Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/BWpfTJ6V088
Bonjour !
De temps à autre, au rythme de mes mouvements péristaltiques, il m’arrive d’avoir une pensée furtive pour Emmanuel Macron, laquelle, généralement, s’estompe avant que le réservoir de la cuvette ne soit de nouveau rempli. Je m’en tiens généralement là, sauf gastro-entérite carabinée ou battage médiatique intempestif comme ce week-end où, tel le chevalier « braillard », on nous l’a dépeint, montant seul à l’assaut des hordes paysannes avec pour tout rempart quelques maigres compagnies de CRS et de gendarmes mobiles, à peine autant de policiers en civil et seulement quelques dizaines de gardes du corps. Une épopée wagnérienne que l’histoire retiendra sous le nom de prise de la pastille… un peu dure à avaler du salon de l’agriculture. Quant à la sacrée paire que certains lui attribuent, pour avoir osé se présenter, elle se résume à Agnès Pannier-Runacher et Marc Fesneau qui pendaient mollement à ses côtés, tandis que quelques vaches flatulentes, cause principale, avec les Clio diesel, du réchauffement climatique, recevaient enfin la monnaie de leur pièce sous forme de gaz lacrymogène.
Tandis que les agriculteurs qui avaient eu l’outrecuidance de se rendre au salon de… l’agriculture étaient tenus à 30 mètres de distance, que le public était privé de quasiment une journée de visite du fait du prince et que les « macron démission » fusaient, pétris de l’idée optimiste que la notion de honte était universelle et pourrait décrocher jusqu’à un hypothétique morpion obèse collé à la Superglue sur un prolapsus hémorroïdaire de Gérard Larcher, Jupiterne a eu tout loisir d’expliquer à quelques figurants autorisés sa théorie selon laquelle, lorsqu’on a le boulet de l’Union européenne au pied et un plug anal ailleurs, la solution n’est pas d’enlever de façon rétrograde ledit boulet et le plug anal, mais d’apprendre à courir avec, jusqu’à être assez compétitif pour concurrencer ceux qui n’ont pas de boulet au pied et de plug anal aux fesses. Le concept est certes à peu près aussi intuitif que l’idée d’un suppositoire contre la migraine, mais il sait visiblement de quoi il parle, sauf peut-être en ce qui concerne le boulet, d’où sa propension au re-« fondement » perpétuel.
Tout en essayant de caser autant de fois que possible l’expression « je ne suis pas un lapin de 6 semaines », histoire de faire paysan et ce, avec le même effet qu’un pet dudit lapin sur une toile cirée à la propolis siliconée, il a démenti avoir sollicité les talpidés des soulèvements de la Terre pour participer à son grand débat, avorté façon Simone Veil sous stéroïdes, contacts pourtant confirmés par lesdits soulèvements de la Terre lesquels, pas intéressés n’ont pas dit « taupe »-là. Oubliant qu’on est au 21e siècle où les paroles restent et se propagent à la vitesse de la fibre optique, il a également tenté de nier avoir dit, en substance, que la faute de la situation des agriculteurs incombait au sans-dents de base qui préfère son abonnement à Netflix à une nourriture de qualité. Cela me fait penser aux récits de feu ma mère qui m’expliquait que pour oublier la faim qu’elle a connue dans sa jeunesse, elle allait parfois au cinéma, particulièrement bon marché à l’époque, diffusion de la propagande américaine oblige.
Netflix coûtant 10,99€ par mois, ce qui est déjà cher pour apprendre que Cléopâtre était noire et probablement lesbienne ascendant capricorne non genré, des esprits retors pourraient s’interroger quant à la pertinence, si les choses étaient aussi simples, de donner des milliards à l’Ukraine sans consulter personne plutôt que de payer Netflix à tous les pauvres afin qu’ils puissent sauver l’agriculture en mangeant bio. Mais peu nous chaut, car comme Macron a eu tout loisir de l’expliquer ensuite, tout est de la faute du Rassemblement National, soi-disant parti du FREXIT. Et pendant que quelqu’un ramassait au loin François Asselineau tombé à la renverse, on était bien forcés de reconnaître qu’un suicide tous les deux jours, simplement pour faire monter le score de Bardella aux européennes, relève quand même d’un certain degré de fanatisme.
Après ce fiasco sur toute la ligne… nasalement aspirée, quand notre agriculture sera décédée et qu’on bouffera des insectes et de la viande cultivée à partir de cellules anales de vaches kasher, Macron, qui ces temps-ci, a toujours le panthéon baissé, pourra toujours tenter de l’y faire entrer par quelque orifice béant… s’il reste de la place au rythme actuel d’une cérémonie par semaine ; d’autant que même si la plupart des récipiendaires, hasard des coïncidences, font partie d’autres communautés que la française, leur remigration ne pourrait se faire qu’en passant sur le corps défendant de Marine Le Pen laquelle vient de faire signer un document à l’AfD, par lequel cette dernière s’engage à renoncer à toute remigration d’Allemands non teutons, sous peine de rupture d’accord de coopération au niveau de leur groupe commun à l’assemblée européenne. Je vais tenter un « Tarzan, au secours ! » l’appel à Jane du papa n’ayant visiblement pas marché !
Un autre responsable de nos malheurs, c’est le Français pas encore misérable qui économise bêtement au lieu de donner ses sous à Bruno Le Maire lequel cherche désespérément 10 milliards à dilater et a déclaré vouloir prendre l’épargne qui dort pour, en substance, financer la guerre en Ukraine et mettre la Russie encore plus à genoux, tablant sur le décès de l’escroc Navalny dont le flambeau est repris par son épouse, sachant qu’à l’instar de Von Der Leyen (candidate au passage à sa propre succession), Madame « Navalny ne sut se… » retenir de se fendre d’un sanglot. S’il reste des sous, outre l’accueil de davantage d’enrichisseurs culturels, notre brave Bruno souhaite investir dans l’intelligence artificielle, enfin à la hauteur des enjeux du 21e siècle, puisque lorsqu’on lui demande de générer l’image d’un viking, d’un nazi ou de n’importe quel personnage historique, elle les fait ressembler, fort judicieusement, à Justin Trudeau déguisé en Omar SY tombé dans une boîte de cirage une nuit d’éclipse au fond du gouffre de Padirac, au point que Google a dû s’excuser devant le tollé provoqué par Gemini, sa nouvelle mouture, chez les forcément suprématistes blancs paradoxalement amateurs d’heures sombres.
On en oublierait presque la cérémonie des césars, ou plutôt des cléopâtres si l’on se fie au palmarès, illustration de l’oppression systémique par le patriarcat, tandis que les gentils migrants sous OQTF, que les mêmes ne dénoncent jamais, continuent les viols d’octogénaires ou les actes de barbarie comme ceux subis par cette habitante du 15e poussée chez elle par deux individus alors qu’elle ouvrait sa porte, avant d’être violée et lardée de coups de couteau, en même temps (comme aurait dit l’autre), probablement en raison d’une confusion quant à la notion de double pénétration par quelqu’un qui ne maîtrisait probablement pas les codes… ou les phares, n’étant visiblement pas une lumière.
Mais ne désespérons pas ! En attendant de bouffer des insectes entre deux coups de couteau le temps que se termine la troisième guerre mondiale qui nous pend au nez, nous avons la chance de vivre dans un monde où tout est possible et dans lequel, selon Xavier Poussard de « faits et documents » lequel, après des années d’enquête, disposerait à présent de suffisamment de preuves pour être affirmatif et risquer un procès, il suffit à un détourneur de mineur de 80 ans (d’où l’expression de Macron « dès demain on va au charbon ») d’enfiler, entre autres, une perruque et l’identité de sa sœur cadette pour se transformer en première dame d’un coup de braguette magique. Elle est pas belle la vie ?
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