Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/myaVStPtiA4
Bonjour !
Par je ne sais quelle gymnastique ou classe de Zumba intellectuelle, les crétins à rames qui nous gouvernent, pour ne pas dire « bêtes à rames » s’agissant de Bayrou, ont trouvé pertinent, en plein Aïd ovinophobe, de se réunir en brochette halal autour de lui, ce vendredi 6 juin dans le cadre d’une nouvelle usine à gaz mécaniquement antisémite, même si climatiquement neutre, répondant au doux nom de « Comité Interministériel des villes », pour annoncer encore plus d’argent versé dans le tonneau des danaïdes des quartiers ethniques (dit « populaires » en novlangue). Il convient en effet de consolider les résultats d’années d’aides sociales et de construction d’infrastructures aussi inflammables qu’éphémères qui ont culminé la semaine dernière en une apothéose footballistique bon enfant (si l’on en croit des médias français peu prolixes sur les détails) selon le concept du vivre ensemble et du mourir séparé avec un bilan provisoire de 2 morts, un policier dans un état critique, 200 blessés dont des sapeurs-pompiers, 700 incendies dont 264 véhicules, un nombre encore indéterminé de magasins et de domiciles pillés et une hypertrophie linguale de Bruno Retailleau.
Certains, aussi tendus sur le sujet qu’un string de Brigitte Macron pendant une gay Pride, préfèrent oublier ces menus incidents pour focaliser sur le véritable danger qui menace la république : l’assassinat, pour des raisons restant à élucider, mais forcément racistes, d’un coiffeur tunisien, par un individu exceptionnellement « non déséquilibré » dont, pour une fois, la presse dévoile : le prénom, le patronyme, le numéro de sécurité sociale, les activités sportives, la couleur du slip, l’arbre généalogique sur 10 générations et la teinte colorimétrique, arguant que « l’extrême droite tue ». Par pudeur, elle oublie de terminer la phrase par, au cas particulier : « des musulmans » devenus synonymes « d’Arabes » terme impropre (au sens figuré) désignant en fait les Maghrébins (toujours en novlangue). Une omission qui, même si c’était vrai (alors que le pourcentage est, statistiquement, anecdotique comparé à la réciproque) est d’autant plus grave par les temps qui courent qu’elle est de nature à influer substantiellement sur le nombre de cacahuètes que certains sont susceptibles d’ingurgiter en écoutant les infos et donc sur le PIB.
Sauf à être un gros bourrin, ce que l’on ne peut jamais exclure, la thèse de l’assassinat d’un « rayon de soleil » (dixit la presse, « ange » étant déjà une marque déposée) a priori sans problème, qui, de surcroît, travaillait, et ce, purement par racisme viscéral, semble tirée par les cheveux, encore plus si la victime était un coiffeur… célibataire à chat, ce qui, sans vouloir tomber dans les clichés, ouvre d’autres perspectives.
Toujours est-il que, pour financer ceux qui, contrairement à ladite malheureuse victime, attendent, eux, passivement, sans précipitation excessive, d’être sollicités pour payer nos retraites, du fait que les leviers traditionnels contre l’immigration non européenne de masse ont été introduits ailleurs sans lubrifiant et qu’une lecture raciale globale des problèmes est taboue y compris pour la pseudo-droite, l’état, en faillite, grappille où il le peut, les choix restants relevant du cornélien, un peu comme un hindou dont les options de réincarnation se limiteraient à pédophile, cuvette de WC ou conducteur de voiture radar, saloperie infâme dont le nombre va tripler d’ici à la fin de l’année allant de pair avec, grâce à l’IA, la détection de nouvelles infractions comme le non-respect des distances de sécurité, des zones de covoiturage, le franchissement de lignes blanches non poudreuses, et bien sûr, le téléphone ou le non-port de la ceinture, avec, à chaque fois, 3 points en moins et 135€ d’amendes cumulables.
Les fellations au volant ou les retouches maquillage ne sont pas mentionnées, le concept échappant encore à ChatGPT qui est une véritable intelligence artificielle, pas comme Builder.AI, la start-up valorisée à plus d’un milliard de dollars, volatilisée cette semaine après avoir escroqué le marché et Microsoft avec son IA révolutionnaire de programmation consistant en fait en 700 codeurs indiens en mode turban plutôt que turbo, payés avec une fronde, dans un hangar, du fait d’une option de réincarnation à peine meilleure que les trois précédemment citées.
Autre façon de taxer les pauvres, qui ne peuvent déjà plus rouler avec les ZFE que Macron, comme je l’avais annoncé, veut réintroduire en faisant casser le vote par le Conseil constitutionnel, qui ne peuvent plus se loger grâce au DPE dont la Cour des comptes vient de dénoncer les effets désastreux : ils ne pourront désormais plus s’habiller, le Sénat votant ce 10 juin sur la loi anti « fast fashion », c’est-à-dire les vêtements encore abordables (si on a pu acheter ses nouilles en promotion) envoyés directement de Chine par Shein et consorts et qui font une concurrence déloyale aux enseignes françaises… qui se fournissent certes au même endroit, mais en faisant jusqu’à 10 fois la culbute entre le prix d’achat « bridé » (s’agissant de la Chine) et le prix débridé proposé au consommateur final, sur lequel l’état touche sa part juteuse de TVA.
C’est aussi la fin du porno, ce qui ne serait pas, en soi, une mauvaise chose si les sites, plutôt que d’ouvrir la boîte de pandore d’une vérification techniquement débile et supposément anonyme, par un tiers, de l’identité des mineurs avant connexion, rendue obligatoire le 6 juin, n’avaient pas préféré renoncer carrément au marché français, provoquant une explosion prévisible de la vente de VPN, véritable cible des politiques et outil de réinformation de nombreux dissidents qu’ils auront beau jeu d’interdire, dans une deuxième phase, une fois le consentement populaire acquis, au prétexte de la défense desdits mineurs qu’en même temps ils gavent de propagande LGBT dès la maternelle, preuve que ce n’est pas du tout leur motivation, pas plus que les restrictions de liberté diverses, vendues au nom de la lutte contre une pédophilie, qui, bizarrement, n’a jamais été aussi florissante.
Loin de s’arrêter sur sa lancée, avec le sens des priorités qu’on lui connaît, notre docte assemblée nationale vient également de voter à l’unanimité (sauf abstention du Modem) la promotion d’Alfred Dreyfus (avant lequel la France ne s’était jamais excusée de rien et début symbolique de notre soumission anale collective) au rang de général de brigade (« de division » aurait été plus parlant) à titre posthume, probablement dans l’idée qu’il conduise une brigade de walking dead circoncis contre les troupes russes dans le cadre du conflit ukrainien lequel semble escalader rapidement après l’exploit technique de Zelensky qui a détruit, le premier juin, avec des drones planqués sous le toit de chalets en bois montés sur des camions, une quarantaine d’avions russes dans quatre aérodromes militaires stratégiques répartis aux quatre coins de la Russie, sans, cela va de soi, aucune aide du MI6 et de la CIA, conduisant à une riposte vexée poutinienne, chars en tête, sur l’ensemble du territoire ukrainien et renvoyant tout processus de paix aux calendes sodomites, ce qui arrange pas mal de monde.
Outre Dreyfus que, tant qu’une nouvelle loi (qui ne saurait tarder) ne m’y obligera pas, pour un certain nombre de raisons qui justifieraient une vidéo entière, je considère toujours comme potentiellement coupable, il faudra probablement, à terme, si une débâcle n’intervient pas entre-temps, envoyer des troupes vivantes tricolores, non plus bleu, blanc, rouge, mais black, blanc, beur, nouvelles couleurs de la France, sachant qu’une annonce de mobilisation générale aurait potentiellement l’avantage de rendre plus calmes les futures victoires du PSG, de nombreux supporters, bien que faisant allégeance patriotique à la CAF, étant susceptibles, si l’on en croit les micros-trottoirs visibles sur les réseaux, de soudain éprouver une irrépressible nostalgie pour leur pays d’origine. À leur décharge, qui a envie de mourir pour Macron et ses commanditaires.
Prudent, Trump, lui, semble se retirer du merdier, occupé à vendre sur le bon coin sa Tesla, en représailles aux tweets assassins de Musk pas d’accord avec un budget qui a tout d’un pillage en règle et qui, comme je l’avais dit depuis le début, déclare que la raison de la non-diffusion complète des dossiers Epstein est que Trump est dedans ce que, certes, on savait déjà, mais par forcément jusqu’à quelle profondeur. Vu la taille de ses mains, je dirais, pas plus de 12cm. Je pense qu’on pourra également attendre longtemps l’audit de fort Knox. Sauf à y voir une manœuvre concertée pour essayer de sauver Tesla en retour d’ascenseur, devant l’escalade des noms d’oiseaux, la rupture semble consommée entre les deux hommes et certains sites « complotistes » américains qui portaient Trump au pinacle sont en train de retourner progressivement leur veste tandis que d’autres, au contraire, vouent Musk aux gémonies et que, d’une manière générale, le prix des œufs se cumulant à une hausse de 25% de celui des véhicules, conséquence du bluff manqué face à la Chine, sans évolution miraculeuse, à ce stade, les mid-terms risquent de ressembler aux toilettes de Gérard Larcher après une gastroentérite. Au temps (là encore, je me répète et je le déplore) pour ceux qui croient qu’un changement vertueux non violent est encore possible, que ce soit ici ou là-bas, et a fortiori par les urnes.