Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/rrPVo51C3n0
Bonjour !Si l’on en croit les padamalgamistes, lesquels ne manquent pas d’air (contrairement à Philippine Le Noir de Carlan, probablement enterrée encore vivante, d’où la mort par « asphyxie »), il s’agirait là d’un banal féminicide imputable à un mélange délétère de masculinité toxique, de réchauffement climatique et de trottoirs pas assez larges. Le fait que ce probable viol, suivi d’un meurtre a été perpétré par un être à pouces opposables venu illégalement d’un autre continent, se trouvant, qui plus est, en état de récidive et sous OQTF ; par ailleurs fraîchement relâché dans la nature en connaissance de cause par UNE juge compatissante dont la loi, bien faite, interdit de donner le nom, ne soulèverait, selon eux, pas plus de questions que l’entrejambe de Brigitte Macron, sachant que, comme le dit la chanson de Charles TRENET : « qu’y a-t-il à l’intérieur d’une noix ? », a fortiori de deux.
Une chanson, elle aussi en mode « mineur », mais bien accompagnée, contrairement à ceux, que, dans un accord majeur, lui, signé en 2020, le Maroc a accepté de reprendre. Las, l’administration judiciaire française, payée avec nos impôts, et saisie par des associations subventionnées s’est refusée à le mettre en œuvre, estimant que : « les structures d’accueil n’y sont pas adéquates » pour recevoir ces « chers » bambins à 50 000€ annuel par tête de narguilé aux frais de la collectivité. Ne s’agissant pas de réfugiés politiques, seul cas où leur bien être dans LEUR pays pourrait relever de notre responsabilité, en quoi est-ce notre problème ? À cela s’ajoute le fait qu’au cas particulier, ledit Maroc a bien accordé, à un jour près, le laissez-passer consulaire nécessaire à l’expulsion diarrhéique de ce répugnant étron qui n’avait pas encore tué Philippine Le Noir de Carlan lorsqu’il a été prématurément libéré par cette juge bonne poire… de lavement.
Autre argument vaseux, voire vase...line : le fait que nous ayons aussi nos propres délinquants, non seulement n’est pas une excuse, mais une raison supplémentaire pour ne pas en importer d’autres. D’autant que ces derniers semblent peu réceptifs à la méthode conventionnelle consistant à tendre l’autre joue pendant qu’on nous dilate quelque organe cher à Bruno Le Maire, mais en tapissant quand même le sol de menaçants petits nounours, de fleurs à épines et de bougies potentiellement incendiaires dans l’espoir de tenir les intrus à distance. Un modus operandi qui ne serait pas complet sans l’ingrédient principal : non seulement les condamnations, mais les condamnations fermes (c’est important), non pas des coupables, mais de la violence (des fois que nous nous décidions à l’utiliser pour nous défendre) par des politiciens ayant tronqué, à cette occasion, leur plug anal habituel pour un manche à balai de circonstance. J’aurais bien quelques propositions alternatives, mais elles ne correspondent pas aux valeurs de la République et partent du principe que tous les hommes ne sont pas égaux, sauf peut-être Brigitte.
En revanche, les mêmes n’hésitent pas à amalgamer, façon dentiste, toute la population masculine (contre laquelle ils ont une dent) au pervers de fond de cuve qui a drogué la mère de ses enfants pendant 10 ans pour l’offrir à d’autres homuncules influencés par l’image de femme-objet véhiculée par le porno que, du coup, ils sont frustrés de ne pas retrouver à la maison, d’où ce genre de raccourcis médicamenteux et l’explosion du candaulisme, autre conséquence de la castration collective de l’homme occidental. Un dossier qui, lui, pour le coup, est un simple fait divers sordide, par définition exceptionnel dans ses proportions (d’où sa résonance médiatique internationale) et sur lequel, comme sur tout (sauf les chambres à gaz), je m’interroge au vu de quelques « détails de l’histoire » qui chatouillent mon esprit complotiste.
Sans que cela minimalise la gravité de l’acte, force est de constater que le mari a utilisé, nous dit-on, non pas du GHB ou un somnifère, mais un anxiolytique, un choix plutôt curieux si la finalité avait été l'endormissement total de la victime, sauf à vraiment forcer la dose, auquel cas, au vu des risques encourus, la chose devrait être requalifiée en tentative d’homicide ou, à minima, en mise en danger de la vie d’autrui et, compte tenu de l’extrême addiction provoquée par ce médicament spécifique (selon le VIDAL), on aurait devant nous une loque humaine en état de manque et non pas la pimpante égérie souriante avec un faux air de Brigitte Macron, qui semble beaucoup apprécier l’attention et la célébrité. Il est à noter qu’une autre victime, épouse d’un disciple de Pélicot, a été abusée 11 fois avec ce procédé (contre au moins 80 pour la victime principale) et a témoigné s’être déjà réveillée durant les faits. Par ailleurs, ledit Pélicot avait pour pseudonyme « dompteur » sur les réseaux, ce qui, en l’absence de quelque chose d’au moins vaguement conscient à dompter, le placerait dans la hiérarchie juste en dessous du dompteur de puces savantes.
Il faut bien comprendre que, contrairement au cas de Philippine où on a affaire à un animal incapable de contrôler ses pulsions de domination (et qui donc, en toute logique, devrait être traité selon les protocoles appliqués aux animaux dangereux), le pervers, lui, ne se contente pas de juste dominer, mais il veut généralement provoquer le consentement de sa victime. C’est ainsi que le fantasme de certains homos est de convertir un hétéro (un peu comme P. Diddy avec Justin Bieber - là encore au moyen de substances chimiques - selon les rumeurs ), le fantasme des pédophiles, de faire aimer le sexe à des enfants prépubères et celui du système, de tendre vers l’androgynie en masculinisant le plaisir féminin, réduit à une simple stimulation mécanique de zones érogènes, à coup de sex-toys, de porno (encore) et de multiplication de partenaires, de sorte à supprimer ou rendre impossible l’investissement affectif indispensable non seulement à une sexualité féminine épanouie, mais véritable ciment de la société (injustement qualifiée de patriarcale) que ledit système aspire à détruire.
Ça a marché sur nombre de féministes qui ne sont déjà plus des femmes à part entière et qui utilisent Gisèle Pélicot pour mener leur croisade, laquelle ne prendra fin qu’avec la castration complète de l’homme occidental, les laissant seules, tels des lapins devant les « phares » d’un véhicule électrique ayant parcouru moins de 200 km sans allumer le chauffage, face à des « (h)allogènes », eux aussi, mais imperméables à leur propagande.
Cela dit, j’ai suivi la chose de très loin et il se peut qu’il ait été établi que Gisèle Pélicot ne s’est effectivement jamais doutée de rien, qu’elle ne s’est jamais réveillée, qu’elle n’a jamais noté d’irritations suspectes, d’écoulements bizarres ou de douleurs hémorroïdaires et qu’elle n’a jamais perçu de signes avant-coureurs, comme, avant le mariage, des galipettes peu conventionnelles imposées à l’arrière d’une Simca 1000. Peu importe, dans tous les cas, son statut de victime est indiscutable, en revanche celui de sainte, a fortiori médiatique, est pour le moins suspect et j’ai du mal à discerner une auréole, à part peut-être sous les bras. Ne serait-ce que parce qu'elle se prête de bonne grâce au jeu de cette manipulation de masse éhontée, avec pour finalité, probablement quelque nouvelle loi débile imposant un acte notarié et 8 jours de préavis pour se livrer à une quelconque activité sexuelle, creusant encore un peu plus le fossé entre les sexes, fossé propice à susciter, justement, des fantasmes et comportements du type de celui qu’elle a subi.
Si l’on combine tout cela à un nouveau record du nombre d’avortements (en hausse de 3,7%), le délitement ethnique ne peut que s’accélérer encore davantage, de même avec chaque Philippine tuée, qui ne donnera pas naissance à la famille nombreuse dont elle rêvait et sur le sort de laquelle, sauf erreur de ma part, pas plus que celles qui méprisent l’une, au point d’arracher des affiches à sa mémoire, et sanctifient l’autre, Gisèle Pélicot ne s’est pas exprimée.
Pendant qu’on amuse les foules avec ça, le taux d’intérêt sur les obligations françaises à cinq ans grimpe comme Darmanin sur une demandeuse de logement social, dépassant celui de la Grèce et actant que nous sommes virtuellement en faillite, mais prêts, néanmoins, à accueillir le million de Libanais qui tente de fuir le pays vers l’Europe en raison des frappes israéliennes, lesquelles continueront tous azimuts, avec le support des Américains, tant que les condamnations internationales ne se transformeront pas en intervention militaire.
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