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lundi 26 février 2024

Macron totalement humilié (26/02/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/BWpfTJ6V088

Bonjour ! 

De temps à autre, au rythme de mes mouvements péristaltiques, il m’arrive d’avoir une pensée furtive pour Emmanuel Macron, laquelle, généralement, s’estompe avant que le réservoir de la cuvette ne soit de nouveau rempli. Je m’en tiens généralement là, sauf gastro-entérite carabinée ou battage médiatique intempestif comme ce week-end où, tel le chevalier « braillard », on nous l’a dépeint, montant seul à l’assaut des hordes paysannes avec pour tout rempart quelques maigres compagnies de CRS et de gendarmes mobiles, à peine autant de policiers en civil et seulement quelques dizaines de gardes du corps. Une épopée wagnérienne que l’histoire retiendra sous le nom de prise de la pastille… un peu dure à avaler du salon de l’agriculture. Quant à la sacrée paire que certains lui attribuent, pour avoir osé se présenter, elle se résume à Agnès Pannier-Runacher et Marc Fesneau qui pendaient mollement à ses côtés, tandis que quelques vaches flatulentes, cause principale, avec les Clio diesel, du réchauffement climatique, recevaient enfin la monnaie de leur pièce sous forme de gaz lacrymogène. 

Tandis que les agriculteurs qui avaient eu l’outrecuidance de se rendre au salon de… l’agriculture étaient tenus à 30 mètres de distance, que le public était privé de quasiment une journée de visite du fait du prince et que les « macron démission » fusaient, pétris de l’idée optimiste que la notion de honte était universelle et pourrait décrocher jusqu’à un hypothétique morpion obèse collé à la Superglue sur un prolapsus hémorroïdaire de Gérard Larcher, Jupiterne a eu tout loisir d’expliquer à quelques figurants autorisés sa théorie selon laquelle, lorsqu’on a le boulet de l’Union européenne au pied et un plug anal ailleurs, la solution n’est pas d’enlever de façon rétrograde ledit boulet et le plug anal, mais d’apprendre à courir avec, jusqu’à être assez compétitif pour concurrencer ceux qui n’ont pas de boulet au pied et de plug anal aux fesses. Le concept est certes à peu près aussi intuitif que l’idée d’un suppositoire contre la migraine, mais il sait visiblement de quoi il parle, sauf peut-être en ce qui concerne le boulet, d’où sa propension au re-« fondement » perpétuel. 

Tout en essayant de caser autant de fois que possible l’expression « je ne suis pas un lapin de 6 semaines », histoire de faire paysan et ce, avec le même effet qu’un pet dudit lapin sur une toile cirée à la propolis siliconée, il a démenti avoir sollicité les talpidés des soulèvements de la Terre pour participer à son grand débat, avorté façon Simone Veil sous stéroïdes, contacts pourtant confirmés par lesdits soulèvements de la Terre lesquels, pas intéressés n’ont pas dit « taupe »-là. Oubliant qu’on est au 21e siècle où les paroles restent et se propagent à la vitesse de la fibre optique, il a également tenté de nier avoir dit, en substance, que la faute de la situation des agriculteurs incombait au sans-dents de base qui préfère son abonnement à Netflix à une nourriture de qualité. Cela me fait penser aux récits de feu ma mère qui m’expliquait que pour oublier la faim qu’elle a connue dans sa jeunesse, elle allait parfois au cinéma, particulièrement bon marché à l’époque, diffusion de la propagande américaine oblige. 

Netflix coûtant 10,99€ par mois, ce qui est déjà cher pour apprendre que Cléopâtre était noire et probablement lesbienne ascendant capricorne non genré, des esprits retors pourraient s’interroger quant à la pertinence, si les choses étaient aussi simples, de donner des milliards à l’Ukraine sans consulter personne plutôt que de payer Netflix à tous les pauvres afin qu’ils puissent sauver l’agriculture en mangeant bio. Mais peu nous chaut, car comme Macron a eu tout loisir de l’expliquer ensuite, tout est de la faute du Rassemblement National, soi-disant parti du FREXIT. Et pendant que quelqu’un ramassait au loin François Asselineau tombé à la renverse, on était bien forcés de reconnaître qu’un suicide tous les deux jours, simplement pour faire monter le score de Bardella aux européennes, relève quand même d’un certain degré de fanatisme. 

Après ce fiasco sur toute la ligne… nasalement aspirée, quand notre agriculture sera décédée et qu’on bouffera des insectes et de la viande cultivée à partir de cellules anales de vaches kasher, Macron, qui ces temps-ci, a toujours le panthéon baissé, pourra toujours tenter de l’y faire entrer par quelque orifice béant… s’il reste de la place au rythme actuel d’une cérémonie par semaine ; d’autant que même si la plupart des récipiendaires, hasard des coïncidences, font partie d’autres communautés que la française, leur remigration ne pourrait se faire qu’en passant sur le corps défendant de Marine Le Pen laquelle vient de faire signer un document à l’AfD, par lequel cette dernière s’engage à renoncer à toute remigration d’Allemands non teutons, sous peine de rupture d’accord de coopération au niveau de leur groupe commun à l’assemblée européenne. Je vais tenter un « Tarzan, au secours ! » l’appel à Jane du papa n’ayant visiblement pas marché ! 

Un autre responsable de nos malheurs, c’est le Français pas encore misérable qui économise bêtement au lieu de donner ses sous à Bruno Le Maire lequel cherche désespérément 10 milliards à dilater et a déclaré vouloir prendre l’épargne qui dort pour, en substance, financer la guerre en Ukraine et mettre la Russie encore plus à genoux, tablant sur le décès de l’escroc Navalny dont le flambeau est repris par son épouse, sachant qu’à l’instar de Von Der Leyen (candidate au passage à sa propre succession), Madame « Navalny ne sut se… » retenir de se fendre d’un sanglot. S’il reste des sous, outre l’accueil de davantage d’enrichisseurs culturels, notre brave Bruno souhaite investir dans l’intelligence artificielle, enfin à la hauteur des enjeux du 21e siècle, puisque lorsqu’on lui demande de générer l’image d’un viking, d’un nazi ou de n’importe quel personnage historique, elle les fait ressembler, fort judicieusement, à Justin Trudeau déguisé en Omar SY tombé dans une boîte de cirage une nuit d’éclipse au fond du gouffre de Padirac, au point que Google a dû s’excuser devant le tollé provoqué par Gemini, sa nouvelle mouture, chez les forcément suprématistes blancs paradoxalement amateurs d’heures sombres. 

On en oublierait presque la cérémonie des césars, ou plutôt des cléopâtres si l’on se fie au palmarès, illustration de l’oppression systémique par le patriarcat, tandis que les gentils migrants sous OQTF, que les mêmes ne dénoncent jamais, continuent les viols d’octogénaires ou les actes de barbarie comme ceux subis par cette habitante du 15e poussée chez elle par deux individus alors qu’elle ouvrait sa porte, avant d’être violée et lardée de coups de couteau, en même temps (comme aurait dit l’autre), probablement en raison d’une confusion quant à la notion de double pénétration par quelqu’un qui ne maîtrisait probablement pas les codes… ou les phares, n’étant visiblement pas une lumière. 

Mais ne désespérons pas ! En attendant de bouffer des insectes entre deux coups de couteau le temps que se termine la troisième guerre mondiale qui nous pend au nez, nous avons la chance de vivre dans un monde où tout est possible et dans lequel, selon Xavier Poussard de « faits et documents » lequel, après des années d’enquête, disposerait à présent de suffisamment de preuves pour être affirmatif et risquer un procès, il suffit à un détourneur de mineur de 80 ans (d’où l’expression de Macron « dès demain on va au charbon ») d’enfiler, entre autres, une perruque et l’identité de sa sœur cadette pour se transformer en première dame d’un coup de braguette magique. Elle est pas belle la vie ? 

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lundi 19 février 2024

L’état du PAYS en mode BRASSENS (chanson parodique) (19/02/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/3qr31CRDh_k


Texte :
Un jour l’Union européenne
En bon toutou des USA
À une offre très très malsaine
Acquiesça
Importer du bout de la terre
Sur de polluants gros rafiots
Force produits alimentaires
Déloyaux
Elle informa ses marionnettes
Ces vipères en notre sein
De la nature fort malhonnête
de ses desseins
Après l’industrie moribonde
Et son peuple en le remplaçant
Pour rayer la France du monde
Sus aux paysans


Quand Macron débitait son verbiage
En frôlant sa moumoute du doigt
Tous les gars en tracteur du village
Étaient las lalalalala
D’entendre ça lalalalala
Ursula avait le même message
Les tracteurs ça pollue, il faut pas
Énervant tous les gars du village
Qui tous fixaient le manche en bois
De leur fourche qui était là lala


Ya 50 milliards pour l’Ukraine
Du pognon pour les députés
Plus 300 € pour leur peine
Bien comptés
C’est 700 pour nos bon sénateurs
Les sextapes, boulot de romain
Surtout les actes masturbateurs
Sans les mains
Il y a des sous, pour BHL
Qui, c’est vrai, aux navets s’est mis
Et autres subventions à la pelle
Aux amis
Fond Marianne, import de migrants
Cours de drag queen pour enfants
Mais pour l’hôpital c’est flagrant
La bourse on défend


Quand Attal déhanchait son corps sage
Pour semer le doudoute sur son cas
Sur la paille étaient posées ses pages
Bien à plat lalalalala
Bien à plat lalalalala
Depuis que grâce à Bruno Le Maire
Quelque chose un jour se dilata
Nous goûtons tous à l’orange amère
Quand la note EDF nous envoie
10 milliards de bénéf ma foi


Censure en masse, sur Telegram
Même Cnews pour eux c’est déviant
Ils ont une guéguerre au programme
C’est criant
Quand des paysans se suicident
D’autres meurent, sur des brancards
Et on poignarde les ventres vides
Des smicards
C’est devenu comme à Mayotte
L’État capable de rien régler
A défaut de faire un sans fiotte
Acculé
Concentre ses forces de police
Sur les cons qui payent des impôts
Des fois qu’en eux l’idée s’immisce
De lui faire la peau


Yen a une qui rembourre son corsage
On a de gros doudoutes sur son chat
Toutes ces perruques c’est du gaspillage
Certains avancent le postulat
Qu’un iel est là lalalalala
Quand Macron débitait son verbiage
En frôlant sa moumoute du doigt
Tous les gars en tracteur du village
Étaient las lalalalala
D’entendre ça lalalalala
Même les ténias ça part tout seul, pas ce type là


dimanche 11 février 2024

Mauvaise semaine pour les mondialistes (11/02/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/R2JsDMpvprE

Bonjour ! 

Nicole Beloubet nouvelle ministre de l’Éducation Nationale ! Cela soulève des questions et, sans subtilités « ni colle », « Belle ou bête ? » est certainement la plus facile à laquelle répondre. Il faut bien reconnaître que sauf à se déguiser en gobelet de pop-corn, même coincée entre Gérard Depardieu et Gérard Miller dans une salle obscure projetant le film de 9h30 de Claude Lanzmann, boudé par à peu près 68 millions d’antisémites lors de sa récente diffusion sur France 2, ses chances d’attirer une main baladeuse aux abords de son string en dentelle (car c’est une grande optimiste) sont relativement modérées. Gageons qu’ils mettraient plutôt la main au « Pannier-Runacher » d’Agnès, laquelle, en tant que ministre déléguée à rien, vient compléter, avec la cousine de Laurence Ferrari (preuve supplémentaire qu’il n’y a aucune accointance entre les sphères politiques et médiatiques) la collection de bras cassés recrutés pour boucher les trous par trop dilatés d’un gouvernement pourtant resserré. 

À défaut de pouvoir postuler pour une sextape auprès des schtroumpfs à langue bleue du sénat, comme évoqué par le canard enchaîné qui avait aussi sorti l’info, en novembre, du sénateur drogueur de députée femelle, tout espoir n’est pas perdu pour Nicole puisque, comme quasiment chaque semaine désormais, on apprend qu’une arrière-grand-mère, cette fois de 91 ans (le record à battre, si je ne m’abuse, étant de 96), s’est culturellement fait enrichir la zone pelvienne par un potentiel mineur isolé de 34 printemps, visé, pure coïncidence (non amalgamante) par une OQTF. Probablement un grand romantique, inspiré par la belle idylle « trans »-générationnelle élyséenne, rampe de lancement du réarmement démographique. 

Pour rester dans les romantiques, quid de Gérard, précédemment évoqué, qui Miller de rien, est accusé de plus de 40 agressions sexuelles et viols sous hypnose sur de très jeunes femmes ? Chose qui, bizarrement, soulève beaucoup moins de réactions indignées qu’essentiellement les propos grivois et pincements de fesses qu’on reproche à Depardieu, s’agissant pourtant de deux hommes blancs de plus de 50 ans, nés la même année, les deux dans le showbiz, portant le même prénom et bénéficiant, théoriquement, de la même présomption d’innocence. Quand on voit ce que s’est pris, à l’époque, Adrien Quatennens pour une baffette, faisant que, paradoxalement, c’est quand il ne roucoule plus que le roux coule, ce n’est pas son appartenance à l’extrême gauche qui protège Miller. Vraiment, je ne vois pas, sinon à considérer que c’est son côté circon…spect. 

Histoire de me changer les idées, j’ai écouté l’interview de Vladimir Poutine par Tucker Carlson lequel, contrairement à Macron, a dû se contenter d’une toute petite table dont on pouvait faire le tour sans mobylette et ne nécessitant même pas un téléphone portable (dont incidemment, 600 000 sont volés chaque année dans l’hexagone) pour communiquer entre les deux interlocuteurs. Première déception, il n’a pas été question de la rétrogradation d’Oudéa Castéra aux sports et aux JO, de la bise velue de Meyer Habib (homme à « barbe laid » qui pique) à Jordan Bardella lors de l’hommage aux 42 citoyens israéliens, morts en Israël et qui, par l’effet de superposition quantique du concept mystérieux de double nationalité (qui fait qu’on peut être à la fois dedans et dehors de quelque chose) sont considérés comme Français, ou encore de la mort de l’infâme Badinter grâce auquel Nordahl Lelandais peut goûter aux joies de la paternité et qui, en nous privant du droit de tuer, nous a laissés sans solution contre les criminels avec (ou sans) OQTF. 

Un Badinterminable lequel rejoint au panthéon inversé républicain (qui encense, à grand renfort de larmes de crocodile obligatoires, tout ce qui tue la France) le traître Delors et (la répulsion à ôter la vie se cantonnant aux pauvres criminels incompris et non aux infects fœtus à forte teneur en CO2) la goule Simone Veil à laquelle on doit un déficit cumulé de 20 millions de Français avec lesquels l’immigration de masse n’aurait eu absolument aucun sens. Rien de tout cela donc, abordé par Poutine, donnant la vague impression que tout ce qui fait la une de notre théâtre médiatique franco-français revêt, en fait, l’importance d’une chiure de mouche anémique sur une bouse de diplodocus, sous laxatif à ARN messager et au sphincter aussi relaxé que… François Bayrou. 

Ce qui n’est pas sans évoquer Darmanin qui vient de « démayotter » la forte couche qu’il tient, en démarrant l’importation massive vers l’hexagone de migrants comoriens, répandant le contenu de ladite couche dans les campagnes françaises. Pour détourner l’attention de cet enrichissement azoté, dans une pure logique darmanienne, en attendant (après l’arrestation de 40 nationalistes pour s’être recueillis sur la tombe de Robert Brazillac au prétexte que 2 avaient des béquilles qui seraient des armes par destination) la dissolution inéluctable et en urgence, des scouts de France pour régler le problème de Mayotte ; de la même façon que l’on a entubé les agriculteurs, on annonce la suppression du droit du sol sur l’île (et seulement sur l’île, car pourquoi priver toute la France des joies de la submersion migratoire) par la promesse verbale d’une réforme de la constitution qui, sauf si elle sert de prétexte pour introduire un 3e mandat de Macron, aura lieu, on suppose, le 31 février 2040, jour de la Saint Glin Glin, patron des anus à forte élasticité. Mais je digresse. Revenons à l’interview. 

Pour être honnête, Poutine a roulé dans la farine détaxée ukrainienne le pauvre Carlson (qui, comme la plupart des Américains, faute d’en avoir une, n’a aucun sens de l’histoire, même s’il a un diplôme dans cette discipline) en déroulant pendant 20 longues minutes, de façon assez peu « orthodoxe », bien que pas très catholique, l’historique complet de 1000 ans de rapports russo-ukrainiens, en le détaillant presque jusqu’à l’étiquette « lavage à 30° » de la culotte de Vladimir le Grand, mais (probablement distrait par une mouche à propulsion hypersonique qui passait) en omettant juste l’Holodomor de 1932 quand Staline, lui aussi fan des comptes ronds, a fait sciemment mourir de faim 4 millions d’Ukrainiens. Un oubli purement accidentel à n’en point douter, qui lui a permis de dire, en gardant son sérieux et sans être contredit, qu’il ne comprenait pas pourquoi, ensuite, l’URSS s’était sentie obligée d’accorder une forme d’indépendance et des territoires supplémentaires à l’Ukraine, mais que, grosso modo, il s’agissait d’une belle et grande famille que rien ne séparait. 

Il a alors pu enchaîner, adhérant (indice qu’à terme ceux qui voient en lui un messie seront inévitablement déçus) au catéchisme de ses adversaires sur la nécessité d’éradiquer le mal absolu, lequel serait le nazisme, même si, de son propre aveu, le fait que les soi-disant nazis acceptent un Juif à leur tête avait de quoi laisser perplexe, pour conclure en expliquant incidemment, comment Hitler (un peu comme lui) a été forcé à la guerre par les « gentils », toujours sans que Carlson ait deux neurones qui se touchent. Un objectif d’éradication du moulin à vent du nazisme commodément impossible à quantifier dans l’espace et la durée, légitimé au motif que « tous les pays le combattent », ce qu’encore une fois, Tucker Carlson n’a pas relevé, alors que les USA les premiers, de par leur premier amendement, de même qu’une partie des BRICS, ne l’interdisent absolument pas. 

Pour le reste, même 10 Macrons enfilés façon bilboquet, ne lui arrivent pas au petit doigt du pied et ce qui a suivi a été parfaitement factuel, même si quelqu’un qui suit un peu l’actualité autrement que sur BFM, en confondant le vibromasseur et la télécommande, n’aura rien appris de nouveau concernant les magouilles de l’OTAN, les accords de Minsk, Boris Johnson envoyé en catastrophe en avril 2022 pour faire capoter l’accord de paix déjà présigné à Istanbul, ou le sabotage des gazoducs Nord Stream par le seul pays qui y avait « à la fois un intérêt et disposait des considérables moyens techniques et militaires nécessaires »… on aura tous reconnu le Lichtenstein. 

Mais pour l’Américain moyen, habitué à un président qui ressuscite Mitterrand, confond l’Égypte et le Mexique et ne sait plus ce qu’il a fait il y a 5 minutes, un type capable de raconter 1000 ans d’histoire de façon encyclopédique a quelque chose de fascinant. D’autant plus lorsqu’on a affaire à un individu qui tient un discours modéré et conciliant et qui parle de défense de la famille et de foi chrétienne alors qu’on le lui présentait comme un tyran sanguinaire. Le coup de grâce étant porté par la démonstration convaincante, exemples à la clé, que le président des États-Unis n’a aucun pouvoir véritable et que ce qui veut la guerre c’est le pouvoir profond (sans toutefois que soit évoqué l’éléphant dans la pièce, à bout de trompe plus ou moins intact, qui le compose). 

Autant dire que l’ensemble, visionné, sans compter les multiples copies et traductions, par 200 millions de personnes dans sa version anglaise, a fait l’effet d’une véritable bombe à fragmentation médiatique et ce, pile au moment où Biden essaie désespérément de faire voter des fonds pour continuer à alimenter en chair à canon ukrainienne une guerre perdue d’avance, détruisant au passage un des derniers pays blancs dont les hommes pourront ensuite être avantageusement remplacés par des enrichisseurs culturels dans une béate créolisation mélenchonienne qui conduit immanquablement au bonheur éternel et à la paix entre les peuples, amen ! 

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lundi 5 février 2024

Guerre civile au Texas, eaux de sources contaminées, agriculteurs b… (05/02/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/MYi4illgA5E

Bonjour ! 

Comme prévu, les agriculteurs l’ont eu dans le cul, au figuré bien sûr, pas au propre (relatif), ce qui, selon Gabriel An… Attal en fait des réfractaires au progrès, car dixit : « Être Français en 2024, c'est pouvoir être Premier ministre en assumant son homosexualité ». Une assertion « avec » fondement (et un peu « dans le ») concernant « putativement »… je dirais au moins 4 de ses prédécesseurs si on se penche « dans » les « annales » de la 5e république. 

Dans la foulée, notre fier hobbit de la communauté de l’anus, qui n’a pas encore perdu sa virginité 49-tri-alinéatoire a, paradoxalement, annoncé la suppression de l’ASS (les anglophones comprendront l’ironie) acronyme d’Allocation Spécifique de Solidarité, pour les chômeurs en fin de droits qui subiront, eux-aussi, une forme de « ré-insertion » qu’ils eussent préférée professionnelle, tout le monde ne pouvant fusionner les deux. 

En guise de vaseline, nos chers paysans ont eu droit à des larmes compatissantes de crocodile allergique aux graminées et à des promesses verbales faites avec des mots qui sortent de la bouche (c’eût pu être pire) dont 150 millions pour les éleveurs qui vont de mal en « pis ». Il n’en fallait pas plus aux traîtres de la FNSEA (Fourbes Nauséabonds Sans États d’Âme), laquelle selon une note des RG, reprise par Le Monde, exerçait en douce une pression sur les pouvoirs publics pour stopper les convois de tracteurs, pour siffler la fin du match, laissant Ségolène Royal, toujours un peu longue à la détente, ferrailler seule contre la manquedegoûtitude de la tomate bio espagnole. 

Il est vrai qu’à l’image de notre première dame (dont les photos sur l’article de Gala.fr relatives au dîner en Suède montrent des plis bizarres sur la jolie robe) les temps sont durs et que les êtres d’exception qui nous gouvernent ont déjà eu beaucoup de mal à trouver les 50 petits milliards de rien du tout que l’UE vient d’accorder à l’Ukraine en échange de rien, sachant que la France va en payer au moins 10, mais pas grâce au commerce extérieur puisque, si à la « grosse Commission » européenne les échanges de malles vont bien, selon les douanes, nos échanges de biens vont mal avec un déficit record de 110 milliards sur un an. 

Comme si ce n’était pas suffisant, dans un accès de folie altruiste, Bruno Le Maire qui nous avait promis 10% de hausse du prix de l’électricité (à cause de Poutine lequel, par quelque magie génuflexatoire, nous oblige, apparemment, à le dilater comme jamais sur le cours du gaz) a fini de vider les caisses en nous négociant, au dernier moment, un tarif préférentiel de « ouf » à 9,98% en tapant le code TULASENTBIEN. Il ne reste donc plus rien pour les agriculteurs qu’il convient désormais de diaboliser, le c*nnard déchaîné alertant déjà, dans ses colonnes, sur leur possible infiltration par les « fachos ». 

De toute façon, le siège de Paris ne pouvait que tourner court, ne serait-ce qu’en raison des énormes réserves de la capitale en surmulots protéinés même si la soif, elle, aurait pu finir par se faire sentir, plus personne ne voulant consommer l’eau de la Seine depuis qu’Hidalgo se baigne dedans. Par ailleurs, selon certaines « sources », il s’avère que Nestlé, Alma et probablement d’autres traitent les leurs en cachette depuis plusieurs années, et ce, avec l’aval du gouvernement, lui aussi « mouillé », trop de « liquide » étant en jeu. 

Le problème est surtout qu’ils ont été obligés de le faire pour masquer le fait que lesdites sources sont désormais irrémédiablement aussi contaminées que la main gauche de certains papier-toilettophobes un lendemain de coucous aux coliformes. Il est donc dangereux de consommer leur eau telle quelle sachant que si, à contrario, elle est osmosée, filtrée au charbon actif puis achevée aux ultra-violets autant purifier directement de l’eau du robinet (ce que certains ne se sont pas privés de faire en mélangeant allègrement les deux) ou recycler de l’urine bio d’écologiste, mais plus rien ne justifie alors de vendre 100 fois plus cher des eaux dites « minérales naturelles », qui ne sont plus ni l’une ni l’autre ce que, nul doute, ils vont pourtant continuer à faire, tablant sur la mémoire de poisson rouge « trépané » (en mode Findus) de consommateurs qui ont quand même voté Macron 2 fois. 

Dès lors, on comprend tout à fait pourquoi, exilé, après l’Inde, en Suède, le temps que les gueux retournent crever dans leur campagne, ce dernier a déclaré que « la première menace envers les démocraties européennes est la manipulation de l'information », même si ce n’est pas sympa de dénoncer ainsi Elisabeth Borne et Agnès Pannier-Runacher qui ont, certes, gardé le scandale sous le coude, mais qui ne sont plus au gouvernement pour se défendre. 

Notre virtuose des relations internationales aurait pu s’en tenir là, déjà tout auréolé sous les bras de ses succès en Afrique, avec, dernier développement, le Burkina Faso, le Niger et le Mali qui quittent ensemble la CEDEAO et bientôt le franc CFA. Mais, que Mélenchon se rassure, ils continuent généreusement à nous envoyer leurs ressortissants tel ce Malien, que la presse dit déséquilibré, c’est à dire marteau, à l’instar de celui qu’il a utilisé (en sus du traditionnel couteau) pour blesser 3 personnes, ce samedi, en gare de Lyon, gare où, il y a quelques jours, avant-goût des JO 2024, un autre individu en tenue de Séjourné pour sa nuit de noces (le tutu rose en moins), a déféqué ton sur ton, en pleine journée, au milieu du hall et jeté sur les voyageurs le fruit de ses entrailles en forme de militantes écologistes aspergeant la même chose (en version non encore digérée) sur l’immonde Joconde, responsable du réchauffement climatique et probablement nazie d’extrême droite, à en juger par son sourire en coin. 

Il aurait donc pu s’en tenir là, mais enivré par le fait que, pour une fois, il n’était pas tout seul au bout de l’immense table de 10 mètres, toujours depuis la Suède, entre le caviar de Kalix et le jarret de renne braisé, il est de nouveau entré dans l’histoire en faisant solennellement don de notre dissuasion nucléaire à l’Europe, tout seul, comme un grand, sans consulter personne. Un cadeau à sens unique, puisque non seulement il ne pourra pas annuler l’accord Mercosur, mais qu’il a fini par accepter l’Artificial Intelligence Act européen, faisant qu’alors que, par miracle, nous avons, depuis quelques mois, des startups leader en intelligence artificielle, comme, par exemple, Mistral AI qui taille des croupières au célèbre chat pétomane, ces dernières vont désormais devoir courir avec des boulets réglementaires aux pieds que n’auront pas leurs concurrents. 

Ces mêmes boulets enduits de moraline lubrifiante à deux balles que l’Union européenne, après avoir coulé notre industrie, notre automobile, notre système de santé et EDF, a mis aux chevilles de nos agriculteurs avec son idéologie poussant à éliminer les vaches parce qu’elles pètent, contrairement aux migrants, lesquels rejettent seulement de l’oxygène parfumé à la rose et qu’on se doit donc d’accueillir en nombre. Je passe sur l’augmentation du « sentiment » d’insécurité avec, selon les derniers chiffres officiels, plus de 1000 homicides et de 4000 tentatives d’homicide en 2023, dans un pays où, sachant que les plaintes sont seulement le sommet émergé du plug anal, on en dépose toutes les heures : 44 pour agression, 11 pour viol et agression sexuelle, 80 pour vol dont 7 avec violences, 25 pour cambriolages et 63 pour actes de vandalisme. 

Bref, si on ne veut pas que l’Union européenne nous tue, il faut tuer l’Union européenne ce qui sera plus facile si son modèle fédéral américain se déconstruit méthode Sandrine Rousseau, chose qui n’a jamais été aussi près d’arriver depuis la guerre civile avec les mêmes causes profondes qui n’ont jamais été l’abolition de l’esclavage. Devant l’inaction de l’État fédéral, le Texas a installé des barbelés et des barges flottantes à sa frontière avec le Mexique pour arrêter le flot continu des 2 millions de futurs électeurs démocrates qui traversent annuellement le Rio Grande jusqu’audit Texas, barbelés contre lesquels meurent déchiquetés de gentils envahisseurs, chose intolérable pour Biden qui a menacé d’envoyer ses troupes s’ils n’étaient pas enlevés, chacun s’arcboutant sur une interprétation différente de la constitution. Le gouverneur à l'Abbot (c'est son nom) de personne, a refusé, menaçant de faire sécession et a envoyé sa garde nationale pour protéger et renforcer lesdits barbelés, appuyée par celles d’autres états (dont une trentaine le soutiennent) ainsi que par des milliers de volontaires armés qui affluent de tout le pays avec des affiches « le paradis a des frontières, l’enfer est ouvert à tous », tout ce beau monde étant prêt à en découdre si nécessaire. 

Ce n’est pas mieux à l’extérieur où les bases militaires US, implantées sans demander la permission à personne, sont attaquées de partout, avec récemment trois soldats tués que, faute de pouvoir viser directement l’Iran, Biden essaie de venger en saupoudrant des bombes un peu partout au Moyen-Orient et sur les Houthis lesquels, à l’inverse de Moïse, essaient de fermer la Mer Rouge et de bloquer l’approvisionnement en matériel militaire d’Israël fort occupée à transformer la bande de Gaza en terrain de pétanque. Mais là aussi, ça sent mauvais comme une caisse d'houthis, sachant que ces derniers ont menacé de couper le câble optique sous-marin par lequel transite un pourcentage considérable du trafic Internet mondial et des lignes téléphoniques internationales. 

Si l’on ajoute les manifestations, notamment agricoles, qui, contrairement à la France, sont en train de s’intensifier dans toute l’Europe, l’édifice mondialiste est donc en train de se fissurer de partout. Pour autant, il ne faut jamais sous-estimer les pulsions suicidaires de l’occident comme en attestent ces milliers d’Allemands réclamant, à cor et à cri, d’être balayés par la sélection naturelle et qui manifestent, au nom de la démocratie, pour faire interdire ceux qui ne pensent pas comme eux, c’est-à-dire qui veulent survivre, en l’occurrence l’AFD qui a au moins le mérite d’offrir un débouché politique auxdites manifestations et de les stimuler. 

En France, en revanche, on a le choix entre le RN qui, grosso modo, campe (d’où l’intérêt d’avoir des tentes) sur la ligne de Georges Marchais des années 70, Reconquête, en pèlerinage intermittent sur le mur des Lamentations, qui se veut le RPR des années 80, et une nuée de partis souverainistes dont le gros nœud des têtes (et non l’inverse), quand il n’envoie pas des lettres enflammées ou des mails langoureux à quelque éphèbe ou ne se fait pas déconstiper à l’ancienne, faute d’avoir de l’honneur, de sorte qu’il peut, sans souci, se pavaner après, a sa petite fierté faisant que ses composantes ne sont pas foutues de s’unir pour saisir le fruit prêt à tomber tout seul dans leurs petits bras virils. 

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