Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/DRwYp_nvCZg
Bonjour !
La bonne nouvelle de la semaine c’est que Mégane, atrocement violée avec un manche à balai par un rebut d’excrément de mouche coprophage atteinte de gastro-entérite purulente, est sortie du coma. Pour elle, le plus dur reste à faire, entre des séquelles physiques lourdes et des séquelles psychologiques que l’on peine à imaginer, mais bizarrement, cette histoire n’intéresse ni la presse ni le gouvernement, ni même quelque scénariste audacieux qui voudrait en faire un film aux chances modérées d’obtenir une patte de canard en or dans la ville très palmipède de Cannes.
Il est vrai que la publication, côte à côte, de la photo de l’animal qui a transformé ses organes internes en bouillie et de cette très jolie rousse toute frêle, au visage d’ange éclairé d’un joli sourire qu’on lui a peut-être ôté à jamais, pourrait énerver des individus un peu frustes qui n’ont pas encore saisi toutes les subtilités du vivre ensemble et qui, comme moi, peinent à comprendre pourquoi on a et l’immigration qui doit payer nos retraites et l’allongement de l’âge de départ malgré l’immigration qui doit payer nos retraites.
Dès lors, la longueur du suppositoire de padamalgam qui serait nécessaire à calmer les envies de meurtre (dans le cadre respectueux de la loi, cela va sans dire) surtout quand on a soi-même une fille et qu’on se met à la place du père, avoisinerait celle du manche à balai utilisé. Non que je manque de civisme, mais contrairement à un nombre croissant de membres de l’exécutif, mes capacités d’ouverture à l’autre sont limitées au sens figuré, le sens propre sentant paradoxalement un peu la m….
Le cœur du problème
De ce que j’ai lu, lors de l’audition de l’humanoïde à pouces opposables qui a littéralement broyé sa fille, la famille aurait été aussi déroutée par le manque total de remords et de compassion de l’hominidé en question qu’elle aurait pu l’être devant l’improbable spectacle, qui parfois vient hanter mes nuits les soirs d’indigestion, d’un concours impromptu d’urination entre Brigitte Macron et Michelle Obama. C’est là que j’ai réalisé que la plupart des gens continuent à s’imaginer que notre culture est universelle et que les autres peuples ont forcément avec nous d’autres points communs que d’être des tubes digestifs sur pattes avec un trou en haut et un trou en bas, entourés d’un peu de chair pour faire illusion.
Étant marié à une Japonaise, ce qui après les extra-terrestres d’Alpha du centaure et Bernard-Henri Lévy, est probablement ce qui s’éloigne le plus de la psyché française, ma piqûre de rappel quasi quotidienne et le réflexe pavlovien que j’ai fini par acquérir, en dépit de ses 40 kilos toute mouillée, d’éviter de la contrarier à proximité de l’assortiment de couteaux japonais, suspicieusement maintenus tranchants au-delà du raisonnable, qui trône dans la cuisine, fait qu’il m’arrive d’oublier que ce concept que des peuples différents pensent différemment n’est pas une évidence pour tous les bienheureux qui, eux, ne risquent pas un incident diplomatique simplement en bouffant un bol de nouilles, à la fourchette parce que, quand même, j’ai ma fierté. Comblons donc cette lacune, en gardant à l’esprit que je vais énormément simplifier, que les choses varient d’un individu à l’autre et que ce qui suit est donc à prendre avant tout comme un axe de réflexion.
En France
Ce n’est pas parce que deux millénaires de catholicisme nous ont inculqué des choses comme le remords et la culpabilité, tendre la joue et (depuis que les devoirs du croyant ont été dévoyés en droits de l’homme) ramasser gentiment la savonnette, qu’il s’agit de valeurs universelles. Cela suffit déjà, en soi, à expliquer pourquoi il peut être dramatique d’importer massivement des populations auxquelles ces notions sont aussi étrangères que l’ascèse à Gérald « sans les mains » ou qui fonctionnent sur des ressorts complètement différents et, en tous les cas, réservent leur compassion éventuelle à leur seul groupe ethnique. Il faut bien comprendre que, notamment par le remords et la culpabilité, nous devenons notre propre gendarme et que c’est uniquement pour cela qu’il suffit de quelques chiens qui courent autour pour que le troupeau de moutons paisse où on l’envoie paître.
C’est la seule raison pour laquelle notre société tient, seule raison pour laquelle cet épisode végétatif provisoire et temporaire, conditionné à un minimum d’opulence et de paix, qu’on appelle démocratie, a pu faire illusion aussi longtemps. Par ailleurs, la peur du gendarme qui permet à peu de frais une société fonctionnelle et qui vient compléter, à la marge, les effets du petit Darmanain, vraiment très nain, qui se niche dans notre conscience individuelle dégoulinante de moraline, suppose d’avoir à la fois suffisamment d’intelligence pour anticiper les conséquences de ses actes et, chose de plus en plus rare, quelque chose à perdre. Inutile donc, d’importer, en plus, des gens qui n’auraient ni l’un, ni l’autre, d’autant que, pour anticiper les conséquences, il faudrait à minima qu’il y en ait, ce que la présence dans nos rues de multirécidivistes tendrait à infirmer.
En Asie
Dans les pays asiatiques, les moteurs sont totalement différents et pas forcément « bridés ». Au Japon par exemple, le premier de ces moteurs est l’honneur : on ne peut pas perdre la face. Il en découle que si, pour ne pas perdre ladite face, on doit aller jusqu’à tuer quelqu’un, le samouraï interne n’est jamais très loin et que, le devoir accompli, on pourra s’endormir tranquillement après, sans plus d’états d’âme qu’un Bruno Le Maire suavement dilaté sur un futon moelleux. La seule raison autre qu’un quotient intellectuel relativement élevé qui fait que le Japon n’est pas une gigantesque mare de sang est le second moteur, impossible à cerner pour l’européen lambda qui passe par la cultivation de son jardin intérieur, le souci de l’épuration, de la précision et du travail bien fait de sorte d’être un rouage efficace et donc important, quel que soit son niveau, dans un collectif transcendant, d’où l’importance du respect tout court et du respect des règles en particulier. Il en découle que la société tout entière tombe sur le râble de quiconque transgresse lesdites règles qu’elles soient écrites ou non, ne pas faire la queue ou ne pas trier ses déchets vous exposant à certaines déconvenues parfois mortelles.
Là encore, pour des raisons totalement différentes, très peu de police suffit à garder le troupeau qui peut donc fonctionner en mode démocratie. Avec certaines nuances, notamment au niveau des hiérarchies beaucoup plus complexes et marquées, on retrouve un peu les mêmes principes en Corée du Sud, un peu moins en Chine, plus souple sur l’auto-« poliçage » d’où la surveillance accrue de l’état, phénomène qui se produit également en France depuis que l’individualisme a supplanté l’ordre établi, les gens conservant certes, la moraline individuelle qui en fait des moutons, mais perdant la pression collective traditionnelle nauséabondement patriarcale et rétrograde, avantageusement remplacée par celle, avec des jolies couleurs, des hommes en jupe et des vaccins, de l’État et des médias.
En Afrique
Dans nombre de pays africains et notamment musulmans, on retrouve, là encore, cette notion d’honneur, peu compatible avec la sodomie, que nous avons perdue depuis longtemps et le souci de ne pas perdre la face, mais les rouages sont différents de l’Asie et plus dépendants de l’environnement. Contrairement à un Japonais qui même s’il n’est plus au Japon continuera à en subir l'influence, on a pu observer, jusque dans les années 80, 90 et au-delà que nombre de musulmans (essentiellement, en France, issus du Maghreb) buvaient tranquillement de la bière, faisaient ramadan les années « trisextiles », s’habillaient à l’occidentale, étaient parfaitement rasés et que le mot halal ne faisait même pas partie de leur vocabulaire. Un petit tour sur le site de l’INA afin de visionner des vidéos de l’époque permettra aux plus sceptiques de vérifier ce que j’avance.
À l’inverse, plus leur communauté grossit et plus ils se sentent observés par elle, plus les mêmes deviennent agressifs s’ils ne peuvent pas donner l’apparence de suivre scrupuleusement les règles (l’islam, pour beaucoup, étant plus une sorte de code de la route à respecter qu’un outil d’introspection) et, comme ils n’ont pas, eux non plus, de notion de remords et de culpabilité au sens où on l’entend chez nous (même s’ils ont très bien compris comment ça marche et savent jouer dessus), certains, dont je ne prétends pas qu’ils sont représentatifs, mais assez nombreux pour représenter un problème sérieux, peuvent tranquillement tuer quelqu’un, pour un regard ou autre futilité qu’ils auront considérée comme un manque de respect, et ne pas vraiment comprendre ce qu’on leur reproche quand la police les embarque.
Cela explique en partie pourquoi, les naïves tentatives d’imposer des démocraties à nos normes en Afrique ont abouti au mieux à des caricatures, le coefficient d’auto-« poliçage » de la population, hors cadre religieux, étant culturellement quasiment nul. De même, cela explique pourquoi, non seulement les problèmes ne s’arrangent pas au fur et à mesure que de nouvelles générations naissent dans une démocrature molle comme la France, mais qu’au contraire, ils s’aggravent.
Dans les diasporas
Comme si cela ne suffisait pas, outre les incompatibilités qui se voient, il y a également celles qui ne se voient pas, cachées par exemple derrière cette absurdité du concept de « judéo-christianisme ». Il n’y a pas, en effet, continuité entre le Nouveau et l’Ancien Testament, mais rupture, le christianisme s’articulant autour du pardon universel et horizontal qui est attendu des hommes entre eux, en lieu et place du pardon vertical par Dieu du seul peuple élu, notion derrière Yom Kippour. D'aucuns ne seront pas d'accord et c'est très bien, mais au-delà des blablas sur le premier topic LGBT de l’histoire, à savoir le sexe des anges, il suffit de regarder les faits pour constater que si on n’est pas dans le « ni oubli ni pardon » attitude qui, au cours de l’histoire, s’est souvent terminée en « pars donc ! », ça y ressemble furieusement. Une incapacité à pardonner pas vraiment catholique qui se traduit encore ces jours-ci, je n’invente rien, par l’annulation du spectacle de Dieudonné malgré un baissage de culotte probablement nazi inversé, par l’annonce, il y a quelques jours, d’un procès intenté, en Allemagne, à un gardien de camps de 98 ans encore assez jeune à l’époque pour intéresser Frédéric Mitterrand, par l’incarcération, sans procès, depuis bientôt un an, de Vincent « Reynouard » (à la demande d’amateurs de « raies blanches ») et j’en passe…
Incapacité à pardonner qui fait que, tant que certains auront leur mot à dire, on va probablement nous culpabiliser avec la Shoah jusqu’à ce qu’un hypothétique réshoahfement climatique asymptomatique nous ait tous mis d’accord, le tout découlant d’une vision culturellement tribale du monde selon laquelle, un peu comme en Sicile, les fautes s’héritent d’une génération à l’autre faisant qu’un enfant faiblement mélaniné, né aujourd’hui, est d’office un futur SS potentiel plus responsable du récurage en profondeur d’une certaine piste cyclable que le papa d’un animateur connu et ceux de ses coreligionnaires qui géraient les listes et ont préféré qu’on embarque les étrangers plutôt que leurs familles, ce dont, compte tenu des circonstances extrêmes, on ne saurait, quand on sait pardonner, leur faire grief. Incapacité au pardon qui se traduit, chez les plus extrémistes (excités non représentatifs, mais que hélas, on retrouve en nombre dans maintes organisations délétères) par une volonté (en accord tacite avec ceux qui fantasment la fin des nations comme condition à la paix communiste universelle) de détruire les éternels coupables par la submersion migratoire et le métissage forcé, avec les dégâts que l’on peut désormais constater sur le long terme et dont leur propre communauté, laquelle n’a rien demandé, est elle-même victime. Constat que font d’autres membres de ladite communauté à la Zemmour, Bercoff et Goldnadel, nouveaux Charles Martel, qui pestent contre les conséquences, sans trop, faut pas pousser non plus, s’attarder sur les causes.
Conclusion
À l’inverse, raison pour laquelle chacun devrait rester chez soi, ces incompatibilités factuelles font aussi de nous une force disruptive sur le continent africain ou ailleurs, ce qui, outre le fait d’avoir un président bon à rien et mauvais à tout, explique que nous sommes foutus dehors de partout et remplacés par d’autres qui eux ont l’intelligence de ne pas prétendre changer les peuples ou les assimiler dans une fraternité universelle complètement fantasque.
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