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Bonjour,
Comme aurait pu dire Coluche : « Macron, c’est un mec, il dit tellement de la merde, que ses morpions ont migré autour de la bouche ». Je me suis fait la même réflexion après l’allocution ubuesque rendant hommage à Samuel Paty (trop tôt) photo de Mc Fly et Carlito en main. Lesdits morpions, outre le fait de pouvoir bénéficier de vacances à la neige à chaque éternuement, ayant des chances non nulles de faire, dans leur nouvelle résidence, des rencontres pelviennes issues de la diversité, voire d’avoir, par le bouche-à … oreilles, des nouvelles d’un Benalla que tout le monde, et surtout la justice, a oublié.
Une justice qui a mis plus de 2 ans à juger Zemmour avant de le relaxer au motif légitime que les propos virils et viraux qui lui étaient reprochés ne visaient pas l’ensemble des migrants ; justice dont on attend la décision début octobre quant à Cassandre Fristot, convoquée, elle, par comparaison, à une vitesse à enlever tout complexe à un lapin atteint d’éjaculation précoce. Pourtant, les noms inscrits sur sa pancarte n’étaient pas, non plus, tous israélites (ni désignés comme tels) n’en déplaise à ceux qui semblent s’être reconnus dans le mot « traître » et les petites cornes sur le Q (je parle bien sûr de la lettre de l’alphabet) ce qui a motivé leur plainte.
Une bonne occasion de vérifier si, comme le dit Orwell, certains sont plus égaux que d’autres et si l’on peut encore critiquer les gens pour ce qu’ils font, indépendamment de ce qu’ils sont et de ce que l’on est soi-même. La pancarte en question n’aurait eu, en effet, aucun sens si la charmante damoiselle avait remplacé Salomon par Enrico Macias, Michel Drucker ou Patrick Bruel, lui aussi relaxé, au passage, pour des faits susceptibles de le qualifier, selon les critères actuels, pour le poste de ministre de l’intérieur. Si les associations qui s’engraissent dessus, à rendre jaloux le postérieur de Marlène Schiappa, voulaient vraiment lutter contre leur gagne-pain, à savoir l’antisémitisme, elles poursuivraient les brebis galeuses qui ternissent l’image de leur communauté en s’abritant derrière plutôt que ceux qui les dénoncent.
Il faut bien comprendre que c’est cette soi-disant « lutte contre l’antisémitisme » lequel symbolise le mal dans la religion républicaine (ce qui justifie qu’elle passe avant l’emploi, la santé, l’éducation, la sécurité, le logement, les services publics, la fiscalité et autres sujets secondaires dans la liste des priorités) qui a servi de prétexte pour enfoncer le premier clou du cercueil de la liberté d’expression qui est aussi celui de la liberté, tout court. Depuis, beaucoup d’autres ont suivi, plantés par des gens de plus en plus marteaux, ce qui les prédestinait quand même un peu à planter des clous. A partir du moment où l’on tolère des énormités du genre « ce n’est pas une opinion, c’est un délit » dont un sophisme équivalent pourrait être « ce n’est pas un homme, c’est un contribuable » on accepte que l’état nous dicte ce que l’on doit penser et on met le doigt dans un engrenage qui ne s’arrête jamais.
Nous sommes désormais dans une situation où, non seulement on ne peut plus rien dire, à part « faites-vous vacciner », mais où même notre silence, forcément coupable, matérialisé par l’absence criante de tweets enflammés pour pousser tout le monde, y compris les gosses, à devenir des cobayes, peut nous être reproché. Pour les conformistes dont on sait, par définition, dans quel camp ils auraient été pendant la guerre… jusqu’à la veille de la libération, oubliant que, contrairement aux paroles verbales du passé, les paroles twittesques sont éternelles, le salut réside dès lors, dans l’excès de zèle et la répétition psittacique et agressive de tous les mantras, souvent contradictoires, qu’on nous assène, au détriment du bon sens, de la logique et, par conséquence, de notre santé mentale collective.
Il y a en commun entre la folie individuelle et collective que, tel le nombre pi ou le nombre de lettres que l’on peut accoler derrière le sigle LGBT, elles n’ont pas de limite. Quand je dis qu’ils sont fous, ce n’est pas, comme ils le font eux-mêmes, dans l’inversion accusatoire et le modèle soviétique, sur la base des opinions, dans le seul but de faire taire l’opposant, mais en regard de leurs actes et de leurs conséquences ; surtout lorsqu’ils produisent l’effet contraire à celui soi-disant recherché, ce qui n’empêche jamais d’en remettre une pampers au prétexte que, si ça ne marche pas, c’est qu’on n’en a pas fait assez. Israël, seul pays en capacité de tuer plus de 6 millions de juifs et de battre le triste record honteusement détenu par quelqu’un d’autre, parle déjà de 4eme dose. Si on n’arrête pas les fous, ils ne s’arrêteront pas d’eux-mêmes. Encore une fois, il n’y a, par définition, pas de limite à la folie et, plus grave, on n’en guérit jamais totalement.
On est quand même dans un Monde où un député Allemand a fait interner son épouse car elle tenait des propos critiques envers la vaccination. Autre exemple de course folle vers le précipice, j’ai reçu, pas plus tard qu’hier, une lettre administrative totalement en écriture inclusive réalisant que, là-aussi, on est passé du retrait de l’homosexualité de la liste des maladies mentales au pacs, puis au mariage homo, puis à la PMA, à la GPA, à la négation de la famille traditionnelle devenue parent 1 et parent 2, à l’abaissement de la majorité sexuelle puis à l’éducation des enfant des maternelles aux principes LGBT… Sexualisation des enfants, souvent justifiée au moyen de la psychanalyse freudienne, qui finira par aboutir à la légalisation de la pédophilie, voire pire, car il n’y a pas de limites, à la pédophilie obligatoire, au prétexte que le traumatisme, chez lesdits enfants, sera moins consécutif à des actes qu’on leur aura fait croire être normaux qu’à la réalisation, plus tard, que ce n’était pas le cas ; traumatisme qui, selon une logique imparable, pourrait être évité si la pratique était généralisée.
La consolation est que cela ne concernera que les enfants rescapés d’un avortement semi-industriel dont les limites sont, là-aussi, constamment repoussées, au point que bientôt, le tas de cellules pourra dire « maman ». C’est à se demander à quoi servent la pilule, désormais remboursée jusqu’à 25 ans (histoire de dissuader les femmes de faire des enfants à l’âge où elles sont en meilleure condition pour cela), les préservatifs, les stérilets et autres pilules du lendemain. Certes, les accidents ça arrive (même si un pénis pénètre rarement quelque part par accident) et rien n’est jamais fiable à 100% (à part l’abstinence, sauf peut-être pour les Marie, une fois tous les 2000 ans) et, dans certains cas, la chose est parfaitement justifiée (qui voudrait avoir un mini Manuel Valls). Pour autant, à part un dilettantisme criminel, je ne vois pas ce qui pourrait expliquer l’avortement, tous les ans, de l’équivalent de Bordeaux, de Nantes ou de Montpellier. D’autant que la population autochtone décroit et que c’est dans ses rangs que l’hécatombe est la plus importante.
Il est vrai que statistiquement, plus on a de rapports sexuels plus on a de chance de faire des enfants et qu’à l’instar du pass sanitaire, quand on se croit, à tort, protégé, on a tendance à oublier qu’on se livre à un acte de reproduction sachant que, là aussi, on est passé du « trop rigide » au « sans limites ». En gros, de la position du missionnaire une fois par an les années bissextiles et de la négation de l’orgasme féminin, au sexe de loisir et au porno généralisé avec des pratiques toujours plus extrêmes, sur un nombre considérable de femmes dans un nombre considérable de vidéos, nombre suffisant pour en faire une nouvelle norme dans l’esprit des adolescents. Pratiques, consistant (liste non exhaustive) sans même utiliser un tableur pour les calculs, à faire pénétrer concomitamment un maximum d’organes masculins dans divers orifices et, désolés pour ceux qui sont à table, à convaincre ces dames de profiter goulûment des valeurs nutritionnelles de tous les fluides éjaculatoires ayant transité dans lesdits conduits. Nul n’a encore songé à profiter de la dilatation pour introduire une go-pro à l’intérieur préférant s’en tenir à divers ustensiles plus ou moins vibrants, à une large variété de fruits et légumes, pour les écolos, quand ce n’est pas des animaux, du cheval à l’anguille en passant par nos amis les chiens, le tout accessible d’un seul clic par tout écolier de maternelle supérieure qui apprendra ainsi, s’il se considère encore comme un homme d’ici-là, à respecter plus tard suffisamment les femmes pour songer à faire de l’une d’entre-elles la mère de ses enfants.
Idem pour les délires écologistes avec, en attendant de généraliser ça à tout le Pays si Anne Hidalgo était élue, l’ensemble de Paris en zone trente faisant, outre de rendre les véhicules plus polluants, que des cyclistes et même des coureurs à pieds s’amusent à se faire flasher alors que, déjà, pointent à l’horizon des limitations à 20 Kms à l’heure à certains endroits de Toulouse avec, en perspective, sinon des vitesses négatives comme pour les taux d’intérêts, l’interdiction pure et simple des véhicules, lesquels permettent encore, liberté intolérable, à des dissidents antivaxx (et donc antisémites) d’aller où ils veulent quand ils le veulent. Je pourrais hélas continuer à l’infini sachant qu’encore une fois tout vient, en France en tout cas, les leviers étant différents d’un pays à l’autre, de la Shoah, sacralisée par la loi Gayssot, la loi Pleven et l’article 24 de la loi sur la liberté de la presse, lois que ne parle plus d’abroger Marine Le Pen 2.0 qui, tout sourire, façon poilu de 14 qui part à la guerre la fleur au fusil, inscrit « libertés chéries » façon « peace and love » sur une affiche bucolique prouvant, qu’encore une fois, elle n’a rien compris au film.
Quand on nous demande, en adoptant une terminologie religieuse, de « croire » aux chambres à gaz, cela n’a rien à voir avec lesdites chambres à gaz (ni avec les soirées cassoulet-saucisses). Avant tout, on nous demande de croire, point (ou point Godwin si vous préférez), quel que soit le sujet. On comprend mieux, dès lors, pourquoi si l’on refuse, on est taxé d’antisémite (même si le sujet n’a aucun rapport) ou de complotiste, ce qui revient au même. En fait, il faut comprendre « blasphémateur ». Un professeur toulousain ayant mis en garde ses élèves quant aux risques potentiels liés à l’injection d’une substance expérimentale, qualifiée abusivement de vaccin pour tromper les gens, a été suspendu pour, selon la presse « apologie du complotisme », délit qui n’existe pas, mais on n’est plus à ça près, et qui illustre le parallèle, conscient ou non, y compris lexical, dans l’esprit des adeptes de la secte républicaine.
La laïcité et même la science sont devenues des religions comme les autres, avec la même finalité, à savoir : l’acceptation de l’esclavage aujourd’hui contre la promesse d’une meilleure vie demain, que ce soit dans l’au-delà où dans une utopie technologique et transhumaniste. D’ailleurs, si les tentatives précédentes ont échoué, notamment en 2009 avec le H1N1 et l’épisode du milliard en vaccins dépensé, pour rien, par Roselyne Bachelot, rétrospectivement petite joueuse et qui même sans vaccin en tient une sacrée dose, c’est que cette pandémie de cas et de mauvaises décisions politiques n’aurait jamais pu être mise en place, certes sans un état de délabrement suffisamment avancé de l’hôpital, mais surtout, sans le niveau technologique adéquat, les smartphones, les QR codes, la vidéo conférence, le cloud, les Gafas… Il s’agit, rien moins que d’une épidémie technologique, autre engrenage qui ne s’arrête jamais et qui fait que, dès lors qu’une technologie de flicage existe, elle sera utilisée.
Pour ceux qui ne verraient toujours pas le lien entre toutes ces lois « anti-discrimination » et la situation actuelle, il convient de rappeler qu’un pays est toujours, a minima, la conséquence d’une discrimination entre ceux qui sont dedans et ceux qui sont dehors et que, sans discrimination, il n’y a donc plus de pays. Certains pourraient arguer que s’il n’y a plus de pays, il ne peut plus y avoir d’holocauste, d’où leur mondialisme forcené et que donc, strictement calqué sur la folie covidienne et réciproquement, on devrait sacrifier les 99% qui ne risquent rien pour protéger 1% de la population d’un danger, au mieux, potentiel. Un danger d’autant moins probable que l’existence même d’Israël, même si se réalisaient les pires craintes d’un BHL sous champignons hallucinogènes, offrirait, de nos jours, l’alternative d’une Aliyah obligatoire vers la terre promise, certes discutable, mais respectueuse de l’indice carbone et moins propice à aggraver le réchauffement climatique que la version culinaire du passé qu’on ne peut, bien sûr, que réprouver.
Il n’en demeure pas moins que nos compatriotes hébraïques, de par l’attitude d’une minorité d’entre eux et sa propension médiatique et twittesque à se discriminer elle-même en clamant sa différence, courent le risque de constituer un bouc émissaire pratique, lequel a déjà fait ses preuves, par le passé, un peu partout de par le Monde. Dans une période trouble qui, comme l’explique René Girard et comme cela a toujours été le cas dans l’histoire, aura forcément recours à un bouc émissaire (qui n’a jamais été synonyme d’innocent) pour parvenir, sur son dos, à faciliter une réconciliation populaire, certains, au lieu de se faire discrets, agitent le chiffon rouge et s’excitent sur des pancartes. Pas sûr que ce soit une bonne idée.
Merci pour votre soutien et à bientôt… j’espère.