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lundi 26 juin 2023

Immeuble explosé, écolos dissous, mamie agressée, Titan implosé, bordel en Russie…

   Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/6lkejsFnsMY

Bonjour ! 

Dans les écoles britanniques, enfin libérées des diktats de l’Union européenne, les élèves qui s’identifient à des animaux ont désormais le droit de répondre « Miaou » (« Meow » pour les anglophones) à des questions d’algèbre par exemple, s’ils s’identifient à un chat (ce qui vaut toujours mieux qu’à un sconse). Il est réconfortant de savoir qu’un jour cette génération construira nos avions ou des sous-marins comme le Titan, ce bathyscaphe censé explorer le Titanic qui a mystérieusement implosé sous 400 atmosphères avec un hublot garanti à seulement 130 produisant instantanément de l’Orangina de milliardaire avec pulpe présecouée, car comme disait mon oncle buraliste, « avoir trop de bars t’abat ». Le concepteur qui s’identifiait probablement à un ingénieur et avait refusé tout contrôle de l’appareil par les autorités s’était vanté, dans une interview, de choisir ses collaborateurs à l’intuition parmi un public jeune et inclusif et d’éviter les mâles blancs de plus de 50 ans : on se demande vraiment ce qui a bien pu foirer. 

Comme on se demande, dans le Titanic France, cette fois, comment un bâtiment qui n’avait plus le gaz depuis 30 ans, selon le directeur de l’école qu’il abritait, a pu exploser « à cause du gaz » dans le 5e arrondissement de Paris. Mais passons, sachant que dès que cela touche au gaz, je me garde bien de nier quoi que ce soit. Peut-être que quelqu’un s’est identifié à un soudeur ou qu’un entretien a été identifié comme non urgent à moins que le mégot de Notre-Dame n’ait encore frappé. 

Nul doute que ceux qui s’identifient à des journalistes vont nous informer avec leur professionnalisme habituel, comme sur cette agression à Bordeaux dont la vidéo a largement circulé avant d’être interdite en raison du risque de faire basculer certains dans le transnazisme, seule minorité persécutée, jusque par Indiana Jones dans son dernier opus catastrophique, que les LGBT refusent encore d’inclure, sachant pourtant que la lettre N est toujours disponible, personne à ce jour ne s’étant, encore, identifié à un nénuphar. On apprend donc, avec un désemparement de première dame face à un tampon hygiénique, que la grand-mère et sa petite fille ont été extirpées de leur pas de porte et violemment jetées au sol par un Français tout à fait ordinaire sans aucune caractéristique physique particulière qui pourrait sauter aux yeux, sauf, peut-être, un faux air de Vercingétorix. Un individu, au casier judiciaire long comme un sexe de Darmanin en érection pris dans la porte d’une camionnette qui démarre et qui, après avoir échoué à kidnapper l’enfant, s’est enfui à bord d’une voiture dont la presse, retrouvant ses repères colorimétriques racistes et nauséabonds, a eu l’impudence de dire qu’elle était noire. 

Dans la même veine, la caractéristique principale du bébéphobe d’Annecy était d’être chrétien, celui de la LoLaphobe d’être SDF, celui des auteurs d’attentats sanglants non qualifiables de déséquilibrés d’être des islamistes pourtant serviables et gentils avec leurs voisins… C’est vraiment dommage qu’il n’y ait aucun autre dénominateur commun discernable entre tous ces Gaulois honoraires qui permettrait de comprendre la problématique. Ce n’est pas parce que la réactivité à une odeur particulière provoquée par un traumatisme électrique chez une souris se transmet aux générations suivantes qu’on pourrait imaginer que les atavismes et les transmissions épigéniques liés aux coutumes, modes de vie et traumatismes spécifiques étalés sur des dizaines de générations pourraient rendre certains groupes humains géographiquement séparés socialement incompatibles entre eux. 

Rien, en tout cas, que ne puisse résoudre le vaudou de l’assimilation républicaine, car chacun sait qu’une vache née dans une écurie devient automatiquement un cheval et qu’il suffit d’interdire le voile et l’abaya, de ranger les kippas au vestiaire, de sacrifier le coq gaulois à défaut d’un poulet et de coiffer tout le monde d’un béret, pour qu’on ne puisse plus nous distinguer les uns des autres et que nous vivions enfin heureux dans la liberté, l’égalité et la fraternité. Il me tarde. D’autres diront qu’il suffit de durcir la loi. Et c’est vrai que depuis que j’ai expliqué le Code pénal à mon chat, il est devenu beaucoup plus obéissant. 

 Certes, en république, certains sont encore un peu plus égaux que les autres, mais tout ira mieux quand on aura éradiqué l’extrême droite. Dommage, là encore, que tant d’égalité soit parfois gâchée par un petit excès de wokisme dont on se demande bien dans quoi il puise ses racines égalitaires. Un wokisme qui, poussé au bout de sa logique, évoque des serpents LGBT qui se mordent encore plus la queue que d’habitude, sans les dents si affinité : par exemple, dans le cas hypothétique d’un enfant qui s’identifierait à un raton laveur adulte et aurait des rapports sexuels avec un adulte qui s’identifierait à un bébé raton laveur, ne serait-on pas fondés à se demander lequel est le pédophile ? (pour ceux qui n’auraient pas encore compris la finalité de tout ce cirque). 

C’est la question à dix sous. Dissous comme notre économie par Bruno Le Maire et accessoirement Soulèvement « délétère » par Gérald Darmanin sur demande expresse de la FNSEA laquelle ne répondait plus de ses adhérents si les semi-bobos verts arrachaient encore, on suppose par erreur, de vrais semis bios, ceux-là, et revenaient les « bassiner » à Sainte Soline. De même que la gauche a remplacé le concept foireux (mais concret) de lutte des classes par la défense suicidaire des minorités, les écolos ont remplacé la lutte contre la pollution, bien réelle, avec des déchets toxiques enterrés dans d’anciennes mines sous des nappes phréatiques ou la vallée de la Chimie à Lyon et ses « polluants éternels » –les fameux « PFAS », par le délire climatique. Soit le réchauffement supposé dépend du soleil auquel cas rien ne sert de renverser des pots de confiture sur des tableaux de maître, soit il faut aller manifester en Chine où on jette le césium des centrales directement dans la mer et où on en est réduit à peindre les broussailles et les cailloux en vert pour faire croire à Xi jinping, quand il se balade, que ses politiques vertes fonctionnent, certainement pas dans une France qui produit moins de 1% du CO2 mondial, mais qui, en revanche, bétonne l’équivalent de 3 terrains de football toutes les heures, en partie pour faire des logements sociaux pour migrants. 

Dans tous les cas, sauf à considérer que le climat fonctionne comme un vélo, si la fin du Monde savamment calculée par Greta Thunberg qui, félicitations, vient d’avoir son bac, est pour dans dix ans, compte tenu de l’inertie et des dynamiques gigantesques mises en branle, appuyer sur le frein aujourd’hui n’aura pas d’incidence avant quelques siècles et aura autant d’effet que de serrer les fesses au début d’une sodomie par un type de 120 kilos qui s’effondre d’une crise cardiaque. Un écologiste cohérent commencerait par jeter son portable, mais pas sûr que ce soit très porteur auprès de la jeunesse. 

Nul doute, pour peu qu’on leur remette sous le nez l’épouvantail de la femme à chats, que ces gens qui feraient mieux de passer au soulèvement « des haltères », surtout s’il n’y a plus d’eau, avant de finir en pemmican déshydraté, revoteront tous en cœur une dernière fois pour Emmanuel Macron lequel, par Ferrand interposé, teste prudemment, ce n’est pas une blague, la possibilité d’un troisième mandat. Mais, en attendant, de même qu’une pendule arrêtée donne l’heure deux fois par jour, ne boudons pas notre plaisir quand une jeunesse enthousiaste hue copieusement notre présidentissime pendant le concert pour le climat organisé à nos frais en marge de son « Sommet pour un nouveau pacte financier »… 

Les mêmes qui applaudissaient pour génération identitaire qui n’avait jamais occasionné la moindre violence hurlent, à présent que c’est leur tour, au déni de démocratie. Bienvenue au Macronistan qui tant qu’il y est, vient également d’enlever, de façon subreptice, son agrément à Anticor, seule association de France habilitée à ester en justice pour lutter contre la fraude et la corruption des politiques. On se demande bien pourquoi. 

Sinon, pendant qu’on faisait semblant de chercher le bathyscaphe, alors que les services américains savaient depuis 5 jours que l’équipage n’était plus identifiable qu’au microscope électronique, on ne parlait pas, pur hasard du calendrier, du scandale du fils de Joe Biden qui, ces jours-ci, a plaidé coupable sur des babioles pour faire croire qu’il n’est pas au-dessus des lois et détourner l’attention des documents trouvés sur le disque dur de son portable oublié chez un réparateur et placés sous l’étouffoir par le FBI pendant la campagne de 2022. Je vous mets en lien un rapport de plus de 600 pages comportant les seuls faits vérifiés avec des photos absolument sidérantes sur une famille tuyau de poêle, mêlant sexe, inceste, drogue, trafic d’influence et corruption et impliquant, excusez du peu, son père, l’Ukraine et la Chine. 

Rapport dans lequel j’ai remarqué, chose dont on ne parle guère, que Hunter Biden, souvent défoncé, perdait non seulement conscience, mais aussi régulièrement ses ordinateurs, au moins 3, dont un apparemment (page 352) aurait été volé par les Russes à Las Vegas. Nul doute que la presse intègre américaine qui a sans relâche faussement accusé Trump pendant des années de collusion avec la Russie va broyer Joe Biden façon olive au truffes tombée sur le siège de Gérard Larcher à la cantine de l’assemblée. Je plaisante. 

Enfin, concernant la pantomime de coup d’État en Russie, je peux me tromper, mais je pense que Prigozhin en a eu marre qu’on le sabote en interne et que son caca mi-nerveux, mi-calculé, a servi sur un plateau à Poutine lequel, contrairement aux idées reçues, n’est pas omnipotent, le prétexte dont il avait besoin pour faire le ménage au ministère de la défense, ce qui pourrait signifier que les choses sérieuses vont vraiment pouvoir commencer en Ukraine. On peut aussi voir cet épisode, qui a mécaniquement rassemblé le peuple autour de son leader, comme l’entrée en campagne de ce même Poutine lequel est candidat à sa succession en 2024. En tous les cas, l’expression de Mélenchon reprenant conscience dans un camp naturiste en Suède, de certains commentateurs qui voyaient déjà Noël arriver avant l’heure, vaut son pesant de cacahuètes. 

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dimanche 18 juin 2023

Migrants coulés, Macron hué, Zemmour agressé, Dents déremboursées… Résumé de la semaine (19/06/2023)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/6oLMFupw-80

Bonjour ! 

Comme l’a dit un jour le très permanenté Aymeric Caron, les moustiques qui piquent, outre une allitération, ne sont que de braves mamans essayant de nourrir leurs petits. Honte donc à tous ceux qui ne se baladent pas en tenue de Marlène Schiappa dans Playboy, l’anus dilaté façon Bruno Le Maire et le priapisme triomphant à la Gérald Darmanin afin de leur offrir un maximum de surface utile. De même, les migrants ne sont que de braves gens recherchant une vie meilleure et il est donc impératif de se dilater la CAF et de les répartir jusque dans le moindre petit village d’Armorique où une poignée d’irréductibles Gaulois, à défaut de menhirs, pourraient encore cultiver une forme malodorante de blanchitude. 

À cet égard, ce bateau entier d’enrichissement culturel qui a coulé dans les eaux internationales aux abords de la Grèce a provoqué, chez-moi, un torrent de larmes irrépressible que seule ma fibre écologiste, encore ébranlée par la réminiscence de la sécheresse à venir promise par Emmanuel Macron avant que la moitié du pays ne se retrouve inondée, a été capable d’arrêter. J’essaie de me consoler en voyant le côté positif des choses, à savoir que les poissons et les crevettes que je tiens en plus grande estime que les moustiques, perpétuant le grand cycle de la vie, à la satisfaction probable d’Aymeric Caron, auront au moins eu de quoi bouffer et que, parmi les malheureuses victimes, le pourcentage, certainement très faible (mais statistiquement non nul) de personnes qui auraient enrichi au couteau, volé, violé, tabassé, tué ou trafiqué de la drogue dans leur futur pays d’accueil n’aura pas à subir des discriminations policières racistes.

Toutefois, cela n’est qu’une bien piètre consolation en regard de tous les potentiels académiciens et futurs ingénieurs nucléaires qui ont partagé ce triste sort, trop perdus, hélas, dans leurs abstractions métaphysiques, pour calculer la charge utile maximale que ledit bateau était capable de transporter sans se transformer en sous-marin. Bien entendu, ceux qui financent, profitent de et encouragent ce trafic d’êtres humains, à commencer par les associations dites humanitaires et les hautes instances de l’Union européenne ne seront pas plus inquiétés que le pangolin érotomane avec un fétichisme pour les chauves-souris à l’origine du covid. 

Mais qu’importe, contrairement aux déclarations de Sandrine Rousseau qui, quand elle ne boxe pas des chauffeurs de taxi, met le drame sur le compte de l’extrême droite, il est de notoriété publique que tout ce qui se passe dans le Monde, à en croire certains en tout cas, est de la volonté d’Allah. Si l’on prend en compte le fait que c’est donc lui qui a empêché le Maroc de gagner la coupe du Monde et qu’on y ajoute cette ultime catastrophe, des esprits simples et non éclairés pourraient finir par penser qu’il découle de ceux qu’il coule qu’il n’est pas cool, voire, peut-être, un poil islamophobe. Nul doute, toutefois, que s’il était convoqué par le Sénat dans le cadre d’une commission d’enquête, ses desseins, pour aussi impénétrables qu’ils soient, seraient plus clairs que les explications de Marlène Schiappa laquelle, elle aussi, se noie et touche le fonds… Marianne. 

Certains pisse-vinaigres balsamiques bios, imperméables au second degré ou considérant qu’on ne peut pas rire de tout, vont me trouver inhumain. En réalité, ce sont eux qui ne connaissent pas l’humain. Nous sommes, en effet, câblés d’une certaine façon et notre survie en dépend, de sorte que le drame « anticontestation de la réforme des retraites » d’Annecy, lequel au bout du compte n’a, heureusement, pas fait de victimes, nous touche plus que le demi-million d’enfants tués, à l’époque de la guerre en Irak, par les sanctions du camp du bien. Notre capacité d’empathie individuelle est limitée par notre cortex préfrontal médian à une centaine de personnes environ et son intensité décroît en fonction du nombre et de notre degré de connaissance des personnes touchées. 600 migrants coulés deviennent une abstraction qui nous touche moins que le cadavre du petit Aylan échoué sur une plage que des salopards, parfaitement conscients du phénomène, ont utilisé sans vergogne pour nous manipuler. 

C’est ce mécanisme tampon, qu’on peut comparer à notre mémoire à court terme, qui garantit la cohésion des noyaux familiaux, lesquels se raccrochent à des noyaux semblables pour finir par constituer le tissu social indispensable au bon fonctionnement de toute société humaine. Quand les médias trichent et nous rapprochent artificiellement, par les images, d’individus qui, en temps normal, nous importeraient autant qu’une paire de seins à Emmanuel Macron, ces derniers, à l’instar des personnages fictifs, inclusifs et divers de nos séries Netflix, prennent la place, dans notre réserve empathique limitée qu’on cherche à saturer, du SDF en bas de chez soi, ou du voisin au chômage et agissent comme dissolvant dudit tissu social. 

Au bout du compte on a, ce samedi, des Français d’extrême gauche qui s’autodétestent et attaquent violemment et blessent d’autres Français (dont des personnes âgées et des adolescents) suspectés d’avoir encore des restes de solidarité fonctionnelle de par leur présence à une séance de dédicace de l’impasse Éric Zemmour, au demeurant « polyfrigame » notoire avec deux frigos et deux femmes. Un renard médiatiquement autorisé à alerter les poules sur le danger d’avoir des rats dans le poulailler au prétexte que si on laissait un vrai coq gaulois représenter les gallinacées on s’exposerait au retour du grand méchant loup, lequel n’aime pas spécialement les renards médiatiques, donc autant faire en sorte que si guerre civile il y a, elle se fasse entre poules. 

Pendant ce temps notre système de solidarité se disloque faisant, par exemple, que la sécurité sociale, pour économiser 500 millions d’euros et continuer à financer les 1,2 milliard de l’AME, en est réduite, ces jours-ci, à baisser sa prise en charge des soins dentaires de 70 à 60 %. Ce n’est pas une question de « haine de l’autre » nul ne remettant en cause le fait que les migrants, tout comme nous, sont, pour partie, victimes dans cette affaire, mais de façon tout à fait pragmatique, force est de constater que, malheureusement, contrairement au postérieur de Marlène avant Photoshop, notre croissance n’est pas infinie et qu’entre accueillir toute la misère du Monde ou avoir encore des dents en sus de celle contre Emmanuel Macron, il nous faut désormais choisir. 

Après la Suède et le Danemark, la Finlande, désormais gouvernée par une coalition de la droite et des nationalistes, l’a parfaitement compris et va drastiquement durcir sa politique concernant une immigration dont il vaut mieux voir les coûts tard que les couteaux. Si l’on ajoute la Pologne qui fait un référendum sur le sujet, la Hongrie, la montée foudroyante de l’AFD en Allemagne, du FPÖ en Autriche, de VOX en Espagne, la Slovaquie, et dans une moindre mesure, l’Italie où le clone de notre Marine nationale … est le clone de notre Marine nationale, le cercle des pays suicidaires se fait de plus en plus restreint. Même Emmanuel Macron, copieusement hué durant la finale du top 14 de rugby, en dépit de la sono à fond et des efforts désespérés des commentateurs pour masquer la chose, sent vaguement que la situation devient intenable et propose l’idée innovante qui va tout solutionner : utiliser l’intelligence artificielle pour mieux compter les migrants. Si, si, il a vraiment dit ça ! 

Bref, quand elle est dévoyée, l’empathie on en pâtit. En outre, la capacité à se mettre à la place des autres n’est pas équitablement répartie selon les groupes ethniques et les cultures, de sorte que lorsque, conséquence des manipulations politico-médiatiques, nous serons minoritaires et au fond du trou pour avoir préféré les autres aux nôtres, il sera naïf d’escompter que lesdits autres élevés, de surcroît, dans la haine du méchant colonialiste par une gauche irresponsable, idiote utile de ce même grand capital qu’elle dénonce, auront suffisamment de ladite empathie à notre égard pour que nous ne passions pas sous leurs fourches et autres machettes caudines façon Afrique du Sud ou Zimbabwe, voire Algérie qui, encore un exploit diplomatique de notre présidentissime, vient de rétablir son couplet anti-France dans son hymne National. 

Il n’y a pas eu d’empathie pour Samuel qui n’a été que « Paty », le mot ayant été lui aussi « raccourci » même si, il faut bien le reconnaître, le fonds Marianne, lui, a été « empathie »… distribué aux copains. 

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lundi 12 juin 2023

Menhirs, Annecy, Migrants à 20 000€, Décès inexpliqués… Résumé de la semaine (12/06/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/eLli2K9gLIw

 

Bonjour ! 

Contrairement aux intestins du Pape (pas Ndiaye, l’autre) qu’il a fallu opérer récemment, les voies du Seigneur et de la nature sont impénétrables. Je pensais par exemple que les grandes surfaces poussaient comme des champignons, mais il a dernièrement été porté à mon attention que le cycle de vie des « Monsieur Bricolage », par exemple, est beaucoup plus complexe et fascinant. Il faut d’abord planter les graines, lesquelles ressemblent un peu à des menhirs, attendre patiemment 7000 ans puis arroser généreusement avec beaucoup de liquide. En tous les cas, je vous déconseille d’écouter les informations avant de vous jeter dans les bras de Morphée, sinon on peut faire des rêves bizarres. 

Dans le mien, je courrais tranquillement dans un parc entre menhirs pas encore éclos et magasins Monsieur Bricolage et, au fur et à mesure que je progressais, j’y croisais, intéressante symétrie des cultures, des femmes occidentales sortant du métro en longues chemises blanches pour camoufler leurs mini-jupes, leurs bras dénudés et leurs décolletés plongeants, lesquelles côtoyaient des orientales, elles en string sous un tchador noir. Seule dépareillait Marlène Schiappa complètement à poil face à ses mensonges sur le fond Marianne. Certaines poussaient devant elles des landaus blindés équipés de lance-roquettes, indifférentes aux Suédois à keffieh et autres supporters anglais qui leur tournaient parfois autour en brandissant des couteaux tout en hurlant « Jésus-Akbar ! ». De temps à autre, ils faisaient une pause toilette en quelque endroit discret avant de se torcher énergiquement avec les OQTF triple épaisseur que leur délivraient à flux continu des préfets à langue râpeuse sur laquelle subsistaient quelques résidus d’hémorroïdes macroniennes. 

Quand la pression était trop forte, lesdites femmes slalomaient nonchalamment entre écoles pleines d’hommes en jupe où les enfants se faisaient harceler jusqu’au suicide par des groupes de futurs skinheads aux yeux bleus, trottoirs visiblement trop étroits où des femmes de tous âges et même des chèvres et des poneys se faisaient culturellement enrichir et artisanalement déconstiper, cadavres épars de chauffeurs de bus, d’enfants dans des malles et de victimes de règlement de comptes à la kalachnikov et autres attaques aux mortiers de commissariats, têtes de profs en autonomie, féminicides et charcutages divers pour, finalement, aller chercher un peu de quiétude sur la ligne de front en Ukraine où les troupes de Zelensky menaient une offensive victorieuse en marche arrière. 

Des hommes politiques creusaient fébrilement la terre à la recherche de superlatifs pour dénoncer la situation, pénurie qu’ils imputaient fort logiquement à Vladimir Poutine, tandis qu’Horreur Bergé profitait des trous pour enterrer la contestation sur la réforme des retraites. McKinsey et chatGPT se disputaient la paternité du tweet plein de solennité d’Emmanuel Macron sur le drame d’Annecy et, arguant que malgré « l’effroi » il a fait « chaud » ce jour-là, ce qui a pu provoquer des bouffées de chaleur chez un individu dont il serait irrespectueux d’écarter l’hypothèse qu’il s’identifie à une femme ménopausée, les mêmes proposaient d’imputer la chose au réchauffement climatique, ce qui permettrait de justifier, de surcroît, l’interdiction des chaudières à gaz dès 2026. 

À la décharge des politiques, il est difficile, au cas particulier, de discerner quelque point commun que ce soit entre un chrétien issu d’une autre culture, d’un autre continent et d’une autre ethnie qui n’a légalement rien à foutre en France et, par exemple, un musulman issu d’une autre culture, d’un autre continent et d’une autre ethnie qui n’a légalement rien à foutre en France. Dès lors, à part condamner, je vois mal ce qu’ils pourraient faire d’autre face à ce phénomène sans cause, de nature quasi météorologique et sur l’explosion duquel dans ce paradis multiculturel inclusif hélicoïdal centripète qu’ils nous fabriquent, ils ne portent absolument aucune responsabilité… hormis, à la marge, l’accord européen, signé des deux mains et du pied gauche par notre ministre des affaires étrangères et qui nous impose désormais des quotas obligatoires avec, à la clef, une amende de 20 000€ par migrant refusé. 

Loin de moi l’idée de jeter l’opprobre sur lesdits migrants, mais je pense que, prudence oblige, je vais installer une alarme. J’ai été convaincu par une publicité particulièrement réaliste mettant en scène une équipe polyethnique qui en installe une chez une famille française typique constituée d’une version en plus athlétique de Pap Ndiaye, d’une mère rouquine et de deux enfants parfaits pour être castés dans la suite de la petite sirène de Disney, et ce, afin qu’ils puissent chasser un méchant cambrioleur du troisième âge de type caucasien aux yeux bleus, le tout sur un air antifasciste italien (je vous mets le lien). Allez savoir pourquoi, les commentaires ont été désactivés. 

Pour en revenir au drame, d’infâmes complotistes diront qu’il tombe à pic pour sortir Macron de l’impasse de la réforme des retraites. En lieu et place des débordements violents auxquels on aurait pu s’attendre après le viol éhonté de la constitution par Yaël Braun Poivrot, laquelle entre boire et bien se conduire ne sait pas choisir, on assiste, à la place, au retour des petits nounours, des bougies artisanales et des marches blanches non-suprémacistes. Pour autant, ce n’est pas parce qu’un gouvernement a été capable d’euthanasier des vieux au Rivotril et d’injecter à des millions de personnes un produit expérimental qui n’est strictement pour rien dans l’augmentation massive, en 2022, de la mortalité, notamment chez les jeunes, que l’INSEE dans son dernier rapport ne parvient pas à expliquer et qu’il est composé d’arrivistes prêts à tout et d’un nombre conséquent de menteurs, violeurs, détourneurs de fonds et mis en examen, qu’on doit forcément en déduire qu’il serait capable d’une telle ignominie. C’est plutôt un coup publicitaire de Pampers cherchant à démontrer que si les bébés n’ont pas bougé c’est parce que leurs couches étaient vraiment « antifuites ». 

En tous les cas, comme en France on n’a pas le droit de porter d’armes, laissant à la police le privilège de pouvoir tirer par erreur sur quelqu’un d’autre que le criminel, on ne peut que saluer la bravoure de celui qui, pendant que les autres filmaient courageusement a tenté, au péril de sa vie, de limiter la casse avec un simple sac à dos. Une reconnaissance tempérée, chez certains, par le fait que le héros ne soit pas un transsexuel de couleur enceint, en surpoids et à cheveux roses qui s’identifie à une libellule, mais simplement un individu à la carnation pâlichonne, rétrogradement catholique et arborant sur son t-shirt un drapeau tricolore dont la présence, à juste titre, modère l’enthousiasme du journal « libération » et l’interpelle quant à sa signification profonde et malodorante. Qu’il se rassure, le type a été reçu par Macron sans lui cracher dessus et lui a servi la soupe : la république a encore de beaux jours devant elle. 

Mais je comprends parfaitement le point de vue d’une certaine gauche. Après tout qu’est-ce que l’assassinat de bébé, sinon une extension, peut-être un peu trop progressiste et enthousiaste, du droit à l’avortement ? Qui nous dit, par ailleurs, pour peu qu’il fût un peu pâle, qu’un des enfants concernés, outre le fait d’être une bombe écologique en puissance susceptible de rouler un jour au diesel, n’était pas un futur Hitler ? Il faut donc se garder d’être trop sévère envers un individu qui a peut-être sauvé l’humanité. En conséquence, il est urgent de tirer les enseignements de ce drame et de voter une énième loi pour lutter contre l’extrême droite et l’antisémitisme. C’est d’une logique implacable. Vous comprenez désormais ce qui se passe dans la tête d’un Mélenchon ou d’une Sandrine Rousseau. Ne me remerciez pas, c’est cadeau. 

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lundi 5 juin 2023

Macron DÉTRUIT en mode FERNANDEL (chanson parodique) (05/06/2023)

Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/A8qIbAqkutI

 
 Sur l'air de "Félicie aussi"
 
Un jour sur télépropagande, 
J’ai vu son regard hébété 
C’est un banquier, vos dividendes 
Disait la voix, vont augmenter 
Il hurlait : « c’est notre projet » 
Le bout du pied me démangeait 
 
Mais c’était l’heure d’aller bosser 
La route était bien défoncée 
Macron lui, aussi 
Au premier plan les montagnes 
Cachaient les fonds de campagne 
Macron lui, aussi 
Les ruines en pierre d’un vieux donjon 
Attiraient beaucoup les pigeons 
Macron lui, aussi 
L’autoradio qui crépite 
Entouré de parasites 
Macron lui, aussi 
 
Quand les cons sont majoritaires 
Démocratie c’est bien mignon 
Le résultat est délétère 
Les médias forment l’opinion 
Les candidats sont pré-choisis 
Dans le créneau « pourri-moisi » 
 
Benalla moins pieu que « physique » 
Se tapait des « ohms », pas des « quantiques » 
Macron lui, aussi 
Jean-Mi était photophobe 
Parfois iel portait des robes 
Macron lui, ??? 
Pfizer, Blackrock ou McKinsey 
Aiment se faire « maîtres », chacun le sait 
Macron lui, aussi 
Surtout pas de malentendu 
Ya pas qu’Alstom qui est vendue 
Macron lui, aussi
 
Après cinq ans je me suis dit : 
« Vont pas quand même le réélire ! » 
Même ceux qui sont pas dégourdis 
Vont bien comprendre que c’est le pire 
Après la dictature covid 
Ils vont pas être aussi stupides
 
EDF est en carafe 
Nos factures ont pris une baffe 
Macron lui, aussi 
On fait la guerre à Poutine 
Notre économie patine 
Macron lui, aussi 
Nos écoliers, formés au sexe 
Par des hommes, en jupe Spandex 
Macron lui, ??? 
La bouteille vide sur ma table 
Est un ex crémant jetable 
Macron lui, aussi