Bonjour !
Elle est de retour la fameuse convergence
des luttes, mot composé de deux organes sexuels et d’une poignée pour les
transporter. Convergence qui recule quand on avance, de par la multiplication
de petits groupes (qu’on appelle groupuscules) et de petits partis (qu’on
appelle particules - quand ils sont distingués) lesquels souvent ridicules sont
moins inspirés par Robin des bois que par son comparse Petit-Jean (qu’on
appelle Jean… je vous laisse trouver). En tout cas ça laisse sceptique quant à
la définition de pédoncule.
Certains voudraient qu’on fraie
(pour ne pas le
nommer) les uns avec les autres au sein d’un nouveau Front Populaire preuve, et
je vais y revenir, que l’imagination est une denrée rare. Quoi qu’il en soit,
cette démarche s’inscrit dans un mouvement plus large et YouTube, en tout cas
le YouTube qui prétend faire réfléchir, s’est mis en position missionnaire, en
ce sens que ça bouge frénétiquement, certes, mais que ça n’avance pas vraiment.
Ça blablate autour de concepts élaborés et de stratégies alambiquées alors que la
situation est catastrophique, qu’on a besoin d’action immédiate et que le seul
point d’accord nécessaire est pourtant devant nos yeux, aussi gros qu’un éléphant
rose dans un débat hypothétique voire « hypothét(hyl)ique » entre
Jean-Claude Junker et Martine Aubry.
Ce point c’est le large consensus (encore
un mot bizarre) autour du fait que macron est aussi toxique qu’une Schiappamanite
phalloïde et que, étant donné son bilan au bout de seulement 3 ans, sauf à
vouloir découvrir ce qu’il est encore capable d’accomplir si on lui en laisse deux
de plus, il y a urgence à le virer sachant que, même en pleine pandémie (dont
je ne reviendrai pas sur la gestion calamiteuse pour ne pas dire criminelle) la
machine à détruire ne s’arrête jamais, comme avec la loi « penche-toi encore
un peu plus et ferme ta gueule », dite loi Avia, du nom de cette gracile créature
évoquant une des 3 grâces qui, à défaut de chauffeur de taxi, aurait bouffé les
deux autres et amatrice occasionnelle de brumisations jambières par esclave
salariée. Un as du barreau imbattable en matière de foutage de gueule d’où d’ailleurs
le dicton : « celui qui dit qu’il « bat Avia »
raconte des
salades ».
La haine est désormais interdite,
pourtant (slogan que ne désavoueraient pas nos publicitaires) : « On
a tous une bonne raison de ne pas aimer Macron... » et il suffirait de rendre
visible le mécontentement général par un symbole quelconque propre à envahir la
sphère publique, des vidéos YouTube aux devantures de commerces, en passant par
les hôpitaux, les balcons, les parebrises, les masques… pour faire tellement
monter la pression dans une cocotte-minute déjà bien pleine que si ledit amateur
de poudre (pas seulement de perlimpinpin) ne démissionne pas rapidement, il
sera contraint de s’engouffrer dans un hélicoptère avec bobonne et sa vaisselle
à 500 000 €, devant le raz-de-marée humain qui ira le chercher avec des
piques, certes tentantes, diraient des esprits retors, mais même pour lui, ça
ferait beaucoup…
Comme symbole, pourquoi pas le pangolin ?
pangolin assorti ou non du slogan « Macron dégage » selon votre degré d’énervement.
En outre j’imagine
déjà quelque obscur fonctionnaire, chanceux que le ridicule ne tue plus mais
conscient que la postérité le regarde, devoir rédiger des notes de service, voire
des arrêtés, pour interdire le pangolin ainsi que tous ces juges, perdant le peu
de crédibilité qui leur reste, en condamnant des gens pour port du pangolin en
pin’s sur leur revers de veste.
Un pangolin afin que ceux, parmi nous, affublés
d’une mémoire de poisson rouge trépané au stade terminal d’Alzheimer, même si
BFM TV braque leurs 15 secondes d’attention sur la nouvelle futilité du moment,
se rappellent qu’on a détruit pour rien l’économie, euthanasié des vieux dans
des EHPADs, du scandale des masques, de la chloroquine et des morts inutiles.
Cette
opération c’est donc maintenant qu’il faut la lancer.
Malheureusement, ceux qui,
compte-tenu de leur audience, seraient bien mieux placés que moi pour le faire,
blablatent,
ce qui, logiquement, fout le cafard. C’est là qu’on réalise que si l’on a parfois besoin de la figure de l’intellectuel, souvent autoproclamé, il peut être, lui aussi, toxique y compris dans son propre camp.
Dans une dictature
molle, qui n’a pas de sous pour l’hôpital, mais qui commande en masse des
drones, des lacrymogènes au cyanure, des grenades arrache-mains et des LBD, l’Etat
profond, conscient qu’un intellectuel assis va moins loin qu’un con qui marche,
l’utilise pour sa propension à compliquer, diviser et temporiser en disant aux
foules, prêtes à plonger, d’attendre que l’eau soit à la bonne température, ce
qui casse un peu l’élan et évite que les cons que nous sommes, faute qu’on leur
explique que la révolution est impossible, ne la fassent.
Ceux-là n’ont pas grand-chose
à craindre de la loi Avia sauf, comme Jean Yanne, à haïr les routes
départementales et à ce qu’une dictature dure, étape suivante, ne s’installe
car, paradoxalement, quand une dictature dure s’installe elle commence, elle, généralement,
par éliminer les intellectuels ; pas parce qu’ils représentent une menace,
mais parce que c’est une des conditions sine qua non pour que les choses
avancent : la réflexion précède l’action après, elle l’entrave.
Le second
aspect potentiellement toxique de l’intellectuel c’est ce que j’appelle le
syndrome de la poule. Les gens qui lisent beaucoup avant d’avoir acquis par
eux-mêmes une pensée critique, ont tendance à empiler les concepts comme des lego :
un peu de Nietzche par-ci, un peu de René Girard par-là... En lego on peut
construire beaucoup de choses, même un œuf, malheureusement si, de loin, ça
fait illusion, quand on se rapproche on se rend compte qu’une poule fait mieux
avec son cul.
Les concepts, s’ils évitent de réinventer la roue et permettent
une pensée puissante, quand ils ont été empruntés sont comme des rails qui, sinon
orientent, à tout le moins influencent ladite pensée, une pensée en kit qui
conduit rarement à quelque chose d’innovant et fait qu’on tourne en rond dans
un perpétuel recyclage, reproduisant sans cesse les erreurs du passé.
Tout ce
dont on a besoin pour réfléchir c’est d’une feuille blanche, mais pourquoi
faire simple quand on peut faire compliqué ?
Quand quelqu’un, tel Zemmour
qui n’est pas le pire, a cette citation facile qui impressionne le chaland, il pond
simplement un œuf en lego par la bouche. Les parleurs sont rarement les
faiseurs et accorder trop de crédit aux érudits en kit, souvent sans aucun
enracinement dans la société réelle, revient à valider qu’avoir vu tous les
films de Bruce Lee vous prépare à un combat de rue ou qu’avoir lu le Kamasutra vous permettrait de faire grimper Greta Thunberg à des rideaux en
polyester non recyclables.
Dans tous les cas, la vénération de cette forme d’intellectuel
conduit à élire le meilleur pour parler (souvent le plus menteur), absolument
pas le meilleur pour gouverner.
Je ne fais pas de procès d’intention à des
gens qui ont au moins le mérite de tenter quelque chose, ni ne remets en cause
la sincérité des uns et des autres. Il n’en demeure pas moins que,
factuellement, de nombreuses voix qui portent sur YouTube, où se nichent les intellectuels
2.0 (entre deux vidéos de chats et un tuto maquillage) même si c’est souvent
déontologiquement justifiable (partant du principe qu’un pigeon finissant
toujours par se faire plumer autant qu’il le soit pour la bonne cause) vivent
sur la misère morale et pécuniaire, vendant un petit fix d’espoir à des gens, qui
ne roulent pas forcément sur l’or, contre achat de produits, prestations
diverses et dons sur un tipeee qui a viré les petits Sioux au profit des gros
sous.
On se retrouve ainsi avec des Youtubeurs, voire des intellectuels au sens
large, devenus eux-mêmes des professionnels de la politique, en ce sens qu’ils vivent
de sa critique et que leur intérêt financier objectif est que ça dure, raison
pour laquelle ils sont déjà fixés sur 2022 alors que l’urgence, encore une
fois, c’est maintenant. La question est donc de savoir s’ils sont encore
capables de faire passer leurs convictions avant leur business et d’afficher un
pangolin.
Compte tenu de la gravité de la situation, tout ce qui n’appelle pas
à l’action immédiate, faisant le pari hasardeux qu’il restera encore quelque
chose qui vaut d’être sauvé en 2022, tout ce qui en est encore à vendre des
lendemains qui chantent à coup de Charles Gave, d’Arnaud Montebourg, d’alliances
diverses de la carpe et du pangolin : union des droites, des patriotes, des
souverainistes voire, si j’ai bien compris le concept d’un Youtubeur à bonnet, dans
un de ces derniers live : des humanistes non racistes cohérents, c’est-à-dire
non antiracistes rabiques... bref, tous ceux qui tiennent encore ce discours et
font rêver à des alliances de gens qui, dans la vraie vie, ne pèsent pas grand-chose
et, outre un problème de Lego, on souvent un problème d’ego font, inconsciemment
pour la plupart, le jeu du système.
La priorité n’est plus au débat de fond quand
surgit un ennemi commun. Je n’ai pas lu tout Proudhon mais j’ai lu Astérix. Notre
propension à nous battre entre nous remonte à loin.
Mais quand les hordes LREM
arrivent on doit être capable de faire ça,
quitte, une fois terminé, à reprendre là où l’on en était restés.
Ce n’est pas plus compliqué que ça.
Pour court-circuiter ce réflexe
salvateur, on nous englue dans la politique, seul outil qu’on nous laisse pour
faire joujou (en dehors de l’option Griveaux) mais qui s’avère être un piège
dont la seule fonction est de diviser, piège d’autant plus redoutable qu’on est
dans un système qui se prétend démocratique. Si on était vraiment en démocratie
l’évolution logique serait non seulement le référendum d’initiative populaire,
mais carrément une démocratie directe sans intermédiaire, depuis longtemps
possible technologiquement, et que je prône dans le vide depuis bientôt 4 ans
sur cette chaine, avec ses corolaires que sont, entre beaucoup d’autres, la
responsabilisation individuelle et l’arrêt de la triche par un vote assumé et
consultable, un permis de voter sommaire basé sur des critères objectifs ainsi que
la totale liberté d’expression sans lesquels, vu l’état actuel de la société, produit
de décennies de lavage de cerveau, on risquerait un suicide collectif, certes
pas pire que le suicide actuel, mais que, tant qu’à faire, il vaut mieux prévenir
même si, dans tous les cas, tant qu’à mourir autant mourir libre.
Au moins, les
idéologies sont, sinon mortes elles-aussi, agonisantes, preuve d’une prise de
conscience collective de l’escroquerie ou d’une sensibilité hémorroïdaire
grandissante, mais on continue à nous proposer une offre politique clé en main,
au mieux autour d’un programme cohérent, mais plus généralement, autour d’un
tas de mesurettes en vrac : ça ne marche plus et beaucoup de gens s’abstiennent
à raison, se désintéressant d’un jeu dont les dés sont pipés.
Ce n’est pas
parce qu’on nous refuse la démocratie qu’on ne peut pas collectivement s’emparer
d’une idée en passant par-dessus les machines à diviser que sont les partis
politiques et l’imposer à la société. On peut parfaitement converger sur un point
sans être d’accord entre nous sur le reste, ce qu’un parti ne permettra jamais.
Je vous fais la démo par l’UPR et le FREXIT car c’est vraiment un cas d’école,
mais ça pourrait s’appliquer à n’importe quoi à commencer par l’exigence du
départ de Macron.
à la base, le Frexit est simplement un constat d’échec de l’utopie
Européiste, échec qui me paraît chaque jour moins réfutable et que, personnellement,
j’ai acté depuis longtemps. En revanche je ne suis pas particulièrement attiré
par ce que l’UPR vend avec, à commencer par Asselineau lui-même, même en soldes
et avec tous ses accessoires.
Il peut y avoir une infinité de raisons de
vouloir le Frexit, parfois contradictoires, et s’aliéner d’entrée une partie
des bonnes volontés par un programme politique qui va bien au-delà du Frexit lui-même
n’est pas une bonne idée. Déjà le seul mot "républicain" dans le nom fera l’effet
de Beloubet en nuisette sur toute une partie du public concerné, de l’anarchiste
au royaliste en passant par beaucoup de nationalistes. Ensuite, la position sur
l’immigration va faire tiquer tous ceux qui pensent que le grand remplacement
est une réalité et, paradoxalement, être taxée de nazie par ceux qui
considèrent que le minimum syndical c’est de naturaliser Français l’ensemble de
la planète (ce qui ferait de Napoléon un petit joueur). On pourrait multiplier
les exemples.
Ensuite, il y a le filtrage actif émanant de l’UPR elle-même
tombée, comme tous les autres, dans le piège médiatique et donc soucieuse de
donner une image de respectabilité, sachant que plus aucun média ne cherche à
aller sur le fond, trouvant plus facile de faire le buzz par le biais d’une hitlérisation
par association.
Il est clair, dès lors, que toute personne photographiée avec
une crampe au bras droit et un catalogue de fours à pyrolyse sous l’aisselle
sera exclue du mouvement. Si quelqu’un pense que la terre est plate, on n’a pas
trop envie d’être sur la même photo que lui. Celui qui pense que les américains
ne sont pas allés sur la lune sera mal venu au premier rang; celui qui a des
doutes sur le 11 septembre idem... Bref, tout ce qui est complotiste (ce qui n’a
jamais voulu dire faux) en dehors du complotisme maison sur l’Europe crée par
les États-Unis, sera exclu. Idem pour tous ceux qui sont un tant soit peu
critiques, non sur la tolérance, mais sur la PROMOTION de la culture LGBT.
Là
encore, on peut multiplier les exemples faisant qu’au bout du compte le
discours ne s’adresse plus qu’aux révolutionnaires du bulletin de vote, aux adeptes
du politiquement correct et aux timorés lesquels ne sont pas vraiment le public
le plus tenté par le soi-disant « risque » de l’abandon du Titanic qu’est
devenue l’UE ; timorés qui, déjà répartis entre en marche, le PS et les
républicains, n’ont pas vraiment de raisons de préférer la copie à l’original.
Bref, d’une idée susceptible de réunir le plus grand nombre on arrive, au bout
de 13 ans d’épuisement de bonnes volontés, à 0,98%. CQFD.
Il est clair que la réponse ne se trouve
pas dans un parti politique ou un conglomérat de partis politiques : ce n’est
pas la bonne façon de voir le problème.
D’abord il faut se poser la question de
savoir si le Frexit (ou toute autre thématique) est un but ou un objectif. Un
but c’est une priorité absolue, généralement dictée par une nécessité, c’est-à-dire
qu’entre ça et vos autres convictions (et même entre ça et sauver votre enfant
de la noyade) vous choisissez ça. Un objectif c’est une priorité relative,
comme dans le cas du gouvernement, pour lequel tout, c’est-à-dire rien, est
prioritaire.
Il est évident qu’à titre individuel peu d’entre nous laisseraient
se noyer leur enfant dans la piscine (d’ailleurs peu d’entre nous ont les
moyens d’avoir une piscine et beaucoup de ceux qui en ont vont certainement la
perdre, ce qui limite un peu les risques) mais ça ne veut pas dire qu’à titre
collectif on ne puisse pas avoir un but. En fait la seule raison d’être des
gouvernements c’est justement de dépasser l’humain et ses limites émotionnelles
afin de faire passer l’intérêt collectif réel avant l’intérêt individuel, le
tout au bénéfice du plus grand nombre, dans le souci des générations futures et
de la pérennité de l’ensemble. On en est loin en macronie.
Une fois le but défini, il faut donc se cantonner
à lui et lui seul de même que, quand la maison brûle, il ne sert à rien de se
focaliser sur autre chose que sur éteindre l’incendie. Les partis politiques, par
définition, ne peuvent représenter qu’une offre complexe et forcément clivante.
Ce n’est pas obligatoirement un handicap s’ils sont suffisamment denses et
radicaux pour constituer une réelle force d’attraction pour une partie motivée
de la population (c’est ce qu’a fait un certain Adolphe et qu’on le veuille ou
non, c’est une stratégie qui marche) mais c’est catastrophique quand, à l’opposée,
ils ne laissent couler qu’un robinet d’eau tiède et posent sur l’autel
médiatique de la bien-pensance ce qu’un œil distrait pourrait prendre pour 2
petites figues sèches.
On peut passer par-dessus en faisant
émerger non des systèmes de pensée et des mots valises comme « écologie »
qui ne veulent rien dire, mais des revendications uniques, précises et délimitées,
telles justement le Frexit, en les affichant partout où c’est possible d’autant
que, et c’est là le point principal, n’étant plus l’émanation d’un parti
politique, assumer l’idée ne nous enferme pas dans une case diabolisable par
des médias qui n’attendent que ça.
Mais il ne faut pas se tromper de
priorité et il n’y aura pas de Frexit s’il n’y a plus de France d’autant que la
machine à détruire ne s’arrête jamais, pandémie ou pas, et que les lois iniques
s’enchaînent avec une rapidité effrayante, preuve qu’on est bien dans une
course contre la montre. La priorité est donc de virer Macron.
Loin de moi l’idée
de pousser des gens désespérés vers un bain de sang qui, en l’état, serait l’alternative
pour que démarre une vraie révolution. Au contraire, mon but est de se donner
une chance de l’éviter grâce à ce logo pangolin dont je vous mets le lien en
description, « Macron dégage » (à l’instar du Frexit) faisant partie
de ces revendications spécifiques délimitées que devant l’urgence, on peut
imposer collectivement en dépassant nos différences et les outils foireux que
le système nous laisse pour faire semblant d’être une démocratie.
Libre à nous
de demander à tous les beaux parleurs de tout bord si, oui ou non, ils veulent
éteindre l’incendie et, si oui, pourquoi ils ne l’affichent pas.
Contrairement
à ce qu’essaient de nous faire croire ceux qui nous survendent le courage et la
virilité, l’être humain n’est pas courageux ou lâche, il est (à la base tout au
moins) raisonnable, c’est pour ça qu’il est encore là. Quand un lion arrivait, nos
ancêtres grimpaient sur un arbre. Il n’y a aucune honte à ça. En revanche
continuer à grimper aux arbres quand on est mille et qu’il n’y a qu’un seul
Lion, voire une hyène rieuse, là c’est un mix de lâcheté et de bêtise.
Il faut donc
faire monter la pression au maximum et surtout SE COMPTER par pangolins interposés
pour bien prendre conscience du rapport de forces, les gilets jaunes nous ayant
appris que la progressivité ne marche pas et que, soit on sort par millions pour
prendre l’Élysée et on va jusqu’au bout, soit autant rester dans nos arbres à
méditer sur l’usage récréatif que l’on pourrait faire des bananes.
Autant vous dire que cette vidéo ne fera
pas les tendances YouTube donc si vous pensez, comme moi, que l’idée du pangolin,
symbole du foutage de gueule géant que nous subissons, est tellement ridicule qu’elle
pourrait marcher, likez, commentez et surtout partagez. Appropriez-vous l’idée,
créez et partagez des pangolins personnalisés, faites vos propres vidéos sachant,
en outre, que mon travail étant 100% bénévole et la chaîne par principe n’étant
pas monétisée, vous pouvez librement publier la vidéo originale ou des extraits sur
vos chaînes. Les plus taquins peuvent même faire un peu de trolling façon upr style :
« vous connaissez le pangolin ? ».
Bref sortez-vous les doigts d’où vous
savez et faites ce que vous pouvez pour que la toile et le pays tout entier soient
recouverts de pangolins. Pour notre salut à tous, et en préalable à quoi que ce
soit d’autre, Macron doit partir.
Et, pour les habitués, merci pour votre
soutien et à bientôt… j’espère.