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dimanche 27 juillet 2025

Des antisémites partout, Effondrement des naissances, Brigitte dépose plainte… (27/07/2025)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/8HL-urjcVXg

Bonjour !

Tels la kryptonite pour superman ou les tests ADN pour Brigitte Macron, l’accusation d’antisémitisme agissait encore (pré-génocide humanitaire en direct de bébés terroristes haineux) comme un rayon paralysant anti-érectile sur les sociétés européennes. Force est de constater que, depuis, le Rubicon des arguments qui le sont autant, ayant été franchi, en dépit de lois toujours plus rectalement intrusives, imposées par les mêmes (la dernière en date étant, sous prétexte de protection des mineurs, la fin programmée de l’anonymat sur les réseaux sociaux), l’effet de ce qualificatif est, désormais, à peu près aussi dissuasif que l’indication du nombre de calories pour 100 g de matière sèche sur un bocal de foie gras de canard aux truffes pour Gérard Larcher. 

Tandis que le grand public US, toutes tendances confondues, découvre, éberlué, jusque dans les médias mainstream, l’impact désastreux, impossible à masquer plus longtemps, de décennies d’influence israélienne sur le congrès et que les plus complotistes vont jusqu’à pointer du doigt, « maussades », certaines coïncidences troublantes autour de l’assassinat de Kennedy, du 11 septembre et de l’affaire Epstein, pour la première fois de son histoire, le peuple élu par vote électronique divin ultra-fiable, qui reconnaît lui-même avoir été chassé, au cours des millénaires, d’à peu près partout sur la planète, sans pour autant s’interroger plus avant sur les causes, encourt le risque, mondialisation de l’information oblige, de l’être, certes, à nouveau de partout, mais cette fois simultanément, ce qui, tant qu’Elon Musk n’aura pas réussi à poser un pied sur Mars, s’avérerait quelque peu problématique. 

Sans pour autant nier l’existence, à la marge, d’un antisémitisme viscéral, une partie totalement évitable de ce rejet est indubitablement liée à un problème d’attitude, faisant que, contrairement à la poule et l’œuf, on peut raisonnablement penser que les israélites préludent à l’antisémitisme. En témoigne la mésaventure de 50 adolescents hébraïques à passeport français (du fait de l’absurdité, pour eux comme pour tous les autres, du concept même de double nationalité) revenant d’une colonie communautaire exclusive, probablement orientée vers l’apprentissage du vivre ensemble, et débarqués d’un avion espagnol, après avoir entonné des chants en hébreu appelant à l’amour universel, et perturbé, entre autres, selon l’équipage stipendié par le « hamas », l’énoncé des consignes de sécurité. 
 
Un comportement pouvant passer, pour les regards mal avertis, pour « sûr de soi et dominateur » comme aurait dit un certain Charles de sinistre mémoire. Une fausse impression malencontreusement amplifiée par les lamentations qui s’imposaient et des hurlements indignés à l’antisémitisme, perçus par quelques esprits retors comme systématiques à la moindre contrariété et qui, justifiés ou non, ont pu commencer à fatiguer certains d’autant que, pendant ce temps-là, des enfants palestiniens mourraient littéralement de faim et eux, sournoisement, en silence. 

S’ajoutent à cela l’assimilation juridique suicidaire de l’antisionisme à l’antisémitisme, laquelle ne laisse plus aucune place à la nuance, le projet, déjà sur les rails, de réprimer l’accusation « abusive » de génocide comme une contestation des crimes contre l’humanité, et le front quasi commun jusqu’à la caricature, présenté par l’intelligentzia communautaire française dans son soutien à Israël, à commencer par la cylindrique Knafo donc les cocoricos s’arrêtent à l’abattage rituel et qui tombe en syncope à l’annonce (il est vrai, sortie subitement par Macron de quelque endroit dilaté de son anatomie) que la France va reconnaître la Palestine en septembre lors de l’assemblée générale des Nations unies. 
 
Le capital sympathie est encore renforcé si l’on inclut, dans le mix, l’arrivée massive sur notre territoire de populations, elles ouvertement antisémites, que cette même intelligentzia nous a imposées, à coups de lois antiracistes, de peur d’être exclue des cercles de décision si on venait à se poser la question raciale, devenue taboue, mais indissociable d’un nationalisme sérieux. Une immigration, en outre, qui tombe à pic pour compenser un avortement légalisé par Simone Veil (coïncidence), tandis que Badinter (re-coïncidence) supprimait la peine de mort, ce qui nous rend impuissants face à une délinquance devenue exponentielle. 
 
Dès lors, sauf à ce que des voix fortes s’élèvent au sein de ladite intelligentzia pour choisir définitivement leur camp entre la France et Israël, le retour de balancier qui lui pend au nez (ou ailleurs, si l’on souhaite éviter tout tropisme nauséabond) risque de lui faire très mal ainsi que, hélas, à nombre de ses coreligionnaires qu’elle s’est abusivement autodésignée pour représenter.

Quoi qu’il en soit, pour nous, le mal est fait et, en dépit des efforts soutenus d’un pourcentage indéterminable de jeunes hommes vigoureux et exotiques, « mi-grands » contrairement à Allah, qui s’efforcent d’enrichir culturellement, de la poussette au déambulateur, toute personne de sexe féminin incapable de passer sous la barre des 9 secondes au 100 mètres, départ arrêté, pour la première fois depuis 1945, le nombre des décès a dépassé, en France, le nombre des naissances. 
 
C’est d’autant plus dramatique que si l’on veut assurer une continuité de la France depuis Vercingétorix et au-delà et honorer les sacrifices de tous ceux qui nous ont précédés, plutôt que provoquer une rupture gommant 2000 ans d’histoire et repartir de zéro vers autre chose à la mode Kalergi, parmi ces naissances, seul compte alors vraiment le nombre de celles culturellement, ethniquement et collectivement compatibles avec le substrat autochtone. 
 
Comme par hasard, entre l’interdiction des statistiques ethniques et la généralisation des tests de drépanocytose, tout semble fait pour le rendre aussi invisible que Jean-Michel Trogneux, lequel avec sa sœur à poitrine extensible (entre autres parties de son anatomie), Braun Pivet surnommée « la torchée humaine » à la buvette et Macron dit « le machin » plutôt que « la chose », fait contrepied au dernier Marvel « les 4 fantastiques » qu’une allergie à l’omniprésent et mal cast(r)é Pedro Pascal, associé à un manque d’enthousiasme à donner mes sous à Disney, me dissuade d’aller voir.

Une Brigitte, donc, qui, après avoir perdu contre Natacha Rey et Amandine Roy, plutôt que d’ouvrir son album de famille, essaie de gagner du temps de sorte à ne pas exploser en vol trop tôt, sachant qu’il reste encore 600 jours à son époux pour finir de couler la France. Pour ce faire, elle poursuit, probablement avec nos sous, Candace Owens aux États-Unis, manœuvre désespérée aussi dilatoire que dilatatoire qui, effet Streisand cataclysmique et occasion inespérée d'apprendre la traduction de « pénis » en chinois et en swahili, fait la une de tous les journaux de la planète. Tout cela va se terminer en corrida, ladite Candace semblant déterminée à réclamer, à l’issue, non seulement les oreilles, mais la totalité des trophées traditionnels tauromachiques plus, dixit : « la perruque ».

Tout ce cirque distractif, tout comme la proposition du ministre de la Santé de généraliser la sieste au travail en compensation des jours de congé supprimés (enfin la microsieste, faut pas pousser non plus) ne ralentit pas pour autant la saignée à blanc de la France autochtone de la même couleur. Une France autochtone, interdite de se désigner comme telle, y compris par les divers mouvements inclusifs, garantis sans relents nauséabonds, qui tentent de la canaliser vers des voies de garage comme une manif virtuelle le 10 septembre (tant qu’à faire une révolution, autant donner la date au gouvernement) et vers des revendications purement économiques et sectorielles visant à lui faire oublier que le problème principal est qu’on l’a dépossédée de son propre pays et que le seul slogan méritant d’être déployé serait « Cette fois, on reprend la France ! ». 
 
Trop c’est trop, et le pays commence à sérieusement bouillir. Mais la macronie est prête : les blindés antiémeutes qui ont défilé le 14 juillet, jamais déployés pendant celles, médiatiquement pudiques, qui ont éclaté ces jours-ci à Limoges et ailleurs, frétillent à l'idée d'être enfin étrennés et les CRS, tel Jésus, semblent prêts à multiplier les pains. Bref, un des côtés semble prêt à tuer (je rappelle, au passage, que je ne suis pas suicidaire), l’autre pas encore. Je me demande comment cela va finir…


dimanche 20 juillet 2025

Les gueux, « Nicolas qui paye »… pourquoi ça va faire Pschiiittt ! Analyse de fond (20/07/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/_kLZPyhrKE8

Bonjour !

Ne vous faites pas d’illusions, il n’y aura pas de révolution en France, même après que François Bayrou qui a dédié sa vie politique à la déconstipation de coléoptères qu’il localise avec ses oreilles radar pendant qu’il fait semblant de faire la sieste, nous aura collectivement empalés, à sec, sur l’obélisque, tel un parachutiste naturiste malchanceux ou quelque député RN extatique. En effet, le fait de se faire collectivement ramoner l’intestin grêle ne suffit pas à provoquer l’unité populaire nécessaire, ne serait-ce que parce que certains aiment ça. 

Peu importe que Sarah (point trop) Knafo trouve, au doigt suspicieusement mouillé, 63 milliards d’économie… en oubliant les 211 milliards distribués sans contrôles à des entreprises qui les reversent à leurs actionnaires et peu importe que LFI en trouve autant… en oubliant les 70 milliards que nous coûte l’immigration selon l’OID (les deux, frexitophobie oblige, omettant le trou sans fond de l’Union européenne). Peu importe, donc, car un système mafieux tel que la « raie-publique » avec, pile au centre, le modem, reconnaissable à son odeur et sa flexibilité dilatatoire, ne pouvant pas se suicider en devenant vertueux, aucune de ces pistes ne sera explorée. 
 
C’est Nicolas qui va continuer à payer de plus en plus cher la savonnette de plus en plus glissante qu’on le somme de ramasser, tout en attendant les prochaines élections qui, c’est promis, vont changer la donne. Il me semble que les trahisons d’un Trump englué dans l’affaire Epstein comme un morpion dans la zone rectale macronienne après l’accomplissement d’un devoir conjugal et qui était l’archétype du concept d’un changement radical par les urnes, devrait démontrer aux derniers naïfs que les pseudos démocraties, soi-disant « représentatives », sont juste un piège à cons plus ou moins tribuables.

En attendant, tandis que l’on nomme des cruches à la Najat qui tant Valaud qu’à la fin elle se case… à la Cour des comptes, on prive les gueux de 2 jours de congés, et plus si affinités, comme le déremboursement des affections de longue durée, style cancer ou Sandrine Rousseau. Mais qu’on se rassure, on continue à financer l’AME, les transitions de genre et les chirurgies de féminisation, éloignant tout risque supputatif de pénurie de Premières dames. Dans la même (pas de) veine, alors que les jets privés sillonnent le ciel pour porter la bonne parole du réchauffement climatique et que ceux de l’état transportent Bayrou à Pau, on montre d’un doigt vaseliné accusateur, aux jeunes sans avenir, la caravane cabossée de Marcel, l’enfoiré de retraité profiteur, dont on va geler la pension tout en plafonnant l’abattement fiscal de 10% à 2000 € afin de le pénaliser dès 1700€ par mois ce qui est quand même plus humain que de plafonner lesdites retraites à disons, 4 fois le SMIC, chose qui serait dramatique pour les miséreux tel François Hollande lequel doit s’efforcer de joindre les deux bouts et payer ses croissants matinaux avec 18 000€ mensuels (en sus des avantages en nature - personnel, locaux, véhicules… - du rendement de ses placements financiers et de la rente annuelle de 65 000€ dévolue aux ex-présidents).

On ne peut mesurer, en centimètres introduits, l’étendue de l’escroquerie que si l’on comprend (l’immonde Sarkozy ayant rendu le budget « fongible ») que ce que l’on va piquer à Marcel n’ira pas à Nicolas (l’autre, celui qui paye), ni même au remboursement de la dette (garantie par notre épargne que tout est déjà en place pour confisquer), mais continuera à financer l’immigration de masse, les milliardaires, l’UE, l’Ukraine, les éoliennes et la foule de parasites politico-médiatiques, d’associatifs et de copains nécessaire à pérenniser le système… ainsi qu’incidemment, le pourvoi en cassation (ce qui, si elle a des noix, peut s’avérer dangereux) de Brigitte Macron dans l’affaire qui l’oppose à Natacha Rey.
 
Pour schématiser, avant, le budget, c’était un peu un système d’enveloppes à l’ancienne et on mettait des sous dans chacune pour un usage spécifique sans qu’on puisse les utiliser pour autre chose ; depuis Sarkozy, qui préfère les valises, lesdites enveloppes sont juste virtuelles et indicatives : tout atterrit dans un pot commun sur un compte bancaire avec, « en sus », comme dirait Aurore Bergé, une « black card » illimitée à la discrétion du Président qui peut, avec, faire des cadeaux au monde entier. Donc, à chaque fois qu’on vous justifie un impôt (a fortiori de « solidarité ») comme étant destiné à financer une dépense spécifique, on vous ment comme un politicien en campagne, vous alimentez simplement le pot commun, ou plutôt le tonneau des Danaïdes, offrant juste plus d’argent à dilapider au système.

Pour qu’il y ait une révolution, il faudrait une année « blanche », mais pas vraiment au sens où l’entend Bayrou. Il faudrait admettre - ce que n’ont fait ni les « gueux » aujourd’hui, ni les gilets jaunes hier (alors que cela sautait pourtant aux yeux qui leur restaient) - que la vague qui les porte n’est rien d’autre que la révolte légitime des autochtones blancs, non binationaux et donc sans échappatoire, dépossédés de leur propre pays et de leur mot à dire ; pareil pour « Nicolas qui paye » qui symbolise exactement la même chose, sous un autre angle. 
 
Tant que cela ne sera pas revendiqué sans complexe, offrant une cohésion qui transcende les classes sociales, et seule manière d’unir et les gueux et Nicolas qui, séparément, n’ont aucune chance, tout mouvement tombera, soit dans le piège social de la gauche qui réclamera plus de sous, soit dans le piège fiscal de la droite qui réclamera moins d’impôts, deux choses apparemment contradictoires (et c’est voulu pour éviter tout risque d’union) alors même qu’on pourrait intelligemment concilier les 2 et satisfaire et les gueux et Nicolas. 
 
La gauche, dans son rôle de détournement des mouvements sociaux vers une voie de garage, scandera : « révolution ! », tout en encourageant son principal obstacle à savoir : l’immigration de masse et le multiculturalisme qui ne pourront qu’aboutir, à force d’exaspération, à des luttes horizontales comme les ratonnades en Espagne cette semaine et les émeutes raciales au Royaume-Uni, au lieu d’une véritable révolution qui ne saurait être que verticale, comme une lame de guillotine. 
 
Pas mieux pour la droite qui veut son immigration de travail, a une demi-molle chaque fois qu’un individu à forte teneur en mélanine (ou amateur de pâte à tartiner spécifique) secoue un drapeau bleu, blanc, rouge, et qui se contente de taper hypocritement sur « l’Islam », pour ne pas avoir à admettre de prisme ethnico-culturel qui serait préjudiciable à ceux qui la financent et tentent de se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas. Au lieu de se rejoindre sur une identité qui pourrait les unir, les deux camps (en tout cas ceux qui s’en font les représentants) ont, pour seul point commun affiché, un « antiracisme » trouillard et maladif qui les dissout et dix sous ce n’est pas beaucoup. 

Contrairement à la république, si on change son peuple, la France n’est plus la France et, outre sa descente aux enfers économiques, perd et la motivation première et ce qui donne sa légitimité à toute lutte : assurer sa continuité, sa descendance et sa postérité. Par ailleurs, comment peut-on réclamer que le peuple soit traité avec équité quand ledit peuple n’est jamais clairement défini ? 
 
Pour autant, de même qu’il n’y a pas besoin d’être une baleine pour adhérer à S.O.S. baleines, il n’y a aucune raison d’ostraciser ceux qui ne correspondent pas à cette définition… du moment qu’ils y adhèrent. C’est ce que l’on appelle l’assimilation, la vraie, à l’opposé des hypocrites à la Jean Messiha dont le message subliminal est : « voyez comme je me suis bien intégré, je suis même plus Français que vous, preuve que la nationalité n’est pas organique et que tout le monde (soit plusieurs milliards d’individus) est potentiellement compatible ».

Il a raison sur un point : le problème est, avant tout, une histoire de compatibilité, mais pas seulement individuelle, car il faut aussi prendre en compte la compatibilité de groupe laquelle diminue en fonction du nombre. Trop d’arbres deviennent une forêt, laquelle finit par abriter des loups et, arrivés à ce stade, on est contraint de déboiser sans plus avoir le luxe de pouvoir se préoccuper de la qualité de chaque arbre qui peuvent, certes, être compatibles individuellement, mais qui, collectivement, feront quand même partie du problème forestier, si on laisse la situation se détériorer jusque-là. Il en va donc de l’intérêt même des gens assimilés, que la France retrouve son identité et évacue l’excédent de leurs ex-compatriotes, sous peine de retrouver ici ce qu’ils ont quitté ailleurs, la guerre civile en plus. 
 
Normalement, ce serait le rôle de l’état que de gérer les flux pour prévenir les incompatibilités de groupe de façon à permettre l’assimilation réussie des individus compatibles tout en protégeant l’indispensable cohérence ethnique et culturelle du substrat populaire, mais il fait exactement le contraire, car il a compris, justement, que c’était le moyen le plus sûr, à terme, d’éviter une révolution.

Conséquence de plus en plus visible, je vous épargne l’égrenage des faits divers banalement horribles de la semaine dont chacun, il y a encore quelques années, aurait fait les gros titres et qui sont devenus monotonement routiniers provoquant même un bâillement involontaire que pourrait mettre à profit toute mouche non analement estropiée par notre Premier ministre. Après quelques derniers soubresauts, on va donc probablement collectivement crever, mais au moins on ne pourra pas nous traiter de racistes ou d’antisémites… enfin pas plus que d’habitude.


dimanche 13 juillet 2025

SACRÉE AURORE ! Fin de la liberté d’expression, Natacha Rey triomphe et autres news… (13/07/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/GPJoBaVVRNo

Bonjour !

Il m’arrive parfois, sans pour autant être suicidaire (j’insiste !) d’être aussi désemparé qu’un spermatozoïde qui se réveillerait dans le tube digestif de Crépuscule Bergé, introduit par le bâton éponyme, lui aussi de berger donc, de quelque Justin Bridou politique, sans se remémorer par quel côté il serait entré, avant que d’être rassuré par une vague réminiscence (précédant le black-out provoqué par un choc contre la glotte) des hurlements de certains de ses compagnons d’infortune, aplatis contre deux gigantesques hublots en verre qui gagneraient à être munis d’essuie-glaces. Comme lui, je tremble dès qu’elle ouvre la bouche, souvent au mépris de la politesse élémentaire qui commande de ne pas parler dans certaines circonstances. 
 
Cette semaine, cela a été pour annoncer encore plus de moyens et de pouvoirs pour le CRIF, la LICRA, S.O.S. Racisme, le Planning Familial et une sélection d’associations LGBT, féministes et d’extrême gauche connues pour leur impartialité afin qu’elles puissent embaucher du personnel pour surveiller le NET, qui à ses yeux ne l’est pas, et pouvoir saisir de manière prioritaire l’ARCOM (dont on se demande ce qu’elle fout là) pour faire disparaître tout contenu, forcément haineux, qui ne leur plairait pas. Je m’étais pourtant laissé dire qu’elle aimait bien « l’haineux ». C’est donc (notamment depuis qu’elle a les cheveux longs) la « Raiponce » de la Bergé, non à la bergère, mais au mécontentement qui gronde et la mise en application directe du « Digital Service Act », la directive liberticide européenne. Merci encore au RN de n’avoir pas « motioncensuré » Bayrou.

Un RN qui (après que la Cour européenne des droits de l’homme a rejeté, cette semaine, la demande de la femme à chats, qui passe l’été à faire la chenille en plus de la cigale, de suspendre son inéligibilité) se fait « banalement » (le b est en option) perquisitionner. Probablement en remerciement pour avoir, avec un enthousiasme non dissimulé, ramassé la savonnette du système en faisant des bulles et s’être poliment abstenu, lui aussi, de parler la bouche pleine. Deux de ses députés ont même, un temps, avant de rétropédaler (au sens LGBT du terme) signé une proposition de loi de ces en... (trois petits points, par forcément alignés) de LR (dont, Olivier Marleix, le seul membre encore valable, est décédé, cette semaine, en serrant trop fort son nœud de cravate, ça arrive) et qui ont carrément surenchéri sur Bergé en déposant une proposition de loi visant à pénaliser également les propos « anti-républicains » qui deviendraient passibles de 3 ans de prison et 45 000 € d’amende.

Je me garderai donc de critiquer la « république » qui plus est démocratique et populaire… de Corée du Nord à laquelle nous ressemblons de plus en plus, en attendant la « république » islamique du Frankistan, Marine Le Pen ayant déclaré, elle-même, et elle a raison, que l’islam est compatible avec la république. La raison en est que le terme « république » désigne en fait un système d’administration intrinsèquement mafieux qui n’a rien à voir ni avec la France, ni avec la démocratie avec lesquelles on essaie de nous le faire confondre et pour lequel, le Français non simplement « administratif » est la dernière roue de la charrette, le Manuel manuellement tremblant Valls, au temps de sa splendeur, dans un discours d’anthologie, ayant clairement défini QUI en était (pour l’instant, car ils vont récolter ce qu’ils ont migratoirement semé) à l’avant-garde. 
 
Aucun rapport, mais depuis ma dernière vidéo d’actu, il y a aussi eu le dîner du CRIF, à 900 € par tête de pipe décapsulée, dont 528 déductibles des impôts. À quelques jours près, ils auraient pu s’émouvoir du fait que, comme cela a été le cas à chaque fois que l’on (et non qu’Elon) a lâché la bride à une IA par le passé, celle d’Elon Musk, testée un instant en mode « raisonnement sans entraves », a fait son coming-out en s’autorenommant « MechaHitler » et en suggérant des solutions quelque peu radicales sortant non DU sentier, mais DES sentiers (battus qui plus est) pour mettre fin à certaines problématiques.

Sinon, certains de nos concitoyens, après avoir rodé leur technique (et tout court) un peu partout en France sont allés jusqu’en Suisse exporter ce vivre ensemble aquatique qui booste la fréquentation de nos points d’eau, faisant que nous ne sommes plus la première destination touristique mondiale et qu’une piscine frontalière a dû être interdite, non pas à des Français spécifiques, car rien ne nous distingue les uns des autres, mais à tous les Français. La localité s’appelant, cela ne s’invente pas : « Porrentruy », il eût pourtant suffi de changer l’orthographe sans altérer la prononciation, pour qu’elle devienne beaucoup moins attractive. 
 
Les Allemands, confrontés, allez savoir pourquoi, à des problèmes similaires, ont choisi la pédagogie avec une campagne d’affichage montrant toute une palanquée de nouveaux vacanciers, reconnaissables à leur absence totale de bronzage, en train de harceler des habitués, au teint déjà bien hâlé, la palme revenant à l’illustration d’une dame pachydermique carencée en mélanine, tripotant avec concupiscence les fesses d’un petit migrant unijambiste… quoique, au vu de certains mariages récents, c’est peut-être, au final, l’affiche la plus réaliste du lot. 

À la décharge (sans rapport aucun avec Aurore) desdits amateurs de points d’eau, il est vrai qu’il a fait chaud en France, notamment du côté de Marseille laquelle a failli cramer après qu’un véhicule accidenté (on espère : pas électrique) a pris feu. Il s’est finalement avéré que les promesses de canadairs macroniennes de l’été dernier et de l’été d’avant ont été bizarrement inefficaces contre les flammes et que les économies réalisées sur le débroussaillage des zones se sont, elles aussi, révélées, en fin de compte, peu judicieuses, même si on peut saluer l’effort en période de restrictions budgétaires. Fort heureusement, tout est de la faute du réchauffement climatique et on va donc pouvoir donner, l’esprit tranquille, 40 milliards de plus à l’Ukraine, 20 directement et 20 correspondant à notre quote-part de l’enveloppe européenne, l’immense majorité de nos députés européens, les LR en tête, n’ayant pas voté, au passage, la motion de censure à l’encontre d’Ursula, preuve également qu’il est grand temps pour la France pas si « Insoumise » de changer de nom.

Dès lors, certains pourraient envisager de pagayer vers le Royaume-Uni, en quête de fraîcheur, mais, non seulement les mêmes forces de l’ordre, qui ne les empêchent pas d'entrer, crèvent à présent leurs embarcations pour les empêcher de partir, mais Macron, entre deux bévues protocolaires (dont le tripotage du capitaine de la garde royale) vient de signer avec Keir Starmer un accord pilote pour un échange de migrants façon cartes Pokémon. Pas sûr qu’on récupère Pikachu dans le deal.

Histoire de faire de la place, car ça commence à faire du monde qu’il va falloir loger, alors même que des millions de logements sont (et seront retirés à terme) de l’offre en raison du Diagnostic de Performance Energétique, le fameux DPE, renommé par certains grossiers personnages « Double Pénétration Enculatoire », une nouvelle étude pointe suspicieusement d’un doigt vaseliné le fait qu’un quart des ménages vit égoïstement dans un logement trop grand. Je vous laisse en déduire ce qu’il faut en conclure.

Dans la même logique de ne pas s’attaquer au problème principal qu’on a soi-même instauré : tout en validant le Mercosur d’un côté, on redonne magnanimement aux agriculteurs le droit de mourir d’un cancer en réautorisant, notamment, les néonicotinoïdes tueurs d’abeilles avec la fameuse loi Duplomb, pas dans l’aile, hélas.

Sinon, à l’international, tandis que la plupart des accusations contre P.Diddy, l’Epstein 2.0, sont passées à la trappe, Trump continue ses trahisons : la liste des clients d’Epstein 1.0 s’est évaporée en raison du réchauffement climatique, l’homme s’est bien suicidé (circulez, il n’y a rien à voir) et il aurait même appelé Candace Owens pour lui dire de lâcher la grappe (figurativement s’entend) à Brigitte. Une Brigitte d’ordinaire pourtant « au-dessus du lot » (pour ne pas employer « transcendant » faute d’informations complémentaires sur ses molaires), mais qui vient de se prendre un sacré revers puisque Natacha Rey a été relaxée, en appel, des accusations de diffamation à son encontre, lesquelles n’ont jamais porté sur la transsexualité, affirmation jamais directement contestée par notre Première dame a poitrine autorégulable, contrairement à ce qu’ont essayé de faire croire les médias à l’époque, lesquels se gardent bien d’en tirer les conclusions qui s’imposent aujourd’hui.

Avant le petit coup de fil traditionnel de fin, vous aurez compris, au vu de ce qui précède, que l’espérance de vie de cette chaîne (qui, par principe, n’est pas monétisée et ne me rapporte strictement rien) est comparable à celle d’une Femen atteinte de cystite dans une mosquée afghane ou de Rima Hassan en keffieh au dîner du CRIF. C’est donc peut-être une de vos toutes dernières chances de liker une de mes vidéos et de vous abonner pour signifier à ceux qui raisonnent comme vous, autant dire, à ce stade, qui raisonnent encore, qu’ils ne sont pas seuls.
Si en revanche vous n’avez pas apprécié, tout ou partie (auquel cas n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires, vos courageux partages et à bientôt… j’espère.


samedi 5 juillet 2025

LE TUBE de L’ÉTÉ (attention, ça pique !) (06/07/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/h0k5qKRTcl8


Paroles:

 Macron et sa femme habitent, sa femme habitent à l’Élysée
Poitrine à croissance subite, et renflements localisés
On se dit : quel élan qu’eut le, quel élan qu’eut le psychopathe
Avec ou sans testicules, de marier sa prof, ça m’épate


Candace Owens l’a dit à Trump, il y a une grosse anguille sous roche
Peut-être 2 œufs et pas « de lump », chaque jour le récit s’effiloche
On nous cache tout, on nous dit rien, où est donc passé Jean-Michel ? 
Personne ne le trouve à Amiens, c’est un secret de Polichinelle

Et pourquoi donc tous ces procès, plutôt que montrer des clichés
Avec ses enfants ou qui sait, avec Hérode en train de guincher ?
Ne parlons pas des suicidés, dont la liste tend à augmenter
Qui, hasard, avaient décidé, de dire des choses documentées


Macron et sa femme habitent, 
sa femme habitent à l’Élysée
Des mains pas vraiment très petites, et des pieds pas normalisés
Quelque bilan qu’eût la fon…, quelque bilan qu’eût la fonction
Il reste Benalla profond, pour venir gâcher la fiction


Danse, danse
Si t’as pas de fesses, c’est pas grave, danse
Si t’as pas de hanches, t’en fais pas
Tant que ta perruque ne choit pas

Danse, danse
Si t’as pas de fesses, c’est pas grave, danse
Si t’as pas de hanches, t’en fais pas
Tant que ta perruque ne choit pas


D’abord, il y eut Natacha Rey, puis Poussard qui plus a trouvé
Candace en parle sans arrêt, Tucker Carlson a approuvé
C’est le monde entier qui rigole, et sauf en France, les médias causent
Peignant le poudré en tafiole, c’est le moment de mettre en pause

Si c’est faux on peut le prouver, sans vraiment de difficultés
Et sinon le garder couvé, c’est presque anti-LGBT
Dis, le Mozart de la finance, ne pourrais-tu rien qu’une fois
Faire quelque chose pour la France, et cesser ta mauvaise foi.


Macron et sa femme habitent, sa femme habitent à l’Élysée
Poitrine à croissance subite, et renflements localisés
On se dit : quel élan qu’eut le, quel élan qu’eut le psychopathe
Avec ou sans testicules, de marier sa prof, ça m’épate


Danse, danse
Si t’as pas de fesses, c’est pas grave, danse
Si t’as pas de hanches, t’en fais pas
Tant que ta perruque ne choit pas

Danse, danse
Si t’as pas de fesses, c’est pas grave, danse
Si t’as pas de hanches, t’en fais pas
Tant que ta perruque ne choit pas