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samedi 23 octobre 2021

Le sombre avenir qui se prépare. Synthèse globale. (23 oct. 2021)

  Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/EQgfM3AsqqM

Bonjour !
Un des problèmes de l’humanité c’est que, tel un chauffeur de taxi à l’approche de Laetitia Avia, nous sommes calibrés pour réagir aux menaces immédiates lesquelles déclenchent, instinctivement, l’attaque, la fuite ou la sidération. Des réflexes auxquels nous devons la survie de notre espèce à des périodes où le féminisme et l’intersexualité n’étaient pas toujours ce qui était le plus prégnant face à un tigre à dents de sabre. En revanche, les menaces à long terme laissent notre cerveau reptilien aussi indifférent qu’un pickpocket dans un camp naturiste et ce d’autant plus que la plupart des menaces qu’on nous brandit sous le nez (façon prépuce circoncis devant une femme de chambre de Sofitel) nous ont été épargnées durant un petit million d’années. 
En dehors de quelque homo-erectus refoulé, nos ancêtres auraient été aussi perplexes que peu intéressés à décrypter les subtilités de positionnement, façon Kâma-Sûtra, entre un·e·des républicain·e·s metrosexuel·e·s de droite issu·e·s de la diversité, un·e·des républicain·e·s metrosexuel·e·s de gauche issu·e·s de la diversité et un·e·des républicain·e·s metrosexuel·e·s du centre issu·e·s de la diversité ainsi que tout·e·s leurs variant·e·s. Toujours est-il que cette indifférence physiologique face aux menaces distantes explique que l’on peut avoir peur de l’avion mais, à côté, tranquillement fumer, boire, voter écologiste, mettre n’importe quoi dans son assiette sans jeter un œil sur la composition, se laisser injecter des substances diverses et regarder passer les évènements comme une vache regarde un électeur LREM qui regarde passer les trains.
Tant qu’on pense qu’il reste suffisamment de culs-de-jatte entre nous et le lion (et qu’on a de bonnes chaussures) notre pseudo rationalité prend le relais, les problèmes sont classés chronologiquement au lieu de l’être en fonction de leur importance et le court-terme prend le pas sur le long-terme. Ce phénomène explique, en partie, que la souffrance de la « sous France » ne se traduise pas par l’avènement du mythe bien pratique de la révolution « populaire » laquelle impliquerait qu’un nombre suffisant se sente menacé, immédiatement, par la même chose, en même temps et qu’une foule en colère soit capable de stratégie, auquel cas, même si je ne nie pas leur utilité, en bons ochlocrates, on ne se contenterait pas, sur la durée, de pancartes dont on a coupé le « Qui Qui », brandies, en souriant, sur des airs de Balavoine. 
Cet état naturel d’insouciance perpétuelle entre deux décharges d’adrénaline salvatrices, fait qu’il faut tout un matraquage médiatique incessant, renforcé par le port d’un masque aussi pertinent qu’un encéphalogramme de Christophe Castaner, pour nous maintenir dans l’état de peur et de stress indispensable à la gouvernance des masses ; et ce d’autant plus que ladite gouvernance ne va pas dans le sens de l’intérêt général. Dans ce cas, elle s’appelle « tyrannie » et il n’y a pas de tyrannie sans esclavage, devenu, au fil du temps : « esclavage salarié » puis, dans sa version la plus aboutie : « esclavage numérique » fait de bits qui nous acculent. L’humanité tend de plus en plus vers la ruche 5G, mais l’homme, s’il peut avoir le bourdon, n’est pas une abeille, laquelle n’a pas besoin d’être une esclave pour produire du miel.
Que ce soit la peur des attentats, du covid, du réchauffement climatique ou de la peste brune zemmouro-lepenienne, ces terreurs merdiatiques sont soigneusement sélectionnées, en fonction d’intérêts qui ne sont pas les nôtres, parmi des centaines de problématiques à fort potentiel flippant, mais dont tout le monde se fout comme d’un manspreading sur un char de Gay-Pride.  De nombreux parasites, qui, même s’ils le souhaitaient, seraient incapables de régler les vrais problèmes, se voient offrir sur un plateau des moulins-à-vent à combattre et se posent en protecteurs, d’autant plus braillards que, ne pouvant mettre la météo ou le covid en prison, on pourra accuser le contribuable. Cerise sur le gâteux (si on inclut Biden) ces hystéries collectives masquent (et dispensent d’avoir à régler) les problèmes récurrents : de bouclage de fin de mois, d’insécurité croissante, de déliquescence de la société, d’absence de finalité et de pillage organisé des caisses. 
Alors qu’une une France, bien gérée et moins diverse, pourrait être un des rares pays à pouvoir prendre doucement l’escalier au lieu de se crasher dans l’ascenseur vers la fin inéluctable des utopies civilisationnelles, pendant que Macron joue au foot, les conséquences desdits problèmes pèsent sur les seules épaules de l’individu.  Pire, la république ne pouvant tolérer qu’on acte son obsolescence, ledit individu, laissé sans solution, est, en outre, lourdement sanctionné s’il s’avise de prendre les choses en main à son niveau, par exemple en trucidant quelques importuns importés, importants pour le système afin de conserver le contribuable en état de stress (d’où l’impunité pour les uns et la rigueur pour les autres). 
Pour autant, le matraquage, au figuré, mais aussi au propre, nécessaire à entretenir les peurs et la réalité virtuelle médiatique, à un coût en matière d’image, de même que le colmatage des brèches pour garder la maîtrise du narratif. Si la capacité de dépense avec l’argent des autres est illimitée et permet de renforcer l’esclavage par la dette, les ressources mobilisables ne le sont pas. Ces efforts ne se justifiant que pour préserver une apparence de démocratie, on assiste à un glissement progressif, façon grenouille bio dans une marmite portée à ébullition, vers une tyrannie de type orwellien. Par la censure, la menace, la dénonciation érigée en vertu et l’oblitération technologique, chaque individu devient potentiellement un supplétif du système et est utilisé pour exercer un contrôle exponentiel, du fait d’un discours officiel confronté à une réalité laquelle, tel l’arrière-train de Marlène Schiappa, est chaque jour plus visible.
En effet, les gens vont se rendre compte de plus en plus que, à l’exception des lettres agglomérées autour d’un sigle LGBT en constante expansion, nous rentrons dans l’ère des pénuries : pénurie d’électricité en Chine, en Inde ou au Liban, d’engrais aux Etats-Unis, d’essence en Grande Bretagne, de micro-conducteurs partout dans le monde etc. Les prix du gaz et de l’énergie explosent (évoquant la cantine (sans pass) de l’assemblée nationale le jour du cassoulet aux truffes) et celui de la vraie nourriture s’envole. Certes, une partie de ces pénuries est orchestrée pour nous habituer à l’idée, de sorte qu’on ne réagisse pas trop violemment quand certains (qui se goinfrent déjà, au passage) confisqueront à leur profit les ressources restantes pendant qu’on roulera à vélo et qu’on s’éclairera à la bougie au nom de l’écologie. 
Pour autant, lier la chose uniquement à un modèle capitaliste devenu fou et en bout de course qui n’arrive plus à maintenir l’illusion d’abondance avec sa fausse monnaie, ou à un plan de domination des élites mondialistes ou encore au covid, médiatiquement boosté pour cacher la forêt derrière l’arbre, c’est aussi naïf que de prendre sa troisième dose d’AstraZeneca pour aller voir James Bond commettre un couillicide au cinéma. Dans les deux cas, c’est la fin d’une ère. Sauf à trouver un moyen de transformer la connerie en énergie (auquel cas l’Elysée pourra éclairer le Monde) ou qu’on nous cache quelques découvertes classées secret défense, la vérité est qu’il n’est simplement pas possible de maintenir partout une civilisation hautement technologique avec une population de 8 milliards d’habitants (la Chine à elle seule absorbe 50% de la production mondiale de cuivre). 
L’utopie du progrès qu’on nous a vendue, aboutissant au mâle déconstruit de Sandrine Rousseau, outre qu’elle nous mène en idiocratie, montre son incapacité, non seulement à assurer le confort universel sur terre qu’elle nous a fait miroiter (réduit à Netflix, des jeux vidéo et des sex-toys vibrants) mais à simplement nourrir tout le monde avec de la vraie nourriture. Je ne parle même pas de la vie éternelle transhumaniste promise implicitement quand ledit progrès s’est substitué à la religion laquelle, moins bête, la promet post mortem, les voies du seigneur étant plus impénétrables que celles de ses ouailles.
La technologie est alors détournée vers un objectif à sa portée avec les ressources disponibles : le flicage universel, indispensable à la conservation de la hiérarchie en place. Un flicage qui ne peut marcher qu’avec de l’électricité laquelle ne peut plus, dès-lors, être gaspillée à chauffer, l’hiver, des fesses improductives qui seront, de facto, éliminées, d’une façon ou d’une autre, après usage. Chauffage ou QR Code, il faudra choisir. Dans cette course handisport contre la montre, l’éradication du surplus d’esclaves salariés, occupés à ne rien produire de vital, prend trop de temps, d’autant que l’importation massive de nouveaux voltaires utilisés pour casser les pieds et l’homogénéité des autochtones (homogénéité sans laquelle il ne peut y avoir de blocs de résistances sérieux autour d’intérêts communs), bien que n’étant pas toujours des lumières, consomment autant d’électricité que ceux qu’ils remplacent. Une immigration qui doit, pourtant, encore être renforcée faute d’avoir parachevé son travail de désagrégation. 
Malheureusement pour le système, limité à un pouvoir de nuisance à condition de souffler dans le sens du vent, impossible d’aller plus vite que la musique car il reste encore un peu trop de virilité toxique dans différents pays. Nos médias épargnant, magnanimement, à nos chastes oreilles, le narratif des manifestations de plus en plus violentes à l’étranger, on parvient à minima à limiter le phénomène de contagion et on peut, dès-lors, amuser le chat en pointant le rayon laser sur la pantomime des présidentielles. Pour autant, sauf à ce que les théories les plus complotistes sur les finalités du vaccin s’avèrent aussi juste que les précédentes (qui avaient prévu : les masques, le confinement, les injections à répétition et le pass sanitaire éternel) et que survienne une hécatombe, la machine va se gripper de plus en plus vite.  La terreur climatique, avec son indice Cambronne plus que carbone, sera utilisée pour supprimer la voiture, économisant du carburant et limitant au passage les déplacements de ceux qu’on ne peut pas encore contrôler et, dans la foulée, exit aussi la maison individuelle, obstacle aux regroupements concentrationnaires.
Pendant ce temps les vrais problèmes écologiques qui sont en passe de rendre la planète inhabitable pour l’homme, et qui, malheureusement, sauf intervention divine ou d’aliens bienveillants, selon les croyances des uns et des autres, ne pourront être résolus que par des avancées scientifiques, sont traités de façon irrationnelle. Il est hélas trop tard, pour, aussi original que cela puisse paraître sur un profil Tinder, se contenter simplement de cultiver des rutabagas dans une cabane écoresponsable équipée d’un panneau solaire, d’où le scandale de focaliser les ressources qu’il nous reste sur le contrôle des masses plutôt que sur la recherche. Notamment sur le nucléaire, sachant que le sarcophage de « tout-en-béton » sur Tchernobyl (qui n’empêche pas les champignons autour d’être radioactifs) ne pourra pas être renouvelé éternellement et que des millions de litres d’eau, d’azote et de divers produits (qu’on ne sait plus comment stocker ensuite) sont toujours déversés sur Fukushima pour, simplement, contenir le problème. Problème qui, à l’instar d’une Brigitte Macron déjà guettée par la ménopause lors de ses premiers émois macroniens, n’est absolument pas réglé. 
On est fondés à se demander ce qui va se passer en cas de pénurie desdits produits, ou si la perte prévisible des compétences technologiques et de la main d’œuvre nécessaire ne permet pas de gérer les problèmes futurs : la plupart des centrales ont déjà dépassé de plusieurs décennies leur durée de vie initiale et on parle même de les recaréner histoire de refiler aux politiciens suivants la patate chaude. Problèmes qui ne sont même pas les plus sérieux, si l’on en croit certaines théories, et qui sont phagocytés par le narratif des bouleversements climatiques, certes réels, mais que j’ai du mal à imputer à ma vielle Clio diesel. Bouleversements qui sont le lot constant de la planète depuis qu’elle existe, les dinosaures, pourtant bio et écolos, s’étant gelé les testicules faute de l’arrivée salvatrice de Greta Thunderg. Pour autant, leurs conséquences sont aggravées par des décisions imbéciles qui accélèrent encore le grippage de la machine, dont la monnaie, son lubrifiant naturel, perd sa viscosité quand elle n’est plus en adéquation avec les capacités de production ; grippage qui, les gens n’aimant pas travailler pour rien, surtout quand le travail est pénible, se manifeste par des détails triviaux comme des forêts laissées à l’abandon qui ont tendance à flamber aussi bien que des cathédrales ou le non ramassage des ordures à Marseille qui, en bouchant, telle la fameuse sardine, les regards d’évacuation, provoque des inondations qui renforcent le sentiment de cataclysme écologique lequel conduit à davantage d’hystérie et de mauvaises décisions.
Il y a une quinzaine d’années, j’ai eu l’occasion de faire des audits réseaux dans la partie russophone de l’Ukraine et, comme je baragouinais un peu le russe, j’avais sympathisé avec des gens du cru. J’avais réalisé, avec effarement, qu’ils vivaient tranquillement au rythme des coupures d’électricité, qu’ils en étaient réduits à planifier la cuisson de certains plats, qu’ils sortaient mécaniquement les bougies quand lesdites coupures avaient lieu le soir et que, lorsque la pollution médiatique télévisuelle ou radiophonique s’arrêtait, des guitares apparaissaient comme par magie et qu’ils se mettaient à chanter pour continuer la soirée jusqu’à pas d’heure. J’étais là dans le cadre d’une mission, payée par l’Europe avec vos impôts, visant à moderniser les infrastructures pour amener l’Ukraine au niveau européen, mais en fait, peu à peu, force est de constater que c’est l’Europe qui descend au niveau de l’Ukraine de l’époque et que bientôt cela nous semblera tout aussi naturel de sortir les bougies que d’avoir des tanches incapables (en plus d’être corrompues) au gouvernement. 
Des tanches élues par des gens qui, conséquence de la faillite de l’éducation et d’un brassage culturel qui les incite plus à danser en tortillant du cul qu’à faire fonctionner leurs méninges, démissionnent sous le poids d’une culture millénaire devenue trop lourde à porter et qu’ils cherchent inconsciemment à détruire car elle leur rappelle constamment qu’ils ne sont plus à la hauteur de leur héritage. Ils préfèrent alors se vautrer dans la paresse intellectuelle en regardant Hanouna et Netflix plutôt que de faire les efforts d’élévation personnelle pour le mériter ce qui, je l’admets, n’est pas toujours évident après une journée crevante.  La façon dont un peuple se perçoit se voit dans ceux qu’il choisit pour le représenter parmi l’échantillon peu reluisant de bonnets blancs et de blancs benêts qui lui est proposé ; sachant que, cette fois, on a râclé les fonds d’urinoirs écoresponsables. Depuis Sarkozy, les talonnettes sont incluses dans l’enveloppe de frais de fonctionnement présidentiels et, quels que soient ses mérites, si l’on suit la courbe qui passe par Zemmour, on est partis pour Mimie Mathy en 2027.
Si l’histoire bégaye, elle ne se répète jamais à l’identique et l’anticipation et la SF en général sont un excellent complément à la culture historique, pour entrevoir l’éventail des possibles. Force est de constater que quand on combine « 1984 », « Fahrenheit 451 » et « Un bonheur insoutenable » on n’est pas loin d’un niveau correct de compréhension du monde actuel. Dans la même veine, le cycle de fondation d’Isaac Asimov permet d’analyser les phénomènes de désagrégation des empires et incite à penser au-delà de sa propre existence. Plutôt que de lutter contre l’inévitable, ce qui n’empêche pas de lutter pour sa survie individuelle, il est parfois préférable de s’interroger sur ce que l’on peut préserver dans l’optique d’accélérer le rebond après la chute… si la planète est toujours habitable. Hasard, ou non, Fondation est adapté actuellement sous forme de série américaine, malheureusement largement en-dessous des bouquins en ce sens que, sacrifiant à ce même « wokisme » qui fait que le nouveau superman est bisexuel et que, fort heureusement, son copain a un corps (et donc un anus) indestructible, elle est, ironiquement, trop concentrée sur l’impérieuse nécessité de changer le sexe et la couleur de personnages clés, donnant l’impression que tout se passe au Wakanda.
Merci pour votre écoute, pensez à cliquer sur les machins en bas, à visiter les autres plateformes, figurant en description et qui ne censurent pas, pour avoir accès à l’intégralité de mes vidéos et à bientôt … j’espère.

jeudi 14 octobre 2021

ZEMMOUR est arrivé-é-é ♫ (14 oct. 2021)

 Transcription de ma vidéo sur Youtube :https://youtu.be/EQgfM3AsqqM

Bonjour !
Un de mes avertissements vient d’expirer donc je tente un subreptice retour en espérant que, comme aujourd’hui je ne parle ni de vaccin, ni de CO2, ni de pédophilie Epsteinienne, Saint YouTube, pour une fois, m’illuminera de sa grâce bienveillante. Dans tous les cas, je vous invite à consulter régulièrement mes chaînes odysee et autres, figurant en description, sur lesquelles pas mal d’entre vous m’ont déjà rejoint et où je poste davantage de contenu sans avoir l’impression de marcher sur des œufs, au milieu d’un champs de mine, entouré se zombies assoupis. Mais le combat pour la liberté d’expression doit se mener là où elle est menacée, donc je n’abandonne pas YouTube pour autant et je vous encourage à vous abonner et à vérifier si vous l’êtes toujours (car ils sont un peu taquins) afin de soutenir la chaîne.
Sans transition, comme dirait un transphobe, passons au sujet du jour: la Zemmourite encéphalique spongiforme ovine.
Zemmour est devenu aussi incontournable que Gérard Larcher sans bicyclette et il a droit à la même couverture merdiatique que Macron en 2017. Sauf à être aussi naïf qu’un prisonnier sous la douche qui ne se demande pas pourquoi, d’un coup, il y a 10 savonnettes par terre, le plan qui se cache derrière sa promotion par le système est relativement limpide. Dans un premier temps, il s’agit de repolariser l’échiquier politique en unissant la droite souverainiste et de créer ainsi un effet repoussoir suffisant pour sortir quelques cons de gauche, mal à l’aise dans une posture trop rationnelle pour eux, du « tout sauf Macron » afin d’assurer la victoire de l’éborgneur de Gilets Jaunes. 
Pour que la chose passe mieux, la vaseline sera produite en extirpant le gras pléthorique de l’incapable peroxydée, diplômée en élevage félin qui, si elle gagne tous ses débats contre son chat, n’a plus les moyens de jouer le rôle, pour lequel on la sort de sa sieste à chaque période électorale, consistant à maintenir l’illusion d’une issue ultérieure par les urnes en cas de défaite. La subtilité consiste à faire perdre Zemmour, devenu le diable entre les deux tours, avec une marge suffisamment étroite pour repousser la révolte populaire à 2027, en dépit du carnage qui se prépare ; les mougeons, pour être passés si près de la victoire, gobant, encore un coup, que la prochaine fois sera la bonne.
Quand ça ressemble à un canard et que ça fait coin-coin, même avec un collier d’épagneul breton, on reste sceptique quand ça prône l’ouverture de la chasse. Bien sûr, il parle uniquement de chasse aux lapins, pas aux canards, mais une fois qu’on a le fusil en main, canard ou lapin, comme diraient les inconnus : « le mauvais chasseur il tire, le bon chasseur… il tire aussi, mais c’est un bon chasseur ».  Si le côté pile d’une pièce de fausse monnaie passe son temps à dénoncer le côté face en s’imaginant que ça va bien se passer pour lui, il y a comme une faille dans le raisonnement.
Il faut croire que sur 67 millions d’habitants on n’est pas foutus de trouver un Français qui serait crédible, avec un béret et une baguette sous le bras, pour sauver la France et, face à un tel désert de vocations, probablement que, si on creuse un peu, on se rendra compte que Jeanne d’Arc s’appelait en fait Hapsatou et qu’elle était bi-sexuelle avec un penchant pour les moutons. Le juge qui l’a condamnée s’appelait Cauchon et si, dans ce Cauchon-là, comme dans le Zemmour, tout n’est pas bon, dans le polémiste, tout n’est pas, pour autant, mauvais non plus.
Même si les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent, c’est déjà bien de mettre certains sujets sur la table et de dresser de bons constats quand l’ensemble des autres candidats, taxables, lui, d’antisémitisme au moindre dérapage, se noie dans le politiquement correct, tel un string taille 36 entre les fesses de Marlène Schiappa.
L’ostracisé omniprésent, et c’est tout à son honneur, s’est engagé à supprimer les lois liberticides, sans lesquelles il n’y aurait pas d’omerta sanitaire, dont la loi Gayssot, deux syllabes qu’on pourrait appliquer à des Asselineau et autre Philippot qui, contrairement à lui, s’obstinent à ne pas vouloir comprendre que les traités n’engagent que les faibles, ce qui explique pourquoi l’Australie et les US ont trouvé une autre utilité au contrat des sous-marins avant de tirer la chasse et que même la Hongrie et la Pologne, qui sont pourtant bénéficiaires et plus tributaires que nous de l’U.E., arrivent à lui faire un doigt d’honneur. Il est donc évident que, compte-tenu de notre pouvoir de nuisance et du fait que, si l'on cesse d’en être un des moteurs, ladite Europe est cuite comme un mâle blanc solvable dont l’épouse demande le divorce, on peut récupérer, d’un claquement de référendum, une bonne partie de notre souveraineté. Pourquoi dès-lors perdre des voix et se compliquer la vie en se soumettant, culotte baissée, à la procédure de l’article 50, d’autant plus inextricable que, contrairement aux Anglais, on n’a pas qu’un pied dans le marécage.  Sans compter que les jours du machin sont comptés. 
Inutile de se comporter comme le gars à qui son docteur annonce qu’on va lui amputer la main et qui, après avoir claqué la porte et consulté plusieurs spécialistes qui lui disent tous la même chose, au bord du désespoir, se tourne vers un marabout qui s’esclaffe : « N’importe quoi ! Bien sûr que non, il ne faut pas amputer !  Tapez 3 fois dans vos mains ! Vous voyez, c’est tombé tout seul ! ».
Je suis plus sceptique sur sa notion « d’assimilation » sachant que, sans même entrer dans les dynamiques de masses qui font que, dépassé un certain dosage, une crêpe au rhum devient un rhum à la crêpe, même avec de la bonne volonté, on ne peut pas s’assimiler au néant quand toutes les continuités historiques, religieuses, morales et ethniques ont été désagrégées au nom de cette même république qu’il vénère. Même en ne conservant que ceux qui bossent, appeler tout le monde Marcel risque de ne pas suffire.
Je ne vais pas rentrer dans le détail de toutes les options à ce rasage gratis pour demain que propose Zemmour, étant plus concerné par ce dont il ne parle pas.
Quid d’un Glass Steagall act (la dissociation entre les banques de dépôt et d’investissement) qui, en empêchant lesdites banques de se renflouer de leurs déboires en bourse en piquant l’argent sur les comptes bancaires, prouverait qu’il n’est pas simplement un autre agent de Rothschild ?
Est-ce qu’il serait prêt à s’engager sur le fait que la suppression de certaines prestations sociales à des étrangers, qui n’ont jamais bossé, ni cotisé, servira à garantir le maintien, voire l’amélioration de la couverture pour les autres et ne sera pas directement englouti dans le remboursement de la dette ? 
Enfin, cerise sur le gâteau, juste pour le principe, question que personne ne lui posera jamais : serait-il prêt à déclarer qu’en cas de conflit, bien sûr improbable, avec Israël, si l’affrontement devenait inévitable et que le seul qui aurait une petite chance de survie serait le premier qui appuierait sur le bouton nucléaire, il appuierait dessus et le ferait suffisamment vite ?
Certains lui reprochent de rester vague, sur le terrain qui l’est tout autant, des catalogues de mesurettes qui tiennent lieu de programme politique aux autres acteurs de la pièce de théâtre, oubliant qu’un président est là pour donner un cap, pas pour gérer des tableaux Excel. Quoi qu’on pense de lui, Zemmour a une vision. Une vision à une jambe, certes, mais une vision quand-même.
Vous me direz : « OK, il met des choses dans le débat public et il promet beaucoup, mais tout ça c’est du flan puisque, si on t’écoute, sa défaite est déjà programmée ».
Le problème avec le plan du système, c’est qu'Éric, un peu viking par son prénom, pourrait gagner. A force de favoriser la médiocrité dans la classe politique, les autres sont trop nuls et, surtout, il est trop bon pour transformer ses défauts en qualités. Il a un nom improbable ? Il en garde le Z de Zorro. Il est de confession juive ? C’est le seul qui peut dire certaines choses sans se faire traiter d’antisémite. Il est petit ? C’est le nouveau Napoléon. Il ne ressemble à rien, ce qui empêche son discours de mâle alpha de séduire l’électorat féminin n’ayant pas encore sombré dans le féminisme 2.0? Pas de soucis, une photo sur Paris Match et quelques rumeurs de circonstances de « baisers volés », et c’est Brad Pitt. Si l’on ajoute ses qualités de débateur, sa culture indéniable qui atteste d’un intérêt véritable pour la France, soit par amour, soit par volonté stratégique de connaître l’adversaire, même si un président, que je ne nommerai pas, trafiquait encore les résultats, dans les grandes villes, comme en 2017, il n’en reste pas moins que, sur un malentendu, ça pourrait marcher.
S’il est élu, c’est échec et mat. D’un côté, il lui sera difficile de ne pas tenir une petite partie de ses promesses, en tout cas celles qui ne lui vaudraient pas de finir comme Kennedy, d’où l’intérêt de lui en extirper un maximum. On obtiendra toujours plus avec lui qu’avec tous les autres réunis (surtout si on récupère l’essentiel, à savoir : la liberté d’expression). De l’autre, s’il s’assied sur lesdites promesses, la voie des urnes étant totalement déconsidérée, il ne bénéficiera plus de la soupape de ses prédécesseurs et la cocotte va exploser. 
J’ai beau tourner ça dans tous les sens, sachant que même réélu avec 90% d’abstention Macron se pavanerait comme si de rien n’était et que, comme je vais l’expliquer dans une prochaine vidéo sur Odysee, une révolution populaire est hautement improbable tant que trop de mougeons croient encore à la farce démocratique, Zemmour, représente, malgré tout, à ce jour, la moins pire des solutions, à condition qu’il gagne et oblige ainsi le système à abattre sa dernière carte.
Merci pour votre soutien, pensez à cliquer sur tous les trucs en bas, et à bientôt… j’espère.


vendredi 1 octobre 2021

DÉGOÛTS & DES COULEURS (1 oct. 2021)

Ma chaîne YouTube étant toujours censurée la vidéo sur odysee :https://odysee.com/@LaMiteDansLaCaverne:4/couleurs:3


 Bonjour !
Je vais faire court car j’ai ce que l’on appelle, de façon ignominieusement raciste, le blocage de la page blanche.  Je n’ai plus envie de rire, même jaune, car au fond de moi, je broie du noir, littéralement vert de rage tellement je vois rouge de ne plus voir la vie en rose face à ma peur bleue de l’avenir, lequel me semble très gris. J’ai l’impression de m’être fait marron à m’époumoner pour rien, violet par manque d’oxygène et de me retrouver chocolat à toujours passer à l’orange, à deux doigts de la suppression de chaîne. Bref, j’en vois de toutes les couleurs, ce qui me rend un peu chromophobe et quand j’apprends que les Suisses, abusés par un arc-en-ciel aux allures sympathiques, ont voté le mariage triste avec le même entrain que les écologistes ont plébiscité Sandrine Rousseau, laquelle, passée à un poil pubien de la victoire, déconstruit ses compagnons sans passer par la case prison, cela me conforte dans ma conviction que, hélas, la démocratie est toxique, dépassé un certain niveau de conditionnement et de destruction du bon sens élémentaire. 

Comme je m’évertue à le dire depuis des années : un couple homo ça n’existe pas, pas plus qu’un couple de chaussures. Dans les deux cas, il s’agit d’une paire et l’utilisation erronée du mot couple pour l’ensemble donne la fausse impression d’une inégalité entre un vrai couple, forcément hétéro et une paire homosexuelle. Le mariage, projet de vie contractuel, lequel, par ailleurs, n’a rien à voir avec l’amour qui est, au mieux, la cerise sur le gâteau, c’est pour les couples et l’on peut imaginer, par exemple, un « pariage » pour les paires, actant qu’il s’agit de deux choses fondamentalement différentes, ce qui coupe court à l’entreprise de désagrégation de la famille et autres absurdités du style : parent 1 et parent 2. C’est effrayant comme il suffit de tordre le sens d’un mot pour foutre en l’air toute la société. 

De même, quand les règles harmoniques ne sont plus respectées et qu’il n’y a plus de mélodie, en gros si vous ne pouvez pas le siffloter, ce n’est plus de la musique, pareil pour l’art en général. Ne pas utiliser les mots appropriés, voire ne pas en inventer de nouveaux pour toutes ces formes de dégénérescence à le même effet que de considérer les frites comme des légumes. En bouffant, au passage, toutes les subventions, ces sous-produits finissent par remplacer lesdits légumes dans l’assiette, tout en donnant, sur le papier, bonne conscience. Ensuite, on se demande, avec un l’air ingénu de la vierge-Marie apprenant sa condition : d’où vient l’obésité d’un côté, et la connerie ambiante de l’autre. Pareil pour le pseudo vaccin, qu’on nous inflige actuellement, qui n’a de commun avec un véritable vaccin que le terme dont la définition a, par ailleurs, été changée par le CDC à cette occasion. On est d’abord passé d’une « suspension de micro-organismes atténués ou tués visant à la prévention, le traitement ou l’immunisation contre des maladies infectieuses » qui était la définition du dictionnaire médical, à « une préparation visant à immuniser contre une maladie spécifique » puis, finalement, face à une efficacité plus que relative en ce qui concerne l’immunité à « une préparation visant à stimuler la réponse immunitaire face à certaines maladies ». Mais, pour le grand public, c’est toujours un vaccin et il n’y a aucune différence de nature entre celui contre la polio et cette substance expérimentale dont toute critique, depuis le 29 septembre, vaut, de façon systématique, une exclusion de la plateforme YouTube. 

De la même façon, ce godemiché géant, qu’on nous fait passer depuis des années pour un thermomètre à chaque fois qu’on nous l’introduit entre les fesses, en nous disant : « c’est pour votre bien ». C’est ainsi que, « pour notre bien », le porte-mensonge du gouvernement vient d’annoncer que la possibilité du pass sanitaire sur un claquement de doigt sera prolongée jusqu’à cet été, chose que ma boule de cristal complotiste avait prédit depuis que le mot pass a été prononcé pour la première fois. Pendant ce temps, Macron (contre lequel aucun vaccin n’a encore été trouvé) met en place une « commission pour mesurer les dangers du numérique sur la cohésion nationale et nos institutions afin de mieux y faire face ». Comprenez : « Il est temps de finir le ménage sur internet. La parole du gouvernement, lequel ne ment jamais, est sacrée, comme une vache en Inde ou Marlène, chez nous, pour peu qu’elle ait des cornes ce que seul son con plus ou moins joint peut confirmer.» 

Pour couronner le tout, l’euro numérique, dès 2022, pourrait signifier la fin de l’argent liquide, l’impossibilité de retirer ses sous des banques et le parachèvement du contrôle total sur nos vies, sachant que chaque dépense sera enregistrée et que si on n’a pas acheté un dentifrice écologique, qu’on a mis du diesel dans sa voiture ou qu’on est abonné à « Rivarol » ou à « faits et documents », il suffira d’un clic pour nous rendre SDF. Pendant ce temps, on expérimente, grandeur nature, dans les endroits entourés d’eau d’où les gens ne peuvent pas s’échapper, comme l’Australie ou l’Angleterre, qui le degré de tolérance face à une tyrannie Orwellienne, qui les réactions au conditionnement aux pénuries diverses, comme l’essence. Bref, une convergence, à toute vitesse, des tyrannies sanitaires, économiques et climatiques… pour les peuples, tandis que les élites, vaccinées à l’eau distillée, se baladent sans masques, que l’Europe exempte de taxes le kérosène pour les jets privés et qu’on essaie de nous faire croire, une dernière fois, au mirage électoral en trumpisant Éric Zemmour lequel (il faut au moins lui reconnaître ça) s’est engagé à supprimer toutes les loi liberticides (y compris la loi Gayssot) ce qui, sur le papier, si je croyais encore à tout ce cirque et n’étais pas convaincu que les promesses n’engagent que ceux qui y croient, le rendrait le moins pire des candidats, à mes yeux. 

Le pire, dans tout ça, c’est que Greta Thunberg, venue à la rame jusqu’en Allemagne pour se plaindre qu’on ne retourne pas assez vite à l’éclairage à la bougie, à désormais 18 ans et qu’elle pourrait bien faire son apparition, aux côtés d’Agnès Buzin, récemment recyclée par Macron en directrice exécutive de l’académie de l’OMS, dans ces cauchemars érotiques qui parfois me réveillent la nuit et dont il m’arrive de vous faire part. En plus d’une gousse d’ail, d’un exemplaire de Mein Kampf et d’un crucifix il va falloir, désormais, que j’accroche une bombonne de CO2 au-dessus de mon lit.
Avant de vous suicider, n’hésitez pas à liker, partager et à laisser vos dernières paroles pour la postérité sous forme de commentaire. 

Pour tous les autres, à bientôt… j’espère.