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samedi 21 décembre 2019

Humour : Je relève un défi, devinez lequel (Macron n'aimera pas!) (21 déc. 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube:https://youtu.be/gjQqq5vhrq8



Bonjour!
Je ne vous dis pas le défi que je relève, mais je suis sûr que vous comprendrez tout seuls.
C’est parti :

On savait déjà que Marlène pompait, en tout cas dans ses livres, mais entre ceux qui nous pompent l’air et ceux qui pompent nos sous, ce n’est plus un gouvernement, c’est les Shadocks. A commencer par notre œdipe décomplexé élyséen, intronisé en grandes pompes, les pompes bien cirées, plus « la Pompadour » que Louis XV, sans plus de considération pour les pompiers que pour le reste de la population qui le tirerait bien au fusil à pompe. Par le passé on a eu Pompidou, dit « pompe pompe pidou » avec sa loi de 73, à présent on a « pompe dur » qui, tels les pompes funèbres (qui bizarrement n’ont rien à voir avec les pompes à bière) finit le travail faisant de la France Pompéi. Ce pompeux personnage qui nous pond peu de lois allant dans l’intérêt des gens mais qui, pompant sur la copie allemande, ne connait pas le coup de pompe pour ce qui est de restreindre nos libertés, ne fait que servir des maîtres et s’il nous semble à côté de ses pompes c’est qu’il cire les pompes de quelqu’un d’autre et qu’il n’a d’autre choix que de rappliquer, à toutes pompes, dès qu’on le siffle. Et encore, lui, il est première classe, comme on disait dans l’armée à une époque où, faute de mixité, « faîtes-moi dix pompes » n’avait aucune ambiguïté. Et il faut voir les deuxièmes pompes dont il s’entoure, qui ont l’air tellement à la masse qu’on hésite entre la pompe à injection ou la pompe à insuline pour savoir à quoi ils tournent. Le pompon revenant à Castaner. Tous pompeurs mais sans reproche, un peu comme Bayard et beaucoup comme Delevoye, pour une justice aux ordres. Sans compter les aspirants pompeurs ce qui fait pléonasme. En face en 2022, on aura Marine, surnommée la pompe à vide pendant les débats, ou la pompe à chaleurs (au pluriel), voire la pompette (c’est au choix) et qui, elle aussi, pompe, d’autant plus qu’il lui faut gonfler, avec une pompe à main oxymorique le nombre indéterminé de vélos dont elle s’est entourée ; nombre exact que, selon la méthode utilisée pour les vaches (elles aussi pompées) en comptant les pattes et en divisant par 4, on peut connaître en divisant par deux le nombre de pédales. Bref ce n’est plus la 5eme république mais la 5eme de Beethoven « pompe pompe pompe pompe ! », une pompe à fric, une pompe aspirante à parasites, auxquels, tel un pompiste, elle redistribue une partie de la manne et qui ne peut rien produire de bon puisqu’elle choisit, en son sein, sa propre opposition. Il y a les pompeurs et ceux qui ont peur des ponts qui peu à peu s’effondrent et qui passent à la pompe pour remplir leur diésel. Il y a « la mort de Pompée » tragédie de Corneille et « la mort des pompés » tragédie de Macron, ceux qui ne pompent rien à tout ce qui se passe et qui sont des millions à se bouger pour rien quand il suffirait d’un pour régler le problème.

Joyeux Noël à tous!

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vendredi 13 décembre 2019

Penchez-vous encore un peu plus. (13 déc. 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube:https://youtu.be/Uu4IY8fmRYU



Bonjour !
Parfois dans la vie, on est comme un morpion spéléologue, on n’a le choix qu’entre sentir la marée ou être dans la merde. Ça tue les vocations. Du coup le Français moyen reste accroché à son poil sans bouger en attendant que ça passe, peu chaud pour se faire éborgner pour rien avec les gilets jaunes et pas forcément plus enthousiaste quand le gouvernement, lequel il faut le reconnaître sait mettre les gens « en marche », choisissant volontairement une période propice aux renforcement des tensions pour annoncer délibérément  son projet de la façon la plus calamiteuse possible, remplace habilement un problème par un autre mettant de facto sur la touche lesdits gilets jaunes (par trop incontrôlables) pour rendre la main (probablement ramassée après une manifestation) à des syndicats dont, par contre, il a le mode d’emploi et la télécommande. Syndicats qui conformément à la stratégie habituelle vont user les gens physiquement et financièrement jusqu’à ce que ceux qui, en mode survie au jour le jour, n’ont pas les moyens d’avoir du recul, s’allient à ceux qui voudraient bien faire leur shopping tranquilles contre ces immondes grévistes privilégiés qui les prennent en otage, jusqu’à ce que la tension, exacerbée par des médias aux ordres, fasse capoter le dernier baroud d’honneur de notre système social. Même pas sûr qu’on laisse, cette fois, auxdits syndicats la porte de sortie habituelle consistant à crier « victoire » au motif qu’après nous l’avoir mis profond, si le gland reste en place, le reste de l’organe oligarchique et macronien aura été retiré de notre sphincter collectif le temps de l’enduire de vaseline. 
J’ai déjà fait il y a longtemps une vidéo sur les syndicats qui reste d’actualité et à laquelle je vous renvoie. Au lieu de faire perdre des journées de salaire à des gens qui, comme Martinez, maudissant les effets dont ils chérissent les causes, ont souvent voté et appelé à voter Macron (dont ladite réforme est une promesse de campagne) et recommenceront sans sourciller en 2022 pour lutter contre la « fasciste » peroxydée qui même si elle préfère Goldman et Dalida à Wagner reste l’épouvantail à cons idéal, je suggérais dans cette vidéo que les seuls dirigeants syndicaux entament plutôt une grève de la faim en robe de bure, dehors, dans le froid et les intempéries, éventuellement accompagnés de Mélenchon et Marine le Pen, et m’étais engagé, au premier mort, non seulement à reprendre une carte syndicale mais à ressortir ma fourche de la remise et comme beaucoup d’autres, dans cette hypothèse, à fondre sur la capitale, bonnet phrygien vissé sur la tête, pour réclamer mon lot de sang. Mais visiblement tout ce joli monde est un peu trop gras pour faire de bons martyrs, l’indice calorique de la subvention étant de loin supérieur à celui de la banane cuite. 
C’est dommage car il n’y a pas de révolutions sans martyrs et, jusqu’à présent, certes le gouvernement éborgne et mutile mais quand il tue, il le fait indirectement, façon billard à trois bandes, et ne franchit pas la ligne rouge, conscient, depuis l’énorme soutien « cagnottique » au boxeur Christophe Dettinger, que si un individu de cette trempe était abattu par ses chiens de garde en uniforme, déjà tellement haïs par la population qu’on parle d’interdire la diffusion de leurs méfaits sur YouTube, on aurait de véritables émeutes et la tête de Castaner rebondirait place Beauvau en faisant un bruit creux caractéristique. La deuxième chose qui manque pour faire une révolution c’est un drapeau, les drapeaux rouges CGT, même en rajoutant un croissant pendant les manifs contre l’islamophobie, n’ayant qu’une valeur de ralliement relative. Ce même drapeau tricolore qui a été banni des manifs gilets jaunes par les intouchables antiFAs qui valident le reste de la gamme et qui, supplétifs du gouvernement, avaient bien perçu le danger. Drapeau qu’il faudra par ailleurs un jour songer à remplacer car il est celui de la république et non celui de la France, république qui cherche tant à diviser les gens qu’elle finit par cracher sur son propre symbole. 
Cette réforme inutile est un hold-up pour mettre la main sur plus de 150 milliards d’Euro comme je l’explique dans ma précédente vidéo et une escroquerie intellectuelle visant, au nom de l’égalité, à crever les yeux des borgnes pour les aligner sur les aveugles en faisant croire auxdits aveugles qu’ils vont y gagner quelque chose.  En outre, tel le très amnésique Jean-Paul Delevoye qui même s’il oublie de déclarer qu’il bosse pour elles ne manque pas d’assurances, on ne peut pas introduire l’immigration dans l’équation en révélant le plan d’importer 50 millions de migrants en Europe pour financer lesdites retraites et les sortir de la même équation quand il s’agit d’évoquer le tonneau des danaïdes des prestations sociales et de l’accueil des mêmes qui nous piquent les dernières miettes que nous a laissées l’ennemi sans visage de François Hollande. 
On connait tous cette ignoble blague raciste du migrant qui, bien que disposant chez lui de pléthore de fesses noires parfaitement fonctionnelles (d’autant que la nouvelle Miss Univers a un petit look Rokhaya Diallo), s’obstine à venir chez nous et, juste avant de nourrir les poissons en méditerranée, fait le vœu de renaître blanc pour avoir enfin accès aux arrière-trains blêmes qui, pour quelque raison, peuplent ses fantasmes. A la fin il est exaucé et se retrouve … transformé en cuvette de WC. C’est d’autant plus navrant que, comme le démontre l’attraction désintéressée de top-models de type aryen pour les rappeurs et autres footballeurs, l’accès au sexe opposé est souvent plus tributaire de l’épaisseur du compte en banque et de la notoriété que de la couleur de la peau, ce qui relativise au passage les honteux privilèges du mâle blanc SDF lequel, lui, n’a même pas accès à la bobo lavée du cerveau qui avant de finir féminicidée rêve de gagner le paradis des réseaux sociaux en organisant l’accueil de l’autre dans ses parties génitales. 
Cela illustre en tout cas une vérité fondamentale que devraient considérer ceux qui font tranquillement leurs courses de Noël comme si tout allait pour le mieux dans le meilleur des Mondes : toute situation a vocation à s’empirer. On me dira que rien ne peut être pire qu’être transformé en cuvette de WC. Ce à quoi je rétorquerais qu’on peut être transformé en cuvette de WC chez Marlène Schiappa et pour ceux qui croiraient que la limite est alors atteinte, ladite Marlène peut fort bien inviter Sibeth Ndyaye à diner. Je suis tellement peu raciste qu’il m’arrive de les confondre, elles disent les mêmes conneries, font partie du même gouvernement, ont presque le même âge et ont des attributs fessiers qui m’interdisent de fantasmer dessus, conscient de mes limites et du fait que, dans cette catégorie, sorti du missionnaire, toute fantaisie, même en rêve, m’exposerait à 6 mois d’ITT minimum, pas comme le fringant Asselineau dont je n’ose imaginer dans quel état il a laissé son épouse, probablement déguisée en article 50 pour l’occasion quand, après trois ans et demi d’attente, il a pu enfin laisser libre cours à une explosion orgasmique à l’annonce de la victoire de Johnson au Royaume-Uni et à la certitude du Brexit qui, même s’il va encore s’étaler sur au moins deux ans, va nous l’exciter jusqu’aux présidentielles. 
À sa décharge le Frexit n’est pas forcément une mauvaise idée si l’on considère que s’il n’y a pas d’argent pour les retraites on vient tous de signer en cœur un projet européen de plus de 1000 milliards pour faire plaisir à Greta et supprimer tout rejet de co2 sur le continent européen d’ici 2050. Déjà, qu’on touche à mon diésel, j’étais pas content, mais sachant que les flatulences humaines sont composées de dioxyde de carbone, de méthane et d’hydrogène, je préviens tout de suite que si on touche au cassoulet, je prends les armes. En tout cas dans un pays de plus en plus chaotique, dans lequel de plus en plus de gens sont dans la merde, les députés ne se laissent pas démonter et, prenant le taureau par les cornes, n’ont pas hésité à voter la loi qu’attendaient tous les pauvres et les chômeurs du pays, une loi qui assimile enfin … la critique d’Israël à de l’antisémitisme. Quelques mauvais esprits soraliens, incapables de voir à quel point c’était prioritaire et à quel point la chose sert les intérêts de la France et des Français vont encore critiquer, mais que ça leur plaise ou non, la victoire est proche et 2020 verra enfin la fin de l’antisémitisme et le début d’un nouvel âge d’or pour la France. 
Donc en résumé, même si pisser dans un violon est une activité récréative qui en vaut une autre, je vais consacrer un peu de l’énergie qu’il me reste à faire autre chose que des vidéos sachant que tant qu’il n’y aura pas des morts et qu’on ne verra pas flotter des drapeaux tricolores, on continuera à se faire enculer, d’autant qu’il reste de la marge, les méchants islamistes n’ayant pas encore crié leur « Allah Akbar » festif sur un marché de Noël, tradition qui, comme les incendies de voiture au nouvel an, ont remplacé les ringardes et  immondes crèches et sans lesquelles, cette période commerciale qui succède à Halloween et au black Friday, perdrait un peu de sa magie qui fleure bon la France laïque et multiculturelle.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, souvent les plus pertinentes, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues et d’autres, censurées, ne se trouvant que sur mes chaînes secondaires. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

jeudi 28 novembre 2019

Mali, Retraites - Les 2 plus gros MENSONGES du gouvernement (28 nov. 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/Ch0XEOjsjqc





Bonjour !
L’intervention Française au Mali qui tire un semblant de légitimité en se contorsionnant dans les interstices d’une résolution de l’ONU de 2012, d’où certainement le célèbre adage : « ONU soit qui MALI pense », et de la demande initiale d’un président illégitime soutenu par la France après son coup d’État, a autant à voir avec la protection des populations que le trou de balle de Macron avec les territoires vierges de la jungle africaine. 
Tout a commencé en fait parce que les mines d’uranium qu’exploite, à ciel ouvert, AREVA (anciennement Cogema), polluant de manière irréversible le désert commun entre le Niger et le Mali, font crever les Touaregs comme des mouches passant trop près de la bouche de Jean-Claude Juncker pendant une allocution, sans par ailleurs que ces pays ne bénéficient des avantages financiers de la Manne. Donc, en gros, dès qu’on allume la lumière pour aller aux toilettes, il y a un bébé touareg qui crève. J’ai essayé d’expliquer à ma femme, quand elle m’accuse de mal viser la cuvette, que c’est pour sauver des vies, mais elle n’a visiblement aucun respect pour la vie humaine. On va être honnête : le bébé touareg on s’en fout un peu. Comme de tous les bébés que le camp du bien massacre de manière plus ou moins indirecte en exportant la démocratie et les droits de l’homme de par le Monde. C’est le prix à payer pour se faire mettre nos valeurs universelles dans l’orifice anal sans quoi on n’est pas civilisés ; en plus il en reste toujours assez pour venir nous faire goûter, chez nous, aux joies de la diversité multiculturelle, donc c’est pas grave. 
Mais bon, allez savoir pourquoi les Touaregs ne le voient pas comme ça et ne sont pas contents. Ils ont donc commencé à se rebeller et selon l’adage « l’ennemi de mon ennemi est mon ami » (d’autant que culturellement ils ont une tradition de vivre des raids effectués sur les populations sédentaires) ils ont fait copain-copain avec quelques islamistes, dont ceux qui étaient contrôlés par Kadhafi et que l’action calamiteuse du tandem auvergnat BHL-Sarkozy a éparpillés dans la nature. Du coup ça commençait à chauffer pour notre approvisionnement en uranium, et on s’est de suite sentis concernés par le bien-être de ces populations qu’il fallait d’urgence sauver de l’hydre islamique qui leur pourrit la vie depuis… quelques siècles. On a commencé par soutenir certaines tribus (islamistes ou non) contre d’autres (islamistes ou non), partant du principe que tant qu’ils se battent entre eux c’est toujours ça de pris; on a laissé sans rien faire les exactions se poursuivre dans le centre, ne protégeant que la capitale et les mines d’uranium avec, pour conséquence, que les habitants, dont l’ingratitude mériterait presque qu’on les laisse se démerder tout seuls, chipotent en faisant valoir que leur situation n’a fait qu’empirer et se focalisent sur quelques malheureuses bavures, style enfant criblé de balles depuis un hélico puis enterré à la hâte dans un trou, bavures par ailleurs jamais reconnues, il ne manquerait plus que ça. Des ingrats ! 
Mais bon, c’est loin et ça ne passe pas au journal de 20H donc, on s’en fout. En revanche, en toute logique, le prix du kilowatt devrait être inversement proportionnel au taux de bébé Touareg fluorescent la nuit, or on constate qu’on paie notre électricité de plus en plus cher, ce qui veut dire que non seulement les habitants du Mali et du Niger ne voient pas l’ombre d’un euro se déposer sur leur compte en banque, mais nous non plus qui pourtant, en attendant de payer le démantèlement des centrales qui n’a pas été provisionné (et encore moins déduit des bénéfices des actionnaires) payons, avec nos impôts, ces braves soldats qui se font tuer par 13 à la douzaine et fournissons des rafales à 27 000€ l’heure de vol à tous les sens du terme, car à ce prix c’est vraiment du vol. On me dira que nos troupes ne sont pas issues d’une conscription et que ces soldats de métier sont plus proches, dans l’esprit, de mercenaires que des poilus de 14, mais ça reste des Français dont certains étaient probablement assez naïfs pour croire qu’ils servaient leur Pays au lieu des actionnaires d’AREVA ; et savoir que s’ils sont bien morts pour quelque chose ce n’est certainement pas pour la France a un petit côté révoltant, d’autant que les mêmes qui s’insurgent contre le manque de diversité partout et nous vendent que les tirailleurs Sénégalais ont gagné la 2eme guerre mondiale, se sont bien gardés de relever que le niveau de « blanchitude » de ceux qui se sont fait tuer, soi-disant « pour la France », dans une indifférence relative est à l’opposé de celui de ceux qu’ils adulent pour courir derrière un ballon là-aussi soi-disant « pour la France ». 
Car en plus d’être considérés comme remplaçables et nonobstant la minute de silence à l’Assemblée (ce qui divisé par treize leur fait quand-même, outre une belle jambe, presque 5 secondes à chacun), ils servent de variable d’ajustement budgétaire et sont souvent dotés d’un matériel obsolète dont la vitesse d’usure dans le désert frise l’érosion Mélenchonienne, et l’hélicoptère « cougar », dont la conception date de 30 ans (davantage si l’on considère qu’il ne s’agit que d’un changement de nom du super Puma), le cougar donc, qui pour le coup aurait pu être féminin, avait peut-être un peu d’arthrite. Quand les américains arrivent à castrer une mouche en vol avec un joystick à quelques milliers de kilomètres de distance, j’ai du mal à croire que notre matériel, à défaut, pour des raisons tactiques, de système anti-collision, ne soit pas équipé au moins de détecteurs et de systèmes plus performants pour naviguer dans l’obscurité que des jumelles améliorées. Si tel est le cas, il était irresponsable de les envoyer « en même temps » pour appliquer le motto macronien ; dans le cas contraire, l’autre hélicoptère, « le tigre », pouvant se déplacer dans toutes les directions, y compris en marche arrière, partant du principe que « si quand j’avance tu recules, comment veux-tu, comment veux-tu que je… » la double erreur humaine que cela suppose a bon dos, et si l’équipement n’a pas fonctionné, il convient de se demander si cela a quelque chose à voir avec le fait que moins de 30% des hélicoptères sur place sont encore opérationnels et souvent réparés avec les pièces des autres. 
En outre, c’est totalement calamiteux. Imaginez que vous soyez un Islamiste dans un pick-up tout neuf, dont par ailleurs je serais curieux de connaître la marque, laquelle doit forcément savoir à qui elle l’a vendu en premier, et que vous voyiez 2 hélicoptères fondre sur vous et devenir de plus en plus… Akbar, comme Allah, vous faites quoi ? Ben justement vous priez ledit Allah ! Et paf ! les deux hélicoptères entrent en collision. Pour lui, notre dame de Lourdes à côté, même si un jour un paralytique en fauteuil roulant en revenait avec des pneus neufs, c’est de la rigolade. La seule chose qui pourrait battre çà c’est, à la rigueur, le scandale Fillon tombant (comme l’histoire des attachés parlementaires de Marine Le Pen), juste avant les présidentielles. Si, à la base, le gars était intégriste, je vous laisse deviner ce qu’il est maintenant. Notre système, jamais à court de superlatifs, va devoir lancer le concept du « super intégriste ». Le bonhomme, la prochaine fois, il affronte des tanks en slip avec un cure-dent et le sourire aux lèvres. 
Tant qu’à exploiter cette tragédie, aussi inutile qu’évitable, je serais Macron, lequel paraît-il craint pour sa vie (on se demande pourquoi), je ferais un hommage solennel, non le 2, mais le 5 décembre, comme ça, au hasard… prétextant que la veille j’avais piscine et que le lendemain j’avais prévu une projection privée des misérables pour voir si je chialais autant que la première fois. Vivement la suite : « les misérables à la campagne » avec cette fois les méchants policiers qui tapent sur des gilets jaunes, gilets jaunes qu’on a laissés manifester et se faire éborgner pendant un an sans leur dire qu’il suffisait de faire un film pour toucher le cœur du président. 
Peut-être d’ailleurs qu’un jour on tournera le film « Hold-Up sur les retraites » dans lequel une bande de malfrats dérobe un magot caché de presque 200 milliards provisionné pour lesdites retraites. Non, vous ne rêvez pas et je ne suis pas un enfoiré de complotiste, c’est BFM (je vous mets le lien) qui a révélé le pot aux roses dans l’indifférence générale alors que ça devrait faire le buzz sur tous les réseaux sociaux. Entre les 30 milliards du fond Jospin et les fonds de réserve des mutuelles on dispose de plus de 150 Milliards de réserve pour financer les retraites auxquelles s’ajouteront, en 2024, 24 milliards supplémentaires émanant de la CADES financée par le CRDS. Il y a donc largement de quoi tenir, le temps que suffisamment de baby-boomers soient passés de vie à trépas pour que les comptes soient rééquilibrés, naturellement, par la démographie, d’autant que l’espérance de vie (pour le calcul de laquelle on utilise les mêmes méthodes que pour le chômage afin de rassurer les gens) a déjà du plomb dans l’aile et que, même à l’état de zombie Alzheimer sous perfusion, sauf peut-être au sein de certaines élites privilégiées, je ne crois pas qu’on produise beaucoup de Brigittes Macron dans les prochaines décennies. Surtout si l’on considère toutes les saloperies cachées que l’on mange, boit, respire ou se passe sur la peau, cumulées avec la malbouffe, les heures statiques devant des écrans et le stress permanent face à une existence où il n’est plus possible de planifier à long-terme (compte tenu de la volatilité, tant de la monnaie que du marché de l’emploi et des changements structurels de population), ainsi qu’à la perspective constante d’un krach économique, voire de la fin du monde, avec, en prime, un petit nuage radioactif de temps en temps, le tout sans savoir si, au bout du compte, on est un homme ou une femme. 
La réforme des retraites est donc une escroquerie et un scandale dont le seul but est de détourner tous ces milliards et de perpétrer un des plus gros hold-up de tous les temps (après l’escroquerie de la dette) sur le dos, non seulement des retraités, mais de leur famille, car il faudra bien payer pour ces EHPAD à 2 ou 3000 € mensuels.
Nonobstant, Sibeth Ndyayé, qui est à la communication gouvernementale ce que le rat est à la peste bubonique, n’a pas hésité à dépasser toutes les limites de la perversion qui caractérise ce gouvernement en affirmant que l’escroquerie que je viens de démontrer est, je cite : « une des réponses à la crise des gilets jaunes ». Sauf à considérer que ladite réponse est : « allez vous faire foutre ! », à ce niveau-là de foutage de gueule et de brouillage des pistes, on culmine au sublime vomitoire. Je ne crois pas à la convergence des luttes, concept qui véhicule le mensonge qu’il y a des luttes différentes alors que l’ennemi est commun, mais je crois qu’on est assis sur une poudrière, que les forces de l’ordre qui, après les pompiers, s’en prennent désormais aux lycéens, ont pris un mauvais pli, du fait que la violence est devenue la seule réponse du gouvernement à tous les problèmes, et qu’à force de tirer sur la corde, non seulement les craintes de Macron pour sa vie pourraient être fondées (car on ne se sort pas d’un tel foutoir sans sacrifier un bouc émissaire et autant en choisir un qui soit aussi coupable qu’haïssable), mais qu’on pourrait assister à une épuration physique de la pourriture politico-médiatique sans équivalent depuis la purge à la libération ou le nettoyage des écuries d’Augias, ce qui, pour autant, ne nous mettra pas à l’abri de l’affrontement ethnique auquel on nous prépare pour tenter d’éviter ladite purge lequel semble, lui-aussi, difficilement évitable, mais qu’on a objectivement plus de chances de remporter une fois débarrassés de ceux qui nous poignardent dans le dos. D’où l’intérêt de bien choisir ses priorités et ses combats.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, souvent les plus pertinentes, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

jeudi 21 novembre 2019

On veut des sous ! (21 nov. 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube:https://youtu.be/ExbtUIpj-8g





Bonjour !
J’ai fait un rêve bizarre : la femme de Dracula qui ressemblait vaguement à Brigitte Macron venait me sucer toutes les nuits, me sucer du sang, et quand totalement exsangue j’ai fini par réclamer qu’elle m’en rende un peu, je me suis vu magnanimement remettre un de ses tampons usagés, preuve que finalement ce n’était pas Brigitte Macron. 
Me réveillant en sueur, comme à mon habitude dans ces circonstances, je me suis alors rappelé que la veille j’avais lu un article sur le 5 décembre date à laquelle, on allait voir ce que l’on allait voir, les gens allaient descendre en ordre dispersé dans la rue pour réclamer, chacun pour sa pomme, des sous à un état qui les pompe tous les jours en espérant qu’il leur lâche quelques pièces de leur argent qu’il a déjà dépensé puisque, cette année, la date à partir de laquelle les caisses sont vides a battu le record de précocité d’un Macron qui aurait connu Brigitte en maternelle, soit le 31 octobre. 
Je veux bien que Marlène Schiappa, qu’on imagine bien enfourcher un aspirateur pour ses balades les soirs de pleine lune, faute de pouvoir caser sur un manche à balai un fondement qu’on voudrait voir aussi généreux dans ses raisonnements, ait quelques notions d’occultisme, mais ceux qui, en réponse à tout problème, demandent à l’état de puiser dans son porte-monnaie magique devraient réaliser qu’il ne fait rien d’autre que redistribuer inéquitablement l’argent qu’il nous pique (ou pique à quelqu’un d’autre) minoré de ses frais de fonctionnement ; et comme, compte tenu de sa tendance à génocider les homards et à favoriser les copains au détriment des services publics, on est encore loin du compte, tant qu’à y être il endette aussi, par l’emprunt, nos enfants lesquels, dotés pour certains de la conscience politique d’un pétoncle dépressif, visiblement s’en foutent, préférant manifester, si possible les jours de classe, pour un climat qui ne leur a rien demandé, pompant l’air à tout le monde à défaut d’en diminuer le taux de co2. 
D’ailleurs on est tellement peu habitués à ce que nos politiciens utilisent pour nous un peu de cet argent qu’ils nous piquent que, quand ça arrive, par reconnaissance, sous prétexte qu’il a planté trois arbres, investi dans une motocrottes et rénové le gymnase, certains n’ont pas hésité à faire une cagnotte pour, à défaut de caution, payer des oranges à Balkany, même s’il a tellement endetté sa ville qu’avant que la dette ne soit remboursée, les arrières petits-enfants de Greta Thunberg, fruits de ses improbables amours avec un pygmée à faible indice carbone sur un cata(pas)maran, ressembleront à Brigitte Macron. D’autres ont élu sa femme à sa place et, en cas de défaillance due à un kilométrage à rendre envieux un moteur diesel d’avant la guerre, lorgnent déjà du côté du chien, probablement surnommé Chirac par sentimentalisme. 
Contrairement à ce que chante habituellement un Mélenchon qui devait quand même regretter un peu de ne pas avoir envoyé manifester son hologramme, avantageusement dépourvu de sphincter, à la manif contre l’islamophobie, quand ont commencé à fuser des Allah Akbar fraternels tandis qu’à portée de caméra une petite fille, même pas voilée, violait sans pudeur le copyright de l’étoile jaune, le problème, même s’il y a des copinages incestueux qui parfois passent mal, n’est pas que l’état fasse trop de cadeaux aux grosses entreprises (lesquelles ont quand-même un pieds dans l’économie réelle), d’autant que rendre à quelqu’un une partie de ce qu’on lui a pompé, façon péripatéticienne qui tousse, reste une interprétation relativement libre du concept de « cadeau », surtout lorsque ce qu’on prend reste toujours plus élevé qu’ailleurs, ce qui explique pourquoi, peu à peu, les sièges sociaux s’en vont vers des cieux moins sodomites tandis que toute taxe supplémentaire issue d’un cerveau d’énarque finit par être répercutée sur le consommateur d’une manière ou d’une autre et que ledit état ne peut plus guère alors exercer sa capacité de nuisance que sur ceux qui ne peuvent pas partir, essentiellement les PME et les artisans. 
Le problème est surtout que, grâce au sans-frontiérisme, il ne peut empêcher, à supposer qu’il le veuille, lesdits cadeaux d’aller directement dans la poche, non des entreprises (au bénéfice des salariés, des outils de production et de la recherche), mais d’actionnaires déjà multimilliardaires qui se gavent alors que leur capital risque (lequel pourrait justifier un certain taux de profit) est remboursé depuis longtemps. Le discours prétendant résoudre « l’injustice fiscale » sans récupérer nos frontières et en déversant ce qui serait pris aux parasites du haut qui n’auraient pas réussi à fuir, sur un flot toujours croissant de parasites du bas, essentiellement allogènes, sans toucher au monstre administratif gargantuesque (qui s’étend de Bruxelles a l’état et aux collectivités territoriales en passant par les grosses métropoles) et en le laissant se remplir la panse façon Polansky dans un pensionnat de jeunes filles, ferait peut-être illusion quelques mois, le temps que l’appétit s’adapte, mais ne ferait qu’accélérer la ruine du pays. 
On a peur de nous l’avouer par crainte de la guillotine, mais ils nous ont ruinés !  et dans un pays en voie de désindustrialisation, dont les rares paysans qui subsistent se suicident, composé essentiellement de fonctionnaires et de travailleurs du tertiaire qui ne produisent rien, dépourvu de ressources pétrolières qui peuvent, dans quelques endroits du monde, donner l’illusion qu’un tel système est viable, ils n’ont pas d’autre choix, faute de pouvoir imprimer eux-mêmes une fausse monnaie que, bizarrement, des esclaves, à l’autre bout du monde, acceptent encore en échange de leur travail, que d’emprunter ladite fausse monnaie à la mafia bancaire en gageant les bijoux de famille pour que le bon peuple, en attendant de se retrouver à poil du jour au lendemain, puisse continuer à faire comme si de rien n’était et se payer des kebabs, des livreurs de pizza, un abonnement Netflix et de la main d’œuvre pour torcher les fesses de notre cinquième-âge, ce qui bizarrement nous ramène à… Brigitte Macron. Je crois que je commence à faire une fixation…
Ceux qui me suivent savent que je donne souvent comme indicateur de l’état de déliquescence de la France ces 25000 ponts qui ne sont pas entretenus (ou reconstruits si nécessaire) et bien ça y est : l’un d’entre eux vient de s’effondrer, à 50 kms de chez moi, faisant malheureusement des victimes. Certainement la faute à un camion qui transportait des enclumes. Vous rajoutez une ou deux fientes de pigeon qui atterrissent sur le parechoc en raison d’un petit-vent de nord-nord-est pas prévu par la météo et, paf, c’est le drame. Enfoirés de pigeons. La faute à pas de chance. Je suppose que comme pour les attentats, il va falloir s’habituer. 
Heureusement il reste encore des sous pour payer les lacrymogènes tant il est vrai que, d’un point de vue économique, il est plus rentable d’acheter des matraques pour taper sur les gens que de leur rendre un peu de ce qu’on leur pique.  Outre l’escroquerie de la dette dont la totalité des intérêts versés dépasse déjà largement le montant, le vrai problème est donc moins dans l’injustice fiscale (laquelle a des causes probablement discutables, mais pragmatiques) que dans la corruption et les trahisons « d’élites qui délitent » la France et ne pourront être neutralisées qu’en faisant table rase d’un système complètement pourri, prêt à se battre jusqu’à la mort, la nôtre (par CRS interposés), pour se maintenir en place et qu’on ne chassera pas avec de grand principes et encore moins avec des pancartes au logo CGT, le label rouge n’ayant aucun effet répulsif connu sur les poulets.
Le résultat de ces trahisons c’est que tout s’est transformé en tonneau des danaïdes capable d’avaler (contrairement au titre connu de Marie Minelli alias Schiappa à la ville), tous les milliards qu’on y jette, sans que cela ne provoque la moindre amélioration. Quelques exemples :
L’hôpital est certes en faillite, mais comme tout médicament doit faire l’objet d’une batterie de test coûteux (imposés par lobbying et copinage) qui excluent de facto les remèdes quasiment gratuits que pourraient-être dans certaines circonstances, l’argile, le bicarbonate, le vinaigre, la silice organique, l’argent colloïdal et autres miels et vitamine C, voire dans certains cas un coup de pied aux fesses, et font qu’on n’évalue pas les propriétés curatives de tout élément bon marché et non brevetable qui, même s’il a depuis longtemps des résultats empiriques prometteurs, est interdit d’utilisation au même titre que le purin d’ortie en agriculture, cela laisse à big pharma un monopole et un boulevard pour caser des médicaments de plus en plus inefficaces et de plus en plus chers pour soigner, et non guérir (ce qui est moins rentable), des maladies de plus en plus nombreuses dans un pays de plus en plus vieux avec, en oncologie, dans le traitement du sida, voire en psychiatrie, des produits qui peuvent couter des milliers d’euros la dose ou l’injection (parfois pour prolonger, dans la souffrance, de 3 petits mois, la vie d’un nonagénaire dont la fin serait plus douce et humaine en passant par des soins palliatifs moins rentables) et qui aspireront tous les milliards qu’on jettera dans ce puits sans fond au détriment des infirmières. Sans même compter les cerises sur le gâteau que sont l’AME, le financement de la GPA et des changements de sexe, tandis qu’à côté de ça les soins dentaires sont inaccessibles sans mutuelle et que ressurgissent des maladies d’un autre âge qui viennent s’ajouter aux conséquences croissantes de la malbouffe.
Pareil pour l’éducation, premier poste budgétaire de l’état. Même si l’on doublait le budget ou décuplait le nombre de profs (eux-mêmes souvent produits d’un système déficient et incapables, profs de français compris, d’écrire 3 lignes sans fautes), tant qu’on fera du nivellement par le bas et qu’on parlera davantage de Shoah, de LGBT et de droits de l’homme que de théorèmes mathématiques, qu’on mettra l’histoire dans le désordre, qu’on remplacera les humanités par l’humanisme, qu’on poussera, en baissant le niveau des diplômes, des gens qui n’en ont pas les capacités ou n’en ont pas l’envie à faire de longues études pour qu’ils ne gonflent pas trop vite les chiffres du chômage et qu’on puisse leur laver le cerveau le plus longtemps possible avec les valeurs de la république, avec pour résultat que même Hollande n’a plus le droit de s’exprimer dans les universités, peu importe les milliards qu’on jettera dedans, ça ne servira à rien.
Pareil pour pôle emploi et le business du chômage dans lequel toute une mafia, qui se nourrit de formations toutes aussi fumeuses qu’inutiles produisant, au mieux, du chômeur formé, est prête à s’empiffrer de tout le pognon qu’on y jettera, comme avec la nouvelle appli pour le compte personnel de formation, CPF de son petit nom.
Idem pour la culture avec un cinéma et des médias dont la qualité, forcément conforme au politiquement correct, s’effondre en proportion inverse aux sommes qu’on y englouti, le navet et la daube recuite, qu’on croyait tombés en désuétude, permettant visiblement encore de substanter une armée de parasites.
Pareil pour les quartiers et la politique de la ville. De même, tant qu’on aura des politiciens qui préfèreront importer de nouveaux électeurs inintégrables que de satisfaire les besoins de ceux qui sont sur place, le niveau de violence augmentera jusqu’à absorber toutes les sommes qu’on pourra jeter dans la police ou les pompiers.  
Je pourrais continuer indéfiniment.
Chacun est libre de défiler pour réclamer juste des sous, même si la possibilité de récolter des coups de matraque à la place est plus que probable, histoire de permettre à un Préfet de police au nom qui évoque les heures les plus sombres de notre histoire et qui, de son propre aveu, n’est pas dans le même camp que nous, de faire le kekou après la bataille, avec sa casquette trop grande et son uniforme qui peine à masquer son corps de guerrier, mais c’est quand même un peu court. La notion mensongère de « convergence des luttes » qu’on nous vend n’a pour objet que de nous faire croire que nous nous battons pour des choses différentes alors que, et ça inclut ceux qui profitent encore un peu aujourd’hui mais qui seront ruinés demain, nous avons tous le même ennemi et que rien ne changera tant que toute cette clique n’aura pas été évincée, à commencer par Macron qui reste la cheville quelque peu enflée d’orgueil qui maintient un édifice déjà passablement ébranlé.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.