Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.
jeudi 30 juillet 2020
INSÉCURITÉ : Réponse à TATIANA VENTÔSE (qui ne m'a rien demandé, mais ça fait rien!) (30 juil. 2020)
vendredi 24 juillet 2020
Humour : Meurtres, masques et cathédrale... (24 juil. 2020)
Prière:
Personne de sexe indéterminé qui êtes aux cieux
Que votre pronom soit sanctifié
Et que vos règles arrivent
Que votre volonté soit politiquement correcte
sur la terre en arc-en-ciel
Donnez-nous aujourd’hui notre pain sans gluten de ce jour
Pardonnez-nous nos offenses
et bannissez de twitter ceux qui nous ont offensés
Vous pouvez nous soumettre à la tentation, mais délivrez-nous du patriarcat
Car c’est à vous qu’appartiennent BFM, la puissance et la gloire
Et le diner du siècle
Amen
Bonjour !
Désolé
pour les puristes, mais j’ai été obligé de procéder à quelques infimes
altérations pour rester dans le politiquement correct et éviter que la vidéo ne
se fasse striker après un « notre père » machiste et offensant, d’autant
que même si on le met au féminin en l’écrivant « paire », « notre
paire qui est aux cieux » (même si ça pourrait expliquer le manque de
cojones de nos édiles) ça reste quand-même polémique.
Mais bon, au rythme où vont
lesdites choses, si l’on ne prie pas maintenant on n’aura bientôt plus d’endroit
pour le faire. Il faut regarder la réalité en face : les bâtisseurs de
cathédrales c’étaient des pipes. Depuis Notre-Dame, chaque fois que je passe
devant Bercy, pris d’une lueur d’espoir, je jette un mégot contre le mur, on ne
sait jamais, mais … que dalle. Vous faîtes ça avec une église ou une cathédrale
et c’est comme enfermer un top Model dans un Sauna avec Griveaux et Darmanin.
Une trentaine d’incendie en 2 ans, au point que si les flammes sont dans les
églises on se demande ce qui reste à l’enfer.
Par ailleurs, on ne se démène pas
plus que ça pour trouver les coupables et analyser les causes alors que, quand
on avait volé le scooter des fils de Sarkozy (l’homme qui a détruit la Libye et
amorcé la crise migratoire) la sécurité nationale était visiblement menacée et on
avait sorti le grand jeu : police scientifique, relevés d’ADN, repérages
satellites… ce qui s’était traduit par une amende de quelques euros et une tape
sur la main du coupable issu, le pauvre, d’une minorité déjà suffisamment
opprimée comme ça. De l’argent bien dépensé.
Comme quoi, pour les choses
vraiment importantes, la police sait encore être efficace, même si ça ne marche
pas toujours et que, faute de rectoscopie des électeurs qui se sont laissés
prendre, on n’a jamais retrouvé un certain karcher, volé dans son emballage d’origine
avant d’avoir pu être utilisé.
Bon, après, si on retrouvait toujours les
coupables et qu’une certaine tendance se dessinait on serait contraints de
désigner un ennemi factuel et on n’en a pas forcément envie : les
amalgames on laisse ça aux dentistes. Sans compter que c’est toujours une
question de perspective et que (comme on le fait régulièrement valoir pour les
agressions) avant de jeter l’opprobre sur quelqu’un et d’assumer bêtement, en
raison d’un coquard, que A a frappé B au visage, il faut déjà déterminer si ce n’est
pas plutôt B qui a frappé, de son œil contondant, le poing flasque du pauvre A. Dans
le cas de Nantes, certes le « point d’orgue » c’est justement qu’il n’y
en a plus et que les vitraux, au contraire, n’ont pas vécu assez, mais on ne
sait pas quels outrages a tenté de faire subir à l’incendiaire une cathédrale pleine
de cierges atrocement virils, et on ne saurait exclure, d’un revers de main, la
légitime défense, ni même le suicide.
Des questions qui ne se posent pas dans le cas des mosquées ou des synagogues, au demeurant visiblement mieux ignifugées, au point qu’on se demande si une Sainte-Sophisation des églises, à la Erdogan, n’est pas le but recherché, au prétexte de préserver le patrimoine, les cathédrales n’étant, pour certains, qu’un tas de pierre, et peu importe quels troglodytes habitent dedans. Pas sûr, toutefois, qu’un mélange d’une autre foi, surtout si elle est ardente, et de langue de bois soit de nature à régler un problème d’incendies et que quelques larmes de crocodiles suffisent à les éteindre.
En
tout cas, à part des prières, on ne voit plus guère ce qui pourrait nous sauver
du torrent de faillites qui s’annonce étant donné que le cornichon masqué qui
remplace le blaireau bicolore, partageant la fascination écolo pour le monde de
la pédale, voit notre salut dans l’achat massif de bicyclettes fabriquées en
Chine, tandis que le gérontophile à voile et à hydrogène en haut de la chaîne
(de commandement, pas de vélo) prône, lui, la taxation des entreprises qui ont
eu l’outrecuidance de faire des profits pendant la crise, histoire d’être sûr
qu’elles ferment elles-aussi, égalité républicaine oblige.
Pendant ce temps, nos braves députés et sénateurs dont la seule raison d’être est la réglementation de chaque interstice de nos vies par empilage de lois superfétatoires, tout excités par les nouvelles opportunités de coercition qu’offre cet écologisme mondialo-compatible consistant à importer ses graines de chia bio par supertanker tout en emmerdant le prolo qui roule en diesel, envisagent de mettre fin aux forfaits illimités car c’est le bon moment pour mettre des bâtons dans les roues au télétravail et couler encore plus de boîtes.
Je
répète qu’il faut foutre Macron dehors et que chaque minute compte, mais on
nous maintient en pandémie artificielle justement pour éviter tout débordement
social qui conduirait logiquement à ce résultat. Les masques c’est littéralement
le début de « les masques ulation ».
En supposant que le virus
ne passe pas au travers des mailles qui, à son échelle, sont l’équivalent d’un
trou de balle de contribuable moyen pour une mouche en érection, lesdits masques,
qui rappelons-le, ne protègent pas ceux qui les portent, n’auraient une forme d’utilité (sous réserve qu’ils soient de qualité chirurgicale et épousent tous les
contours du visage) que dans le seul cas, où (façon chauve-souris de Bigard) on
serait soi-même porteur sain et qu’on entrerait en contact avec une des 0,4 %
de personnes en sursis d’une autre pathologie pour lesquelles la bébête est potentiellement
dangereuse.
Penser sauver des vies en rerespirant son propre gaz carbonique et autres
exhalations diverses, y compris virales, sous forme concentrée, derrière un
bout de tissus, made in china on ne sait trop comment, c’est un peu comme garder
la tête sous les draps toute la nuit après une soirée cassoulet et prétendre
lutter contre le réchauffement climatique en respirant son propre méthane.
Pour
encourager le port du masque, lequel contribue, par ailleurs, par effet de
masse, à distiller la peur et à augmenter l’hystérie collective, on effraye le
chaland en testant beaucoup (sachant que plus on teste, plus on va trouver de
cas) mais en omettant de préciser que le nombre de morts, essentiellement dans le
reliquat de gens depuis déjà longtemps sous respirateur, est, lui, en
diminution constante (alors même que l’on fait feu de tout bois, allant jusqu’à
cocher la case coronavirus pour quelqu’un, certes positif, mais décédé d’un
accident de moto) et que l’on communique, non sur les chiffres réels, mais sur
les chiffres cumulés depuis le début de l’épidémie. Chiffres jamais, par
ailleurs, ramenés à leur pourcentage dans la population, histoire qu’on ne voit
pas que ledit virus n’a pas tué plus qu’une grippe ordinaire et qu’on ne se
demande pas sur quelles bases scientifiques, des incompétents (ce qui nous
ramène au cassoulet) ont fini de bousiller notre économie. Mais bon, sachant
que Véran c’est l’envers à l’endroit, on peut comprendre la confusion.
Le résultat de cette gestion calamiteuse, cumulé à des invasions de sauterelles sans précédent (même en incluant l’arrivée de Bachelot et le maintien de Schiappa au gouvernement) vont tuer par la faim, dans le Monde, d’ici la fin de l’année, des centaines de fois plus de gens que le virus lui-même, sans que ça n’émeuve personne. Mieux, on n’hésite pas à courir le risque de faire exploser les cas d’asthme, d’allergies, de migraines et de problèmes respiratoires au sein des 99,6% de la population qui ne risque rien, laquelle porte (souvent n’importe comment) en pleine canicule, des cache-museaux loin de présenter les garanties des masques chirurgicaux avec, pour résultat, des cas comme cet américain qui, suffisamment con pour porter un de ces empêcheurs de respirer en rond dans sa voiture alors qu’il était tout seul, s’est évanoui et a perdu le contrôle dudit véhicule, lequel a fini sa course contre un arbre, une analyse confirmant un taux d’oxygène insuffisant dans le sang, consécutif au port prolongé dudit masque.
Un peu partout, des mouvements anti-masque se font jour qui, souvent, se heurtent à des gens complètement lobotomisés qui, contrairement à Schiappa qui n’avale pas, ont ingurgité la propagande médiatique, créant une nouvelle fracture dans notre société laquelle connait déjà le bonheur d’un multiculturalisme d’importation.
Certes, certaines personnes influençables ont vraiment peur, mais une bonne
partie des partisans du masque cherche juste, consciemment ou non, à afficher
une prétendue supériorité morale et son adhésion au camp du bien, de la même
façon que ceux, souvent les mêmes, qui se déclarent pour l’accueil de toute la
misère du Monde; s’imaginant, eux aussi, sauver des vies à bon compte sans
avoir besoin pour cela d’entrer, par exemple, dans un immeuble en feu, à l’instar
des pompiers lesquels se font, quotidiennement, agresser par le résultat de
cette générosité dont la collectivité doit supporter le poids schiappesque.
On n’a pas d’autre choix que de faire avec NOS
bas-de-plafonds et NOS criminels, mais pourquoi importer les rebuts d’autres
sociétés lesquels, faute d’un QI suffisant pour se projeter dans l’avenir et repousser
la tentation de la gratification immédiate, vivent strictement dans le présent
et, incapables de lier leurs actes aux conséquences desdits actes, situées dans
un futur qui n’est pas un concept à leur portée, tuent des chauffeurs de bus ou
répandent de la purée de jeune femme sur 800 mètres d’asphalte sans raison autre
que la résolution immédiate d’un problème mineur ou la satisfaction d’une
pulsion passagère.
L’humanité n’est rien d’autre qu’une classification (comme mammifères ou vertébrés) et ne saurait constituer un critère suffisant pour aider ou accueillir quelqu’un. D’autant que les mêmes qui prônent ce genre de générosité, avec cette même logique qui nous vaut des perles comme « pas de liberté pour les ennemis de la liberté », seront les premiers à exclure Hitler et assimilés de ladite humanité qui cesse donc, de leur propre bouche, d’être universelle. Une vision de la liberté qui fait que, même si, par ailleurs, on prohibe le port du voile et qu’on s’est fendus, en pleine crise des gilets jaunes, d’une loi pour interdire d’occulter son visage pendant les manifestations, ne pas porter l’outil de castration de masse c’est 135 balles et 1500 en cas de récidive.
Comme
j’ai encore une famille à nourrir, je le porte dans les lieux où il est
obligatoire, le mettant au moment où je franchis la porte et l’ôtant à la microseconde
où je quitte l’établissement, masque sur lequel j’ai écrit au feutre « je
suis contre ». Par ailleurs, j’ai trouvé un site qui en imprime des personnalisés
pour pas trop cher et j’ai fait quelques tests avec le pangolin, symbole du
rejet anti-macron que vous trouverez en description et que j’essaie de
promouvoir.
Je les ai reçus en quelque jours. Par contre j’ai commandé le modèle moyen et c’est un peu juste. Je vous mets le lien pour ceux que ça intéresse. Laissez libre cours à votre imagination. Pour les autres, je vous mets les images que j’ai envoyées. Ce n’est pas du sponsoring et vous pouvez peut-être trouver mieux et moins cher. Je vous rappelle que vous trouverez en description les liens vers mes chaînes secondaires, sachant que je viens de passer la semaine à migrer l’intégralité de la chaîne, y compris les vidéos censurées, sur la nouvelle plateforme LBRY (« library », à l’anglaise) où se retrouvent une grande partie des victimes de la dernière purge YouTube.
Cette chaîne, je le rappelle, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons. Si vous voulez me soutenir, likez, commentez et n’hésitez pas à vous abonner si ce n’est pas encore fait. Merci à tous pour votre soutien et vos encouragements, et à bientôt … j’espère.