Bonjour,
J’ai vérifié, le mot « enculé » figure bien dans le dictionnaire donc c’est qu’il a vocation à être utilisé. Il y a même écrit « trans. » à côté, je suppose que c’est pour « transitif ». Pour autant, afin de ne pas trop heurter les oreilles chastes, je vais employer « macroniser » à la place, ça veut dire la même chose et c’est autorisé dans les stades. Nous vivons dans une société hiérarchique et celui qui se fait « macroniser », au propre comme au figuré accepte de se faire dominer, d’où le mépris des dominants et raison pour laquelle, en prison, où l’on doit absolument trouver sa place si l’on veut survivre, il est fortement déconseillé de ramasser la savonnette sous la douche, la chose y étant couramment pratiquée pour des raisons plus sociologiques que sexuelles. De même, dans un univers politique qui, face au mur de la réalité, voit le retour des mâles alpha, le métrosexuel Macron, seule figure féminine depuis qu’Angela Merkel, au demeurant plus masculine que lui, est partie sucrer les fraises, se fait macroniser en tournante, au point que ses morpions, pourtant habitués, se sont mis en grève en exigeant une prime de risque, par Poutine à Brégançon, Trump au G7 et, en attendant Boris Johnson, par Bolsonaro qui vient d’un Pays où, jusqu’à il y a peu, avant que le ver ne s’installe dans le fruit au nom de la lutte contre le racisme, puis de l’homophobie, la liberté d’expression était totale et où les insultes, la diffamation, voire les coups sont toujours des pratiques normales et admises pendant les campagnes électorales qui, au moins, sont divertissantes à regarder. De fait, la petite tirade contre la récemment liftée Brigitte Macron, sans même aller jusqu’à sous-entendre que quand elle cligne des yeux elle a les orteils qui bougent ou que le surplus a été replacé dans son sarcophage au musée d’égyptologie et se bornant, gentiment, à la comparer avec sa propre épouse ne dépasse pas un petit 2 sur l’échelle logarithmique Bolsonarienne, le sauveur auto-proclamé de l’univers, donneur de leçons mais pas foutu de résoudre le moindre problème dans son propre pays, pouvant s’estimer heureux de s’en être tiré à si bon compte. D’autant que protester contre les feux de forêts en Amazonie en faisant l’impasse sur ceux, plus importants, qui ravagent l’Afrique pouvait être perçu comme une attaque personnelle et de fait, se faire rappeler, en substance, que quand on n’est pas foutu d’empêcher l’incendie d’une cathédrale inscrite au patrimoine de l’humanité et qu’on se ballade avec une brindille sèche à ses côtés on serait bien avisé de fermer sa grande gueule en matière de combustion, est parfaitement normal. Bienvenue dans le monde réel.
Pendant ce temps, chez les bisounours, on pousse des cris d’orfraie contre les supporters de foot supposément homophobes alors que proposer, de façon tout à fait urbaine et germanopratine, de macroniser diverses instances et personnes consentantes, me semble, au contraire, tout à fait homophile sachant que, généralement, quand on propose à quelqu’un de lui masser les pieds c’est qu’on n’est pas contre les massages. C’est d’ailleurs d’autant plus méritoire qu’au foot, par définition sans les mains, la chose relève de l’exploit technique. Il n’en demeure pas moins que dans cette France aux 11 millions de chômeurs et précaires, dont le niveau scolaire s’enfonce dans les abysses et dont, après avoir laminé le tissu industriel, on vend les derniers bijoux de famille à la découpe, dans l’échelle gouvernementale de ces priorités prioritaires qui pourtant ne résolvent aucun des problèmes croissants de 99 % de la population, l’urgence, qui semble même détrôner l’indéboulonnable lutte contre l’antisémitisme, c’est d’arrêter des matches de foot au motif d’homophobie.
J’ai vérifié, le mot « enculé » figure bien dans le dictionnaire donc c’est qu’il a vocation à être utilisé. Il y a même écrit « trans. » à côté, je suppose que c’est pour « transitif ». Pour autant, afin de ne pas trop heurter les oreilles chastes, je vais employer « macroniser » à la place, ça veut dire la même chose et c’est autorisé dans les stades. Nous vivons dans une société hiérarchique et celui qui se fait « macroniser », au propre comme au figuré accepte de se faire dominer, d’où le mépris des dominants et raison pour laquelle, en prison, où l’on doit absolument trouver sa place si l’on veut survivre, il est fortement déconseillé de ramasser la savonnette sous la douche, la chose y étant couramment pratiquée pour des raisons plus sociologiques que sexuelles. De même, dans un univers politique qui, face au mur de la réalité, voit le retour des mâles alpha, le métrosexuel Macron, seule figure féminine depuis qu’Angela Merkel, au demeurant plus masculine que lui, est partie sucrer les fraises, se fait macroniser en tournante, au point que ses morpions, pourtant habitués, se sont mis en grève en exigeant une prime de risque, par Poutine à Brégançon, Trump au G7 et, en attendant Boris Johnson, par Bolsonaro qui vient d’un Pays où, jusqu’à il y a peu, avant que le ver ne s’installe dans le fruit au nom de la lutte contre le racisme, puis de l’homophobie, la liberté d’expression était totale et où les insultes, la diffamation, voire les coups sont toujours des pratiques normales et admises pendant les campagnes électorales qui, au moins, sont divertissantes à regarder. De fait, la petite tirade contre la récemment liftée Brigitte Macron, sans même aller jusqu’à sous-entendre que quand elle cligne des yeux elle a les orteils qui bougent ou que le surplus a été replacé dans son sarcophage au musée d’égyptologie et se bornant, gentiment, à la comparer avec sa propre épouse ne dépasse pas un petit 2 sur l’échelle logarithmique Bolsonarienne, le sauveur auto-proclamé de l’univers, donneur de leçons mais pas foutu de résoudre le moindre problème dans son propre pays, pouvant s’estimer heureux de s’en être tiré à si bon compte. D’autant que protester contre les feux de forêts en Amazonie en faisant l’impasse sur ceux, plus importants, qui ravagent l’Afrique pouvait être perçu comme une attaque personnelle et de fait, se faire rappeler, en substance, que quand on n’est pas foutu d’empêcher l’incendie d’une cathédrale inscrite au patrimoine de l’humanité et qu’on se ballade avec une brindille sèche à ses côtés on serait bien avisé de fermer sa grande gueule en matière de combustion, est parfaitement normal. Bienvenue dans le monde réel.
Pendant ce temps, chez les bisounours, on pousse des cris d’orfraie contre les supporters de foot supposément homophobes alors que proposer, de façon tout à fait urbaine et germanopratine, de macroniser diverses instances et personnes consentantes, me semble, au contraire, tout à fait homophile sachant que, généralement, quand on propose à quelqu’un de lui masser les pieds c’est qu’on n’est pas contre les massages. C’est d’ailleurs d’autant plus méritoire qu’au foot, par définition sans les mains, la chose relève de l’exploit technique. Il n’en demeure pas moins que dans cette France aux 11 millions de chômeurs et précaires, dont le niveau scolaire s’enfonce dans les abysses et dont, après avoir laminé le tissu industriel, on vend les derniers bijoux de famille à la découpe, dans l’échelle gouvernementale de ces priorités prioritaires qui pourtant ne résolvent aucun des problèmes croissants de 99 % de la population, l’urgence, qui semble même détrôner l’indéboulonnable lutte contre l’antisémitisme, c’est d’arrêter des matches de foot au motif d’homophobie.
Moi, dans cette compétition victimaire qui s’annonce, je suis plutôt team « lutte contre l’antisémitisme », d’autant plus quand on apprend que Yann Moix, protégé et adulateur de BHL a dit, par le passé, des choses que je n’ose même pas rapporter ici, déjà que mon poissonnier me regarde d’un regard bizarre depuis que je lui ai dit que, comme il n’en avait jamais, j’allais finir par me demander si l’anchois avait vraiment existé. Les antisémites sont parmi nous et ils se cachent en pleine lumière, peut-être une antenne entière du 3eme Reich camouflée au sein de la Licra dont, la dernière fois que j’ai vérifié, l’organigramme était exclusivement et suspicieusement blanc, l’agressivité de Christine Angot, partenaire de crime dudit Yann dans « on n’est pas couchés » n’est pas sans rappeler la bête immonde dans son bunker, quant à Bernard Henry Levy, lui-même, qui défend son protégé, cette chemise ouverte sur un torse viril pour détourner l’attention de son visage toujours parfaitement rasé et cette hantise de la frange, qui l’oblique à arborer une coiffure improbable, réveillent en moi les pires délires complotistes. Qui est-il vraiment ? Toujours est-il que le sinistre individu (la confusion étant possible je précise que je parle de Moix), se retire de la vie médiatique, probablement pour un couvent de nonnes, si possibles asiatiques et pas trop vieilles.
Mais trêve de digressions et revenons à la dernière chose encore sacrée dans notre pays : le foot. Marlène Schiappa, plutôt prédisposée, il est vrai, de par son organe lingual en mouvement perpétuel autonome, à d’autres pratiques que celles évoquées dans les stades, et que, par ailleurs, elle plébiscite dans ses livres, forcément, s’en est mêlée, menaçant même de quitter les tribunes en cas de récidive. Un peu comme Macron qui dirait aux gilets jaunes « arrêtez, sinon je démissionne » et, sauf à ce qu’elle s’imagine, ce qui n’est pas exclu, qu’une partie des supporter accorde à sa présence plus d’importance qu’à une bouse de vache recyclée en chiure de mouche sur le crampon de la chaussure du gardien de l’équipe adverse, cela risque au contraire d’encourager la pratique, certains se demandant d’ores et déjà quoi scander pour la faire quitter le gouvernement. Lui rappeler que « gouvernement » est du genre masculin devrait suffire.
Dans tous les cas, si elle dispose de chiffres démontrant que la sodomie est l’apanage des paires homosexuelles, seule raison pour laquelle le fait d’y faire référence serait homophobe, on a le droit de savoir. Il serait paradoxal, en effet, que nous recueillions des statistiques sexuelles alors que notre beau pays vient d’interdire, en catimini, les statistiques sur les sentences rendues par les juges qui auraient pourtant permis de détecter ceux un peu trop sévères envers les gilets jaunes et dont les jugements ont un caractère politique, ce qui pourrait également expliquer la condamnation incompréhensible de génération Identitaire, pour avoir fait pacifiquement respecter la loi, en comparaison de la toute aussi incompréhensible clémence envers Cédric Herrou, pour l’avoir fait enfreindre.
Une France qui, préférant casser le thermomètre qu’admettre la maladie, est un des rares pays au Monde à interdire les statistiques ethniques, donc aucune crainte, le réfugié Afghan qui, ces derniers jours a confondu 9 personnes avec un rosbif halal et en a tué une, en présumant, par délit de faciès raciste, qu’elles ne lisaient pas le Coran, ne viendra gonfler aucun chiffre officiel significatif, Castaner lui-même, pourtant prompt à qualifier les saccages de permanences LREM d’attentats, ne voyant en revanche ici qu’une simple agression. Afin d’éviter tout malentendu tragique à l’avenir, je vous suggère le port d’un T-Shirt avec l’inscription « j’ai lu le Coran » sur le devant avec, en option, pour les plus téméraires : « mais j’ai pas aimé » dans le dos.
Et en parlant de courage, même si je prends des risques, certes calculés mais toujours imprévisibles, en faisant ce que je fais et en disant ce que je dis, j’ai réalisé récemment, devant un des nombreux radars tourelles carbonisés qui démentent leur soi-disant invulnérabilité, les limites de mon dit courage devant le montant hallucinant de l’amende et des peines encourues lesquelles pourraient laisser penser qu’il est moins risqué en France d’être pédophile que de s’en prendre auxdits radars. La crainte de ne plus pouvoir subvenir aux besoins de ma famille fait que, lamentablement, comme tous les manifestants pacifiques dont, en l’état, la seule chance de succès est que Macron se penche à la fenêtre pour mieux voir et qu’il tombe, la seule action que je pourrais me permettre, avec, hélas, une probabilité de réussite équivalente, pour lutter contre ces engins, manifestations symboliques du « Big Brother » omni-voyant qui, peu à peu, prends le pouvoir dans nos sociétés nous privant de notre liberté contre une vague promesse de sécurité, c’est de planter un gland devant et de compter sur une bonne pluviométrie et un cantonnier peu scrupuleux. Les glands ce n’est pas ce qui manque, y compris en milieu urbain, et si je me fais prendre je pourrais toujours dire que c’était pour compenser la déforestation amazonienne.Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
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