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lundi 24 avril 2023

La CHANSON D’AMOUR à MACRON que VOUS ALLEZ ADORER chanter (24/04/2023)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube:  https://youtu.be/9PZF2XSldIw


 Certaines subtilités ne vous apparaîtront pas si vous ne visionnez pas la vidéo.

 Paroles :

Amor, amor, Macron 
Faut qu’on te tutoie, t’es foutu 
Sinon de croire 
Amor, amor, Macron 
Qu’on t’élit, mine de rien, qu’on opine 
À nos déboires 
 
Si on avait dit au roi : « Louis XVI démission » 
Il serait toujours là et point de révolution 
Pourquoi tant de haine alors que l’amour est plus fort 
Plutôt qu’démission crions : « amor » 
 
Amor, amor, Macron 
Faut qu’on te tutoie, t’es foutu 
Sinon de croire 
Amor, amor, Macron 
Qu’on t’élit, mine de rien, qu’on opine 
À nos déboires 

Ton peuple t’adore, viens nous voir sans CRS 
Crois-nous on déplore de masquer notre tendresse 
On veut juste te serrer contre-nous très très fort 
Te faire des bisous sur tout le corps 
 
Amor, amor, Macron 
Faut qu’on te tutoie, t’es foutu 
Sinon de croire 
Amor, amor, Macron 
Qu’on t’élit, mine de rien, qu’on opine 
À nos déboires

lundi 17 avril 2023

Macron ou la technique de la dictaricature (17/04/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/p8pVYL8zLvk

Bonjour ! 
 
Bienvenue en « dictaricature », subtil mélange (façon Hitler en tutu rose) entre dictature et caricature parce que, contrairement à d’autres contrées passées et présentes qu’à juste titre on critique, mais dont on ne se moque jamais, nous ne sommes même pas fichus d’avoir une dictature qui a de la gueule. Quand j’ai vu la photo de la marée (in)humaine de CRS casqués, qui protégeait le CONseil CONstitutionnel (le ConCon, pour les intimes), j’ai prié pour qu’il s’agisse d’un deepfake généré par une intelligence artificielle. Tant de connerie désarme. Comme il est dur de rire et de se battre à la fois, s’ils n’étaient pas si intrinsèquement cons, on pourrait même finir par s’imaginer que tout cela n’est qu’une subtile tactique à laquelle même Edward Bernays, le théoricien de la manipulation des masses, n’avait pas pensé. 
 
Toujours est-il que, visiblement, le petit doigt qui réside en permanence dans le fondement de ces clowns maléfiques (à moins que ce ne soit Juppé lequel a accompagné Macron en Chine) leur avait visiblement soufflé que les membres sénescents dudit ConCon, d’ordinaire peu érectiles, allaient, une nouvelle fois, abuser de la petite pilule bleue pour faire subir jusque dans ses trous de nez et les poils d’oreilles, un ultime gang bang à notre constitution. Car oui, certains ont des micropénis. Ces sages (ou plutôt, s’agissant de « mûrs », ces « décrépis sages »), ces tristes « sires concis » (notamment dans leurs attendus) et qui, en sus de leurs retraites (souvent au pluriel), touchent 15.000€ par mois d’un salaire qui, contrairement à eux, est net, ont décidé que les autres devraient attendre, pour certains d’être morts, pour espérer toucher la leur et que les magouilles de l’encollé qui nous dirige sont aussi légales qu’a pu l’être, jadis, l’esclavage. Je dis l’encollé, car depuis le temps qu’on veut nous sucrer les retraites, c’est lui qui s’y colle. Donc oui, Macron est un encollé. 
 
Dans la foulée et en parfaite coordination, ledit encollé, visiblement insomniaque a, nuitamment et de façon subreptice, promulgué le texte, réveillant certainement dès potron-minet un collègue lèche-cul (dixit Trump) parmi les cadres du journal officiel afin de s’assurer que la loi serait bien publiée dans l’édition du matin. Édition que, tel Benjamin Griveaux (exception faite pour le dernier Play-boy, magazina non grata à la banque du sperme pour cause de Schiappa en couverture) l’encre pas encore sèche, il a tenu d’une main en jouissant… d’avoir, une fois de plus, humilié les bouseux et autres castors à queue plate amateurs de barrages. Contrairement à la version Netflix de Cléopâtre, le message est clair comme la semence d’un septuple vacciné amateur d’eau du robinet : « je viens de vous couper les testicules, c’est définitif et aucune manifestation ne pourra plus les faire repousser. Pas la peine, non plus, de remonter votre slip, car la suite arrive. En attendant, retournez bosser pour payer mon salaire, mon train de vie et les CRS qui me protègent ». 
 
CRS qui, les larmes me viennent, se sont vus censurer l’article 10 qui accordait des avantages aux policiers, les pauvres s’exposant dès lors à l’épicondylite latérale, plus connue sous le nom de « tennis elbow », s’ils doivent cogner des manifestants jusqu’à 64 ans. De même, à l’instar de l’or à leur sommet qui transformait, selon Maître Gims, les pyramides en centrales électriques, disparues les mesures en faveur des séniors que les infâmes LR ont fait semblant d’échanger contre leur trahison ainsi, qu’au passage, toutes les dispositions et avancées supposées adoucir le texte. 
 
Cela n’a rien à voir, mais mon chien, une fois, a attrapé des tiques. Au début, j’ai essayé de négocier pacifiquement, mais, bizarrement, les tiques n’ont rien voulu entendre. Je les ai menacées, idem. Finalement, j’ai sorti un briquet et tout a été réglé en quelques secondes. Surtout, n’y voyez pas une métaphore, même si on pourrait penser, au vu du montant abyssal de notre dette, que notre bien-aimé président flambe facilement. Quant à la Première ministre, suivant, là encore, métaphoriquement, la triste tradition familiale, elle est déjà cramée de toute façon. Même si, écologiste dans l’âme (de ceux qui ont bondi de joie à l’annonce de l’arrêt de la dernière centrale nucléaire allemande qui fera que nous ne sommes pas près de reprendre une douche chaude) je peux comprendre les débats légitimes sur l’impact environnemental d’un feu de poubelle versus l’incinération artisanale d’un ministre, d’un député ou des membres du Conseil constitutionnel lesquels, suffisamment motivés, courront toujours plus vite qu’un container en plastique, tel le dalaï-lama, je n’en reste pas moins (l’algorithme m’en est témoin) un adepte de la non-violence. 
 
Une conviction encore renforcée depuis que nous a récemment été révélé le mystère de la réincarnation dudit lama dans un enfant. En fait, qui l’eût cru, c’est assez trivial : il suffit de pénétrer par la bouche en commençant par introduire la langue. 
 

Certes, il eût mieux valu que les enfants le sussent avant, afin d’éviter les malentendus. Cela m’a quand même un peu fait penser au film culte « l’invasion des body snatchers » et, depuis, mon sommeil s’en trouve quelque peu agité. Comme il n’y a pas de raisons, autres qu’hygiéniques, que la bouche soit le seul point d’entrée possible, le récent coming-out d’Olivier Dussopt me fait envisager le pire. Et s’il n’était pas, à la base, aussi débile qu’Elisabeth Borne le pense, mais qu’il s’avérait qu’un organisme fluide, voire aqueux, mais très bête, se soit violemment incarné en lui et depuis l’habite ? 
 
De la même façon, on tient peut-être l’explication du regard allumé de Macron et du pourquoi une même personne (en apparence) a pu marteler être contre l’allongement de l’âge de départ à la retraite avant, subitement, de changer radicalement d’opinion. Un même individu qui a suivi les néocons américains comme un petit toutou sur l’Ukraine faisant pleuvoir des centaines de millions d’euros dans les poches d’un célèbre joueur de piano à queue avant, fort d’une seconde paire de testicules d’origine indéterminée, de refuser tout de go tout suivisme s’agissant de Taïwan. Et si tous ces gens étaient simplement possédés ? Qu’est-ce qui se cache derrière cette avalanche de coming-outs et derrière ce nom mystérieux de « renaissance », laquelle s’effectue généralement par d’autres voies ? Est-ce qu’au moins quelqu’un a vérifié s’ils peuvent plier leur petit doigt ? Je m’en vais de ce pas creuser ces histoires de reptiliens et de terre plate. 
 
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lundi 10 avril 2023

Cette année, les cloches vont en Chine (10/04/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/Q9VQvTWQADw
 
Bonjour!

Si un jour de « l’An terne » met certains problèmes en lumière, un jour de « Pâques beau » n’est pas sans évoquer le Titanic. Les manifestations contre la réforme des retraites auront la valeur résiduelle d’un coupon pour une nuit torride avec Brigitte Bardot émis en 1956 si, entre-temps, le bateau coule faute d’avoir jeté par-dessus bord l’incapable malfaisant à voile et à hydrogène qui le commande. Un capitaine chez lequel, visiblement, aussi sûr que les œufs d’une autre Brigitte ne sont pas en chocolat, quelque chose « cloche » ; dont les finances « opaques » de saison (on l’apprend un peu tard) auraient dû, dans un état non maffieux, invalider son élection de 2017 et qui, trouvant que le navire ne coule pas assez vite en dépit de l’ouverture en grand des vannes migratoires, du sabordage d’EDF et du parc nucléaire, de la vente à la découpe de nos fleurons industriels et de la mise à genoux (avec des cols roulés et des sanctions) d’un pays qui a des choses que nous n’avons pas et dont nous avons besoin sans que cela soit réciproque, a mis le cap sur un gigantesque iceberg de dettes que, même avec beaucoup de vaseline, d’amour et en récitant des mantras védiques pour favoriser la dilatation, notre pays ne pourra jamais encaisser en entier. 

Une dette qui ne sert pas à financer nos retraites, à entretenir nos routes et nos hôpitaux, mais qui est  dilapidée : 

  • en Ukraine pour ne pas que « l’OTAN tique » après avoir tout planifié comme (après Merkel) Hollande, piégé, vient de le confirmer, 
  • en subventions pour (le terme « navet » ne couvrant pas la chose) les topinambours de BHL, en tous les « cas, chers » (au prorata des entrées), 
  • pour payer des sénateurs « séni(nuti)les » au point d’oublier (les distraits) d’inclure leur propre régime (pas particulièrement hypocalorique) dans la réforme des retraites, 
  • pour les bonnes œuvres envers ses copains de Marlène Schiappa qui, sans être une flèche, suit visiblement le régime « Larcher » de sorte que le bruit court que, devant l’ampleur de la tâche, la version de Photoshop de Play-boy magazine aurait fait plusieurs tentatives de logicide en tentant de s’autodésinstaller, 
  • en donnant aux grands groupes sous forme de cadeaux fiscaux de quoi payer 5 emplois ici pour obtenir qu’ils en créent un en Pologne, 
  • en retraites versées à l’étranger à des scientifiques méconnus qui, certes, n’ont jamais cotisé, mais qui, peu pressés de retourner auprès d’Allah, semblent avoir trouvé le secret de la vie éternelle, 
  • en logements sociaux flambant neufs réservés à ce flux continu d’ingénieurs et d’agrégés de lettres venus de par-delà les mers nous sauver d’une homogénéité nauséabonde, 
  • pour payer des LBD et des lacrymos à des forces de l’ordre reçu et jamais contesté, 
  • en éoliennes ornithophobes, 
  • en pigments verts pour repeindre couleur agence du Crédit Agricole les véritables pollueurs tandis qu’on lutte contre le gaz carbonique et les pets de vaches dans le but de nous inciter à manger des insectes, 
  • pour la lutte vitale contre la sodomophobie à l’école maternelle, 
  • pour alimenter le puits sans fond de l’Union européenne qui, en échange, nous apporte la paix, la prospérité, les progrès sociaux et l’hégémonie économique, 
  • en cabinets de conseils, 
  • en salaires de députés qui, faute d’avoir la main sur autre chose pondent, façon poules transgéniques stimulées au 220 volts, toujours plus de lois pour régenter le moindre aspect de notre vie privée comme celle sur la vidéosurveillance « intelligente » à la chinoise votée au prétexte de sécuriser les prochains Jeux olympiques, 
  • en subventions à tous les organismes parasites imaginables sous réserve qu’ils nous crachent dessus, 
  • ou encore en doses de poudre de perlimpinpin qui rend immortel (à condition de porter un masque et de boire son café debout) élixir qui pourrait expliquer (probablement un effet méconnu du graphène) la fin du bicolorisme pilaire d’Édouard Philippe, 
  • sans parler du remboursement de ladite dette, elle-même, dont l’augmentation orchestrée est le gage de notre esclavage permanent. 

Par ailleurs, alors même que l’on apprend que l’espérance de vie est en train de chuter à la vitesse d’une érection devant un striptease d’Élisabeth Borne accompagnée par la fanfare du 27e BCA, si le Français lambda n’a visiblement que le droit de la fermer, assorti du devoir de payer des impôts et de bosser jusqu’à ce qu’il crève avec, en perspective pour les survivants, l’euthanasie « volontaire » qu’on nous vend pour essayer de détourner notre attention; les droits de l’homme prévalant sur ceux du citoyen (d’où l’écriture dans cet ordre), le reste du Monde a, lui, en revanche, dans notre beau pays, des droits inaliénables sans par ailleurs, faute de sanctions et de conséquences forcément racistes et discriminatoires, en subir aucun des devoirs. On a même proposé le rapatriement en avion vers la France, j’espère au moins en classe affaires, à une Ivoirienne, sous OQTF, au prétexte qu’elle aurait été expulsée avant que d’avoir épuisé toutes ses possibilités de recours. Il est vrai qu’elle avait juste tenté un masculinicide au couteau sur son compagnon. Pas de quoi en faire un fromage. Si ça ce n’est pas de la générosité ! 

Le problème c’est qu’une bonne partie des manifestants qui ont accaparé les têtes de cortèges (dont la toute nouvelle secrétaire générale de la CGT laquelle, droite dans ces mêmes bottes dont le bruit l’effraie, a refusé de parler au micro des nazis cannibales de CNEWS), cortèges qui faute de débouchés plus radicaux épuisent inexorablement les gens, adhère idéologiquement à une grande partie des inepties précédemment évoquées dont elle déplore, ensuite, les conséquences sans jamais voir le rapport entre le manche à balai en bois non raboté et ses douleurs rectales. 

Dès lors, même si les amateurs de liberté d’expression (pour ceux, et seulement ceux, qui pensent comme eux) ont le mérite de rassembler du monde pour faire du bruit et manger des merguez, force est de constater que les cortèges seraient beaucoup plus imposants sans ce même sectarisme débile qui les a amenés, sans qu’ils en tirent aucune leçon, à voter pour Tintin lequel après le Congo n’est pas allé au Tibet, mais en Chine passant du camouflet de l’immense table ovale de Poutine à celui de la non moins imposante table ronde de Xi Jinping, le tout assis sur une chaise de dactylo sans espace pour pouvoir déplier ses jambes, avec, pour résultats respectifs de ses talents de diplomate, dans un cas, immédiatement derrière, l’entrée des Russes en Ukraine et, dans l’autre, dès le lendemain, l’encerclement de Taiwan. 

Un sectarisme d’autant plus hypocrite que les syndicats savent très bien qu’une partie croissante de leurs adhérents vote pour la femme à chats laquelle, par ailleurs, partage la fascination macronienne pour les peaux mélaninées, dont les instances du parti comptent en leurs rangs suffisamment de lutteurs anti-constipation proactifs et de prépuço-déficients pour transformer Hitler en turbine écoresponsable (s’il avait une tombe dans laquelle se retourner) et ce, sans même évoquer les élus autoéjectables qui inaugurent des mosquées avec l’enthousiasme d’un gamin découvrant ses cadeaux de Noël. 

L’offre politique en France se limitant donc, dès lors, au choix cornélien entre devenir l’Afrique communiste ou l’Afrique patriote, sauf à revendiquer le souci vénal de conserver ses parts de marché, je ne vois plus guerre ce qui empêche tout ce beau monde, entre Africains, de se mettre d’accord pour valider le fait que Macron est une telle menace pour le Pays et pour le Monde qu’il n’y a pas d’autre choix que d’enterrer momentanément la machette de guerre ; la question n’étant même plus les retraites, mais le droit du peuple lorsque « toutes opinions confondues » il est majoritaire à l’estimer nécessaire, à démettre un président qui a dépassé les « bornes », y compris, si nécessaire, par contact pedicoccygien, certes respectueux, mais ferme et appuyé. 

Pour les nostalgiques, je vous mets en lien une chanson parodique datant de plus de 4 ans, passée un peu inaperçue à l’époque, mais qui reste, hélas, d’une actualité brûlante et qui mériterait, à mon sens, une seconde carrière. N’hésitez pas à la partager. 

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lundi 3 avril 2023

Rester calme, rester calme, rester calme, rester calme… (03/04/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/X9Nw9Ma8hhM

Bonjour ! 

Si une femme dort dure, c’est un IEL, pas forcément une femme d’ordure qui dort dure, sauf si l’époux se croit cador et que le cador dure jusqu’à devenir un cas d’ordure. La confusion, légitime, n’excuse pas pour autant les propos abjects d’une ignoble factieuse qui, sur les réseaux sociaux, a eu l’outrecuidance en accolant justement « ordure » à son auguste personne, de souiller, dans un impardonnable crime « d’alèse » majesté, notre leader suprême, sans d’ailleurs vraiment le nommer ; vil subterfuge qui n’a point empêché un sous-préfet perspicace de déduire, à partir de ce mot, de qui il s’agissait. N’écoutant que son courage (et son envie de devenir préfet), il a immédiatement saisi la justice dont le bras s’est abattu sur la réfractaire avec la force implacable du testicule droit de Gérald Darmanin sur la lèvre inférieure d’une « aspirante » à un logement social. Cette gilet jaune, possiblement édentée, ce qui représente une opportunité manquée pour le même, a fait l’objet d’une matutinale garde à vue et sera jugée (et, on l’espère, impitoyablement condamnée) le 24 juin prochain. 

Ce manque de respect pour le président n’a, en effet, que trop duré et si même une interview à Pif Gadget avec « 2 ans de travail supplémentaires » sous forme de cadeau Bonux dans un Kinder Surprise n’arrive pas à laver son honneur, d’ordinaire aussi immaculé que la poudreuse qu’il affectionne en période hivernale, il faut oser aller en manifestation en brandissant fièrement des pancartes qui rétabliront la vérité : « Macron n'est pas une ordure » , « Macron n'est pas un furoncle purulent », « Macron n'est pas le kyste anal de la démocratie », « Macron n'est pas un déchet toxicomane », « Macron n'est pas une immonde pourriture », « Macron n’est pas la mouche à merde de la finance », « Brigitte n’est pas un homme »... La liste n’est, bien sûr, pas exhaustive et vos suggestions sont les bienvenues dans les commentaires. Je compte sur vous pour lancer le hashtag « #MacronNestPas », il en va de la survie de la république. 

Il n’est pas normal, en effet, que notre rutilant leader aux narines qui ne bronzent jamais ne puisse plus se déplacer qu’en hélicoptère, entouré de 10 compagnies de CRS et en faisant bloquer toutes les routes pour que les manants ne le puissent point huer. Il était pourtant venu au bord du lac de Serre-Ponçon nous parler de l’eau qui s’évapore comme les 2,5 millions d’euros du fonds Marianne contre le séparatisme (créé après Samuel Paty trop tôt) et confié à Marlène Schiappa laquelle n’a, visiblement, rien gardé pour elle puisqu’elle se retrouve à poil (ou presque) dans Playboy lequel, de toute évidence, change de « thon » concernant sa ligne éditoriale. Une eau que l’on va rationner, pour les gueux, comme tout le reste, passant du col roulé et de la douche froide à pas de douche du tout (parce que le réchauffement climatique) et ce d’autant que l’on apprend que des négociations seraient en cours pour que notre pays échange annuellement 4 milliards de m3 d’eau, qu’il va bien falloir trouver quelque part, contre des hydrocarbures (parce que les valeurs de la république, hashtag : Poutine est méchant). 

Pendant ce temps, des castors pro migrants, subventionnés par SOROS et le capital qu’ils dénoncent, qui ont voté Macron et recommenceront pour faire barrage à la danseuse féministe à chats qui proposait la retraite à 60 ans, sans même s’en rendre compte, détournent l’attention du hold-up véritable en se focalisant autour d’un trou dans un champ, tandis que des es-« quad »-rons de CRS leur tournent autour façon Far West et les canardent avec des non-LBD et autres non-armes de guerre (selon le non-menteur pathologique Gérald Darmanin) faisant de nombreux non-blessés dont deux dans un non-coma ; moment opportun, il est vrai, pour réintégrer en loucedé, quand le narratif covid explose de toutes parts, les soignants non-vaccinés qui ne se sont pas suicidés durant les 18 mois pendant lesquels quelqu’un les a « emmerdé » de sorte qu’ils ne touchent pas le moindre salaire sans pouvoir, pour autant, travailler ailleurs. 

Soignants auxquels les syndicats ont porté la même attention que Pierre Palmade aux gens qui roulent en face ; mais les choses changent, notamment à la CGT. N'ayant jamais vu Phillipe Martinez sans ses moustaches, il est certes difficile de comparer, toutefois sa remplaçante, Sophie Binet, me semble beaucoup plus agréable à regarder. Comme elle a remporté l’érec… l’élection, on peut donc s’attendre à un durcissement… peut-être même au niveau des grèves. Par ailleurs, un peu plus de féminisme, de climatisme et de wokisme c’est exactement ce qui manquait à la CGT pour remonter la pente, les salariés n’ayant aucune envie d’être défendus à coup de virilité toxique. 

Tandis que le cirque bat son plein, que Borne reçoit les syndicats pour ne pas discuter des retraites, que la France Insoumise marche mardi sur l’Élysée avec une guillotine en chocolat et que tous prient secrètement pour que Laurent Fabius les sauve de l’impasse en rejetant le texte, Macron, qui est déjà passé à autre chose, faute de pouvoir circuler en France, est parti s’aérer les sphincters en Chine pour vendre à Xi Jinping un concept de BRAV-M Ouïghour compatible et écologique, en motos électriques et tasers à panneau solaire. 

Toujours au nom de l’écologie, alors que des hôtels des impôts brûlent, que les médias, fidèles à eux-mêmes, oublient de parler des manifestations sauvages qui se déroulent tous les jours partout sur le territoire ou encore des ronds-points qui se repeuplent et des gens contraints de voler un bout de fromage dans les supermarchés, au point que les commerces pas encore en faillite en sont réduits à mettre des antivols sur les camemberts et les tranches de jambon, la machine à broyer ne s’arrête jamais et les 20% de lobotomisés qui soutiennent encore Macron, en s'imaginant qu’ils ne sont pas concernés, seraient bien avisés de regarder du côté de la nouvelle directive européenne qui va rendre des millions d’appartements et de maisons individuelles non seulement impropres à la location, mais également impossibles à revendre, ce qui va à la fois faire exploser les prix des loyers comme un cassoulet au coca-cola dans l'intestin grêle d'un moine bouddhiste et ruiner ceux pour qui la location était un complément à leur retraite. « Vous n’aurez rien et vous serez heureux ». 

Dans la même veine, les winners métrosexuels urbanisés de la mondialisation ne seront pas mieux lotis, car ils seront les premiers à être remplacés par les intelligences artificielles et le cri d’alerte d’Elon Musk et d’une flopée de chercheurs informatiques de renom invitant à faire une pause de 6 mois pour réfléchir aux implications de l’IA a autant de chances d’être entendu que la supplique « pas le visage, j’ai des lunettes ! » par un CRS en hypoglycémie. 

Et à ce propos, après Amnesty International, le Conseil de l’Europe, les Nations Unies et même l’Iran, c’est au tour de la Maison-Blanche de s’insurger contre les méthodes de nos forces, non plus « de l’ordre », mais de coercition, lesquelles, il est vrai, lèveraient peut-être un peu le pied si, comme aux USA, les citoyens étaient armés, droit constitutionnel qui leur a été accordé, il faut le rappeler, avant tout pour se protéger des abus de pouvoir éventuels de l’état. 

Un état qui, depuis, n’a de cesse que d’essayer de revenir dessus au prétexte, par exemple, qu’un machin à pronoms exotiques vient de priver, entre autres victimes, trois malheureux enfants de l’opportunité de pouvoir un jour choisir le leur, ce qui, par ailleurs, annule le travail remarquable de tous ces hommes en jupe qui donnent de leur temps pour lire à nos bambins de merveilleux contes non genrés et non sodomiephobes dans les crèches et les écoles maternelles. Ce n’est pas de la faute du wokisme, de l'afflux massif de QI à un chiffre et demi et du fait qu'une partie conséquente de la population est sous psychotropes divers, mais des armes à feu qui sont vraiment très très méchantes. Il est évident que si elles étaient interdites, les criminels n’oseraient pas les utiliser, comme on le constate tous les jours en France dans les nombreux règlements de comptes mafieux et que, pour faire bonne mesure, il conviendrait de dénoncer également les méchants couteaux (avec ou sans « Allah Akbar » en option) qui, allez savoir pourquoi, ont tendance à apparaître lorsque l’on interdit… les armes à feu. 

Ce culte de la non-violence à géométrie variable, qui aboutit inévitablement à davantage de violence envers les citoyens lambda, n’a aucune espèce de logique. Pendant plus de 1500 ans de catholicisme et « d’aimez-vous les uns les autres » force est de constater que cet amour n'a que modérément tempéré les ardeurs et que, sans quelques massacres pour faire bonne mesure, notre civilisation n’aurait pas survécu plus de 1500 ans avec pour conséquence que Cyril Hanouna ne présenterait peut-être pas TPMP. Désormais, selon un dernier sondage, seulement 29% des Français sont encore vaguement catholiques et seuls 2% vont encore à la messe et c'est maintenant, au moment précis où notre survie est en jeu, où un type de 70 kilos avec un cheveu sur la langue pourrit la vie à des millions de personnes et où une partie du continent africain s’invite chez nous sans demander la permission au prétexte qu’il y a de la lumière, que les mêmes qui doivent leur pouvoir à une guillotine, qui ont tué la religion et nous assènent des coups de matraques didactiques et bienveillants, nous demandent, sans rire, d'appliquer scrupuleusement le « tu ne tueras point ». Il est vrai que, de leur point de vue, on peut comprendre l’angoisse, mais s’ils continuent dans cette direction, sauf à ce que Jésus revienne pour la piqûre de rappel, il est possible que certains factieux réfractaires aient un peu de mal à adhérer au concept. 

Pas étonnant qu’en plein chamboulement géopolitique majeur, l’Europe en général et la France en particulier, jouent le mauvais cheval et manquent leur rendez-vous avec l’histoire. Une histoire qui pourrait, de toute façon, ne plus durer très longtemps si l'on considère que l’adhésion de la Finlande à l’OTAN nous rapproche un peu plus de la 3e guerre mondiale et que le pacifiste Trump, faute d’avoir tenu sa promesse de faire le ménage et de mettre certaines personnes en prison quand il en avait l’occasion, récolte les fruits de sa couardise, le camp d’en face n’ayant pas les mêmes scrupules lorsqu’il s’agit de l’empêcher de se présenter l’an prochain. 

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