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lundi 22 juillet 2019

Gilets jaunes : Analyse et perspectives (22 juil. 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/DjSaMOe3JoE



Bonjour !
On peut reprocher bien des choses à Brigitte Macron dont, paraît-il, la seule présence aux abords d’une mine de charbon aurait pour effet mécanique de dévier les gueules noires dans une autre direction. Cette propension au détournement de mineurs pouvant même, selon certaines rumeurs, avoir joué un rôle dans la désindustrialisation du nord de la France, les paroles initiales du tube de Pierre Bachelet étant en fait : " au nord y avait les corons, avant Brigitte Macron...", version abandonnée car, à l’époque, elle s’appelait Trogneux et que ça ne rimait pas. On peut lui reprocher bien des choses donc, mais imaginez que quelqu’un décide, sans la connaître et sans rien lui demander, juste parce qu’il a vu une photo dans Paris-Match, qu’elle est la femme de sa vie et qu’il va fonder une famille avec elle, ne s’embarrassant pas de détails mineurs, eux-aussi, comme le fait qu’elle est déjà mariée à un éborgneur enthousiaste accessoirement président de la république et seul homme à pouvoir se vanter de s’être plus fait siffler dans la rue qu’une femme en minijupe et décolleté plongeant près d’un chantier de construction dans les années soixante. Un beau jour, toujours sans lui avoir adressé la parole, ce quelqu’un découvre que l’obligation d’un achat massif de nouvelles licences Photoshop, depuis l’arrivée de la première dame, n’est pas pour rien dans les déboires financiers de la presse et que la seule façon de donner la vie qui reste à sa dulcinée putative, à part le clonage, c’est de s’immoler par le feu et de disperser ses cendres comme fertilisant sur des plants de tomates. Du coup, notre brave gérontophile involontaire mais un peu con quand-même, se retrouve aussi désemparé qu’un homard dont la famille aurait été décimée par François de Rugy : tous ses rêves partent en fumée, il est déçu et il lui en veut à la pauvre Brigitte alors que, pour le coup, elle n’y est strictement pour rien, sachant que si on n’a rien promis soi-même, de façon explicite ou implicite, on n’est pas responsable des films que se font les autres dans leur tête et de leurs attentes déçues à notre sujet, même si la plupart des relations amoureuses ont, hélas, plus à voir avec ces petits films qu’avec la véritable nature de l’être « aimé », le mari de Marlène Schiappa ayant probablement la version cinémascope.
C’est exactement l’attitude qu’ont certaines personnes vis-à-vis des gilets Jaunes. Ils ont mis leurs espoirs dedans sur la base de ce que leur montrait les médias, sans jamais les rencontrer ou même participer et, une fois que le scénario qu’ils se sont fait dans leur tête à coup de "yaka fokon" ne se concrétise pas, ils sont déçus. D’abord, il faut bien qu’ils comprennent que les gilets jaunes, au départ, et c’était ça leur force et aussi leur faiblesse, c’était un simple signe de ralliement pour tous ceux qui en avaient marre de se faire faire les poches par le gouvernement. Tout juste une amorce de prise de conscience. À la limite, le gars qui trouvait l’addition salée après avoir fait le plein de sa Lamborghini Aventador personnalisée aurait pu être Gilet Jaune et manifester au côté d’un couple qui ne s’en sort pas avec deux salaires. Ça n’aurait choqué personne. Ça n’était pas encore révolutionnaire faute de profondeur d’analyse et ne pouvait pas, en l’état, s’inscrire dans la durée sachant que, généralement, ceux qui ont encore des trucs dans le frigo ne sont pas prêts à risquer un changement radical qui fera que les choses vont empirer avant d’aller mieux et que ceux qui ont déjà de l’eau jusqu’au cou sont, pour la plupart, résignés, usés et n’ont plus l’énergie de combattre. Pourtant, dépassé par son succès et sa propre dynamique la vague jaune est passée près de renverser le système par surprise lequel, pris de panique, avait même prévu un hélicoptère pour exfiltrer Macron. Les frileux, réalisant que les choses devenaient sérieuses, d’accord pour rouspéter mais pas pour faire péter la machine qui leur distribuait encore quelques miettes, aidés dans leur réflexion par des tirs de flashballs au-delà de toute mesure, ont fini par quitter les rangs. Ne restent actifs que ceux qui respirent encore mais voient l’eau monter trop vite pour pouvoir attendre, ceux qui ont été sortis de leur état « Vincent-Lambertique avant euthanasie » par la redécouverte de la solidarité des ronds-points et les idéalistes et perpétuels révoltés qui ont enfourché le cheval au passage. Vu l’état de délabrement du pays, ça fait encore du monde, en tout cas bien plus que ce que les médias nous disent et ça va croitre mécaniquement. La revendication du départ, « pouvoir vivre de son salaire », étant extrêmement dangereuse pour le système car susceptible de recueillir l’assentiment général, compréhensible même par le vainqueur incertain d’un concours de QI entre Castaner et une moule anémique et mettant le doigt là où ça fait mal, Macron a, fort intelligemment, réorienté la chose vers des aides et des primes diverses qui ne répondaient pas à la problématique, faisant passer les gilets jaunes pour des mendiants qui voulaient juste des sous et permettant à la gauche, fidèle à la devise de Bossuet : « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. », au lieu d’entamer une véritable réflexion sur lesdites causes, de dépoussiérer sa version simpliste habituelle de la lutte des classes et de refourguer, par l’intermédiaire des médias, à des gilets jaunes qui n’avaient aucun moyen de s’exprimer, tout le catalogue des faux boucs émissaires vendus par le système à son opposition contrôlée. Du coup, non seulement le gars à la Lamborghini est autant le bienvenu qu’une balance juste dans la salle de Bain de Laeticia Avia, mais sa bagnole on la lui crame et, d’un signe de ralliement, le gilet jaune, reformaté par ladite gauche sous la fausse promesse d’une « convergence », devient une identité avec ses codes, sa classe sociale et ses tabous droits-de-l’hommistes tels l’immigration, finissant par avoir un effet répulsif, un peu comme de nouveaux bolcheviks, sur tout ce qui n’en fait pas partie et expliquant, notamment, le score de Macron aux dernières élections, lequel a rameuté à lui, après les bourgeois bohèmes, les bourgeois friqués des républicains s’imaginant que la peste jaune en voulait à leurs sous. Bien sûr, tout cela n’est que la partie émergée de l’iceberg, pas forcément représentative, ni de la composition organique du mouvement, ni du travail de fond effectué, mais c’est celle qui compte car c’est celle qui se voit dans les médias avec ces porte-paroles plus ou moins auto-désignés qui font un concours de bienpensance à celui qui choquera le moins, passant plus de temps à essayer de prouver leur non-racisme, leur non-antisémitisme et leur ouverture à l’autre qu’autre chose, en évitant les sujets clivants. À force de trop s’ouvrir à l’autre, on se fait mettre et on voit avec Chouard comment finit la chose quand on rentre dans ce jeu au lieu de dire :« vos valeurs c’est de la merde et vous pouvez vous les carrer quelque part entre le scrotum et le sacrum » ce qui obligerait les procureurs médiatiques à tenter de justifier lesdites valeurs, les plaçant, arroseurs arrosés, en position de faiblesse, tactique hélas impossible pour quelqu’un de gauche sans se renier et cesser d’être « de gauche » (au sens contemporain du terme).
Tout n’est pas négatif cependant, car même si l’évolution n’a pas été ce qu’elle aurait pu être, les gilets Jaunes qui, au passage, pour beaucoup, ont redécouvert l’importance du lien social sacrifié par le système au profit du sociétal, sont là et, la situation ne pouvant que s’empirer, sont là pour longtemps, comme une épine dans le pied d’un gouvernement déjà affaibli. Si la liquidation de la France, pour laquelle Macron a été mandaté, n’est pas achevée entre-temps, les ressources qu’il déploie contre eux finiront par manquer sur la durée, d’autant que cette répression immonde fait prendre conscience à de plus en plus de personnes qui, pour autant, hélas, ne vont pas se révolter encore, qu’elles n’étaient en démocratie que parce qu’elles n’avaient pas essayé de tirer sur leur laisse, le tout sédimentant un terreau propice à une explosion future. Répression à comparer, au passage, avec l’inertie d’implant pénien sans armature devant Nicole Belloubet en nuisette du même gouvernement quand des foules algériennes, ennemi qu’on nous a choisi pour une éventuelle guerre civile censée nous distraire de l’idée qui enfle de guillotiner nos élites de façon parfaitement républicaine, fêtent une victoire footballistique dans nos rues en exprimant leur déconstructivisme créateur et artistique sur les vitrines, véhicules et mobilier urbain et tuant, accessoirement, un pauvre type, médecin de son état, qui avait le malheur de ressembler à un Sénégalais, mais là, pour le coup, ce n’est pas du racisme et ça ne choque aucun de ceux qui, au motif du même racisme, rentrent dans le lard de l’inénarrable Nadine Morano pour sa remarque candide sur les tenues vestimentaires de Sibeth Ndiaye laquelle s’obstine à venir en pyjama dans les cérémonies officielles. Personnellement, j’ai toujours soutenu et continue à soutenir les gilets jaunes, même si j’essaie de défendre une ligne différente de la tendance visible actuelle, justement dans le but de maintenir un maximum de souplesse idéologique au sein du mouvement, car, sauf à ce que des nationalistes (et d’autres) s’y investissent massivement et visiblement, en affichant ostensiblement leur identité, afin de casser cette image exclusivement gauchiste délétère et sous réserve, partie la plus difficile, que les gauchistes acceptent la cohabitation, je ne pense pas que le gilet jaune puisse redevenir un signe de ralliement, non pas d’une majorité, par définition mouvante et sans constance, mais des radicalités de tout bord nécessaires à attirer, au moment propice, ladite majorité dans une dynamique conduisant au renversement du système. Du coup, et ce qui suit est juste de la prospective, à partir du moment où l’espoir fédérateur est parti en fumée, il est à craindre que certains, allant au bout de la logique, ne réalisent qu’il ne subsiste plus aucune raison tactique à ne pas vouloir faire trop de vagues en évitant les actions qui pourraient déplaire à des gens qui, de toutes façons, n’auraient pas rejoint le mouvement, comme, et je mets un hashtag « #cestpasbien », saboter le Tour de France ou s’attaquer à des infrastructures névralgiques telles les émetteurs de la TNT qui les priveraient d’Hanouna, considérant, probablement avec raison, que ces actions, certes contre-productives au départ, mais que, contrairement aux manifs, on ne peut pas regarder d’un œil distrait en poursuivant sa vie comme si de rien n’était et dont la radicalité sera mécaniquement, par un phénomène d’engrenage, appelée à s’intensifier, finiront à terme par mettre en exergue l’incapacité à gérer du gouvernement et par se retourner contre lui.
Pour éviter ce passage à une sorte de résistance armée, si les gilets jaunes ne recouvrent pas leur universalité et leur ouverture d’esprit aux idées qui dérangent, il faudra les dépasser et, sachant qu’on ne saurait demander à tout le monde de regarder jusqu’en haut de l’échelle (et a fortiori d’y voir la même chose), peut-être trouver un nouveau signe de ralliement indépendant des convictions des uns et des autres et se focalisant sur un premier barreau commun à escalader lequel me semble être l’élimination de Macron, point faible du système pour encore quelque temps, mais de moins en moins avec chaque jour qui passe.
Un Macron d’autant plus fragile, qu’en matière de génocide homardesque, à côté de lui, De Rugy joue en division d’honneur (et encore comme remplaçant) si l’on considère que, quand il était ministre de l’Économie et du Numérique en 2016, 80 % de l’enveloppe attribuée à son ministère, soit 120.000 euros, sont passés dans les frais de représentation et que, selon Christian Eckert, ex-secrétaire d’État au Budget qui a écrit un livre sur le sujet, tous les espaces dinatoires du 7e étage de Bercy étaient mis à contribution simultanément par le couple Macron en pré-campagne électorale, une stratégie qui permettait à Brigitte et Emmanuel, en gros, de prendre l’apéritif dans une réception avec les gens importants mais un peu bouseux quand-même, de débuter un premier dîner plus officiel avec des gens d’un calibre au-dessus, puis d’en poursuivre un second, dans les appartements, avec la crème de la crème, tout ça à nos frais. Et je passe sur les irrégularités dans ses comptes de campagne et les 2 millions d’Euros gagnés chez Rothschild qui se sont volatilisés de son patrimoine. Pointer la chose du doigt aurait été une défense plus efficace que prétendre une allergie aux crustacés.
Les gens se construisant souvent sur des contradictions et n’étant alors plus capables de survivre à une remise en question qui les pulvériserait psychologiquement, tel le cri d’agonie d’un radar tourelle les oreilles d’Édouard Philippe, je suis conscient que je parle dans le vide, mais il faut bien comprendre que chercher des causes à nos problèmes ne sert à rien si on ne les corrèle pas avec un but, sachant que la justice sociale est une conséquence qui n’existe pas hors-sol et pas un but en soi, idem pour la démocratie. La question à se poser et que je n’entends pas beaucoup de gilets jaunes se poser est donc : quelle est la société que nous voulons sachant que la nature humaine est ce qu’elle est et que si on prend plusieurs personnes et qu’on leur distribue une même quantité d’un élément quelconque, au bout d’un moment certains en auront plus que les autres et d’autres n’auront rien et que la société solidaire dont certains naïfs rêvent n’est possible qu’à petite échelle (et sous conditions) avec des gens qui se connaissent ou se reconnaissent et qu’il viendra toujours un moment où le système enverra ses blindés déloger ces dangereux déviants de leurs exploitations en permaculture. À l’échelon supérieur, on a donc théoriquement le choix entre perpétuellement reprendre à ceux qui ont plus pour redistribuer à ceux qui ont moins, indépendamment de leurs qualités ou de leur mérite, ce qui démotive les premiers et encourage le parasitisme chez les seconds, faisant baisser le niveau du pays et diminuant l’assiette globale, ou bien créer une société non plus égalitaire mais équitable où chacun reçoit selon ses qualités ou ses mérites objectifs ce qui encourage à l’effort et au dépassement de soi, fait monter le niveau général au bénéfice de tous mais laisse pas mal de gens relativement sur la touche (sous peine de retomber dans le cas numéro un) ou bien, troisième option, le statuquo, le règne du népotisme et des passe-droits, le règne des médiocres et des tricheurs qui ne permet ni l’un, ni l’autre tout en prétendant faire les deux et qui n’est qu’une version faussée de la loi de la Jungle. Même si je préfère la seconde option, aucune n’est satisfaisante, sachant que la seule façon globale de dépasser notre condition humaine égoïste et notre compétition interne absurde qui a besoin de rendre les choses rares (et donc de tout détruire) pour maintenir la motivation, surtout depuis  la destruction de notre spiritualité, c’est de retrouver du collectif autour de quelque chose qui nous dépasse, comme en temps de guerre ou en fixant un but grandiose à notre société, tel, jadis, les croisades et peut-être, un jour, coloniser les fonds des océans ou la planète Mars (d’où les agitations d’Elon Musk et autres séides du système pour maintenir l’illusion par des effets d’annonce). Il ne faut pas espérer enthousiasmer les foules au-delà des clivages sociaux avec le pouvoir d’achat qui est pourtant l’horizon indépassable qu’on nous fait miroiter, depuis des décennies, dans un bateau dont de plus en plus de gens réalisent qu’il coule. Les gens ont besoin de s’enthousiasmer et de cultiver l’illusion qu’ils ont un impact sur le Monde, d’où l’engouement, de la jeunesse notamment, pour le faux combat d’une fausse écologie. Sans réflexion poussée menée sur notre but, et sur ce qui justifie que le fait qu’on survive ou non ait une importance, les gilets jaunes, ou quoi que ce soit d’autre, pourront peut-être déboucher sur une jacquerie mais pas sur une véritable révolution.
Pour ma part je me contenterai du but intermédiaire de sauver ce qui peut encore l’être de ce terreau qu’on appelle la France et qui a su, par une alchimie délicate liée à sa culture, sa langue (qui produit une façon de penser particulière) et sa composition ethnique, créer ce qu’on appelle le génie français, cette redoutable efficacité du fainéant intelligent dont la propension naturelle, quand on ne lui impose pas un modèle économique qui n’est pas le sien et qu’on ne l’abruti pas avec la télé et autres futilités chronophages pour masquer la spoliation par l’esclavage salarié, est d’optimiser sa productivité dans le souci du moindre effort subi, ce qui fait qu’on a beaucoup inventé, et de passer les loisirs ainsi gagnés à s’investir sans compter et bénévolement dans ce qui le passionne, moteur plus puissant que l’argent et qui fait qu’on a inventé encore plus. Chaque société a son rôle à jouer dans notre avenir commun à condition de garder sa spécificité, de même que, tant que les couleurs sont préservées dans leur tube, on peut potentiellement peindre la Joconde alors que si on mélange tout, tout ce que l’on pourra peindre c’est un gigantesque caca d’oie. Sans la conservation de ce délicat équilibre, unique au Monde, qui a fait la France, déjà mis à mal par une américanisation délétère de notre culture et qui se trouve gravement menacé par une immigration massive, il va manquer quelque chose, arrivé au bout du chemin, et je ne crois pas que l’avènement d’une civilisation technologique imaginative et rationnelle indispensable, sous réserve de réorientation, à la survie de l’humanité, soit possible sans la spécificité, entre autres, de la France millénaire, à ne pas confondre avec la république qui s’en est abusivement approprié le nom.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

vendredi 12 juillet 2019

Loi Avia, violences machistes et autres macroneries... (12 juil. 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/uagPXCoPD6c


Bonjour,
Comme annoncé, je me remets doucement d’une opération chirurgicale bénigne mais qui fait que j’ai quand-même le bas du dos, le très bas du dos pour être précis, découpé comme un rumsteak halal en fin de ramadan ; orifice supplémentaire, mais heureusement provisoire, qui double, hélas, mes chances de me la faire mettre profond par le gouvernement lequel profite généralement de l’été et des surplus lubrifiants d’huile solaire pour faire passer les trucs les plus indigestes.
Il y a d’abord la loi Avia sur la haine en ligne, du nom de cette députée LREM rendue célèbre pour avoir, supposément, mordu un chauffeur de taxi. Pour ce qui est de la ligne, elle l’a perdue depuis longtemps mais elle semble au moins s’y connaître en matière de haine car, si c’était de l’amour, aimer son prochain comme on aime le poulet basquaise nous renverrait direct à ces clichés, dégoulinants d’un racisme répugnant, de ces explorateurs dans une marmite, à l’époque du « Yabon Banania ». Comme d’habitude, après Taubira, El Khomri et consorts, on fait passer les lois impopulaires (auprès des gens, pas des députés censés les représenter et dont seulement 33 ont voté contre) par des personnes issues de minorités, histoire de favoriser le vivre ensemble et de ne pas trop pointer du doigt les véritables instigateurs en cas de ruades intempestives du brave citoyen, tellement con et incapable de faire la part des choses, qu’il a besoin du gouvernement pour ne pas se muer en antisémite haineux au détour d’un tweet nauséabond violentant ses chastes oreilles. De même qu’il suffit de dire « Shazam » pour se transformer en « super-héros », il suffit d’un mot de haine pour nous transformer en super nazi colonisateur sexiste pédéphobe. Heureusement, nous voici à présent protégés de propos toxiques auxquels il suffit désormais d’être considérés par des cons sidérants comme « haineux » (sans aucune définition juridique, objective et impartiale du terme) pour obliger YouTube et autres Facebook, qui n’avaient pas vraiment besoin de cet encouragement, à effacer les contenus atteints de peste brune dans les 24 heures, sous peine d’amendes pouvant atteindre jusqu’à 4% de leur chiffre d’affaire.
Outre le fait que casser le thermomètre est aussi efficace pour soigner la fièvre qu’un nu de Claire O’Petit dans une banque du sperme, il s’agit là d’une censure « apriori » qui ne fait que s’empiler sur le lot d’atteintes à la liberté d’expression qui atteint des niveaux pas vus depuis que la guillotine révolutionnaire semait les germes de la pensée unique. Si les actes violents, selon de qui ils émanent, sont de plus en plus impunis, on n’hésite plus à prononcer des peines de prison pour des mots ou des dessins comme l’expérimentent Soral et autre Dieudonné, seul noir qu’on a le droit d’insulter en France et qui, s’il n’est peut-être pas tout blanc, notamment dans son affaire de fraude fiscale laquelle consiste, au pire, à refuser de se laisser prendre de l’argent qu’il a gagné alors que les politiques détournent, eux, en toute impunité, de l’argent qui n’est pas à eux, est, dans les faits, condamné pour tout autre chose.
Si l’on considère, avec Saint-Jean, « qu’au début était le verbe », ou le logos - et c’est une réflexion qui va bien au-delà de l’aspect religieux - lutter contre la liberté d’expression c’est se couper de notre essence même, c’est le choix des apparences contre la réalité, de l’orgueil contre l’humilité sans laquelle la suggestion de Socrate « connais-toi toi-même » est aussi périlleuse que se torcher les fesses pour le capitaine Crochet et, faute de contradiction logique, débouche sur les interrogations de genre et le LGBT. La parole c’est dangereux parce qu’on ne se sait pas vraiment d’où ça vient, sauf peut-être pour Marlène Schiappa qui doit avoir des connections neuronales directes avec son utérus (voire d’autres orifices dans la même zone géographique). Il nous semble qu’on construit une idée, qu’on l’exprime puis qu’on en fabrique une autre et ainsi de suite… En fait, quand on y prête attention, c’est plutôt comme si on ouvrait un robinet mystérieux dont on peut, certes, dans une certaine limite, canaliser le flux, qu’on peut filtrer et enrichir selon la profondeur de notre réflexion laquelle détermine la finesse du tuyau, mais la pression, elle, vient d’ailleurs. Les idées ne sont rien d’autre que de l’énergie qui, faute de mieux et en dépit des dénaturations intrinsèques à nos moyens imparfaits de communication et de conceptualisation, a besoin de passer par la parole ou l’écrit pour affecter notre réalité et si notre but collectif est de devenir autre chose que de simples blattes consommatrices qui bouffent, défèquent et se reproduisent, avec l’espérance de vie d’une pile alcaline dans la table de chevet d’Emmanuel Macron, nous devrions tendre à limiter ces dénaturations, au lieu de les augmenter par la censure, ce qui passe par ouvrir en grand le robinet de la liberté d’expression, de même qu’on laisse toujours couler un peu avant de se servir un verre d’eau audit robinet, verre qui n’en reste pas moins subtilement aromatisé aux hormones issues de toutes ces pilules contraceptives évacuées dans les urines et qui nous reviennent recyclées après, selon une étude britannique, avoir rendu transgenre un cinquième des poissons mâles.
Toujours est-il que ce qu’on laisse passer par les canalisations des réseaux sociaux n’est plus que de l’eau morte provenant du même réservoir putride et recyclé de la bienpensance morale. De l’eau sans vie, sans énergie qui fait qu’à ce comportement de blattes, nous ajoutons celui d’un virus qui va se développer jusqu’à extinction complète de son hôte lequel ne sera pas sauvé par des taxes carbone sachant que, à l’opposé, vivre en harmonie avec la nature n’est pas la solution non plus car, sans évolution technologique appropriée, nous sommes condamnés à mourir avec la terre que ce soit dans 10, 100, 1000 ans ou un million d’années, selon que nous soyons frappés par un astéroïde, ou que le soleil, regardant la lune avec trop de concupiscence, voie sa température augmenter, à moins que, plus trivialement, nous ne succombions aux conséquences des bombes à retardement chimiques, biologiques et nucléaires que nous avons enterrées un peu partout sans préoccupation pour les générations futures. Rien de tout cela ne se résoudra sans une totale liberté d’expression nécessaire pour, première étape, dénoncer et mettre à bas des élites qui n’œuvrent ni dans l’intérêt des peuples ni dans celui du concept foireux d’humanité qu’elles nous vendent.
Au début était le verbe, donc, et à la fin était… Schiappa qui nous propose, rien moins, qu’un grenelle sur les violences faites aux femmes (sauf celles faites aux femmes Gilets Jaunes sur ordre de son gouvernement). Visiblement, seule la crainte d’empiéter sur quelque copyright nous a évité un Nuremberg, le mâle blanc hétéro, apparemment pas encore assez castré et, faute de statistiques ethniques permettant de déterminer la part allogène des auteurs des décès déplorés, devenant le nouveau Nazi, la bête immonde à abattre. Le gouvernement, incapable (à supposer qu’il le veuille) de lutter contre le chômage ou de réparer les 25000 ponts qui menacent de s’effondrer en France, devait bien trouver quelque chose pour justifier son existence et ses généreux émoluments, si possible en nous divisant sur des sujets sociétaux histoire d’éviter qu’on finisse par se mettre tous d’accord, façon Gilets Jaunes du début, pour se débarrasser une fois pour toutes de cette mafia parasitaire dont on sait désormais que, même si, de par son ridicule, elle peut sembler n’être qu’un sujet de plaisanterie inoffensif, elle est capable, en France, et non plus seulement en Afrique et au Moyen-Orient, de tuer, mutiler, gazer, violenter ses opposants politiques juste pour se maintenir en place et permettre à des De Rugy de s’empiffrer en bande organisée et de vider les caves de l’assemblée à notre santé à moins que, dans un soucis écologique, il n’ait juste anticipé et tenté de remédier à une future surpopulation de homards due au réchauffement climatique.
Saisir la baballe qu’on nous tend sous l’angle de la logique et du bon sens sera perçu, et c’est le but recherché, par toute adhérente à l’idéologie qu’est devenu le féminisme comme une tentative de minimiser le problème et par toute femme qui a souffert dans sa chair de ce genre de pratique comme une insulte. Toujours le même combat de l’émotion, présentée à tort comme marque de notre humanité alors qu’elle est ce qu’il y a de plus animal en nous, contre la raison qui ferait de nous des « monstres » alors qu’elle est justement ce qui nous distingue de l’animal, sachant qu’il est toujours possible d’humaniser, après coup, une décision logique mais jamais de rendre logique une décision « humaine ». Fidèle au « en même temps » Macronien, il semblerait donc que les femmes, qui sauvent l’univers dans les productions hollywoodiennes et qui terrassent des gars trois fois plus gros qu’elles en talon aiguille et sans ruiner leur vernis à ongle, soient certes les égales des hommes, mais que les violences qui leur sont faites soient plus graves que celles qu’elles infligent car, c’est bien connu, les hommes ne se prennent jamais le contenu bouillant d’une poêle ou d’une casserole en pleine face et j’ai rêvé tous les objets plus ou moins oblongs ou tranchants qui m’ont été jetés, dans un périmètre dangereux, par de néanmoins charmantes personnes irritées par les difficultés que j’avais, durant mes jeunes années, comme (même si ça n’excuse rien) la plupart des musiciens, avec le concept de monogamie. La violence pouvant par ailleurs ne pas être forcément physique et quand, à la fin d’un repas, on vous sort, en vous posant le paquet de mort aux rats sur la table : « c’était bon ? », même si, au cas particulier, c’était du bluff, croyez-moi, ça fait drôle. Et je passe sur le harcèlement moral et l’instrumentalisation des enfants qui peuvent pousser certains hommes au désespoir. Tout ça pour dire que, comme le montrent les statistiques sérieuses, c’est plutôt fifty-fifty et qu’il y a deux faces à la pièce, aussi déplorables l’une que l’autre. En outre, même si le fantasme nourrit les téléfilms de série B américains, il est plutôt rare que le parfait gentleman se transforme du jour au lendemain en un individu violent. Généralement, si elles sont honnêtes, beaucoup de femmes admettent que le côté bourrin et sanguin de leur conjoint s’était déjà manifesté au début de la relation et qu’au lieu de tourner les talons elles ont été séduites ou sécurisées par la chose qui, lorsqu’elle se retourne contre elles, n’est alors (sans pour autant l’excuser et à l’instar de ces hommes qui se font avoir pour n’avoir focalisé leur attention que sur certaines parties charnues de leur conjointe) que la conséquence d’un manque évident de discernement dans le choix de leur partenaire sachant, chose qui n’a pas pu leur échapper au bout d’un moment, que, généralement, ces hommes sont de faux sanguins et, contrairement à des hommes virils qui n’hésiteront pas à rentrer dans le lard de n’importe qui et n’ont pas de ressentiment refoulé, eux se contrôlent très bien face à plus fort qu’eux, se défoulant seulement sur les plus faibles. De plus voter de nouvelles lois dans un monde qui s’effondre et dans lequel, en attendant le retour à la loi de la jungle, la sécurité basique des citoyens, tous sexes confondus, n’est plus assurée, c’est un peu comme mettre un panneau « interdit aux mouches » au lieu d’installer une moustiquaire.
Passons également sur la réforme de la fonction publique censée nous vendre l’idée que nos problèmes viennent du statut de nos fonctionnaires (qu’on s’ingénie par ailleurs à empêcher de fonctionner pour après dire qu’ils sont inefficaces et qu’il faut privatiser) et que le fait de les remplacer, sans toucher aux causes, par des précaires, détruisant ainsi, au passage, la seule niche d’emploi officiellement et honteusement réservée aux Français, serait , par je ne sais quel tour de passe-passe et selon la même logique consistant à privatiser les aéroports de Paris, de nature à améliorer la situation.
Je ne peux donc qu’encourager, sans illusions, mais l’espoir fait vivre, tous ceux qui ne sont pas contents et qui le peuvent à monter à Paris (sans Gilet Jaune) le 14 juillet histoire de chanter la sérénade à Macron à la face du Monde sachant que tout sera fait pour que la populace soit maintenue à distance des caméras des médias dominants.
Sur ce, j’ai le bas du dos qui commence à tirer et je retourne donc à ma convalescence, le but de cette vidéo étant principalement de vous informer que j’ai beau n’être qu’amour et petites fleurs et avoir la chance de n’avoir jamais eu à haïr personne, pendant que je mettais à profit cette pause forcée pour sous-titrer mes anciennes vidéos qui ne l’étaient pas, je me suis rendu compte que certaines avaient été censurées à l’insu de mon plein gré. L’eau monte donc à toute vitesse. J’ai donc, et ça fera plaisir à ceux qui me le demandent depuis longtemps, retranscrit la totalité de mes textes sur un vieux blog que j’ai réactivé pour l’occasion. Le nombre de vidéos étant considérable, j’ai automatisé une partie du boulot avec des macro-commandes et des scripts, donc je n’exclus pas que vous trouviez quelques coquilles de-ci, de-là. Vous trouverez le lien dans la description ainsi que celui de mes chaînes secondaires que je vous conseille de noter quelque part sachant que, si cette chaîne était supprimée, avant de passer à autre chose, je ferais une synthèse écrite, en PDF, afin, pour ce que ça vaut, qu’il subsiste une trace à l’intention de ceux qui seraient intéressés et que, grâce à ces liens, vous puissiez la récupérer.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

samedi 6 juillet 2019

🎵 CON à voter Macron 🎶 Chanson Inédite (18 juin 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/-TWWNs56ois


Chanson originale

Couplet 1 :
Si parce que t’es pas dans la merde
Tu crois que ça t’arrivera pas
Et que tant pis pour ceux qui perdent
Zavaient qu’à faire comme toi
Comme t’a de l’eau que jusqu’aux genoux
Alors les autres tu t’en fous
Laisse-moi te dire mon mignon
Que t’es con à voter Macron
Tu crois qu’ça va durer 10 ans
On croit toujours qu’on a 10 ans
Que faire entrer tous ces migrants
N’impacte pas tes placements
Si tu te moques de ton pays
Tant que tu te crois à l’abri
N’implore pas sa protection
Car t’es con à voter Macron

Refrain:
Danse, danse avec Macron
Brade, brade ta nation
Mate sa dissolution
Son pillage jusqu’au trognon
Danse, danse avec Macron
Accueille l’immigration
Profite des promotions
Et présente ton croupion

Couplet 2 :
T’as peur de la démocratie
Les gens sont trop cons, tu te dis
Plutôt confier sa destinée
À une horde de banquiers
C’est sûr t’es pas un Gilet Jaune
Toi t’es quelqu’un, eux c’est personne
Je te laisse à tes illusions
Car t’es con à voter Macron
Si t’as peur de la peste brune
Que tu cherches au loin dans les dunes
Si t’as peur d’être antisémite
Pendant que le pays fait faillite
Si l’écologie te passionne
Tant que tu gardes ton smartphone
Je peux te dire mon garçon
Que t’es con à voter Macron.

Refrain

Couplet 3 :
Si t’a l’écriture inclusive
La guerre des sexes en perspective
Si les magouilles de ces rapiats
Comptent moins que le patriarcat
Et si après chaque attentat
Pas d’amalgame est ton Mantra
On détourne ton attention
Car t’es con à voter Macron
Si tu ne sais pas d’où tu viens
Si tu ne sais pas où tu vas
Et que pour toi ça ne fait rien
Tant que tu vas au cinéma
Si tu laisses l’état décider
De ce qu’il est correct d’écouter
Un jour tu paieras l’addition
Car t’es con à voter Macron

Refrain (bis)

Réflexion décomplexée sur des sujets qui fâchent (12 juin 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/fpckohHv5_4


Bonjour!
Que la France ne soit pas en mesure de permettre à chaque Français d’y vivre décemment est à peu près aussi normal qu’une poussée d’acné juvénile sur les fesses, qu’on imagine un poil déshydratées et pileuses, de Brigitte Macron. Désolé pour l’image mentale, moi-aussi ça va me hanter. Climat tempéré, richesse du sol, eau abondante, faible densité de population, QI moyen élevé (hors période électorale), jusqu’à il y a peu, relative homogénéité ethnoculturelle préservant des conflits internes insolubles afférents au multiculturalisme, héritage culturel et technologique, population industrieuse à forte productivité, génie français, dissuasion nucléaire, 5e puiss... non ça c’était avant Sarkozy, 6e puiss… non ça c’était avant Hollande, 7e, 8e ? puissance mondiale ? En tout cas plus que le Liechtenstein… Comment se fait-il donc qu’après avoir théoriquement gagné au loto du seul fait d’être nés là, ce qui devrait au moins faire de nous les privilégies qui se goinfrent dans la salle à manger du Titanic qu’est devenue la planète, la seule partie de cette corne d’abondance que beaucoup de gens connaissent c’est la pointe laquelle commence à furieusement leur chatouiller les amygdales après un détour douloureux par l’intestin grêle ? Tout simplement parce que nous sommes spoliés par le haut et par le bas et, faute de liberté d’expression, dans l’impossibilité conceptuelle collective de voir le problème dans sa globalité, ni de le dénoncer sans être obligatoirement des haineux racistes, antisémites, polyphobes et cannibales.
D’ailleurs, à ce propos, YouTube venant d’intensifier sa politique de lutte contre la haine, je précise que vous n’en trouverez pas ici et que je souhaite qu’il soit bien acté que si, en raison d’une interprétation totalement erronée de mes propos, il vous venait l’idée saugrenue d’occire quelqu’un, fût-il une nuisance jupitérienne, je préconise au contraire de le faire avec beaucoup d’amour, en l’étreignant très fort par exemple. Mais bon, revenons à nos mougeons. L’économie de marché n’est pas mauvaise en soi, mais livrée à elle-même, elle n’est rien d’autre que la loi de la jungle, faussée de surcroit, en pseudo démocratie, par le fait que ceux qui squattent le haut de la chaîne alimentaire ne sont pas tenus par les lois et restrictions qu’ils imposent aux autres au nom de l’égalité et avec lesquelles ils se torchent les hémorroïdes, l’article 68 de la constitution qui permet théoriquement de destituer Macron étant visiblement en compétition avec le triple ouate de cellulose les jours où il y a chili con carne à la cantine de l’assemblée. C’est un peu comme si les lions, inspirés par notre premier sinistre installaient des radars tourelles en pleine brousse et limitaient la vitesse à 10 km à l’heure et que toute antilope qui ferait remarquer que lesdits lions ne respectent pas eux ladite vitesse quand ils chassent se voyait alors cordialement invitée à pénétrer seule dans la tanière pour faire part de ses doléances et se faire expliquer la démocratie. Du coup, poussé par le moteur pervers du profit et par l’idéologie, car c’en est une, de la croissance perpétuelle, le marché envahit des secteurs où il n’a rien à faire. Peu importe le bénéfice financier, même si on trouvera toujours des cons pour échanger un rein contre un iPhone, un corps sain mené par un esprit sain ne se défait pas de son pancréas sous prétexte que c’est plus rentable de le vendre et d’importer de l’insuline. Pourtant force est de constater que tous les organes sont non seulement vendus mais bradés sauf le sphincter anal qui lui est carrément offert car déjà trop abimé pour valoir quelque chose. Mais surtout, le bénéfice est à court terme et si les conséquences, désastreuses sur la durée, pèsent sur les épaules de la population autant que le genre masculin du mot vagin sur le néant occipital féministe de Marlène Schiappa, le produit de la vente et les profits sur la dépendance induite, alimentent un système maffieux au bénéfice de 1% de cancrelats, fruits de nos tares collectives et  protégés, en échange de commissions diverses et de miettes confortables, (ou non dans le cas de la police) par une armée de laquais et de politiciens, contre toute tentative populaire de s’immiscer dans leur business. Et la meilleure façon d’empêcher les gens de mettre leur nez quelque part c’est de répandre du répulsif. Ça marche bien contre les chats qui, sociétalement plus avancés que nous, prennent votre potager pour des toilettes publiques inclusives et unisexes.
Pour ce qui est du pillage par le haut, ce répulsif c’est l’antisémitisme. Quelques gouttes suffisent même si un phénomène d’accoutumance conduit à devoir augmenter les doses. Moi je le prends en suppositoire. Il est bien évident, comme disait Saint François des Sales que partout où il y a de l’homme, il y a de l’hommerie et que même si le peuple « élu » avait perdu l’élection, dans ce système, même sans eux, il y aurait toujours un 1% de privilégiés ; donc , les montrer du doigt en tant que juifs, d’autant plus qu’il ne s’agit là que d’une élite absolument pas représentative de coreligionnaires qu’elle n’hésite pas à mettre en danger par son comportement, est intellectuellement absurde ; pour autant, il est incontestable, que pour X raisons, il y a une disproportion statistique de juifs en haut de la pyramide, lesquels se revendiquent ouvertement en tant que tels affirmant que cela impacte tous les aspects de leur existence. Dans ces conditions, et c’est un peu le but de la manœuvre, impossible de critiquer ce qu’ils font ou ce que fait le 1% dont ils ne sont qu’une partie sans que cela ne soit retourné comme une attaque contre ce qu’ils sont ou croient être. Critiquer des idées ou des concepts c’est facile, ça ne mange pas de pain et tout le monde s’en fout, même Hollande a eu sa seconde de gloire, entre deux croissants, avec son ennemi la finance « sans visage ». Pour une critique efficace et dangereuse, en revanche, il faut montrer du doigt les gens qui se cachent derrière le rideau et citer des noms, mais critiquer, par exemple, un banquier juif dans un monde post-shoahtique, même si factuellement il est juif et banquier, de par les sous-entendus qu’on verra dans le fait d’accoler les deux, est devenu une impossibilité, susceptible de tomber sous le coup de la loi. Pour s’acheter un certificat de non-antisémitisme, sans lequel on a autant de chance de survivre dans le Landerneau médiatico-politique qu’un loukoum en fin de ramadan, il est même vivement recommandé d’être sioniste, concept qui en France a autant de raison d’être que le pangermanisme ou l’atlantisme : si vous faites passer un autre pays avant le nôtre allez vivre là-bas et on en reparle quand après avoir apprécié les délices de la mère patrie, vous reviendrez la queue entre les jambes, ce qui quand on est circoncis peut être douloureux, comme la majorité des naïfs qui font leur aliyah. Toujours est-il que cela donne un marqueur intéressant permettant d’identifier de probables défenseurs, conscient ou non, volontaires ou non, de la partie haute de la tenaille qui nous écrase.
En sus du répulsif, pour que cette spoliation par le haut puisse s’effectuer tranquillement ça ne gâte pas de distraire la plèbe en désignant un bouc émissaire à l’autre bout du spectre, à savoir l’immigration. Attention, bouc émissaire ne veut absolument pas dire innocent, surtout au cas particulier, et ladite immigration constitue ainsi la deuxième partie de la tenaille : la ponction des ressources par le bas, notamment de ce qu’il reste de notre protection sociale, de sorte que celui qui attend depuis 10 ans une place en HLM et se voit griller la priorité par de nouveaux arrivants aura tendance à tourner vers eux sa légitime colère plutôt que vers la spoliation par le haut. Cette immigration a ses propres moteurs et ses propres intérêts politiques poussés par certaines puissances étrangères ce qui fait que ceux qui l’ont encouragée ont en quelque sorte mis le feu mais n’ont qu’un contrôle limité sur comment il se propage et certains commencent à serrer les fesses en voyant lesdites flammes leur lécher la kippa d’un peu trop près, d’où un regain soudain de nationalisme de certaines élites médiatiques, souvent ancien soutiens de « touche pas à mon pote » contre l’invasion islamique qui menace notre civilisation soi-disant « judéo » chrétienne. Comme pour la spoliation par le haut, un répulsif est nécessaire pour tenir à distance le bon sens populaire et l’empêcher d’analyser l’escroquerie qui, elle aussi, génère beaucoup d’argent et fait vivre son lot de parasites au sein d’associations subventionnées. Dans ce cas, le répulsif c’est le racisme et l’islamophobie. Bon, là j’ai pas trouvé en suppositoire. Pourtant le problème de l’immigration, ce n’est pas tant la race (qu’on n’a jamais autant évoquée que depuis qu’elle n’existe plus officiellement) ou la religion que tout simplement le fait qu’elle est potentiellement infinie alors que nos ressources elles ne le sont pas. Il n’en demeure pas moins que, dépassé un seuil, elle modifie un substrat forgé par le temps pour être le mieux en adéquation avec son environnement, de même que le colonialisme, initié je le rappelle par la gauche dans le but louable d’apporter la civilisation aux peuples « inférieurs », sans demander leur avis à ceux qui à l’époque labouraient leur champ dans la Beauce et qui n’y sont pour rien, a perturbé des systèmes auto-régulés par la nature et les maladies, évitant peut être à Rokhaya Diallo de se faire bouffer par un lion misogyne et au lion des dommages irréparables à son système digestif.
L’immigration de masse, par nature, est toujours toxique pour les autochtones, même l’immigration espagnole, que je connais bien, un de mes grands-pères ayant terminé sa vie en prison outre-Pyrénées pour ses opinions politiques. Cette immigration, pourtant à priori de culture et d’ethnie relativement similaire et qui s’est parfaitement assimilée, en important massivement des « rojos », c’est-à-dire souvent des communistes irrécupérables car traumatisés qui ont transmis le gauchisme à une partie de leur descendance, a contribué à faire pencher l’équilibre politique de notre pays dans la mauvaise direction conduisant à Mitterrand, durcissant les œillères politiques des syndicats, nous fournissant des Manuel Valls et autres Anne Hidalgo ainsi que le « mini-moi » de Castaner qui assume n’avoir aucun regret sur les mutilations des Gilets Jaunes. Pourtant, même si les effets délétères de l’immigration ne sont donc que potentiellement aggravés par les différences ethnoculturelles mais pas dépendants d’elles, on nous vend que vouloir limiter l’accès à nos ressources à nos seuls ressortissants, c’est du racisme et pire, dans un pays où la religion officielle est la laïcité, alors que l’Islam ne représente qu’une partie de l’immigration, contrôler ses frontières devient islamophobe. Là encore, comme pour la critique de la spoliation par le haut, on rend volontairement impossible, par la confusion, la dissociation de l’immigré en tant qu’immigré et de l’immigré pour ce qu’il est. Pour ne pas être traité d’islamophobe et de raciste et se couper du ventre mou d’électeurs nourris à BFM TV sans lesquels aucune majorité électorale n’est possible dans un système à deux tours, il faut donc là-aussi en rajouter ; comme Benoît Hamon, aller bouffer un Kebab à Bézier en plein Ramadan ou comme Juan Branco intenter un procès à l’UE pour n’avoir pas empêché le refoulement de migrants en Turquie. On a donc notre second marqueur pour la spoliation par le bas, deuxième branche de notre tenaille et permettant d’identifier les faux amis de gauche. S’agissant de 2 marqueurs différents on comprend mieux, alors que le novice pourrait y voir un pléonasme, qu’on prenne la peine de toujours préciser « lutte contre le racisme ET l’antisémitisme » et on comprend mieux également pourquoi dans un monde où tout est une priorité du gouvernement c’est « plus » prioritaire que la lutte contre le chômage.
Pour ne pas compliquer je n’aborde pas tout ce qui est imposé à la population pour la diviser et l’affaiblir en l’éloignant des vrais problèmes et des centres de pouvoir comme l’idéologie LGBT, ou la surcouche de l’union européenne qui n’est qu’un outil au service d’intérêts qui préexistent et lui survivront, pour les naïfs qui croient qu’une sortie, même si souhaitable, résoudrait mécaniquement les problèmes et que le combat se situe à ce niveau. Donc une fois que le piège est refermé on se retrouve avec une offre politique biaisée avec d’un côté le RN devenu sioniste par parricide mais à fond contre l’immigration, de l’autre une gauche post-Mélenchonienne purgée des dissidents nationalistes, antisioniste tant que ce n’est pas antisémite (ce qui par les temps qui courent est une gageure) mais résolument immigrationniste et, au milieu, les poulets sans tête d’en marche qui, pour le coup, comme dirait Audiard sont une synthèse, tremblant de façon asselinienne à la perspective d’être soupçonnés de racisme ou d’antisémitisme et soutenant ardemment les 2 branches de la tenaille.
J’ai pensé un instant que les gilets jaunes auraient pu être le chaînon manquant luttant enfin contre les deux aspects ou pour la France, ce qui revient au même, et il s’en est fallu de peu, avant que les frileux du politiquement correct et du respect des règles ne les canalisent vers les modes d’action bridés et inefficaces de la gauche et des syndicats. Quand on réalise qu’aucun des 3 points clés de la Charte Jaune supposée servir de colonne vertébrale à une mutation vers la sphère politique n’est l’immigration et encore moins la liberté d’expression totale des opinions, pourtant mère de tous les combats qui se veulent démocratiques, et qui commence par l’abrogation des lois Gayssot et Pleven, cet espoir s’étiole, d’autant plus que, surtout en France, aucune solution n’est possible par les urnes. Pire, le fait que Macron ait cyniquement fait crever des yeux pour rafler les voix des électeur LR qui ne pensent qu’à protéger leurs sous et se voient rassurés par autant de zèle à mater les gueux, a payé. Pour autant le gouvernement et les médias qui, de façon concertée, parlent déjà au passé du mouvement ont peut-être sifflé un peu vite la fin de la récréation. Le génie du système c’est non seulement d’arriver à faire croire à la majorité qu’elle est minoritaire, mais de lui faire croire qu’elle a perdu et de la faire abandonner quelques mètres avant la ligne d’arrivée. Il n’y a aucune raison de succomber à ce défaitisme organisé sachant que c’est justement pendant la période estivale que l’état, déjà au bout du rouleau et à court de marges de manœuvre, est le plus faible et désorganisé. Les CRS seront lourdement handicapés par leur barda en pleine canicule et vivront très mal, en plus de s’être fait sucrer leurs week-ends durant l’année, d’être privés de vacances ; d’autant que, parallèlement, les plus belliqueux vont commencer à réaliser qu’ils vont être jetés comme des kleenex et envoyés en masse comme autant de lampistes devant les tribunaux. En outre, l’afflux de touristes, qu’il serait mal venu de dégommer accidentellement au LBD, démultiplie la visibilité médiatique de toute action, notamment à l’international. Ne pas pouvoir se payer de vacances devient alors un avantage tactique considérable.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

Européennes : Macron 1 France 0 (29 mai 2019 )

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/TX2BEVuqxF0


Bonjour!
Il était temps que le vaudeville des européennes s’achève car une nuit j’ai carrément rêvé de Nathalie Loiseau. Je ne me rappelle pas exactement ce qui s’est passé mais je sais qu’elle répétait en boucle « oh, my GUD ! » « oh, my GUD ! » et que quand je me suis réveillé, j’étais en sueur et qu’il y avait des plumes partout. Bon ça c’était parce que j’avais déchiré mon oreiller avec les dents, en tout cas j’espère que c’était avec les dents. J’avais peur d’avoir réveillé ma femme parce que je voyais mal comment lui expliquer la chose sans détruire irrémédiablement le peu d’illusions qu’elle se faisait encore à mon sujet, mais fort heureusement elle était toujours dans les bras de Morphée. Je reprenais doucement mes esprits quand tout d’un coup elle a commencé à parler en dormant : « ô François, François », avant de se mettre à hurler « Frexit ! Oh oui, frexit, frexit ! ». C’est à ce moment-là que je me suis réveillé pour de bon. En tout cas j’espère, même si cette réalité dystopique me ferait presque regretter mes ébats aviaires sublimés.
Pour l’UPR la logique a prévalu et après quelques semaines de nuages de sauterelles s’abattant sur les commentaires et qui, comme pour les présidentielles, s’énervaient quand je leur expliquais qu’elles étaient dans une chambre d’écho qui les coupait de la réalité, encore une fois, il a fait les scores que j’avais prédits, pour les raisons que j’ai expliquées. Bien sûr, sans ça ce ne serait pas l’UPR, il n’en tirera aucune leçon alors même qu’il a fait deux fois moins de voix que le parti animalier, pourtant tout récent et encore moins présent dans les médias, qui s’est contenté de faire des affiches avec dessus un chien à la tronche en biais, canidé, je l’avoue, fort sympathique quand on voit la gueule de tous les autres. On n’est plus très loin du concept de la chèvre qu’avait théorisé Dieudonné, lequel un temps encourageait à voter biquette. D’ailleurs si Asselineau adoptait ladite biquette on pourrait enfin espérer avec la chèvre de Monsieur, ce gain de voix tant attendu et qui n’arrive jamais même s’il pourra arguer compte tenu de l’augmentation microscopique de son score, imputable en partie à l’effet Chouard, que trois fois rien c’est déjà quelque chose. Encore une fois, je n’ai rien contre lui, ça m’énerve juste de voir gâcher un bon concept par une mauvaise approche et une absence totale d’analyse sociologique conduisant à faire tourner à vide depuis 12 ans des intelligences et une énergie qui pourraient être mieux employées dans la vraie vie.
Mais bon, passons aux choses sérieuses qui elles, m’énervent encore davantage. D’autant plus qu’en dépit de ma pourtant relativement longue expérience, soucieux de ne pas sombrer dans le cynisme absolu, je n’ai pas fait mieux en m’autorisant à caresser un petit espoir avec l’émergence des gilets Jaunes. Mais il devient difficilement contestable que le système parvient à fabriquer des cons à un rythme supérieur à celui auquel il en perd de par les conséquences pourtant désastreuses de ses politiques, ce qui est catastrophique dans une course contre la montre. J’ai toujours dit et largement expliqué pourquoi je considère la France comme un élément essentiel pour espérer sauver l’humanité de l’autodestruction et, au-delà, pour que cela présente un intérêt de la sauver et que si Macron termine son mandat et qu’on ne parvient pas à casser le système électoral d’ici là, on est cuits. On peut certes relativiser en se disant que c’est Castaner qui a compté les voix et que, étant donné comment il compte les gilets Jaunes, ça reste sujet à caution, mais ça fout quand même un sacré coup au moral de réaliser qu’après avoir défilé pendant 6 mois avec des pancartes « Macron démission », on se retrouve avec un écart de 0,9 points entre le RN, qui était le seul choix stratégique pour déstabiliser ledit Macron, et la république en Marche. Un écart aussi infime que la distance sporadique entre un gland basané lubrifié de sueur tropicale et l’antépénultième repas de notre décalaminé président, écart auquel il n’accordera pas plus d’importance quand il tirera la chasse. Pire, en parallèle, le report de certains gilets jaunes, dont le fait qu’ils donnent l’heure juste deux fois par jour comme une pendule arrêtée peut donner l’illusion qu’ils ont compris quelque chose, quand il ne s’est pas fait sur la gauche, s’est fait sur des écolos pastèques, verts dehors et rouge dedans, qui ont autant à voir avec l’écologie, qui déjà à la base est un concept foireux, qu’un bailleur de fond avec un type qui fait la sieste dans un sous-marin. Des immigrationnistes forcenés même pas perturbés dans leurs convictions par le fait que chaque migrant qui arrive multiple automatiquement son indice carbone à minima par 40, voire 4000 s’il devient rappeur et millionnaire en appelant à niquer la France. Dire qu’il a suffi d’un peu de propagande derrière une fausse demi trisomique, en fait issue d’une famille très influente et connectée dans les milieux mondialistes, pour que la jeunesse Européenne se mette à marcher en Nike et vêtements de marques, comme autant de zombie, pour « le climat », lequel climat n’en a strictement rien à foutre, d’autant qu’il suffirait de leur faire remarquer qu’une action concrète et efficace serait de renoncer à leur putain de smartphone et de leur annoncer que toute journée de classe perdue à manifester sera rattrapée pendant les vacances scolaires pour qu’ils se cherchent une autre cause aussi vite qu’un manuel Valls retourne sa veste ce qui, ne boudons pas notre joie, ne lui a pas empêché de se prendre la déculottée du siècle aux municipales à Barcelone.
En outre le véritable danger n’est pas le réchauffement climatique, à supposer qu’il soit d’origine humaine, et encore moins le carbone dont on va manquer dans quelques milliers d’années quand il aura été absorbé par les minéraux, mais le nucléaire, les pollutions pétrochimiques irréversibles et les invasions migratoires qui réduisent nos chances de maintenir une civilisation hautement technologique qui a certes hypothéqué notre survie mais qui paradoxalement est devenue indispensable pour espérer trouver des solutions aux bombes à retardement que représentent entre autres et sans tenir compte de tout ce qu’on nous a caché, les déchets toxiques et nucléaires enterrés et immergés un peu partout il y a quelques décennies dans des containers censés tenir … quelques décennies, sachant en outre que Fukushima a encore le potentiel de tous nous éradiquer, que certaines centrales dans des pays qui n’en ont plus les moyens sont réparées au chatterton, qu’on ne sait pas quoi faire de toutes celles qui arrivent en fin de vie et que les tonnes de béton déversées sur Tchernobyl ne sont qu’un pansement provisoire. Ce ne sont pas des voitures électriques, des toilettes sèches et un peu de permaculture au fond de son jardin qui vont régler le problème. C’est un peu comme Nicole Belloubet qui se met une jolie robe et se fait les ongles, ça ne peut pas nuire mais même dans un quartier sensible à 3 heures du matin ça ne fera pas une grosse différence…. Résultat Macron qui a entendu les « préoccupations » des Français va pouvoir, cerise sur le gâteau, surfer sur la vague écolo, pour taxer à tour de bras les émissions de carbone et le diésel.
Un merci tout particulier aux plus de 65 ans qui pour le remercier de ses ponctions sur leur CSG, quand ils n’ont pas voté écolo ont massivement voté LREM à plus de 35%. Macron est à la fois le fossoyeur de la France et le point faible du système, malheureusement plus l’échéance de 2022 s’approche plus l’inertie et l’idée du « bof, pour le temps qui reste ça ne vaut plus le coup » augmentent. Cette occasion était la dernière qui pouvait le fragiliser suffisamment pour, en poussant un petit coup derrière, obtenir un résultat sans avoir à verser le sang. Dans un autre Pays, ce ne serait pas forcément un problème insoluble mais en France, déjà affaiblie par un fond de catholicisme dévoyé, le mal est profond et nous sommes irrémédiablement castrés par le fantasme du « aimons-nous les uns les autres » et de « l’humain d’abord » qui altère tous nos raisonnements et notre logique. De même qu’on ne tirera jamais sur les migrants et qu’on n’éliminera jamais de façon systématique les cambrioleurs et autres pickpockets comme les cancrelats qu’ils sont, rendant insolubles des problèmes qui pourraient être éradiqués en quelques semaines, sous réserve de laisser les frontières ouvertes dans le sens de la sortie pour qu’ils puissent aller voir ailleurs, personne n’est prêt à une vraie révolution laquelle ne sera jamais validée par une décision collective tellement on nous a inculqués que la violence c’est le mal et qu’elle doit-être évitée à tout prix.
L’amour universel ça n’existe pas. À la rigueur Dieu en serait capable même si on voit mal comment un dieu qui éprouve des besoins et des sentiments pourrait-être parfait et donc répondre à la définition. On ne peut pas aimer sans raison même si on ne la perçoit pas toujours et le seul fait d’être humain n’en est pas une suffisante. A la base on aime nos parents parce qu’ils nous protègent, nos enfants parce que ce sont NOS enfants et les enfants en général parce qu’ils ne représentent pas une menace. Ce que l’humain recherche c’est la sécurité et ce qui a uni les gilets jaunes et a fait bouger les foules, c’est le portefeuille qui représente la matérialisation moderne de ladite sécurité et pour certains la nation qui en est une autre forme, pas l’amour universel. Que les gilets jaunes aient redécouvert la solidarité c’est une bonne chose car sans lien social on ne pourra pas survivre dans le monde qui s’annonce, mais la solidarité est le contraire d’universelle, elle est par nature sélective et c’est juste un moyen, certainement pas un but. On met la charrue avant les bœufs si l’on considère que c’est l’amour du prochain qui va construire un monde meilleur concept par ailleurs totalement subjectif et qui ne veut rien dire alors que notre seule chance c’est de construire un monde suffisamment sûr pour que l’amour du prochain, ou à défaut une neutre bienveillance, y soit possible.
J’écoutais l’autre jour le rond-point 2.0, tapez sur YouTube vous trouverez, l’adresse étant tournante, réunissant un certain nombre de youtubeurs Gilets Jaunes que j’apprécie beaucoup et qui se bougent vraiment les fesses pour faire avancer les choses concrètement. Ils ont même créé une télé Gilets jaunes, je vous mets le lien, et une foule d’outils pour démarrer des projets collaboratifs et construire du lien social. Mais pour autant, je ne m’y reconnais pas du tout. Là où l’on diffère, et j’espère me tromper, c’est que si constituer des réseaux et monter le niveau général sont des choses indispensables dans une stratégie à long terme, je pense pour ma part qu’on n’a plus le temps pour ce genre de stratégie et que même si la partie d’échec peut durer encore quelques temps, les coups déjà joués ont largement limité les issues possibles. Par ailleurs il me semble contre-productif que les Gilets Jaunes se focalisent sur leur nombril et travaillent à devenir une entité que par nature ils n’ont pas vocation à être sans perdre leur essence même. Je ne me place pas non plus dans une optique survivaliste qui n’a aucun sens sans la perspective d’un monde viable à long terme ou du maintien d’une civilisation capable de le réparer ou à défaut de nous transporter ailleurs. Donc gérer la misère par la solidarité et un peu de permaculture dans un monde qui s’effondre, ce n’est pas mon combat. Du coup, cette uniformité du logiciel bon enfant, au moins en façade, dans lequel s’englue le mouvement, perception renforcée par un Dieudonné qui vend, littéralement, des gilets à l’effigie de jésus, crée un entre-soi dogmatique auquel on est supposé adhérer et qui aura forcément un effet répulsif, notamment vis-à-vis de ceux qui, considérant que c’est probablement la chose la moins rare sur la planète, même s’ils prétendent le contraire, se foutent de l’humain sauf quand c’est eux, mais pas de leur portefeuille. Or on a besoin de foules pour arriver à quelque chose et ceux-là on ne les fait pas bouger par les bons sentiments, mais par la peur. Macron l’a bien compris en faisant en sorte qu’ils aient peur des Gilets-jaunes lesquels seraient bien inspirés de travailler à inverser les rôles et à vendre aux non Gilets Jaunes, ce qui est d’ailleurs parfaitement vrai, que c’est Macron la menace. Le problème est que rivés sur des vidéos à la con et des réseaux sociaux en circuit fermé, cette cible, toujours sous la coupe, même indirecte, des médias traditionnels, est hors d’atteinte des médias alternatifs par ailleurs de plus en plus muselés et dont on érode jour après jour la capacité de nuisance.
Bref, sous peine de devenir un nouvel UPR, les gilets Jaunes feraient bien de remettre leurs idéaux au vestiaire, de regarder en face l’urgence de la situation et de décider si oui ou non ils font la révolution.
A ceux qui vont immanquablement me dire derrière leur clavier que j’ai beau jeu de dire ça depuis mon bureau devant une caméra, je rappelle que justement, je montre ma gueule et que je prends des risques tant professionnels que personnels, sans rien gagner en retour car je n’ai pas de teepee et que cette chaine n’est pas monétisée. En outre prétendre, en tombant dans le mal du siècle consistant à focaliser sur qui parle plutôt que sur les arguments qu’il avance, qu’il faut avoir au moins perdu un œil et une main pour parler des gilets jaunes revient à dire qu’un gynécologue homme n’est pas pertinent dans son diagnostic parce qu’il n’a pas de vagin, je m’étonne d’ailleurs que Marlène Schiappa ne dénonce pas encore la chose, mais ça ne saurait tarder.
Avant d’oublier, un grand merci à tous car les 20 000 abonnés ont été atteints ce qui tient de l’exploit si l’on considère que mes vidéos, de par la liberté que m’accorde un travail totalement bénévole n’ont pas besoin de caresser une clientèle dans le sens du poil et sont volontairement calibrées par des phrases longues, un débit rapide et des idées complexes pour viser la qualité en matière d’audience plutôt que la quantité, sachant par ailleurs que, contrairement au credo délétère d’une idée à la fois, chère aux communicants et aux publicitaires, les phrases longues à tiroir, par les nuances qu’elles permettent sont le seul moyen pour aller au bout de ce qui nous reste en terme de liberté d’expression sans tomber dans le piège de l’auto-censure. Au fil du temps j’ai repéré pas mal de pseudos, désormais familiers, dans les commentaires, certains qui me suivent depuis le début de l’aventure, d’autres dont j’ai pu apprécier la qualité des propos, des liens partagés ou les marques de soutien, ainsi que ceux qui pas d’accord avec moi sur tout ou partie de ce que j’avance et avec qui j’ai pu avoir des débats musclés, m’ont fait l’amitié de rester, considérant cette chaîne pour ce qu’elle est, une tentative d’éclairage de ce qui se passe par des arguments logiques qui ne demandent qu’à être examinés par des esprits critiques et ne prétendent pas détenir la vérité. Je rappelle que je ne censure ni les liens ni les commentaires. Quand on est le seul dans son environnement à trouver bizarre que les gens se baladent avec un entonnoir sur la tête et une plume dans le sphincter anal, on finit par douter de sa santé mentale, donc si j’ai pu rassurer certains sur ce point j’en suis heureux d’autant plus que c’est réciproque. Toujours est-il que ces vidéos me prennent un temps que je n’ai pas, que je dois régler un certain nombre de problèmes personnels et de santé qui se sont accumulés et que j’arrive à un stade où je ne vois pas trop ce que je pourrais dire que je n’ai pas déjà dit, ni en quoi, au point où nous en sommes, ça pourrait faire avancer les choses sinon de continuer, de maintenir ce rythme. En outre si je veux aller plus loin, je dois considérer investir dans du nouveau matériel qui me ferait au moins gagner un temps précieux. Je vais donc probablement lever un peu le pied le temps de souffler et de décider de la marche à suivre. Merci encore à tous pour votre soutien et vos encouragements et à bientôt…  j’espère.

Satan, sors de ce corps! (17 mai 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/wg752299Qeo


Bonjour !
Vivement que la pantalonnade électorale s’arrête car la seule marge de manœuvre qui reste à Nathalie Loiseau pour battre son propre Guinness en matière de connerie au risque de susciter l’apparition d’une nouvelle théorie en physique quantique autour de son spin politique serait de se faire suspendre à un filin et d’arriver en planant sur l’estrade en tenue d’Eve et avec une plume rose dans le trou de balle, pour finalement atterrir, sous les vivats de la foule, sur un œuf d’autruche peint aux couleurs de l’union européenne, œuf qu’elle couverait jusqu’à la fin de son allocution avant qu’il n’éclose dans un torrent de lumière pour révéler un panzer allemand d’époque prêt pour la blitzkrieg qu’elle prétend vouloir mener contre le Rassemblement National cause de tous nos maux et danger principal qui menace la France et l’univers connu. La seule chose qui nous prive de ce spectacle onirique, c’est probablement qu’elle n’y a simplement pas encore pensé, si l’on considère que les jeunes avec Macron, pour un modeste investissement d’un peu moins de 10 000€ ont osé un jeu vidéo en ligne que je vous mets en lien, style super Mario et dans lequel une version pixelisée dudit volatile à cou pelé au charisme de moule apathique atteinte d’encéphalopathie spongiforme, ne vole pas mais saute, pour tenter, en vain, d’attraper les étoiles de l’union européenne, contre-carrée dans cette quête du Saint-Graal par des monstres à l’effigie de Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et … Donald Trump. La chose s’adressant visiblement à des esprits simples il y a risque majeur de confusion et ledit Donald Trump pourrait conséquemment, sans même être candidat, se voir, du coup, crédité d’un pourcentage non négligeable aux européennes avec, à la clé, des dégâts psychologiques considérables, voire des immolations par le feu si ledit pourcentage venait à dépasser le score de l’UPR.
Toute requête Google sur cette anomalie de casting, aussi à sa place dans une campagne politique qu’une cruche en PVC dans un banquet de Game of Thrones, mais qui a quand même, avec son air con et sa vue basse, ses pantoufles qui l’attendent dans l’hémicycle européen faute de quelques semaines supplémentaires pour parvenir à faire sombrer sa liste sous la ligne de flottaison des 5%, toute requête Google donc, renvoie tellement de bourdes et d’absurdités qu’on est presque gênés de se moquer, un peu comme face à un trisomique aveugle en fauteuil roulant atteint de mucoviscidose. Fidèle au « en même temps » macronien, son désir conjoint et affirmé d’un côté de frontières plus fermées et de l’autre de doubler le nombre de migrants laisse supposer que, dans sa tête de piaf, la finalité des frontières est d’empêcher les gens venus, selon ses propres termes, faire « leur shopping de l’asile » non d’entrer mais bien de partir quand ils réalisent que l’eldorado promis consiste en fait à dormir à 5 sous une tente à Paris et à faire ses besoins entre deux voitures en stationnement, trouvant au moins un usage utile aux tracts de campagne de LREM.
Histoire de remonter cette pente calamiteuse et d’insuffler une nouvelle dynamique, Macron envoie en soutien rien moins que l’inoxydable Cohn-Bendit, faisant se demander à mon esprit complotiste si Nathalie Loiseau ne ferait pas partie de ces petites filles qui le déshabillaient jadis, le traumatisme d’enfance afférent pouvant alors expliquer bien des choses. Et, ce n’est pas tout, pour encourager cette équipe de choc, on a également sorti de la naphtaline l’inénarrable Jean-Pierre Raffarin l’homme qui, après être tranquillement parti en vacances pendant que la canicule de 2003 faisait passer de vie à trépas  19 000 personnes âgées transformées en pruneaux d’Agen lyophilisés, plutôt que de se faire hara-kiri consumé par la honte, a eu la Chutzpah d’en profiter pour jouer sur l’empathie nationale et carrément nous piquer un jour de congé au nom de la « solidarité » avec nos aînés.
Histoire de rajouter une cerise sur ce joli gâteau, certains mauvais esprits se demandent si, au prix de risques supplémentaires inutiles, on n’aurait pas un chouia précipité une libération d’otages histoire la faire correspondre au calendrier électoral, un projet moins bénin que le pays où s’est déroulé l’action, supposée auréoler Macron de la gloire d’avoir donné le go, les hémorroïdes, moins exposées que d’habitude, bien au chaud dans son canapé. Hélas, deux soldats sont décédés durant l’opération faisant capoter tout le plan com, les deux inconscients libérés devenant alors subitement médiatiquement toxiques alors qu’en cas de succès l’homosexualité de ces deux aventuriers partis monter la tente au propre dans des contrées farouches largement déconseillées aux touristes leur aurait valu les faveurs de la presse et du président avec à la clé une invitation probable à la prochaine rave-party élyséenne. Décidément, quand ça veut pas, ça veut pas !
Petite parenthèse à l’attention de ceux qui entre deux jets de vomi seraient tentés par l’abstention et de ceux qui la prônent partant du principe qu’une abstention gigantesque serait la solution pour enlever toute légitimité au système. Déjà même si 90% des électeurs prenaient leur permis de pêche à la ligne, les parasites qui nous gouvernent ne renonceraient pas pour autant à leurs prébendes sans être chassés par la force, ensuite les 90% d’abstention, faute d’effort concerté et coordonné bien en amont, notamment de la part des gilets jaunes, ce ne sera pas encore pour cette fois, c’est une évidence. Il faut dès lors prendre en compte que les abstentionnistes se divisent en deux groupes, d’abord  ceux qui s’en foutent, lesquels représentatifs de l’ensemble de la population, se répartiraient sur l’ensemble du spectre politique si le vote était obligatoire et sont donc totalement neutres électoralement, plutôt scotchés sur Netflix, OCS et les tendances YouTube et qui se préoccupent davantage du foutage de gueule honteux que constitue la saison 8 de Game of Thrones ou de l’eurovision que de la décadence rapide du pays, et ensuite, les écœurés du système et qui eux visionnent encore des vidéos qui font réfléchir et ne voteraient certainement pas pour un Macron qui plus que personne avant lui incarne ledit système. Donc, chaque fois que certains influenceurs poussent quelqu’un qui suit leurs vidéos à l’abstention ou le maintiennent dans cette idée, ils tapent dans ce réservoir-là et favorisent mathématiquement Macron, alors même que, particularité unique de cette élection, il est suffisamment fragilisé pour que de mauvais résultats puissent précipiter sa chute avec, faute d’alternative crédible, la possibilité d’imposer le RIC dans le chaos qui s’en suivra. Le but n’est pas de remplacer Macron par un RN dont il serait naïf d’attendre quelque chose, mais, comme l’a certainement analysé Andréa Kotarac, faisant frôler l’AVC à son ancien Mentor Mélenchon, d’utiliser le RN pour faire tomber Macron, d’autant plus que ça ne mange pas de pain s’agissant d’élections qui ne servent à rien pour une assemblée qui non seulement dans faits, comme d’habitude, mais même sur le papier, n’a aucun pouvoir.
Mais bon, assez parlé des élections dont une des finalités reste de consommer une partie de notre temps de cerveau disponible pour qu’on ne se rende pas compte de ce qui se passe. Et qu’est ce qui se passe exactement ? Il y a plusieurs façons de l’appréhender dont une qui bizarrement se recoupe avec l’eschatologie religieuse. J’en suis arrivé à considérer que, faute de prédateur, l’humanité est programmée avec une sécurité, un mécanisme naturel d’autodestruction qui opère par la folie paranoïaque et l’inversion des valeurs, implanté tant au niveau individuel que collectif et qui trouve ses principales sources d’activation dans les religions les plus anciennes dont notamment le judaïsme et ce qui en découle directement, notamment la maçonnerie, l’islam et le protestantisme évangélique américain. Pour la première, dont j’ai fait partie un peu plus de deux ans le temps de comprendre comment fonctionnait le schmilblick, à l’époque ou Emmanuel macron connaissait certainement ses premiers émois devant la pub Jexfour d’Alice Sapritch, personne de sérieux ne peut nier la filiation, quant au second, ça ne plaira pas à certains musulmans qui vont me dire que c’est faux, mais même sans donner du crédit aux rabbins souvent allumés qui revendiquent la chose explicitement sur YouTube, dur de nier la symétrie entre les hadiths et le talmud, le halal et le cacher, la ségrégation homme-femmes, les distinctions vestimentaires, la circoncision…
Pour comprendre ce mécanisme, cette maladie auto-immune, que les religieux ont tendance à appeler Satan, même si pour ma part n’étant pas croyant, je ne souscris pas au mythe de la bête à cornes aux plans machiavéliques ni à la ligne de démarcation illusoire entre les notions arbitraires de bien et de mal, il suffit d’observer comment fonctionne la maçonnerie. Vous prenez un type normal et vous lui dites qu’il y a un secret et que du seul fait qu’il sait qu’il y a un secret, même si, et pour cause, il ne sait pas encore ce qu’est ce secret, il est désormais différent des autres et pourra être persécuté pour ça. Cela suffit à semer les graines de la paranoïa et à le pousser à se serrer les coudes avec ses « frères » contre l’ennemi potentiel que devient alors le peuple dont il fait pourtant partie, une pomme parfaitement saine générant ainsi son propre ver. Le maçon a alors tendance à substituer à la défiance envers l’étranger qui n’a rien à voir avec le rejet mais est une simple question de bon sens empirique et une affaire de survie, la défiance envers son propre peuple que, comme tout fanatique, il prétend guider vers la lumière, entretenant la folie contemporaine de soutien aux minorités les plus abracadabrantesques, de confusion « littérale » des genres et de destruction de la virilité et de la famille. Tant qu’on parle du secret maçonnique, laissez-moi vous donner ma version, pour ce qu’elle vaut. Imaginons que vous dites à tout le monde, « il y a un trésor dans ton jardin ». Statistiquement, une infimité, en creusant va trouver une amphore romaine pleine de pièces d’or, d’autres s’ils ont creusé un gros trou se diront « finalement, j’ai toujours voulu une piscine, je n’ai plus qu’à bétonner. Le trésor c’est moi et ce que je suis capable d’accomplir sans que j’en ai eu conscience », certains creuseront moins profond et se diront, « tiens, tant qu’à y être je pourrais bien planter des tomates » et ainsi de suite… Pour ceux qui sont plus passifs, on attend quelques années qu’ils aient perdu une partie de leur sens commun dans l’étude d’un symbolisme dévoyé pour leur refiler le package de la pierre philosophale à enterrer eux-mêmes dans ledit jardin, quant à ceux qui malgré leurs efforts n’ont rien trouvé du tout, quand on leur demande « qu’est-ce que tu as fait ces dernières années ? » et qu’ils répondent « j’ai creusé », à la question qui suit immanquablement, à savoir : « tu as trouvé quelque chose ? », dur de répondre « Non, j’ai creusé comme un con pour rien », ils diront alors, avec un air entendu « c’est un secret », perpétuant ainsi le mythe. C’est juste une gigantesque escroquerie, par ailleurs financièrement juteuse. Beaucoup de maçons passent leur vie en loge, devenant parfois vénérables et empilant les degrés, sans réaliser qu’ils ne dépasseront jamais la première strate de l’édifice, un panier de crabes observé par le haut, par des instances qui s’affranchissent de toutes les règles auxquelles on leur a fait jurer obéissance et des guéguerres d’obédiences, repérant dans ce vivier les plus corruptibles, ceux qu’on peut tenir par les testicules en leur offrant des passe-droits à charge de revanche qui les font insidieusement s’enfoncer dans la compromission, pour les coopter et les placer à des postes de pouvoir tout en neutralisant les intègres dont l’intelligence pourrait poser problème en les canalisant dans des voies de garage comme l’alchimie ou la Kabbale tout en les utilisant comme caution morale s’agissant souvent de personnes réellement de bonne volonté. Par ailleurs, parmi ceux qui touchent le jackpot, on s’amuse beaucoup à cacher des symboles un peu partout, histoire de se moquer du profane, un peu ce que les américains appellent inside-joke, de la même façon que dans les dessins animés pour enfants on trouve parfois des formes à connotation sexuelles qui passent souvent inaperçues ou que les programmateurs informatiques s’amusent à cacher un jeu de flipper dans Microsoft Word. Le premier discours de Macron devant la pyramide du Louvre n’est pas une chose anodine, même si c’est souvent beaucoup plus fin que ça, mais de moins en moins, la maçonnerie payant, elle-aussi, un lourd tribu à l’abêtissement général qui nous frappe et dont elle est en partie responsable.
Avec l’islam, on passe de la paranoïa en rapport avec ce que l’on sait ou croit savoir, a celle en rapport à ce que l’on croit tout court, et là encore, introduire l’Islam dans un pays non-musulman crée dans la pomme un ver, constitué des gens qui verront dans le peuple qui les héberge un potentiel ennemi qu’il leur appartient de détruire ou de guider vers la lumière.
Pour ce qui est du judaïsme, la paranoïa n’est plus en rapport à ce que l’on sait, ou même avec ce que l’on croit mais carrément avec ce que l’on est. Il suffit de convaincre des gens qui n’ont pourtant aucun signe distinctif et ne sont souvent pas plus sémites qu’un ornithorynque, qu’ils ont sur eux une sorte de malédiction indélébile qui fait que le reste de l’humanité ne vit que pour les mettre dans des fours à micro-onde thermostat 7, et pour être sûr qu’ils ne réalisent pas que leur judéité est juste dans leur tête, on les circoncis histoire de matérialiser la chose et de la leur rappeler à chaque fois qu’ils font pipi. Tous ces gens, sur lesquels je ne jette absolument pas l’opprobre, sont, pour la plupart, juste les victimes d’une manipulation visant à activer leur paranoïa et à fausser leur vision du monde jusqu’à nier la logique la plus élémentaire. Une des voies pour faciliter leur émancipation serait d’interdire, sauf raison médicale confirmée par un collège d’experts, toute forme de circoncision sur mineur, pratique à laquelle, tout traumatisme corporel étant de nature à fragiliser la stabilité mentale et a augmenter l’emprise des sectes, ils sont tous largement favorables y compris maçons et protestants américains, comme on peut le constater aux USA où la majorité desdites circoncisions ne sont pas officiellement pratiquées pour des raisons religieuses.
Comme c’est assez justement mis en exergue, quand on le lit bien, dans l’épisode évangélique de Jésus tenté dans le désert, le diable n’est qu’une idée, qui n’a aucun pouvoir véritable. En effet, il ne dit pas « tiens, voilà une glace à pistache, ça ne te tente pas ? » et ce, pour la bonne raison qu’il n’est pas capable de fabriquer quoique ce soit de concret, a fortiori une glace à la pistache, au contraire, toutes ses propositions sont du style « puisque tu es le fils de dieu, tu ne pourrais pas demander au vieux une jolie glace à la pistache ? ». Satan est juste une idée, une illusion, comme tout pouvoir, fût-il macronien, qui s’appuie dessus. Une maladie mentale, certes dangereuse mais qui peut être combattue par l’esprit sain, libre à vous de mettre ou non un T à la fin.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

Bienvenue en idiocratie. (9 mai 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/DCQLlkZ4vaE


Bonjour!
Quelque peu confus dans le vocabulaire et exagérément optimistes quant aux capacités excitatoires de Nathalie Loiseau, les jeunes avec Macron se préparent visiblement à des érections européennes en distribuant des préservatifs ornés d’un drapeau bleu étoilé et d’un vibrant appel à l’orgie communautaire sous forme d’un slogan issu d’un télescopage aléatoire de neurones à la Schiappa : « à 2 c’est bien, à 27 c’est mieux ! ». On en viendrait presque à souhaiter que lesdits préservatifs aient été distribués à leurs parents avant la conception en même temps que l’on réalise à quel point, sauf de toute évidence chez Brigitte Macron, la vie d’un ovule est triste : ça vit terré dans le noir, c’est dérangé par des vibrations bizarres et des odeurs de plastique qui chauffe et quand ça ne finit pas au fond d’une poubelle dans une protection féminine parfumée à la pistache bio, tout d’un coup, que ce soit par amour, la conséquence d’un état d’ébriété avancé, d’un manque de discernement ou d’un enrichissement culturel involontaire, c’est agressé par 400 millions de spermatozoïdes projetés à une vitesse à faire flasher un radar tourelle sans que la pauvre créature ait son mot à dire quant à savoir lequel de ces membres d’un patriarcat séminal particulièrement oppresseur va la féconder en perçant carrément un trou là où ça lui chante dans son enveloppe à coup d’enzymes machistes. Les féministes 2.0 visiblement ne vont pas assez loin et devraient prendre le problème à la racine en militant pour les droits de l’ovule, ça nous éviterait peut-être les Castaner et ...les féministes 2.0. De même que le meilleur pour se faire élire, généralement le plus menteur, est rarement le meilleur pour gouverner, il est clair que la vie est mal faite et que le meilleur bidule à flagelle pour féconder l’ovule trimballe parfois un capital génétique à faire regretter qu’on ait abandonné un peu vite l’idée d’eugénisme positif, non commercial s’entend. Il est sûr qu’après avoir bousillé les mécanismes naturels de sélection par la médecine, refuser, en outre, à cause des méchants nazis qui ont perverti l’idée, ne serait-ce que d’envisager qu’il soit possible d’améliorer nos chances de survie en tant qu’espèce autrement qu’en se transformant en cyborgs à l’aide de béquilles technologiques, nous promet un avenir aussi radieux que Conchita Wurst sur une bite d’amarrage, dans une idiocratie surpeuplée qui finira par vendre jusqu’à l’oxygène à ceux qui en auront les moyens (pour ceux qui n’auraient toujours pas compris la finalité véritable des postures éthiques et morales qu’on utilise pour nous culpabiliser). En tout cas, et c’est là qu’on peut mesurer à quel point la république en marche lutte contre le nazisme ambiant, elle n’hésite pas, elle, à recueillir en masse le fruit de mélanges malheureux de soupe génétique que par pudeur je vais qualifier de personnes un peu lentes, ce qui fait dire à ceux qui voient Nathalie LOISEAU en couple : tiens, voilà la lente et l’époux.
La compétition en connerie que se livrent quotidiennement d’un côté ledit volatile, champion du monde de l’aggravation d’accusations par une défense maladroite voire d'extrême droite quand elle n’est pas carrément homophobe et de l’autre notre ministre de l'intérieur des boites de nuit qui roule autant des patins que des mécaniques est particulièrement âpre, au point que, pour tenter de l’emporter, la première s’associe avec la tenante du titre Marlène Schiappa laquelle vient de lancer avec sa logique imparable habituelle que le RN, seul grand parti en France dirigé par une femme est contre les femmes. Cette dream team, à défaut de diable, vient de faire un pacte avec le spectre de Simone Veil, panthéonisée pour des raisons qui m’échappent et dont elles ont repris le nom, avec pour objectif d’imposer l’avortement à Malte ce qui, visiblement, est largement plus important que les problèmes triviaux qui sont à l’origine de la fièvre jaune que connait le pays. En dépit de cette alliance, je suis quand-même plutôt team Castaner, car en matière de connerie, on est là face à un véritable mutant, une régression génétique qui pourrait faire avancer la recherche sur le fameux chaînon manquant. Il faudrait quand-même que quelqu'un se dévoue pour lui expliquer que le petit truc rond sur les smartphones ça sert à faire des vidéos et que, du coup, la technique consistant à mentir en espérant que l’attention populaire sera distraite par autre chose avant qu’on ne découvre le pot-aux-roses pour qu’en attendant le mal soit fait, ne marche plus et qu’à l’heure des réseaux sociaux on se prend généralement un gigantesque backslash en pleine poire avant que la dernière syllabe mensongère n’ait été emportée par la brise printanière aux effluves de lacrymogènes. Ignorant cette avancée technologique, suivi dans ses errances par la meute des médias serviles, il a carrément tenté de nous refaire le coup des bébés extirpés de leur couveuse au Koweït par le méchant Saddam Hussein, bobard qui, à l’époque en 1990, avait été le prétexte de l’entrée en guerre des occidentaux en Irak. Dans sa version à lui, des hordes de gilets jaunes ont attaqué un hôpital, pénétré dans une salle où se déroulait une opération à cœur ouvert, bouffé le cœur et jeté le cadavre pendant qu'ils violaient les infirmières sur la table d'opération. J'exagère à peine, tant son désir est grand de faire peur aux frileux en tout genre qui croient que les gilets jaunes sont les nouveaux barbares et qu’il suffit de casser le thermomètre par une répression féroce pour soigner la maladie et éviter le chaos qui s’annonce. Chaos provoqué, comme à l’habitude, par ceux qui le dénoncent, à savoir le gouvernement qui cumule une servitude à des intérêts qui ne sont pas les nôtres avec une médiocrité à donner envie à Jeanne d’arc de sauter les étapes inutiles comme sauver la France et dès qu’elle entend des voix, comme récemment Brigitte Macron en pénétrant dans Notre-Dame, de s’arroser elle-même avec un bidon d’essence et de craquer une allumette.
Une amie me disait l'autre jour que le simple fait d’entendre la voix de Macron, qui reste le général en chef de cette armée de bras cassés, lui faisait l'effet d'un cunnilingus avec une râpe à fromage. Et c'est un fait qu'au-delà de sa malhonnêteté et de sa nullité crasse, il a réussi l'exploit de rendre un nombre considérable de gens simplement allergiques à sa jupitérienne personne rendant probable l’apparition prochaine sur les emballages de la mention : « attention peut contenir des traces d’arachides et de macron ». Peut-être parce que confusément, à cause de ses dents, de son nez ou de son regard fixe, il évoque un rat, ce qui est d'autant plus frustrant que, dans son cas, les tapettes risquent d'être moyennement efficaces, mais peut expliquer l’aversion inconsciente de certaines personnes à son encontre. Du coup, une solution à laquelle nul n'a pensé pour sortir d’une impasse provoquée par son obstination à s’accrocher à une place qu’il n’est plus légitime à occuper serait de se faire délivrer en masse un certificat médical d'allergie macronienne, c’est vrai que depuis qu’il est là les gens toussent beaucoup et qu’on ne peut pas tout mettre sur le dos des gaz lacrymogènes, car « penser printemps » c’est aussi un peu penser pollen. Probablement le genre d’allergie qui a justifié le 25 avril, la mise en arrêt maladie de la quasi-totalité d’une compagnie de CRS qui devait accompagner des ministres dans leur exercice d'enfumage quotidien. Il faut dire que plus aucun de ces supposés représentants, sinon du peuple, de la république, ne peut faire un pas sans une petite armée pour le protéger des marques d’affections par trop enthousiastes de la population. Chaque déplacement de Macron quelque part se traduit par une opération ville morte, les foules en liesse étant empêchées d’acclamer leur monarque par une armée de CRS tandis que des militants « en Marche » sont convoyés en bus pour applaudir devant les caméras au passage de la divine lumière qui nous éclaire tous. Les Champs-Élysées aussi vides en ce 8 mai de commémorations qu’un restaurant hallal à midi pendant le ramadan avec juste, au loin, les huées de la foule tenue à distance, au passage du banquier stagiaire devenu président, lequel fait semblant de ne se rendre compte de rien et se tient aussi droit, dans une parodie de solennité, que s’il avait un manche de serpillère Vileda enfoncé dans le fondement, en disent long sur l’état du pays. Pendant ce temps, même si c’est la commission qui prend les décisions et que la seule fonction du parlement, qui n’a aucun pouvoir, est de vérifier que lesdites décisions sont conformes aux traités et, accessoirement, de faire ruisseler des sous dans les caisses des divers partis politiques, le système est à l’œuvre pour financer un maximum de listes aux européennes transformées en référendum pour ou contre Macron, avec pour résultat, compte-tenu des enjeux, que ceux qui sont pour ont 1 choix et ceux qui sont contre, 32. Dans ces conditions que le RN qui, malheureusement, est la seule liste de pseudo-opposition susceptible d’arriver en tête, parvienne quand même à devancer LREM dans certains sondages relève de l’exploit, même si, devenu la galette d’urgence en cas de crevaison d’un système aux abois avec lequel il reste plus compatible qu’un RIC, il bénéficie de beaucoup plus d’égards médiatiques qu’à l’accoutumée. Du coup, même si la démarche rationnelle reste de voter RN sachant qu’on est cuits si la liste macroniste ne se prend pas une déculottée suffisante pour affaiblir Macron au point que s’il ne démissionne pas, il sera démissionné, un score élevé, mais pas assez dudit RN, ne servirait, au contraire, qu’à nous préparer un remake de 2017 avec une chance de se reprendre 5 ans de dépeçage décomplexé de la France à la clé. Si en soi, le RN est une voie de garage qui s’est tellement auto-castrée qu’il serait naïf d’en attendre grand-chose, un soutien massif reste la seule façon de fragiliser Macron pour espérer que les évènements s’accélèrent avant que le système n’ait le temps de nous imposer une fausse alternative. Je peux déjà entendre les « Frexit » et « votez UPR » qui vont émailler les commentaires. A mon sens, et ça vaut aussi pour l’ensemble des autres listes qui divisent les voix anti-Macron, c’est stratégiquement contre-productif. J’avais déjà expliqué aux présidentielles pourquoi Asselineau ne ferait qu’un pour cent (en fait je me suis trompé, il a fait 0,98). Je vais donc encore une fois, et si je me trompe tant mieux, expliquer aux personnes victimes d’une chambre d’écho qui leur fait prendre leurs désirs pour des réalités que ceux qui sont, comme moi-même, non simplement euro-critiques, mais carrément pour le Frexit en acceptant toutes les conséquences éventuelles, sont au mieux 30 pour cent de la population, que parmi eux, et là je n’en suis plus, ceux pour qui le dit Frexit est une fin et un programme politique en soi et non un moyen pour arriver à des buts spécifiques qui ne sont pas ceux de l’UPR lequel n’est pas contre l’immigration, le CRIF, l’Islam, les valeurs de la république, la loi Gayssot et autres foutages de gueule sont encore beaucoup moins nombreux et que, parmi eux, ceux qui ne sont pas emballés par le charisme transcendant d’Asselineau ou le fait que l’UPR ait sa propre loge maçonnique au doux nom de « Fraternelle Patriam Recuperare » et qui, tant qu’à voter pour un énarque, préfèreront Phillipot, ou resteront à la maison sont légion. Il est à noter au passage que la tendance d’Asselineau à préférer être capitaine d’une barque que second sur un cuirassé, hydrocéphalie du melon partagée par ledit Phillipot, fait que les deux non seulement n’ont pas réussi à s’entendre mais qu’ils en sont presque venus aux mains et que si l’on en croit Cnews (je vous mets le lien), il a fallu l’intervention d’un vigile pour éviter la reconstitution en loge de l’épisode 3 de la saison 8 de Game of Thrones. Par ailleurs, si les sondages qui donnent l’UPR à 1% mentent, ils le font généralement dans la marge d’erreur et ce d’autant plus qu’on s’approche de la ligne d’arrivée sachant que, si magouille il y a, elle reflètera lesdits sondages et inversement. Tout cela combiné fait que, avec en outre 33 listes en présence dont plusieurs « gilet jaune » et le bordel organisé qui règne au Royaume-Uni et que j’avais aussi prédit, si ledit UPR fait 1,5 % dont 0,5 imputables à l’effet Chouard, il aura de la chance. Quand on réclame du sang, le fanatisme peut être une bonne approche, quand on réclame de l’eau tiède c’est juste bizarre. Dans tous les cas, les jours, les semaines, les mois passent et Macron est toujours là comme une fistule anale sur le postérieur d’une France qui s’enfonce et se délite.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.