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mercredi 25 mars 2020

Humour Caustique : SIBETH GRANDIOSE!!! (25 mars 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/hwnidFcgv88

Bonjour !
Sibeth Ndiaye n’est décidemment pas Zorro, même si, la nuit, on pourrait les confondre. Certes, ceux qui n’ont ni la 4k, ni la fonction zoom sur leur téléviseur, me diront qu’elle n’a pas de moustache, d’autres que (probablement à la demande de la SPA) elle ne monte pas à cheval, mais la différence principale qui lève toute ambiguïté, avant même celle, évidente, qu’un est un homme et l’autre une … porte-parole du gouvernement, c’est qu’un des deux ne sait pas mettre un masque. 
C’est en tout cas ce qu’elle a osé dire, face caméra, déclarant en substance que si, compte-tenu de l’extrême technicité du geste, même elle, ministre, n’y arrivait pas, il n’y avait aucune raison d’en équiper les gueux que nous sommes qui seraient foutus de les porter en slip. À ce niveau de dextérité linguale, même en cas de pénurie alimentaire, pour peu qu’elle croise Benjamin Griveaux, elle n’a pas à se soucier des carences éventuelles en vitamines. 
À sa décharge, si j’ose dire, peut-être qu’elle nous confond avec certains représentants de la maréchaussée, eux-aussi privés de masques et qui, après avoir verbalisé des SDF pour ne pas être restés confinés chez eux, atteints de cuniculophobie galopante (terme qui n’a rien à voir avec une pratique sexuelle) ont verbalisé un couple, lequel avec l’attestation adéquate aurait pourtant le droit de marcher un peu dans un rayon de 2 km, ramené récemment à 1, pour l’avoir fait en promenant … un lapin en laisse (la cuniculophobie comme vous l’aurez deviné étant la phobie non des féministes, mais des lapins) ; un autre individu a été sanctionné pour s’être baladé 2 heures en avion privé, risquant certainement de contaminer les corbeaux, qui ces temps-ci ont tendance à voler le ventre en l’air, les restrictions kilométriques s’appliquant visiblement également vers le haut. 
C’est ça l’égalité républicaine, du moment que le citadin en chie, enfermé dans son appartement, cherchant le mode d’emploi de sa plaque de cuisson et constatant qu’il n’a pas d’ouvre-boîte, celui qui vit au milieu des bois doit en chier aussi et inversement. Un zèle policier qui, fort heureusement, s’évapore mystérieusement (façon stocks nationaux de chloroquine) dans certains quartiers dans lesquels la même Sibeth se refuse à corréler les incivilités à toute composante ethnique ou culturelle alors même que les intéressés, sans toutefois faire comme en Inde et boire de l’urine de vache sacrée pour lutter contre le coronavirus, invoquent, pour certains, la protection d’un certain Allah, activement recherché par la police, pour s’affranchir de la paranoïa collective. À leur décharge, un curé a également été pris en flagrant délit pour avoir organisé une messe clandestine dans un camping privé, ses ouailles ayant eux, en revanche, tous écopé de 135 € d’amende. Le denier dans le culte, en quelque sorte. 
Outre le fait que l’on se rend compte que l’Europe, toujours prompte à légiférer sur la courbure des endives, est totalement inexistante quand se posent les vrais problèmes et que c’est la Russie (pas rancunière en dépit des sanctions imposées sur ordre des Américains, eux aussi aux abonnés absents) qui apporte son aide à l’Italie, on réalise également que, sous le vernis qui se craquelle, ce pays qu’on appelait la France, n’en est plus véritablement un. Après les bagarres pour du papier toilette et les banlieues qui vivent leur vie, c’est la guerre entre les parisiens lesquels (juste après avoir voté Hidalgo qui a donné littéralement du sens à la fable du rat des villes) sont vite allés répandre leur virus dans les champs, et les locaux qui, trouvant certainement que lesdits parisiens ne manquent pas d’air, compensent en crevant les pneus de leurs véhicules que parfois ils vont jusqu’à transformer façon art moderne histoire de réduire le fossé culturel entre les deux populations. 
La seule unité nationale qui se dessine s’articule autour de la capacité collective effarante à jouer les lapins dans les phares, à oublier, tels des poissons rouges transgéniques avec un peu de Castaner dedans, que c’est l’incurie du gouvernement, aggravée par la cascade de mensonges pour justifier de ses errements, qui est la cause de la situation. Une capacité collective de sidération qui nous conduit à abdiquer d’un claquement de doigts toutes nos libertés individuelles tandis que les mêmes qui défilaient contre le fascisme en 2002 avec une pince à linge sur le nez, montrent du doigt le voisin irresponsable en réclamant toujours plus de rigueur dans le confinement tandis que celui qui nous confine ment aux cons finement. 
On oublie que sur la saison 2014-2015 la grippe ordinaire avait déjà saturé les services d’urgence faisant la bagatelle de 18.400 morts en France hors TVA (à mettre en rapport avec les plus de 600 000 décès annuels toutes causes confondues) sans qu’on en fasse tout un foin. En outre, les chiffres dont on nous abreuve ne veulent pas dire grand-chose puisque que dès lors qu’elle fait partie de la minorité (par manque de moyens) de gens testés, même une personne de 99 ans, en phase terminale de cancer et atteinte de commotion cérébrale au point d’avoir voté LREM, sera comptée comme victime de la pandémie ; un peu comme si les victimes de Nice étaient cataloguées en accidents de la circulation ou que quand un camion d’enclumes traverse un pont (mal entretenu par des politiques qui s’en foutent), reçoit une fiente de pigeon sur le capot et que le pont s’effondre, on accusait le pigeon. Parallèlement on nous cache, par omission, la véritable hécatombe dans les EHPADs qui remonte de partout dans la presse régionale et qui, cette population n’étant pas testée, n’est pas, pour l’instant, comptabilisée.
Nous sommes depuis tellement longtemps en haut de la chaîne alimentaire que tandis que d’ordinaire nous vaquons tranquillement à nos occupations en dépit des prédateurs humains qui font quotidiennement un nombre de victimes considérables (faisant qu’on a plus de chances de se faire agresser au couteau que de mourir du coronavirus), dès qu’un prédateur non humain apparaît, qu’il soit microscopique ou grand, c’est la panique générale qui ouvre la porte à toutes les manipulations.
Si un tigre à dents de sabre sortait d’hibernation et se mettait à dévorer une personne par semaine (ce qui reste insignifiant), cette même France qui subit sans broncher des centaines de milliers d’attaques au couteau, de viols et autres meurtres, envisageant même de libérer les détenus de ses prisons pour cause de coronavirus, resterait enfermée chez elle, regardant en tremblant, BFM TV diffuser non-stop la liste des victimes et la traque de la bête avec des hélicoptères, des drones et des images satellite.
Il va sans dire qu’avec ce genre d’atavisme rémanent, en démocratie de l’émotion, un politique osant dire que même si (et c’est peu probable) le nombre des victimes du covid-19, restant principalement des personnes très âgées, était multiplié par 10 voire par 100, l’incidence statistique serait quasi-nulle au bout de quatre ou 5 ans, se ferait littéralement lyncher. Du coup, les uns après les autres, par crainte de leur opinion publique devenue plus hystérique que Marlène Schiappa découvrant la différence entre se faire un mâle et se faire la malle et, par-là, l’utilité des genres, tous les pays du Monde, font la même chose que le voisin, histoire de rassurer les foules. 
La France, faute, encore une fois, d’avoir su préserver un système de santé capable de faire face à la crise et pour avoir fait des économies de pacotille sur les masques histoire de financer, entre autres nobles causes, l’accueil de migrants à 50 000€ annuel par tête de pipe sur les miettes que nous laisse le racket bancaire, avec un Président dans l’impossibilité idéologique de fermer les frontières et face à l’inconcevabilité politique de ne rien faire et d’admettre son impuissance, adopte la pire des solutions, claquemurant tout le monde et finissant d’achever ce qui reste de productivité dans le pays, le télétravail ne produisant pas de patates, en tout cas pas littéralement. 
Pas question non plus de suivre le docteur Raoult et sa chloroquine qui fermerait la porte à une nouvelle rente vaccinale pour Big Pharma. Les aveux de triple Buzyn, laquelle est probablement loin d’être aussi bête qu’on le pense, en tout cas moins que Ndiaye, pourraient alors s’expliquer comme une assurance-vie, après avoir réalisé qu’elle était un parfait fusible, dont le suicide opportun avec trois balles dans la tête et les mains attachées dans le dos, compte-tenu des sommes en jeux, éviterait que l’énorme scandale qui pourrait éclater n’éclabousse les véritables instigateurs.
Je vous mets le lien pour les japonisants, d’un article qui vient de sortir publiant les données de l’hôpital militaire de SETAGAYA ayant procédé à des tomographies sur 104 patients volontaires issus du Diamond Princess, dont la majorité n’avait pas ou peu se symptômes, faisant apparaître dans plus de 50% des cas, malgré tout, des lésions pulmonaires. Le confinement, contrairement au port généralisé du masque (rendu impossible par nos gouvernants), ne fait que retarder la contamination dans l’attente d’un vaccin qu’on pourra d’autant plus imposer à tout le Monde que cette famille de virus a tendance à être plus virulente chez des personnes ayant déjà été atteintes. C’était la minute complotiste.
Dans tous les cas, sans même tenir compte du tsunami financier qui s’annonce et dont, là encore, le coronavirus, qui n’y est pas pour grand-chose, va porter le chapeau, il y aura un après covid-19, la réalité se rappelant enfin à notre bon souvenir. Une réalité, nous faisant réaliser que l’argent ne se mange pas, qu’une promesse de masque ne protège pas du coronavirus et que la communication ne saurait indéfiniment se substituer à la vraie politique ; que contrairement à l’Europe qui ne sert à rien, les frontières servent à quelque chose, qu’Amazon ne remplace pas les commerces de proximité, et qu’un pays qui se focalise sur l’écriture inclusive, la GPA et autres loi Avia quand toutes ses infrastructures et services publics montrent leurs limites devrait peut-être revoir ses priorités ; de même, qu’un beau jour, un tremblement de terre en Malaisie, nous fera réaliser que nos données personnelles stockées dans le cloud magique n’étaient pas aussi dématérialisées que ça.
Pour se changer un peu les idées, tout en restant dans la même veine de perte de vue des réalités, à l’attention de ceux parmi vous qui seraient amateurs de ces superhéros américains dont je dénonçais la nocivité dans une précédente vidéo à laquelle je vous renvoie et dont, exceptionnellement, j’avais même fait une version en anglais, je ne peux résister, car ça fait le buzz aux USA, à vous montrer la dernière trouvaille de Marvel qui, bénéficiant de la manne Disney et des retombées cinématographiques de la franchise, peut se permettre le luxe de sacrifier sa rentabilité à son idéologie. 
Marvel qui fait face à la faillite en cascade, amplifiée par le coronavirus, des magasins de comics qui sont une véritable institution aux États-Unis et qui se voient déjà obligés, sans possibilité de retour des invendus, de proposer des BD avec des Thor femelles, des Spiderman noirs, des Wolverine homosexuels, des superhéroïnes enceintes de neuf mois, ou latino-lesbiennes luttant contre le patriarcat, sans plus aucune cohérence, ni scénario, et dont personne ne veut dans le lectorat traditionnel. Je vous montre, car ça vaut son pesant de cacahouètes sachant que la vidéo YouTube de promotion a quand même récolté 3000 likes … contre 145 000 dislikes. Comprenez bien que pendant que des parasites sont grassement payés pour produire ce genre d’atrocités, dans la vraie vie, un agriculteur se suicide tous les deux jours. 
Si vous n’êtes pas anglophone les noms perdent un peu de leur saveur poétique et c’est dommage mais vous avez en vrac, tous issus de la diversité et cochant plusieurs cases (même si parfois il leur en manque une) : TRAILBLAZER une version obèse de Dora l’exploratrice avec un sac magique d’où peut sortir n’importe quoi, SCREENTIME un gamin exposé à un "gaz internet" (ça ne s’invente pas) qui a, en gros, le pouvoir d’être connecté à Google sans iPhone, B-NEGATIVE, un vampire androgyne au look gothique passionné par les années 2000, et, cerise sur le gâteau, deux jumeaux limite incestueux, fièrement LGBT et répondant au doux noms de SNOWFLAKE et SAFESPACE, l’une revendiquant un pronom genré et jetant des shurikens psychiques en forme de flocons de neige, tandis que l’autre projette des champs de force protecteurs, de couleur rose, dont lui-même ne peut bénéficier. L’industrie du comics américain est sauvée et toute ressemblance avec des membres du gouvernement Français est, bien sûr, purement fortuite.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues et d’autres, censurées, ne se trouvant que sur mes chaînes secondaires. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

mercredi 18 mars 2020

Humour caustique. CORONA : Panique générale (18 mars 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube: https://youtu.be/20JVXNC1CnA






Bonjour !
On le savait déjà, la seule façon pour les membres du gouvernement d’être compétents, c’est de bouffer des fayots et je ne parle pas de journalistes, ce serait du cannibalisme. Je ne vais pas revenir sur toutes ses incohérences et autres virages à 180 degrés ou sur le ridicule épisode des municipales qui permettra à certains d’écrire sur leur pierre tombale « j’ai risqué ma vie et je suis mort parce que je voulais absolument que Darmanin soit élu au premier tour, ou que Philippe arrive en tête au Havre ». A ce stade ça s’appelle « la sélection naturelle ». Continuer après ça à prétendre que toute vie mérite d’être sauvée relève alors davantage du serment d’hypocrite que de celui d’Hippocrate.
Pourtant, tandis que Marlène Schiappa, dans une de ses improbables envolées cognitives transcendantales, s’inquiète de la potentielle recrudescence des violences conjugales à l’occasion du confinement, délicat mélange de "balance ton porc" et du souci de sauver la vie des truies, d’autres tombent dans une obsession collective hystérique, orchestrée pour les persuader qu’ils vont sauver, eux aussi, un nombre indéterminé de vies... à coup de gel hydroalcoolique. Puis, une fois le fait accepté, peu importe que ça soit statistiquement insignifiant, on augmente la dose en demandant toujours davantage, sciant à chaque fois encore un peu plus la branche sur laquelle nous sommes tous assis, par cette même méthode qui nous a conduits à accepter docilement l’invasion migratoire (pour sauver des vies), les radars (pour sauver des vies), l’état d’urgence permanent (toujours pour sauver des vies) et, montant encore d’un cran (encore pour sauver des vies), d’être « confinés » par des « cons finis », lesquels en profitent pour gratter un petit billet au passage en nous rackettant de 135 € (majorable à 375) si on promène son chien sans s’être donné soi-même l’autorisation par écrit; et déjà se profile la prochaine étape avec les pleins pouvoirs au président. Aucune raison de s’inquiéter. 
Tant qu’à vouloir à tout prix sauver des vies on aurait pu se pencher, entre beaucoup d’autres choses qu’on pourrait améliorer sans restreindre nos libertés, sur les 200 000 avortements par an, les 120 attaques au couteau quotidiennes ou le fait qu’un agriculteur se suicide tous les deux jours, mais je ne vais pas chipoter, d’autant que la France est en guerre. Macron l’a dit 5 fois, donc c’est certainement plus vrai que s’il ne l’avait dit qu’une. Je n’ai pas eu le mémo, mais j’espère qu’entre temps on a gagné la guerre contre le terrorisme car sinon, commencer une autre guerre, ce n’est vraiment pas raisonnable. Bon, vous me direz qu’il y a du progrès puisqu’on est passés de la guerre contre un concept à la guerre contre un virus, ce qui est déjà plus tangible. Tous nos militaires seront dotés d’un microscope en remplacement des lunettes de fusil avec instruction de viser entre les deux yeux. 
Le point commun derrière cette martialité verbale étant le caractère météorologique de ces calamités qui arrivent, comme la pluie, sans raison. Pour le terrorisme islamiste, aucun rapport avec le fait qu’on ait des millions de musulmans en France. Ce n’est pas la faute de ceux qui les ont fait entrer, ni de ceux qui les ont excités pendant des décennies; bref une guerre ou l’on se fait tuer mais où l’on ne tue personne, à part quelques décérébrés, éliminés au drone dans un lointain désert pendant qu’ils font la sieste entre deux enculages de chèvres. Pour le coronavirus c’est pareil, il est venu à pied.
Certes, dans un fugitif éclair de lucidité (comme quand il avait trouvé bizarre que sa prof de français insiste pour lui donner des cours particuliers), Emmanuel, du bout de ses lèvres à la peau suspicieusement fine, a annoncé la fermeture des frontières… européennes, il ne faut pas pousser non plus. L’espace d’un instant j’ai eu peur, imaginant qu’on allait subitement aider les Grecs à contenir les migrants lesquels semblent avoir une appétence soudaine pour le coronavirus, sans hésiter, après les sommations d’usage, à tirer dans le tas, mais pas d’inquiétude puisque « en même temps » si les préfectures sont fermées pour les Français, assignés à résidence, une permanence est assurée pour… les demandeurs d’asile. C’est donc une guerre, mais gentille. Les coups de matraques on les garde pour les réfractaires.
J’ai le malheur d’avoir un esprit logique aggravé par des années d’analyse informatique et avec les éléments dont je dispose, sans même parler de ce noyage de poisson dans une mer de conneries qu’est la communication politique, absolument rien ne fait sens dans cette histoire de coronavirus. On nous refait le coup du sida ou de l’antisémitisme en agglomérant les résultats depuis le début de l’épidémie pour grossir les chiffres. Le nombre de nouveaux cas, qu’on nous sert quotidiennement comme des suppositoires de padamalgam en période d’attentats, n’a aucune valeur statistique puisque toute augmentation est davantage corrélée à la capacité limitée (par choix politique) de tests, réservés à des gens présentant des symptômes, qu’à l’évolution de la maladie. Pareil pour le nombre de morts dont le ratio est d’autant plus élevé qu’il est calculé par rapport aux nombres de ces personnes testées. C’est comme si on utilisait l’assemblée nationale pour mesurer le taux de connerie des Français. La seule chose qui ne fait pas débat mais qu’on occulte depuis la volte-face du gouvernement (et que les soirées théâtre présidentielles ne sont plus de mise) même si, comme diraient certains LGBT, on le mal occulte, c’est que l’immense majorité des gens n’est pas affectée ou s’en sort avec 3 dolipranes.
Si l’on se fie au Diamond Princess, au Japon, véritable scénario catastrophe dans lequel une population essentiellement du 3ème âge a été confinée dans un environnement contaminé (un peu comme devant la télé), on constate que l’immense majorité n’a pas contracté le virus et que, parmi ceux qui l’ont contracté, le taux de mortalité a été infime. Pour le reste, bien qu’on devrait avoir à présent un recul suffisant pour, théoriquement, connaître les fondamentaux relatifs à la bestiole, impossible pourtant d’avoir des réponses claires (à se demander si on ne fait pas tout pour faire paniquer les gens) quant à l’incubation, la réponse immunitaire, les recontaminations ou le taux de survie, en conditions optimales, de ceux nécessitant vraiment une hospitalisation. En l’absence de ces éléments clairement énoncés, les décisions politiques semblent plus relever de la danse de la pluie que font certains manifestant écolos en s’imaginant sauver un climat qui ne leur a rien demandé, que du simple bon sens.
Il faut bien comprendre que la paralysie d’un pays tout entier ne peut pas s’éterniser sur une longue période sous peine de tuer le patient plus rapidement que l’épidémie, sachant que, au cas particulier, si un remède n’est pas trouvé dans l’intervalle, à la seconde où l’on ouvrira la fenêtre, ladite épidémie va reprendre, aussi virulente que jamais. La seule justification du confinement, gros mot qui n’a pas été prononcé par notre général en chef (et pratique visiblement dérogatoire dans certains quartiers sans que ça n’émeuve personne) c’est donc de retarder l’inévitable en attendant le miracle et, si c’est fait suffisamment en amont, de lisser la courbe pour limiter le véritable danger : la saturation du système de santé. Un système de santé mis à mal par l’incurie de nos politiques, le pillage organisé de nos ressources par le haut et l’illusion, poussée par une fausse générosité avec le portefeuille des autres, d’avoir le devoir et la capacité de soigner toute la misère du Monde. L’implacable réalité, sur ce dernier point, c’est que, mathématiquement, une fois le système saturé, pour chaque migrant ou bénéficiaire de l’AME pris en charge, un Français va mourir. Et ça, même les bobos qui, peu enthousiastes à l’idée de se retrouver a portée de dents de Laeticia Avia en cas de pénurie alimentaire, se sont dépêchés de quitter en masse Paris (et autres grandes villes) pour aller disséminer dans des campagnes gilets jaunes, plus épargnées, les germes glanés dans les bars, la veille, en dépit des recommandations, finiront par le comprendre quand ils y seront directement confrontés. 
Enfin, pour un gouvernement, copier les autres, juste pour rassurer sa population est relativement ridicule lorsque la chose est faite imparfaitement. Un peu comme un masque qui ne couvrirait que la moitié du visage ou comme lorsque le spermatozoïde du papa de Castaner a trébuché avant de rencontrer l’ovule de sa maman, perdant un peu de son matériel génétique au passage. Le confinement tardif et indifférencié, en France, n’a rien de comparable avec celui, précoce et basé sur des tests, en Corée ou au Japon dont les populations sont disciplinées, portent toutes un masque et respectent strictement les distances de sécurité tout en n’ayant aucune habitude culturelle de toucher les autres, un peu comme Griveaux qui préfère se toucher lui-même. En outre, un confinement de 14 jours pour une maladie dont la période d’incubation peut être de 30 et dont la durée pendant laquelle on est contagieux est supérieure à 20, relève du foutage de gueule.
La solution inverse, celle du laisser-faire, à l’anglaise, qui a au moins l’avantage de ne pas bloquer le pays, table sur le fait que non seulement on va développer une immunité au virus, mais que cette immunité est suffisamment longue pour éviter une recontamination. Il se trouve que de nombreux cas de rechute après des tests pourtant négatifs censés confirmer la guérison rendent ce pari très risqué. En outre, certains cas inexpliqués laissent penser que le virus pourrait se comporter un peu comme l’herpès et rester dormant dans l’organisme pour réapparaître à une date ultérieure. Donc, quelle que soit la solution adoptée, il s’agit d’une roulette russe avec plusieurs balles dans le barillet sauf si, encore une fois, nos dirigeants disposent de données qui nous sont inconnues.
La seule solution serait de tester tout le monde et de traiter les malades comme le crie dans le désert depuis déjà des semaines le professeur Raoult, un des meilleurs experts mondiaux en virologie, que les Chinois, eux, ont écouté et qui, tests à l’appui, a utilisé avec succès un médicament, peu cher, dont les effets sont parfaitement connus et maîtrisés et donc utilisable immédiatement, mais qui ne rapporterait strictement rien à big Pharma. Ce médicament, l’hydroxychloroquine, jusque-là en vente libre, a par ailleurs été placé en catégorie 2 par le gouvernement juste avant le début de l’épidémie. Il y a parfois des coïncidences qui rendraient complotiste …. Gouvernement qui face au buzz sur les réseaux sociaux a quand-même, comme confirmé par sa sympathique porte-mensonge, fini par demander des études complémentaires, ce qui aurait pu éviter toute la crise si ça avait été fait plus tôt et surtout, va prendre encore beaucoup de temps, peut-être dans l’idée d’enterrer une solution encombrante à bien des égards. Bref, on est soi-disant en guerre, on a des blessés en train d’agoniser, mais on va prendre toutes les précautions afin d’être sûrs d’administrer un traitement parfaitement sûr aux cadavres, logique.
Sauf données occultées ou activation d’une propriété pathogène bonus dans ce qui ressemble quand même pas mal à une arme bactériologique (ou au résultat d’une partouze alcoolisée dans une éprouvette pas propre), cette frénésie mondiale face à une pandémie qui, même si le tournage de "plus belle la vie" a dû être interrompu, n’est de nature à mettre en danger ni la civilisation, ni l’humanité, reste éminemment suspecte. D’autant que les données consolidées de la mortalité dans le monde (je vous mets le lien) sont plutôt à la baisse, notamment pour la France. 
Outre le fait que cette bouse odorante attire les mouches médiatiques, calme fort à propos des mouvements sociaux devenus ingérables un peu partout sur la planète et que la peur a toujours été un des moyens les plus efficaces pour contrôler les peuples, des vidéos pullulent qui montrent des gens, issus de cette diversité enrichissante et pittoresque qui pimente notre morne blanchitude, se taper dessus pour entrer dans des magasins, comme ils le feront dans les hôpitaux (exigeant de passer en priorité sous peine de tout casser) quand la situation deviendra aussi tendue que Polanski devant un sphincter juvénile. On n’aura donc plus trop le temps de penser à mettre des têtes sur des piques. 
Cerise sur le gâteau, l’implosion inévitable de la bulle provoquée par les milliards de milliards de liquidités, distribués tels de la semence DSKienne dans un Sofitel, par les banques centrales au casino géant qu’est devenue la bourse, pourra être portée au crédit du méchant coronavirus et pas des pourris qui nous dirigent, lesquels se frottent les mains et pas avec du gel hydroalcoolique. 
Ces milliers de milliards ne sont pas de l’argent, mais de la dette qui avait vocation à disparaitre une fois remboursée. Un des effets pervers étant que certaines entreprises trouvaient plus rentable de se recapitaliser et de jouer sur leur valeur boursière en licenciant que d’investir dans le dur et que beaucoup de start-ups à bobos, qui vont disparaître comme elles sont venues, n’étaient que des alibis à spéculation. Pour l’instant, le problème étant d’arriver à vendre des valeurs qui s’effondrent pour honorer ses échéances, l’atmosphère n’est plus à la spéculation et tout le monde vend ses actifs tant qu’ils valent encore quelque chose, y compris l’or qui lui finira par remonter ce qui n’est pas forcément garanti pour le bitcoin et assimilés qui, si la réalité fait enfin son grand retour dans le monde déconnecté de la finance, ne seront plus considérés que comme une bulle dans la bulle. Tous ces milliards de fausse monnaie vont donc vraisemblablement s’évaporer, les fonds de pension avec et les entreprises faire faillite comme autant de dominos, les banques, en plus de leurs dettes propres mais sales, se retrouvant avec des milliers de milliards de créances impayées. Créances qui pourraient être en parties effacées d’un coup de baguette magique par les banques centrales en échange d’un Glass-Steagall-Act généralisé séparant une fois pour toutes les banques de dépôt et les banques d’investissement lesquelles, au-delà d’un certain montant, devraient déposer leur bilan, mais au lieu de ça, il est à craindre qu’on tonde encore un peu plus les moutons et qu’on nettoie les comptes bancaires des particuliers pendant qu’ils regardent le coronavirus, ce qui explique peut-être pourquoi aller retirer des sous au distributeur ne fait pas partie des raisons valides pour sortir de chez soi.
Même si certains naïfs espèrent, comme ils l’espéraient après Tchernobyl et Fukushima, que des leçons vont être tirées et que d’un grand malheur naitra, au bout du compte, quelque chose de positif, tant qu’on n’aura pas coupé des têtes et vidé l’abcès, je reste sceptique; en revanche je crains fort que le tsunami économique qui s’annonce fasse plus de victimes indirectes que le coronavirus, en dépit du mage Macron qui sort subitement de son chapeau, c’est-à-dire de notre poche, des centaines de milliards alors que, pour une infime partie de cette somme, il s’était cru obligé de recourir au 49-3 pour la réforme des retraites. Nous aurait-on pris pour des cons ?
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues et d’autres, censurées, ne se trouvant que sur mes chaînes secondaires. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
 



mercredi 11 mars 2020

Humour caustique : FORESTI au PILORI (11 mars 2020)

Transcription de ma vidéo YouTube:https://youtu.be/stR6twdbbwg






Bonjour !
En faisant les courses, tout à l’heure, je me sentais un peu comme une pensée cohérente tentant de se frayer un chemin dans le cerveau de Marlène Schiappa ou une vérité, à peine sortie du puits, essayant de franchir l’organe buccal plein de dents de Sibeth Ndiaye avant, de guerre lasse, de se résigner à se laisser emporter par quelque flatulence épicée. 
Emporté, pour ma part, par l’hystérie collective, j’ai dû me battre contre deux mamies au dentier acéré et me hisser sur la tête d’un bébé dans une poussette pour atteindre le fond du plus haut rayon et réussir à attraper, non seulement le dernier paquet de papier toilette triple ouate de cellulose, mais également un pot de Nutella qui était miraculeusement planqué derrière une étagère. J’ai mis mon masque anticorona, j’ai toussoté pour passer plus rapidement à la caisse et me voici, enfin prêt pour la fin du Monde. Quoi que… Tout bien considéré, si je jetais directement le Nutella dans les toilettes, j’économiserais à la fois une étape superfétatoire et du papier…. 
Toujours est-il que ça sent le sapin : les 10 plaies d’Égypte, châtiment de Dieu pour punir Pharaon d’avoir circon…scrit les Hébreux, refusant de les laisser partir, sont sur nous, alors que tout ce qu’on a fait, c’est de ne pas extrader Polanski. Je ne pense pas que ça suffise pour énerver Dieu qui en a vu d’autres. C’est probablement juste Macron qui porte la poisse, mais tout y est : le ciel encore noir des flammes de Notre-Dame, les inondations, les épidémies… On a des invasions (même si ce n’est pas exactement des sauterelles) et, à la place des grenouilles, on a les coassements de féministes qui se trompent d’ennemi. 
Ce qui m’épate, en tout cas, c’est la cohérence des décisions gouvernementales face au covid-19 : d’un côté les manifestations à partir de 1000 personnes sont interdites (donc, pour les Gilets Jaunes, si on se fie à BFM, depuis le début, ça va), mais de l’autre, on peut continuer à se tasser autant qu’on veut dans le métro, ne pouvant compter que sur le manspreading pour maintenir un semblant de distances de sécurité. Chaque jour on assiste au spectacle de nouveaux ministres ou députés se mettant en scène à la façon d’un LGBT sortant du placard (ou vice-versa dans certains cas extrêmes), déclarant, d’un air grave, qu’ils ont choppé la bébête (à la buvette de l’assemblée), comme s’ils annonçaient être en phase 4 d’un cancer du poumon et qu’on devait honorer leur sens du devoir et le sacrifice ultime qu’ils avaient fait pour la France. Des fois ça rate, comme pour Beloubet, qui s’est faite tester, mais dont même le virus n’a pas voulu. Comme, à chaque ministre ou député contaminé, la côte de popularité du virus à couronne grimpe, je le vois bien être élu en 2022, d’autant qu’avec lui on est sûr de résoudre le problème des retraites (dont bien opportunément les médias ne parlent plus) sans 49-3.
Même Florence Foresti n’a pas été épargnée, frappée en direct, en pleine cérémonie des césars. J’ai compris qu’elle était positive quand elle a dit « Atchoum », éternuement que certains esprits retors ont perçu comme une attaque contre Polanski, mais c’était déjà trop tard pour sauver notre ministre de la culture qui, contrairement à d'autres qui ne s'étaient pas glissés dans la salle (comme aurait dit Desproges), était présent. 
Heureusement, les protocoles de sécurité sont là et l’impudente a immédiatement été mise en quarantaine (médiatique) par une longue liste de personnalités que n’aurait pas désavouée Schlinder tant elle témoigne d’une solidarité communautaire aussi pertinente, au cas particulier, qu’un numéro vert pour lutter contre le daltonisme, le joker de l’antisémitisme (déjà à peu près aussi usé que les parois vaginales de Rachida Dati) s’avérant carrément contreproductif quand ce qui est dénoncé par Foresti c’est juste l’anti-impunité pour enculage de mineure non consentante préalablement endormie par des substances médicamenteuses ; le fait que le pénis du coupable porte (ou non) un col roulé étant, de fait, un aspect relativement secondaire. 
Seule Anne Roumanoff a sauvé l’honneur en recadrant les choses ainsi que, bizarrement, par son mutisme, le d’habitude très prolixe Meyer Habib, dont on ignore s’il est en réanimation depuis le visionnage ou si c’est son côté bon père de famille qui a pris le dessus. Pour être tout à fait honnête, il y avait aussi des non juifs (pour le coup pas « gentils ») dans la horde sauvage, et les pires insultes sont quand-même venues d’excités extra-communautaires, même si Hanouna, interloqué au point d’en oublier de mettre des nouilles dans son slip, s’est insurgé avec toute sa meute stipendiée du fait que la comique iconoclaste, victime de remontées vomitoires quasi dieudonnesques, ne soit pas restée sur scène jusqu’à la fin. Et alors ? Que je sache, elle s’appelle Foresti pas « faut rester ! ». 
Certes, on lui reproche d’avoir égrené tout un chapelet de noms finissant en « Stein » et d’avoir rajouté au mix DSK et Bruel. C’est vrai que ça c’est dégueulasse. Je suis outré. Comment a-t-elle pu oublier Woody-Allen ? Quel manque de respect ! De toutes façons, je ne vois pas où est le problème puisque Zemmour lui-même a déclaré, l’air candide, sans que personne ne moufte sur le plateau de CNews, que le point commun évident entre toutes ces personnes… c’est d’être des hommes blancs de plus de 50 ans. C’est pas faux... J’espère juste que si un jour ledit Zemmour croise un ours polaire il ne commettra pas l’erreur, trop répandue (et souvent désagréable dans ses conséquences), de le confondre avec une souris blanche qui s’avère avoir, elle aussi, comme principale caractéristique, d’être un mammifère à poils blancs. 
Avant que les choses ne dérapent, tel Polanski sur les fesses juvéniles de sa poupée barbie…turique jusqu’à atterrir dans le mauvais orifice, il convient de dire une évidence occultée par une notion de « peuple élu » (avec une forte abstention) à laquelle nul n’est obligé d’adhérer : les juifs sont comme tout le monde. Ni moins et, n’en déplaise à Manuel Valls, ni plus. Il y a des grands, des petits, des gentils et des méchants (même si, encore une fois, certains puristes m’objecteront que, au cas particulier, « gentil » est peut-être sémantiquement ambigu) et la majorité sont des gens très bien. Simplement, comme TOUS les autres groupes humains et même bonobos, ils ont aussi, en leur sein, toute une gamme de pervers qui aiment la sol do mi sans vaseline. Même parmi les 6 millions de morts qui se retrouvent sanctifiés en bloc sans aucune distinction, si certains étaient des âmes pures et innocentes et que la majorité était probablement constituée de pêcheurs ordinaires, comme vous et moi, statistiquement, une petite minorité était composée d’infâmes pourritures qui, Hollywood manquant de place, se sont retrouvées tout droit en enfer, même Satan ne sachant trop quoi faire avec, vu qu’ils sont arrivés déjà cramés.
Si vous faîtes partie de cette minorité qui a su conserver deux sous de logique en dépit de la taxation galopante et du lavage de cerveau scolaire et médiatique permanents, vous admettrez que reconnaitre qu’il y a une mafia italienne ne veut pas dire que tous les Italiens sont des mafieux et que dénoncer cette mafia ce n’est pas être contre les Italiens. Dire qu’il y a des racailles dans certains quartiers ça ne veut pas dire que tous les habitants de ces quartiers sont des racailles et demander à ce qu’elles soient sanctionnées impitoyablement par la loi comme de vulgaires gilets jaunes, ce n’est pas être anti-immigrés. Ce raisonnement est valable pour toutes les mafias, y compris celle qui, circonstance aggravante, se cache derrière 6 millions de morts et le paravent d’un antisémitisme qu’elle nourrit au détriment de sa propre communauté, notamment en favorisant l’immigration massive de vrais judéophobes, tout ça, pour s’offrir un bouclier d’intouchabilité. 
Si on ne crève pas rapidement ces abcès et qu’on n’arrive pas à instaurer dans ce pays une véritable égalité de tous devant la loi, on va arriver à de tels clivages communautaires que plus personne ne prendra la peine de séparer le sanhédrin de l’ivraie. Donc si le féminisme hystérique 2.0 a pu contribuer à crever un de ces abcès, et que rien ne protège plus les pédophiles et prédateurs sexuels, quelle que soit leur origine… pour une fois, j’applaudis. Mais je conserve la vague (à peine migratoire) impression que si Polanski s’était contenté de faire comme d’autres et d’enc… des petits garçons, je ne suis pas sûr que, faute de pouvoir raccorder ça au patriarcat, elles auraient dénoncé le truc avec autant de véhémence. De même, si ledit Polanski avait prétendu être à moitié pygmée par son arrière-grand-père ; sachant que lesdites féministes ont quand-même proposé d’élargir les trottoirs faute de pouvoir admettre, dans leur logique d’amalgame victimaire, que certains individus sont peu susceptibles de se mettre au baise-main et aux mondanités en franchissant la frontière alors même que, chez eux, on doit habiller les femmes avec des abat-jours pour qu’elles puissent marcher dans la rue sans se faire titiller l’ampoule. Pas plus tard qu’hier, à Clermont-Ferrand 3 femmes ont été agressées sexuellement, dont une violée, carrément en pleine rue, par des individus qui ne ressemblaient pas particulièrement à Polanski. 
Le problème c’est que, faute d’avoir fixé à notre société un but collectif, clairement exprimé et consenti, permettant de clore les débats stériles et de prendre les mesures extrêmes qui parfois s’imposent, but sans commune mesure avec les très vagues « valeurs de la république » ou le triptyque illusoire de « liberté, égalité, précarité », on oscille sans boussole, tel un spermatozoïde macronien devant deux ovaires stériles, entre la moraline émotionnelle et le pragmatisme froid, les deux, par ailleurs, à géométrie variable. Dans un cas, si on n’est pas dans le camp du bien, même si on a guéri le cancer et trouvé un moyen pour que les trains arrivent à l’heure, si on a violé un gosse ou pire, si on a dit une évidence offensante, on doit être pendu, dans l’autre, si on viole un gosse par jour, du moment qu’on verse une larme sur les migrants, ça va. 
Outre le fait que, dans la vraie vie, les gens esclaves de leurs pulsions, et a fortiori qui ont ce genre de pulsions, quel que soit leur camp, apportent généralement peu de choses objectivement positives à l’humanité (laquelle vivrait très bien sans un nouveau film sur l’affaire Dreyfus), la nouveauté de ce clash est le télescopage de deux victimisations du camp du bien, arrivées au bout de leur incohérence.
Les féministes n’ayant pas, elles, la main sur nos braves CRS, ont été punies dans la foulée par un gouvernement qui a choisi son camp, en se faisant défoncer par ces mêmes matraques qui ont taquiné juste avant le gilet jaune, le pompier et le réfractaire à la réforme des retraites. Tout ça avec l’approbation d’une Marlène Schiappa aussi honnête que son Wonder Bra. C’est ça l’égalité républicaine et c’est ça la macronie. 
Les femmes n’ayant, logiquement, pas pu voter pour s’accorder elles-mêmes le droit de vote, peut-être que certaines féministes finiront par comprendre que, tous les droits qu’elles ont c’est parce que les hommes qui, majoritairement, les aiment (et qui n’étaient pas obligés compte tenu de leur force physique supérieure) les leurs ont accordés, et qu’à la protection desdits hommes s’est simplement substituée la protection de l’État, qui lui ne les aime pas, perçue à tort comme de l’indépendance. Quand cet État est déficient et ne protège plus, il suffit alors d’une paire de baffes d’hommes moins (ou différemment) civilisés, dont le nombre ne cesse de croître dans notre beau pays, pour effacer des siècles de luttes féministes. 
Pour éviter ça elles feraient mieux, à l’instar des femmes gilet-jaunes, de se battre non pas contre leurs hommes, mais avec, pour leurs enfants, en affrontant le véritable ennemi et la dernière souche virale qu’il nous envoie et qui n’est pas le coronavirus, mais bien le virus LREM, lequel est en train de décimer ce qui reste de la France. À cet effet, vous trouverez en description une liste par commune, non exhaustive, mais déjà pas mal étayée, de tous les soutiens LREM qui ne disent pas leur nom, planqués dans des listes diverses et variées.
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