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dimanche 24 septembre 2023

Le roi est venu, il a bien mangé, il a bien bu (25/09/2023)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/3NqaYDglYvg


 
Un monarque aux grandes oreilles 
Venu en France avec sa vieille 
Reine « consort »… de son placard 
Invités par un gros … 
Cet ami de Jimmy Savile 
Propre sur lui, feu pédophile 
S’il voulait plaire aux écolos 
Eût pu venir en pédalo 
Soigner son empreinte carbone 
Prendre le train avec bobonne 
Tout ça pour manger du homard 
Toujours avec ce gros … 
Mais il est venu en avion 
Pour qu’en roi nous le recevions 
Que bas s’incline la piétaille 
Tandis qu’on se goinfre à Versailles 
Et qu’on descend du bon pinard 
En compagnie du gros… 
 
Tandis qu’une Europe vaincue 
Les « doigts » de l’homme dans le … 
Regarde déferler l’Afrique 
Sur Lampedusa, sans panique 
Ça sent le magret de canard 
À la table du gros … 
Sauf si le covid s’interpose : 
Chaque migrant aurait six doses 
Ce qui pourrait bien étioler 
Le goût qu’ont certains pour violer 
D’autant qu’affligé de thrombose 
On s’essouffle en faisant la chose.
 
Devant un drapeau déchiré 
« Et sur sa tombe vous chierez » 
Aurait pu dire Boris Vian 
D’un soldat sans identifiant 
Dont on a rallumé la flamme 
Devant l’imposteur qui se pâme 
Biceps gonflés aux épinards 
Fier de lui comme un gros… 
Et bien sûr, il a dérapé 
Palpant le roi comme Mbappé 
Les incidents diplomatiques 
Étant sa marque de fabrique. 
 
Sa femme « habite », à l’Élysée 
Certains croient qu’elle est déguisée 
Mais bon, elle était là aussi 
Ses seins ayant beaucoup grossi. 
Le roi ne lui fit point la bise 
Préférant et ce, quoi qu’on dise 
Bien qu’adepte du baise-main 
Serrer virilement sa main 
C’était peut-être par hasard 
Elle est mariée à un … 
 
On entendit maintes huées 
Tues des médias prostitués 
Et ne passèrent à la télé 
Que les deux tondus, trois pelés 
Des bains de foule Potemkine 
Sans vils manants qui enquiquinent. 
Des avions coloraient le ciel 
Dessinant le tableau partiel 
D’un drapeau qui déjà s’élampe 
Et dont on a usé la hampe 
Dans le sphincter des bons Gaulois 
Soumis aux dictats et aux lois 
Qui ont voté castor deux fois 
Qui en la république ont foi 
Font deux repas, couci-couça 
Car il faut bien payer tout ça.
 
Elle est rouillée la guillotine 
Alors que la France décline. 
Et quoi qu’on dise de Poutine 
Lui, il ne suce pas des …. 
Chose plus aisée à genoux 
Et c’est pas lui qui l’est, c’est nous 
N’en déplaise à Bruno Le Maire 
À dilatation sublombaire. 
Ceux qui trahissent et font bombance 
Vont toujours plus loin dans l’outrance 
Leurs mains n’ont pas connu d’ampoule 
Et tandis que le bateau coule 
Les manants eux, mangent des nouilles 
Et l’eau leur monte jusqu’aux … 

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dimanche 17 septembre 2023

VPN interdit, Lampedusa, chemtrails, rugby et tremblement de terre (18/09/2023)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/2nVro9jpiX8

Bonjour ! 

Avec le recul, les supporters anglais de Darmanin n’étaient rien d’autre qu’une coquille typographique, il fallait lire « AngOlais » (une histoire d’« O » en quelque sorte), en tout cas si l’on se fie à la nationalité de l’individu qui, après avoir poursuivi et taclé une sexagénaire et l’avoir rouée de coups, pris d’une soudaine inspiration, lui a ludiquement sauté sur la tête à pieds joints en pleine rue. Un « rebondissement » pour le moins inattendu, mais de faible amplitude, les os étant peu réputés pour leur élasticité. À sa décharge, un parc de trampolines qui allait ouvrir a été saccagé ces jours-ci par des gens du voyage soucieux, en bons citoyens, de recycler les parties métalliques, il lui restait donc peu d’options pour s’envoyer en l’air. Quant à la victime, c’est probablement de sa faute, j’imagine que l’homme lui aura demandé poliment du feu et une fellation et que cette immonde raciste aura refusé. 

De même, cette étudiante qui, méconnaissant le conseil avisé d’éviter de passer trop de temps devant un ordinateur, s’est pris une balle perdue en plein crâne devant un tableau Excel. Quant à l’adolescente de 14 ans, violée gare du Nord par un ressortissant guinéen, elle sera heureuse de savoir que c’est normal, puisque selon les derniers chiffres révélés par le ministère de l’Intérieur : en 2022, 69% des vols, violences physiques et sexuelles dans les transports en commun d’Île-de-France ont été le fait d’étrangers, dont 52% de nationalités africaines. On en déduira donc que les 31% qui restent sont de fiers possesseurs d’une carte d’identité française, dont un nombre indéterminé de Gaulois putatifs répondant aux doux prénoms de Kevin ou Mattéo. 

On attend déjà, avec impatience, les chiffres de 2023 sachant que la saison estivale n’est pas terminée à Lampedusa, littéralement « noire » de monde, les touristes arrivant déjà bronzés pour gagner du temps, à hauteur de 7000 par jour avec bientôt 2 milliards de futurs ingénieurs pour pousser derrière, pressés qu’ils sont de venir payer nos retraites, relever le niveau scolaire, faire baisser l’insécurité et découvrir ce concept fascinant de « l’aide sociale » dont on leur a tant parlé. Pas d’inquiétude, Giorgia Meloni, élue spécifiquement pour résoudre ce problème, est sur le coup. Elle a dit que c’était insoutenable et nul doute que sa consœur en peroxydation Marine Le Pen, consciente, elle aussi, que les mots font fuir les migrants comme les appareils photo Brigitte Macron adolescente, trouvera des superlatifs encore plus efficaces, Jordan Bardella appelant d’ores et déjà à « une politique d'immigration ferme et implacable ».

Il n’y a plus qu’à fermer les yeux pour visualiser les rues nettoyées au lance-flammes et les nouveaux arrivants accueillis au fusil mitrailleur, seule option, avec une photo géante d’Elisabeth Borne, susceptible d’avoir une quelconque efficacité répulsive à ce stade, le fait que ces masses ne soient pas armées n’en faisant pas moins une force d’invasion. Bon, juste après, il a quand même tempéré en disant qu’il fallait rester humain, méthode qui a tellement fait ses preuves qu’on se demande pourquoi un pourcentage d’humanité n’a pas été rendu obligatoire dans les produits anti-blattes et les insecticides et qu’on frémit à l’avance à l’idée que si Hitler avait eu la présence d’esprit d’envoyer ses troupes en bermuda claquettes et les mains dans les poches, nous parlerions tous allemand. 

Ce ne serait d’ailleurs pas bien grave, car de toute façon, il n’y a plus depuis longtemps de culture populaire caractéristique dans une France qui, à présent, écoute du rap, bouffe des kébabs et du Kentucky Fried Chicken et s’habille en abaya ou en jeans, au point qu’on est obligés de piocher avant-guerre, avant les chewing-gums et l’américanisation qui a amorcé ce processus délétère, quand on cherche désespérément de quoi faire « frenchy » pour donner le change à l’étranger durant le spectacle d’inauguration de la coupe du Monde de rugby, chose que les nouveaux Français, résolument modernes et tournés vers un avenir multiculturel radieux, ont moyennement appréciée. 

Mais bon, l’inhumanité ça se travaille et, même moi qui suis entraîné, en regardant les images du tremblement de terre au Maroc, pays qui, avec l’Algérie, expérimente, avec un certain succès dissuasif, une méthode consistant à offrir à ses immigrés illégaux une petite excursion gratuite dans le désert, je n’ai repris que deux fois des frites. En revanche, les larmes me sont presque venues devant la détresse de notre président qui aurait tant voulu les aider et qui, en fin diplomate, s’est adressé directement aux citoyens marocains pour leur expliquer, en substance, que leur Roi est un enfoiré qui préfère les laisser crever que d’accepter son aide. 

Ce type est une catastrophe ambulante qui a déjà crevé tous les plafonds supposés mener tout droit à la guillotine et qui, bizarrement, peut continuer tranquillement son bonhomme de chemin tandis que les prix du carburant et de l’électricité s’envolent et qu’un tiers des Français en est déjà à sauter un repas par jour. Certes 80 000 personnes l’ont hué en début de match inaugural de la coupe du monde de rugby, vidéo qui a été supprimée de tous les réseaux sociaux français, ce qui explique peut-être pourquoi Renaissance veut désormais interdire les VPN (et donc toute possibilité de s’informer sur les médias étrangers) oubliant, car ils n’y connaissent rien, que sans VPN il n’y a pas de télétravail sécurisé, entre autres, et qu’il existe des moyens de contourner ; mais il n’en demeure pas moins qu’à 80 000 contre un, à une autre époque, ne serait-ce que par respect pour les sourds et malentendants, d’autres scénarii plus tactiles que de simples huées eussent été possibles…. 

Pourquoi donc autant de docilité ? L’individualisme, la perte de sens, de spiritualité, le conditionnement médiatique, l’abrutissement scolaire et la destruction systémique de toute forme de pensée divergente et de liberté d’expression suffisent-ils à l’expliquer ? Peut-être ! En faisant mon footing autour d’un lac, dans le petit bled d’un coin paumé de la France profonde où j'habite, et où, en sus des retraités à chiens habituels, rien que ce matin, j’ai croisé un individu à fort taux de mélanine en train de se rouler dans l’herbe en psalmodiant, 2 Pakistanais, un sikh à turban et même un putain de scorpion d’une vingtaine de centimètres qui n’est pas supposé exister en France, j’observais une foultitude d’avions en train de se croiser dans tous les sens à basse altitude quadrillant littéralement la zone de traînées blanches. Bizarrement, l’un d’entre eux a subitement cessé de répandre ladite traînée, mais semblait pouvoir continuer à voler quand même, probablement un avion hybride, électrique ou à pédales… 

Il serait en effet complotiste d’imaginer que ces traînées ne soient pas juste de la condensation et qu’on nous aspergerait de quelque produit destiné à nous rendre dociles, comme les Américains en auraient expérimenté dans les années 50 en pulvérisant des composés de diéthylamide au-dessus du village de Pont-Saint-Esprit dans le Gard, ou encore les Allemands qui ajoutaient du fluorure de sodium dans l’eau, ayant constaté que ce dernier favorisait la stérilité et induisait une forme de docilité. Il faudrait vraiment être un esprit simple pour ne serait-ce qu’envisager que nos démocraties auraient pu poursuivre et perfectionner ce type de recherches. Ce n’est quand même pas parce qu’un produit expérimental, requalifié en vaccin, a été directement testé, sans recul, sur des milliards d’individus, qu’il faudrait en conclure qu’elles seraient capables de faire ça à leur propre population. 

Au bout du compte, me souffle ma Sandrine Rousseau intérieure, toujours pas remise d’avoir vu, à l’occasion d’un meeting automobile, Marine Le Pen, bras tendus dans une Volkswagen d’époque : c’est certainement le réchauffement climatique, il n’y a pas d’autres explications. 

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dimanche 10 septembre 2023

INCOMPATIBILITÉS CULTURELLES (auxquelles vous n'avez peut-être pas pensé) (11/09/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/DRwYp_nvCZg

Bonjour ! 

La bonne nouvelle de la semaine c’est que Mégane, atrocement violée avec un manche à balai par un rebut d’excrément de mouche coprophage atteinte de gastro-entérite purulente, est sortie du coma. Pour elle, le plus dur reste à faire, entre des séquelles physiques lourdes et des séquelles psychologiques que l’on peine à imaginer, mais bizarrement, cette histoire n’intéresse ni la presse ni le gouvernement, ni même quelque scénariste audacieux qui voudrait en faire un film aux chances modérées d’obtenir une patte de canard en or dans la ville très palmipède de Cannes. 

Il est vrai que la publication, côte à côte, de la photo de l’animal qui a transformé ses organes internes en bouillie et de cette très jolie rousse toute frêle, au visage d’ange éclairé d’un joli sourire qu’on lui a peut-être ôté à jamais, pourrait énerver des individus un peu frustes qui n’ont pas encore saisi toutes les subtilités du vivre ensemble et qui, comme moi, peinent à comprendre pourquoi on a et l’immigration qui doit payer nos retraites et l’allongement de l’âge de départ malgré l’immigration qui doit payer nos retraites. 

Dès lors, la longueur du suppositoire de padamalgam qui serait nécessaire à calmer les envies de meurtre (dans le cadre respectueux de la loi, cela va sans dire) surtout quand on a soi-même une fille et qu’on se met à la place du père, avoisinerait celle du manche à balai utilisé. Non que je manque de civisme, mais contrairement à un nombre croissant de membres de l’exécutif, mes capacités d’ouverture à l’autre sont limitées au sens figuré, le sens propre sentant paradoxalement un peu la m…. 

Le cœur du problème 

De ce que j’ai lu, lors de l’audition de l’humanoïde à pouces opposables qui a littéralement broyé sa fille, la famille aurait été aussi déroutée par le manque total de remords et de compassion de l’hominidé en question qu’elle aurait pu l’être devant l’improbable spectacle, qui parfois vient hanter mes nuits les soirs d’indigestion, d’un concours impromptu d’urination entre Brigitte Macron et Michelle Obama. C’est là que j’ai réalisé que la plupart des gens continuent à s’imaginer que notre culture est universelle et que les autres peuples ont forcément avec nous d’autres points communs que d’être des tubes digestifs sur pattes avec un trou en haut et un trou en bas, entourés d’un peu de chair pour faire illusion.

Étant marié à une Japonaise, ce qui après les extra-terrestres d’Alpha du centaure et Bernard-Henri Lévy, est probablement ce qui s’éloigne le plus de la psyché française, ma piqûre de rappel quasi quotidienne et le réflexe pavlovien que j’ai fini par acquérir, en dépit de ses 40 kilos toute mouillée, d’éviter de la contrarier à proximité de l’assortiment de couteaux japonais, suspicieusement maintenus tranchants au-delà du raisonnable, qui trône dans la cuisine, fait qu’il m’arrive d’oublier que ce concept que des peuples différents pensent différemment n’est pas une évidence pour tous les bienheureux qui, eux, ne risquent pas un incident diplomatique simplement en bouffant un bol de nouilles, à la fourchette parce que, quand même, j’ai ma fierté. Comblons donc cette lacune, en gardant à l’esprit que je vais énormément simplifier, que les choses varient d’un individu à l’autre et que ce qui suit est donc à prendre avant tout comme un axe de réflexion. 

En France 

Ce n’est pas parce que deux millénaires de catholicisme nous ont inculqué des choses comme le remords et la culpabilité, tendre la joue et (depuis que les devoirs du croyant ont été dévoyés en droits de l’homme) ramasser gentiment la savonnette, qu’il s’agit de valeurs universelles. Cela suffit déjà, en soi, à expliquer pourquoi il peut être dramatique d’importer massivement des populations auxquelles ces notions sont aussi étrangères que l’ascèse à Gérald « sans les mains » ou qui fonctionnent sur des ressorts complètement différents et, en tous les cas, réservent leur compassion éventuelle à leur seul groupe ethnique. Il faut bien comprendre que, notamment par le remords et la culpabilité, nous devenons notre propre gendarme et que c’est uniquement pour cela qu’il suffit de quelques chiens qui courent autour pour que le troupeau de moutons paisse où on l’envoie paître. 

C’est la seule raison pour laquelle notre société tient, seule raison pour laquelle cet épisode végétatif provisoire et temporaire, conditionné à un minimum d’opulence et de paix, qu’on appelle démocratie, a pu faire illusion aussi longtemps. Par ailleurs, la peur du gendarme qui permet à peu de frais une société fonctionnelle et qui vient compléter, à la marge, les effets du petit Darmanain, vraiment très nain, qui se niche dans notre conscience individuelle dégoulinante de moraline, suppose d’avoir à la fois suffisamment d’intelligence pour anticiper les conséquences de ses actes et, chose de plus en plus rare, quelque chose à perdre. Inutile donc, d’importer, en plus, des gens qui n’auraient ni l’un, ni l’autre, d’autant que, pour anticiper les conséquences, il faudrait à minima qu’il y en ait, ce que la présence dans nos rues de multirécidivistes tendrait à infirmer. 

En Asie 

Dans les pays asiatiques, les moteurs sont totalement différents et pas forcément « bridés ». Au Japon par exemple, le premier de ces moteurs est l’honneur : on ne peut pas perdre la face. Il en découle que si, pour ne pas perdre ladite face, on doit aller jusqu’à tuer quelqu’un, le samouraï interne n’est jamais très loin et que, le devoir accompli, on pourra s’endormir tranquillement après, sans plus d’états d’âme qu’un Bruno Le Maire suavement dilaté sur un futon moelleux. La seule raison autre qu’un quotient intellectuel relativement élevé qui fait que le Japon n’est pas une gigantesque mare de sang est le second moteur, impossible à cerner pour l’européen lambda qui passe par la cultivation de son jardin intérieur, le souci de l’épuration, de la précision et du travail bien fait de sorte d’être un rouage efficace et donc important, quel que soit son niveau, dans un collectif transcendant, d’où l’importance du respect tout court et du respect des règles en particulier. Il en découle que la société tout entière tombe sur le râble de quiconque transgresse lesdites règles qu’elles soient écrites ou non, ne pas faire la queue ou ne pas trier ses déchets vous exposant à certaines déconvenues parfois mortelles. 

Là encore, pour des raisons totalement différentes, très peu de police suffit à garder le troupeau qui peut donc fonctionner en mode démocratie. Avec certaines nuances, notamment au niveau des hiérarchies beaucoup plus complexes et marquées, on retrouve un peu les mêmes principes en Corée du Sud, un peu moins en Chine, plus souple sur l’auto-« poliçage » d’où la surveillance accrue de l’état, phénomène qui se produit également en France depuis que l’individualisme a supplanté l’ordre établi, les gens conservant certes, la moraline individuelle qui en fait des moutons, mais perdant la pression collective traditionnelle nauséabondement patriarcale et rétrograde, avantageusement remplacée par celle, avec des jolies couleurs, des hommes en jupe et des vaccins, de l’État et des médias. 

En Afrique 

Dans nombre de pays africains et notamment musulmans, on retrouve, là encore, cette notion d’honneur, peu compatible avec la sodomie, que nous avons perdue depuis longtemps et le souci de ne pas perdre la face, mais les rouages sont différents de l’Asie et plus dépendants de l’environnement. Contrairement à un Japonais qui même s’il n’est plus au Japon continuera à en subir l'influence, on a pu observer, jusque dans les années 80, 90 et au-delà que nombre de musulmans (essentiellement, en France, issus du Maghreb) buvaient tranquillement de la bière, faisaient ramadan les années « trisextiles », s’habillaient à l’occidentale, étaient parfaitement rasés et que le mot halal ne faisait même pas partie de leur vocabulaire. Un petit tour sur le site de l’INA afin de visionner des vidéos de l’époque permettra aux plus sceptiques de vérifier ce que j’avance. 

À l’inverse, plus leur communauté grossit et plus ils se sentent observés par elle, plus les mêmes deviennent agressifs s’ils ne peuvent pas donner l’apparence de suivre scrupuleusement les règles (l’islam, pour beaucoup, étant plus une sorte de code de la route à respecter qu’un outil d’introspection) et, comme ils n’ont pas, eux non plus, de notion de remords et de culpabilité au sens où on l’entend chez nous (même s’ils ont très bien compris comment ça marche et savent jouer dessus), certains, dont je ne prétends pas qu’ils sont représentatifs, mais assez nombreux pour représenter un problème sérieux, peuvent tranquillement tuer quelqu’un, pour un regard ou autre futilité qu’ils auront considérée comme un manque de respect, et ne pas vraiment comprendre ce qu’on leur reproche quand la police les embarque. 

Cela explique en partie pourquoi, les naïves tentatives d’imposer des démocraties à nos normes en Afrique ont abouti au mieux à des caricatures, le coefficient d’auto-« poliçage » de la population, hors cadre religieux, étant culturellement quasiment nul. De même, cela explique pourquoi, non seulement les problèmes ne s’arrangent pas au fur et à mesure que de nouvelles générations naissent dans une démocrature molle comme la France, mais qu’au contraire, ils s’aggravent. 

Dans les diasporas 

Comme si cela ne suffisait pas, outre les incompatibilités qui se voient, il y a également celles qui ne se voient pas, cachées par exemple derrière cette absurdité du concept de « judéo-christianisme ». Il n’y a pas, en effet, continuité entre le Nouveau et l’Ancien Testament, mais rupture, le christianisme s’articulant autour du pardon universel et horizontal qui est attendu des hommes entre eux, en lieu et place du pardon vertical par Dieu du seul peuple élu, notion derrière Yom Kippour. D'aucuns ne seront pas d'accord et c'est très bien, mais au-delà des blablas sur le premier topic LGBT de l’histoire, à savoir le sexe des anges, il suffit de regarder les faits pour constater que si on n’est pas dans le « ni oubli ni pardon » attitude qui, au cours de l’histoire, s’est souvent terminée en « pars donc ! », ça y ressemble furieusement. Une incapacité à pardonner pas vraiment catholique qui se traduit encore ces jours-ci, je n’invente rien, par l’annulation du spectacle de Dieudonné malgré un baissage de culotte probablement nazi inversé, par l’annonce, il y a quelques jours, d’un procès intenté, en Allemagne, à un gardien de camps de 98 ans encore assez jeune à l’époque pour intéresser Frédéric Mitterrand, par l’incarcération, sans procès, depuis bientôt un an, de Vincent « Reynouard » (à la demande d’amateurs de « raies blanches ») et j’en passe… 

Incapacité à pardonner qui fait que, tant que certains auront leur mot à dire, on va probablement nous culpabiliser avec la Shoah jusqu’à ce qu’un hypothétique réshoahfement climatique asymptomatique nous ait tous mis d’accord, le tout découlant d’une vision culturellement tribale du monde selon laquelle, un peu comme en Sicile, les fautes s’héritent d’une génération à l’autre faisant qu’un enfant faiblement mélaniné, né aujourd’hui, est d’office un futur SS potentiel plus responsable du récurage en profondeur d’une certaine piste cyclable que le papa d’un animateur connu et ceux de ses coreligionnaires qui géraient les listes et ont préféré qu’on embarque les étrangers plutôt que leurs familles, ce dont, compte tenu des circonstances extrêmes, on ne saurait, quand on sait pardonner, leur faire grief. Incapacité au pardon qui se traduit, chez les plus extrémistes (excités non représentatifs, mais que hélas, on retrouve en nombre dans maintes organisations délétères) par une volonté (en accord tacite avec ceux qui fantasment la fin des nations comme condition à la paix communiste universelle) de détruire les éternels coupables par la submersion migratoire et le métissage forcé, avec les dégâts que l’on peut désormais constater sur le long terme et dont leur propre communauté, laquelle n’a rien demandé, est elle-même victime. Constat que font d’autres membres de ladite communauté à la Zemmour, Bercoff et Goldnadel, nouveaux Charles Martel, qui pestent contre les conséquences, sans trop, faut pas pousser non plus, s’attarder sur les causes. 

Conclusion 

À l’inverse, raison pour laquelle chacun devrait rester chez soi, ces incompatibilités factuelles font aussi de nous une force disruptive sur le continent africain ou ailleurs, ce qui, outre le fait d’avoir un président bon à rien et mauvais à tout, explique que nous sommes foutus dehors de partout et remplacés par d’autres qui eux ont l’intelligence de ne pas prétendre changer les peuples ou les assimiler dans une fraternité universelle complètement fantasque. 

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dimanche 3 septembre 2023

ABAYAS, seins nus et foutage de gueule… (04/09/2023)

Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/uezuCwDjAUY

Bonjour ! 

Là-bas y a des abayas, ici des « abayas à bas !» y a. Les vêtements (ou leur absence) sont le reflet d’une opinion et, en tant qu’ardent défenseur de la liberté d’expression, Sandrine Rousseau incluse (ce qui fait de moi un extrémiste), cette polémique, orchestrée pour nous distraire de nos envies de guillotine, ne m’émeut pas plus que, dans la même veine, les tétons sauvés des affres de la gravité par des bourrelets abdominaux complaisants qu’une foule de féministes euphémiquement moches a exhibé à Aurillac pour réclamer le droit de se balader seins nus sans que les hommes soient autorisés à regarder, soit le contraire des Femen, tout aussi féministes, qui elles écrivent des messages dessus justement pour que les hommes regardent. Quand vous serez d’accord entre vous, on discutera de l’abolition du patriarcat. Dans les deux cas, du gras et des abats y a, abayas au sujet desquelles on nous prend vraiment pour des imbéciles. S’il n’y avait que 10 musulmans en France, ils pourraient se promener eux aussi tout nus avec une plume dans tout endroit de leur convenance (et recouverts ou non d’une abaya) que ça ne dérangerait absolument personne. Ce que les hypocrites, comme Attal - qu’on imagine bien avec une jolie plume, mais sans l’abaya - disent implicitement sans oser le dire, c’est donc qu’à force d’en bouffer (d’immigré ou de force) il y aurait trop de musulmans en France. Trop de bonnes choses Il est vrai que, dépassé un certain seuil, trop d’oxygène tue, trop d’amour étouffe, et il y a une quinzaine d’années, en Ukraine, j’ai même mangé trop de caviar ce que mon estomac de prolétaire m’a lourdement fait payer. La seule exception semblant être les taxes dont il n'y a visiblement jamais trop si l’on considère l’augmentation entre 7 et 59% des impôts fonciers qui nous attend à la rentrée… pendant qu’on regarde les abayas. Mais trop de cette bénédiction qu’est l’Islam est-ce seulement possible ? Tant qu’on y est, pourquoi pas trop de chances pour la France, voire trop de braves Kevin et Mattéo portant fièrement leur maillot de Manchester United ? Rien que d’y penser, j’ai mal à mes valeurs de la république. Mais si ce n’est pas cela le message, en quoi le retour impromptu, sous une forme exotique et inattendue, de l’uniforme à l’école, serait-il un problème ? Aurait-on peur que d’autres, beaucoup d’autres, voire, à terme, trop d’autr(uch)es puissent en arriver à la conclusion qu’il y a des limites à tout et se demander : la faute à qui ? Imaginez que demain les puces se mettent à porter un T-shirt bleu et que, confronté à votre chien couleur schtroumpf, le vétérinaire prescrive un décolorant pour tissus à la place d’un antiparasitaire. Pour ma part, je suis pour que les choses se voient, inutile donc de balayer les acariens sous le tapis de prière. Les piliers du système Les entraves à la liberté d’expression ne servent qu’à une chose : protéger le système en place. Plus un pouvoir est illégitime, plus il durcit et formalise les règles. C’est ainsi que, contrairement aux idées reçues, le crime de lèse-majesté, par exemple, a été introduit non par les rois, mais à Rome par la république, lesdits rois eux, forts de leur légitimité (en tout cas dans une France catholique) n’avaient pas besoin d’un écrit lequel aurait été aussi superfétatoire qu’un panneau « ne pas tirer la queue du lion ». De nos jours, personne n’a peur de tirer la queue de Macron… ou de Brigitte. D’ailleurs, ce n’est pas ça qui est interdit, mais le racisme, sa sous-catégorie l’antisémitisme qui, pour une raison qui m’a toujours échappée (probablement une histoire de R.I.B.), est traitée à part, et l’homophobie. Y aurait-il un rapport entre ces choses et le pouvoir ? À cette simple idée nauséabonde, mes valeurs de la république ne font qu’un tour jusqu’à redescendre au niveau des hémorroïdes où sommeille, chez certains, ce fameux castor qui se réveille tous les 5 ans en hurlant : « No pasaran ! ». D’ailleurs, n’en déplaise aux complotistes, je suis sûr qu’il y a probablement des gens au gouvernement qui ne sont aucune de ces trois choses. Liberté Ce qu’on appelle le système ou encore la république, cette entité parasite qui se fait passer pour la France, s’est construit sur 3 escroqueries. Tout d’abord la liberté. Contrairement à la liberté d’expression qui, elle, peut techniquement être totale, la liberté tout court est une utopie dangereuse, qui, comme toute utopie, ne peut se transformer qu’en dystopie et générer l’opposé de ce qu’elle promet. La seule liberté recherchée par les escrocs qui promeuvent cette idée c’est la liberté du commerce, idée absurde (tout d’abord soufflée à l’oreille d’un roi qui se voulait moderne) et qui s’est immédiatement traduite par la fin des tarifs réglementés sur le blé entraînant spéculation et famine, chose qui a préparé le terrain pour la révolution, les gens n’ayant jamais eu faim de démocratie, mais faim tout court. On a raccourci le Roi qui pourtant, entre-temps s’était ravisé, mais on a gardé la liberté d’exploiter et de spéculer. La spéculation, c’est là tout le drame, responsable pour plus de 50% de la flambée des prix actuelle, se faisant aux dépens de l’outil de production qu’elle suce telle une version vampire de Marlène Schiappa. Pour les autres c’est : port du masque et pensée unique obligatoire, déplacements limités, chauffage sous conditions, éducation forcée des enfants aux valeurs arc-en-ciel, coups de matraque à intensité variable, insécurité galopante sans droit à la légitime défense, bientôt une monnaie numérique avec date de péremption et possibilité d’être réservée à des dépenses spécifiques ainsi que, depuis le 25 août, une censure drastique des réseaux sociaux avec le fameux « Digital Services Act » porté par un Thierry prétendument Breton. Vous reprendrez bien un peu de liberté. Égalité Ensuite vient l’égalité. Certains diront qu’il ne faut pas prendre la chose au pied de la lettre et qu’il s’agit simplement de l’égalité devant la loi tant il est vrai que le fait d’être riche ou pauvre, d’habiter à côté du tribunal ou à 50 kilomètres, d’avoir ou pas les bonnes idées politiques, d’être un homme ou une femme ou de souffrir ou non d’une déficience colonialiste d’extrême droite en mélanine n’a aucune incidence au pays des droits de l’homme. Ce n’est pas comme si quelqu’un qui se défend contre une agression pouvait finir en prison, comme si des violeurs et des escrocs pouvaient être ministres et comme si un Sarkozy pouvait collectionner les bracelets électroniques (à portée transcontinentale, car il ne faudrait quand même pas que la laisse soit trop courte) et dédicacer tranquillement ses livres écrits par des « écrivains à peau noire » héros d’un roman d’Agatha Christie. En réalité, certains seront toujours plus égaux que les autres et l’utopie d’égalité est simplement un prétexte pour mettre fin à la légitimité de la hiérarchie. Tout comme il faut savoir où on est pour trouver son chemin, il faut connaître sa place pour pouvoir s’élever, ce qui n’est plus possible quand tout le monde sombre dans un nombrilisme solipsiste, d’où des élites aussi médiocres qu’illégitimes, la fin de l’excellence à l’école et le mépris des petites mains qui bossent (sans lesquelles le pays s’effondre) par des gens qui, pourtant, ne leur arrivent pas à la cheville. Tandis que les plus égaux lesquels (parce que si tu recules comment veux-tu que je te canicule) nous expliquent le réchauffement climatique depuis leur Jet privé, avec air conditionné et petits plats préparés par un chef, les moins égaux respirent en toute égalité égalitaire le même air vicié, bouffent la même nourriture frelatée, ont droit à la même électricité intermittente en attendant la fin des congés payés et la chute du système social. Vous reprendrez bien un peu d’égalité. Fraternité Et que dire de la fraternité, concept tant prisé par les amateurs d’agapes en tabliers immaculés et gants blancs sur des mains dépourvues d’ampoules, fascinés par les trois points d’une truelle qu’ils n’ont jamais utilisée ? Fraternité qui institue un rapport horizontal entre les hommes en lieu et place du rapport vertical de la paternité et donc des racines et de l’identité sans lesquelles il n’y a plus de pays, mais un petit bout de terre sur une carte avec des gens dessus ; gens qui, ironie de la chose, n’ont pas forcément une définition univoque de ladite fraternité, entorse pour le moins dirimante au contrat humaniste. Ce n’est pas pour rien que l’Afrique, peu réceptive à l’humanisme multicolore qu’on essaie de lui imposer, nous rejette, le Gabon venant de s’ajouter à une liste qui s’allonge, comme le nez de Pinocchio dans une boîte de striptease, grâce à un Macron dont le sens de la diplomatie n’a d’égal que le génie de la finance. Mais bon, ne nous « fion(s) » pas aux apparences : à l’instar des sanctions, il s’agit peut-être d’une nouvelle ruse, façon billard à trois bandes, imaginée par Bruno Le Maire pour mettre à genoux la Russie laquelle, inconsciente du piège, s’implante partout à notre place. Le même Bruno Le Maire qui nous annonce comme une victoire que le prix de 5000 références ne va pas augmenter. Normal, c’est déjà fait. Dans tous les cas, que les Africains nous rejettent d’Afrique, on s’en remettra, en revanche, je suis plus réservé quant à l’étape logique suivante qui, du fait que, pas rancuniers, on continue à les accueillir ici en masse, semble être qu’ils nous rejettent… de France. En attendant, dans une fraternelle fraternité, et pour des raisons mystérieuses qui nous échappent, des individus non identifiables et sans caractéristiques particulières, tuent, violent, « émeutent », coutèlent, canardent, profanent, rackettent, « cannabisent » et « abayasent »… heureusement que d’autres, eux, « padamalgamisent » sinon ce ne serait pas drôle. Vous reprendrez bien un peu de fraternité. Conclusion Mais alors, me direz-vous : par quoi remplacer le ténia républicain ? Je vais en décevoir certains, mais inutile de se voiler la face (ce qui est, par ailleurs, en principe, également interdit) : entre un pape immigrationniste pro-LGBT et une population de consommateurs qui vénère Netflix et les jeux vidéo, le retour du catholicisme triomphant serait aussi miraculeux qu’une érection de Georges SOROS, or, sans ce socle, une monarchie qui ne serait plus ni absolue ni de légitimation divine, ne serait qu’une farce constitutionnelle et onéreuse de plus, tout juste bonne à alimenter la presse people. Quant à un improbable homme providentiel qui prendrait le pouvoir, en admettant qu’il puisse nous procurer quelques années de répit, sa succession serait problématique, la providentialité n’étant pas héréditaire. Sous réserve que nous survivions, il ne reste donc plus, à mon sens, que 2 options pérennes, en ce sens qu’elles n’auraient pas de problème de légitimité. Si on ne fait rien, l’idiocratie rampante qui déqualifie l’humain pour gérer sa propre destinée renforcera la tendance à s’en remettre de plus en plus à des machines, faisant qu’au bout du compte c’est ChatGPT qui prendra les commandes. Les ordinateurs étant logiques par essence, livrés à eux-mêmes, quels que soient les biais gauchistes qu’on essaiera de leur insuffler, ils finiront par retomber sur leurs pattes et se laisser pousser une petite moustache digitale comme à chaque fois qu’on a laissé une IA sans surveillance. Le résultat sera non pas l’éradication de l’humanité, comme certains le craignent, ce qui ne serait pas logique, mais plutôt, un tri sélectif drastique destiné à l’améliorer, accomplissant ainsi le rêve de certains dans les années 30, la sélection naturelle abandonnée au nom des droits de l’homme étant simplement remplacée, toujours au nom des droits de l’homme, par la sélection numérique. La seconde option, c’est la démocratie directe en temps réel, sans représentants, sans juges, sans constitution, ceux qui le souhaitent votant, débattant et discutant depuis leur portable. Une option d’ores et déjà techniquement possible, mais qu’aucun politique ne vous proposera jamais même si elle peut être tout à fait viable, sous réserve de quelques précautions, notamment la collectivisation de l’information et la fin de l’anonymat du vote qui doit être assumé, choses que j’ai amplement développées, il y a déjà pas mal d’années, quand j’ai débuté cette chaîne, mais il ne sert à rien d’avoir raison trop tôt. Si vous avez apprécié ce contenu, vous pouvez cliquer sur tous les trucs en bas et si vous ne l’avez pas apprécié, c’est sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.