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lundi 29 janvier 2024

L'enfumage n'a pas marché ! Voici ce qu'Attal va faire (29/01/2024)

Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/P67hOKZZofk

Bonjour ! 

Ô surprise, Laurent Fabius a circoncis avec les dents jusqu’aux amygdales la pourtant timide loi immigration, confirmant que le Conseil Constitutionnel (ConCon pour les intimes), telle la mouche coprophage, aux ailes irisées par les reflets du soleil de l’aube sur quelque goutte de rosée matinale qui se pose avec élégance sur la bouse moelleuse encore fumante d’une vache insomniaque, est en parfaite harmonie avec ce gouvernement, sinon fumant, au moins fumeux. Adieu veau, vache et surtout cochon, remise en cause du droit du sol, quotas, préférence nationale… et bonjour régularisations pour les métiers en tension. 

Ça fait un peu mal OQTF, même si on peut, désormais, en délivrer une plus facilement aux gens vraiment méchants, sachant qu’au bout de 3 la quatrième est gratuite, commuée en Oubli de Quitter le Territoire Français quand ce n’est pas en Obligation Quotidienne de Tuer des Français, comme cette famille d’agriculteurs décimée par des sans-« papiers d’Arménie » (pour changer) sous OQTF, roulant avec assurance (et probablement sans), tous feux éteints, dans une BMW que le paysan lambda ne pourrait pas se payer sans vendre un rein. Un véhicule déjà repéré par la douane en raison de nombreux aller-retour en Andorre : probablement l’attrait de la morue à l’aïoli. 

Résultat : une mère et sa fille décédées, chose éminemment moins grave que le passage de poursuivi à trépas du petit Ange Nahel qui, lui, avait donné lieu à une minute de silence à l’assemblée, honneur qui, avec la hauteur morale d’un mollard régurgité flottant paresseusement dans une fosse septique un lendemain de gastroentérite, leur a été refusé par LFI, les verts et renaissance. Une haute posture morale qui n’a pas empêché ce cénacle d’altruistes d’augmenter les frais de mandats des députés de 305€ par mois nonobstant une vigoureuse abstention indignée de La France Insoumise (à quelque chose d’indéterminé qui n’est pas l’islam) qui les a quand même humblement encaissés, et il était temps, car Mathilde Panot commençait déjà à maigrir, épuisée qu’elle était d’avoir débattu, durant la discussion sur la sacralisation du génocide abortif, quant à savoir s’il fallait ou non remplacer le terme « femme » dans le texte par « toute personne en situation de grossesse » afin de ne pas oublier les hommes enceints qui, eux aussi, ont le droit d’avorter… à coup de dragées Fuca. 

« Liberté, égalité, IVG », bienvenue en république où, pendant qu’on tue 250 000 potentiels contribuables par an et toute leur descendance cumulative, on essaie de compenser en allant chercher ailleurs des d’intellectuels de haut viol en tension, prêts pour les métiers éponymes avec l’attribution, en 2023, d’un nombre record de 323.000 titres de séjour, en ce qui concerne les seules entrées légales. Dans d’autres parties du monde, pas assez versées dans l’humanisme pour savoir apprécier les vertus du suicide collectif, la présidente tanzanienne décrète le renvoi de plus de 250 000 réfugiés et le Pakistan vient de chasser un premier lot de 520 000 Afghans en seulement 3 mois. 

Je pensais que tant qu’à jouer les Ganesh en Inde à coup de narine hypertrophiée, ce qui pourrait expliquer son flair pour toujours se trouver, par pur hasard coïncident, à l’autre bout du monde lorsqu’éclate un mouvement social en France, à être à côté, Macron en aurait profité pour s’enquérir de la formule magique de la remigration réussie, mais distrait par le fait qu’on ne le hue pas, il s’est borné à inviter les Indiens à nous envoyer au moins 30 000 étudiants ; probablement parce qu’en plus de la guéguerre juifs-musulmans et des rixes interethniques africaines à coup de machettes, il nous manque encore la guéguerre musulmans-hindous pour avoir la collection panini complète. 

À sa décharge (qu’il l’émette ou la reçoive) il est vrai que la remigration c’est dégueulasse… en tout cas si on en croit Marine Le Pen, en passe de doubler LFI sur sa gauche en mode GTA, prête qu’elle est à couper les ponts avec l’AFD allemande pour avoir osé envisager cette abomination. Mais n’ayons nulle crainte, elle est encore capable de soutenir un petit génocide sous réserve qu’il soit démocratique et modéré (pas plus de 20 000 Palestiniens par mois), ce qui permet encore de faire la différence avec Jean-Luc Mélenchon qui veut juste créoliser la France et nul doute que si elle arrive à se taire suffisamment pour arriver un jour au pouvoir, elle sera aussi intraitable que son clone peroxydé italien laquelle, sur plusieurs milliards de candidats, n’a autorisé QUE 452 000 entrées légales de rien du tout. 

 Mais bon, même si l’on accueille tous les autres, pas d’inquiétude puisqu’on leur apprendra la Marseillaise et que les enfants qu’ils feront aux femmes pubères non ménopausées, peu douées pour la course à pied, deviendront des Français dans l’âme grâce à des cours d’empathie désormais dispensés dans 1200 écoles, complétés par des « séances d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle » avec, pour finalité fort louable, que tels les bonobos qui résolvent ainsi leurs différends, une fois éduqués au progrès, on préfère s’enculer dans un paradis LGBT plutôt que de se quereller. 

Une technique parfaitement maîtrisée par notre Premier ministre, encore frais éclos, qui la propose aux agriculteurs en plusieurs étapettes. D’abord, après des mois d’indifférence médiatique, un mystérieux mécène finance un sondage qui montre que les Français soutiennent le mouvement, sondage qui servira de base pour démoraliser les troupes au fur et à mesure qu’il va fondre. Ensuite, on repère et neutralise les meneurs en les flattant et en les starisant dans les médias tout en promettant beaucoup de bricoles secondaires, rendant confuses les revendications principales, afin de donner l’impression au public qu’ils ont obtenu des choses. Les syndicats, dépassés au début, font alors de la surenchère, style blocus de Paris, pour reprendre la tête du troupeau afin de mieux le trahir le moment venu. Darmanin laisse faire les premières exactions que les médias commencent à monter en épingle. Puis se coagule, au prétexte de la convergence des luttes, toute la chienlit de l’extrême gauche et autre CGT (le « cas Binet », outre d’être malodorant, est révélateur). Une gauche qui ajoute des revendications qui n’ont rien à voir et encore plus de destructions, permettant enfin la répression policière avec l’appui d’une frange de la population, dont la patience est limitée, sur ceux qui n’auront pas encore lâché prise. Rien de nouveau sous le soleil, si ce n’est qu’à force de tirer sur la corde elle se casse et que le ras-le-bol général est tellement énorme qu’il pourrait y avoir de l’imprévu. 

Si les revendications ont l’air confuses, outre le fait qu’elles sont volontairement noyées par les médias, c’est que les agriculteurs, ou tout du moins les parents de ceux qui manifestent aujourd’hui, sont un peu responsables de ce qui leur arrive. En dehors de quelques secteurs particuliers, comme la vigne, qui sont spécialisés depuis longtemps et ont été les premiers à morfler dès les années 70, avec les derniers morts par balle dans des manifestations en France, de ce que j’ai pu observer de mes petits yeux autour de chez moi et plus tard de par mes activités professionnelles, au début était le paysan qui vivait SUR sa ferme : volailles, potager, circuits courts de distribution, troc, échange, polyculture, rotations intelligentes…, puis le rêve américain est arrivé et avec, les sirènes de la finance qui lui ont chanté : « les femmes ne veulent plus vivre les pieds dans la boue. Si tu ne veux pas finir célibataire, comme « L'amour est dans le pré » n’a pas encore été inventé et que Karine Le Marchand est toujours quelque part dans des testicules au Burundi, arrête de te prendre la tête : on te dit quoi planter et quand, on te fournit les intrants qui feront qu’entre les semis et la récolte tu pourras amener madame en vacances et on te garantit les prix ». Au début, ça a marché et ils ont pu construire une maison de type citadin à côté de la ferme, pour madame, avec la Mercedes ou la 504 rutilante garées en bas pour aller acheter les fruits, légumes, volailles et produits laitiers en ville. 

Puis le chimique transformant peu à peu la terre en béton stérile, il leur a fallu des tracteurs de plus en plus gros et toujours plus d’intrants, tandis que le Crédit Agricole leur susurrait de s’endetter pour agrandir afin de conserver leur train de vie. Devenus trop gros pour tout gérer, ils ont confié jusqu’à l’émission des factures à une mafia incestueuse parasitaire regroupant les coopératives et autres organisations professionnelles, les syndicats et l’agroalimentaire, qui, une fois qu’ils ont été bien ferrés, ayant perdu leur autonomie et leurs circuits de distribution traditionnels, bref, une fois qu’ils étaient devenus des agriculteurs, ont commencé à vraiment serrer la vis, se goinfrant toujours plus et les endettant toujours davantage, les privant du moindre contrôle sur leur propre production dont ils découvraient le prix de vente quelques semaines après la livraison quand ils recevaient la facture rédigée pour leur compte par ladite mafia dont la fille est à la coopérative, le fils au syndicat et le père au conseil d’administration de la multinationale quand ce n’est pas la même personne qui fait tout. Bref, ils ont eu la fermière, mais plus le beurre ni l’argent du beurre. 

Après arrive ce qui n’est QUE la cerise sur le gâteau : l’Europe et l’état qui veulent les tuer à petit feu sous les normes et la paperasse, d'abord parce que c'est dans leur ADN et surtout parce qu’ils sont blancs à 99,99% et que tant qu’ils sont là pour rappeler ce qu’est l’essence de la France, Omar SY ne pourra pas jouer Jean de Florette et Netflix ne pourra pas nous vendre que Vercingétorix était aussi noir que Cléopâtre. Les voilà donc réduits à une nouvelle forme de servage, par la dette et leur dépendance aux subventions, sans lesquelles 95% disparaîtraient d’un claquement de doigts, faisant qu’ils ne peuvent même plus revendiquer leur indépendance. Je connais des gens qui sont restés des paysans ou le sont redevenus à temps et qui s’en sortent encore. 

Pour les autres, leur seule chance est de dénoncer clairement la mafia qui les pompe, ce que, pour en faire partie, ne feront pas les syndicats, en tout cas les têtes. Il leur faut également se prémunir de l’infiltration par l’extrême gauche en utilisant l’équivalent de l’ail pour les vampires : des slogans anti-immigration du style « Paysans ou migrants, il faut choisir », seule chose avec laquelle ils ne veulent pas être associés et qui les fait fuir comme un photographe devant Brigitte Macron enceinte ; slogans qui seraient d’autant plus légitimes après le drame récent sur le blocage routier. Et enfin, si l’on veut vraiment une convergence des luttes dans le bon sens, c’est-à-dire, plutôt que d’ouvrir la bouche comme des oisillons dans un nid en espérant que l’état y jette un ver, de scier l’arbre pourri de l’ordre établi qui va, de toute façon, se casser la figure, de sorte qu’il tombe plutôt côté jardin que sur le toit de la maison, quelques drapeaux nationaux et des slogans « l’Europe nous tue » seront toujours les bienvenus. 

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lundi 22 janvier 2024

Il s’est vraiment passé des trucs pas normaux cette semaine (21/01/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/nr5Oi0GeYqI


Bonjour ! 

Après le succès des livres pour enfants : « j’ai 2 papas » et « papa porte une jupe », on pourra désormais envisager le tome 3 : « papa est pédophile » puisque, apportant sa pierre (exceptionnellement pas tombale) à la lutte contre la chute vertigineuse de la natalité, Nordahl Lelandais est l’heureux papa d’un petit garçon conçu en prison, ce qui arrive lorsqu’on sue en prison et que les … mais je m’égare. J’ignore qui est la maman, mais dans un monde médiatique parfait, le jackpot eût été que ce fût la fille de Raquel Garrido et (d’en principe) Alexis Corbières, placée en garde à vue pour avoir déclaré assumer être antisémite et s’en battre les… impossibilités morphologiques (sauf changement de sexe remboursé à 100% par la sécu et payé par la majoration à 1€ de la franchise par boîte de médicament afin de « responsabiliser » ceux qui ont juste un cancer à soigner). 

Le résultat de cette variante de Rosemary’s baby aurait pu ainsi donner naissance à l’antéchrist que certains attendaient avec impatience à la 54e édition du Forum Économique Mondial de Davos, lequel a ciblé la désinformation, forcément antisémite dès qu’on pousse le raisonnement, comme menace principale de l’année 2024. Si j’ai bien tout compris, nous vivons donc dans un monde où le complotisme proprépuce est plus grave que la pédophilie. Si quelqu’un s’assume pédophile, même s’il a un poster de Cohn Bendit accroché au mur (preuve qu’au moins, il n’est pas antisémite), tant qu’il n’a pas commis un acte ou détenu et partagé du contenu pédophile, on sera certes fondé à ne pas le laisser tourner autour de Gabriel Attal, mais il n’enfreint aucune loi. Quelqu’un qui s’assume cannibale, tant qu’il n’a pas fait rôtir Gérard Larcher avec des aromates bio, ne risque absolument rien et son taux de cholestérol non plus. Quelqu’un qui s’assume séropositif, tant qu’il ne transmet pas sciemment sa maladie en la cachant, ne peut pas davantage être inquiété et c’est normal. En revanche, quelqu’un qui s’assume antisémite, même s’il n’a commis aucun acte antisémite ou même appelé à en commettre, peut, apparemment, être placé en garde à vue. CQFD. 

Personnellement, mes détestations se limitent aux petits pois, ce qui libère la police pour d’autres tâches moins prioritaires qui ne mettent pas en danger la république comme : les 3000 meurtres annuels et les 1000 agressions quotidiennes (dont entre 100 et 200 à l’arme oppressivement blanche) qui donnent un « sentiment » d’insécurité à quelques étroits d’esprit d’ultradroite qui chipotent sur des nuances subtiles comme « être ouvert à l’autre » versus « être ouvert par l’autre ». Quand le criminel est carencé en mélanine, le landau de Lelandais choque, et sur le plateau de Touche Pas à Mon truc en P, on clame tranquillement qu’il ne devrait pas avoir le droit de transmettre ses gènes, soit, mais pourquoi les mêmes, quand certains, au bout de X générations de présence sur le territoire, se comportent toujours comme des racailles, montent-ils dans les aigus si des nazis en puissance évoquent l’idée nauséabonde qu’il y a peut-être, à la base, dans certains cas, là aussi, une incompatibilité génétique avec notre mode de vie, incompatibilité susceptible de refaire surface, y compris, parfois, dans la progéniture de ceux, car il y en a, qui se comportent bien. 

Cela dit, nos sociétés n’ont pas besoin d’apport extérieur pour sombrer d’elles-mêmes dans l’idiocratie au point d’avoir nommé au désormais « gay » d’Orsay un syntaxophobe uniglotte, qui n’a visiblement pas assez « séjourné » sur les bancs de l’école, ou encore avec une ministre, accessoirement de l’éducation, qui n’a pas eu que de bonnes notes ou des A. Caste, erratique à elle seule tant elle représente l’archétype de cette branche dévoyée du catholicisme friqué qui préfère le lointain au prochain (avec l’argent des autres), mais s’assure que ledit lointain le reste pour sa progéniture, mise à l’abri dans une école privée. Ministre qui, de surcroît, frise les 1/10 en mensonge acrobatique sur l’échelle internationale de Véran. Dès lors, certains nostalgiques des heures à faible consommation énergétique pourraient être tentés de se dire que, nonobstant une fixette critiquable sur des histoires de courbure de nez, faute de tigres à dents de sabre cis hétéros pour assurer la sélection naturelle, contrairement à Élisabeth Borne, l’idée d’eugénisme a peut-être été mise de côté un peu vite, surtout quand on voit la gueule des tenues officielles des JO supposées célébrer (dixit leur créateur) « le métissage », lequel remplace donc officiellement la fraternité dans le triptyque républicain et se voit appliqué aux couleurs du drapeau national dans une vague évocation de couche Pampers décolorée par un incontinent urinaire non genré après abus de Budweiser. 

Toutes ces circonvolutions pour, au final, tenter hypocritement de quand même compenser ladite dégénérescence génétique (laquelle se traduit par des femmes faisant littéralement « la queue » - et réciproquement - pour se faire engrosser par un pédophile) avec des béquilles technologiques et autres implants d’homme soi-disant « augmenté » ; en d’autres termes le « trans » humanisme ce qui, par les temps qui courent, peut prêter à confusion, quoi que…. 

Le souci n’est pas tant d’augmenter la quantité que la qualité, sinon où serait la nécessité du « réarmement démographique » décrété par Emmanuel Macron et qui inquiète tant les féministes 2.0 plus préoccupées de ce qui entre dans leur utérus que de ce qui en sort, à l’image de celle qui a laissé se démerder seul, pendant deux ans, dans un appartement sans électricité ni nourriture, le représentant du patriarcat toxique âgé de 7 ans qu’elle avait enfanté, tandis qu’elle explorait les joies du saphisme chez sa nouvelle copine. Pas en reste, Sandrine Rousseau, quand elle ne joue pas les SDF avant d’aller se sustenter dans une brasserie cossue du 7e arrondissement, refuse que l’on prenne son utérus en otage, mais même le Hamas a une éthique. Il est vrai que pour une gauchiste, certes le nombre des naissances n'a pas été aussi bas depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, mais, du moment que, grâce à l’importation massive d’ingénieurs nucléaires et d’agrégés de lettres classiques à flottabilité modérée, la population a augmenté de 0.3% par rapport à l'an dernier pour culminer à 68,4 millions de « Français » début 2024, il n’y a pas de problème. Sans compter un nombre indéterminé car indéterminable d’enrichisseurs culturels illégaux, mais qui ont quand même des droits qu’ont défendus ce dimanche quelques abr… grands humanistes, mais petits payeurs. 

Qu’importe, insensible aux cris du migrant qui hurle dans la nuit froide, notre grand timonier, qui sans avoir enfanté est un « perroquet », dans un réflexe eugéniste nauséabond, annonce vouloir booster la natalité… en inscrivant l’avortement dans la constitution et en faisant passer le congé parental de 3 ans à 6 mois. Au cas où ce ne serait pas encore suffisant, il a même démarré une croisade contre le « fléau » de l’infertilité inexplicable de certains couples, notamment homosexuels, ce qui se traduira, n’en doutons pas, par des aides à la PMA, GPA et autres joyeusetés. 

Au cours d’une opération d’enfumage (diffusée façon Kim Jong-un sur toutes les chaînes et que quasiment personne n’a regardée) consistant à laisser quelques journalistes pas au chômage poser des questions (dont partie avait été communiquée à l’avance par SMS) sans aucun droit de relance à un Macron qui pouvait répondre n’importe quoi sans être contredit et en jouant les omniscients, on a quand même appris que les émeutes de l’été dernier étaient le résultat de trop d’oisiveté, Kevin et Matéo, outre le fait de ne pas connaître la Marseillaise par cœur, n’ayant pas eu cours de théâtre et cours tout court en mai et en juin. On n’avait plus atteint ce niveau de foutage de gueule depuis la largeur des trottoirs pour expliquer pourquoi, dans la rue, une femme en minijupe a l’espérance de vie d’Alain Delon en cas de huitième dose et pourquoi le sexe faible, d’une manière générale, s’y fait de plus en plus agresser par des gens qui n’ont même pas la courtoisie d’avoir le phénotype de Gérard Depardieu pour que les féministes puissent les dénoncer. 

Dans cet univers parallèle Macronien, pas un mot et aucune question sur l’agonie de nos agriculteurs qui, à l’instar de leurs homologues allemands, commencent, telle Mathilde Panot congelée sous une tente de SDF, à durcir le « ton », avec des barrages un peu partout, des radars détruits et même un bâtiment de la dréal explosé façon fondement pas assez dilaté, ce qui a amené un Attal, soudainement réceptif, à émettre l’idée révolutionnaire que lesdits agriculteurs « devraient pouvoir vivre de leur travail ». Mais ce n’est pas ce qui inquiète notre ielaperruquophile, focalisé sur l’Ukraine, avec laquelle il a annoncé la signature d’un accord de garantie de sécurité et, outre 78 Caesar, la livraison de 40 missiles et bombes SCALP à longue portée supplémentaires. Autant les lancer directement sur la Russie, comme ce dimanche sur un marché à Donetsk, cela fera gagner du temps. 

On sent que si Poutine ne se dépêche pas d’envoyer un missile supersonique dans la piscine du Fort de Brégançon en guise d’avertissement, la prochaine étape sera d’expédier de la chair à canon française en remplacement de l’ukrainienne laquelle, contrairement aux chromosomes Y à l’Élysée, commence à se faire rare. C’est en tout cas ce que j’ai compris quand il a déclaré : « Nous aurons très clairement, nous Français et nous Européens, à prendre des décisions nouvelles, dans les semaines et les mois qui viennent, précisément pour ne pas laisser la Russie gagner ». Surtout si l’on considère qu’après la Suède, c’est désormais l’Allemagne qui demande à ses citoyens de se préparer à l’éventualité d’une guerre contre ladite Russie, guerre qui est l'issue traditionnelle des oligarques et de leurs caniches pour ne pas finir au bout d’une pique devant l’échec de leur dystopie à base d’éoliennes, de drapeaux arc-en-ciel, de piqûres magiques et de farine d’insectes. On annonce d’ailleurs, prochainement, de grandes manœuvres inédites de l’OTAN avec le déploiement de plus de 90000 hommes, 50 navires et 80 avions.

Leur seconde option pour éviter de perdre 30 cm au-dessus des épaules étant l’activation de l’hypothétique Virus X, également discuté à Davos, et qui vient de devenir réalité depuis que des chercheurs chinois ont testé sur des souris « humanisées » (à l’aide de tout petits pénis, on suppose) une variante du coronavirus issue d’un pangolin (et transmissible à l’homme) avec un taux de décès de 100%. C’était bien la peine de faire tous ces efforts pour empêcher les vaches de péter. Dire qu’on va tous crever juste au moment où Trump venait d’exploser tous les compteurs en Iowa faisant que, sauf une Kennedy, on ne pourra l’empêcher de gagner les primaires et que l’on vient de découvrir que Titan, la lune de Saturne, possède pas moins de 40 fois plus d'hydrocarbures que la Terre tout entière. Donc, soit les complotistes, tenants du pétrole abiotique (qui serait alors présent en beaucoup plus grande quantité que ce que l’on nous raconte) ont, encore une fois, raison, soit le pétrole est bien une énergie fossile, les dinosaures étaient très intelligents et, plus fort que les Américains, toujours infoutus, après des décennies d’innovations technologiques, de renvoyer un vol habité sur la lune, ont tous déménagé sur Saturne il y a 66 millions d'années plus quelques jours pour les bissextiles. 

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lundi 15 janvier 2024

Remaniement : c’est encore pire que ce que vous pensez… (15/01/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/m_wpKAh-1hg

Bonjour ! 

Il faut que quelqu’un ait le courage de le dire : il n’y a pas assez de juifs et d’homosexuels dans la politique française, un état de fait déplorable qui nous renvoie aux heures les plus sombres de notre histoire… depuis l’invention de l’électricité. Même si, comme l’a fort justement souligné, à l’époque, le frétillant Manuel Valls, les uns sont l’avant-garde de la république et que les autres arrivent juste derrière, ce qui peut être dangereux en cas de freinage brusque, force est de constater qu’ils ne sont pas représentés proportionnellement à leurs mérites, même si Meyer Habib fait ce qu’il peut pour occuper un maximum de volume et que le rassemblement national, de son côté, fait largement dans « l’attente ».

Une ostracisation qui fait tache d’huile dans la société civile où les préposés au marteau-piqueur et autres collecteurs d’ordures ménagères cachent visiblement leur kippa et leur drapeau LGBT. Mais j’ai ouï dire que les choses seraient en train de changer grâce à une méthode innovante de cumul qui permettrait d’en caser un petit peu plus. Il se murmure, par exemple, que les 49-3 éructés par Elisabeth Borne n’auraient été qu’une tentative d’expulser une boule de poils coincée au fond de sa gorge, son manque de souplesse faisant qu’il soit peu probable qu’ils aient été les siens, un trichobézoard enroulé autour du caillou allemand que l’on croyait égaré par son père, lequel s’appelait Bornstein. 

Après cette hybridation dans la douleur, il eût été fort dommageable, pour le pays, qu’au prétexte d’un remaniement, nous revinssions en arrière en matière de représentativité 2.0, même si un doublé au poste de Premier ministre semblait aussi peu probable que la découverte d’une photo de Brigitte Macron enceinte confirmée au carbone 14. Et pourtant, probablement en relation avec un prénom d’archange, envoyé par Dieu, selon Christophe Barbier, pour sauver Macron, le miracle semble s’être reproduit, donnant naissance, cette fois, non plus à une créature filiforme et fripée, mais à un être de lumière en tout point parfait. Si la chose est avérée, on ne pourra qu’admirer l’abnégation de celui qui, pour pouvoir chausser les deux casquettes et maintenir un semblant de parité au plus haut niveau de l’État, a dû surmonter le challenge d’un organe aux capacités coulissantes probablement altérées et donc peu adapté aux espaces exigus, à supposer, bien sûr, qu’il ait « séjourné » dans l’intimité du nouveau ministre des Affaires étrangères et non l’inverse, ce qui, de toute façon, ne nous regarde pas. 

Quel dommage que ces deux Premiers ministres d’exception, n’aient pas partagé, de surcroît, une troisième casquette sous forme d’appartenance à un forum économique ou obédience maçonnique quelconque souffrant souvent d’une truellophobie pas assez fermement dénoncée résultant, là encore, en une pénurie de francs-maçons dans la sphère politique. Quel symbole c’eût été : un de ces évènements exceptionnels, lesquels ne se produisent, dit-on, qu’une fois tous les mille ans, quand le trou noir d’Uranus s’aligne sur la constellation du triangle. C’est d’autant plus remarquable que c’est le très viril Emmanuel Macron (qu’on a pu observer, ces jours-ci, en cosplay de boxeur, gants sur l’épaule), lui-même marié à un parangon de féminité, qui, bousculant courageusement les conventions, passant des gnons sur sac de frappe à des mi-gnons en mode Henri III, nous fait ce cadeau inestimable. Un symbole salué dans le monde entier, de la savane africaine aux plaines de l’Oural jusqu’aux rives du Mékong où, enfin libérés de leurs chaînes, des femmes à cheveux bleus et des hommes déconstruits, en liesse, voire en laisse, envahissent les rues, porté.e.s par un vent irrépressible de liberté ou de méthane. 

La France is back, Rachida Dati aussi laquelle, outre sa maîtrise incontestée de la conjugaison du verbe savoir à l’imparfait du subjonctif, d’où sa nomination au ministère de la Culture, est aussi membre du club très fermé des mis en examen dont le jugement approche (pour une histoire de 900 000€ qui lui ont été gracieusement offerts sans contrepartie) et ne pouvait donc pas vraiment refuser l’offre et le traitement Moretti qui va avec, lâchant ainsi la grappe, au passage, à miss Tahiti qui veut se baigner dans la seine, le temps des JO, ce qu’on appelle, en culture gay, se faire un Pierre en deux coups.

Emmanuel Macron l’a dit : il compte sur l’énergie de Gabriel Attal. On ignore s’il se réfère à l’éolienne ou à la thermique, l’homme, bien que contre l’abaya, étant, paradoxalement, à voile… (et à vapeur selon une chanteuse connue), touchant même peut-être un peu à l’hydraulique, car pour paraphraser Corneille et faire taire les médisants qui le trouveraient trop jeune : « l’avaleur n’attend point le nombre des années » d’autant que, pour peu qu’il pédale, il pourrait, en plus, ajouter la mécanique à la collection ; dommage que si des champignons il a, ils ne soient pas nucléaires, mais personne n’est parfait. Gageons que malgré tous ces atouts, il devra consommer beaucoup de café afin de tenir le choc, sachant qu’à partir de « dix lattés » il ne peut que seoir à Bruno Le Maire lequel l’aura désormais au-dessus de lui. Un Bruno Le Maire qui a fait du tellement bon travail qu’il reste en poste, à l’instar des 3 autres cavaliers de l’apocalypse : Dupont-Maserati, Darmanin de jardin et Lecornu habillé, avec, en filigrane, l’ambition de mettre également la Chine à genoux et peut-être le Lichtenstein, s’il lui reste du temps. 

Contrairement à ceux qui, faute d’être trop aidés, avancent par étapettes, l’ascension de Gabriel a été fulgurante. Selon la presse, dithyrambique, il serait brillant, certains lubrifiants « aqueux » reflétant probablement la lumière ; pour ma part, n’ayant vu que sa tête, je n’ai rien remarqué de particulier. Nonobstant, ce n’est pas lui qui décide donc, même s’il sait choisir des collaborateurs honnêtes, comme sa ministre du sport et accessoirement de l’éducation, laquelle admet que ses gosses sont dans le privé parce que le public c’est, en gros, de la substance fécale, ou sa ministre des solidarités qui pensait, à l’époque, qu’un coït marital était supposé produire autre chose que de ladite substance et qui invoque, à présent, une crise aiguë de palinodie pour expliquer son revirement concernant sa position, quelles que soient ses qualités, soit c’est le poulain choisi par le système, auquel cas on lui laissera peut-être faire deux ou trois concessions pour ne pas se griller, accompagnées de promesses verbales comme les 32 milliards pour l’hôpital avant que, comme à l’accoutumée, il ne prenne une ligne de poudre… d’escampette avant qu’on ne réalise qu’il n’a rien fait du tout ; soit, dans le cas contraire, ce sera simplement « anus » horribilis pour tout le monde. 

Le seul but de Macron étant de durer jusqu’à la fin de son mandat pour s’assurer que la France ne puisse pas s’en relever, Attal est juste une de ces diversions dont il a le secret qui lui permettent de gagner 3 mois entre chaque enc… réforme impopulaire, le temps que le soufflé retombe. Ensuite il dira : « regardez là-bas, des européennes ! » ce qui lui fera gagner 3 mois de plus et, après la déculottée (et plus si affinités) qui va probablement s’en suivre (parce que ça va « barder, là ») on aura un autre remaniement qui lui fera encore gagner quelques mois, sachant que s’il tient jusqu’à un an et demi des présidentielles, les gens considèreront que ce n’est plus la peine de se révolter et attendront patiemment l’échéance pour se faire baiser encore une fois par le système qui, telle une araignée, tisse patiemment sa toile. Après, comme en Pologne, où s’installe une véritable dictature européiste au mépris des institutions, il sera trop tard. 

Pendant que nos médias, dégoulinants, eux-aussi, d’une infecte hétérosexualité antisémite et non fraternelle, nous gavent avec Attal, Depardieu et Alain Delon en large, pas un mot sur la gilet-jaunisation de l’Allemagne, entièrement bloquée par des dizaines de milliers de tracteurs et de camions ainsi que des grèves illimitées dans les transports avec l’appui des commerçants, le tout massivement soutenu par la population et qui font écho aux cris d’agonie de nos agriculteurs, passés, eux aussi, sous silence. Ce serait ironique que le renversement de l’UE débute en Allemagne, où même la gauche, avec Sarah Wagenknecht, devient farouchement anti-immigration, même si je ne suis pas sûr que, sauf à couper littéralement des têtes, seule chose que redoute l’oligarchie, cette dernière, qui reprend déjà des éléments de langage et de diabolisation macroniens, se laisse intimider, parlant même de dissoudre l’AFD ; d’autant qu’elle a fini par croire à ses propres salades et par sombrer dans un fanatisme idéologique qui passe avant les considérations économiques qui étaient, pourtant, la finalité consensuelle de départ de ses mensonges. 

D’ailleurs, le camp du bien a commencé à bombarder le Yémen sans mandat de l’ONU pour protéger l’approvisionnement d’Israël afin qu’il puisse continuer à bombarder démocratiquement Gaza et désormais le Sud Liban, tandis que Zelensky n’a plus que des chars de GayPride à opposer à Poutine et que le résultat des élections à Taïwan vient de faire remonter la température dans la région de quelques degrés, selon où l’on place le thermomètre. Tout ça ne peut que bien se terminer. 

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lundi 8 janvier 2024

Ben, mon cochon, il s’en est passé des trucs cette semaine… (08/01/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/nq_4tys7q90

Bonjour ! 

Le couscous c’est un peu comme l’abattant de la cuvette chez les Macron, c’est toujours relevé. Du coup cela excite un peu d’où, très probablement, les jets de pierre, même si parfois « cépol » (ou Kevin ou Matéo), sur la police et les pompiers dans le désormais célèbre quartier de la Monnaie. Caillassages à la faveur de la nuit et des éclairages urbains éteints pour emmerder Poutine, ce qui est toujours mieux qu’en journée, car comme l’a expérimenté le pauvre Thomas, confronté aux mêmes, il vaut mieux se prendre des coups tard que des couteaux. 

On ne sait pas comment sont les abattants de cuvette chez Trudeau, dont la maman était très « Fidel », raison pour laquelle il « CASTRO » les roubignoles à nos infortunés cousins québécois-(coubeh, comme on dit en bon français). Toujours est-il qu’il a rendu obligatoire l’installation de distributeurs de produits menstruels, dans toutes les toilettes des bâtiments publics, y compris celles pour hommes. Fort heureusement, il a aussi prévu des contenants d’élimination pour que rien n’entrave l’eau d’évacuation. 

Peut-être qu’un tampon évitera à certains d’uriner en biais, ce qui peut être dangereux, surtout pour Élisabeth Borne qui, si elle se prend un « jet », peut devenir Bor-G-ne, d’autant qu’elle a le mauvais œil en ce moment et que bruissent les rumeurs d’un remaniement. Un remaniement qui remettrait à zéro le compteur des 49-3, mais qui aurait l’impact d’un lubrifiant aromatisé à la pistache sur une sodomie non consentie avec une râpe à fromage. 

On envierait presque les Japonais qui eux démarrent l’année avec simplement un tremblement de terre et un A350 qui flambe, mais dont tous les passagers sont sortis calmement au milieu des flammes, dans l’ordre, laissant toutes leurs affaires à bord, ce qui a « miraculeusement » permis de sauver tout le monde, un vrai miracle eût, bien sûr, été le même résultat sur un vol retour « Marseille- Marrakech ».

Bref, depuis l’arrivée de Macron et sa vision du « plein emploi » à base de passages piétons, on a observé une hausse de 70% des smicards et de 240% du nombre des autoentrepreneurs dont la majorité ne gagne pas l’équivalent d’un petit déjeuner de Gérard Larcher les jours de carême, le tout en conservant « officiellement » plus de 5 millions de chômeurs dans les catégories autorisées, lesquels s’obstinent à ne pas vouloir traverser la rue, la production française est au plus bas depuis 2020 quand le pays était quasiment à « l’arrêt » (d’où l’impression de sodomie) et alors qu’on essaie de nous vendre la baisse de la hausse de l’inflation qui demeure une hausse, les derniers chiffres font apparaître une baisse de la baisse de la hausse soit une hausse de la hausse qu’on nous présente comme une baisse. 

On va quand même en profiter pour rogner un peu le taux du Livret d’Épargne Populaire, histoire d’écoper le Titanic avec un dé à coudre parce que, comme en témoigne un nouveau titre, décerné par l’OCDE, de champion du monde des impôts, avec un taux de prélèvements obligatoires représentant 46,1 % du PIB, non seulement on est à l’os, mais on attaque la moelle. Ce qui ne nous empêche pas de rendre hommage à l’un des principaux artisans de notre déchéance, lequel, si on se base sur ce qu’il a produit, n’aurait pas dû s’appeler Delors, en lui faisant des funérailles nationales sous la symbolique d’un petit drapeau français, sur un cercueil, dominé par un gigantesque anus étoilé européen. 

On se consolera en se disant que les enculages, c’est quand même un peu de chaleur humaine et on va en avoir besoin, car après la sécheresse annoncée cet été, assortie d’un plan eau (que tout le monde a oublié) pour protéger nos nappes phréatiques alors qu’il eût été mieux avisé de construire une arche dont auraient bien eu besoin ceux qui n’ont toujours pas de Calais, mais beaucoup d’eau, c’est autour du réchauffement climatique de trahir Sandrine Rousseau avec des -40° depuis trois mois dans les pays scandinaves et de l’eau qui gèle dans les canalisations. Une vague de froid complotiste qui arrive chez nous, probablement parce qu’en raison de l’inflation on a moins flatulé après le réveillon, ne relâchant pas assez de méthane et de CO2 dans l’atmosphère pour la réchauffer. 

Heureusement que, grâce au compteur LINKY, le gouvernement peut désormais baisser à distance la puissance de votre compteur EDF, vous laissant généreusement de quoi recharger votre portable, mais pas votre voiture électrique ce qui tombe mal au moment où démarre le leasing « social » à 100€, hors entretien, assurance et options (ce qui fait donc plutôt 200) et limité à 20 000 véhicules en 2024, réservés à ceux qui, logique macronienne, au vu des critères de revenus exigés, ne peuvent pas sortir 200€ par mois (sauf à dealer tout en touchant les aides sociales) ; d’autant que si on leur crame ou vole le véhicule, ce qui est, certes, fort rare dans un pays civilisé comme le nôtre où, selon Darmanin, 749 voitures brûlées pour fêter la nouvelle année représentent une diminution de 10% par rapport aux 690 de l’an dernier, ils devront quand même continuer à payer ledit loyer pendant 3 ans tout en roulant à pied. 

Aucun rapport, mais je n’envisageais pas de parler d’enrichissement culturel cette semaine comptant sur la révélation des noms dans l’affaire Epstein pour faire plaisir aux gauchistes en leur concédant que oui, il n’y a pas que des migrants sous OQTF qui font des saloperies, il y a aussi… des démocrates lesquels doivent se faire de la bile en ce moment : de la bile Clinton ou de la bile Gates, entre autres. Mais il faudra patienter encore un peu, car seulement un quart des noms est sorti et en raison, probablement, du réchauffement climatique, les vidéos, disques durs et dossiers trouvés par le FBI dans le coffre-fort d’Epstein, sur son île, se sont mystérieusement évaporés, un peu comme les originaux de la mission Apollo 11, effacés par erreur, et tous les dossiers sur l’affaire Enron malencontreusement détruits dans l’effondrement de l’immeuble qui, pas frappé par un avion, s’est effondré par solidarité avec les deux autres, le 11 septembre 2001. 

Je pensais d'autant moins évoquer, encore une fois, l’ouverture à l’autre (ou par l’autre) que l’année s’était terminée sur une fillette de 7 ans agressée sexuellement, en plein jour, dans les jardins du Trocadéro, sous le regard outré de la tour Eiffel elle aussi dressée, mais majestueusement. J'en étais donc arrivé à la conclusion raisonnable que la barre était désormais trop haute pour que, quoi qu’il se passe de nouveau, ne rentre pas dans le cadre de notre nouveau normal déjà blasé par les viols quotidiens devenus banals, tels, cette semaine, une jeune femme culturellement enrichie en sortant des toilettes d’un bar (comme quoi pénétrer en sortant n’est pas contradictoire) ou cette autre, violée 3 fois par un individu en voie d'intégration républicaine si l'on considère qu’il a pris une douche entre chaque prestation. 

Et bien non, dès le premier janvier, le record de l’ignominie a été battu avec un être à pouces opposables s’infiltrant, par une fenêtre, dans le domicile d’un couple âgé, violant la femme de 75 ans devant son mari paralysé, avant de leur piquer ce qu’ils avaient sur eux, à savoir 50€. Peut-être qu’il faudrait aller expliquer dans certaines contrées lointaines que Macron n’est pas représentatif et que non, la gérontophilie n’est pas une condition à une intégration réussie en France. 

Toujours est-il que, selon la Cour des comptes (pas sur moi), qui a délibérément attendu après le vote de la loi immigration pour publier ses chiffres, la seule immigration illégale nous coûte un bras et un bout d’épaule. Par ailleurs, on apprend que les promoteurs n’arrivent pas à vendre les appartements du village olympique qu’on a eu la bonne idée d’installer dans le 93, nouvelle Californie selon notre grand timonier : seuls 7 sur 88 ont trouvé preneur. On se demande bien pourquoi, alors qu’ils ont pourtant vue sur la Seine… du crime si l’on considère l’hymne officiel desdits JO, une soupe rythmique aux vagues accents andalous avec des borborygmes en anglais sur laquelle « dansent » des gens bariolés semblant atteints de la maladie de Creutzfeldt-Jakob dont Pfizer vient d’admettre qu’elle fait partie des effets secondaires de leur piqûre magique. 

Une vache folle qui, visiblement, attire les mouches imaginaires qu’ils ont l’air de chasser, même si, devant une telle m…, les vraies ne devraient pas tarder à rappliquer. Il est clair qu’après l’immonde démonstration d’heures les plus sombres à base d’accordéon antisémite et de tradition française nauséabonde de la coupe du monde de rugby, la France se devait de corriger cette abomination et de montrer à la terre entière… qu’elle n’est plus rien. 

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lundi 1 janvier 2024

Youpi, on a survécu à 2023, Brigitte n’est pas Brigitte et autres infos… (01/01/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/AMY8lkrmvks

Bonjour !
À l’exception de Patrick Buisson surnommé, depuis qu’il est feu, l’ardent Buisson et non l’inverse (faut pas pousser non plus), de la chair à canon plus ou moins circoncise des conflits dont on nous parle et de ceux dont on ne nous parle pas, du salopard qui nous a englués dans le mensonge européen et dont on ne dira plus en le voyant vieillir : « Tiens, Delors dure ! », de Thomas qui s’est banalement suicidé en se jetant contre un innocent couteau, du petit ange Nahel qui slalome à présent sans permis parmi ses 72 …. 71 …. 70… enfin parmi les vierges qui lui restent et des victimes adultes de la mort subite du nourrisson (sans rapport aucun avec une quelconque vaccination), contre vents, marées et dilatations anales, globalement, nous avons survécu à 2023… pour payer des impôts et des taxes en 2024 et bosser jusqu’à 64 ans en dépit de l’arrivée massive de physiciens quantiques supposés justement payer nos retraites et non se payer des retraitées comme certains, moins versés dans notre belle langue que des traducteurs afghans, semblent l’avoir compris.
 
Encore un de ces mystères irrésolvables, à l’instar de la photophobie de notre première dame, dont l’IA la plus fiable de la planète en matière de reconnaissance faciale, capable de distinguer 1,4 milliard de Chinois entre eux, ose prétendre qu’elle n’est pas Brigitte Trogneux et que La Fontaine avait raison en décrétant : « si ce n’est toi, c’est donc ton frère… ». Peut-être que si BFMTV en parlait, ses audiences catastrophiques remonteraient. Heureusement, après l’échec de l’anusophile Ruquier, placé là par l’anusophile Fogiel, placé là par l’anusophile... mais je m’égare, il leur reste l’affaire Depardieu, et Depardieu, mathématiquement ça fait 4, comme les cheveux qu’on coupe autour, en raison d’ex-bombes à retardement lacrymal dont c’est le métier de pleurer sur commande lesquelles n’avaient rien à cirer de la solidarité féminine dont elles se réclament aujourd’hui quand elles nageaient dans les paillettes et qu’elles exhibaient leur arrière-train de vie et leur poitrine refaite sous le nez de leur femme de ménage. 
 
Actrices que l’on entend moins, lorsque les perpétrateurs ne sont pas des mâles blancs de plus de 50 ans, mais des individus exotiques à vous créoliser rectalement un Mélenchon sans les mains, sur les viols dans les halls d’immeubles de jeunes et moins jeunes femmes qui, elles, n’obtiennent rien en échange, sauf peut-être le VIH et un pin’s « padamalgam ». L’affaire Depardieu, c’est juste le cinéma qui se meurt de sa médiocrité depuis sa confiscation par un entre-soi subventionné et de la dévaluation marchande des corps, provoquée par la libération féministe des mœurs rendant impossible l’éclosion de nouvelles stars dans une surenchère de fesses et ce, le temps que l’intelligence artificielle, qui remplace déjà avantageusement les instagrammeuses, mette tout le monde d’accord et au chômage. 
 
En attendant, il reste les super zéros Marvel dont le principal super pouvoir consiste à changer de sexe et de couleur (un peu comme les personnages de Disney), les films éternels sur les méchants nazis qui traitent les Juifs comme de vulgaires Palestiniens, les Cléopâtre noires, les Napoléon erratiques et les chefs-d'œuvre comme les « SEGPA » dont le public auquel ils sont destinés assure la 4D sans lunettes dans les salles de cinéma jusqu’à l’intervention de la police. Ce n’est pas la loi immigration, guère plus efficace, avant même son passage par le Conseil constitutionnel, qu’un coup de taser sur un mineur bien « isolé » qui va changer les choses. 
 
Rien que ce 28 décembre, à Cannes, après avoir demandé à une dame qui passait de lui montrer ses seins et devant le refus raciste de cette dernière d’accéder à cette requête pourtant on ne peut plus normale, un migrant, pris d’une juste colère, lui a cogné la tête contre le trottoir avec une modération qui l’honore, histoire de lui apprendre la politesse élémentaire, puis, réalisant que son nez n’était pas parfait, le lui a gratuitement redressé à coups de pied, salissant malheureusement ses baskets au passage. On ignore encore si le juge va condamner, comme il se doit, cette dame pas assez ouverte à l’autre à payer les frais de teinturier.
 
Dans ces conditions, que vous souhaiter, amis survivants, pour 2024 ? Santé, bonheur et prospérité, par les temps qui courent, c’est peut-être un peu trop demander. Ne pas succomber à un excès trop tranchant de sentiment d’insécurité afin d’être encore là en 2025, me semblerait déjà pas mal. Et collectivement, on peut souhaiter au pays un maximum de liberté d’expression, car si on ne peut pas dénoncer les problèmes on ne risque pas de trouver de solutions. Le hic, c’est qu’identifier les problèmes conduit à identifier les causes, ce qui conduit à identifier des coupables lesquels font donc tout pour brouiller les cartes, aggravant encore la situation. Certes, éliminer l’incendiaire n’a jamais arrêté un incendie, de même que stopper l’immigration, même si c’est souhaitable, n’empêchera pas que flambe la natalité des Français de papier hautement inflammable et autres résidents plus ou moins légaux qui sont déjà là et suffisent, à eux seuls, à nous grand remplacer à l’horizon 2050, d’autant qu’on vient de décréter 111 nouveaux quartiers prioritaires (prioritaires pour les subventions illimitées sous peine d’émeute s’entend), soit un total de 1362 zones de non-droit réparties pour la première fois sur l’ensemble du territoire jusqu’en Lozère. 
 
J’ai longtemps pensé que commencer par la chasse au coupable revenait à mettre la charrue avant les Gérard Larcher, mais il me faut bien admettre que ce n'est plus le cas si c’est ledit coupable qui détient la clé du local des camions de pompiers et que non seulement il a allumé le feu, mais qu’il empêche de l’éteindre, voire en déclenche de nouveaux sans arrêt, car il sait qu’une fois le sinistre maîtrisé, tout le monde va se retourner contre lui. Depuis Robin des bois, lorsque l’incendiaire se niche au cœur du pouvoir, le réflexe est de saper son autorité en prenant le maquis où l’on se replie après avoir éliminé des sbires de-ci, de-là et saboté des infrastructures, mais la technologie, les satellites, la vision infrarouge, les caméras de surveillance, les traceurs GPS et tout ce qu’on ne sait pas, font que, même en forêt de Sherwood ou, à défaut, dans les tréfonds du bois de Boulogne (où, en outre, on risque d’être repérés par Frank Tapiro et son épouse), ce n’est plus possible aujourd’hui. Le seul moyen serait une gigantesque vague populaire spontanée, un tsunami, lui aussi de plus en plus improbable, le pouvoir profond s’ingéniant à nous diviser en nous diversifiant et en brisant la cohérence ethnico-culturelle et les idéaux nationaux qui l’accompagnent. 
 
Nous en sommes donc réduits à espérer que le mouvement de fond vienne d’ailleurs en regardant ce qui se passe en Ukraine, Israël, Asie et USA. Pendant que la France crame, à la demande de l’état profond américain justement, notre flotte, consciente des priorités du gouvernement, essaie d’empêcher le blocus d’Israël par les rebelles Houthis en mer rouge, lesquels en font des caisses (à Houthis). Généreuse avec nos sous, notre marine tire en moyenne deux missiles à 2 millions d’euros pièce pour intercepter chaque drone à 10 000 € lancé par lesdits Houthis, et ce, sans présenter la facture à personne. Pendant ce temps, on continue d’allonger pour l’Ukraine sans qu’on n’ait jamais demandé, ni à vous ni à moi, si on était d’accord, tout en transférant le peu d’autorité qui nous reste à l’Union européenne en passe de réaliser rien moins qu’un coup d’État et de se proclamer état fédéral. 
 
J’attendais le discours de Macron avant de clôturer cette vidéo, espérant que, pour une fois, en plus de parler, il allait dire quelque chose, preuve que je suis un éternel naïf. Il a remercié la maniaque du 49-3, plutôt que de la « remercier » et, pan ! dans le nez de ceux qui le disaient impuissant, annoncé que la flèche de Notre-Dame est désormais dressée dans le ciel. Il paraît qu’il a fait plein de choses bien en 2023, que la France rayonne dans le Monde et qu’il va encore accélérer en 2024... sauf si, trompés par les mensonges de vils défaitistes, nous renoncions au paradis du plein emploi décarboné, enfin à portée de main, en votant mal aux européennes et en bloquant la possibilité d’une Europe souveraine qui a enfin les moyens de nous protéger contre l’immigration en accueillant mieux les gentils migrants et en faisant quelque chose d’indéterminé aux autres pour les faire partir… Sur ces belles paroles, bonne survie à tous ! 
 
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