Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/6lkejsFnsMY
Bonjour !
Dans les écoles britanniques, enfin libérées des diktats de l’Union européenne, les élèves qui s’identifient à des animaux ont désormais le droit de répondre « Miaou » (« Meow » pour les anglophones) à des questions d’algèbre par exemple, s’ils s’identifient à un chat (ce qui vaut toujours mieux qu’à un sconse). Il est réconfortant de savoir qu’un jour cette génération construira nos avions ou des sous-marins comme le Titan, ce bathyscaphe censé explorer le Titanic qui a mystérieusement implosé sous 400 atmosphères avec un hublot garanti à seulement 130 produisant instantanément de l’Orangina de milliardaire avec pulpe présecouée, car comme disait mon oncle buraliste, « avoir trop de bars t’abat ». Le concepteur qui s’identifiait probablement à un ingénieur et avait refusé tout contrôle de l’appareil par les autorités s’était vanté, dans une interview, de choisir ses collaborateurs à l’intuition parmi un public jeune et inclusif et d’éviter les mâles blancs de plus de 50 ans : on se demande vraiment ce qui a bien pu foirer.
Comme on se demande, dans le Titanic France, cette fois, comment un bâtiment qui n’avait plus le gaz depuis 30 ans, selon le directeur de l’école qu’il abritait, a pu exploser « à cause du gaz » dans le 5e arrondissement de Paris. Mais passons, sachant que dès que cela touche au gaz, je me garde bien de nier quoi que ce soit. Peut-être que quelqu’un s’est identifié à un soudeur ou qu’un entretien a été identifié comme non urgent à moins que le mégot de Notre-Dame n’ait encore frappé.
Nul doute que ceux qui s’identifient à des journalistes vont nous informer avec leur professionnalisme habituel, comme sur cette agression à Bordeaux dont la vidéo a largement circulé avant d’être interdite en raison du risque de faire basculer certains dans le transnazisme, seule minorité persécutée, jusque par Indiana Jones dans son dernier opus catastrophique, que les LGBT refusent encore d’inclure, sachant pourtant que la lettre N est toujours disponible, personne à ce jour ne s’étant, encore, identifié à un nénuphar. On apprend donc, avec un désemparement de première dame face à un tampon hygiénique, que la grand-mère et sa petite fille ont été extirpées de leur pas de porte et violemment jetées au sol par un Français tout à fait ordinaire sans aucune caractéristique physique particulière qui pourrait sauter aux yeux, sauf, peut-être, un faux air de Vercingétorix. Un individu, au casier judiciaire long comme un sexe de Darmanin en érection pris dans la porte d’une camionnette qui démarre et qui, après avoir échoué à kidnapper l’enfant, s’est enfui à bord d’une voiture dont la presse, retrouvant ses repères colorimétriques racistes et nauséabonds, a eu l’impudence de dire qu’elle était noire.
Dans la même veine, la caractéristique principale du bébéphobe d’Annecy était d’être chrétien, celui de la LoLaphobe d’être SDF, celui des auteurs d’attentats sanglants non qualifiables de déséquilibrés d’être des islamistes pourtant serviables et gentils avec leurs voisins… C’est vraiment dommage qu’il n’y ait aucun autre dénominateur commun discernable entre tous ces Gaulois honoraires qui permettrait de comprendre la problématique. Ce n’est pas parce que la réactivité à une odeur particulière provoquée par un traumatisme électrique chez une souris se transmet aux générations suivantes qu’on pourrait imaginer que les atavismes et les transmissions épigéniques liés aux coutumes, modes de vie et traumatismes spécifiques étalés sur des dizaines de générations pourraient rendre certains groupes humains géographiquement séparés socialement incompatibles entre eux.
Rien, en tout cas, que ne puisse résoudre le vaudou de l’assimilation républicaine, car chacun sait qu’une vache née dans une écurie devient automatiquement un cheval et qu’il suffit d’interdire le voile et l’abaya, de ranger les kippas au vestiaire, de sacrifier le coq gaulois à défaut d’un poulet et de coiffer tout le monde d’un béret, pour qu’on ne puisse plus nous distinguer les uns des autres et que nous vivions enfin heureux dans la liberté, l’égalité et la fraternité. Il me tarde. D’autres diront qu’il suffit de durcir la loi. Et c’est vrai que depuis que j’ai expliqué le Code pénal à mon chat, il est devenu beaucoup plus obéissant.
Certes, en république, certains sont encore un peu plus égaux que les autres, mais tout ira mieux quand on aura éradiqué l’extrême droite. Dommage, là encore, que tant d’égalité soit parfois gâchée par un petit excès de wokisme dont on se demande bien dans quoi il puise ses racines égalitaires. Un wokisme qui, poussé au bout de sa logique, évoque des serpents LGBT qui se mordent encore plus la queue que d’habitude, sans les dents si affinité : par exemple, dans le cas hypothétique d’un enfant qui s’identifierait à un raton laveur adulte et aurait des rapports sexuels avec un adulte qui s’identifierait à un bébé raton laveur, ne serait-on pas fondés à se demander lequel est le pédophile ? (pour ceux qui n’auraient pas encore compris la finalité de tout ce cirque).
C’est la question à dix sous. Dissous comme notre économie par Bruno Le Maire et accessoirement Soulèvement « délétère » par Gérald Darmanin sur demande expresse de la FNSEA laquelle ne répondait plus de ses adhérents si les semi-bobos verts arrachaient encore, on suppose par erreur, de vrais semis bios, ceux-là, et revenaient les « bassiner » à Sainte Soline. De même que la gauche a remplacé le concept foireux (mais concret) de lutte des classes par la défense suicidaire des minorités, les écolos ont remplacé la lutte contre la pollution, bien réelle, avec des déchets toxiques enterrés dans d’anciennes mines sous des nappes phréatiques ou la vallée de la Chimie à Lyon et ses « polluants éternels » –les fameux « PFAS », par le délire climatique. Soit le réchauffement supposé dépend du soleil auquel cas rien ne sert de renverser des pots de confiture sur des tableaux de maître, soit il faut aller manifester en Chine où on jette le césium des centrales directement dans la mer et où on en est réduit à peindre les broussailles et les cailloux en vert pour faire croire à Xi jinping, quand il se balade, que ses politiques vertes fonctionnent, certainement pas dans une France qui produit moins de 1% du CO2 mondial, mais qui, en revanche, bétonne l’équivalent de 3 terrains de football toutes les heures, en partie pour faire des logements sociaux pour migrants.
Dans tous les cas, sauf à considérer que le climat fonctionne comme un vélo, si la fin du Monde savamment calculée par Greta Thunberg qui, félicitations, vient d’avoir son bac, est pour dans dix ans, compte tenu de l’inertie et des dynamiques gigantesques mises en branle, appuyer sur le frein aujourd’hui n’aura pas d’incidence avant quelques siècles et aura autant d’effet que de serrer les fesses au début d’une sodomie par un type de 120 kilos qui s’effondre d’une crise cardiaque. Un écologiste cohérent commencerait par jeter son portable, mais pas sûr que ce soit très porteur auprès de la jeunesse.
Nul doute, pour peu qu’on leur remette sous le nez l’épouvantail de la femme à chats, que ces gens qui feraient mieux de passer au soulèvement « des haltères », surtout s’il n’y a plus d’eau, avant de finir en pemmican déshydraté, revoteront tous en cœur une dernière fois pour Emmanuel Macron lequel, par Ferrand interposé, teste prudemment, ce n’est pas une blague, la possibilité d’un troisième mandat. Mais, en attendant, de même qu’une pendule arrêtée donne l’heure deux fois par jour, ne boudons pas notre plaisir quand une jeunesse enthousiaste hue copieusement notre présidentissime pendant le concert pour le climat organisé à nos frais en marge de son « Sommet pour un nouveau pacte financier »…
Les mêmes qui applaudissaient pour génération identitaire qui n’avait jamais occasionné la moindre violence hurlent, à présent que c’est leur tour, au déni de démocratie. Bienvenue au Macronistan qui tant qu’il y est, vient également d’enlever, de façon subreptice, son agrément à Anticor, seule association de France habilitée à ester en justice pour lutter contre la fraude et la corruption des politiques. On se demande bien pourquoi.
Sinon, pendant qu’on faisait semblant de chercher le bathyscaphe, alors que les services américains savaient depuis 5 jours que l’équipage n’était plus identifiable qu’au microscope électronique, on ne parlait pas, pur hasard du calendrier, du scandale du fils de Joe Biden qui, ces jours-ci, a plaidé coupable sur des babioles pour faire croire qu’il n’est pas au-dessus des lois et détourner l’attention des documents trouvés sur le disque dur de son portable oublié chez un réparateur et placés sous l’étouffoir par le FBI pendant la campagne de 2022. Je vous mets en lien un rapport de plus de 600 pages comportant les seuls faits vérifiés avec des photos absolument sidérantes sur une famille tuyau de poêle, mêlant sexe, inceste, drogue, trafic d’influence et corruption et impliquant, excusez du peu, son père, l’Ukraine et la Chine.
Rapport dans lequel j’ai remarqué, chose dont on ne parle guère, que Hunter Biden, souvent défoncé, perdait non seulement conscience, mais aussi régulièrement ses ordinateurs, au moins 3, dont un apparemment (page 352) aurait été volé par les Russes à Las Vegas. Nul doute que la presse intègre américaine qui a sans relâche faussement accusé Trump pendant des années de collusion avec la Russie va broyer Joe Biden façon olive au truffes tombée sur le siège de Gérard Larcher à la cantine de l’assemblée. Je plaisante.
Enfin, concernant la pantomime de coup d’État en Russie, je peux me tromper, mais je pense que Prigozhin en a eu marre qu’on le sabote en interne et que son caca mi-nerveux, mi-calculé, a servi sur un plateau à Poutine lequel, contrairement aux idées reçues, n’est pas omnipotent, le prétexte dont il avait besoin pour faire le ménage au ministère de la défense, ce qui pourrait signifier que les choses sérieuses vont vraiment pouvoir commencer en Ukraine. On peut aussi voir cet épisode, qui a mécaniquement rassemblé le peuple autour de son leader, comme l’entrée en campagne de ce même Poutine lequel est candidat à sa succession en 2024. En tous les cas, l’expression de Mélenchon reprenant conscience dans un camp naturiste en Suède, de certains commentateurs qui voyaient déjà Noël arriver avant l’heure, vaut son pesant de cacahuètes.
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