Bonjour!
Selon le professeur Montagnier, un petit
bout de VIH se serait subrepticement infiltré dans l’ARN du coronavirus, comme un
gros bout de Benalla dans « l’arrière aine » de notre chef de guerre,
la chose prouvant l’intervention d’une main humaine, façon Benjamin Griveaux et
mettant hors de cause, dans ce qui ressemble de plus en plus à un « Me too »
bactériologique, cet enfoiré de pangolin, atteint de priapisme au point que,
probablement trompé par le costume, il est surement responsable du fait que dans
la nouvelle BD de DC comics « Gotham High » (nouvel épisode de la
guerre impitoyable de la communauté de l’alphabet contre le mâle blanc hétéro)
Batman soit devenu Chinois et sexuellement ouvert. Ce n’est pas une blague.
Pour
rester dans le sujet, ce VIH présent dans le covid 19, c’est le virus que
Montagnier a découvert et qui lui a valu son prix Nobel... pour services rendus, Big-pharma
décrétant alors, sans aucune preuve, que ledit virus, bien réel, était la cause
d’un SIDA beaucoup plus conceptuel. Un concept c’est pratique car on peut l’appliquer
à pleins de décès pour une infinité de causes (de même, qu’aujourd’hui, quelqu’un
qui a le corona et meurt en avalant une cacahuète devant le discours de Macron,
est décrété mort du covid 19) ce qui permet de soigner, jusqu’à ce que mort s’en
suive, avec des médicaments hors de prix, des séropositifs souvent bien portants
(ou malades d’autre chose) mais paniqués (quoi que…) face à une pandémie montée
en épingle par des médias qui additionnent les morts d’une année sur l’autre
pour grossir les chiffres.
Pandémie qui, elle aussi, était supposée éradiquer l’humanité,
en commençant par le continent africain lequel, victime au contraire d’une
pandémie de naissances, nous envoie ses excédents à la même vitesse, celle d’un
cheval au galop, à laquelle s’élargissait, nous disait-on, avant l’avènement d’internet
qui nous aurait permis de saisir la métaphore, le trou de la couche d’ozone.
Je suis très tolérant envers la science, mais
il y a des limites éthiques à ne pas dépasser, comme un croisement génétique
entre Castaner, porteur de cette trisomie 22 spécifique aux forces de l’ordre, et
la trop bien prénommée Sibeth Ndiayé. D’autant que le génome de l’un et la « jeune dame » de l’autre (pour
faire plaisir à Marlène Schiappa), ont forcément été modifiés, car même la
nature, pourtant capable de faire copuler un pangolin et une chauve-souris et, surtout,
de produire des gens assez cons pour le croire, a des limites ; d’autant
que les chauves-souris c’est vite dit : Salomon par exemple a beau être
chauve, il ne sourit jamais, ce qui le rendrait peu attractif pour un pangolin.
Mais pour en revenir à Montagnier que, comme le docteur Raoult, l’âge et la
notoriété mettent à l’abri des pressions de la mafia qui tient la médecine (et
pas que), il ne faut pas croire que parce que c’est son virus et qu’il l’a
étudié pendant des années, il sait de quoi il parle. Un qui n’a pas été dupe c’est
Laurent Jo« FREIN » qui n’a pas rongé longtemps le sien et, un peu
bancale quand-même, faute d’un prix Nobel de connerie qui le mettrait sur un
pied d’égalité face à son interlocuteur, lui a rétorqué doctement, le regard rivé
sur son smartphone 5G en test que, selon Google, beaucoup de scientifiques
disaient le contraire, ce qui, au temps de Galilée, se serait traduit par :
« pourtant beaucoup de scientifiques prétendent qu’elle est plate ».
L’apogée
ayant été atteinte lors de la panique générale qui s’est emparée du plateau de l’heure
des pros, quand ledit professeur, lequel mène des études de pointe et
officielles sur l’influence des fréquences électromagnétiques sur l’ARN des virus
et des bactéries, a évoqué incidemment le fait que les endroits les plus
touchés par le corona sont ceux où le déploiement de la 5G est le plus avancé.
Tous les intervenants, qui venaient de passer trente minutes à brouiller un
discours, pourtant parfaitement clair, avec des question d’une telle débilité
outrancière qu’on pourrait penser leur QI tellement bas qu’il ne leur en reste que
ce Q qu’ils présentent au système, ont subitement regardé leur montre, tels des
morpions affamés une braguette ouverte : « Oh,là là, comme le temps passe !
Il est temps d’arrêter l’émission ». Ces gens sont tellement cons que
quand on leur dit chloro-quine, ils disent « carton plein ! ».
Chloroquine par ailleurs toujours enterrée sous une pléthore de tests bidonnés
dont on ne communique pas les résultats alors que, dans la région de Marseille,
fief de l’irréductible Docteur Raoult, qui est à macron ce que Vercingétorix
est à la fistule annale de Jules César, l’épidémie est déjà endiguée et la mortalité,
incontestable elle, largement inférieure à une petite grippe saisonnière, ce
qui prouve, s’il en était encore besoin, qu’on a tué la France pour rien.
Du
coup, le gouvernement, conscient qu’il a transformé 10 millions de Français de
plus en chômeurs et en potentiels gilets jaunes à tendance guillotinaire, essaie
de gagner du temps et de prolonger un confinement totalement inutile. Pour ce
faire, il envoie sa porte-mensonge justifier de l’utilité des masques bidons en
tissus que l’on distribuera bientôt à la plèbe partiellement libérée (laquelle
devra les porter sous peine d’amendes) histoire de la maintenir dans la peur
hystérique d’une pandémie bidon, sinon éternelle, censée durer jusqu’aux
élections de 2022 (ce qui revient au même).
Une Sibeth qui se dit elle-même « paratonnerre
du gouvernement », paratonnerre, qu’à défaut d’autres suggestions qui me
viennent à l’esprit, elle pourra toujours se carrer sur les sommets himalayens
qu’atteint sa maestria en matière de foutage de gueule. Un culot qui parvient
même à transcender sa spécificité épidermique laquelle en arrive à perdre sa
propriété la plus utile (après l’incapacité à rougir quand on ment) d’être ce rempart,
inauguré avec Taubira et poursuivi avec Avia, derrière lequel on peut débiter impunément
des conneries qui vaudraient à quelqu’un d’autre, au mieux, quelques kilos de
tomates gratuites.
Mis à part quelques demeurés qui soutiennent qu’elle a juste
un très gros grain de beauté, tout le monde se moque que la meuf soit black et
ce n’est certainement pas pour ça que, si la guillotine revient un jour à la
mode, sa tirade sur la faiseuse panthéonisée de 200 000 anges par an,
Simone Veil « la meuf est dead » pourrait lui servir d’épitaphe.
Passé l’instant de curiosité morbide de
savoir si, en touchant le sol, sa tête ferait un bruit plein ou non, on finirait
par s’en consoler en voyant dans cette réaction populaire, certes un peu
excessive, la preuve que la France, la vraie, celle des chouans et des gilets jaunes
ne serait pas tout à fait morte. Pour savoir de quelle France je parle, comme s’il
pouvait y en avoir plusieurs, il suffit de fermer les yeux :
Imaginez un pot-au feu qui doucement mijote
et dont la saveur, si caractéristique que partout on la reconnaît, évolue, avec
le temps, selon une alchimie dont nul n’a percé les mystères. D’abord, il y a
le chaudron, un peu cabossé par les ans, ce magnifique terroir gagné au prix du
sang, gagné au prix des larmes et qui (comme jadis la sueur du boulanger
donnait son goût au pain) apporte le goût un peu métallique des batailles
passées. Ensuite, viennent les ingrédients : une base de Gaulois, de
Francs, de Celtes, de peuplades antiques… soudés au fil des siècles pour ne
faire qu’un peuple avec ses spécificités à nul autre pareil.
Quand le bouillon
réduit, on ajoute parfois quelques navets, quelques carottes du jardin d’à côté
et si l’on peut risquer quelques fruits exotiques qui, à petite dose, une fois
dilués, vont rehausser le goût, on ne mélange pas la soupe et le dessert sous
peine de gâcher le repas tout entier.
Enfin,
il y a la flamme qui, délicatement, vient lécher la marmite ; la flamme de
la continuité de l’histoire et du peuple. Mais une bonne flamme dépend aussi
des bûches, jadis le chêne et les sarments de vigne des traditions païennes et
d’un catholicisme encore ancré dans ses racines, dont la fumée, s’infiltrant
par le haut de la marmite, apportait ses effluves au délicat mélange. Que la
flamme s’éteigne et la soupe tourne et la soupe s’aigrit en un brouet infâme qu’on
ne peut plus sauver. Qu’on (ce « on » qui ne dit point son nom)
substitue au chêne le bois trop vert et plein de sève d’autres cultures et
religions, et les volutes épaisses d’une fumée trop âcre viendront gâcher l’arôme
et gâter le bouillon.
Contrairement aux croyances de certains
patriotes romantiques la France peut mourir. Et de même que les scientifiques
ont beau mélanger tous les éléments nécessaires à la vie, ils n’arrivent pas à
la reproduire en laboratoire, certes, on pourra toujours proposer aux gens un
brick de soupe « bleu blanc rouge » réchauffable au micro-ondes avec
écrit dessus « recette originale », peut-être même y aura-t-il toujours
un territoire avec des habitants dessus qu’on appellera la France, mais on
pourra touiller autant que l’on voudra, on ne ravivera plus jamais ce que,
depuis plus de mille ans, le Monde entier appelle, avec admiration, le génie
Français.
Génie français sans lequel ledit Monde, qui perd concomitamment les
talents d’autres peuples qui eux aussi se désagrègent, pourrait se retrouver
fort dépourvu face aux difficultés qui l’attendent. C’est quand même à la France
que l’on doit, entre beaucoup d’autres : l’ordinateur, la carte à puce, le
journal imprimé, la transfusion sanguine, l’automobile, l’imperméable, le
parachute, le crayon, la photographie, le cinéma, la machine à coudre, les
allumettes, le réveille-matin, le béton armé, la pasteurisation, l’extincteur,
la moto, l’hélicoptère, le sèche-cheveux, le soutien-gorge, le tube au néon, le
radar… et bon d’accord, la TVA; je n’ai jamais dit qu’on était parfaits non
plus..
La France est-elle morte ? On le
saura très vite même si, pour l’instant, les applaudissements à 20h au sifflet
des médias, et les hashtags « restez chez vous » ça fait un peu je
suis Charlie et que, paradoxalement, depuis le début, les seuls qui ne se
comportent pas comme des ovins prêts à se faire tondre (et plus si affinités) ce
sont les habitants des cités, faisant que si, d’ordinaire, j’aurais fait toute
la vidéo sur les barbecues qu’ils allument, depuis quelques jours, dans toute
la France, dans un silence médiatique assourdissant, face à une police et un État qui ont complètement démissionné, la seule chose qui me vient à l’esprit c’est
qu’ils sont juste le thermomètre de notre agonie suicidaire et que s’ils se
sont tenus tranquilles pendant les manifs gilets-jaunes, ce qui me semble
révélateur, pour le moment, en revanche, ils n’ont aucune raison objective de
nous respecter.
Comme d’habitude, je n’ai pas la
prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter
la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure.
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