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dimanche 29 septembre 2024

Philippine, Viols de Mazan, excitations à géométrie variable (30/09/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/rrPVo51C3n0

Bonjour !

Si l’on en croit les padamalgamistes, lesquels ne manquent pas d’air (contrairement à Philippine Le Noir de Carlan, probablement enterrée encore vivante, d’où la mort par « asphyxie »), il s’agirait là d’un banal féminicide imputable à un mélange délétère de masculinité toxique, de réchauffement climatique et de trottoirs pas assez larges. Le fait que ce probable viol, suivi d’un meurtre a été perpétré par un être à pouces opposables venu illégalement d’un autre continent, se trouvant, qui plus est, en état de récidive et sous OQTF ; par ailleurs fraîchement relâché dans la nature en connaissance de cause par UNE juge compatissante dont la loi, bien faite, interdit de donner le nom, ne soulèverait, selon eux, pas plus de questions que l’entrejambe de Brigitte Macron, sachant que, comme le dit la chanson de Charles TRENET : « qu’y a-t-il à l’intérieur d’une noix ? », a fortiori de deux. 
 
Une chanson, elle aussi en mode « mineur », mais bien accompagnée, contrairement à ceux, que, dans un accord majeur, lui, signé en 2020, le Maroc a accepté de reprendre. Las, l’administration judiciaire française, payée avec nos impôts, et saisie par des associations subventionnées s’est refusée à le mettre en œuvre, estimant que : « les structures d’accueil n’y sont pas adéquates » pour recevoir ces « chers » bambins à 50 000€ annuel par tête de narguilé aux frais de la collectivité. Ne s’agissant pas de réfugiés politiques, seul cas où leur bien être dans LEUR pays pourrait relever de notre responsabilité, en quoi est-ce notre problème ? À cela s’ajoute le fait qu’au cas particulier, ledit Maroc a bien accordé, à un jour près, le laissez-passer consulaire nécessaire à l’expulsion diarrhéique de ce répugnant étron qui n’avait pas encore tué Philippine Le Noir de Carlan lorsqu’il a été prématurément libéré par cette juge bonne poire… de lavement.
 
Autre argument vaseux, voire vase...line : le fait que nous ayons aussi nos propres délinquants, non seulement n’est pas une excuse, mais une raison supplémentaire pour ne pas en importer d’autres. D’autant que ces derniers semblent peu réceptifs à la méthode conventionnelle consistant à tendre l’autre joue pendant qu’on nous dilate quelque organe cher à Bruno Le Maire, mais en tapissant quand même le sol de menaçants petits nounours, de fleurs à épines et de bougies potentiellement incendiaires dans l’espoir de tenir les intrus à distance. Un modus operandi qui ne serait pas complet sans l’ingrédient principal : non seulement les condamnations, mais les condamnations fermes (c’est important), non pas des coupables, mais de la violence (des fois que nous nous décidions à l’utiliser pour nous défendre) par des politiciens ayant tronqué, à cette occasion, leur plug anal habituel pour un manche à balai de circonstance. J’aurais bien quelques propositions alternatives, mais elles ne correspondent pas aux valeurs de la République et partent du principe que tous les hommes ne sont pas égaux, sauf peut-être Brigitte.
 
En revanche, les mêmes n’hésitent pas à amalgamer, façon dentiste, toute la population masculine (contre laquelle ils ont une dent) au pervers de fond de cuve qui a drogué la mère de ses enfants pendant 10 ans pour l’offrir à d’autres homuncules influencés par l’image de femme-objet véhiculée par le porno que, du coup, ils sont frustrés de ne pas retrouver à la maison, d’où ce genre de raccourcis médicamenteux et l’explosion du candaulisme, autre conséquence de la castration collective de l’homme occidental. Un dossier qui, lui, pour le coup, est un simple fait divers sordide, par définition exceptionnel dans ses proportions (d’où sa résonance médiatique internationale) et sur lequel, comme sur tout (sauf les chambres à gaz), je m’interroge au vu de quelques « détails de l’histoire » qui chatouillent mon esprit complotiste.
 
Sans que cela minimalise la gravité de l’acte, force est de constater que le mari a utilisé, nous dit-on, non pas du GHB ou un somnifère, mais un anxiolytique, un choix plutôt curieux si la finalité avait été l'endormissement total de la victime, sauf à vraiment forcer la dose, auquel cas, au vu des risques encourus, la chose devrait être requalifiée en tentative d’homicide ou, à minima, en mise en danger de la vie d’autrui et, compte tenu de l’extrême addiction provoquée par ce médicament spécifique (selon le VIDAL), on aurait devant nous une loque humaine en état de manque et non pas la pimpante égérie souriante avec un faux air de Brigitte Macron, qui semble beaucoup apprécier l’attention et la célébrité. Il est à noter qu’une autre victime, épouse d’un disciple de Pélicot, a été abusée 11 fois avec ce procédé (contre au moins 80 pour la victime principale) et a témoigné s’être déjà réveillée durant les faits. Par ailleurs, ledit Pélicot avait pour pseudonyme « dompteur » sur les réseaux, ce qui, en l’absence de quelque chose d’au moins vaguement conscient à dompter, le placerait dans la hiérarchie juste en dessous du dompteur de puces savantes.
 
Il faut bien comprendre que, contrairement au cas de Philippine où on a affaire à un animal incapable de contrôler ses pulsions de domination (et qui donc, en toute logique, devrait être traité selon les protocoles appliqués aux animaux dangereux), le pervers, lui, ne se contente pas de juste dominer, mais il veut généralement provoquer le consentement de sa victime. C’est ainsi que le fantasme de certains homos est de convertir un hétéro (un peu comme P. Diddy avec Justin Bieber - là encore au moyen de substances chimiques - selon les rumeurs ), le fantasme des pédophiles, de faire aimer le sexe à des enfants prépubères et celui du système, de tendre vers l’androgynie en masculinisant le plaisir féminin, réduit à une simple stimulation mécanique de zones érogènes, à coup de sex-toys, de porno (encore) et de multiplication de partenaires, de sorte à supprimer ou rendre impossible l’investissement affectif indispensable non seulement à une sexualité féminine épanouie, mais véritable ciment de la société (injustement qualifiée de patriarcale) que ledit système aspire à détruire. 
 
Ça a marché sur nombre de féministes qui ne sont déjà plus des femmes à part entière et qui utilisent Gisèle Pélicot pour mener leur croisade, laquelle ne prendra fin qu’avec la castration complète de l’homme occidental, les laissant seules, tels des lapins devant les « phares » d’un véhicule électrique ayant parcouru moins de 200 km sans allumer le chauffage, face à des « (h)allogènes », eux aussi, mais imperméables à leur propagande.
 
Cela dit, j’ai suivi la chose de très loin et il se peut qu’il ait été établi que Gisèle Pélicot ne s’est effectivement jamais doutée de rien, qu’elle ne s’est jamais réveillée, qu’elle n’a jamais noté d’irritations suspectes, d’écoulements bizarres ou de douleurs hémorroïdaires et qu’elle n’a jamais perçu de signes avant-coureurs, comme, avant le mariage, des galipettes peu conventionnelles imposées à l’arrière d’une Simca 1000. Peu importe, dans tous les cas, son statut de victime est indiscutable, en revanche celui de sainte, a fortiori médiatique, est pour le moins suspect et j’ai du mal à discerner une auréole, à part peut-être sous les bras. Ne serait-ce que parce qu'elle se prête de bonne grâce au jeu de cette manipulation de masse éhontée, avec pour finalité, probablement quelque nouvelle loi débile imposant un acte notarié et 8 jours de préavis pour se livrer à une quelconque activité sexuelle, creusant encore un peu plus le fossé entre les sexes, fossé propice à susciter, justement, des fantasmes et comportements du type de celui qu’elle a subi. 
 
Si l’on combine tout cela à un nouveau record du nombre d’avortements (en hausse de 3,7%), le délitement ethnique ne peut que s’accélérer encore davantage, de même avec chaque Philippine tuée, qui ne donnera pas naissance à la famille nombreuse dont elle rêvait et sur le sort de laquelle, sauf erreur de ma part, pas plus que celles qui méprisent l’une, au point d’arracher des affiches à sa mémoire, et sanctifient l’autre, Gisèle Pélicot ne s’est pas exprimée.
 
Pendant qu’on amuse les foules avec ça, le taux d’intérêt sur les obligations françaises à cinq ans grimpe comme Darmanin sur une demandeuse de logement social, dépassant celui de la Grèce et actant que nous sommes virtuellement en faillite, mais prêts, néanmoins, à accueillir le million de Libanais qui tente de fuir le pays vers l’Europe en raison des frappes israéliennes, lesquelles continueront tous azimuts, avec le support des Américains, tant que les condamnations internationales ne se transformeront pas en intervention militaire.
 
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dimanche 22 septembre 2024

Ça y est, nous avons des ministres, téléphones qui pètent et autres news (23/09/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/AboovvsPu0w


Bonjour !
Je connaissais « Allah Akbar », je viens de découvrir « allô Akbar » version israélienne inversée du jihad, consistant à faire exploser des beepers, talkies-walkies, téléphones et tant qu’on y est, panneaux solaires, téléviseurs et probablement vibromasseurs connectés (tout court et à des « membres » du Hezbollah), même si ce dernier point ne sera jamais confirmé. Le nombre de décès, est plutôt faible, mais celui des blessés, souvent mutilés, est considérable, on ne saurait donc prétendre : « plus de beeper que de mal ».
 
Nonobstant l’extrême perversité de la chose et une tendance devenue coutumière à s’asseoir, en toute impunité, sur toutes les conventions internationales, ce qui reste, objectivement, un exploit technique et logistique de ceux qui n’en ont rien à foutre, si Macron, lui, plutôt « en aval », « en amont » cela a certainement demandé des années de préparation. L’intention était donc largement antérieure aux attaques du 7 octobre, confirmant, s’il en était besoin, qu’il n’y a pas de « gentils » dans cette histoire laquelle ne pourra finir que par l’éradication d’un des deux camps par des méthodes à l’empreinte carbone discutable.
 
Étant partisan du principe de non-ingérence et du droit inaliénable des peuples à se massacrer si ça leur fait plaisir, la seule chose qui m’empêche de reprendre des cacahuètes est le risque de 3e guerre mondiale et l’importation inéluctable du conflit sur notre territoire où les « deux parties » surplombées par quelque organe circoncis, si l’on compare au reste du monde (hors leur pays d’appartenance), sont, d’un point de vue purement statistique, exagérément représentées, sans que nul n’ait été préalablement consulté sur cet enrichissement modérément pécuniaire.
 
Pas certain que le durcissement de la législation sur le port du couteau récemment annoncé suffise à nous protéger. Un peu comme si, en son temps, la gracile Brigitte, laquelle entre, paraît-il, dans du 14 ans (je parle bien sûr de vêtements), avait puni toute sa classe par peur de désigner un élève en particulier. L’escroquerie républicaine des « doigts de l’homme » universel, lorsque suffisamment enfoncés, rendant impossible toute discrimination ethnique qui permettrait d’identifier les porteurs majoritairement concernés, et a fortiori l’admission du fait qu’un minimum d’homogénéité dans une population donnée est une des conditions à la cohésion sociale et nationale, cette proposition pathétique de nos gouvernants n’impactera que les pourfendeurs de camembert et autres égorgeurs de Justin Bridou, entreprise que la faillite menace, avec la fin de l’opinel, si elle ne commercialise pas rapidement du saucisson prétranché.
 
Les principaux concernés, eux, sont autant intimidés par une amende de 500€ et une inscription dans les tréfonds de leur casier judiciaire que Marlène Schiappa devant un micropénis, sans ses lunettes. Pour peu que des cerveaux, capables d’excellence en matière de pâte à tartiner, se mettent à réfléchir, on pourrait voir des attaques au tournevis, aux ciseaux, aux fourchettes, à la clef à molette, au cutter, sans même parler des endives surgelées susceptibles d’être des armes par destination et, quand tout sera interdit, on se rendra compte qu’il y a encore des gens qui, contrairement aux sans-dents, sont capables de mordre et qu’il faudra donc limiter la longueur des incisives à 15mm.
 
Mais soyons optimistes et communions tous ensemble dans l’ivresse du moment provoquée par l’abus de grand Barnier en nous réjouissant d’avoir enfin un gouvernement d’union nationale (du centre avec le milieu), même si son espérance de vie, qui n’a rien à voir avec celle de Séjourné (comme quoi, l’orthographe…) sera, elle, très courte. D’autant que le camouflage (passible d’une cour de justice) à coups de 49-3, du déficit réel par le tandem Macron - Lemaire et qui semble, à ce stade, dépasser non plus les 5, mais les 7%, laisse augurer d’une faillite prochaine, sauf augmentation drastique des impôts, rabotage des retraites ou massacre à la tronçonneuse des prestations sociales dont bénéficient tous ceux qui nous enrichissent de façon atypique, comme cette dame distraite qui a touché en 10 ans, depuis l’Algérie, 90 000€ de prestations sociales au nom de son père, dont elle n’avait probablement pas remarqué le décès. 
 
Dans le premier cas, c’est motion de censure, dans le second c’est infection « urnaire » assurée pour les LR et la macronie, la troisième option comportant, elle, un fort risque d’émeutes comme en Martinique, après Mayotte et la Nouvelle-Calédonie où, même si on n’en parle plus, la situation, à l’instar de Brigitte, n’a jamais été réglée et est toujours aussi critique avec encore 2 morts ces jours-ci.
 
Avec Rachida Dati à la culture, pour son grand « savoir », verbe dont elle maîtrise parfaitement la conjugaison à la première personne de l’imparfait du subjonctif, Lecornu qu’on eût préféré habillé, et après avoir dit a« men au Pannier »-Runacher, il faut se garder de tout optimisme dilaté, en dépit d’un Retailleau – « taïaut sur les migrants » et d’un casting général qui nous fait réaliser à quel point on avait fini par perdre l’habitude des anus monotâches et unidirectionnels au sein de l’exécutif. 
 
D’ailleurs les associations LGBT ne sont pas contentes, Barnier, à ma grande surprise, ayant passé le test Laurence Garnier, soutien de la manif pour tous, en l’imposant au gouvernement contre l’avis de Macron, même si ce n’est pas pour être en charge de la famille comme initialement prévu, car on n’est pas près de faire un jour des sacs à main avec des testicules centristes, faut pas pousser non plus.
 
Tout ce beau monde pro-UE (laquelle vient d'accorder 35 milliards de plus à l’Ukraine ponctionnés sur les avoirs gelés russes et continue de provoquer le très patient Poutine en demandant à ce que les armes à longue portée puissent viser des cibles sur son territoire), même s’il le voulait, n’a pas le pouvoir de changer les choses, mais pourra donner brièvement l’illusion de prendre l’escalier plutôt que l’ascenseur pour descendre au fond du gouffre, permettant à Macron (lequel, pour quelque raison mystérieuse, soit s’est identifié à un pois sauteur du Mexique, soit avait son plug anal piraté en direct par les israéliens, durant la cérémonie de clôture des jeux paralympiques) de grappiller encore un peu de temps au gouvernail du Titanic afin d’être sûr qu’on n’évite pas l’iceberg.
 
Sinon, hormis le fait que, de l’Ukraine au Liban, on n’a pas vu une telle escalade depuis la soirée romantique Attal-Séjourné au Palais d'Iéna, avec juste la tentative hebdomadaire d’assassinat de Donald Trump, ce fut une semaine plutôt banale.
 
Mon travail est entièrement bénévole, avec, par principe : pas de monétisation, ni de sponsoring ni de Tipeee. Cela me prend du temps et de l’énergie et, pour être honnête, après presque 9 ans à faire ça, je suis parfois découragé. À mon image déclinante, même si toutes les tranches d’âge sont représentées, une bonne partie d’entre vous était déjà largement sevrée lorsque l’homme n’a pas marché sur la lune et j’aimerais au moins que le nombre de nouveaux abonnés dépasse celui des décès hebdomadaires, seule façon d’accroître ma visibilité dans une période où YouTube ne met pas spécialement en avant ce type de contenu. 
 
Donc, si vous l’avez apprécié et si ce n’est pas déjà fait (auquel cas évitez de mourir), abonnez-vous ! C’est un petit clic (gratuit) pour vous, mais c’est vraiment, vraiment, un grand clic pour l’avenir de la chaîne. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


dimanche 15 septembre 2024

L’info qui pique : Bribri actrice, N. Rey condamnée, El Mordjene, spaceX, Delogu, Trump… (16/09/2024)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/qeYeGzGVrG4

Bonjour !
Il y a les croyances judiciairement obligatoires auxquelles donc, je crois, comme les chambres au fameux gaz B (zyklon de son petit nom), à ne pas confondre avec les chambres à gazA, de plus en plus difficiles à trouver. Également sacralisés depuis peu : les ovaires d’une certaine Brigitte, puisque deux femmes ayant supputé l’improbabilité de leur existence ont été condamnées pour diffamation, non pas sur ce point (et encore moins le G, introuvable au cas particulier), mais sur une technicalité concernant des allégations annexes relatives à des documents administratifs, confusion allègrement entretenue par les médias qui hurlent au négationnisme vaginal. 
 
Dans la même (pas de) veine, il y a aussi les croyances qui ne sont encore que médiatiquement obligatoires, en attendant de l’être juridiquement (c’est en cours), comme le réchauffement climatique asymptomatique que nous subissons actuellement, lequel fait suite à une sécheresse estivale asymptomatique. Probablement que les vaches sont asymptomatiquement et temporairement constipées par quelque pandémie virale pléonastique, autre croyance cyclique à laquelle on est priés d’adhérer sous peine de se faire « emmerder ». En tous les cas, ma foi en Greta Thunberg s’en est trouvée sérieusement ébranlée, d’autant que la donzelle est désormais adulte et en âge d’ébranler, elle aussi, des choses diverses, au point de se faire arrêter au Danemark pour avoir indirectement protesté, en demandant le boycott des universités israéliennes, contre l’impunité (conséquence de la croyance obligatoire à laquelle je crois) qui a mené au drame à Gaza. Comme quoi les croyances, parfois, se télescopent, un peu comme une féministe immigrationniste qui rencontre un couteau amalgamant aux convictions tranchées et tranchantes ou un LGBT islamophilie qui tombe littéralement de haut lorsque son aérodynamisme se voit testé depuis quelque toit d’immeuble par un taliban à l’esprit scientifique… 

Après, il y a les croyances qui ont un peu moins d’adeptes, comme la mise à genoux asymptomatique, elle aussi, de la Russie par Bruno le Maire, lequel a fait d’émouvants adieux à la vie politique, au cours desquels il a plaidé, c’est tout à son honneur, pour une modération des dépenses et ce, devant plus de mille personnes invitées à sa sauterie dilatée… aux frais des contribuables. Une autre croyance largement, elle, autorisée (dans le but d’y amalgamer tout scepticisme scientifique) et que je trouvais pourtant sympathique, voire intellectuellement stimulante lorsqu’il s’agissait de l’étayer, vient de prendre un sacré coup. En effet, contrairement à Brigitte (qui, au passage, a fait ses débuts d’actrice, pores no…tablement dilatés en gros plan, dans la série « Emily in Paris »), il semblerait qu’au bout du compte, la terre ne serait pas plate. 
 
En tout cas si l’on en croit les images de la première sortie spatiale privée de l’Histoire, réalisée par SpaceX à 700 Kilomètres de la Terre (juste en-dessous de la ceinture de Van Allen parce qu’il ne faut pas pousser non plus) et qui montrent, en effet, qu’elle est ronde… comme une crêpe, diront les derniers irréductibles ou ceux qui craignent qu’évoquer une boule, voire deux, puisse être considéré comme brigittophobe. En effet, ceux (paradoxalement qualifiés de « lunatiques ») qui doutent de la NASA et des gambades lunaires, n’ont, objectivement, pas davantage de raison de croire Elon Musk que j’aime bien, mais qui, outre ses accès privilégiés à l’intelligence artificielle, a des contrats avec ladite NASA et dont l’explosion de la valeur boursière des sociétés dépend des images qu’il nous vend, décrites par les médias comme « époustouflantes », mais qui, pour les avoir visionnées, n’ont rien d’impressionnant en elles-mêmes. Visiblement, il manquait, une fois de plus, quelques sous au budget pour embarquer une GoPro grand-angle et une perche à selfie, histoire de filmer l’environnement à 360 degrés.

Mais on lui pardonnera, car il soutient Donald Trump, grand défenseur des animaux, lequel s’est illustré sur ce thème, lors du débat qui l’opposait à la « dermatofluide » Kamala Harris laquelle, non seulement, selon un « whistle blower » d’ABC, aurait reçu à l’avance des « questions test » qui se sont avérées, par coïncidence, les mêmes que celles du débat, mais qui, en outre, arborait des boucles d’oreilles peu seyantes dont on trouve, en ligne, des répliques embarquant un récepteur audio. À l’occasion de cet échange, donc, ledit Donald Trump, systématiquement fact-checké par les animateurs (contrairement à son opposante), a lancé en substance, entre autres punchlines, que certains migrants aiment bien les animaux de compagnie, mais braisés. 
 
On trouve facilement des vidéos illustrant cet enrichissement culturel culinaire, certains nouveaux arrivants semblant, en effet, récalcitrants à l’idée de bouffer de la farine d’insectes déguisée en chips, comme tout pauvre déjà domestiqué qui se respecte. Ceci dit, on pourrait faire un petit effort au nom du « vivre-ensemble », feu mon grand-père maternel, par exemple, ayant déjà mangé du chat pendant la guerre, persuadé que c’était du lapin, jusqu’à ce que son hôte, hilare, lui amène la tête de l’animal à la fin du repas. O tempora, o mores, mais encore quelques années de Macron (qui lui n’est pas concerné, car il n’a pas de chat et sa femme non plus) et faute de pain, et de pouvoir trouver des brioches autres que virtuelles en 3D, pour ma part, je n’exclus rien, pas même le cannibalisme, Gérard Larcher ou Ersilia Soudais à eux seuls pouvant sustenter pas mal de monde.
 
Toujours est-il que, peu importe la raison, la lassitude face à l’immigration croît dans le monde entier, jusqu’à l’Allemagne qui rétablit ses contrôles aux frontières extérieures et aux Pays-Bas qui annoncent les loi anti-immigration les plus dures depuis leur création ainsi que leur intention de se retirer des accords sur le droit d’asile européen et de la réglementation sur les migrations. La Suède, elle, en est déjà à l’étape de la remigration, mais en douceur avec une aide au retour de 30.000 € qu’elle peut se permettre n’ayant connu ni Mozart de la finance (lequel vient encore de cramer 5 millions d’euros pour sa parade post-olympique sur les champs Élysées de ce samedi), ni Bruno le dilaté. Le facétieux Victor Orban, quant à lui, se contente d’envoyer ses migrants par bus en aller simple jusqu’à Bruxelles, ce qui n’a guère l’heur de plaire à la Commission européenne, plutôt « grosse commission » pour le coup, si l’on s’en réfère au caca nerveux que la chose a provoqué chez des gens d’ordinaire plus réceptifs à l’accueil… mais par les autres. 

Nonobstant, dans la France des droits de l’homme avant ceux du citoyen, le kärcher kasher, car cher, jamais déballé par Sarkozy, prend l’humidité dans les caves de l’Élysée, sans que les conséquences de cette générosité n’effraient personne, en dépit de l’exemple de l’Italie où Matteo Salvini risque 6 ans de prison pour avoir empêché 147 migrants a flottabilité modérée d’accoster en 2019 alors qu’en parallèle, la perspective d’une retraite à 70 ans est ouvertement évoquée (plutôt que de la plafonner à, par exemple, 4 fois le SMIC, ce qui n’est déjà pas si mal, chose que, bizarrement, personne ne propose jamais). 

Il ne faudra pas compter sur LFI en perdition pour redresser la barre, car après les déclarations de Mélenchon, lequel demande à ses militants de se focaliser sur les banlieues immigrées et la jeunesse en laissant tomber le reste, l’épaisseur intellectuelle de ses représentants est apparue dans toute sa splendeur lors de la prestation en commission de « l’âne alpha bête », Sébastien Delogu qui, à lui seul, semble responsable de la perte de plusieurs places au classement PISA tant en lecture qu’en calcul et vient d’enfoncer le clou en reconnaissant fièrement à la radio qu’il ne savait pas qui était le Maréchal Pétain (et a fortiori Doriot) ce qui ne l’empêchait pas d’être contre. 
 
Les gens qui ont voté pour ce type ne peuvent pas aimer la France, en revanche ils pourraient aimer « El Mordjene », le Nutella algérien, autre spécialité du pays (en sus des boxeuses à chromosome Y) qui, hélas, après une ruée vers le diabète sur les réseaux sociaux, faute de répondre aux normes sanitaires européennes en matière de produits laitiers, voit les dernières cargaisons de cette pâte à tartiner, couleur moutarde après digestion, bloquées à l'entrée de plusieurs ports européens.
 
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dimanche 8 septembre 2024

La gauche manifeste, Macron s’en fout, Barnier et les autres news de la semaine… (09/09/2024)


 Transcription de ma vidéo sur YouTube :  https://youtu.be/A0GdYMb9-1Q


 
Bonjour !
Ça y est, habemus pas pam sur les fesses, mais plutôt pile entre les deux, sous forme d’un Premier ministre centriste. Les gens commençaient à prendre la « mouche », mais Macron a encore réussi à gagner du « taon » : rira bien qui rira le Barnier. C’est d’ailleurs tout ce qu’il fait depuis son arrivée au pouvoir : se maintenir de 3 mois en 3 mois, crise après crise, sachant que chaque minute qu’il y passe empire la fistule anale collective. 
 
Le temps que se dégonfle le nouveau concept de « nouveauté éculée » incarnée par le cacochyme « bar niais » qu’il a réussi à pêcher, en remplacement de la nouveauté précédente finissant elle aussi par « culée » (fièrement incarnée profond par son prédécesseur), il faudra compter environ 3 mois aussi stériles qu’une abondance de chromosomes Y dans un couple présidentiel. Après c’est la trêve des confiseurs, ensuite on fera semblant de consulter les 3 tiers de l’assemblée, incapables de tomber d’accord sur quelque sujet secondaire que ce soit, puis une fois dans l’impasse et les « bars, niés » jusque-là, de la pression qui monte, ne pouvant plus l’être, il ne restera que 3 mois avant une probable nouvelle dissolution, faisant qu’on attendra patiemment. 
 
L’échéance arrivée, Macron prendra tout son temps pour dissoudre, histoire de gagner encore quelques mois, puis il y aura, éventuellement, les élections, on mettra de la proportionnelle pour éviter qu’une majorité claire ne se dégage, on perdra encore 3 mois à former un gouvernement, puis les présidentielles seront dans le viseur, de sorte que ce ne sera plus techniquement la peine de tirer la chasse en entamant une procédure de destitution. 
 
Entre-temps, la France, en déficit hors de contrôle, après un court délai de grâce, obtenu à grand renfort de publicité par leur copain Barnier, sera saignée à blanc par les instances européennes et - à l’exception (en tout cas, on l’espère) de ceux récemment exposés par la Première dame – sera contrainte de vendre ses bijoux de famille à la grecque : mission accomplie, donc, pour le pantin élyséen qui a été placé là pour ça.
 
Un saccage réalisé au nez et à la barbe des oppositions en carton, à commencer par le RN qui, en ne censurant pas, ce qui obligerait Macron à la démission, fait passer, avant l’intérêt immédiat du pays, ses ambitions pour 2027 ; ambitions, à mon avis, optimistes, la situation désespérée exigeant alors un peu plus qu’une femme à chats (dont au moins un ménopausé), sans ossature idéologique et affublée d’une cohorte d’individus évoquant par trop des lego lorsqu’ils se mettent en file indienne. 
 
Un alignement qui n’est pas sans évoquer la France Insoumise dont les hémorroïdes ont également été mises à rude épreuve, expliquant probablement que le sang vient à manquer dans un cerveau dont les synapses se « Mélenchon » centre, au point de croire qu’elle a gagné l’élection et que mobiliser 0,4% de la population, soit tout juste un doublement de la masse de Mathilde Panot, fraction qui a d’ailleurs voté Macron comme un seul homme et recommencera dès qu’on lui mettra une petite moustache et une frange sous le nez, aura une efficacité quelconque sur celui qui la leur a, pour la énième fois, mis profond et est notoirement réceptif aux marches saturnales d’un point A à un point B (ou G pour les féministes), méthode, certes, éprouvée pour sauver la météo, mais moins efficace sans ces danses de la pluie qui font toute la différence. 
 
À la décharge de LFI, elle n’a pas le monopole de la connerie puisque la gauche israélienne fait exactement la même chose pour protester contre Netanyahou avec tout autant d’efficacité.

Toujours est-il que Barnier, européiste convaincu qui ne contrariera pas les accords de libre-échange Mercosur, lesquels, en dépit des promesses élyséennes à des agriculteurs assez naïfs pour croire encore en la FNSEA, seront, on vient de l’apprendre, finalisés d’ici à la fin de l’année, a pris comme directeur de WC Jérôme Fournel, précédemment directeur de cabinet de l’amateur de trucs dilatés à col roulé qui a mis la Russie à genoux, le même Jérôme Fournel qui a aidé Darmanin à éviter au PSG de payer des dizaines de millions d’euros de taxes sur le transfert Neymar au détriment du Trésor public. C’est sûr que les choses vont changer. 
 
Il semble déjà, par exemple, que les viols deviennent has been, les pénétrations se faisant, à présent, à coups de couteau, en cas de refus raciste, de femmes croisées dans la rue, d’ouvrir à la demande leur entre-jambes à l’enrichissement culturel. Pour ce seul samedi, déjà 3 cas répertoriés sur Fdesouche, site loin d’être exhaustif, et perpétrés par des individus de « type africain » selon la presse, parce que préciser « noir avec de grosses narines » serait raciste et plagierait Michel Leeb. Un des individus, amateur, tout comme Hitler, mais en plus modeste, de comptes ronds, ayant poignardé seulement 10 fois sa victime, laquelle n’a, hélas, pas eu le temps de lui préciser si, oui ou non, elle avait voté Mélenchon ou avait un panneau « migrants welcome » quelque part au fond d’un tiroir, ce qui, j’en suis sûr, aurait fait toute la différence.
 
En Allemagne, en revanche il semblerait que, peu à peu, on prenne conscience du problème avec non seulement l’AfD réalisant des scores considérables dans deux Länder (même si un recompte opportun, a permis de lui retirer un représentant, de sorte qu’elle n’ait plus une minorité de blocage), mais aussi du parti de gauche anti-immigration de Sahra Wagenknecht arrivé en 3e position, mais qui, malheureusement, la gauche étant la gauche, vient d’annoncer sur ZDF qu’elle ne s’alliera pas avec les premiers, perdant ainsi son principal levier de négociation face à la coalition hétéroclite de castors dont le barrage se fissure de partout et avec laquelle elle aspire à se compromettre plutôt que d’accoler son socialisme au nationalisme… allez savoir pourquoi.

Sinon, les Ukrainiens ont enfin reçu quelques F16 et ils en ont abattu un par erreur (pas grave, c’est nous qui payons), les Russes, pendant ce temps, avancent doucement, mais sûrement ; aux USA le temps est suspendu en attendant le débat Trump - Harris du 10 septembre et, en France, une épidémie de mégots fait que les églises flambent les unes après les autres, non qu’on les utilise beaucoup depuis qu’elles promeuvent une idéologie suicidaire, mais elles font partie de notre héritage culturel qu’on aimerait bien conserver, de même que les vitraux de Notre-Dame, patiente zéro de ladite épidémie nicotinée, et miraculeusement intacts que, contre l’avis de tous et en violation de la Charte de Venise de 1964, Macron s’obstine à vouloir remplacer à grands frais par des merdes modernes, probablement ornées de quelque Schtroumpf bleu dénudé façon cérémonie d’ouverture des JO. Merci les castors.

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dimanche 1 septembre 2024

ACTU EXPRESS Hebdomadaire : Rubrique des gendarmes écrasés et le reste… (02/09/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/WRA0Ptu1wno


 Bonjour !
Il y a 2 chemins mentaux, une « biroute » dirait notre première dame (dont le statut n’existe pas et la statue serait par trop révélatrice), dans l’appréhension du rôle des forces de l’ordre, et ce, parce que, oscillant entre le plug anal et le suppositoire, elles remplissent désormais, en plus des sphincters de contribuables, des fonctions contradictoires. D’un côté on a la perception « ACAB » accablante (All Cops Are Bastards) du gauchiste rabique qui focalise sur l’aspect répression (laquelle pourtant lui est rarement appliquée), de l’autre la quasi-vénération du nationaliste frileux qui lui, focalise sur l’aspect protecteur (dont il bénéficie tout aussi rarement). 
 
Pour ma part, mithridatisé par une actualité saturée de faits divers, de sorte qu’ils ne coupent plus l’appétit à personne, quand un gendarme décède « en service », comme cette semaine, ça ne m’empêche plus de reprendre des frites, mais la quantité dépend fortement de savoir « en service »… de qui ? En gros, chassait-il le loup ou le mouton au moment du drame ? 
 
Il me semble évident que les forces dites « de l’ordre », comme leur nom l’indique, sont avant tout des chiens de berger chargés, en l’occurrence par Macron (qui leur offre en échange le Brigitte et le couvert), d’empêcher le troupeau de bouger, y compris et surtout pour de bonnes raisons, et ce jusqu’à la tonte et l’intromission du fameux bâton rendu célèbre par Justin Bridou et surnuméraire à l’Élysée. 
 
Dans une société fonctionnelle, c’est-à-dire homogène et pacifique, dans laquelle le berger n’est pas aussi équarrisseur, ils participent de la cohésion sociale de par leur rôle de « police étendue » (sans crème liftante) lorsqu’ils protègent des rares loups qui rôdent, écartent de la société les individus déviants, font partie des primo-arrivants en cas d’accident de la route, effectuent des rondes nocturnes, assurent la sécurité d’évènements et bien d’autres choses encore qui font que la gendarmerie, notamment, constituée de militaires taillables et corvéables à merci, est relativement appréciée en zone rurale, nul n’ayant oublié Arnaud Beltrame. En quelque sorte, la tonte régulière par le racket routier est compensée par la protection contre le loup, compromis acceptable pour la plupart des moutons. 
 
Malheureusement, comme en atteste le recrutement de plus en plus de gendarmettes et policières morphologiquement et psychologiquement peu équipées pour lutter contre les gros prédateurs, l’orientation générale est moins à tirer « à » la chasse audit loup qu’à tirer « la chasse » tout court sur les attentes des moutons, maintenus de force dans leur géhenne migratoire, à coup de gégène contraventionnelle (dont on sait que quand il y en a, il n’y a pas de plaisir) faute de pouvoir utiliser la vraie par déficit chronique (hors certains individus à perruque) d’éléments vaguement sphériques auxquels accrocher les pinces.
 
Contrairement au chasseur ou à DSK, il y a une différence entre le bon et le mauvais chien de berger. Le bon chien de berger, lorsque le loup survient, lâche la grappe aux moutons et se focalise sur le danger jusqu’à ce qu’il n’en soit plus un. Le mauvais chien de berger ignore le loup et mord les moutons en panique pour les obliger à rester en place. Je ne jette pas la pierre aux gendarmes et policiers. Contrairement aux castors, dont un dernier sondage rectal, dilaté au-delà des fantasmes les plus fous de Bruno Lemaire, nous apprend qu’une bonne partie d’entre eux regrette son choix et, à défaut de doigts, s’en mord convulsivement la queue plate, nombre d’entre eux vote RN, déplore la situation et rêve de recevoir enfin les ordres adéquats pour s’attaquer aux hordes de loups qui nous envahissent ou sont nés de loups plus ou moins acclimatés sur notre territoire. 
 
Las, force est de constater, et le courageux discours de la veuve du gendarme décédé, appuie là où ça fait mal, que nous ne sommes plus dans une société fonctionnelle et que ces ordres n’arriveront jamais, le Pape lui-même venant de déclarer que c’était un péché que de repousser les migrants. D’ailleurs, cette brave dame a été attaquée sur les réseaux sociaux, comme tout ce qui semble aryen, par ceux qui REs-semblent à rien (nuance), lesquels n’ont pas hésité à la traiter de faf simplement pour n’avoir pas courbé l’échine. Toujours est-il que le pouvoir en place a délibérément choisi d’ignorer les loups, de renforcer la répression sur les ovins, et d’utiliser les canidés en uniforme pour se protéger des quelques moutons enragés qui pourraient faire mine de se révolter, chose devenue évidente depuis l’épisode des gilets jaunes durant lequel l’aspect, non plus régulateur, mais carrément répressif, des forces de l’ordre est apparu à beaucoup, détruisant irrémédiablement à coups de matraque pédagogiques, le lien de confiance tissé au fil des décennies. 
 
La situation empirant de façon exponentielle, la répression moutonnière ne va faire que s’accroître en même temps que le laxisme vis-à-vis des loups (comparaison juste pour la métaphore, leur comportement se rapprochant davantage de celui des hyènes) et lorsqu’il y a trop de loups, les chiens de berger, eux aussi, finissent par être ajoutés au menu comme des moutons ordinaires. De plus en plus de gendarmes et policiers, « hors service », étant reconnus et mis dans le même état par des individus aux caractéristiques par trop amalgamantes pour que les médias estiment nécessaire de les évoquer.
 
Donc, pour revenir à mon interrogation : est-ce que le gendarme chassait le loup ou le mouton ? 
 
Le policier qui a tiré sur Nahel, par exemple, chassait visiblement le loup puisqu’il était préparé au pire, en revanche un gendarme qui se met au milieu de la chaussée en tablant sur le fait que l’automobiliste va obtempérer, ce qui ne fonctionne qu’avec les moutons, était donc, au moins dans sa tête, à la chasse à l’ovin dans l’espoir, on imagine, de remplir rapidement son quota de PV, obligation du chiffre imposée par l’immonde Sarkozy, afin de pouvoir rentrer chez lui, et ce, sans se soucier des situations dramatiques qu’une amende, un passage au tribunal ou un retrait de permis conduisant à la perte d’un emploi précaire, peuvent provoquer chez des gens qui luttent déjà pour s’en sortir. Malheureusement pour lui, il est tombé sur un loup. 
 
Certains m’objecteront que les contrôles routiers sont nécessaires et participent de la sécurité générale, mais, encore une fois, quand il y a des loups sur le territoire et qu’on est chargé de la sécurité des moutons, s’occuper d’autre chose que des abus les plus manifestes (souvent par ailleurs d’essence lupine et qu’on néglige sous peine d’émeutes), comme ce motard sur une roue et dans le mauvais sens de circulation, qui a fauché une gamine de 7 ans sur un passage piéton (et déjà libéré par un juge des libertés compatissant) est, au mieux, de la dispersion de ressources, au pire de la complicité criminelle. 
 
Dans une société fonctionnelle, l’ignoble fils de … douée pour réussir en politique, multirécidiviste qui lui est passé dessus, serait retiré définitivement de la circulation et pas seulement routière, mais dans la nôtre on ne peut que croiser les doigts, en éternels optimistes, et s’en remettre à une justice imbibée d’idéologie droit-de-l’hommiste et tellement indépendante qu’elle vient de gracier Alexandre Benalla. 
 
Contrairement à l’État, lequel n’en a rien à cirer de la vie et de la mort de ses sbires et qui s’est resservi une généreuse portion ; dans la limite de ce qui restait après le passage de Gérard Larcher, j’ai donc, je l’avoue, repris furtivement une frite et une seule, car, au fond, je peux comprendre qu’au-delà des grands principes, il faut bien bouffer et subvenir aux besoins de sa famille, quitte à avoir du mal à se regarder dans une glace ou à se mentir à soi-même pour pouvoir le faire. Combien, toutefois, faudra-t-il de gendarmes et policiers tués pour que les forces de l’ordre réalisent qu’en jouant les tampons, pas forcément hygiéniques, mais assurément jetables, entre le peuple et Macron, elles scient progressivement la branche sur laquelle elles sont assises. 
 
Un Macron qui, pendant qu’il fait durer le suspense pour, de guerre lasse, imposer un Premier ministre dont personne n’aurait voulu il y a encore quelques semaines, par son dernier coup porté à la liberté d’expression en tendant un guet-apens au fondateur de Telegram, vient de saborder notre secteur aéronautique, le seul qui manquait encore à son tableau de chasse, les Émirats arabes unis, dont l’oligarque est aussi citoyen, venant de geler, en représailles, un contrat de plus de 10 milliards. À son départ, il ne restera de la France que les anneaux olympiques qu’Anne hidalgo a décidé, après en avoir discuté avec elle-même, de laisser en permanence, histoire de défigurer à jamais notre tour Eiffel rouillée.
 
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