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vendredi 4 décembre 2020

FRANCE : Et si on regardait la réalité en face? (04 déc. 2020)

 Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/7CEqlDFBrnc

 


Bonjour !

Ça y est ! Grace à mon accent, je suis enfin passé dans le camp du bien et des victimes qui ont toujours raison. Donc si vous n’êtes pas d’accord avec ce qui suit vous êtes d’infâmes glottophobes.

On me reproche parfois d’être aussi pessimiste qu’une hémorroïde Macronienne dans une Gay Pride. Je rétorquerais que même si les nuages n’ont pas besoin de s’envoyer en l’air, vu qu’ils y sont déjà, pour autant, quand ils pratiquent le cumulonimbus, prédire qu’il y a de fortes chances que ça mouille ce n’est pas du pessimisme. Mais il y aura toujours des gens pour s’accrocher à l’espoir de passer entre les gouttes et considérer que tant qu’on n’est pas face à un tsunami de 100 mètres de haut pendant un tremblement de terre d’une magnitude de 9,5 à proximité d’une centrale nucléaire dont le cœur a démarré sa fusion, le jour même où l’on a appris que l’on était atteint d’un cancer incurable en phase terminale, et qu’entre un avis d’huissier avant saisie, une demande de divorce et un recommandé de la banque pour notifier notre interdit bancaire, une lettre de la préfecture ne nous a pas laconiquement informé de la perte des derniers points de notre permis (chose peu importante lorsque la voiture est, de toutes façons, en panne et qu’on n’a pas les moyens de la faire réparer) il y a toujours des raisons d’espérer. Et surtout de justifier sa pusillanimité et son inaction face à la peur de perdre les quelques miettes que l’on possède encore.

Les annonceurs de lendemains qui chantent ont souvent quelque chose à vendre (en plus de l’espoir et d’un alibi pour se regarder dans une glace en dépit de sa passivité) et acceptent humblement les dons en attendant, qui une intervention divine, qui un sauveur providentiel voire, à l’attention des plus naïfs, les prochaines élections. La justice immanente ou le karma sont de la foutaise. Giscard, initiateur, entre une foultitude d’autres choses, de la dette publique (le dernier budget en équilibre était avant son arrivée), de la communication comme méthode de gouvernement (avec accordéon en option), co-responsable du regroupement familial, du démarrage du chômage de masse, de la capitulation face au modernisme, de l’arrivée de la gauche au pouvoir et à cause duquel internet est Américain au lieu d’être Français, après une longue vie au frais du contribuable, est mort paisiblement, à 94 ans, sans avoir connu le sombre « d’Estaing » qu’il a rajouté à son patronyme.

Hormis quelques coïncidences qui maintiennent l’illusion dudit karma et frappent généralement des sous-fifres dans leurs activités masturbatoires, les pires pourritures de la planète vivent pour la plupart très vielles, dans l’opulence, en dormant comme des bébés qui ne les ont pas encore rencontrés.

Un miracle est, par définition, toujours possible, mais « l’espérer » et « compter dessus » sont 2 attitudes différentes et face à un lion affamé, entre prier et grimper à l’arbre, le choix est vite fait. Je ne compte donc pas sur la destinée pour sauver la France, laquelle non seulement peut mourir, mais est peut-être déjà morte comme un poulet sans tête qui continue à courir. Pays où, comble de l’absurdie, des restaurateurs, acculés, ne peuvent plus payer la cantine de leurs enfants, et dans lequel on attend de se faire acculer justement (libre à vous de rajouter un N) avant de se cabrer et de dire que ça fait mal, mais sans jamais réagir en amont quand on nous dit de nous pencher en avant et de baisser notre pantalon, tandis que celui qui nous dit ça enfile une capote. 

Hors parenthèse des gilets jaunes originaux, les seuls qui bougent encore sont les antifas et l’extrême gauche, juste pour dire qu’ils ont cru voir une croix gammée sur ladite capote et exiger qu’on en mette une verte à la place. Une extrême gauche qui n’est là que pour donner une illusion de lutte, épuisant les énergies dans des combats secondaires contre les mauvaises cibles et pour chasser de la rue, au passage, ceux qui auraient une vraie légitimité à s’en emparer.

Quand on a affaire à un violeur multirécidiviste on ne manifeste pas pour faire retirer l’enculade du jour, on sort pour mettre ledit violeur hors d’état de nuire. Toute manifestation (qui, par ailleurs, n’aura de réalité médiatique (c’est-à-dire de réalité tout court) que si on décide de lui en donner une) qui n’a pas pour finalité le départ de Macron et de sa bande de dégénérés toxiques est une manipulation qui revient à valider leur légitimité. Macron, que de plus en plus de gens appellent « le putois » sur les réseaux sociaux, au risque de vexer des animaux qui n’ont pas mérité ça, tel Mirabeau (lui aussi prétendant abusivement être là par la volonté du peuple) ne partira que par la force des baïonnettes (ou par quelque émule de Ravaillac si, d’aventure, les toilettes de l’Elysée se bouchent et qu’il met sa vieille « poule au pot »). 

En d’autres termes, quand on est « en guerre », comme ledit notre gérontophile à voile et à hydrogène (lequel ne pensait pas forcément au virus en employant ces mots) aller à la bataille si l’on n’est pas prêts non seulement à tuer, mais aussi à dire, avant « adieu » à sa femme et à ses gosses et à mourir, ne sert strictement à rien. Or, l’autre jour, j’ai eu le malheur d’éternuer dans le bureau de poste et trois personnes, dont une très vieille dame (dont je n’aurais jamais soupçonné l’agilité résiduelle) se sont jetées sous la table en hurlant « Covid ! ». J’exagère à peine. Du coup, devant le succès de ladite opération covid, même si elle se transforme logiquement à court terme en opération frigovid, j’ai un peu de mal à imaginer les mêmes se jetant à l’assaut de l’Élysée au péril de leur vie. 

Une vie généralement virtuelle qui a aussi ses mérites : on peut visiter des mondes qui n’existent pas, voir des batailles de vaisseaux spatiaux à coup de rayons laser de toutes les couleurs qui font du bruit même sans atmosphère ; on peut goûter à l’adrénaline des jeux de combat sans ressentir les coups ; assister à des chevauchés épiques (avec la musique qui va bien) en 30 secondes chrono, en s’épargnant les douleurs aux fesses, les longues journées monotones et les odeurs (faute de douches dans le Far West) ; pleurer autant que l’on veut sur des histoires romantiques où des hommes grands, riches et beau se battent pour une pauvre fille ordinaire ; on a des milliers d’amis sur les réseaux sociaux, des millions de gens qui bavent sur des images photoshopées sur Instagram… Bref, des exaltations en concentré que la vraie vie ne distribue qu’avec parcimonie, au milieu de beaucoup de souffrances, le tout ne faisant aucune différence une fois qu’on est au cimetière. Pourquoi donc aller faire la révolution sous le froid et la pluie ? 

Quand on n’a plus de but collectif et qu’on ne fait plus d’enfants, tant qu’on a l’électricité, c’est une position qui se défend. Hors islam et pandémie, il ne faut pas se voiler la face : la majorité des gens se contenterait de la garantie d’un paquet de chips, d’un écran géant et d’une manette de jeux, système d’assistanat qui aurait pu fonctionner avec un revenu universel tant qu’on pouvait échanger les ressources du Tiers-Monde contre de la fausse-monnaie, mais qui a implosé à l’instant où l’on a commencé à importer le Tiers-Monde chez nous.

A l’instar des seins des femmes, supposés être pour les enfants mais qui sont palpés par des adultes, si les révolutions se font toujours au nom du peuple, elles ne sont jamais menées par lui et servent généralement à remplacer des exploiteurs par d’autres. Exploiteurs qui se heurtent toujours au même problème : l’homme n’est pas fait pour être soumis à un autre homme, problème qu’on essaie de contourner en le dévirilisant et en valorisant l’homosexualité, comme s’il s’agissait d’un talent particulier comme jouer du piano (avec ou sans queue) et qui n’est rien d’autre qu’une pratique de soumission. Valorisation que l’on retrouve dans toute civilisation décadente quand les gouvernants ont perdu leur prestige, seul artifice permettant d’obtenir la soumission autrement que par la force. 

Dans les temps anciens on se soumettait au roi car il était à la fois l’incarnation du pays et de la volonté divine, on ne se serait jamais soumis durablement à l’homme sous la couronne. Les castes guerrières allaient encore plus loin en rajoutant une couche d’abstraction supplémentaire sous forme d’un code d’honneur, tel le bushido, dont l’acceptation leur donnait une illusion de choix. Aujourd’hui, la majorité d’entre nous est composée de salariés bonsaï déjà soumis par définition et on est en train de casser les derniers indépendants. Pour peaufiner le tout, on rajoute une petite touche de féminisme castrateur qui finit de décourager les hommes qui en sont encore capables de défendre les femmes et on fait entrer des hordes de migrants pour qui c’est open bar et qui démontrent de façon concrète à ces dernières en quoi la soi-disant « femme forte » a, en fait, juste remplacé la protection de l’homme par celle de l’état, lequel, incapable d’amour, lui, est en train de la laisser tomber comme une vieille chaussette.

Par ailleurs, les Français organiques sont devenus une fraction parmi d’autres au sein d’un pays multi ethnique et multi culturel dans lequel le cumul « immigration-Français de papier » doit largement dépasser les 20 millions. Englués dans l’illusion d’être toujours « le peuple », lesdits Français organiques acceptent sans broncher qu’on les prive du réflexe communautaire accordé aux autres composantes, refus justifié, outre la volonté mondialiste de détruire les nations, par la crainte de l’exclusion mécanique d’une communauté particulière qui, dans cette hypothèse, ne saurait rester à la fois dedans et dehors. Pire, une partie de ces Français organiques, au cerveau lavé par des décennies d’éducation républicaine, éprouve un mini-orgasme à chaque lambeau de France qu’on arrache et à chaque nouveau migrant qui entre. Ça ne donne pas vraiment envie d’aller mourir pour elle. 

Par ailleurs, sachant qu’il faudrait au moins trente ans pour réparer les dégâts et produire une génération qui sache réfléchir par (et pour) elle-même, à ce stade, seul un homme fort, prêt à tout et obsédé jusqu’à la folie par l’idée de sauver la France pourrait faire le ménage sanglant nécessaire et préparer une démocratie future qui ne serait pas auto-suicidaire. J’ai de bonnes jumelles, mais j’ai beau scruter le paysage politique je ne vois que des hommasses et des femmelettes sans colonne vertébrale qui convergent vers un transgenrisme idéologique tiède qui rend caduque le souci de parité.

Outre l’escroquerie de base du système électoral façon « face je gagne, pile tu perds », on met souvent en avant la décroissance vertigineuse de l’intelligence depuis la moitié du 19ème siècle (aggravée par une immigration massive) pour expliquer notre propension à élire des cons, même si ladite baisse a pu être, un temps, masquée par le paradoxe de Flynn (en gros, le fait que notre cerveau, surentrainé à certaines tâches complexes par le mode de vie moderne, réussit mieux les tests de QI en dépit d’une intelligence en baisse). Désormais ce paradoxe a atteint ses limites et la décroissance est visible. Pour autant, la démocratie serait encore concevable, même dans un pays avec un QI moyen à deux chiffres, les gens pouvant tout à fait prendre de bonnes décisions s’ils sont correctement informés et se voient inculqués, par l’éducation, un raisonnement logique. 

Le problème étant que, face à la propagande qui tient lieu d’information, s’informer correctement demande aujourd’hui énormément de temps, d’effort et de sagacité et même un génie, s’il ne fait pas ces efforts, face à des informations biaisées prendra de mauvaises décisions ; et ce d’autant plus qu’il évoluera dans une société devenue folle pour avoir substitué la morale, voire la moraline, et l’illusion de l’universalité des valeurs à la simple logique, faisant que ses capacités deviendront un handicap qui le poussera à la dépression. 

Morale qui fait que, par ailleurs, au nom de l’égalité, non seulement on ne favorise pas les plus intelligents, les plus capables et les plus travailleurs, mais qu’on subventionne les autres qui sont déjà statistiquement enclins à faire plus d’enfants et qu’au nom de l’humanité, de la même façon que l’on tue l’économie au prétexte de sauver quelques milliers de vies qui se seraient éteintes quand-même dans des délais similaires, on ne permet plus la sélection naturelle, faisant que de nombreux individus qui, jadis, auraient été éliminés par ladite nature, non seulement survivent, mais se reproduisent, contribuant à une dégénérescence exponentielle de l’espèce. Il suffit de regarder Castex. 

Étant moi-même un produit de mon époque, l’idée d’une euthanasie de masse (sauf contingentée au groupe LREM à l’Assemblée) me révulse, mais je n’en ai pas moins conscience de la logique implacable du concept. En revanche, là où je vomis vraiment, c’est que le plan qui se met en place pour éliminer une partie de la population n’a même pas pour finalité le renforcement et la survie à long terme de l’espèce, mais le maintien au pouvoir d’une oligarchie médiocre qui éliminera sur des bases purement sociales les esclaves dont elle n’aura plus besoin. Ils vont réussir à nous faire regretter Hitler.

Je ne dis pas ça pour vous démoraliser. Au contraire, une fois qu’on a regardé certaines réalités en face, non seulement, devant le caractère inéluctable d’une partie d’entre-elles (sauf à aimer pester contre la pluie plutôt que d’acheter un parapluie) on acquiert une certaine sérénité, non seulement on évite de perdre son temps dans de mauvais combats au bénéfice exclusif de quelques profiteurs, mais même pour les causes plus efficaces, la conscience de son faible poids dans la balance (et du fait que le Monde continuera à tourner sans nous) limite les engagements excessifs et destructeurs, sachant que 10% de l’effort permettent d’obtenir 80% du résultat, tout en préservant sa santé physique et morale et sa vie de famille sans lesquelles, si une véritable opportunité de combat se présente, on ne sera pas en état de participer.

 

 

mercredi 18 novembre 2020

Élections US, analyse et perspectives.(18 nov. 2020)

 Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/LhmdWI5cYpw

 

Bonjour!

J’ai enfin compris pourquoi dans « The Walking Dead » tous ces morts sont en marche, sans but, tels des députés LREM : ils cherchent un bureau de vote. À ce jour le doyen de ces centaines de milliers de « morts votants » incapables de résister au charisme d’un Joe Biden est né le 14 août 1850. J’ai bon espoir que si l’on creuse assez dans les listes électorales de Pennsylvanie ou du Massachussetts on trouve enfin, juste derrière Pocahontas, ce fameux chaînon manquant qui prouverait une fois pour toutes à ceux qui n’ont jamais vu Christophe Castaner, que nous descendons du singe lequel, comme le savent tous les nostalgiques des histoires de toto, descend de l’arbre. En attendant, comme, visiblement, les morts humains ne suffisaient pas, un chat décédé depuis 10 ans (vision d’ordinaire réservée au bidet de Roselyne Bachelot - lequel en est à sa troisième tentative de suicide) s’est vu, lui aussi, envoyer un bulletin de vote par correspondance. 

Je vous mets en lien la liste, longue comme l’aspirateur à farine Macronnien après une allocution sur le coronavirus, d’une partie seulement de l’iceberg (que les puristes prononcent izeberg) des fraudes recensées à ce jour et dont les remugles remontent à la surface de façon exponentielle, évoquant le contenu d’une canalisation de toilettes de salle des fêtes, bouchée après une soirée cassoulet, et dans laquelle il ne ferait pas bon se retrouver enfermé pendant un tremblement de terre. Les avocats de Trump disposent de centaines de pages de déclarations sous-serment (c’est-à-dire émanant de personnes qui s’exposent à 15 ans de prison si elles mentent) témoignant de bulletins de votes livrés, en douce, la nuit, par des camions de ravitaillement, de bulletins remplis sur place par ceux supposés les compter et autres joyeusetés diverses et « avariées ». Je ne parle même pas des déclarations de particuliers qui remontent par millions en passant par les numéros verts dédiés. En niant la fraude les médias nous refont le coup de ce journaliste de MSNBC qui décrit le saccage de Minneapolis par Black Lives Matters comme une manifestation pacifique alors même que, derrière-lui, on dirait Rome après que Néron ait reçu un lance flammes pour son anniversaire.

Pour bien comprendre ce qui s’est passé, il faut remonter un peu en arrière dans nos mémoires de poissons rouges. Déjà en 2016 la fraude avait été massive et je vous mets en lien l’analyse que j’avais faite à l’époque des élections américaines. L’état profond (au sens rectal du terme) a compris que Trump qui, depuis le début, avait tous les médias contre lui, avait gagné grâce à Internet et aux réseaux sociaux et, non content d’avoir tenté de le paralyser depuis avant même son investiture avec de fausses affirmations de collusions et autres impeachments, ledit état profond a, avec la discrétion d’un pétomane dans une cathédrale gothique, purgé peu à peu de YouTube, Twitter et autres Facebook tous les acteurs qui avaient participé à la victoire de l’homme aux cheveux orange. 

L’algorithme Google, déjà « biaisé » la dernière fois façon Gang Bang dans une cave de cité, a désormais perdu toute trace de l’innocence logarithmique de sa jeunesse, au point qu’il est quasiment impossible de trouver des informations sur les scandales des, non pas 1 mais 2, ordinateurs du fils de Joe Biden, scandales qui, s’ils avaient concerné Trump auraient été déversés non-stop pendant des semaines dans la machine médiatique comme autant de seaux de merde. Outre d’innombrables photos et vidéos où le dénommé Hunter, sous l’emprise de drogues diverses, entre deux masturbation pédestres, s’adonne au naturisme d’intérieur palpatoire avec, entre autres, la fille mineure de son frère décédé (dont il a, par ailleurs, consolé l’épouse avec beaucoup de compassion) on trouve dans ces ordinateurs des mails (qui ont pu être retrouvés par le FBI chez les destinataires - preuve de leur authenticité) dans lesquels on apprend que Biden prenait des commissions généreuses sur les milliards de dollars reversés à son fils (viré de l’armée pour usage de stupéfiants et qui n’a aucune compétence en quoi que ce soit justifiant qu’on lui octroie de telles sommes) par des oligarques Russes et Chinois (entre autres). 

Ledit Biden, lequel a, par ailleurs, conditionné une aide américaine à l’Ukraine de 1 milliard de dollars au limogeage du procureur qui y enquêtait sur son fils est donc, lui, coupable de toutes les choses indûment reprochées à Trump par les démocrates. C’est ce que l’on appelle « l’inversion accusatoire » concept développé par Hervé Ryssen lequel croupit actuellement dans les geôles françaises pour délit d’opinion et blasphème pour avoir méconnu le caractère sacré d’une certaine frange de la population dans la religion républicaine. Omerta complète, donc, sur le scandale Biden, doublée d’une censure totale des réseaux sociaux et de Google qui ont été jusqu’à bloquer et faire disparaître les articles, sur cette affaire, du Washington post, seul grand quotidien ayant tenté de sauver l’honneur de la profession devant l’énormité rocco-sifrédienne de la chose. Pas de trace non plus des actes de haute trahison et collusions impliquant Clinton et Obama. 

Il faut bien comprendre que Trump (qui ne s’est pas contenté de twitter pendant 4 ans) a fait pas mal de ménage, que la justice a suivi son cours lentement mais sûrement et que, si l’état profond a réussi à freiner les choses jusqu’aux élections en tirant ses dernières cartouches, si Trump est réélu, ledit Etat-profond ne pourra pas empêcher pendant 4 ans supplémentaires le barrage judiciaire, tendu façon sumotori qui aurait confondu des Smarties et des dragées Fuca, de céder. Tous ces gens risquent littéralement leur peau, d’où la panique, l’énervement et les erreurs, car, aux USA, la peine de mort n’a pas été abolie et on ne plaisante pas avec la haute trahison, crime que, pour mémoire, Nicolas Sarkozy (dont les talonnettes à ressort ont écrasé le peuple libyen ouvrant ainsi la porte à l’immigration massive que nous connaissons) a supprimé de notre constitution. Allez savoir pourquoi !

Pendant des mois, de faux sondages (expression devenue un pléonasme) encore plus faux qu’en 2016 (et sans plus avoir, cette fois, l’excuse de la surprise) ont tenté d’influencer les électeurs et, sous prétexte d’une pandémie tombée à pic pour éclipser le bilan économique, à mon sens éphémère et illusoire, mais néanmoins inégalé du président, on a mis en place un vote massif par correspondance, envoyant des bulletins aux gens sans qu’ils en fassent la demande. Tout cela, hasard du calendrier et simple coïncidence, en plein milieu d’un Trump Bashing (orchestré et complètement injustifié) sur la gestion du corona, court-circuitant ainsi la campagne électorale qui venait juste de commencer et qui s’est déroulée alors que des dizaines de millions d’américains avaient déjà voté par correspondance sous le coup de l’émotion. Apparemment les carottes étaient cuites d’autant que Biden battait des records en termes de donations, recevant des milliards des gafas (que Trump a promis de casser en cas de victoire) et de l’ennemi sans visage de François Hollande : le monde de la finance.

Ses propres tweets étant censurés, toutes ses voix sur les réseaux sociaux étant bâillonnées et Fox news la seule chaîne TV qui ne lui était pas ouvertement hostile commençant déjà à affuter les couteaux qu’elle allait lui planter dans le dos, la seule chose que pouvait faire Trump c’était de s’adresser directement au gens. À ces gilets-jaunes à l’envers qui sont le cœur de l’Amérique profonde. Pourquoi est-ce que je parle de gilets jaunes à l’envers ? Les gilets jaunes français originaux voulaient simplement qu’on baisse le prix du carburant, pouvoir vivre de leur travail et qu’on leur rende des comptes sur le fait qu’ils bossent pour l’état du premier janvier jusqu’à la fin août sans que cela ne freine, pour autant, la détérioration endémique des routes, des ponts et autres hôpitaux. Trump a exaucé ces souhaits : il a baissé le prix de l’essence, créé des emplois, allégé les règlementations et les impôts donc, contrairement aux Français qui se sont battus en vain pour obtenir le droit de vivre, les américains se battent pour le garder ; la situation est donc inversée, mais ce sont les mêmes catégories sociales (la mouvance gauchiste en moins, Dieu et le patriotisme en plus) faisant qu’ils ne sont pas récupérables et seront fidèles jusqu’au bout car ils ont compris les enjeux de la bataille.

La seule chose que Trump pouvait encore faire c’était donc de s’adresser directement au peuple. Et, alors que le nombre d’individus sur la planète capables de relever un tel défi, face à autant d’adversité et de faire montre d’autant d’opiniâtreté doit se compter sur les doigts d’une main, il l’a fait. Des mois d’une campagne herculéenne contre vents et marées avec jusqu’à 6 meetings par jours dans les endroits les plus improbables, d’un simple champ à des tarmacs d’aéroports. Des meetings souvent annoncés au dernier moment pour éviter les obstructions des autorités démocrates locales. Et chose que n’avait pas prévue le pouvoir profond, les gens sont venus, par dizaines de milliers à chaque fois, bravant les intempéries et la pandémie en criant « We love Trump ». Pendant ce temps Biden restait planqué dans sa cave et sortait une fois tous les quatre jeudis pour parler à quelques dizaines de gens assis dans des cercles racistement blancs. 

Trump a réalisé l’impossible faisant que la vague bleue façon canard WC annoncée par les sondeurs s’est transformée en vague rouge façon Destop et, quand le président en exercice a remporté la Floride, dans laquelle Biden était donné gagnant avec 4 points et où c’est Trump qui a terminé avec 4 points d’avance (soit un différentiel largement au-delà de la marge d’erreur) ça a été la sidération, puis la panique. D’autant que Trump, le soi-disant raciste misogyne, a fait un tabac chez toutes les minorités et les femmes et que la Floride, habituée, elle, aux votes par correspondance, ayant dépouillé ces derniers en premier, avait été en mesure de donner rapidement les résultats définitifs. Trump était en avance partout, il avait augmenté sa majorité au parlement et commençait à grignoter des sièges pour le sénat, en remportant même dans les fiefs démocrates. Et là, d’un coup de baguette magique, fait inédit, au même moment (comme sous l’effet d’une vision fugace de quintuplés hurlant « papa ! » pendant un coït ordinaire) tous les comptages se sont arrêtés pile et ce, sous des prétextes improbables allant d’une rupture de canalisation d’eau à « il est tard on continuera demain ». Ils n’ont pas osé le « j’ai piscine ! » mais on n’en est pas loin. 

Sitôt les scrutateurs républicains poussés par la porte avant, les démocrates, par définition pas homophobes, sont rentrés par la porte arrière et, sachant désormais combien de votes ils avaient à rattraper, ont passé la nuit à valider des bulletins aux fins de combler un retard tellement au-delà de leurs prévisions qu’il n’était même plus possible de sauver les apparences et que les votes par correspondance, au lieu de favoriser Biden à 60 contre 40 (comme en Floride) lui donnaient des scores de dictateur Africain chatouillant les 100%, que, par endroit, le taux de participation, morts compris, dépassait les 120% et que, faute de temps, des centaines de milliers de bulletins (lesquels servent aussi à élire, entre autres, les sénateurs et députés) s’étaient limités au choix du Président. Du coup, les américains, qui s’étaient couchés avec Trump largement en tête, se sont réveillés face à un miracle à côté duquel la résurrection de Jésus c’est du pipi de chat blennorragique, les médias les priant de croire qu’un vieillard sénile, féru de propos grivois à l’oreille des petites filles, du fond de sa cave, aurait fait plus de voix qu’Obama quand les gens croyaient encore en lui. 

Entre-temps, les scrutateurs, comprenant ce qui se passait, ont voulu revenir et on leur a refusé l’accès aux salles. Même après que des juges (car il a fallu aller jusque-là) aient intimé aux gens en charge des bureaux de les laisser entrer, ils ont été confinés à plusieurs mètres des tables les plus proches tandis que les scrutateurs démocrates, au lieu de scruter quoi que ce soit, s’employaient à les distraire et à leur bloquer la vue. Du grand guignol.

Pour autant, le fait que ces élections soient un défi à la logique et au bon sens ne suffira pas forcément à convaincre des juges souvent partisans. D’autant que les recomptages accordés aux avocats de Trump ne se passent pas dans de meilleures conditions que le comptage original et que, étant donné qu’une fois le bulletin de vote sorti de son enveloppe on ne peut plus relier les deux, faute d’un audit qui prendrait des mois, simplement recompter des bulletins frauduleux ne rime pas à grand-chose, même si la panique a été telle et les bévues tellement grosses que, dans certains états, ce simple recomptage pourrait suffire à faire basculer les résultats.

J’écoutais récemment Alexis Cossette que j’aime bien, mais que je prends avec des pincettes, étant donné que, comme Sœur Anne, je n’ai rien vu venir concernant le black-out d’Internet, les arrestations massives de pédophiles ou la surprise d’octobre, avec Biden se désistant pour Michelle Obama. Un Alexis Cossette qui évoque un cryptage secret permettant de détecter tous les bulletins frauduleux, ce qui, effectivement, reviendrait à faire échec et mat, belotte et dix de der. J’aimerais vraiment qu’il ait raison et je me suis gardé un paquet de cacahouètes, au cas où, histoire de profiter du spectacle depuis mon canapé, mais j’ai étudié le document (que je vous mets en lien) édité par la CISA (chargée de la cybersécurité et de l’infrastructure) concernant ces élections et vous pourrez constater, à l’avant-dernière page, que si la possibilité d’un tel cryptage est bien évoquée elle dépend non de l’état fédéral mais des états eux-mêmes dont une partie est aux mains des démocrates lesquels ne pouvaient donc pas ne pas être au courant.

Une deuxième théorie, à mon sens plus crédible (et c’est l’informaticien qui parle) tourne autour des manipulations du logiciel des machines de votes, fraude dont j’avais expliqué le mécanisme dans ma vidéo de 2016, et qui, à mon avis, seraient les plus faciles à prouver d’autant que des millions de téléspectateurs ont pu voir en direct Trump perdre des dizaines de milliers de voix en l’espace d’une seconde et que démontrer, ne serait-ce que le système n’est pas fiable, est en soi déjà suffisant pour casser les élections. Certains prétendent même que Trump aurait tendu un piège aux fraudeurs et que des opérations militaires sont en cours à l’étranger pour mettre la main sur les serveurs. C’est possible car ce genre d’opération demande beaucoup moins de personnes dans la confidence que l’autre hypothèse, mais il faut être extrêmement rapide, la difficulté consistant à mettre la main sur lesdits serveurs, souvent virtuels et dans le cloud, lesquels peuvent être effacés irrémédiablement en quelques secondes et ce d’autant plus quand, comme c’est la cas ici, ils sont hébergés à l’étranger, une partie des machines de votes étant administrée par une société espagnole en faillite qui ne risque donc pas grand-chose si elle dit « oups, j’ai effacé le serveur ! ».

Mais bon, Trump peut très facilement gagner sans opération rocambolesque à la James Bond, James bond devenu au passage une femme noire et lesbienne laquelle aurait peut-être trouvé son public dans le cadre d’un Spin-off baptisé, par exemple, agent 069 (ce ne sont pas les numéros qui manquent) mais certainement pas en saccageant une franchise existante.

Dans un premier temps, la première carte de Trump est de retourner autant d’états que possible avec le recomptage. Si ça ne suffit pas, d’essayer de faire annuler tous les votes qui n’ont pas pu être vérifiés par des scrutateurs républicains quitte, en cas de jugement défavorable dans les états, à remonter jusqu’à la cour suprême qui est favorable, sinon à Trump, au respect de la constitution.

Tactiquement, Trump a d’ores et déjà obtenu l’essentiel, à savoir que, en dépit de l’omerta médiatique, le doute est tel que ce n’est plus à lui de démontrer la Fraude, mais à ses adversaires de démontrer (et non plus seulement d’affirmer par la presse) que le scrutin a été honnête, chose carrément impossible compte-tenu des circonstances et faisant que, non seulement, face à un doute raisonnable, il n’est pas obligé de reconnaître sa défaite, mais que, si la situation n’est pas réglée avant l’échéance en décembre, selon la constitution, c’est le parlement, avec une limitation à un seul vote par état (et non plus les grands électeurs) qui élira le président, ce qui l’assure de la victoire. 

Même si, par je ne sais quel miracle, tous les scrutins étaient validés et que l’élection se faisait classiquement par lesdits grands électeurs, tant que Trump tient bon et n’écoute pas son gendre qui, selon les rumeurs, le pousserait à jeter l’éponge, il reste en position de force. En effet, face à une telle débâcle du système électoral et devant le risque majeur de guerre civile avec ces 73 millions de supporters du palmipède, armés et prêts à en découdre (comme l’a démontré la marche de centaines de milliers d’entre eux à Washington au slogan de « don’t steal the vote ») si Trump ne reconnait pas sa défaite, le seul choix qui restera à la cour suprême sera d’annuler les élections. Là encore, dans l’intervalle, c’est Trump qui reste en place, sachant qu’en outre, lui seul peut garantir la paix civile ayant le soutien de l’armée et de la police, soutien qui rend peu probable l’hypothèse qu’il puisse être démis par la force, en dépit des déclaration ridicules d’un Justin Trudeau, prêt à envoyer la police montée canadienne à l’assaut de la maison Blanche. 

Donc, même si les rumeurs de piège et d’échec et mat avec arrestations massives à la clé et dynamitage instantané de l’état profond s’avéraient infondées, ça n’empêchera pas Trump de gagner. En fait, c’est le moment de vérité. Si Trump est une baudruche et un mirage, possibilité à mon avis plus que réduite mais que, n’étant pas spécialement un thuriféraire du personnage en particulier et des USA en général on ne peut jamais totalement exclure, il va se dégonfler, dans le cas contraire, sortez les cacahuètes car le résultat de ces élections va changer le cours de l’histoire et beaucoup de gens, y compris chez nous, vont commencer à avoir très chaud aux fesses.