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vendredi 25 novembre 2022

Je croyais qu’on avait touché le fond, BEN NON ! (25 nov. 2022)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/v2OmEfakXas

Bonjour ! 
Quelle « qatarstrophe » pour la planète : dans un défoulement collectif « qatartique » près de 13 millions d’homophobes climatosceptiques, aussi indifférents à la misère humaine que Macron aux gilets jaunes (lesquels apparemment reviennent et se refont taper dessus) ont assisté au match France-Australie, plus forte audience de l’année pour TF1. Pire, sachant Qatar, tare et demie, les buts ont été marqués par la partie la moins diverse de l’équipe ce qui nous a privés des démonstrations de liesse folkloriques habituelles. 
 
Encore plus incompréhensible, en dépit de l’ode à la diversité peinte sur leur avion et du fait d’avoir, en début de match, en soutien au mouvement LGBT, mis pudiquement leur main sur la bouche (plutôt qu’un doigt ou plus dans un endroit davantage explicite), la Mannschaft allemande se l’est fait mettre profond par des Japonais dont, mieux vaut Qatar que jamais, ce fut la seule contribution symbolique à la cause arc-en-ciel. Des Nippons par ailleurs honteusement homogènes et réactionnairement concentrés sur le ballon, plutôt que sur l’exigence élémentaire que tout le monde loue et applaudisse ceux qui, but ultime de notre civilisation, utilisent leur sphincter anal de façon récréative et progressiste. 
 
On se consolera avec la gifle qu’ont subie les climatosceptiques sachant que 97% des 234 passagers débarqués de « l’Ocean Viking » se sont évaporés en plein mois de novembre. Si ça, ce n’est pas une preuve du réchauffement climatique, je me demande ce qu’il vous faut. Sur les 6 individus que Darmanin n’a pas perdus, deux ont été renvoyés au Wakanda, à nos frais et par avion, probablement en aidant au décollage en poussant pour diminuer leur empreinte carbone. 
 
Heureusement, il en reste plein d’autres puisqu’en dépit du terrible covid19 supposé faire la pige à la grippe espagnole et ayant amplement justifié que l’on foute en l’air l’économie et qu’on injecte à nos gosses un produit expérimental, le 15 novembre (à une heure qui n’a bizarrement pas été précisée) nous avons dépassé les 8 milliards d’habitant.e.s. Comme ils ne donnent pas le chiffre, je me suis modestement permis de l’extrapoler grossièrement à partir du rapport de l’ONU avec mon petit tableur, pour en arriver à la conclusion que le type « européen » (dont presque un quart a plus de 65 ans) ne représente au mieux qu’entre 8 et 9% de la population mondiale. 
 
Avec, de surcroît, un taux de fertilité de 1,3 (les jours où Netflix est en panne et qu’il pleut), laissez tomber l’or et investissez plutôt dans de la rouquine aux yeux bleus ou de la blonde d’Aquitaine appelées à devenir plus rares qu’un médecin non octogénaire en zone rurale, d’autant (et je dis ça à l’attention des mufles et autres mâles toxiques) qu’il n’y a plus de date d’expiration puisque récemment, à Toulouse, un homme dont, par souci de padamalgam, je ne m’étendrai pas sur les caractéristiques, a violé une femme de 96 ans à son domicile. 
 
Pour faire bonne mesure, la même semaine, un « congotréslaid » était jugé pour celui d’une gamine de 11 ans. On sent poindre comme une nostalgie du journal de Tintin. A leur décharge, sans mauvais jeu de mot, le fait de viser des personnes soit prépubères soit en état non plus de « ménopause », mais carrément de « ménoarrêtdéfinitif » démontre un souci louable de ne pas davantage augmenter la population de la planète ce qui en fait presque des viols écoresponsables d’un point de vue « écopaslogique » mais presque. Le fait d’en arriver à devoir s’interroger sur ce qui est pire entre la pédophilie et la gérontophilie extrême (même si notre président lui, a déjà tranché) témoigne du franchissement d’un nouveau stade, dans l’évolution vers cet avenir radieux, pacifique, inclusif, diverse et enrichi que l’on nous promet. 
 
Mayotte, « emmaillotée » douillettement dans 50% d’enrichissement culturel comorien y est presque, elle, au nirvana. Constatant que des bandes de gamins taquins de 11 ans découpent tout ce qui bouge à la machette, qu’il y a des incendies festifs un peu partout, des prises d’otages propices aux échanges, des bus et des commerces respectueusement attaqués et que la députée locale appelle facétieusement au secours, Darmanin, honte à lui, a décidé d’envoyer l’armée avec ordre de tirer dans le tas et de rejeter à la mer la moitié de la population qui n’a rien à foutre sur l’île. 
 
Non, je plaisante, il va régler ça, comme il se doit, avec les droits de l’homme, deux juges et une dizaine de gendarmes supplémentaires tout en passant à un an au lieu de 3 mois la durée de présence sur l’île nécessaire à un Comorien illégal et polygame, pour que tous les enfants qu’il y pond deviennent automatiquement des petits Français, indistinguables du Berrichon moyen, dès qu’on leur met un béret sur la tête et une baguette sous le bras. Cela ne peut que fonctionner. 
 
Certains Français de métropole, perplexes devant la statue de Victor Hugo à Besançon avec son visage repeint couleur chocolat (en tout cas j’espère), doutent encore, inexplicablement, de la nécessité absolue d’importer toujours plus de mélanine et de partager nos ressources inépuisables avec toute la misère du Monde parce que : « les valeurs de la république ». Afin de bien leur expliquer, on nous a gratifiés d’un nouveau film courageux, empreint de cette générosité naturelle avec l’argent de la collectivité des gens qui, à l’instar de la communauté dont est issue la réalisatrice, ont beaucoup souffert. 
 
En dépit d’une publicité médiatique martelée façon enrichissement culturel de trottoir à 3 heures du matin, « les engagés », film au budget de 2,5 millions d’euros, subventionné avec nos impôts (lesquels sinon auraient bêtement servi à indemniser des chômeurs dont la durée de ladite indemnisation sera diminuée de 25% à partir du 1er février) n’a malheureusement été visionné, le jour de sa sortie, que par 1815 amateurs de Cédric Herrou et de cannabis en suppositoire, certains pingres, plutôt que d’aller au cinéma pour voir des migrants, préférant mesquinement regarder par la fenêtre. 
 
Ces mêmes radins qui rechignent à donner 22€ en échange de son nouveau CD bleu et jaune (sans que ça n’ait rien à voir avec l’Ukraine) à Maurice Benguigui (« Benzizi » pour les masseuses) lequel, pour des raisons qui m’échappent, a préféré se faire appeler Patrick Bruel. Le pauvre a été victime sur Twitter d’un concept nouveau de « génocide individuel » aux relents nauséabonds, les gens, rancuniers, lui reprochant, non comme tout un chacun ses actes répétés de torture auditive, mais ses propos sur les non-vaccinés lesquels « le saoulent » (chose qui ne l’a pas empêché de fréquenter des restaurants clandestins quand tout le monde était confiné). 
 
En attendant les capteurs de méthane intégrés aux toilettes pour estimer notre consommation de viande, le monde merveilleux promis arrive à grands pas et une nouvelle banque, au Canada cette fois, lance une carte de crédit qui relie les achats de ses clients à leurs émissions de carbone. Les riches, toujours plus riches, pourront continuer à faire comme avant en payant un peu plus et les autres, s’ils ont allumé leur chauffage un jour sur deux les années bissextiles, ont suffisamment roulé à pied, se sont mis au végétalisme et au jeûne intermittent et n’ont pas dévasté la planète en faisant trop d’enfants, auront le droit de cumuler leurs points pour aller visiter, une fois l’an, leurs proches résidant dans un lieu inaccessible à vélo ou, à Mayotte, en kwassa-kwassa. 
 
Les Parisiens quant à eux pourront s’adresser directement à Jean Castex promu PDG de la RATP. 
 
Pendant ce temps, sauf sur Twitter (que Musk, après avoir licencié quelques dizaines de milliers de censeurs progressistes indispensables, arrive à faire fonctionner avec 50 personnes réactionnaires), la lutte contre le complotisme s’intensifie. Le journal révolutionnaire « le point » a, par exemple, été empêché de publier son palmarès annuel des hôpitaux et des cliniques. Hôpitaux dans lesquels on a appris qu’une patiente en soins intensifs a été violée par un Jordanien sous OQTF lequel voulait probablement la réanimer. 
 
Un secteur hospitalier qui, en plus du paracétamol, manque désormais d’amoxicilline. Mais point d’inquiétude, le ministre a dit qu’il s’en occupait : juste le temps de bâtir des usines en France histoire de relocaliser la production et le tour est joué. Sandrine Rousseau, qui elle n’est pas complotiste a, pour sa part, réussi à caser dans le même tweet l’interdiction de la corrida (parce que tuer des taureaux c’est mal) et la sanctification de l’avortement dans la constitution (parce que tuer des bébés c’est… ???). 
 
Sinon, la NASA, tel le doigt d’un explorateur non binaire, a fait un petit tour autour de la Lune. Pour autant, si vous comptez voir une vidéo de la Terre au fur et à mesure qu’on s’en éloigne, le survol du site d’atterrissage des missions précédentes, voire quoi que ce soit en dehors d’une surface translucide et laiteuse avec moins de définition qu’avec de simples jumelles et une animation 3D (comme précisé en petit sur l’écran), il faudra visiblement leur acheter une GoPro pendant le black Friday. Rendez-vous en 2027 pour le premier alunissage, j’espère en 4K, d’une femme, peut-être genderfluide et racisée, si on a de la chance. 
 
Côté troisième guerre mondiale, Zelenskyky s’est fait taper sous son organe pianistique par à peu près tout le Monde, Biden compris, pour avoir essayé d’entraîner l’OTAN dans la guerre en instrumentalisant la chute, sur un tracteur polonais, d’un de ses missiles anti-aériens (aux sécurités mystérieusement débranchées) faussement attribué aux Russes. Désormais privée d’eau courante (en plus d’électricité) l’Ukraine détourne le gaz destiné à la Moldavie avec, pour conséquence, que Poutine ferme le robinet. Une Moldavie à laquelle la France, toujours généreuse, va donner 100 millions d’euros tandis que, probablement pour compenser les canons Caesar à 5 millions pièce (sans la peinture métallisée et les jantes alu), canons détruits par des drones à 10 000 €, elle va livrer à l’Ukraine deux de nos 12 systèmes Crotale. 
 
À ce rythme d’effeuillage de nos capacités de défense, on se prend à espérer qu’Andorre n’ait pas soudain des velléités d’expansion territoriale. Si vous avez apprécié ce contenu, vous pouvez cliquer sur tous les trucs en bas et si vous ne l’avez pas apprécié, c’est sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.

jeudi 17 novembre 2022

WAKANDA pour toujours ! (17 nov. 2022)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/awJBIzTbYKg

Bonjour ! 

Je suis un éternel optimiste et je ne désespère ni de voir un jour des photos d’adolescente et de jeune maman de Brigitte Macron, ni de visiter le Wakanda, ce pays jamais colonisé où certes, on danse au son des tam-tams, mais en faisant de la physique quantique. Quel gâchis qu’au lieu de suivre cet exemple, l’Afrique nous envoie par bateaux entiers ses potentiels doctorants en sciences dures que nous sommes alors obligés d’héberger en hôtel de luxe le temps de leur délivrer une OQTF laquelle gagnerait, au vu de l’usage qui en est généralement fait par les récipiendaires, à être fabriquée en ouate de cellulose triple épaisseur adaptée aux hémorroïdes. 

Si vous avez vu « Wakanda for ever », le nouveau Marvel, vous aurez compris que les vertus d’un taux élevé de mélanine ne sont pas pour autant épicènes, et que même colorés, les mâles demeurent suffisamment toxiques pour qu’à l’instar de leurs homologues racistes systémiques, on leur substitue, à chaque fois que possible, une version féminine capable de se battre mieux et sans jamais abîmer son vernis à ongles. 

Visiblement inspirée par cet élan féministe généralisé qui explique peut-être le bonnet en forme d’utérus de la mascotte des JO 2024, notre version à nous de la panthère noire, la cougar blanche Élisabeth Borne, les a dépassées (les bornes) en organisant une soirée réservée aux seuls membres de son gouvernement de sexe biologique féminin. Certes on peut comprendre que tout ce qui peut limiter les risques que des Darmanin mettent la main au Panier-Runacher de ministres à ovaires (parfois un poil opaques sur leurs conflits d’intérêts) est bon à prendre, mais on imagine déjà, si c’était les femmes qui avaient été exclues, la réaction de Sandrine Rousseau. Une Sandrine Rousseau qui pond désormais sa connerie hebdomadaire avec la régularité d’un cocu suisse près d’un camp de migrants, et devenue, aux yeux de son propre camp, aussi islamophobe qu’orthographobe, en parlant de « terrorisme islamique » au lieu « d’islamiste » dans un de ces tweets dont elle seule a le secret. 

Pour revenir à Marvel, la principale qualité du film reste de frôler de peu les 100% de diversité au niveau du casting, exploit qui surpasse jusqu’à notre sélection nationale laquelle, même si on y est presque, a encore du mal à atteindre les 90%. Mais, allez les bleus, quand même ! Un public aussi spécifique qu’enthousiaste, pas toujours au courant que le Wakanda est imaginaire, a envahi les salles, et désireux d’éviter tout risque d’appropriation culturelle a, par endroits, dissuadé les spectateurs peu susceptibles d’être choisis pour incarner des scientifiques, des chefs de police ou des docteurs dans une série américaine, de venir polluer ce moment de communion monochrome. Quelques suprémacistes privilégiés sont néanmoins (et hématomes en plus) parvenus à emmener leur progéniture à fort indice carbone assister à la projection (y compris de denrées alimentaires diverses) et ont pu bénéficier, dans certaines salles qui ont rapidement perdu un l, d’une expérience d’immersion totale, reléguant le Dolby Atmos (qui lui ne casse pas les fauteuils, même en cas d’explosions) au rang de technologie obsolète. Une avancée également en matière de vivre ensemble et d’enrichissement culturel parfois gâchée, et c’est dommage, par l’intervention de forces de l’ordre, il faut bien le dire, fort peu cinéphiles. 

Les rétrogrades qui ne veulent pas soutenir l’idéologie woke en donnant leurs sous à Disney, pourront toutefois bénéficier d’un rattrapage gratuit puisque c’est la collectivité qui paye. En effet, parce que, apparemment, les Italiens ne sont pas obligés, mais nous si, 230 vikings wakandais de plus ont été débarqués du drakkar éponyme sur le territoire Français le 11 novembre afin de signifier symboliquement au million et demi de poilus qui ont donné leur vie pour que la France ne soit pas envahie par des blonds aux yeux bleus qu’ils ont été exaucés au-delà de toutes leurs espérances. Des Wakandais chichement hébergés dans un centre de vacances tout juste luxueux de la Côte d’Azur ; traitement inhumain qui va certainement décourager les 250 millions de réfugiés climatiques anticipés par l’ONU d’ici à 2050 (en sus des adorateurs de la CAF habituels) de venir frapper à notre porte de derrière, grande ouverte, pour ne pas dire dilatée ; d’autant que notre marine nationale (pas Le Pen, l’autre) ayant fort heureusement oublié à quoi elle sert, le gentil bateau, ne risquant plus d’être coulé après 3 tirs de semonce, est reparti tranquillement faire le plein de migrants aquatiques à gilets de sauvetage consignés, aux abords des côtes africaines. Assurément, notre cornichon en chef ne manquera plus jamais de vinaigre (en un seul mot bien évidemment). 

D’après Louis Boyard de LFI chez Hanouna, c’est la faute de Bolloré, employeur de l’animateur, qui aurait plein de procès sur le dos pour avoir déforesté la moitié de l’Afrique ; procès dont on ne connaît pas la conclusion, mais la présomption d’innocence ne joue que quand des élus NUPES mettent des baffes respectueuses à des représentantes du sexe biologique opposé. Pour autant, aller jusqu’à évoquer l’hypothèse d’arbres suicidaires, même pour Hanouna, c’était un peu gros. Il a donc préféré l’insulter à la place, insultes amplement méritées si l’on considère que l’olibrius en question, désormais député, fut jadis chroniqueur de TPMP et qu’il a touché pendant de longs mois, sans que ça le gratte, un demi-SMIC par émission d’un argent issu de cette déforestation, argent dont il se garde bien de distribuer un centime à des œuvres caritatives pour se racheter un semblant de crédibilité morale. 

Cela ne l’empêche pas de donner des leçons à tout le monde et d’affirmer qu’il faut cesser d’opposer les pauvres et les migrants, tous deux exploités par les mégariches ce qui en ferait des alliés objectifs. Qui est allié de qui quand on soutient l’immigration de masse exactement comme lesdits mégariches ? Mégariches qui ont bien compris que dans un pays en dénatalité le rapport de force s’inverse mécaniquement en faveur des salariés devenus une denrée rare, alors qu’avec un flux infini d’enrichissement culturel lequel, cerise sur le clafoutis, neutralise les révoltes de masse en important des divisions supplémentaires, plus aucun risque de jamais voir augmenter les salaires ou s’améliorer les conditions de travail, y compris pour les migrants. 

En tous les cas, les Wakandais risquent d’être un peu déçus, niveau chauffage, certains collèges ayant déjà dû fermer leurs portes et de nombreux parents ayant repris leurs chères têtes de moins en moins blondes à la rentrée dernière, en ayant constaté que la température dans les classes chatouillait les 11° largement insuffisants, même avec un col roulé, pour un cours pratique de théorie du genre en écriture inclusive. Nonobstant le fait que Bruno Le Maire a mis à genoux l’économie russe à lui tout seul en nous privant d’un pétrole bon marché que désormais Poutine vend ailleurs et plus cher (si vous n’avez pas profité des 50 centimes de réduction sur le carburant, c’est terminé depuis le 16 novembre), peut-être faut-il y voir un rapport lointain avec le nouveau record de notre balance commerciale (laquelle accuse un déficit de 150 milliards sur un an) et le fait que nos amis et alliés américains, après les sous-marins australiens, viennent de nous délester gentiment d’un contrat de 20 milliards d’euros en Pologne pour la construction d’une centrale nucléaire, une des rares choses que nous fabriquons encore (en dehors des OQTF, des taxes et des lois). 

Faute d’argent magique, lequel devient de plus en plus difficile à trouver, sauf pour en envoyer en Ukraine ou quand Macron annonce à la COP 27 que la France va donner un milliard à l’Afrique du Sud pour l’aider à sortir du charbon, l’hôpital déjà dans l’état d’une vierge prépubère anémique après un gang bang de trottoir, est mis en déroute par une simple épidémie de bronchiolite (les urgences étant saturées par des personnes plus prioritaires que les nourrissons) au point de déclencher, paradoxalement, un plan « blanc » consistant essentiellement à retarder le dépistage et traitement des cancers et autres futilités non urgentes et à priver de congés les personnels qui y bossent encore, plutôt que de réintégrer, comme dans quasiment l’ensemble des autres pays européens, les personnels non vaccinés. 

Aucun rapport avec la grogne qui monte, qui monte, qui monte, mais le gouvernement vous propose gentiment et sans aucune arrière-pensée de lui remettre (du 25 novembre au 2 décembre) les quelque 5 millions d’armes non enregistrées qui circulent encore en France. C’est dommage, car, ayant quelques taupes dans le jardin, j’avais presque convaincu mon épouse de la nécessité de commander un canon Caesar (en promotion sur le Dark Web avec une Ukrainienne en prime) pour résoudre le problème et, accessoirement, lutter contre les cambriolages, seule statistique qui, plus chanceuse que certaines, avait baissé (avec deux s) sous Darmanin, en matière de criminalité et qui, allez savoir pourquoi, maintenant que les gens ne sont plus confinés ou en télétravail, repart stratosphériquement à la hausse… 

Mais soyez rassurés, pour les choses importantes, la France peut être à la pointe de la lutte en matière de délinquance. J’en veux pour preuve cette coopération internationale pour traquer et appréhender le dangereux révisionniste Vincent Reynouard et ses 3000 vues dans un recoin d’Internet, avec des moyens humains et financiers déployés durant des mois sur le sol anglais. Un pays où la chose n’est par ailleurs pas interdite sans qu’on y constate une recrudescence des ventes de fours à micro-ondes, d’où l’étonnement de la presse britannique qui en fait ses choux gras. 

Cette menace prioritaire pour la sécurité nationale a déjà passé un an sous les barreaux pour délit « d’opinion devenue un délit », soit délit de délit, concernant des histoires de butane et d’allergie aux comptes ronds. Il a fui une énième condamnation, de 6 mois supplémentaires, craignant que, contrairement aux multirécidivistes, avec ou sans OQTF, qui arpentent nos trottoirs et qui sont rarement incarcérés pour les peines inférieures à deux ans, même si lui n’a tué, agressé, violé, volé ou insulté personne, on ne le mette au cachot et qu’on ne jette la clé. Le devoir de mémoire étant pris, par certains, très au sérieux, chacune de ses centaines de publications ou vidéos pourrait faire, en effet, l’objet de poursuites séparées, de quoi le tenir enfermé jusqu’à la fin des temps, certes de plus en plus proche, mais quand même… 

D’autant que s’ajoute à la liste le révisionnisme « adjacent » incluant son enquête sur Oradour-sur-Glane qu’on pourrait comparer « au low cost » de la Shoah, car dépourvu de peuple élu et sans chambre à gaz, mais dont, apparemment, on ne peut pas contredire le narratif non plus. Il est clair, et c’est là tout le problème, que si on ne met pas un frein à cette escalade de lois liberticides, s’ajouteront à la liste des vaches sacrées : le réchauffement climatique, les effets secondaires de la vaccination, la remise en cause de la fiabilité des élections ou du fait que Poutine est méchant et que Jésus Christ était noir et homosexuel les années bissextiles. Dans un monde où, ces jours-ci, un transsexuel né homme, objectivement moche, même selon les critères les plus inclusifs de tout le spectre LGBT et capable de traumatiser jusqu’au pèse personne de Marlène Schiappa a gagné un concours de beauté féminin ouvrant la porte aux qualifications pour Miss USA, tout est désormais possible. 

Dans la même veine, la république étant à la fois au four et au Jean Moulin, si l’envie vous prenait, après une choucroute, de glorifier le nazisme, apparemment vous pouvez parce que la France n’a pas voté, devant l’Assemblée générale de l’ONU, un projet de résolution condamnant justement cela. En revanche, les mêmes s’insurgent de la présidence, dévolue au RN, du groupe parlementaire de l’assemblée consacré à l’antisémitisme. Ne cherchez pas à comprendre, on appelle ça les valeurs de la république. Sinon, le cours des cryptomonnaies (Bitcoins et Ethereum incluses) s’approche dangereusement du noyau terrestre en raison de la faillite de FTX dont le fondateur était également un des plus gros donateurs aux candidats démocrates pour les élections de mi-mandat américaines. 

Élections dont il est encore trop tôt, compte tenu des délais nécessaires pour faire voter les morts par correspondance, pour donner les résultats définitifs. Un nouveau stade nécrologique a tout de même été dépassé puisque, cette fois, un membre du congrès démocrate ayant également passé son arme à gauche en octobre a quand même été élu en Pennsylvanie. En attendant, nos médias ont inventé un nouveau concept : Biden n’a pas perdu, il a juste presque gagné. Espérons que cette presque victoire suffise à fermer le robinet en direction de l’Ukraine afin de la pousser vers la table des négociations si le fait d’être totalement privée d’électricité en raison des derniers bombardements russes s’avérait insuffisant à mettre fin à une boucherie absolument inutile dont chaque jour supplémentaire augmente le risque, comme on l’a vu avec les deux missiles imputés aux Russes « tombés » en Pologne, de déclencher un engrenage irréversible. 

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lundi 7 novembre 2022

Racisme à l’Assemblée. RHHÔÔÔ ! (7 nov. 2022)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/nfE8-I1c2JQ

Bonjour ! 

Depuis le roman « Les liaisons dangereuses » on ne peut plus dire qu’on ne savait pas. Il y a par exemple une nuance subtile (d’une quinzaine de centimètres à vue de nez) entre « une femme habite à l’Élysée » et « une femme˽habite à l’Élysée ». Dans certains cas, les liaisons sont obligatoires et certains puristes prennent facilement « la mouche » quand on n’insiste pas sur le « taon » dans : « Qu’ils retournent˽en Afrique ». D’autant lorsque, pour ajouter encore à la confusion, on s’adresse à un député à forte teneur en mélanine au moment précis où il plaide, à l’assemblée, pour qu’on importe encore plus de gens à forte teneur en mélanine. Certainement dans le souci d’éviter, dans ce domaine aussi, une pénurie. 

Ledit député mélaniné et pas tout blanc non plus, qui lui, connaît l’importance des liaisons (pour en avoir avec des gens peu recommandables), l’a immédiatement pris pour lui et la majorité des députés présents, pétrifiés par le tabou sacré du racisme, vaillamment brandi comme de l’ail détaxé devant des vampires suceurs d’impôts, l’a suivi dans sa noble croisade avec l’enthousiasme d’un clandestin sous˽OQTF (et non saoul OQTF, quoi que…) lâché dans un pensionnat naturiste pour jeunes filles paraplégiques. 

L’infâme député RN Grégoire de Fournas à qui il ne manque qu’un i accolé à son nom pour être, en plus, ouvertement antisémite (je vous laisse une seconde pour comprendre) a donc balayé, par sa faute (de français) 11 ans de dédiabolisation. Encore s’il avait dit : « qu’ils retournent en Afrique… chercher leur famille » nul doute, selon qu’on fasse ou non la liaison, qu’il eût été, non point sa mère, mais pardonné. Selon la nouvelle « nouvelle alliance » : « NUPES, Macronnie, LR », pas spécialement « axée », elle, sur le pardon des péchés et le Nouveau Testament, la bête immonde est toujours là, féconde, cachée, Hitler de rien, derrière les chats de Marine Le Pen, ou pire, dedans. 

Donc, pour éviter le retour d’heures encore plus sombres, le Français moyen se doit de devenir encore moins clair. Cela peut sembler paradoxal, mais seulement quand on a l’esprit trop étroit pour appréhender le concept de créolisation dans toute sa profondeur mélenchonienne. Rappelez-vous que c’est grâce à la clairvoyance d’hommes de sa trempe que nous ne parlons pas allemand. Cela dit, une fois qu’on maîtrise les déclinaisons…, mais je m’égare. Qui plus est, l’arabe aussi a ses charmes. 

L’écartèlement en place publique, bien qu’écologique, étant passé de mode, faute de pouvoir prouver l’intention du député félon, lequel savait pertinemment que la seule fois où l’orateur avait mis les pieds, et probablement le reste, en Afrique c’était, selon ses propres dires : « une semaine en vacances », on l’a suspendu non pour insulte raciste au titre de l'Art. 70-2 du Règlement de l'Assemblée, mais au titre du 70-1 pour « trouble à l'ordre public ». Cela fait un peu Al Capone qui tombe pour fraude fiscale, mais qu’importe, l’essentiel étant que les gens croient à un lien entre les propos et la condamnation. 

Il faut bien comprendre qu’après la « duce » froide de l’Italie de Meloni se fendant d’un « va, faon cool, haut » visiblement inspiré de Bambi à la montagne, à la perspective de sauver davantage de migrants aquatiques (avant, sous la pression internationale, d’accepter de récupérer les femmes enceintes et de soigner les malades), certains Gaulois réfractaires auraient pu être tentés de réfracter quand Macron, saint parmi les saints, se dit prêt, lui, à accueillir les autres ; pas à l’Élysée, faut pas pousser non plus, mais dans nos vertes campagnes où il reste encore un peu de place. Pour changer, on va même importer, en plus (pas à la place), des gens qui travaillent. On appelle ça « titres de séjours pour métiers en tension ». En gros on « délivre » les titres, plutôt que les esclaves qu’eux on fait venir… 

Si nous voulons sauver la république et en finir avec cette idée désuète de nation, il faut se dépêcher de faire oublier aux poissons rouges et Lola et les innombrables enrichissements culturels dont on les gratifie en leur rappelant que, depuis Vercingétorix, leur problème c’est le racisme lequel pourrait les conduire vers une dystopie monoculturelle absolument cauchemardesque sans Danielle Obono, sans OQTF, sans rap, sans mosquées, voire sans Bernard Henri Lévy, car la haine, chacun sait comment cela se termine. 6 millions est certes un bien triste record, mais il pourrait être battu, si nous n’y prenions garde. Sans compter qu’il faudrait payer convenablement les livreurs « Uber Eats », qui s’appellerait « Über Alles » et que nous aurions toujours Sandrine Rousseau. 

Où irait-on si on laissait le droit à un député RN de critiquer l’immigration au prétexte que les gens étroits d’esprit et rances qui l’ont élu et qu’il représente pensent que nous avons dépassé le seuil critique en matière de capacité d’immigration de peuplement ? Si l’on n’y prend garde, nous allons finir par tomber dans ce système nauséabond dont j’ai oublié le nom, dans lequel c’est la majorité qui décide, même quand elle pense mal. 

Enfin, la bonne nouvelle c’est que, pure coïncidence calendaire, toute velléité d’alliance circonstancielle NUPES-RN autour d’une motion de censure qui fait trembler le gouvernement et montre les LR pour ce qu’ils sont, a du plomb dans l’aile, et probablement un peu ailleurs aussi. Ananas sur le gâteau, notre président, paraît-il dépressif ces temps-ci et qui parle de dissolution (non à nos problèmes, mais de l’Assemblée nationale) y gagne un peu de marge de manœuvre pour la préparer, cette dissolution, sous de meilleurs auspices à boomers, le temps que, toujours par pure coïncidence calendaire, il nous tombe vraiment un gros truc sur la gueule propre à fédérer tout ce qui tremble et regarde encore la télé derrière notre macronstipé perçu comme seul « para-pets » (ou « para-vents ») contre le chaos. 

En tous les cas, c’est open bar sur les réseaux sociaux de l’escamoteur de liaisons, où, soucieux de ne pas alimenter le racisme ambiant, des hordes de personnes monochromes, heureusement pas représentatives de ceux qui ne sont pas comme elles, souhaitent, avec le tact qui s’impose et dans ce style littéraire qui sied aux esprits brillants, la mort de sa fille de 1 an, quand ils ne parlent pas de la déconstiper de manière artisanale avec un truc, je cite : « bien veineux et bien noir ». 

Sinon, pour rester dans le thème, contrairement à ce qui se passe dans les banquets d’Astérix, au RN, le Bardella à la fin, élu président avec 85% des voix non rectales, ce qui n’a pas plu à Bilde et Briois qui parlent, eux aussi, d’une rediabolisation, l’impétrant semblant plus féru de moteurs à implosion que de voitures à pédales. 

C’est terminé pour ce petit hors-série (actualité oblige), plus court que d’habitude. Si vous avez apprécié ce contenu, vous pouvez cliquer sur tous les trucs en bas et si vous ne l’avez pas apprécié, c’est sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.

vendredi 4 novembre 2022

INCROYABLE avalanche de connerie humaine ! (4 nov. 2022)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/o5nlGghCvwQ

Bonjour ! 

Nous en avions déjà perçu les prémices avec Bruno Lemaire en col roulé, mais c’est désormais chose faite, nous voici parvenus à ce stade terminal où la simple description de la réalité rend l’humour superfétatoire au point que, face à la perspective d’un Armageddon nucléaire, on a juste envie de reprendre des frites. Des frites sans huile de palme laquelle, en matière de tubercules, revient sans conteste à Sandrine Rousseau, responsable d’une vague internationale de panique féminine à la perspective de la ménopause. Bien qu’étant, elle-même, un produit regrettable de l’imparfait du préservatif, cela ne l’a point empêchée de massacrer celui de l’indicatif (façon Raquel Garrido déboulant dans un club échangiste en pente) dans une audacieuse tentative de déconstruire une grammaire qu’elle ne saurait tarder à renommer « grampaire » tant elle est patriarcalement bourrée de QUOIs peu volubiles, de QUIs nauséabonds et de QUEs qui l’indisposent. 

Ayant, pour la première fois de mon existence, pris la mesure de l’infini et entr’aperçu Dieu, je me contenterai donc de la citer avec humilité : « Nous avions la gorge qui grattions, nous avions les yeux qui brûlions… ». Elle est quand même prof, c’est peut-être pour cela qu’elle nous la sort bonne. Comme dirait Ségolène, pour continuer à se présenter devant les médias après ça, il faut quand même une certaine dose de bravitude. Je n’ai pas vraiment compris ce qui lui grattions la gorge, mais pour éviter que quoi que ce soit d’autre ne franchisse de nouveau les 20 centimètres qui séparent ses dents de sa glotte en supination convexe, la meilleure solution serait qu’elle fermât définitivement la bouche. Si, un jour, en revanche, elle avait le cul qui grattions, sous réserve de se taire, elle pourra toujours tenter de déambuler en minijupe sur les trottoirs d’une grande ville à 3 heures du matin ; il arrive que l’éclairage de nuit soit défaillant. La légende raconte même que, les soirs de pleine lune, y rôdent parfois des hommes déconstruits sous OQTF.

Dans la même veine, ou plutôt « déveine », en Corée du Sud, plus de 150 personnes sont décédées dans la rue, non sous une coulée de boue, mais debout sous une coulée de connerie humaine pour s’être simplement trop serrées pour fêter Halloween, cette merde « pseudo culturelle » et mercantile à la sauce américaine qui a autant à voir avec la culture coréenne que la GayPride avec les talibans lesquels aident les militants LGBT à s’envoyer en l’air, mais du haut des immeubles. Le multiculturalisme a encore frappé et Halloween tue ! Donc, s’il vous passait fugitivement par la tête l’idée pernicieuse de laisser votre chien américanophobe mâchouiller (avec modération) les mollets de quelques gamins lobotomisés body-positifs qui, plutôt que de cramer des voitures comme tout le monde, tambourinent à votre porte, pendant que vous êtes sous la douche, pour réclamer des caries dentaires, ne culpabilisez pas trop, car, au bout du compte, vous sauveriez peut-être des vies et certainement quelques molaires. 

Pendant ce temps, un peu partout, des lavés du cerveau triple essorage mode taches tenaces, jettent de la soupe, pas même bio, et se collent à la glu sur des tableaux de maîtres ; notamment la jeune fille à une de ces perles qu’ils enfilent qui s’avère être une de mes œuvres favorites. Si jamais j’en croise un, je pars boire 3 litres d’eau et je reviens lui pisser dessus. À moins qu’entre-temps, en dépit du fait qu’un musée soit, paradoxalement, peu propice à un enrichissement culturel, un amateur de vierges paradisiaques n’ait réalisé qu’une fois scotché, telle une mouche coprophage sur du papier collant, même au cure-dent (si on est très patient et motivé) on pourrait tout à loisir détacher la tête et la regarder flotter vers le plafond.

Toujours est-il que, visiblement, il n’y a pas de pénurie de glu. Dommage qu’on ne puisse pas se chauffer avec. Face à cette abondance, certains pourfendeurs de moulins à vent ont eu la brillante idée de se coller les mains dans le hall d’exposition d’un concessionnaire allemand en voitures de luxe, lequel, à la fermeture (on était vendredi), leur a poliment dit « Auf Wiedersehen ! » avant d’éteindre la lumière dans un réflexe écoresponsable. Magnanime, il quand même appelé la police le lundi matin. Je vous avais prévenu, je n’ai plus rien à faire, juste à énoncer les faits. Comme dirait Rocco Siffredi, dont parfois les doigts collent aussi : « hop, sans les mains ! » 

D’autres adorateurs de la glu, plutôt que de facétieusement serrer la main d’Emmanuel Macron ou de la lui mettre aux fesses, ce qui les eût propulsés à la une des journaux du Monde entier, ont préféré être propulsés contre des parapets d’autoroute, par des gens n’ayant qu’un lien culturel récent et peu enthousiaste avec les valeurs de la république, pour avoir eu l’idée géniale de se coller à même l’asphalte aux heures de pointe (au risque de bloquer des pompiers et des ambulances) persuadés que provoquer des bouchons de dizaines de kilomètres (lesquels rejettent dans l’air de quoi asphyxier plusieurs milliers de Gretas Thunberg asthmatiques) est la meilleure méthode pour lutter contre le réchauffement climatique.

Après, il y a ceux qui nous « méga-bassinent » avec Sainte-Soline, les mêmes qui défendent la faune locale, quand il s’agit des lapins, tout en plébiscitant l’immigration de masse quand il s’agit des humains. Une immigration qui, si je me fie aux images de BFMTV, est à peu près aussi présente dans leur lutte de visages pâles que les ovaires de Jean-Michel Trogneux. En gros, tandis que nous sommes au bord de la troisième guerre mondiale et que, dans quelques mois, la difficulté sera peut-être de trouver à bouffer, des amas de cellules en forme de petits bourgeois.e.s citadin.e.s qui s’imaginent que les frites poussent dans les arbres, estiment que c’est le bon moment pour emmerder ceux qui produisent ladite nourriture. Comme tous ceux qui, quand vous leur montrez la lune, vous suggèrent de vous couper les ongles, leur priorité est donc de s’insurger que l’équivalent de 10 terrains de football sur tout un département soit converti en retenues d’eau en plastique sous bâches (les fameuses méga-bassines), en prévision d’une éventuelle sècheresse, pour alimenter des groupements d’agriculteurs lambda qui ne sont pas des gros céréaliers, comme ils le prétendent. 

Ce qui suscite leur caca nerveux biologique et écoresponsable, c’est qu’en plus de l’eau de pluie, le complément sera puisé dans les cours d’eau et les nappes phréatiques durant l’hiver et qu’ils craignent, outre le fait qu’une partie de cette eau ne s’évapore, que cela n’encourage à continuer à pratiquer une agriculture basée sur l’arrosage intensif, sans la moindre remise en question du modèle économique, alors que, selon leur crédo climatique, on va tous griller dans 10 ans et qu’il faudrait déjà commencer à planter des bananes. Certes, le débat de fond sur l’orientation agricole est légitime, mais le fait d’avoir emmené des cocktails Molotov, produits de luxe en ces temps de pénurie (même si peu écologiques), ainsi que divers objets contondants, jette un voile non-islamique douteux sur leurs motivations profondes et conduit à se demander si le but politique n’est pas de fabriquer un nouveau « Notre-Dame des Landes ». Par ailleurs, comme à con, con et demi, le gouvernement, plutôt que de les laisser manifester tranquillement dans les champs pour distraire les vaches a jugé bon d’envoyer des poulets sur place parce que : les valeurs de la république, ainsi que deux chèvres, sur un malentendu avec le nom du département, en raison du cheveu sur la langue de notre macronstipé qui se soigne par l’extérieur. Des poulets dont 61 ont rapidement été fricassés ou grillés, mais pas au barbecue par respect pour Sandrine qui étions là aussi. 

Au moins Yannick Jadot aura compris à ses dépens, que même les écolos pastèque ne peuvent pas être pris pour des cons indéfiniment et a dû repartir la queue entre les jambes et la voiture décorée d’appellations peu dithyrambiques, même si à la peinture à l’eau, soucis de l’environnement oblige. Comme je suis un éternel optimiste, je veux y voir une étincelle d’espoir pour l’humanité. 

Sinon, au Brésil, selon un scénario désormais classique, après Trump et Marine Le Pen, Bolsonaro, donné largement perdant par la presse du camp du bien, c’est-à-dire la presse, s’est retrouvé à devancer Lula dans les dépouillements télévisuels. Fort heureusement, après un interlude musical, lui aussi désormais classique, sont subitement apparus les résultats corrigés des variations saisonnières, catapultant en tête le chouchou des médias. Tout le monde n’étant pas mélomane, certains n’ont pas apprécié ledit interlude et un climat d’harmonie et de paix s’est durablement installé dans le pays lequel, selon Lula, dont l’élection sous une dictature demeure un mystère, est de nouveau une « démocratie ». 

Dans cette autre vraie démocratie qu’est la France, on suspend RUMBLE, après RT et Sputnik et on organise des « assises des dérives sectaires et du complotisme » pour, selon la secrétaire d’État, faciliter « le signalement des collègues de travail ou des voisins, touchés par ça ». Quand il reste un peu de temps, on enchaîne les 49.3 au rythme des OQTF, les excréments diarrhéiques de mouches coprophages que sont les députés LR n’étant pas foutus, contrairement au RN et à Marine Le Pen, à qui, pour une fois, je tire mon chapeau, de signer la motion de censure de la NUPES et de faire tomber un gouvernement autiste bien décidé à nous achever. 

Mes excuses aussi à Gérald Darmanin. Il s’avère en effet, probablement parce que le BREXIT, pour une raison qu’Asselineau nous expliquera certainement un jour, n’a pas eu l’effet escompté sur l’immigration, que le gouvernement britannique, après plusieurs reports, a finalement refusé de publier les résultats du dernier recensement décennal et annonce qu’il ne recueillera plus de statistiques ethniques. Il s’agissait donc bien de supporters anglais, au stade de France. 

Sinon, les deux Corées ont commencé à s’échanger des tirs de missiles, les USA déploient 6 B52 à capacité nucléaire en Australie après que Biden ait déclaré que les États-Unis entreraient en guerre contre la Chine si Taïwan était attaquée, l’Iran et l’Arabie Saoudite sont prêts à en découdre et la Finlande se déclare disposée à héberger du matériel nucléaire de l’OTAN quasiment à la frontière russe. On va peut-être attendre un peu avant d’acheter les cadeaux de Noël… 

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