Transcription de ma vidéo YouTube:
https://youtu.be/ExbtUIpj-8g
J’ai fait un rêve bizarre : la femme de Dracula qui ressemblait vaguement à Brigitte Macron venait me sucer toutes les nuits, me sucer du sang, et quand totalement exsangue j’ai fini par réclamer qu’elle m’en rende un peu, je me suis vu magnanimement remettre un de ses tampons usagés, preuve que finalement ce n’était pas Brigitte Macron.
Me réveillant en sueur, comme à mon habitude dans ces circonstances, je me suis alors rappelé que la veille j’avais lu un article sur le 5 décembre date à laquelle, on allait voir ce que l’on allait voir, les gens allaient descendre en ordre dispersé dans la rue pour réclamer, chacun pour sa pomme, des sous à un état qui les pompe tous les jours en espérant qu’il leur lâche quelques pièces de leur argent qu’il a déjà dépensé puisque, cette année, la date à partir de laquelle les caisses sont vides a battu le record de précocité d’un Macron qui aurait connu Brigitte en maternelle, soit le 31 octobre.
Je veux bien que Marlène Schiappa, qu’on imagine bien enfourcher un aspirateur pour ses balades les soirs de pleine lune, faute de pouvoir caser sur un manche à balai un fondement qu’on voudrait voir aussi généreux dans ses raisonnements, ait quelques notions d’occultisme, mais ceux qui, en réponse à tout problème, demandent à l’état de puiser dans son porte-monnaie magique devraient réaliser qu’il ne fait rien d’autre que redistribuer inéquitablement l’argent qu’il nous pique (ou pique à quelqu’un d’autre) minoré de ses frais de fonctionnement ; et comme, compte tenu de sa tendance à génocider les homards et à favoriser les copains au détriment des services publics, on est encore loin du compte, tant qu’à y être il endette aussi, par l’emprunt, nos enfants lesquels, dotés pour certains de la conscience politique d’un pétoncle dépressif, visiblement s’en foutent, préférant manifester, si possible les jours de classe, pour un climat qui ne leur a rien demandé, pompant l’air à tout le monde à défaut d’en diminuer le taux de co2.
D’ailleurs on est tellement peu habitués à ce que nos politiciens utilisent pour nous un peu de cet argent qu’ils nous piquent que, quand ça arrive, par reconnaissance, sous prétexte qu’il a planté trois arbres, investi dans une motocrottes et rénové le gymnase, certains n’ont pas hésité à faire une cagnotte pour, à défaut de caution, payer des oranges à Balkany, même s’il a tellement endetté sa ville qu’avant que la dette ne soit remboursée, les arrières petits-enfants de Greta Thunberg, fruits de ses improbables amours avec un pygmée à faible indice carbone sur un cata(pas)maran, ressembleront à Brigitte Macron. D’autres ont élu sa femme à sa place et, en cas de défaillance due à un kilométrage à rendre envieux un moteur diesel d’avant la guerre, lorgnent déjà du côté du chien, probablement surnommé Chirac par sentimentalisme.
Contrairement à ce que chante habituellement un Mélenchon qui devait quand même regretter un peu de ne pas avoir envoyé manifester son hologramme, avantageusement dépourvu de sphincter, à la manif contre l’islamophobie, quand ont commencé à fuser des Allah Akbar fraternels tandis qu’à portée de caméra une petite fille, même pas voilée, violait sans pudeur le copyright de l’étoile jaune, le problème, même s’il y a des copinages incestueux qui parfois passent mal, n’est pas que l’état fasse trop de cadeaux aux grosses entreprises (lesquelles ont quand-même un pieds dans l’économie réelle), d’autant que rendre à quelqu’un une partie de ce qu’on lui a pompé, façon péripatéticienne qui tousse, reste une interprétation relativement libre du concept de « cadeau », surtout lorsque ce qu’on prend reste toujours plus élevé qu’ailleurs, ce qui explique pourquoi, peu à peu, les sièges sociaux s’en vont vers des cieux moins sodomites tandis que toute taxe supplémentaire issue d’un cerveau d’énarque finit par être répercutée sur le consommateur d’une manière ou d’une autre et que ledit état ne peut plus guère alors exercer sa capacité de nuisance que sur ceux qui ne peuvent pas partir, essentiellement les PME et les artisans.
Le problème est surtout que, grâce au sans-frontiérisme, il ne peut empêcher, à supposer qu’il le veuille, lesdits cadeaux d’aller directement dans la poche, non des entreprises (au bénéfice des salariés, des outils de production et de la recherche), mais d’actionnaires déjà multimilliardaires qui se gavent alors que leur capital risque (lequel pourrait justifier un certain taux de profit) est remboursé depuis longtemps. Le discours prétendant résoudre « l’injustice fiscale » sans récupérer nos frontières et en déversant ce qui serait pris aux parasites du haut qui n’auraient pas réussi à fuir, sur un flot toujours croissant de parasites du bas, essentiellement allogènes, sans toucher au monstre administratif gargantuesque (qui s’étend de Bruxelles a l’état et aux collectivités territoriales en passant par les grosses métropoles) et en le laissant se remplir la panse façon Polansky dans un pensionnat de jeunes filles, ferait peut-être illusion quelques mois, le temps que l’appétit s’adapte, mais ne ferait qu’accélérer la ruine du pays.
On a peur de nous l’avouer par crainte de la guillotine, mais ils nous ont ruinés ! et dans un pays en voie de désindustrialisation, dont les rares paysans qui subsistent se suicident, composé essentiellement de fonctionnaires et de travailleurs du tertiaire qui ne produisent rien, dépourvu de ressources pétrolières qui peuvent, dans quelques endroits du monde, donner l’illusion qu’un tel système est viable, ils n’ont pas d’autre choix, faute de pouvoir imprimer eux-mêmes une fausse monnaie que, bizarrement, des esclaves, à l’autre bout du monde, acceptent encore en échange de leur travail, que d’emprunter ladite fausse monnaie à la mafia bancaire en gageant les bijoux de famille pour que le bon peuple, en attendant de se retrouver à poil du jour au lendemain, puisse continuer à faire comme si de rien n’était et se payer des kebabs, des livreurs de pizza, un abonnement Netflix et de la main d’œuvre pour torcher les fesses de notre cinquième-âge, ce qui bizarrement nous ramène à… Brigitte Macron. Je crois que je commence à faire une fixation…
Ceux qui me suivent savent que je donne souvent comme indicateur de l’état de déliquescence de la France ces 25000 ponts qui ne sont pas entretenus (ou reconstruits si nécessaire) et bien ça y est : l’un d’entre eux vient de s’effondrer, à 50 kms de chez moi, faisant malheureusement des victimes. Certainement la faute à un camion qui transportait des enclumes. Vous rajoutez une ou deux fientes de pigeon qui atterrissent sur le parechoc en raison d’un petit-vent de nord-nord-est pas prévu par la météo et, paf, c’est le drame. Enfoirés de pigeons. La faute à pas de chance. Je suppose que comme pour les attentats, il va falloir s’habituer.
Heureusement il reste encore des sous pour payer les lacrymogènes tant il est vrai que, d’un point de vue économique, il est plus rentable d’acheter des matraques pour taper sur les gens que de leur rendre un peu de ce qu’on leur pique. Outre l’escroquerie de la dette dont la totalité des intérêts versés dépasse déjà largement le montant, le vrai problème est donc moins dans l’injustice fiscale (laquelle a des causes probablement discutables, mais pragmatiques) que dans la corruption et les trahisons « d’élites qui délitent » la France et ne pourront être neutralisées qu’en faisant table rase d’un système complètement pourri, prêt à se battre jusqu’à la mort, la nôtre (par CRS interposés), pour se maintenir en place et qu’on ne chassera pas avec de grand principes et encore moins avec des pancartes au logo CGT, le label rouge n’ayant aucun effet répulsif connu sur les poulets.
Le résultat de ces trahisons c’est que tout s’est transformé en tonneau des danaïdes capable d’avaler (contrairement au titre connu de Marie Minelli alias Schiappa à la ville), tous les milliards qu’on y jette, sans que cela ne provoque la moindre amélioration. Quelques exemples :
L’hôpital est certes en faillite, mais comme tout médicament doit faire l’objet d’une batterie de test coûteux (imposés par lobbying et copinage) qui excluent de facto les remèdes quasiment gratuits que pourraient-être dans certaines circonstances, l’argile, le bicarbonate, le vinaigre, la silice organique, l’argent colloïdal et autres miels et vitamine C, voire dans certains cas un coup de pied aux fesses, et font qu’on n’évalue pas les propriétés curatives de tout élément bon marché et non brevetable qui, même s’il a depuis longtemps des résultats empiriques prometteurs, est interdit d’utilisation au même titre que le purin d’ortie en agriculture, cela laisse à big pharma un monopole et un boulevard pour caser des médicaments de plus en plus inefficaces et de plus en plus chers pour soigner, et non guérir (ce qui est moins rentable), des maladies de plus en plus nombreuses dans un pays de plus en plus vieux avec, en oncologie, dans le traitement du sida, voire en psychiatrie, des produits qui peuvent couter des milliers d’euros la dose ou l’injection (parfois pour prolonger, dans la souffrance, de 3 petits mois, la vie d’un nonagénaire dont la fin serait plus douce et humaine en passant par des soins palliatifs moins rentables) et qui aspireront tous les milliards qu’on jettera dans ce puits sans fond au détriment des infirmières. Sans même compter les cerises sur le gâteau que sont l’AME, le financement de la GPA et des changements de sexe, tandis qu’à côté de ça les soins dentaires sont inaccessibles sans mutuelle et que ressurgissent des maladies d’un autre âge qui viennent s’ajouter aux conséquences croissantes de la malbouffe.
Pareil pour l’éducation, premier poste budgétaire de l’état. Même si l’on doublait le budget ou décuplait le nombre de profs (eux-mêmes souvent produits d’un système déficient et incapables, profs de français compris, d’écrire 3 lignes sans fautes), tant qu’on fera du nivellement par le bas et qu’on parlera davantage de Shoah, de LGBT et de droits de l’homme que de théorèmes mathématiques, qu’on mettra l’histoire dans le désordre, qu’on remplacera les humanités par l’humanisme, qu’on poussera, en baissant le niveau des diplômes, des gens qui n’en ont pas les capacités ou n’en ont pas l’envie à faire de longues études pour qu’ils ne gonflent pas trop vite les chiffres du chômage et qu’on puisse leur laver le cerveau le plus longtemps possible avec les valeurs de la république, avec pour résultat que même Hollande n’a plus le droit de s’exprimer dans les universités, peu importe les milliards qu’on jettera dedans, ça ne servira à rien.
Pareil pour pôle emploi et le business du chômage dans lequel toute une mafia, qui se nourrit de formations toutes aussi fumeuses qu’inutiles produisant, au mieux, du chômeur formé, est prête à s’empiffrer de tout le pognon qu’on y jettera, comme avec la nouvelle appli pour le compte personnel de formation, CPF de son petit nom.
Idem pour la culture avec un cinéma et des médias dont la qualité, forcément conforme au politiquement correct, s’effondre en proportion inverse aux sommes qu’on y englouti, le navet et la daube recuite, qu’on croyait tombés en désuétude, permettant visiblement encore de substanter une armée de parasites.
Pareil pour les quartiers et la politique de la ville. De même, tant qu’on aura des politiciens qui préfèreront importer de nouveaux électeurs inintégrables que de satisfaire les besoins de ceux qui sont sur place, le niveau de violence augmentera jusqu’à absorber toutes les sommes qu’on pourra jeter dans la police ou les pompiers.
Je pourrais continuer indéfiniment.
Chacun est libre de défiler pour réclamer juste des sous, même si la possibilité de récolter des coups de matraque à la place est plus que probable, histoire de permettre à un Préfet de police au nom qui évoque les heures les plus sombres de notre histoire et qui, de son propre aveu, n’est pas dans le même camp que nous, de faire le kekou après la bataille, avec sa casquette trop grande et son uniforme qui peine à masquer son corps de guerrier, mais c’est quand même un peu court. La notion mensongère de « convergence des luttes » qu’on nous vend n’a pour objet que de nous faire croire que nous nous battons pour des choses différentes alors que, et ça inclut ceux qui profitent encore un peu aujourd’hui mais qui seront ruinés demain, nous avons tous le même ennemi et que rien ne changera tant que toute cette clique n’aura pas été évincée, à commencer par Macron qui reste la cheville quelque peu enflée d’orgueil qui maintient un édifice déjà passablement ébranlé.
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