Bonjour !
Sibeth Ndiaye n’est décidemment pas
Zorro, même si, la nuit, on pourrait les confondre. Certes, ceux qui n’ont ni
la 4k, ni la fonction zoom sur leur téléviseur, me diront qu’elle n’a pas de
moustache, d’autres que (probablement à la demande de la SPA) elle ne monte pas
à cheval, mais la différence principale qui lève toute ambiguïté, avant même
celle, évidente, qu’un est un homme et l’autre une … porte-parole du
gouvernement, c’est qu’un des deux ne sait pas mettre un masque.
C’est en tout
cas ce qu’elle a osé dire, face caméra, déclarant en substance que si,
compte-tenu de l’extrême technicité du geste, même elle, ministre, n’y arrivait
pas, il n’y avait aucune raison d’en équiper les gueux que nous sommes qui
seraient foutus de les porter en slip. À ce niveau de dextérité linguale, même
en cas de pénurie alimentaire, pour peu qu’elle croise Benjamin Griveaux, elle
n’a pas à se soucier des carences éventuelles en vitamines.
À sa décharge, si
j’ose dire, peut-être qu’elle nous confond avec certains représentants de la
maréchaussée, eux-aussi privés de masques et qui, après avoir verbalisé des SDF
pour ne pas être restés confinés chez eux, atteints de cuniculophobie galopante
(terme qui n’a rien à voir avec une pratique sexuelle) ont verbalisé un couple,
lequel avec l’attestation adéquate aurait pourtant le droit de marcher un peu
dans un rayon de 2 km, ramené récemment à 1, pour l’avoir fait en promenant … un
lapin en laisse (la cuniculophobie comme vous l’aurez deviné étant la phobie
non des féministes, mais des lapins) ; un autre individu a été sanctionné pour
s’être baladé 2 heures en avion privé, risquant certainement de contaminer les
corbeaux, qui ces temps-ci ont tendance à voler le ventre en l’air, les
restrictions kilométriques s’appliquant visiblement également vers le haut.
C’est
ça l’égalité républicaine, du moment que le citadin en chie, enfermé dans son
appartement, cherchant le mode d’emploi de sa plaque de cuisson et constatant
qu’il n’a pas d’ouvre-boîte, celui qui vit au milieu des bois doit en chier
aussi et inversement. Un zèle policier qui, fort heureusement, s’évapore mystérieusement
(façon stocks nationaux de chloroquine) dans certains quartiers dans lesquels
la même Sibeth se refuse à corréler les incivilités à toute composante ethnique
ou culturelle alors même que les intéressés, sans toutefois faire comme en Inde
et boire de l’urine de vache sacrée pour lutter contre le coronavirus,
invoquent, pour certains, la protection d’un certain Allah, activement
recherché par la police, pour s’affranchir de la paranoïa collective. À leur
décharge, un curé a également été pris en flagrant délit pour avoir organisé
une messe clandestine dans un camping privé, ses ouailles ayant eux, en
revanche, tous écopé de 135 € d’amende. Le denier dans le culte, en quelque
sorte.
Outre le fait que l’on se rend compte que l’Europe, toujours prompte à
légiférer sur la courbure des endives, est totalement inexistante quand se posent
les vrais problèmes et que c’est la Russie (pas rancunière en dépit des
sanctions imposées sur ordre des Américains, eux aussi aux abonnés absents) qui
apporte son aide à l’Italie, on réalise également que, sous le vernis qui se
craquelle, ce pays qu’on appelait la France, n’en est plus véritablement un. Après
les bagarres pour du papier toilette et les banlieues qui vivent leur vie, c’est
la guerre entre les parisiens lesquels (juste après avoir voté Hidalgo qui a
donné littéralement du sens à la fable du rat des villes) sont vite allés
répandre leur virus dans les champs, et les locaux qui, trouvant certainement
que lesdits parisiens ne manquent pas d’air, compensent en crevant les pneus de
leurs véhicules que parfois ils vont jusqu’à transformer façon art moderne
histoire de réduire le fossé culturel entre les deux populations.
La seule
unité nationale qui se dessine s’articule autour de la capacité collective effarante
à jouer les lapins dans les phares, à oublier, tels des poissons rouges transgéniques
avec un peu de Castaner dedans, que c’est l’incurie du gouvernement, aggravée
par la cascade de mensonges pour justifier de ses errements, qui est la cause
de la situation. Une capacité collective de sidération qui nous conduit à abdiquer
d’un claquement de doigts toutes nos libertés individuelles tandis que les
mêmes qui défilaient contre le fascisme en 2002 avec une pince à linge sur le
nez, montrent du doigt le voisin irresponsable en réclamant toujours plus de
rigueur dans le confinement tandis que celui qui nous confine ment aux cons
finement.
On oublie que sur la saison 2014-2015 la grippe ordinaire avait déjà
saturé les services d’urgence faisant la bagatelle de 18.400 morts en France hors
TVA (à mettre en rapport avec les plus de 600 000 décès annuels toutes
causes confondues) sans qu’on en fasse tout un foin. En outre, les chiffres
dont on nous abreuve ne veulent pas dire grand-chose puisque que dès lors
qu’elle fait partie de la minorité (par manque de moyens) de gens testés, même
une personne de 99 ans, en phase terminale de cancer et atteinte de commotion
cérébrale au point d’avoir voté LREM, sera comptée comme victime de la pandémie ;
un peu comme si les victimes de Nice étaient cataloguées en accidents de la
circulation ou que quand un camion d’enclumes traverse un pont (mal entretenu
par des politiques qui s’en foutent), reçoit une fiente de pigeon sur le capot
et que le pont s’effondre, on accusait le pigeon. Parallèlement on nous cache,
par omission, la véritable hécatombe dans les EHPADs qui remonte de partout
dans la presse régionale et qui, cette population n’étant pas testée, n’est pas,
pour l’instant, comptabilisée.
Nous sommes depuis tellement longtemps en
haut de la chaîne alimentaire que tandis que d’ordinaire nous vaquons tranquillement
à nos occupations en dépit des prédateurs humains qui font quotidiennement un
nombre de victimes considérables (faisant qu’on a plus de chances de se faire agresser
au couteau que de mourir du coronavirus), dès qu’un prédateur non humain apparaît,
qu’il soit microscopique ou grand, c’est la panique générale qui ouvre la porte
à toutes les manipulations.
Si un tigre à dents de sabre sortait d’hibernation
et se mettait à dévorer une personne par semaine (ce qui reste insignifiant), cette
même France qui subit sans broncher des centaines de milliers d’attaques au
couteau, de viols et autres meurtres, envisageant même de libérer les détenus de
ses prisons pour cause de coronavirus, resterait enfermée chez elle, regardant en
tremblant, BFM TV diffuser non-stop la liste des victimes et la traque de la
bête avec des hélicoptères, des drones et des images satellite.
Il va sans dire qu’avec ce genre d’atavisme
rémanent, en démocratie de l’émotion, un politique osant dire que même si (et
c’est peu probable) le nombre des victimes du covid-19, restant principalement
des personnes très âgées, était multiplié par 10 voire par 100, l’incidence
statistique serait quasi-nulle au bout de quatre ou 5 ans, se ferait littéralement
lyncher. Du coup, les uns après les autres, par crainte de leur opinion
publique devenue plus hystérique que Marlène Schiappa découvrant la différence
entre se faire un mâle et se faire la malle et, par-là, l’utilité des genres,
tous les pays du Monde, font la même chose que le voisin, histoire de rassurer
les foules.
La France, faute, encore une fois, d’avoir su préserver un système
de santé capable de faire face à la crise et pour avoir fait des économies de
pacotille sur les masques histoire de financer, entre autres nobles causes,
l’accueil de migrants à 50 000€ annuel par tête de pipe sur les miettes
que nous laisse le racket bancaire, avec un Président dans l’impossibilité idéologique
de fermer les frontières et face à l’inconcevabilité politique de ne rien faire
et d’admettre son impuissance, adopte la pire des solutions, claquemurant tout
le monde et finissant d’achever ce qui reste de productivité dans le pays, le
télétravail ne produisant pas de patates, en tout cas pas littéralement.
Pas
question non plus de suivre le docteur Raoult et sa chloroquine qui fermerait
la porte à une nouvelle rente vaccinale pour Big Pharma. Les aveux de triple Buzyn,
laquelle est probablement loin d’être aussi bête qu’on le pense, en tout cas
moins que Ndiaye, pourraient alors s’expliquer comme une assurance-vie, après
avoir réalisé qu’elle était un parfait fusible, dont le suicide opportun avec
trois balles dans la tête et les mains attachées dans le dos, compte-tenu des
sommes en jeux, éviterait que l’énorme scandale qui pourrait éclater
n’éclabousse les véritables instigateurs.
Je vous mets le lien pour les
japonisants, d’un article qui vient de sortir publiant les données de l’hôpital
militaire de SETAGAYA ayant procédé à des tomographies sur 104 patients volontaires
issus du Diamond Princess, dont la majorité n’avait pas ou peu se symptômes,
faisant apparaître dans plus de 50% des cas, malgré tout, des lésions
pulmonaires. Le confinement, contrairement au port généralisé du masque (rendu
impossible par nos gouvernants), ne fait que retarder la contamination dans
l’attente d’un vaccin qu’on pourra d’autant plus imposer à tout le Monde que
cette famille de virus a tendance à être plus virulente chez des personnes
ayant déjà été atteintes. C’était la minute complotiste.
Dans tous les cas, sans même tenir compte
du tsunami financier qui s’annonce et dont, là encore, le coronavirus, qui n’y
est pas pour grand-chose, va porter le chapeau, il y aura un après covid-19, la
réalité se rappelant enfin à notre bon souvenir. Une réalité, nous faisant
réaliser que l’argent ne se mange pas, qu’une promesse de masque ne protège pas
du coronavirus et que la communication ne saurait indéfiniment se substituer à
la vraie politique ; que contrairement à l’Europe qui ne sert à rien, les
frontières servent à quelque chose, qu’Amazon ne remplace pas les commerces de
proximité, et qu’un pays qui se focalise sur l’écriture inclusive, la GPA et
autres loi Avia quand toutes ses infrastructures et services publics montrent
leurs limites devrait peut-être revoir ses priorités ; de même, qu’un beau
jour, un tremblement de terre en Malaisie, nous fera réaliser que nos données personnelles
stockées dans le cloud magique n’étaient pas aussi dématérialisées que ça.
Pour se changer un peu les idées, tout en
restant dans la même veine de perte de vue des réalités, à l’attention de ceux
parmi vous qui seraient amateurs de ces superhéros américains dont je dénonçais
la nocivité dans une précédente vidéo à laquelle je vous renvoie et dont,
exceptionnellement, j’avais même fait une version en anglais, je ne peux
résister, car ça fait le buzz aux USA, à vous montrer la dernière trouvaille de
Marvel qui, bénéficiant de la manne Disney et des retombées cinématographiques
de la franchise, peut se permettre le luxe de sacrifier sa rentabilité à son
idéologie.
Marvel qui fait face à la faillite en cascade, amplifiée par le
coronavirus, des magasins de comics qui sont une véritable institution aux
États-Unis et qui se voient déjà obligés, sans possibilité de retour des
invendus, de proposer des BD avec des Thor femelles, des Spiderman noirs, des
Wolverine homosexuels, des superhéroïnes enceintes de neuf mois, ou latino-lesbiennes
luttant contre le patriarcat, sans plus aucune cohérence, ni scénario, et dont
personne ne veut dans le lectorat traditionnel. Je vous montre, car ça vaut son
pesant de cacahouètes sachant que la vidéo YouTube de promotion a quand même récolté
3000 likes … contre 145 000 dislikes. Comprenez bien que pendant que des
parasites sont grassement payés pour produire ce genre d’atrocités, dans la
vraie vie, un agriculteur se suicide tous les deux jours.
Si vous n’êtes pas
anglophone les noms perdent un peu de leur saveur poétique et c’est dommage
mais vous avez en vrac, tous issus de la diversité et cochant plusieurs cases (même
si parfois il leur en manque une) : TRAILBLAZER une version obèse de Dora
l’exploratrice avec un sac magique d’où peut sortir n’importe quoi, SCREENTIME
un gamin exposé à un "gaz internet" (ça ne s’invente pas) qui a, en gros, le
pouvoir d’être connecté à Google sans iPhone, B-NEGATIVE, un vampire androgyne
au look gothique passionné par les années 2000, et, cerise sur le gâteau, deux
jumeaux limite incestueux, fièrement LGBT et répondant au doux noms de SNOWFLAKE
et SAFESPACE, l’une revendiquant un pronom genré et jetant des shurikens
psychiques en forme de flocons de neige, tandis que l’autre projette des champs
de force protecteurs, de couleur rose, dont lui-même ne peut bénéficier. L’industrie
du comics américain est sauvée et toute ressemblance avec des membres du
gouvernement Français est, bien sûr, purement fortuite.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention
de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la
réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je
ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée
et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant,
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