant, dénoncés par leurs communautés respectives sur lesquelles ils finissent, pourtant, par jeter le discrédit, obérant fortement le déjà oxymorique vivre-ensemble du fait qu’on en vient à ne plus pouvoir critiquer ni la judaïsation des médias et de la politique que certains, honte à eux, pourraient trouver excessive depuis les évènements du 7 octobre, ni l’islamisation, que d’autres pourraient percevoir comme tout aussi excessive, de la rue (ainsi que, par extension, l’ensemble de l’immigration non culturellement compatible qui ne se limite pas, tant s’en faut, à l’Islam) et ce, alors qu’on nous rebat quotidiennement les oreilles avec la laïcité qui, justement, est supposée permettre ce genre de critiques sans lesquelles aucun équilibre viable ne peut être trouvé. Comprenne qui pourra.

Il faut donc prendre des gants pour aborder certains sujets, pas comme Matisse qui lui s’est pris un Afghan, avec qui, paraît-il, il rappait (ce qui a dérapé) et que donc, apparemment, il côtoyait même lorsque ce n’était pas strictement nécessaire, faute qu’on lui ait inculqué un minimum de défiance vis-à-vis des gens dont les réactions sont imprévisibles (ou trop prévisibles, c’est selon) de par leur appartenance à une autre culture, et ce (surtout pour des enfants par les temps qui courent, mais visiblement pas assez vite) quitte à passer pour un raciste vivant, ce qui reste préférable au statut de vivre-ensembliste mort. 
 
De toute façon, il semblerait que nous soyons déjà « un pays de racistes dégénérés » selon Nassira El Mohaddem, (pro) éminente journaliste et heureuse détentrice de la carte plastifiée magique attestant de sa citoyenneté et donc probablement englobée dans sa propre assertion, laquelle semble avoir énervé un certain nombre de personnes susceptibles quant à la qualification de « racistes » alors que la véritable insulte était « dégénérés », l’ensemble constituant désormais un oxymore d’un point de vue survivaliste.
 
Par raccroc, la marche de ce samedi, impressionnante et non impressionniste comme on eût pu s’y attendre, et de la même couleur que l’arme utilisée sur Matisse, va régler tous ces problèmes de sentiment d’insécurité et on est rassurés de savoir que l’assassin n’aura pas la haine du père de la victime. Par ailleurs, le gouvernement a pris la mesure de la situation et le port d’un couteau sera désormais sanctionné de 500€ d’amende des fois que le citoyen lambda eût caressé l’idée saugrenue de retrouver le réflexe du Laguiole pour se protéger face à l’inaction de l’état, lequel prétend conserver le monopole de la violence sans plus remplir, avec ses 80% de femmes dans la magistrature (parce que la parité, faut pas pousser non plus), la partie protection des populations du contrat social qui est la seule raison pour laquelle les gens l’acceptent. 
 
Les agresseurs, eux, seront certainement intimidés, et on ne verra plus, comme ces jours-ci, des gens, pas encore informés, poursuivre un homme avec une machette pendant que d’autres violent son épouse dans une voiture. Après, une machette est-elle un couteau ? Le débat reste ouvert. Il en ira de même pour les auteurs de règlements de comptes par tirs à la Kalachnikov sur la voie publique, lesquels respectent avec un zèle remarquable l’obligation d’un permis de port d’arme. Pour faire bonne mesure, l’amende sera étendue aux sprays lacrymogènes, histoire que les « racistes dégénérées » de sexe féminin, les pires, n’aient pas la tentation xénophobe de refuser l’obole d’un viol gentiment demandé par quelque migrant incompris sous OQTF en état de misère sexuelle et qui, le pauvre, n’aurait pas les codes. 

Comme tout cela est quelque peu déprimant, une petite note « gaie » puisque l’on apprend qu’après Baptiste « pas net » (selon sa propre mère) pour avoir assouvi ses penchants pyromanes dans sa chambre à coucher dans laquelle il aurait bien attiré des jouvencelles à la puberté trop relative pour, qu’au bout du compte, lui soit confié la flamme olympique, cet honneur revient finalement à un flamboyant drag-queen fort sympathique qui va porter ladite flamme en courant avec des talons de 20 cm et une perruque synthétique hautement inflammable imbibée de laque qui ne l’est pas moins, ce qui ne peut que bien se passer, sachant que, comprenant à présent la logique macronienne, en cas de nouvelle défection, on peut s’attendre à voir débouler le gérant de la fistinière qui s’acquittera de la tâche sans les mains, parce que c’est ça la France qui innove. 
 
D’ailleurs, en parlant d’innovation, on a appris que des bataillons de retraités ont été recrutés et formés pendant plusieurs jours avec diaporamas PowerPoint de pointe qui plus est, pour contrer les attaques terroristes éventuelles et assurer la sécurité des J.O. à l’issue de quoi, tant qu’ils sont chauds, on pourra toujours les envoyer en Ukraine. Ils ont même été équipés de tasers et, on suppose, de déambulateurs bioniques. Du coup, on s’inquiète moins du gag hebdomadaire du vol d’ordinateurs avec données sensibles (7 ou 8, si je n’ai pas perdu le compte). Sûrement un coup des Russes, comme pour les punaises de lit, selon Valérie Hayer (persil) ardente défenderesse des « crétins d’orient » et affirmative sur ce point durant son débat sacrificiel face à Jordan Bardella à l’issue duquel, si l’on s’en réfère aux 5848 commentaires contre 9 (dont 4 « ni l’un ni l’autre, votez UPR ») que j’ai consultés sous la vidéo YouTube de BFMTV, elle s’est vautrée façon naturiste dans une mosquée salafiste, même si ladite BFM l’a proclamée gagnante avec une neutralité qui l’honore. 

Il est clair que les Français qui ont (si l’on fait confiance à ceux qui comptent) voté deux fois pour Macron sur des critères d’emballage et de jeunesse, ne vont pas commettre la même erreur et que Bardella, c’est complètement… différent. Et m… !
Pour résumer le débat, l’une a vanté la remise de 30% obtenue sur la vaseline chinoise grâce à l’Union européenne, en oubliant de préciser que si on en a besoin, c’est parce que ladite union a la déplorable habitude de nous empapaouter (comme dirait Stromae) à sec, tandis que l’autre, pourtant amateur de « sondages » sur lesquels il base ses opinions, a clamé haut et fort qu’il était contre ce type d’empapaoutage et qu’il allait y mettre un terme, mais tout en restant dans le baisodrome avec le slip sur les chevilles, les deux étant d’accord, incidemment, sur le méchant Poutine et le gentil Netanyahou. 

Toujours dans le grand Guignol, le valeureux Éric Zemmour, surnommé Z comme Zorro (« le renard » en espagnol), renard qui alerte les poules sur la présence de rats dans le poulailler, refusant, et c’est tout à son honneur (et particulièrement progressiste), de genrer la personne venue lui casser les œufs et lui en aplatir un sur le crâne, l’a frappée avec une technique originale que, bien qu’ayant un peu étudié les arts martiaux japonais, j’ai eu du mal à identifier (peut-être du krav-maga unisexe), sachant que, vu la force du coup, il a probablement enrhumé une mouche de passage tout en me faisant brièvement penser aux conséquences s’il avait appliqué la même technique à Poitiers en l’an 732. Il n’en demeure pas moins que les antifas carencés en mélanine qui l’ont agressé, lors d’un déplacement en Corse, parce qu’ils pensent que c’est un patriote (de la France s’entend) sont des crétins finis, ou plutôt pas finis et qu’il est plus que temps que Darmanin, le dissolveur suprême, plutôt que de se fendre d’un message de compassion, fasse le ménage ou admette, une fois pour toutes, qu’ils travaillent pour l’état plus ou moins profond qui les connaît tous, mais ne les arrête jamais.

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vendredi 3 mai 2024

Merci l’U.E. (parodie de « Merci Patron » des Charlots) (03/05/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/m-JE6uaVx0s


Paroles :

Oubliez Asselineau
N’écoutez pas Philippot
Qui de façon explicite
Voudraient qu’on fasse le Frexit

Ils sont là à chipoter
Juste parce qu’on est tous ruinés
Et que nos agriculteurs
Ne font même plus leur beurre.

Merci, l’UE (merci l’UE)
Merci, l’UE (merci l’UE)
D’être aux petits soins et c’est très bien
Des paysans… colombiens.
Merci, l’UE (merci l’UE)
Merci, l’UE (merci l’UE)
N’en déplaise aux gens aigris
Vu les prix, tous on maigrit.

Quant aux immondes racistes
À fort relents complotistes
Qui à peine on les égorge
Se lèvent évoquant saint Georges.

Ils critiquent l’immigration
Qui plaît tant aux grands patrons
Et jusque dans nos campagnes
Tsoin tsoin… nos fils nos compagnes.

Merci, l’UE (merci l’UE)
Merci, l’UE (merci l’UE)
Gentil, terroriste ou en cavale
Si on le refuse : 20 000 balles.
Merci, l’UE (merci l’UE)
Merci, l’UE (merci l’UE)
Pour cette belle diversité
Qui tant égaye nos cités.

Et pour ces poutinolâtres
Ces vils radins acariâtres
Qui voudraient garder nos sous
Pour l’hôpital qu’est dissout.

En oubliant les vilains
Qu’il en faut pour les pots-de-vin
Et donner à Zelensky
Sa commission, merci qui ?

Merci, l’UE (merci l’UE)
Merci, l’UE (merci l’UE)
De donner tous nos sous à l’Ukraine
Faut bien que la tuerie traîne.
Merci, l’UE (merci l’UE)
Merci, l’UE (merci l’UE)
En plus, on est bien vaccinés
Pour 36 milliards, c’est donné.

Et puis aussi pour l’électricité
Qui sur le prix du gaz est indexée.
Et les pénuries de médicaments
Plus la censure des gueux évidemment.