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La vidéo étant illustrée d'un certain nombre de dessins ou de gags visuels, je vous encourage à la visionner avant ou après avoir lu la transcription
Bonjour,
Comme aurait dit Devos : rien c’est rien, mais trois Aryens c’est déjà quelque chose, il ne faut donc jamais sous-estimer le nazisme car c’est extrêmement contagieux. Même l’équipe de France n’est plus à l’abri depuis que Dieudonné a lancé le concept du nazi noir. La preuve, elle n’est arrivée « aryen ». Probablement un effet secondaire de la vaccination. Une contagiosité extrême donc qui surpasse les variants du corona dont, après le delta, l’epsilon et le lambda commencent déjà à faire parler d’eux. La bonne nouvelle c’est qu’il n’y a que 24 lettres dans l’alphabet grec, on devrait donc bientôt en voir la fin.
Fort heureusement, l’état, plus efficace contre ledit nazisme que contre le corona, veille et le site « démocratie participative » sur lequel certains sadiques, désireux de me voir effectuer un numéro de funambulisme au-dessus d’un champ de mines, m’ont demandé mon avis dans les commentaires, est le plus censuré de France. J’espère que vous avez tous votre diplôme non pas du, mais DE second degré, car vous allez en avoir besoin.
En ce qui les concerne, la censure intervient carrément au niveau des fournisseurs d’accès internet, faisant que le site doit constamment changer d’adresse. Autant dire que la possibilité que vous tombiez dessus par hasard est aussi négligeable que les chances d’une cacahuète de conserver son intégrité physique après avoir glissé, durant un banquet, sur la chaise du replet Lechypre (lechybre étant plus en adéquation avec sa tête de nœud) lequel, plutôt que de maigrir afin de diminuer ses comorbidités, en appelle carrément, sur les plateaux télé, à envoyer la police pour obliger les autres à se faire vacciner. La dernière chance pour notre cacahuète reste un repli stratégique dans l’espace inter fessier, réification de la république. Dès lors, même si faible, la possibilité devient non nulle. Imaginons, par exemple, que vous utilisiez le navigateur « Brave » qui permet d’aller sur le darknet, que vous ouvriez une fenêtre de navigation privée avec « Tor » et avec raison, que vous saisissiez dans le bon ordre 56 caractères alphanumériques suivis de « .onion » et là, horreur, vous vous retrouvez, totalement par hasard, devant l’abomination des abominations.
Vous vous dites probablement : il exagère. Et bien non, vous êtes encore loin du compte si vous pensiez que le summum de la subversion c’était des sites gentillets comme Fdesouche ou Boulevard Voltaire, lesquels décochent leurs flèches avec l’arc républicain dans lequel ils se situent encore, ou même le très honni site de Soral, « égalité et réconciliation » nom qui, contrairement à « démocratie participative », n’est même pas ironique, en faisant un repère de doux idéalistes auxquels tout ce que l’on peut reprocher c’est leur côté taquin. Avec démocratie participative, on monte de plusieurs «CRAN»s, ou plusieurs «CRIF»s si vous préférez, atteignant presque le niveau de violence verbale de ces sites antifas ou communautaires qui appellent au meurtre à longueur de journée dans l’indifférence générale et en écriture inclusive, sauf que là ce n’est pas pour la bonne cause envers les gens qui pensent mal, le Français qui se dit « de souche » ou le mâle blanc hétérosexuel et que c’est donc inexcusable. Comme dirait un ami vitrier : « à la réflexion, ce côté miroir me glace ».
Outre une émission hebdomadaire sous forme de podcast (qu’il vaut mieux éviter d’écouter l’été dans les quartiers sensibles, si vous n’avez pas la clim dans votre voiture) on trouve sur le site un certain nombre de rubriques ou sont collectées et commentées, façon brosse métallique sur des hémorroïdes, des actualités sélectionnées. Plus subversif encore, un guide racial des villes qui pointe sur un forum intitulé benoitement : « Europe, écologie, les bruns ». Titre qui a dû provoquer un mini-orgasme chez celui qui l’a trouvé et confirme une propension à une certaine forme d’humour iconoclaste et potache pour le seul plaisir d’agiter l’équivalent d’un chiffon rouge devant un taureau franquiste en 1936.
Le site est hébergé aux Etats-Unis sous la protection du premier amendement qui fait, en raison de cette liberté inadmissible de la parole que, comme chacun le sait, ceux qui prennent l’escalier le samedi y sont poursuivis par des hordes sanguinaires. Les animateurs, pour certains exilés à l’étranger et qui devisent tranquillement, comme s’ils commentaient la météo, en maniant des termes et des concepts qui leurs seraient facturés 200 000€ la minute s’ils passaient devant la 17eme chambre, poussent parfois très loin la réflexion, et au-delà de la provocation, développent tout un argumentaire. Dès lors, dans un monde logique et rationnel, dans lequel les gens considérés comme suffisamment intelligents pour voter, seraient également considérés suffisamment intelligents pour se faire leur propre opinion sur les choses, plutôt que de d’être prompts à verser une toupie de ciment éponyme en criant à la haine, cela se traduirait, en face, par un effort intellectuel pour leur apporter la contradiction. Mais comme on prend les gens pour des cons influençables, ce qui revient à admettre que les élections sont une escroquerie, on assiste, au contraire, à l’interdiction pure et simple du site, au prétexte qu’ils serait la cause d’une problématique, alors qu’ils n’en est que la conséquence, résultat d’un antiracisme qui, à force de voir des nazis partout alors qu’il n’y en avait plus, et ce afin de discréditer tous ceux qui alertaient contre les dangers d’une immigration incontrôlée, a fini par en créer. C’est d’autant plus déplorable que, à ce stade, même à supposer que la finalité des médias ne serait pas de parachever notre descente collective vers l’idiocratie absolue, les toutous du système, incompétents et grassement payés pour jouer les perroquets sur des sujets auxquels ils ne connaissent rien, même s’ils le voulaient, sont trop intellectuellement limités pour débattre. Raison pour laquelle, par comparaison, un Zemmour est dans la position confortable du brochet dans un bocal de poissons rouges et n’a aucune envie d’aller affronter des poissons sauvages à la Soral.
Avant d’entrer plus dans les détails, je tiens, afin de bien clarifier mon appartenance au camp du bien, à préciser qu’ayant pas mal bourlingué, l’esprit de Nadine Morano est entré en moi dès ma prime jeunesse. Non seulement j’ai eu des amis noirs, mais de toutes couleurs, religions et orientations sexuelles et si je ne généralise jamais, une des raisons, probablement, avec son audience limitée, pour laquelle cette chaîne est toujours là en dépit des sujets épineux qu’elle aborde, ce n’est pas simplement par souci d’éviter les ennuis judiciaires, mais juste parce que, quelle que soit la problématique évoquée, il me vient toujours à l’esprit l’image de quelqu’un, bien concret et réel, que j’ai connu ou apprécié qui ne rentre absolument pas dans la caricature (même si, hélas, j’en connais aussi qui vont carrément au-delà, la réalité dépassant parfois la fiction). De toutes façons, cette approche individuelle n’est simplement pas pertinente et ne sert qu’à nous vendre des sophismes en essayant de nous faire admettre que, parce qu’on a trouvé une chèvre carnivore (et non, bande de rustres, je ne parle pas d’Anne Hidalgo) il faut se méfier de toutes les chèvres ou, à l’inverse, que l’existence d’un lion végétarien ferait qu’il faudrait arrêter de craindre les lions.
En fait, quelle que soit sa valeur, tout individu s’inscrit dans une (ou plusieurs) entités plus grandes, et ces entités, souvent en concurrence, peuvent être nocives pour d’autres, indépendamment des qualités individuelles de ceux qui les composent. Si l’on n’a pas compris ça, on se retrouve aussi désemparé face à la problématique qu’une somnambule à forte poitrine qui se réveillerait en nuisette dans le bureau de Gérald Darmanin. C’est normalement le rôle des états que de contingenter et de raisonner non plus en termes d’individus, mais de flux. Si c’est la forêt qui est un problème, tout nouvel arbre qu’on importe ne va faire que l’accroître, de même que, pour régler ledit problème, il n’y a d’autre solution que de couper suffisamment d’arbres pour qu’ils ne constituent plus une forêt. Peu importe qu’il s’agisse de bons ou de mauvais arbres, le résultat étant le même. Si l’état, entité non humaine par nature, ne joue plus ce rôle forcément inhumain de protecteur qui est la seule justification à son existence, et n’offre plus à des citoyens sécurisés le luxe de conserver leur humanité et de pouvoir baser leur jugement, de façon objective, sur les qualités individuelles des gens auxquels ils sont confrontés (autant dire que Lechypre est out), il ne faut pas s’étonner que lesdits citoyens, contraints, par leur instinct de survie, de contingenter eux-mêmes à un niveau qui n’est pas fait pour ça, se retrouvent en proie à une contradiction permanente en regard du miroir que leur tend (en Occident et en Occident seulement) leur propre humanité, chose qui ne peut générer que frustration et violence. Les images antinomiques dont nous bombardent les médias sont là, en effet, pour nous diviser et obliger chacun à choisir son camp fratricide en fonction de ses dissonances cognitives. La première étape pour régler le problème posé par un potentiel doctorant en physique moléculaire qui fait brûler vive son épouse en pleine rue, après l’avoir poignardée, aggravant incidemment le problème du réchauffement climatique, c’est d’accepter les cadavres d’enfants morts sur les plages avec lesquels on nous manipule, en reprenant tranquillement des frites. Mais certains, pour avoir médiatiquement trempé, pendant des décennies, dans le mensonge d’un humanisme béat dont le problème principal tient au fait qu’il n’est pas universel, préfèreront mourir dans le déni et se battre contre leurs compatriotes qui eux, veulent survivre, plutôt que de l’admettre.
Mais bon, revenons à nos moutons.
Il existe une variété de singes qu’on appelle les nasiQUEs, même si c’est leur nez qui est long, d’où le nom. Cette congruence phonétique explique peut-être pourquoi les nazis tout court sont obsédés par les appendices nasaux des gens qu’ils ont dans le nez. C’est le cas de Démocratie Participative, très focalisée sur lesdits appendices, comme on va le voir, et qui, consciente qu’être un bon Aryen n’est pas toujours un compliment, a remplacé ce dernier par le Celte et se réclame, sans complexe, de cette idéologie. N’écoutant que mon courage, afin d’apporter ma contribution à la lutte contre la bête immonde, je vais donc vous spoiler volontairement la philosophie du site pour que vous ne soyez pas tentés d’y aller. Qui aurait regardé Star Wars si la trilogie avait commencé par « Luke, je suis ton père et Leia est ta sœur ? »
Gardez toutefois à l’esprit que les termes employés et les affirmations sont les leurs, pas les miennes, que je n’ai peut-être pas tout compris et que, bien sûr, je condamne tout ça avec tout plein de véhémence. Je tiens d’ailleurs plusieurs seaux de vomi à la disposition de la justice, pour attester à quel point j’ai été révulsé par les propos inadmissibles qui sont tenus sur un site dont même le code HTML suinte la haine. [Borborygme de dégout + bruits de chasse d'eau] On dirait que ma femme vient de vider les seaux. Toujours est-il que si on demande à ces haineux revendiqués "Qui, QUI ???", autant vous dire qu’ils ont la réponse, n’hésitant pas à sombrer sans complexe dans la caricature exutoire dans le but évident de faire bisquer certains individus.
Selon eux, il existerait un groupe tribal de personnes dont la malfaisance serait proportionnée à la taille de leur appendice nasal (je n’exagère pas), groupe réellement persuadé que dieu a voté pour lui au cours d’une élection dont le reste de l’humanité n’a pas plus reçu les professions de foi que lors des dernières régionales, qui vouerait une haine viscérale à l’homme blanc européen (obstacle à l’accomplissement de sa destinée vétérotestamentaire) concurrent qu’il chercherait à détruire par la perversion et la fourberie, façon David contre Goliath, le nombre ne lui étant pas favorable. De ce travail de sape lequel, dimension vétérotestamentaire oblige, s’étalerait sur des siècles, seraient nés : la république, la maçonnerie, l’union Européenne, le communisme, le boomer égoïste, le métrosexuel végan, la féministe hystérique et la communauté de l’alphabet dont le but ultime serait la légalisation de la pédophilie et la sexualisation des enfants dans les écoles.
Tout ce petit monde décadent, dont la vacuité serait illustrée par sa fascination pour les trous, que ce soit son nombril, sa vulve ou le trou de balle des autres, atteindrait l’extase lorsqu’on le confronterait au trou ultime, le vide intellectuel (présenté comme sidéral) d’un autre groupe tribal de personnes généreusement dotées, elles aussi, en appendice nasal (je vous l’avais dit, ça les obsède), mais ce coup-ci en largeur plus qu’en longueur. Le trait est tellement exagéré qu’on s’imagine presque ceux qui traversent la Méditerranée chanter, en hommage à Michel Lebb, réminiscence d’une époque où une certaine forme d’humour dégoutant était encore autorisée : « c’est nous les gars de la narine ». Un groupe au QI présenté, donc, comme limité, à la dentition exubérante et au fort taux de mélanine auquel le premier groupe (qui lui, prônerait la pureté raciale pour lui et le mélange pour les autres) voudrait qu’on se métisse. Des individus décrits avec volupté comme simiesques, en accord avec la vision tant d’Hitler que de Voltaire, et qui, selon le site, tireraient vers le bas tout ce qu’ils touchent n’ayant, par ailleurs, que 2 fonctions préprogrammées : la copulation avec consentement facultatif et le tortillage de fesses au son des tams-tams qui ont, peu à peu, remplacé la musique occidentale, toujours sous l’égide de la première communauté (laquelle, outre l’ensemble des médias, tiendrait l’industrie de ladite musique qu’elle s’ingénierait à pervertir comme tout le reste).
La fascination pour ce groupe ethnique serait telle que même les pseudos nationalistes tomberaient en pamoison quand l’un d’entre eux tient un discours patriote, validant ainsi l’immigration qu’ils critiquent par ailleurs. Une fascination qui atteindrait son paroxysme auprès des féministes lesquelles, tout en pratiquant un génocide de masse sous forme d’avortement de petits blancs (avortement mis en place par une représentante de la première communauté), ne trouvant pas assez virils les mâles qu’elles ont-elles-mêmes castrés, se mueraient en ...utes à ...ègres ou à ...ougnoules (je vous épargne les consonnes). Les ...ougnoules étant un autre groupe au QI à peine plus élevé (toujours selon le site) relevant d’une morale qui n’est pas la nôtre et qui ne saurait pas contrôler ses pulsions et sa violence laquelle se retournerait souvent, rubrique faits divers, contre lesdites féministes, notamment ces quinquas d’un quintal qui font leur marché de saucisse au Maroc et s’étonnent qu’une fois sa carte de séjour en poche leur mari de 25 balais les largue après les avoir transformées en punching-ball. Des féministes et autres droit-de-l’hommiste décrites comme en quête d’une dose de testostérone, des baffes qui vont avec et de séances de copulation non respectueuse, sachant que la progéniture (généralement à problèmes) qu’elles accumulent ensuite, souvent issue de pères différents, est prise en charge par la collectivité.
Par collectivité, il faut comprendre, toujours selon eux, le petit blanc qui bosse, se fait « allahouakbarer », subit la dictature sanitaire et qui, contrairement aux autres, n’a pas le droit de revendiquer sa propre communauté et le désir de vivre parmi les siens dans son propre pays; le point commun de tous ces autres groupes étant de vivre à ses crochets que ce soit sous forme d’impôts, de retraites, d’aides, de subventions, de redevance télé et d’allocations diverses. Voilà, vous étiez prévenus.
Je pense avoir à peu-prés résumé la chose, sachant, pour ceux que j’ai pu choquer, que j’ai considérablement édulcoré le vocabulaire, le site s’ingéniant à exploiter à fond le côté cathartique que certains, qui se sentent brimés dans leur liberté d’expression, pourraient ressentir, en utilisant jusqu’à la caricature les termes les plus insultants et discriminants possibles pour décrire ce que les bien-pensants appellent « l’autre » et qu’on nous oblige à aimer inconditionnellement et surtout unilatéralement.
Sans même évoquer Aimé Césaire ou plus modestement Greg-Toussaint, cas individuels qui, comme je l’ai dit, ne sont pas forcément pertinents pour invalider l’appartenance à une entité, mais suffisent pour invalider la généralisation absurde sur la base de la seule couleur de peau, on pourrait leur objecter que quand on voit les morphotypes de ceux qui torchent le cul des petits vieux dans les Ehpads, qui livrent les colis qu’on commande sur Amazon etc. il est évident qu’il n’y a pas QUE le petit blanc qui bosse et qu’à contrario, outre les zadistes et autre punks à chien, sans compter les nationalistes qui tels des Conversano font ouvertement le choix du parasitisme et se vantent de toucher le RSA, les étrangers (dont, par contre, on pourrait se demander de quel droit eux le touchent) n’ont pas le monopole du suçage par le bas des finances publiques, l’aspiration principale se faisant, de toutes façons, par le haut. Pourquoi toutes ces aspirations m’évoquent-elles Marlène Schiappa ? Aucune idée.
Au final tout cela est du cirque, toutes les positions, qu’elles soient racistes ou antiracistes, étant biaisées et nécessitant une dose de mauvaise foi dont personne d’intelligent n’est dupe. Dès lors que la froide logique n’est plus une option dans ce monde de l’émotion, le sacrifice d’un bouc émissaire s’avère inéluctable et la question n’est plus de savoir qui a raison mais, l’individu étant en quête de survie avant d’être en quête de vérité, lequel des récits palliatifs qui s’affrontent est le plus à même d’assurer notre survie collective.
Donc, en conclusion, soucieux de ne pas faire l’apologie de la haine, je vous exhorte, même si vous avez vos deux doses de vaccin (surtout si vous avez vos deux doses de vaccin) à ne pas y aller.
Pour ma part, j’essaie d’occuper, à mon modeste niveau, l’intégralité du petit espace que ladite censure nous laisse, l’abandonner par l’auto-censure étant la meilleure façon pour qu’il se réduise encore. L’espérance de vie de cette chaine est donc la même que celle du canari dans la mine et, que vous soyez d’accord ou non avec mes propos, le jour où elle ne sera plus là, cela voudra dire que cet espace aura été perdu pour vous aussi.
Merci à tous pour votre soutien, et à bientôt… j’espère.
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