Communiqué :
Je suis un peu embêté car au moment où j’allais
poster cette vidéo qui traite du thème de l’insécurité en France, j’apprends
que le gouvernement a pris la mesure du problème et l’a réglé définitivement…
en arrêtant Alain Soral, pour « atteinte aux intérêts fondamentaux de la
nation », même si le communiqué ne précise pas de laquelle. Donc,
maintenant que le pays est sauvé, cette vidéo n’a plus vraiment de raison d’être,
mais comme elle était prête, je la poste quand-même. Bon visionnage.
Bonjour,
Quelqu’un m’ayant signalé dans les
commentaires que Tatiana Ventôse avait enfin vu la lumière, j’ai craint un
instant que ce ne fût au bout d’un long tunnel suite aux affres de la peste
médiatico-bubonique qui ravage nos contrées, mais, fort heureusement, il
parlait de sa vidéo intitulée : « le Pays part en vrille ». La
curiosité piquée par autant d’enthousiasme, j’ai sélectionné vitesse X 2 dans
les paramètres et j’ai visionné la chose avec le même intérêt que Macron quand
il fait des commentaires gourmands sur la pointure d’un de ses gardes du corps.
Je ne sais pas si ledit Macron a été déçu
au déballage, mais la Tatiana 2.0, ce n’est pas pour tout de suite. En gros,
elle nous explique qu’on a une recrudescence de meurtriers sans
caractéristiques précises qui tuent des gens, là aussi, sans caractéristiques particulières,
parce que la justice est laxiste et que, franchement, ça commence à bien faire.
Point. le tout en 17 minutes chrono.
Un laxisme qui, par ailleurs, tombe du
ciel et n’a rien à voir avec certaines forces qui visent toutes à la
destruction de l’état nation et qu’on retrouve également derrière l’immigration
de masse : l’idéologie gauchiste qui pervertit les juges, la maçonnerie
qui leur assure la protection nécessaire pour ne pas être emmerdés, un certain
lobby qui, par les lois mémorielles qu’il a imposées, a accru le pouvoir
desdits juges dont l’appréciation prévaut désormais sur l’objectivité des
faits, ou encore, liste non-exhaustive, l’union européenne et les instances
supranationales qui ont ôté toute possibilité à l’état d’y remédier, à supposer
qu’il en ait la velléité et ne soit pas qu’une simple association de
malfaiteurs manipulée par les casseroles indicibles que ses membres ont au cul,
ce qui expliquerait, entre autres, pourquoi le volet Français de l’affaire Epstein
est au point mort et qu’on ait accepté d’en arriver là, par trahisons
successives, sans consulter les Français. Mais bon, je dis-ça, je dis rien.
Quant à oser dire en 2020, avec un aplomb
sibethniayesque que : « racaille n’est pas un terme ethnique, fin de
la conversation » même si c’est lexicalement juste, c’est sociologiquement
aussi faux que de prétendre que la finale du 4 fois cent mètres est une convention
du Ku Klux Klan ou que « l’association des éboueurs juifs de France » refuse du
monde. Et ça ne date pas de 2020 car si Sarkozy avait fait sa déclaration sur
le Karcher dans le 16eme, tout le monde aurait pensé qu’il voulait ravaler les façades.
Le fait que l’immense majorité des coupables de ce que notre gérontophile à
voile et à hydrogène (plus écologique que la vapeur) appelle pudiquement des « incivilités »
ne s’appelle pas Pierre-Henri, ne veut pas dire que tout ce qui nous vient du
continent Africain (directement ou par ascendance) est à classer dans la
catégorie « délinquant », loin s’en faut, et je le maintiendrai tant
qu’on ne retrouvera pas un demi-chauffeur de taxi rôti dans le congélateur de
Laeticia Avia. Mais on se doit d’appliquer ce même principe de précaution dont
on nous rebat les oreilles quand ça arrange le gouvernement et qui, en raison
du décès de 0,04% de la population (dont la majorité serait quand même morte d’autre
chose dans les mois suivants) vaut à toutes les personnes non malades de devoir
respirer leurs miasmes toute la journée derrière un nid à microbes et à
bactéries qui, paradoxalement, affaiblit leur système immunitaire à une période
où, au contraire, tout le monde devrait s’oxygéner au maximum pour le renforcer.
Un principe de précaution qui voudrait
que, tant qu’on n’a pas résolu ce petit problème de meurtres et d’agressions (et
je crains fort que cette fois-ci, élargir les trottoirs s’avère insuffisant) étant
donné que la seule façon de savoir à qui on a affaire quand on croise certains
individus patibulaires, mais presque, c’est d’attendre de voir s’ils nous sortent
un couteau ou non (sachant que, dans certains endroits, les probabilités statistiques
de survie d’un individu lambda la nuit, en cas de défaillance de réverbère, équivalent
à celles d’un spermatozoïde dans une relation homosexuelle) on n’a,
objectivement, guère d’autre choix que de retrouver cette méfiance salutaire envers
ce qui nous est étranger, laquelle a évité à nos ancêtres la tentation d’aller
faire des bisous aux tigres à dents de sabre.
Méfiance forcée que nos
politiques, qui rivalisent de néologismes outrés pour éviter les mots qui
fâchent d’un côté, tout en laissant grand ouvert le robinet de l’immigration de
l’autre (sachant que j’ai même vu passer la vidéo d’un migrant en train de
faire tranquillement rôtir un chat en pleine rue) requalifient de « racisme »
et utilisent comme prétexte pour dédaigner, d’un air vaguement dégouté, toutes
revendications que l’on serait amenés à formuler.
Et ce ne sont pas les Black
Lives Matter et autres mouvement indigénistes qui nous balancent au visage le
privilège blanc de se faire trucider dans des autobus pour un boulot payé au SMIC (au lieu de réclamer un passage de Karcher qui est la seule solution pour
créer les conditions d’une qualité de vie meilleure pour l’ensemble de la
société, minorités comprises) qui vont arranger les choses.
Une autre solution
étant, à l’instar de la caste médiatico-politique, d’habiter dans des quartiers
à l’immobilier hors de prix qui éloigne le lumpenprolétariat tout en donnant
des leçons de morale à ceux qui sont obligés de vivre avec… mais tout le monde
n’en a pas les moyens.
Et tout ça, mademoiselle Ventôse, ne serait-ce que pour
s’être faite agresser dans le métro en 2018 (si j’en crois la vidéo qui y fait
référence) par des personnes qui, coïncidence, ne s’appelaient pas
Pierre-Henri, le sait très bien, ce qui rend encore plus hypocrite le numéro
qui suit (et que je suis désolé de devoir vous infliger) dans lequel elle joue
les fausses sceptiques, terme qui montre la supériorité de l’écrit sur l’oral
pour éviter les confusions, même si dans les deux cas, ça pue un peu :
[transcription de l'extrait vidéo :
" - SeMetàGauche, pour quoi il pleure SeMetàGauche? Il s'est fait agresser par des chances de la diversité, SeMetàGauche?
- Non, non, ce sont des méchants hommes blancs qui ont agressé ce pauvre SeMetàGauche
- C'est faux, je te l'avais bien dit. Nous devrions rétablir les statistiques ethniques. Elles prouveraient que NOUS avons raison. Goebbels!
- Oui les statistiques ethniques prouveraient que c'est SeMetàGauche qui a raison. Ce sont les méchants policiers blancs qui votent Marine Le Pen. On montre, on montre, on montre les statistiques ethniques"]
Bon après, à sa décharge, parfois, il y a
la pression de devoir sortir une vidéo et, dans la précipitation, on essaie des
trucs qui, sur le moment, nous semblent une bonne idée, mais qui nous hanteront
pour la postérité :
L’air de rien, tout en comptant sur le
fait que l’intelligence d’une partie de son auditoire la fera pencher du bon
côté, elle préserve (quand on écoute vite) l’autre partie et éloigne l’épée de Damoclès algorithmique YouTubesque
en vendant l’idée fausse qu’il y a deux camps extrêmes, avec des positions
caricaturales et que la solution se trouve entre les deux. Pardonnez-moi le
langage, mais entre se faire enc*** et ne pas se faire enc***, sauf à m’expliquer
en quoi la solution médiane ce n’est pas se faire « un peu » enc***,
ce qui revient à se faire enc***, je suis désolé, mais il y a des cas (comme
constater que l’eau mouille) où il n’y a qu’une vérité et où il faut choisir son
camp.
D’autant que l’heure est grave. Rien que cette semaine, à Bordeaux, sans
réaction de la municipalité vert pastèque, coups de feu et bagarres à la
machette à côté de la gare, attaques au couteau et aux tessons de bouteille à
Rennes, 5 personnes dont 3 légionnaires blessés à l’arme blanche à Montpellier
et si vous tapez « agression couteau » sur Google et que vous
sélectionnez « moins d’une semaine » vous allez prendre peur.
Le pire étant qu’après avoir admis que
des gens se font tuer pour rien, notre passionaria flamboyante, met ça sur le
compte d’un sentiment d’impunité lié à un laxisme de la justice. Là encore, même
si ledit laxisme est indubitable, notre système judiciaire est calibré pour des
gens (peu importe leur couleur de peau) auxquels il ne viendrait pas à l’esprit
d’en tuer d’autres sans la moindre raison valable et, effectivement, sur ces gens-là,
c’est-à-dire vous et moi, la peur du gendarme fonctionne.
Mais là, on est face
à des individus qui, faute des capacités intellectuelles suffisantes pour leur
permettre de se projeter dans l’avenir et de mesurer les conséquences de leurs
actes, vivent dans le présent, se contentant de réagir, tels des fauves, et
sont, de ce fait, totalement incapables d’être effrayés par la perspective d’une
peine de prison, ni même d’en tirer un enseignement quand ils la purgent puisque,
encore une fois, pour eux, demain n’existe pas. Et non, je ne vise personne au
gouvernement.
Si la mesure du QI peut-être critiquée, elle reste (en attendant
de trouver mieux) la meilleure mesure objective concernant l’aptitude à réussir
dans NOS sociétés, même si, dans le contexte actuel, je suis obligé de répéter,
pour lever toute ambiguïté, que ce n’est pas parce qu’un pays peut avoir un QI
moyen inférieur à un autre qu’il n’y a pas des gens très intelligents (et d’autres
très cons) dans les deux et que, si, toujours dans le cadre de la survie
élémentaire, on est contraints, par le laxisme du gouvernement et son absence
de sélection aux frontières, à avoir des apriori en fonction de certains
critères physiques et comportementaux, chose qu’ensuite on va nous reprocher (ce
qui montre à quel point le système est pervers) il serait malhonnête de ne pas
réviser cette opinion, au cas par cas, et de nier les compétences d’une
personne, quand elle en a, sur des bases purement arbitraires. A l’inverse, on n’est
pas obligés, non plus, de tomber dans l’angélisme au point de laisser, par
exemple, les clés d’une cathédrale à un Rwandais en situation irrégulière.
À ceux
dont le cerveau a suffisamment été lavé pour trouver ce raisonnement
intolérable, je me permets de tendre un petit miroir en leur précisant que, mon
épouse étant Japonaise, au début de l’épidémie, quand on parlait du virus « Chinois »,
l’accès aux caisses du supermarché local s’ouvrait devant nous comme la Mer Rouge devant Moïse et que les porteurs de pancartes « Migrants Welcome! » (que dans
les petites localités on a l’avantage de connaître) n’étaient pas les derniers à
se mettre à distance respectueuse. C’est au pied de l’arbre qu’on voit le
bûcheron et c’est quand ça arrive dans SON jardin qu’on voit l’antiraciste (fin
de la parenthèse).
Pour un gouvernement qui se doit, lui, de raisonner, de
façon plus globale, en termes de flux et non d’individus, il est criminel d’autoriser
l’arrivée en masse de personnes au QI moyen (je dis bien moyen) inférieur (d’autant
que lesdits pays ne nous envoient généralement pas leurs ingénieurs nucléaires),
faisant ainsi baisser, mécaniquement, le QI du pays d’accueil à une époque où
la seule chose qui conserve une valeur marchande c’est, justement, l’intelligence
et l’innovation.
Sans compter que cela prive la sapiosexuelle Marlène Schiappa
(excitée, selon ses dires, par les gens intelligents) de beaucoup d’occasions
de pratiquer le QI Lingus.
En récupérant, non pas des échantillons représentatifs,
mais carrément le rebut, de ces sociétés (ce qui n’a pas toujours été le cas, mais
l’est devenu depuis la crise migratoire qui a fait suite à la destruction de la
digue que constituait la Libye), rebut qui cumule parfois des traumatismes lourds
qui le rendent inapte à une vie normale, on en arrive, chez nous, à des
concentrations de prédateurs opportunistes dépourvus de toute empathie,
supérieures aux pays d’origine.
C’est d’autant plus grave que ce manque d’empathie
et cette incapacité de projection (que ne connait pas un certain Griveaux qui
vient de faire son retour en douce) se répandent dans l’ensemble de notre
société comme un cancer ; notamment dans une jeunesse pour laquelle,
compte tenu de l’état du monde qu’on lui a légué, outre que l’éducation (dite nationale,
mais en fait républicaine) ne lui fournit plus les outils conceptuels pour le
faire, se projeter dans l’avenir ôterait le peu de joie de vivre qui lui reste
dans une perspective éternelle de sexe sous latex et de masque sur la bouche, combinée
à un chômage de masse et à l’idée, à court terme (quand ce n’est pas déjà le
cas dans leur salle de classe) d’être minoritaires dans leur propre pays. D’où
un escapisme croissant dans les jeux vidéo, les réseaux sociaux et autres
réalités virtuelles que la distanciation sociale ne va pas arranger et qui ne
les prépare pas à un futur (qui n’est plus dystopique) dans lequel, si on ne
fait rien, lesdits prédateurs, lâchés dans un monde de moutons, seront les rois,
pendant que les sangsues du haut continueront à se remplir les poches.
Donc, contrairement à ce que dit la douce
Tatiana, on n’en est plus au stade où les choses peuvent se régler selon les
principes foireux d’un soi-disant « état de droit » quand, dans les
faits, le deux-poids deux-mesures est la règle partout et qu’un type qui a une
plainte pour viol aux fesses peut être ministre de l’intérieur alors que de
braves gens perdent leur boulot tous les jours pour un tweet jugé offensant par
un pisse-vinaigre quelconque. Un état de droit qui accorde religieusement (là
où, en revanche, il faudrait faire des distinctions) les mêmes droits à des
gens qui vivent dans des univers parallèles et qui n’ont en commun que d’avoir
deux bras, deux jambes et un sphincter.
On en est déjà au stade où l’on se
prend presque à regretter les « Allah Akbar » qui, au moins, avaient un fondement
politique qu’à défaut d’admettre, on pouvait comprendre. Désormais, on tue pour
tuer.
Je ne suis pas pour la peine de mort ; non en raison du mot « mort »
qui ne me gêne pas, mais du fait qu’on se sente obligés d’y accoler le mot « peine »
qui n’a, dans ce cas, aucun sens. Quand je vois des blattes, je ne punis pas,
je traite.
Certes, pour conserver un semblant de moraline hypocrite, on peut
trouver plus humain de renvoyer vers d’autres cieux ceux qui peuvent l’être et,
pour les autres, de construire de grandes prisons, de les mettre dedans et de
jeter la clef, mais, dans tous les cas, ces individus n’ont pas leur place dans
notre société, pas plus que les pickpockets, multirécidivistes et autres
cambrioleurs qui ne devraient pas être jugés, comme des citoyens ordinaires, en
fonction de la gravité de leurs méfaits, mais en fonction de leur degré de
nuisance pour la société (à ne pas confondre avec la république, ce qui tournerait
vite en 1984) en tout cas, si on veut que ladite société ait une chance de
survivre.
Si on ne cible pas vite certaines personnes, en intégrant, sans
tabou, leurs spécificités ethniques et culturelles à la problématique (ce qui
oblige à avoir une discussion franche, avec référendum à la clé, sur l’immigration
et la remigration, chose qui, en outre, remettrait en cause le principe de libre
circulation sans lequel il n’y a plus d’Union Européenne), en fonction du
pourcentage de moutons prêts à se laisser égorger sans rien faire et du nombre
de frigos vides, tout ça pourrait également, c’est l’autre option, finir en guerre
(qui serait civile si on parlait d’un même peuple) durant laquelle personne ne
prendra plus la peine de séparer le bon grain de l’ivraie.
Je ne fais pas
partie de ceux que cette perspective excite, mais pas non plus de ceux qui feront
le dos rond s’il faut en passer par là, d’autant qu’après, même si ce n’est pas
dans cet ordre que la chose serait le plus efficace (mais ce n’est pas moi qui
choisis), on s’occupera des tireurs de ficelles qui auraient tort de se croire à
l’abri.
Si vous me trouvez un politique qui a les cojones de dire ça, au lieu
de tomber dans le piège du « regardez à quel point je ne suis pas raciste »
dès qu’un journaliste l’interroge, il a mon vote.
Je vous rappelle que cette chaîne, par
principe, n’est pas monétisée, ne fait pas appel aux dons et ne censure aucun
commentaire. Si vous voulez me soutenir, commentez, likez, partagez et, si ce n’est
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lequel figure la transcription intégrale du texte de mes vidéos lesquelles, je
le rappelle, sont toutes sous-titrées (seulement sur YouTube, les autres plateformes
ne le permettant pas encore) pour ceux qui auraient du mal avec mon débit ou
mon accent. Merci à tous pour vos encouragements et votre soutien et à bientôt…
j’espère.
Ce que nous apprennent les données de mortalité https://youtu.be/jkLtPq5-e_k
RépondreSupprimer"principe de précaution dont on nous rebat les oreilles quand ça arrange le gouvernement et qui, en raison du décès de 0,04%"
RépondreSupprimerConfusion entre mortalité et létalité, un classique.
J'arrête donc là le visionnage.