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Selon Wikipédia, l'Afrique, un continent qui comptait 230 millions d'habitants en 1950 et qui a dépassé le cap du milliard d'habitants en 2010, pourrait atteindre 2 milliards en 2050 et 4 milliards en 2100. Ces chiffres n’incluent bien évidemment pas les africains installés ailleurs dans le monde et qui, pour la plupart, continuent à vivre et se reproduire entre eux.
Cette explosion démographique est due, notamment, au fait qu’au lieu de leur laisser leur forte mortalité infantile, laquelle était compensée par un taux de natalité élevé qui maintenait naturellement les populations à un niveau quasi constant, nous sommes venus avec nos bons sentiments à la c… leur apporter, entre autres calamités, notre médecine moderne provoquant surpopulation, guerres, famines… semant, de fait, le malheur et la mort chez un nombre d’enfants bien plus grand, en valeur absolue, que dans la situation antérieure.
Désormais ces « migrants » tels que la presse a décidé de les qualifier, comme s’il s’agissait d’une nuée d’oiseaux ou plutôt de sauterelles, menace de déferler sur une Europe dont la population a déjà été remplacée dans des proportions inquiétantes. Et, encore une fois, pétris de bons sentiments, au nom de cette humanité qui, pourtant, n’a jamais rien fait d’autre que de s’entretuer depuis qu’elle s’est installée en haut de la chaine alimentaire, on nous somme de leur venir en aide et d’en accueillir toujours davantage.
« Ce sont des êtres humains », nous dit-on. Et alors ? Des êtres humains, il en meurt tous les jours. D’ailleurs, tant qu’ils meurent chez eux tout le monde s’en fout, mais les hypocrites (lesquels, pour autant, ne sont pas disposés à en accueillir chez eux, préférant que la société supporte le coût de leurs bons sentiments) se sentent mal à l’aise quand la chose se passe sous leurs yeux.
Les mêmes qui nous font bouffer leur laïcité à longueur de journée n’hésitent pas à tirer sur la corde de cette charité chrétienne mal comprise qui nous pousse au suicide collectif. La planète est surpeuplée, et des milliards d’individus vont en crever ; on ne peut rien y faire car la nature reprend toujours ses droits. La seule chose que nous pouvons faire c’est décider qui doit survivre et, dans cette optique, « eux ET nous » n’est pas une option ; c’est « eux OU nous ». Un peuple de vieux, lobotomisé au « droits-de-l’hommisme » qui croit que combattre c’est mettre un bulletin FN dans une urne ou défiler derrière une banderole CGT, contre une marée humaine jeune dont les cultures poussent plus aux décapitations islamiques et au maniement de la machette qu’à tendre l’autre joue. On ne part pas forcément favoris.
Notre seule chance de survie c’est de contrôler nos frontières et d’être aussi impitoyables qu’eux. Il faut comprendre qu’aimer son prochain n’implique pas d’aimer son lointain et il faut surtout cesser de les regarder, un par un, comme des individus. Il faut prendre conscience de la menace collective qu’ils représentent et la traiter comme une infestation, ce que ne feront jamais nos politiques, le nouvel FN bien lisse inclus. Ils savent que la fin du « padamalgam » ou le tarissement du robinet des prestations sociales signifieraient un bain de sang. Mais les pressions démographiques sont telles que ce bain de sang aura lieu tôt ou tard, d’autant plus violent qu’on aura nié longtemps le problème. Dès lors, ne vaudrait-il pas mieux que cela arrive le plus tôt possible, tant que nous avons encore une petite chance de gagner?
Mais tout cela sera vain si nous ne parvenons pas à nous débarrasser de cette chimère de la croissance et du venin de l'ultra capitalisme mondialisé qui poussent à l'obsession démographique et empêchent d'admettre l'évidence qu'on vivrait très bien dans une France de 30 ou 40 millions d'individus.
Cette explosion démographique est due, notamment, au fait qu’au lieu de leur laisser leur forte mortalité infantile, laquelle était compensée par un taux de natalité élevé qui maintenait naturellement les populations à un niveau quasi constant, nous sommes venus avec nos bons sentiments à la c… leur apporter, entre autres calamités, notre médecine moderne provoquant surpopulation, guerres, famines… semant, de fait, le malheur et la mort chez un nombre d’enfants bien plus grand, en valeur absolue, que dans la situation antérieure.
Désormais ces « migrants » tels que la presse a décidé de les qualifier, comme s’il s’agissait d’une nuée d’oiseaux ou plutôt de sauterelles, menace de déferler sur une Europe dont la population a déjà été remplacée dans des proportions inquiétantes. Et, encore une fois, pétris de bons sentiments, au nom de cette humanité qui, pourtant, n’a jamais rien fait d’autre que de s’entretuer depuis qu’elle s’est installée en haut de la chaine alimentaire, on nous somme de leur venir en aide et d’en accueillir toujours davantage.
« Ce sont des êtres humains », nous dit-on. Et alors ? Des êtres humains, il en meurt tous les jours. D’ailleurs, tant qu’ils meurent chez eux tout le monde s’en fout, mais les hypocrites (lesquels, pour autant, ne sont pas disposés à en accueillir chez eux, préférant que la société supporte le coût de leurs bons sentiments) se sentent mal à l’aise quand la chose se passe sous leurs yeux.
Les mêmes qui nous font bouffer leur laïcité à longueur de journée n’hésitent pas à tirer sur la corde de cette charité chrétienne mal comprise qui nous pousse au suicide collectif. La planète est surpeuplée, et des milliards d’individus vont en crever ; on ne peut rien y faire car la nature reprend toujours ses droits. La seule chose que nous pouvons faire c’est décider qui doit survivre et, dans cette optique, « eux ET nous » n’est pas une option ; c’est « eux OU nous ». Un peuple de vieux, lobotomisé au « droits-de-l’hommisme » qui croit que combattre c’est mettre un bulletin FN dans une urne ou défiler derrière une banderole CGT, contre une marée humaine jeune dont les cultures poussent plus aux décapitations islamiques et au maniement de la machette qu’à tendre l’autre joue. On ne part pas forcément favoris.
Notre seule chance de survie c’est de contrôler nos frontières et d’être aussi impitoyables qu’eux. Il faut comprendre qu’aimer son prochain n’implique pas d’aimer son lointain et il faut surtout cesser de les regarder, un par un, comme des individus. Il faut prendre conscience de la menace collective qu’ils représentent et la traiter comme une infestation, ce que ne feront jamais nos politiques, le nouvel FN bien lisse inclus. Ils savent que la fin du « padamalgam » ou le tarissement du robinet des prestations sociales signifieraient un bain de sang. Mais les pressions démographiques sont telles que ce bain de sang aura lieu tôt ou tard, d’autant plus violent qu’on aura nié longtemps le problème. Dès lors, ne vaudrait-il pas mieux que cela arrive le plus tôt possible, tant que nous avons encore une petite chance de gagner?
Mais tout cela sera vain si nous ne parvenons pas à nous débarrasser de cette chimère de la croissance et du venin de l'ultra capitalisme mondialisé qui poussent à l'obsession démographique et empêchent d'admettre l'évidence qu'on vivrait très bien dans une France de 30 ou 40 millions d'individus.
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