Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/Rj1ous2qohc
Bonjour !
Ne vous méprenez pas, je ne suis pas du tout contre les homosexuels, je préfère au contraire m’en éloigner, mais à l’instar d’un spermatozoïde de (ou dans ?) Gabriel Attal quand il réalise vers quoi il nage, j’ai la vague impression que nous sommes nous aussi, collectivement dans la m…., mais je m’égare. Tant que les homos restent dans leur petit univers parallèle ou « troufion » compte double au scrabble par un raisonnement « anal-logique », surtout si ledit troufion est chiant, ce qui est mieux que concupiscent, plus ambigu, que ce soit (pour les érudits) selon Saint-Augustin avec son concept de triple concupiscence ou phonétiquement (pour les autres), peu me chaut. Mais quand certains activistes tels le ministre des Sports Gil Avérous (marié avec un homme selon Wikipédia) font un caca nerveux qui atteste d’une ouverture qui n’est pas d’esprit et instrumentalisent le concept d’homophobie, dévoyé pour décréter, sans avoir consulté personne, qu’en cas de chants perçus comme homophobes dans les stades, les matchs seront désormais « arrêtés » et « perdus pour l'équipe qui reçoit », outre que cela va inciter les visiteurs à donner de la voix (ce qui démontre à quel point c’est con), j’ai le vague sentiment d’une dilatation à la Bruno Le Maire quelque peu imposée.
Si je suis contre l’homophobie quand elle consiste, à la talibane, à tester, du haut du toit des immeubles, l’aérodynamisme des membres, actifs pour le coup, de la communauté de l’anus, quand ils y mettent l’Hobbit, il n’en demeure pas moins que, nonobstant, par ailleurs, les qualités et compétences qu’ils peuvent avoir dans différents domaines et qui, elles, sont utiles, j’ai du mal à percevoir la valeur ajoutée que les homosexuels, en tant que tels, apportent à une société qui serait incapable de se reproduire s’ils étaient trop nombreux. Il en ressort (surtout si c’était au préalable rentré), que s’ils doivent être traités humainement, la plupart n’aspirant par ailleurs qu’à l’indifférence, les valoriser, en revanche, comme l’a bien compris un Poutine, relève du suicide collectif. D’autres argumenteront qu’au contraire le problème est le patriarcat toxique qui contamine jusqu’à Sandrine Rousseau laquelle a fait un bras d’honneur au sein (nourricier) de l’hémicycle (non menstruel) quand le député RN Tanguy, dont l’homosexualité n’est pas la qualité principale, a réussi à faire passer, au moins provisoirement, un amendement réduisant de 5 milliards la contribution de la France à l’UE.
Pour en revenir au ministre des sports qui nous ferait presque regretter Oudéa « dja dja » Castéra, l’élément déclencheur dudit caca nerveux a été l’usage répandu, au sein des prolétaires qui paient pour voir des millionnaires souvent bien mieux lotis, y compris en mélanine, courir derrière un ballon, d’un terme rimant, de façon aussi riche (et évoquant la même odeur) que Musk, avec le mot « acculé », pourtant simple rappel des réalités anthropologiques. Un mot, certes, perçu comme une insulte, mais, sauf à misogynement occulter une partie du public concerné, pas spécialement homophobe : dans les faits il s’agit plus d’une description « suppositoire » à tous les sens du terme.
On en arrive au stade (là aussi dans toutes les acceptions du terme) où des gens qui se discriminent tous seuls, en se revendiquant haut et fort de quelque minorité, interdisent aux autres de les désigner comme en faisant partie, sauf à les valoriser (et encore). Ce faisant, à l’encontre des principes mêmes de la liberté non seulement d’expression, mais de pensée, la simple neutralité n’étant, hélas, plus possible dans un monde manichéen, ils établissent le fait que, contrairement aux petit-pois, on est obligés de les aimer ou de fermer sa gueule. C’est ainsi, suivant la même logique, qu’un individu se baladant dans le métro avec un t-shirt floqué « ANTI-JUIF » ce qui est, à la base, une opinion qui n’engage que lui, comme l’aurait été un juridiquement plus sûr (mais physiquement plus risqué) « anti-musulman » ou un anodin « anti-chrétien », a défrayé la chronique, excité les politiciens toujours en quête d’un « pis à lait » pour faire croire aux veaux qu’ils servent à quelque chose et se retrouve derrière les barreaux car, pour ce genre de faits, force est de constater que, contrairement aux ovaires putatifs de notre first Lady, la justice fonctionne encore.
Pour les autres faits, il vaut mieux prévenir que guérir, comme cette jeune femme de Bayonne à l’organe olfactif développé (sans rapport aucun avec ce qui précède) réveillée en sursaut, selon ses dires « par l’odeur de transpiration » de deux migrants (dont un sous OQTF) à l’instant où ils ouvraient sa fenêtre, donnant raison à feu Jacques Chirac et lui évitant, par une prompte réaction, d’être amalgamement récupérée par une extrême droite surfant sur un sentiment d’insécurité, si d’aventure, fait exceptionnel en France, contrairement à l’Italie où, officiellement, 11 141 Italiennes ont été violées par des étrangers en 5 ans, un futur ingénieur en génie atomique lui avait réclamé, de bonne guerre, une petite avance en nature avant que de se mettre consciencieusement à cotiser pour lui payer sa retraite.
Et c’est vrai que le pauvre devra pas mal cotiser pour financer les plus de 150 000€ d’opérations qu’a subi un individu, qui s’en vante sur les réseaux sociaux, pour son changement de sexe remboursé à 100% par la sécu y compris pour les étrangers, tandis que nos braves députés s’écharpent (de députés…) pour trouver de nouvelles idées de taxes (avoisinant déjà les 40 milliards à ce jour à l’assemblée) plutôt que de rogner sur ce type de dépenses. La plus récente, on a du mal à suivre, porterait non pas sur les glucides en général, mais sur le seul sucre, drogue du pauvre et du sans-dents, les frais dentaires semblant moins vitaux que l’ablation du pénis en matière de prise en charge, la décharge n’étant, il est vrai, dans ce dernier cas, plus vraiment une option. Une substance qui sera simplement remplacée, profit oblige, par des édulcorants toxiques, sirops de maïs et autres céréales extrudées sans diminuer d’un iota les calories ou l’indice glycémique ni, au final, rapporter un centime de plus dans les poches trouées de l’état.
Sinon, tandis que le très isolé, multicancéreux, Poutine, mis à genoux par Bruno Le Maire, converse à Kazan avec les 2 tiers de la planète et le secrétaire général de l’ONU présent sur place ; en dépit des efforts louables d’Israël qui, après Gaza et le Liban, vient de bombarder l’Iran, la 3e guerre Mondiale devra encore attendre un peu le résultat des élections américaines. Pour résumer la semaine US : après avoir fait frire des frites dans un MacDo dont, depuis, les employés qui n’y sont pour rien, sont harcelés par des démocrates mécontents, « MacDonald » TRUMP se voit accusé par une ex-mannequin qui retrouve la mémoire à deux semaines des élections, d’une main aux fesses dans les années 1990, chose gravissime apparemment, puisque dans l’hexagone, le fils à papa donneur de leçons Nicolas Bedos, défendu, le monde est petit, par la femme de Benjamin Griveaux laquelle n’a pas songé à plaider que, n’étant pas une lumière, il n’avait pas les codes, argument qui, pourtant, fonctionne pour d’autres, a été condamné à un an de prison pour des faits similaires.
Kamala HARRIS quant à elle, dont Michelle Obama, « au bas mot » un peu vache, a déclare qu’elle n’a pas besoin d’être intelligente pour être présidente, qualifie son adversaire de NAZI alors qu’il apparaît qu’elle-même, aurait scripturalement génocidé dans son livre autobiographique ses ancêtres irlandais juifs possesseurs d’esclaves pour s’en inventer, à la place, des plus mélaninés plus électoralement acceptables, en se faisant abusivement passer pour noire par la même occasion. Sentant le vent tourner, dans la foulée du Washington Post, possédé pas Jeff Bezos, plusieurs grands journaux « démocrates » optent pour la neutralité et n’appelleront pas à voter pour elle. Si on ajoute que Trump est passé dans la véritable institution que représente le podcast de Joe ROGAN, lequel, non seulement n’a pas été fichu de lui poser une question gênante, mais s’est fait piéger en se retrouvant souvent dans la position de l’interviewé, ce qui est plutôt une bonne opération pour le candidat, mais m’a fait perdre 3 heures de ma vie à écouter pour rien une banale conversation de comptoir, même si on n’est jamais à l’abri d’une surprise, il semblerait que la balance, et pas seulement la Terraillon, penche en faveur de Donald Trump.
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