Transcription de ma vidéo YouTube : https://youtu.be/ANp5k8cOZhU
Bonjour !
Comme on dirait en Afrique, certes « je suis Paty » mais je « ‘eviens » tout de suite parce qu’une fois dépassés l’écœurement et la colère, quand je vois que les médias et les politiques, toujours prompts à minimiser et à qualifier les crimes les plus sordides « d’incidents », d’un seul coup, tels une éjaculation benjamingriveausienne, se mettent à parler ouvertement de « décapitation » au lieu de « légère distanciation de tête », je me dis qu’il y a un os.
En effet, il ne s’agit pas là du premier décapité de France et tout le Monde a oublié jusqu’à l’existence de ce chef d’entreprise d’Isère dont la tête a pourtant décoré la grille de son entreprise en 2015 entourée de drapeaux Jihadistes harmonieusement disposés. Comme quoi on peut être terroriste et garder une fibre artistique. Pour un pays laïc, on est parfois un peu prompts à sanctifier des gens et, opposer un « saint Paty » aux « antis Paty » (outre les confusions sémantiques et les jeux de mots iconoclastes de ce genre qui font qu’on ne m’invite jamais aux enterrements) oblige à se demander : « pourquoi aujourd’hui et pourquoi pas hier ? »
Le fait que l’on soit passés, en moins d’un an, de manifestations anti-Macron à des manifestations avec Macron en maître de cérémonies (preuve que, quelque part, on se l’est fait mettre jusqu’aux incisives) donne déjà un élément de réponse. Après le virus qui nous éloigne de nos triviales préoccupations gilet-jaunesques de bouclage de fin de mois, Macron (qui en tient une sacrée) passe la deuxième couche. Et ça marche d’autant mieux que, pour avoir inventé la première machine au Monde de décapitation industrielle, décapitations qui sont le fondement de notre république des droits de l’homme (ce qui explique qu’avant que nos rues soient jonchées de têtes on tombait çà et là, les lundis matin, sur un œil ou une main oubliés par les services de nettoyage) c’est épidermique : en bon Français, nous ne supportons pas les décapitations artisanales !
Comme les poignardages et égorgements divers et variés ne mobilisaient plus suffisamment les foules, faisant que les malchanceux morts d’un usage pas assez imaginatif d’armes honteusement blanches n’ont pas eu, eux, de funérailles nationales, il fallait bien ça pour provoquer un effet de sidération. On nous dirige par la peur, un peu comme des lasagnes : une couche de covid, une couche d’attentats, une couche de covid, une couche d’attentats... En attendant le temps passe et Macron est toujours là. Mais point trop n’en faut car si la presse étrangère nous informe qu’une des 3 victimes de Nice a également été décapitée, elle n’aura pas droit, elle, à des pancartes avec « je suis » et son nom dessus. Il faut bien comprendre que tuer des religieux (contrairement à un prof qui participe, bon an mal an, au conditionnement de nos chères têtes de moins en moins blondes) ce n’est pas une attaque contre la république, seule chose que défend notre gérontophile à voile et à hydrogène, certainement pas la France.
Au premier abord, comme touchés par la grâce divine, nos élites semblent avoir le bout de l’index qui commence à dévier vers le musulman, façon DSK après coinçage intempestif de son organe dans une porte « cashère », et non plus seulement l’islamiste lequel, par je ne sais quel mystère, était, jusque-là, réputé surgir de façon magique, suite à un mauvais clic sur internet, au sein de peuplades éminemment pacifiques empreintes d’une religion d’amour et de paix. Cela pourrait ressembler à une prise de conscience, mais cette rotation à 180° ne s’accompagne pas, en parallèle, d’un moratoire immédiat sur l’immigration, qui continue, même pendant le confinement, ce qui revient à souffler sur les braises tout en important de l’essence.
Le maximum que l’on puisse attendre d’un gouvernement qui considère par la bouche de celui que j’appelle Darma « pas grand » que les attaques au mortier contre des commissariats se règlent en interdisant la vente de feu d’artifices, c’est qu’un esprit brillant décide d’interdire les couteaux, faisant que les prochaines attaques se feront à la fourchette. Du coup, pour peu qu’on ait l’esprit vaguement complotiste, on pourrait avoir la diffuse impression qu’on ne veut pas vraiment régler le problème et que ce « on » (qui reste à déterminer) veut juste que l’on se batte entre nous tout en faisant en sorte de faire entrer, à flux continu, suffisamment de combattants du camp adverse pour éviter tout risque de victoire. Un « on » qui est toujours dans l’injonction paradoxale, tactique bien connue d’ingénierie sociale consistant à donner des instructions contradictoires pour déboussoler les masses, les empêcher d’être rationnelles et mieux les manipuler.
Je précise en préambule que, pour en connaître, je n’ai aucun doute que des musulmans ou, pour être exhaustif, des personnes de confession juive, puissent sincèrement aimer la France et qu’à titre individuel je les apprécie davantage que certains « droits de l’hommistes » suicidaires qui n’ont rien compris à la nature humaine et scient non seulement la branche sur laquelle ils sont assis, mais carrément les racines de notre arbre commun. Cela ne change rien au fait que, de même que les cellules fortement sollicitées du sphincter Macronien n’ont aucune conscience de faire partie d’une entité supérieure vile et malfaisante, chaque élément d’une religion concurrente, d’autant plus lorsqu’elle se double (ne nous voilons pas la face) de différences ethniques que l’on feint d’ignorer, fait partie du problème.
En effet (évidence que tout le monde néglige) quelles que soient leur sincérité et leurs bonnes intentions, ils perpétuent un terreau en se mariant entre eux et conservant leur religion. Ils n’ont aucun contrôle sur le fait que leur descendance, souvent nombreuse, vivant dans l’idolâtrie d’un pays étranger qu’elle ne connait pas vraiment, tombera un jour ou l’autre dans un réflexe communautaire, compréhensible si elle est confrontée à un déclassement économique, inévitable compte tenu de la spoliation systémique que nous subissons. De fait, ils créent mécaniquement une immigration intérieure de gens qui, même à la quatrième génération, ne se sentent pas Français, peu importe qu’ils aient ou non une carte d’identité qui leur dise le contraire. Une immigration intérieure souvent aussi délétère que l’immigration extérieure.
Croire que parce qu’on n’est pas religieux on n’est pas concernés par des guerres de religions millénaires qui n’ont pourtant jamais cessé revient à ramasser la savonnette sous la douche en prison avec les dents. Beaucoup de gens puissants et riches sont profondément mystiques, de nombreuses sociétés secrètes (dont la maçonnerie n’est que le sommet de l’iceberg et auxquelles appartiennent la majorité de nos dirigeants) fonctionnent sur le symbolisme et le sacré ce qui est une véritable catastrophe du fait que nous vivons, dès-lors, dans une société de cooptation et non plus du mérite, ce qui explique pourquoi tant de crétins arrivent aux plus hauts postes de pouvoir juste en passant par les bons réseaux. On peut faire l’autruche et regarder ailleurs en focalisant sur d’autres grilles de lecture qui ont, certes, aussi leur pertinence mais, au bout d’un moment, sauf à rechercher le suicide collectif, si quelqu’un nous déclare la guerre, on ne peut pas monter sur une table et dire « perché ! ».
J’ai écouté l’autre jour un débat entre Michel Onfray (dont le seul critère d’accueil de l’autre est apparemment sa volonté d’intégration et pour lequel je suppose que l’arrivée soudaine de 10 millions de Nigérians, sous réserve qu’ils soient amoureux de la France, n’aurait donc probablement aucune incidence sur notre être collectif) et Charlotte d’Ornellas laquelle a dit une chose très intéressante à 40 minutes environ : à l’époque du premier scandale de Charlie hebdo, on avait brûlé beaucoup d’églises en Égypte et les Égyptiens, interviewés, justifiaient la chose en disant : « c’est Charlie Hebdo, donc c’est la France, donc c’est chrétien ». Il est donc clair que ce qui compte n’est pas nos convictions personnelles et nos soi-disant valeurs républicaines qui reviennent à expliquer à un crocodile affamé qu’on est membre de la SPA, mais celles que les autres nous attribuent.
Il faut admettre, une fois pour toutes, que certaines personnes et cultures ont une vision totalement religieuse des choses et que, pour elles, qu’on le veuille ou non, nous sommes chrétiens, goyim ou kafirs et que cela fait de nous des cibles à abattre. Et ce d’autant plus au sein des 5 religions dites du livre qui sont par nature fratricides. Je dis cinq car je distingue le protestantisme et que je n’oublie pas le satanisme qu’on aurait tort de sous-évaluer et qui démontre qu’une racine commune ne fait pas de nous des alliés. Pour revenir à ce débat, j’ai été sidéré que les deux aient réussi l’exploit de parler du Liban et de ses problèmes pendant 28 minutes sans citer une fois le mot « Israël » et que Onfray à la 50éme minute, après avoir posé la question « qui peut avoir intérêt à déstabiliser le Liban ?» soit parvenu, droit dans ses bottes, à la conclusion que si l’explosion n’était pas accidentelle, le seul suspect possible c’était le hezbollah. Loin de moi l’idée de dire que ce dernier n’en est pas capable, mais il y a quand même d’autres acteurs dans la région avec une liste longue comme le bras d’attentats sous faux drapeaux à leur actif, sans compter le conflit de 2006 qui ne s’est pas terminé d’une façon très glorieuse pour Israël et qui a quand même dû laisser quelques ressentiments dans un pays pas spécialement réputé pour ses capacités d’oubli et de pardon.
Un Onfray qui a profité de l’occasion pour nous en remettre une couche avec la civilisation soi-disant « Judéo-Chrétienne ». Un peu comme dire que, sous prétexte qu’on vient tous de la mer, il y aurait une pertinence quelconque à comparer un requin blanc et un aborigène d’Australie. D’un côté on a un monothéisme avec un Dieu, de ses propres dires, jaloux et vengeur qui s’est choisi un peuple élu, de l’autre on a un polythéisme basé sur le pardon et l’universalisme et qui a récupéré, en les adaptant à sa sauce, la plupart des traditions païennes qui l’ont précédé, en faisant une religion d’essence européenne. On ne peut pas se défendre contre les agressions intérieures quand nos pseudos intellectuels nous mentent en permanence sur ce qu’on est.
La seule influence du judaïsme est une influence par opposition, les Pharisiens, majoritaires dans le sanhédrin (l’équivalent du CRIF de l’époque) étant justement considérés comme l’exemple à ne pas suivre et une cause tellement perdue que le très pacifique Jésus qui a été capable de deviser même avec Satan dans le désert, n’a pas jugé utile de discuter avec et les a simplement chassés du temple à coup de pieds dans les fesses. Un judaïsme qui, en revanche, a polycopié l’Islam qui fonctionne peu ou prou sur les mêmes principes et, venant du même continent, a les mêmes interdits, la différence principale étant que l’élection du peuple se fait non par le sang mais par l’adhésion à la secte.
Si l’on n’a pas encore réglé le problème que pose l’Islam à la France sur (et seulement sur) son territoire (les autres font ce qu’ils veulent chez eux), en admettant une fois pour toutes qu’il n’est pas, par essence, compatible avec notre être collectif profond, évidence qui ressurgit à chaque attentat et décapitation, c’est uniquement parce que ça obligerait à poser la question du judaïsme, certes moins sanglant (chez nous) mais tout aussi délétère dans son travail de sape d’une civilisation que ses membres les plus fanatiques et influents se croient obligés de détruire (à commencer par une église, totalement dévoyée et pervertie, avec un Pape œcuménique lgbt et pro-migrants) pour, faute de pouvoir accéder au ciel, réaliser la fausse promesse qui leur a été faite de pouvoir dominer la terre.
Ces gens ne sont pas forcément représentatifs de leur communauté, mais ont une grande capacité de nuisance et on les retrouve en masse dans les instances dirigeantes de toutes les associations qui ont ouvert les vannes de l’immigration, notamment musulmane, en France, dans le but de la détruire, et ils y croient dur comme fer. Négliger cette grille de lecture qui nous passe à des kilomètres au-dessus de la tête et cibler seulement telle ou telle religion en ignorant la problématique générale nous conduira à notre perte.
Je ne dis pas ça pour dédouaner les musulmans d’autant que, dans le Coran que, contrairement à certains d’entre eux, au moins j’ai lu (pensum que je me suis infligé un jour où il pleuvait et que ma femme n’était pas d’humeur taquine) si Allah refuse explicitement tout Paparazzi en ce qui le concerne, absolument rien n’interdit la représentation de Mahomet. À se demander s’il n’était pas juste très moche, ce qui expliquerait pourquoi il a imposé le port de la barbe à tout le monde. Même dans les hadiths, particulièrement les sunnites, c’est d’aniconisme dont il est question, c’est-à-dire l’interdiction de représentation de tout être vivant, ce qui fait que le boycott de « la Vache qui rit » fait quand même doucement rigoler.
Donc, sur cette base, même si Mahomet n’avait pas été caricaturé, sa seule représentation aurait été considérée comme offensante, ce qui n’a plus rien à voir avec la liberté d’expression (dont on est quand même un peu faux-culs de se revendiquer vu le nombre de personnes condamnées chez nous pour des délits de haine à définition pour le moins élastique), mais avec la volonté d’imposer son culTE (et j’insiste bien sur la dernière syllabe histoire d’éviter tout rapprochement avec le fait d’imposer mécaniquement la vision de son postérieur à Allah 5 fois par jour sur la voie publique, activité récréative qui, même si les médias n’en parlent plus, continue allègrement).
S’il y a des jihadistes qui m’écoutent, si vraiment vous ne pouvez pas vous empêcher de décapiter, chose que, bien entendu, je réprouve, au moins décapitez utile. Je ne suis pas sûr que vous aurez 72 vierges pour tuer du religieux et de l’enseignant qui, même si, au cas particulier, je ne saurais dire, font statistiquement partie de groupes sociologiques qui ont toujours soutenu l’accueil des migrants et défendu les sans-papiers, donc qui bossent pour vous. Même si vous avez-vos 72 houris ce ne sera certainement pas la top qualité et quand vous enlèverez la burqa vous risquez de tomber sur de la Marlène Shiappa ou de l’Agnès Buzin.
Si vous voulez vraiment la top qualité, visez plus haut. Je ne parle pas des sous-fifres comme le préfet Lallement dont, en outre, à cause du périmètre de sécurité que constitue sa casquette, le cou est trop difficile à atteindre, mais d’encore plus haut. C’est sûr qu’il faudra franchir quelques cordons de CRS, mais Allah vous aidera et si vous réussissez ce coup non seulement vous aurez de la vierge de qualité, peut-être même plus que 72, mais les hommes se battront pour épouser vos filles et vous allez sacrément grimper dans la hiérarchie, pas au niveau de Mahomet (faut pas pousser non plus) mais certains califes ne sont pas à l’abri et votre nom passera à la postérité pour les siècles et les siècles. Je dis-ça, je dis rien.