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lundi 27 novembre 2023

CREPOL, DUBLIN… la pression monte dans la cocotte-minute, et autres actualités (27/11/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/2U_oZN6ZIXg

Bonjour ! 

Certains plantent des tomates, d’autres plantent des Thomas. La différence est subtile, certes, mais suffisante pour que des racistes fachos d’extrême droite, toujours à chipoter sur des détails, osent la relever dans le sillage de feu Gérard, décédé ce samedi d’un cancer non pas du Collomb, ce qui eût été cocasse, mais de l’estomac, et qui, déjà, avait lancé en 2018, en quittant le ministère de l’Intérieur : « Aujourd'hui, nous vivons côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face ». Personnellement, je déteste tous les racistes… surtout les noirs et les arabes… Il y a peu, cette boutade n’aurait pas fait sourire les quelques rescapés qui ont encore accès au second degré, car le racisme antiblanc, tels les fonds occultes de campagne de Macron en 2017, officiellement ça n’existait pas. 

Il en va différemment à présent qu’une salle des fêtes de campagne a été assaillie (ce qui devait arriver « couteau » ou tard) par des cons qui, au lieu de gueuler « Allah Akbar » comme tout le monde, ce qui aurait simplifié les choses, n’ont rien trouvé de mieux que de revendiquer, selon leurs propres termes (rapportés par 9 témoins) vouloir « planter du blanc », rendant l’hypothèse d’une animosité d’une partie de la population envers l’autre aussi débattable que le nombre de chromosomes X au sein du couple présidentiel. Donc ça y est (et même si, face à tous ces actes d’amour qui embellissent chaque jour davantage notre paradis multiculturel, je comprends que cela puisse choquer certains) c’est pourtant officiel : ceux que d’aucuns appellent affectueusement « sales blancs », n’ont plus le monopole du racisme. 

Une notion de « blanc » elle aussi « éclaircie » (ce qui fait un peu « thon sur thon » façon Braun-Pivet sur Elisabeth Borne). En effet, avant ces évènements, certains puristes qui fantasment, à leurs heures perdues, sur un moyen (non LGBT) de croiser Boris Le Lay et Hervé Ryssen pour sauver la civilisation, pouvaient encore argumenter sur la colorimétrie, ce qui faisait le jeu des « antiracistes » pour décrédibiliser le concept. Depuis la visite de gens qui, décrits crépus, ont crépi Crépol d’hémoglobine, faute d’avoir tranché nous-mêmes, ça a été tranché pour nous… dans le vif … qui, hélas, ne l’est pas resté très longtemps : être blanc, c’est juste être considéré comme tel par ceux qui se considèrent non « blanco-compatibles ». 

Thomas n’aurait probablement pas été choisi en premier par le 3e Reich pour une affiche publicitaire, ni en second, ni en troisième, ni… mais de par sa francitude assumée, son comportement normal de Français ordinaire et du fait qu’il n’avait pas un second passeport en poche, il est quand même devenu une cible. Du coup, cela fait beaucoup de cibles potentielles et libre à chacun de se voiler la face, mais, sauf à le faire au propre, quand son tour viendra, les coups de couteau futurs ne seront pas plus déviés par les considérations philosophiques et une carte d’adhésion à la France Insoumise qu’un coït d’éléphants sauvages par un troupeau de 49-3 un soir de pleine lune.

Exit donc les chipotages stériles et autres finasseries avec un nuancier Dulux Valentine à la main : instinctivement, chacun sait parfaitement à quel camp il appartient et, même s’il existe encore quelques confusions chez certains patriotes auxquels les réactions médiatiques au conflit israélo-palestinien n’ont pas ouvert les yeux sur la véritable nature des uns et des autres, la réciproque n’est pas vraie. Les conditions sont donc réunies, sinon pour une guerre civile, en tout cas pour des affrontements de plus en plus sanglants comme à chaque fois que, partout dans le monde, deux communautés non solubles (et a fortiori 3) se sont retrouvées sur un même territoire, faisant fondre tous les pseudos modérés qui ne pourront plus se mentir à eux-mêmes sous peine de finir en hachis parmentier. 

Les infâmes complotistes que je désapprouve, par principe, depuis que Julien Pain m’est apparu à la grotte de Lourdes (à moins que ce ne soit un essaim de mouches coprophages sublimé par un rai lumineux - je ne suis plus vraiment sûr, car il faisait relativement sombre) feront certainement valoir qu’après le flop de la manifestation pro-Israël camouflée en marche contre l’antisémitisme, ce raid raciste a remis (simple coïncidence) le Gaulois réfractaire entre le marteau et l’enclume mettant à mal toute velléité de sa part d’observer sereinement pro et anti-Israël en découdre, en reprenant tranquillement des frites, tout en rappelant, par la même occasion, à la racaille de base, parfois distraite, de ne pas se concentrer exclusivement sur ses cousins prépuçodéficients (sans lesquels la république, on ne le répétera jamais assez, ne serait plus ce qu’elle est) car, comme un « ON » non identifiable, sauf par Elon Musk, le leur rappelle depuis au moins « SOS racisme », leur vrai ennemi, c’est le méchant colonisateur blanc, à coups de terribles marches de la même couleur, d’attaques aériennes massives au ballon en baudruche et de lancers dévastateurs de nounours en peluche enflammés aux petites bougies, elles aussi, très pauvres en mélanine. 

Depuis cette attaque, qui n’est pas un cas isolé, exactement la même chose s’étant produite à Saint-Martin-Petit dans le Lot au mois d’octobre, pour ne citer que celui-là, les Français des champs qui craignaient de ne pas pourvoir bénéficier des bienfaits du vivre ensemble, à l’instar de leurs collègues citadins, un temps inquiets, à tort, que leur digicode dissuade des migrants de venir les remercier en personne pour leurs panneaux « welcome », sont désormais totalement rassurés puisque que grâce, notamment, au « dispatchage » macronien pré JO 2024 et antérieur, plus personne ne risque d’être privé d’une expérience totale d’enrichissement culturel, jusque dans le confort de son domicile : stages de revitalisation sexuelle pour 4e âge, séances gratuites d’acupuncture profonde, massages faciaux phalangés, cours de feng shui par délestage d’objets divers, garde de domicile bénévole d’octobre à mars, animations nocturnes variées, distribution de substances récréatives, bulletin quotidien sur la taille d’Allah (laquelle n’évolue pas beaucoup, mais demeure intéressante à observer) et, à défaut de spa, chauffage organique et coloration des eaux des piscines municipales avec assistance au déshabillage dans les vestiaires… même le club Med n’en offre pas autant. 

Au lieu de se réjouir, il se trouve des pisse-vinaigres, hélas de plus en plus nombreux, pour en arriver, par je ne sais quel raisonnement antirépublicain, à la conclusion que si l’on veut conserver une société viable, rance et rétrograde où l’on peut organiser des bals dépourvus d’enrichissements culturels en faisant peu de cas du soutien à l’industrie de la coutellerie, le point de saturation et de non-retour est désormais atteint concernant les personnes, avec ou sans carte d’identité, qui se considèrent « non blanco-compatibles » et s’en servent comme prétexte pour refuser de faire corps avec le reste de la société qu’elles méprisent ouvertement. 

J’ai même ouï des gens penser très fort que l’état qui ne tient que grâce à un monopole de la violence (devenu illégitime depuis qu’il ne remplit plus ses missions régaliennes et qu’il a peur de perdre, en même temps que quelques têtes) ne s’en sert que contre les seuls moutons sur le dos desquels repose tout le système parasitaire, tant du haut que du bas. Moutons interdits de seulement lever la tête, au point qu’une simple marche blanche (qui est au peuple ce que le numéro vert est au gouvernement) s’est vue interdite à Lyon, probablement parce que, bizarrement, personne n’a pensé à qualifier Thomas de « petit ange » (n’est pas Nahel qui veut) et quand, pour réclamer justice pour le même, des jeunes au taux de mélanine racistement bas ont eu l’impudence de défiler, comme s’ils étaient chez eux, dans le quartier d’où est issue partie des malfaiteurs et dans lequel on n’avait pas vu l’ombre d’un képi pendant les émeutes, c’est tout juste si, là, en revanche, on n’a pas envoyé les blindés et l’aviation. 

Il faut dire que le calendrier de cette prise de conscience, n’est pas optimal pour le gouvernement lequel (en dépit de la transformation de Macron en rotor d’hélice d’éolienne quant à ses positions géopolitiques) tout à sa ferveur pro-israélienne, a laissé complaisamment les langues médiatiques se délier pour conspuer ouvertement de l’Arabe et du musulman faisant que, dans la foulée, le Français de base, un peu naïf, s’est cru, lui aussi, autorisé à faire ce qu’on lui interdit depuis des années : nommer les choses par leur nom, chose dont, cette fois, on n’a pu l’empêcher, car il est difficile d’expliquer à des esprits simples, qui ne comprennent bizarrement pas pourquoi certains ont le droit de tenir des propos racistes et pas les autres que, de même que si on est tous égaux, certains le sont plus que les autres, si on est tous humains certains… bref, vous comprenez le principe. 

C’est ainsi qu’encore meurtri dans mon antiracisme, j’ai entendu concernant les apprentis bouchers de Crépol « afro-maghrébins » par exemple (ou « affreux », je ne sais plus), plutôt que les traditionnels « musulmans », « racailles », « jeunes » et autres pis-aller qui tournent républicainement autour du pot comme un morpion autour d’une protubérance quelconque de première dame. Un cap est donc franchi et il va être difficile de remettre le dentifrice dans le tube après ça. 

Heureusement, le déferlement de haine a pu être évité, car, finalement, les leucophobes en question, incroyable coïncidence, s’avèrent être, au bout du compte, des Français, comme vous et moi, peut-être même davantage. Ils ont jusqu’à la carte plastifiée qui le prouve. D’ailleurs, quand on se décidera à communiquer les patronymes, toutes les mauvaises langues en seront pour leurs frais et les craintes de ratonnades d’une Sandrine Rousseau totalement angoissée, la pauvre, à cette éventualité, seront dissipées comme la rosée matinale par les premiers rayons du soleil. Personnellement, au vu des photos qui ont fuité sur le net et dont j’impute la colorimétrie désastreuse à du matériel bas de gamme, je table sur du Corentin voire du Kévin ou Matéo. 

Tout cela s’inscrit dans un contexte général avec une prise de conscience de plus en plus brutale face au « sentiment » d’insécurité de l’ensemble des populations européennes, mécontentement canalisé pour l’instant dans des partis verbalement anti-immigrationnistes façon RN ou PVV aux Pays-Bas, tolérés par le système sous réserve de ne critiquer que la branche basse de la tenaille (en gros : « c’est la faute à l’islam »). Parfois, cependant, la chose n’a pas le temps d’être phagocytée et prend un côté beaucoup plus organique comme en Irlande. Suite à une attaque au couteau, parce que bon, sans vouloir discriminer, on est obligés de remarquer que, question inventivité, tout le monde n’est pas égal, attaque ayant visé notamment des enfants, il s’est avéré que l’individu présenté par les autorités comme un autochtone pur jus, s’est vu reprocher par quelques puristes soupçonneux, d’être arrivé d’Algérie 20 ans plus tôt, coïncidence malheureuse ayant déclenché des émeutes, un peu comme chez nous cet été, mais à l’envers, pour demander une remigration massive. 

Il y a eu également des pillages qu’on a tenté de mettre sur le dos des émeutiers, forcément des hooligans, avant que de nombreuses vidéos montrent qu’ils étaient, au moins pour partie, le fait d’allogènes opportunistes souvent mis en fuite par les émeutiers eux-mêmes. 

Une course contre la montre est donc désormais engagée, car il faut à tout prix éviter que ceux qui se sentent héritiers de la terre qu’ils habitent et qui semblent se réveiller plus tôt que prévu soient en mesure de la revendiquer alors qu’ils sont encore majoritaires, ce qui serait la catastrophe pour ceux qui rêvent d’un paradis mondialisé. Acculée, l’Union européenne, envisage, si elle suit les propositions que le parlement européen vient de voter ces jours-ci, de supprimer les décisions à l’unanimité, lesquelles ralentissaient sa marche folle, de sanctuariser l’immigration de masse et « l’inclusivité », de rendre impossible toute forme d’indépendance politique des états membres, d’obliger à la solidarité en cas de guerre, de s’octroyer une armée propre, des prérogatives militaires, de se doter d’un président (pourquoi pas Macron ?) et autres joyeusetés dont l’élargissement à 34 membres. 

Il leur faut juste éviter que tout cela ne tombe à l’eau en raison d’un soulèvement des peuples et d’une reprise en main seulement viable sur des bases ethnico-culturelles. Passé ce cap, toute velléité de révolte pourra ensuite être matée par ladite armée européenne, le temps que la bascule démographique se fasse, sachant que même en stoppant net l’immigration (et elle va, au contraire être amplifiée dans des proportions considérables), en France par exemple, juste par le fait des naissances de « non poignardables dans des bals » bien supérieures à celles des « poignardables dans les bals » et ailleurs (comme encore hier, ces deux septuagénaires dans un centre commercial) ladite bascule est déjà garantie à court terme. 

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dimanche 19 novembre 2023

L’euro numérique arrive (VOUS AVIEZ RAISON D’AVOIR PEUR), Hidalgo, Gilets jaunes etc. (20/11/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/NVHyAamxSiQ

Bonjour !

Selon d’infâmes médisants, l’argent, c’est un peu comme Véran dans Gabriel Attal ou vice-versa (voire vice tout court) : ça va, ça vient. Sauf, pour les gilets jaunes : il y a exactement 5 ans, ils n’avaient rien et depuis, ils ont découvert le concept de « moins que rien », de sorte qu’il ne leur reste que leur œil pour pleurer, sans aucun mouvement social à qui passer la main (quand ils en ont encore une). Contrairement au véritable soldat inconnu, ce brave qui, quelque part, un jour, a pris la virginité d’Élisabeth Borne, leur sacrifice n’aura pas été inutile pour autant, car ils auront démontré, à l’instar de celles contre la réforme des retraites, que les manifestations qui ne se terminent pas avec une tête (ou autre organe ovoïde, façon corrida) sur une pique, c’est un peu comme essayer de faire honte à un violeur multirécidiviste sous OQTF et que l’union sacrée, sur des bases sociales, tout comme la théorie du ruissellement (certes liquide, mais chaud et ambré) est une vue de l’esprit.

Il en va autrement, de l’union, sur des bases forcément ethniques, de tous ceux qui n’ont pas un ailleurs où aller si le bateau coule, ce qui, avec un Macron qui, faute de mise au « poing », fait mumuse avec le gouvernail, les narines poudrées au vent, ne devrait plus tarder bien longtemps. Car lorsqu’on visionne les premières manifestations, c’était cela, à la base, l’essence (trop chère) du mouvement, factuellement et à 99%. Un miroir qu’il n’a pas voulu regarder, tant qu’il avait encore deux yeux, faisant qu’il a fini par perdre le NORD avant d’être complètement à l’OUEST et, alea jacta EST, ouvrir plein SUD ses flancs à une gauchiassisation progressive. Il s’en est suivi, dans un dernier soubresaut, la résignation épuisée et exsangue de ce qui restait de la France face au glorieux Frankistan des cosmopolites, tant du haut que du bas, ceux qui ont un autre passeport dans la poche, dans l’éventualité d’une collision frontale, contre l’iceberg de la réalité, d’un pays qui leur importe autant qu’un pèse-personne à Mathilde Panot. « Nos ancêtres les gaulois » et même les poilus de 14 (encore piétinés, cette année - au prétexte de n’avoir même pas lutté contre l’antisémitisme - quand Darmanin a honoré les seuls soldats circonscrits et circoncis de la Grande Guerre… à la grande mosquée de Paris) sont, pour eux, des concepts aussi flous que celui de chasteté pour Marlène Schiappa et du même registre que la petite sirène de Disney, version 2.0 tant qu’à faire.

Pour autant, même s’ils en ont de plus en plus ras le culte, mais pas encore assez pour retrouver la fierté d’embrasser ce qu’ils sont, les sédentaires seraient encore assez nombreux, comme le montrent tous les sondages, pour voter à contre-courant lors d’un référendum sur l’immigration si on leur posait la question gentiment. Macron les a entendus et a organisé les rencontres de Saint-Denis, appelées à trouver leur place dans les futurs livres « d’histoires » et où seuls étaient présents Bardella, les écolos et les communistes supposés, interdit de rire, trouver un compromis sur le sujet. On se demande ce qui a bien pu foirer, mais bon, il aura essayé, passons vite à autre chose.

Tandis que Lampedusa subit un tsunami migratoire encore plus important que celui qui avait fait toutes les unes, mais dont, cette fois-ci, nos médias « moyen-orient…és » ne nous parlent pas, et que des milliers d’enrichisseurs culturels prennent d’assaut les grilles de l’enclave espagnole de Ceuta, des femmes continueront donc à se faire violer, dans le hall de leur immeuble, en plein jour, par des gens qui considèrent nos rues comme des self-services parce que, les pauvres, n’ont pas les codes. C’est donc logique qu’ils attendent que leurs victimes aient composé le leur avant de les pousser et de les jeter à terre. Deux en une seule journée, par un même individu sous OQTF lequel, l’étant visiblement lui-même, ferait à n’en pas douter, une bonne recrue pour les métiers « en tension ».

La réponse cartésienne et rationnelle c’est, bien sûr, d’organiser des manifestations solennelles contre l’antisémitisme, au succès tristement relatif, au prétexte mesquin que ceux qui défilent devant, telle par exemple, Élisabeth Borne, qui annonce, imperturbable, entre deux 49-3, que la France a besoin d’immigration, continuent allègrement d’importer, par bateaux entiers, des gens plus sémitovores que philosémites.

Dans la même veine, la timide retouche orthographique de l’AME en AMU, proposée par le Sénat, ayant reçu une fin de non-recevoir macronienne, c’est donc encore 1 milliard (et des cacahuètes) qui n’ira pas auxdits gilets jaunes, déjà affectés par la réforme des retraites, une inflation à deux chiffres, une électricité hors de prix (sans raison valable), la diminution de l’assurance chômage et désormais le RSA sous conditions dans le contexte d’un déficit du commerce extérieur à chatouiller les fesses des kangourous australiens, tandis que, pour la première fois, les restaus du cœur annoncent qu’ils ne pourront pas servir tout le monde… en produits halal et sans viande de porc s’entend.

Mais, qu’on se rassure, pour d’autres, de l’argent il y en a, comme pour la maire de « Surmulot-City », Anne Hidalgo, partie trois semaines aux frais des contribuables ne pas visiter le site des compétitions de surf à Tahiti, une non-activité de laquelle elle a profité pour, incidemment, visiter sa fille Elsa, issue d’une rencontre « ino-pinée » avec un spermatozoïde que des malveillants attribuent à François Hollande, et qui, grâce à ses seuls mérites, s’acquitte, à 35 ans, de la lourde tâche de « chargée de mission sur les financements politiques en milieux marins », le tout dans un endroit paradisiaque et avec un salaire probablement, un chouia, supérieur au SMIC.

On apprend également que Macron, conscient des priorités, a mis un milliard sur la table pour rénover, entre autres, la station scientifique franco-italienne Concordia en antarctique et, en véritable négationniste du réchauffement climatique, pour construire un brise-glace au nom de Michel Rocard, probablement pour utiliser les avoirs de certains Russes, déjà gelés de toute façon.

Pendant ce temps, la Commission européenne avance à grands pas, sans consulter le Parlement, dans le processus de validation de l’identité électronique, couplée à un portefeuille digital qui fonctionnera grâce à la monnaie numérique, les trois aspects étant indissociables. Comment ça marche, me direz-vous ?

Grâce à une carte, portant un identifiant unique européen, vous suivront partout : vos documents d’identité, le permis de conduire (qui devra être validé périodiquement), votre passeport sanitaire, vos informations médicales, fiscales et j’en passe. Quoi que vous fassiez, vous pourrez être identifié de manière fiable, ce qui est supposé faciliter vos démarches dans toute l’Europe, ledit identifiant ne délivrant, à chaque administration, que les informations qui lui seront nécessaires, idem pour les prestataires privés. Un identifiant qui pourra donc être réclamé pour pouvoir s’inscrire, par exemple, sur les réseaux sociaux.

Il sera, par ailleurs, indispensable au fonctionnement du deuxième pan de la réforme : le wallet (ou portefeuille numérique) sur lequel l’état versera directement ses diverses prestations sans plus passer par la banque, votre carte identifiant pouvant alors servir de moyen de paiement. Mais, afin d’éviter les abus, elles seront versées en monnaie numérique, troisième pan de l’usine à gaz, dont la particularité est d’être programmable, de sorte que vous seul pourrez l’utiliser, seulement pour ce à quoi elle est destinée et uniquement pendant une durée définie, après quoi elle se dissoudra toute seule, façon fonds Marianne, et ce sera autant que l’état n’aura pas à payer.

Par exemple, connectée au terminal du supermarché qui liste déjà les produits par catégorie, votre carte ne permettra d’utiliser la prime de rentrée scolaire que pour l’achat d’articles en relation et tout ce qui ne sera pas dépensé dans le mois de ladite rentrée sera perdu, idem pour les allocations familiales qui ne pourront pas servir à acheter une télé grand écran ou un nouveau smartphone. De même, on pourrait, théoriquement, faire en sorte (on peut toujours rêver) que le RSA ou le minimum vieillesse soient uniquement dépensables sur le territoire Français, tout cela pouvant être dilaté à l’infini selon l’imagination de Bruno Le Maire.

En gros, si vous touchez quoi que ce soit de l’état, pour en bénéficier, il faudra consentir à ce qu’il sache absolument tout ce que vous en faites et combien de rouleaux de PQ vous utilisez, sachant, cerise sur raspberry « pie » numérique, qu’un discours de haine sur les réseaux sociaux pourrait, par exemple, être sanctionné par le blocage ou la désactivation de votre wallet. En ce qui concerne vos revenus traditionnels et ce que vous avez en banque, rien ne justifie que cela soit concerné par la monnaie numérique et ce n’est pas, POUR L’INSTANT à l’ordre du jour, d’autant que ça ne plairait pas à Bernard Arnaud et autre Bolloré, même si, la question pourrait vite se poser pour les salaires des fonctionnaires. C’est quand même l’état qui fait les chèques et, compte tenu de la facilité à créer de la monnaie numérique, laquelle, encore une fois, ne passe pas par les banques (lesquelles sont simplement habilitées à créer de la dette), la tentation pourrait être forte, d’autant que, en faisant miroiter une petite prime (en monnaie numérique), peu s’y opposeraient. En outre, le recours au wallet, moyennant une totale soumission, deviendrait incontournable si les banques se mettaient, allez savoir pourquoi, à faire faillite.

Donc, en résumé, nos élites se font dessus dans leur course effrénée contre un écroulement inéluctable et nettoient leur culotte au protocole des taches de fion avec toujours plus de contrôle, notamment des contrôles C et des contrôles V en matière d’information autorisée, ainsi qu’un contrôle « X » (pour ceux qui connaissent) concernant l’ex « Twitter », même si seul un contrôle Z (rien à voir avec Zorro, ni avec Zemmour) pourrait nous ramener à un peu de raison.

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lundi 13 novembre 2023

Êtes-vous atteint d’antisémitisme intermittent ? (13/11/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/yUjGmuspRzs

Bonjour ! 

Cette nuit j’ai rêvé que j’étais au lit avec Gal Gadot et Nathalie Portman. C’est ma façon à moi de lutter contre l’antisémitisme. J’étais tellement motivé à démarrer la phase active de ladite lutte que quand l’une des deux me fit remarquer que mon prépuce la mettait quelque peu mal à l’aise, sans hésiter une seconde, j’entrepris séance tenante de me circoncire avec les dents : l’antisémitisme ne passerait pas par moi. Mais patatras, telle la croissance calculée par l’INSEE face à la réalité, le temps d’un reflux gastrique consécutif à mon abus de cassoulet premier prix et les belles s’étaient métamorphosées en Yaël Braun-Pivet et Elisabeth Borne, l’une avec une bouteille d’un cru classé que j’eusse préférée dans sa main, l’autre avec une fumette que j’eusse préférée dans sa bouche et me proposant un 69-3. Comme je n’avais point d’ail sur moi, je plaçai mes doigts en croix… gammée qui plus est, ce qui est encore plus compliqué que l’autocirconcision, avant que de m’enfuir, en courant, par la fenêtre du septième étage, sans prendre la peine de l’ouvrir. 

Désemparé par cette rechute, autant que par la chute, me voilà qui déambulais dans la rue, remarquant à peine une publicité vantant le timbre-poste à l’effigie de la nouvelle Marianne à cocarde britannique choisie par Emmanuel Macron à l’issue d’une réflexion qu’on imagine aussi mûre que (dans mon rêve) Monsieur son épouse. Tout au plus fus-je vaguement interpellé quand l’allégorie de la république, aux traits déjà éloignés des idéaux de la Grèce antique, prit soudainement ceux de la graisse contemporaine sous la forme du visage de Raquel Garrido (tombée, à l’instar de Mathilde, dans le « Panot », d’une interprétation trop littérale du concept de « femme forte » à la France Insoumise), vision qui, toutefois, restait moins pire que la suggestion d’une femme un peu trans émise par Marlène Schiappa souhaitant visiblement que, comme elle, Marianne touche le fond à défaut du fonds à son nom. Une Raquel Garrido, suspendue pour 4 mois à quelque chose qu’on espère solide pour, en « gros », crime de lèse-mélenchonicité et manque de sensibilité aux petits gazaouis, non pas des oiseaux, mais tout court. 

Conscient, à ce niveau de delirium (très mince, lui) qu’il me fallait d’urgence consulter un médecin, j’avisai de chaque côté de la chaussée deux plaques qui se faisaient face : docteur Lévy et docteur l’amor. Comme après une chute de 7 étages, il était logique d’être entre Levy et l’amor, j’optai pour Levy. Après m’avoir ausculté, il me diagnostiqua, outre une grossophobie pathologique, ce qu’il appelait de « l’antisémitisme intermittent ». Je réalisai enfin pourquoi, chose qui m’avait toujours taraudé, j’aimais bien les films de Stanley Kubrick et pas ceux de Bernard-Henri Lévy. Devant mon angoisse palpable, il m’assura qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter et qu’il s’agissait probablement d’un effet secondaire, au demeurant bien répertorié, de la non-vaccination. 

Il ajouta que si je n’envisageais pas une carrière dans la politique ou dans les médias, tout ce que j’avais à faire était de patienter encore un peu, le temps qu’on importât 12 millions de musulmans supplémentaires. Je lui demandai en quoi cela allait guérir mon antisémitisme et il me répondit, tout en enfournant quatre passeports dans une grosse valise avant de me raccompagner vers la sortie, que ça ne le guérirait pas, mais que comme il n’y aurait plus de juifs en France, ça ne dérangerait plus personne. Comme je le suppliais de faire quelque chose, il finit par me conseiller, à travers la porte qu’il me claqua au nez avec une telle précipitation qu’il manqua d’y coincer le sien, de faire beaucoup de marche, arguant que c’était efficace contre l’antisémitisme. 

C’est en tout cas, me suis-je dit, en me réveillant (le pyjama rayé, acheté en soldes, trempé de sueur) ce que semblent penser Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher, même si d’aucuns verront dans leur marche un coup politique avec un petit p (sauf si Gérard a mangé épicé), un gros P étant, de toute façon, particulièrement malvenu compte tenu des circonstances et selon qui défilera derrière. Sauf à considérer que l’antisémitisme (lequel semble davantage préoccuper nos gouvernants que les inondations dans le Pas-de-Calais ou le fait que l’on interdit désormais les boîtes de camembert en bois) est un virus hybride organo-numérique qui s’attrape en regardant des vidéos non stérilisées sur Internet, ou en touchant un antisémite, il doit forcément avoir des causes, qu’elles soient fondées ou non, auxquelles il convient de s’attaquer si on veut le combattre. 

Comment se fait-il, par exemple, qu’on aime Einstein et pas Epstein ou Weinstein ? Est-ce seulement de l’antisémitisme intermittent, comme dans mon rêve, ou aurait-ce quelque chose à voir avec le comportement des uns et des autres ? L’esprit Spiderman (Stan Lee était juif) qui considère « qu’un grand pouvoir implique de grandes responsabilités » est en fait une denrée rare et certaines niches, comme la politique, le show-biz ou les médias, où se concentrent pouvoir, argent, notoriété et sexe facile, sans corrélation aucune avec un minimum syndical de transpiration non orgiaque, ont tendance à attirer les enfoirés, médiocres et fainéants de toutes races et de toutes religions aussi sûrement qu’un étron de végan bio dans des toilettes sèches, les insectes coprophages soucieux de l’environnement. 

Une des causes principales, en démocratie et sous leur forme actuelle, non seulement de l’antisémitisme, mais aussi de l’homophobie et, dans une moindre mesure, du racisme, c’est que, confrontés à leur « enfoiritude », certains ont pris l’habitude, quand ils commencent à être à court de mensonges, de sortir une carte magique de quelque endroit sordide de leur anatomie, en traitant leurs détracteurs qui d’antisémites, qui d’homophobes, qui de racistes, alors qu’ils sont simplement des anti-enfoirés lesquels, au départ, n’en ont rien à cirer de savoir si le pénis de celui qu’ils apostrophent est circoncis, d’une couleur assortie à son slip et encore moins dans quel orifice il aime à l’enfourner (même si, au passage, cela peut avoir une incidence momentanée sur ladite couleur). 

En période d’inflation, d’effondrement général et d’insécurité galopante, cela finit par énerver, d’autant que certains n’ont pas une, mais des cartes (rien à voir avec le philosophe), d’où un ressentiment qui finit par se déporter vers les gens ordinaires. C’est certes injuste, mais compréhensible quand les autres encartés, dans la vie civile, lesquels ne sont pas majoritairement des enfoirés et sont pourtant les premiers impactés par les conséquences de ces détournements, soit par apathie, par manque de conscience ou par solidarité mal placée, ne se distancient pas, ou très mollement de ces personnages, voire parfois les soutiennent, reproduisant le schéma des musulmans qui, pour ne pas avoir dénoncé en masse ce qu’on appelle à tort « l’islamisme » et ne pas s’être désolidarisés de certains, sont désormais tous assimilés par beaucoup, y compris par les médias (et surtout ces temps-ci), à une nuisance globale. Une nuisance à laquelle on tente d’amalgamer les Palestiniens, oubliant, comme en attestent les églises bombardées, que certains sont chrétiens, de la même façon que d’autres tentent d’amalgamer tous les Juifs à Netanyahu et son projet messianique. 

Comme il est compliqué de devenir juif, mais un « poil » plus simple (même si rasé c’est plus hygiénique) de se faire déconstiper de manière artisanale, il y a désormais pléthore de coming-out chez les enfoirés et autres ministres en recherche de jokers, notamment ceux qui, comme Véran (sentant monter les ennuis judiciaires post effets secondaires - qui n’existent pas - de la vaccination), ont désespérément besoin d’un statut de victime, d’où la fameuse romance avec Gabriel Attal qui n’est probablement que de l’enfumage. 

Dans un contexte d’affrontement des communautés, la raison voudrait que l’on marche contre les communautarismes et non qu’on en soutienne un, qui plus est en détournant la chose en approbation inconditionnelle d’une politique un brin génocidaire. D’autant qu’à force de récuser, avec des pincettes sur le nez, les gens considérés comme pas casher, à commencer par le RN, prêt à s’humilier pour participer à cette mascarade (sans par ailleurs consulter sa base, prouvant que ses dirigeants ne valent pas mieux que les autres) et réduit, à force de renoncements, à n’être plus qu’un parti antimusulman (comme si l’arrivée, par exemple, de 20 millions de catholiques du Congo, où l’on massacre allégrement sans que ça n’émeuve personne, ne poserait aucun problème), d’une démonstration se voulant d’unité, on est passé à une démonstration d’entre-soi et d’intolérance, ponctuée de heurts divers et destinée non pas à diminuer un antisémitisme à géométrie variable (d’autant plus que certains des marcheurs en vivent), mais à serrer un peu plus le couvercle de la cocotte-minute (avec tous les risques d’explosion afférents) pour éviter qu’il ne s’exprime et ne se voie. 

Un piège auquel même Macron a eu l’intelligence de ne pas se laisser prendre et, en dépit d’un itinéraire raccourci pour éviter une trop faible densité ainsi que d’un intense matraquage médiatique, une fois déduits les 3000 policiers et gendarmes, les politiques, les journalistes et les membres de la communauté, l’immense majorité des Français non plus. 

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dimanche 5 novembre 2023

ISRAËL mal barré, LINKY coquin, INSEE à la ramasse, HOLD-UPS Olympiques et autres catastrophes (06/11/2023)

Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/nhV7IhxhinQ

Bonjour ! 
À peine remis des 40 bébés décapités atteints, post-mortem, de la même photophobie infantile et adolescente que Brigitte Macron, voilà qu’on nous annonce de nouveau l’indicible : après des décennies de compte rond, un 6 000 001e Juif aurait été jeté dans un four ; un bébé qui plus est, non décapité, mais cuit vivant, thermostat 7 (on suppose sans préchauffage), un bout dudit four étant même (selon le témoin) resté collé au corps calciné, d’où l’intérêt des systèmes à pyrolyse si vous prévoyez un génocide. Je ne doute pas une seule seconde qu’il existe des individus capables de faire non seulement ça, mais pire. J’ai même entendu parler d’un pays où l’on avorte 230 000 bébés par an, qui est passé de la 3e à la 20e place européenne en matière de mortalité infantile et où on a injecté aux gamins survivants un produit expérimental, tout en les traumatisant avec des masques, au prétexte qu’ils pourraient tuer leurs grands-parents, tandis que des hommes en jupe venaient leur expliquer, dès la maternelle, que c’est bien de se stériliser en changeant de sexe, d’autant que faire des enfants qui émettent du CO2 et qui pètent, c’est mauvais pour la planète. 
 
Cette mithridatisation fait que je suis un peu moins sensible qu’Éric « Nolleau qui coule », lequel, confronté en direct à cette annonce, avec une pudeur qui l’honore, a presque réussi à retenir ses larmes. En outre (vide), mon empathie est « empathie » tempérée par le fait que, contrairement aux 6 000 000 de personnes qui ont précédé ledit bébé dans cette odieuse contribution au réchauffement climatique, si l’on en croit des responsables locaux, une partie de la presse et le fait qu’Einthoven a subrepticement supprimé ses tweets sur le sujet, il est possible qu’il ait plutôt été au moulin qu’au four, même si la chose impliquerait l’improbable existence, à la marge, de membres du peuple élu capables de mentir (peut-être les fameux nazis sans prépuce qui, selon Guillaume Meurice, auraient infiltré leurs rangs). 
 
Conditionné par son vieux réflexe, Israël a commis l’erreur de jouer, une fois de plus, la carte de la concurrence victimaire. Nonobstant l’apparition, sur les réseaux, de photos d’enfants martyrs palestiniens avec des mains à 6 doigts (rappelant qu’à l’ère des IA et de Bruno Le Maire, on ne peut absolument plus faire confiance à personne) même en grattant les fonds de tiroirs… de fours, devant la disproportion criante des morts et des souffrances du camp d’en face, c’est un jeu que, cette fois, il ne peut pas gagner. En tant qu’envahisseur qui sera contesté tant qu’il restera un primo-occupant en vie, ce qui exclut toute solution à deux états, sa seule option tactique (et son moment de vérité) aurait été de sidérer tout le monde, avant que le furoncle de la colère internationale n’ait eu le temps de mûrir, en effectuant immédiatement une frappe nucléaire sur Gaza, rejoignant la Corée du Nord dans la liste des pays aussi intouchables que Caroline Fourest par le membre d’un membre du patriarcat toxique, parce que prêts à se couper un bras et à crever avec leurs adversaires plutôt que de renoncer à ce qu’ils sont. Netanyahou y a probablement pensé, mais il a loupé sa fenêtre de tir. 
 
Le statu quo n’est plus possible non plus, car il n’était viable que grâce à l’épouvantail de l’appui indéfectible des États-Unis, appui à sens unique, aussi incompréhensible, pour le reste du monde, que le « en même temps » macronien et qu’on nous vend, outre le fait d’être aussi un pays d’envahisseurs mais qui a définitivement génocidé son problème, comme résultant de la fascination pour Israël des presbytériens et autres protestants américains dont, par ailleurs, le nombre s’amenuise avec l’arrivée massive d’hispaniques catholiques. En fait, il faut plutôt chercher l’explication du côté de l’arnaque mise en place par le puissant lobby sioniste qu’on appelle l’AIPAC, sans l’approbation duquel il est difficile d’être élu aux USA et qui, rien qu’en 2022, a appuyé, en échange du soutien à l’état hébreu, rien moins que 365 candidats, soit la majorité des républicains et des démocrates de la Chambre, troquant ainsi quelques millions pour les frais de campagne contre des milliards d’aide militaire, aux frais du contribuable américain. Mais ledit contribuable, de moins en moins dupe, commence massivement à tourner casaque, faisant que des politiciens, comme récemment Ocasio-Cortez, ne craignent plus de s’opposer ouvertement à l’AIPAC et, avec une armée US devenue « inclusive », technologiquement surclassée par la Russie, la Chine (et même l’Iran dans certains domaines), dirigée de surcroît par quelqu’un qui n’a plus l’électricité à tous les étages, l’épouvantail n’effraie plus grand monde. 
 
Il n’y a plus guère qu’en France où on fait encore le ratio, à coup de règle de trois et de loi Gayssot, en divisant la somme des mensonges par les 6 000 000 de fois où des descendants de Moïse ont dit la vérité sur les horreurs perpétrées par les nazis avec prépuce, leur laissant encore un peu de marge avant d’être décrédibilisés en tant qu’entité la plus mathématiquement digne de confiance de la planète. D’autant que, peu excités par la 15e rediffusion du film érotique mettant en scène Élisabeth Borne et un escargot, intitulé « 49-3 nuances de petit-gris », des parlementaires LR, plutôt que de se consacrer à des trucs inutiles comme faire tomber le gouvernement en votant une motion de censure, ont cerné les véritables enjeux et, dans la lignée de Kevin Bossuet qui propose que tout le monde porte la Kippa, ont déposé un projet de loi contre l’antisionisme, parce que sinon, dixit : « ça pourrait importer le conflit chez nous », ce qui revient à interdire de ne pas aimer Israël tout en continuant à importer en masse des gens qui ne l’aiment pas. Citoyen respectueux de la loi, je continuerai donc d’écouter religieusement Meyer Habib et BHL même s’il existe une poignée de gens encore plus mathématiquement crédibles… dans les bureaux de l’INSEE par exemple. 
 
Cet organisme, chargé de nous faire considérer, avec optimisme, que la bouteille est passée d’à moitié vide à 3,72% pleine, a subitement réalisé qu’en météorologie, le froid ressenti était supérieur au froid réel et en a donc conclu, au moment de publier les chiffres pour le troisième trimestre (ce n’est pas une blague), que le PIB ressenti pouvait-être plus élevé que le PIB réel lequel s’effondre, façon chaise Ikea sous Gérard Larcher, et ce bien qu’on y ait inclus le chiffre d’affaires de la drogue et de la prostitution, cette dernière étant durement affectée par la concurrence déloyale de toutes ces grand-mères qui se font violer gratuitement quasiment tous les jours. C’est ainsi que grâce à des concepts novateurs tel le « bien-être monétaire », mesuré en interrogeant des gens choisis au hasard avec la plus haute rigueur scientifique et un doigt mouillé avec juste ce qu’il faut d’eau distillée chimiquement pure, ce nouvel indicateur fait de la France le leader mondial en PIB ressenti, et il est vrai qu’en comparaison avec l’antérieur, mon ressenti « postérieur » est relativement profond. Un PIB ressenti d’autant plus élevé qu’on n’a pas reçu sa facture d’électricité. 
 
Mais le gouvernement a pensé à tout puisqu’il expérimente la possibilité, grâce au compteur Linky, tant décrié par d’infâmes complotistes, de diminuer la consommation en baissant la puissance dudit compteur à distance, au cas peu probable où l’électricité viendrait à manquer cet hiver au prétexte fallacieux que ledit gouvernement aurait mis la Russie à genoux (chose dont l’Ukraine nous remercie en refusant de renouveler l'accord de transit de gaz russe vers l'Europe), se serait fâché avec les pays producteurs de gaz et de pétrole du Golfe pour, entre autres macronneries, avoir soutenu inconditionnellement Israël (qui nous remercie en bombardant l’antenne de l’AFP et l’institut français à Gaza), aurait ruiné EDF, refusé de sortir de l’ARENH et sabordé notre production nucléaire. Reste la chaleur animale, raison probable pour laquelle Macron, qui pense loin, veut inscrire le droit à l’avortement dans la constitution. En d’autres termes, si vous êtes parti manifester pour le climat en laissant 2 radiateurs allumés et que le cumulus et le frigo s’enclenchent en même temps, même si vous payez un abonnement de 9 kWh, le compteur va disjoncter et, à votre retour, vos poissons rouges seront aussi morts que Matthew Perry, et votre grand-mère, sous respirateur artificiel, aussi. Merci qui, merci Linky. 
 
Pendant ce temps, n’en déplaise aux poutinolâtres, comme nous l’annoncent les médias depuis le début, l’Ukraine continue sa tactique consistant à faire semblant de perdre pour prendre la Russie par surprise lorsqu’elle s’y attendra le moins : idéalement une fois que ses chars seront à dix kilomètres de la frontière polonaise. Afin de maximiser ledit effet de surprise, une partie des armes, payées avec nos impôts, a même été confiée au Hamas pour laisser croire à une pénurie. Ledit Poutine, avec ses douze cancers médiatiques, son Alzheimer et ses problèmes cardiaques n’aura plus alors d’autre choix que de se réfugier en rampant dans son bunker. 
 
Un bunker qui fait, hélas, défaut autour du stade de France où, même si tout se passe très bien et qu’il n’y a aucune raison de s’inquiéter, après la délégation olympique et paralympique japonaise victime d’une attaque « à la diligence » à Saint-Denis, cette semaine, c’est au tour de la délégation olympique mongole de se faire détrousser et délester de 600 000€, ce qui fait que, pour l’instant, elle est médaille d’or dans cette nouvelle discipline. 
 
Les complotistes se sont également trompés sur le vaccin, tellement efficace que plus personne ne voit l’intérêt d’une dose supplémentaire, de sorte que Pfizer se retrouve dans le rouge et ce d’autant plus, qu’après évaporation, liée, on suppose, au réchauffement climatique, seulement 8,6 milliards étaient rentrés officiellement dans ses caisses. Confronté, depuis, à une chute vertigineuse de ses ventes, une faillite ne serait pas exclue. Heureusement que, contrairement aux produits pour déboucher le nez, les fameux vasoconstricteurs qui, comme les boas éponymes, après des décennies de délivrance sans ordonnance, sont subitement responsables de l’envolée des crises cardiaques et des embolies pulmonaires, les vaccins expérimentaux, eux, n’y sont strictement pour rien, car, sinon, en cas justement de faillite, ceux qui auraient pu être victimes des effets secondaires qui n’existent pas, voire, pour les plus subversifs, des effets secondaires de leurs effets secondaires, n’auraient alors plus d’interlocuteurs à qui demander de dédommagement. 
 
Toutefois, que lesdits complotistes se rassurent, sauf à ce que le bâtiment s’effondre suite à l’encastrement de deux avions dans deux autres immeubles quelques centaines de mètres plus loin, comme pour Enron, aucun risque que les mails avec Ursula et autres échanges avec nos dirigeants ne s’égarent durant le désordre consécutif à la liquidation éventuelle. 
 
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