Transcription de ma vidéo sur YouTube :https://youtu.be/VQdnoUhi3V0
Bonjour !
Notre être collectif a choisi le suicide par intromission anale (voire, sous peu, vacci-anale les doses ayant déjà été commandées, avant les élections, pour le mois de mai). Avant on appelait ça le supplice du pal, aujourd’hui, de peur d’être taxé d’homophobie, on appelle ça l’ouverture à l’autre. 5 ans de Macron, cette fois en roue libre, sans les mains et sans selle, lâchant complètement les pédales, (sauf celle qu’on sait, mais qu’on n’a pas le droit de dire) et les perdant totalement au passage.
En face on avait pourtant du lourd (même au figuré) : une éleveuse de chats, incollable sur Dalida et qui a pondu beaucoup de « euh ! » pendant le débat se faisant visiblement dessus d’où son surnom Le Pen des pisses. Bizarrement, cela n’a pas suffi à enthousiasmer les foules de boomers masqués, inquiets qu’on les prive de leur élixir de la vie éternelle et encore moins les dissonants cognitifs de gauche lesquels (trompés par un Mélenchon dont il suffit de faire pivoter les trois dernières lettres du prénom pour connaître la nature profonde, qui incapable d’ingurgiter assez de viagra pour se motiver à être sous-Marine, a préféré être sous-marin de Macron dans l’affaire) ont courageusement refusé le RIC et la retraite à 60 ans, joueront les castors comme un seul homme aux législatives et ressortiront avec enthousiasme de la partie intime dans laquelle le gérontophile les leur avait carrées, leurs pancartes « Macron salaud le peuple aura ta peau » pour les 5 ans qui viennent.
5 ans pendant lesquels, la menace d’extrême droite peroxydée dont ils ont sauvé la France, tout en touchant sa petite rente, somnolera mollement histoire d’être en pleine forme pour remettre le couvert en 2027, 2032, 2037 et plus si la France existe encore. Elle n’a d’ailleurs même pas augmenté ses scores si l’on considère qu’elle termine au même niveau que celui annoncé avant son débat calamiteux de 2017. Compte tenu de la capacité du système à fabriquer des cons centrés et l’accroissement façon casquette du préfet Lallement du Grand Remplacement compensant largement le décès progressif des boomers quintuples dosés, on sait donc déjà parfaitement à quoi s’attendre à l’avenir.
Nos compatriotes de gauche, qui sont ce qui reste après avoir retranché d’eux-mêmes « patriotes » au mot, ont cette particularité de ne jamais apprendre non plus. À chaque élection, un coup de Marx et ça repart. Un Marx que souvent ils n’ont pas lu et qui n’avait pas perçu que le capital n’est qu’un épiphénomène, le véritable poison étant d’accepter le pouvoir de l’illusion, certains diraient du Malin, sur la réalité. Certes, la matérialisation du concept d’argent sous forme de billets donnant l’illusion qu’il a une existence propre fait partie du problème, mais c’est aussi le cas de l’introduction du virtuel dans le réel qu’essaie de nous fourguer Zuckerberg avec son metaverse, de l’illusion de l’État providence, ouvert qui plus est au Monde entier, du sigle LGBTQQI2SAA fois le carré du cosinus de ma grand-mère discriminatoirement confiné dans un alphabet homophobe de 26 lettres seulement, des artifices vestimentaires mettant en exergue la féminité débordante de Brigitte Macron etc. etc. etc.
Autant de choses que Marx, à son époque ne pouvait anticiper, les lois de la nature conduisant inévitablement à un effondrement de tout système qui fait interagir l’illusoire illimité avec le réel limité. D’ordinaire, ces effondrements se résolvent par la guerre qui remet les compteurs à zéro. Depuis l’ère atomique, que Marx ne pouvait anticiper non plus, la guerre a changé de forme et s’est cantonnée aux bombardements réguliers de petits pays secondaires et au pillage continu des populations par le camp du bien. Mais, désormais, cela ne suffit plus. La seule dette publique mondiale (non incluses celle des entreprises, de certaines collectivités et des ménages) a dépassé les 300 000 milliards de dollars soit, convertie en billets de 1 dollar, une petite liasse de 33 millions de kilomètres de haut équivalent à la moitié de la distance moyenne jusqu’à Mars qui est aussi le dieu de la guerre. La guerre, même nucléaire, est donc inévitable si on laisse faire les entités qui nous gouvernent, car même le grand Reset qu’ils ont en tête, consistant à siphonner les comptes en banque de ceux (dont la majorité a voté pour Macron) qui en ont encore un, non seulement ne suffira pas, mais sera trop long à mettre en place face à l’imminence du prochain effondrement. Donc, un grand merci à tous ceux qui, avec Macron, ont choisi la guerre.
Certains, se disant accélérationnistes s’en réjouissent, s’imaginant que l’effondrement généralisé marquera le début d’une renaissance « ordo ab chaos ». Il faut bien comprendre que nous ne sommes plus, malheureusement, dans la situation de l’Empire romain, qui s’est effondré laissant la planète intacte prête à voir l’éclosion de nouvelles civilisations. Rien ne repousse après un hiver nucléaire auquel s’ajouterait l’explosion d’un nombre indéterminé de centrales beaucoup plus dévastatrice que les frappes militaires, ne permettant au mieux que la survie de quelques fourmis et de Manuel Valls. Ne commettez pas l’erreur de croire que les mêmes qui n’hésitent pas à recourir au suicide économique par les sanctions contre la Russie et qui ont déjà à leur actif Hiroshima et Nagasaki, hésiteront à sauter le pas, encore moins avec un Biden, mix d’Al Capone et d’Al Zheimer à la tête du bloc occidental.
Autant dire que les débats autour de l’ineptie que l’on appelle « pouvoir d’achat », maintenu à crédit, sont à des années lumières des enjeux véritables qui passent à des kilomètres au-dessus de la tête d’une majorité d’électeurs, effrayée y compris par le RIC qu’elle considère revenir à donner des allumettes à une classe de maternelle, et qui a préféré, dans sa grande sagesse, confier lesdites allumettes et le destin du pays directement à un pyromane, certes plus « nez long » que Néron (d’où sa propension à aspirer les poudres autant qu’à y mettre le feu). Il va en résulter un climat insurrectionnel à côté duquel le quinquennat précédent semblera aussi serein que les amygdales de Marlène Schiappa avant qu’elle n’ait expérimenté pour écrire ses livres, l’état finissant par atteindre le point critique où la violence croissante qu’il va déployer pour mater la contestation cessera d’avoir un effet dissuasif et où il ne pourra plus maintenir le moindre faux-semblant de démocratie.
En admettant que, par je ne sais quel miracle, on puisse encore décorréler le sort de la France de celui du bloc occidental, ce qui n’aurait pu se faire qu’en envoyant Macron pratiquer son activité préférée chez les Grecs, on est en droit de se demander ce que l’on essaie de sauver au juste. Force est de constater, en effet, n’en déplaise à un Zemmour, que la majorité des suicidaires qui ont voté pour le McKinseyphile n’est pas issue de l’immigration et que les territoires d’outre-mer ont voté plus intelligemment que la métropole, preuve qu’avant d’être tués de l’extérieur, les Français l’ont été de l’intérieur victimes, depuis les lumières, d’une idéologie mortifère qui a achevé l’église en 1905, entériné le nationalisme comme étant un danger après 1945, terminé notre américanisation en mai 68 et toléré le camembert au lait pasteurisé dès les années 50. Le grand remplacement de notre essence profonde a donc précédé de plusieurs décennies celui de la population lequel, sinon, n’aurait jamais été possible.
C’est normalement à l’état, entité par définition inhumaine supposément immune au pathos (et qui ne remplit plus son rôle si elle cesse de l’être) qu’il incombe de gérer impitoyablement les flux en amont en tenant compte, non seulement des qualités propres des individus qui souhaitent entrer sur le territoire Français, mais également des caractéristiques collectives des groupes auxquels ils appartiennent et de leur compatibilité, en tant que groupes, avec le substrat national auquel ils sont supposés s’intégrer. Si ce tri n’est pas fait en amont de peur de faire mourir d’indigestion quelques poissons en méditerranée, c’est le citoyen français (lequel, ayant perdu ses mécanismes naturels de défense, n’est dans l’âme ni xénophobe ni raciste) qui se voit contraint, s’il veut survivre, d’avoir des a priori ethniques et culturels au niveau individuel alors qu’il n’aspire qu’à apprécier objectivement les personnes qu’il côtoie (dans l’espace supposément protégé que constitue la France) en fonction de leurs qualités personnelles et intrinsèques. Il en découle un profond malaise renforcé par le fait que toute tentative individuelle de pallier, sur ce point, les carences de l’état est impitoyablement sanctionnée par ce dernier, ce qui rend la situation encore plus ubuesque et ne peut que culminer, à terme, là aussi, dans une explosion de violence.
Un pays c’est avant tout un peuple, ce peuple n’est plus que l’ombre de lui-même, on peut donc considérer que la France est morte, même si le cadavre bouge encore. Seule subsiste une petite étincelle qu’on retrouve dans cet esprit français, souvent identifié par cette impertinence caractéristique qui ramène l’humain, quel que soit son statut, à sa qualité de chiure de mouche, mais d’essence divine quand même et qui aspire donc à être autre chose. Une impertinence, traquée par des lois liberticides, des tribunaux plus dénués d’humour que les monarques les plus absolus de jadis et mise à mal par la limitation du vocabulaire général à quelques centaines de mots, vidés de tout sens et de toute nuance. L’excellence française, directement impactée par le changement de substrat de population et l’absence d’un environnement serein et apaisé, a en effet, malheureusement pour elle, pour caractéristique première de rendre encore plus visible la médiocrité des élites lesquelles, dès lors, la combattent d’autant plus férocement, en commençant par l’école qui au lieu de détecter, former et favoriser les locomotives concentre ses efforts sur les wagons au nom de l’égalité. Les médiocres ayant tendance à s’entourer de plus médiocres qu’eux, le mouvement ne fait que s’accélérer jusqu’à l’idiocratie et au suicide collectif auquel nous assistons, impuissants.
On a pu noter une petite résurgence de cet esprit français sous forme de mèmes, les images tentant de pallier les carences lexicales, mais ils sont impitoyablement traqués sur les réseaux sociaux, façon femen dans une mosquée ou une synagogue, chose qui pourrait changer, seule lueur d’espoir dans cet avenir glauque, avec le rachat de Twitter par Elon Musk.
Certains essaient de nous vendre que si la démocratie n’a pas marché, c’est qu’il n’y a pas assez de démocratie et attendent vos dons pour continuer le combat par les urnes. Personnellement, il y a déjà quelques années, j’ai démarré cette chaîne en mettant en évidence que la démocratie n’était envisageable qu’avec des électeurs correctement formés et informés, titulaires d’un certificat d’aptitude obtenu après des tests basiques de logique et de compréhension de texte, qu’elle était, de toute façon, inadaptée aux périodes de crise, car trop lente à la détente, que la seule manière de contourner ce problème était une démocratie directe par vote électronique en temps réel et que la seule façon d’éviter toute triche était de supprimer le secret du vote lequel doit être assumé et traçable, ce système permettant, dès lors, de se passer de l’ensemble des parasites et partis politiques, raison pour laquelle, même si techniquement réalisable, ce qui pourrait être le plus grand changement de paradigme de l’histoire ne verra probablement jamais le jour.
À ce stade, sauf à ce que Macron n’ait pas la majorité aux législatives ce qui (compte tenu des illusions des gauchistes abusés par l’escroc Mélenchon et de l’intention du RN de tuer reconquête pour maintenir sa rente) relèverait du miracle, le seul espoir, à défaut d’un missile hypersonique sur l’Élysée, sera de canoniser Ravaillac et de lui adresser une fervente prière. Comme il ne sert à rien de se rendre malade pour des choses sur lesquelles on n’a aucun impact, c’est le moment de vous aérer, de vous changer les idées et de profiter de votre famille et de vos proches. Pour ma part, j’ai démarré une nouvelle chaîne « la caverne de la mite » dont je vous ai mis le lien en description et où je posterai tout ce qui me passe par la tête et qui ne parle pas de politique. Pour l’instant, afin de tester le concept, j’y ai mis un conte pour enfants que j’avais écrit pour ma fille, suivront des choses aussi variées qu’éclectiques touchant de nombreux domaines. Cela n’intéressera pas forcément la plupart d’entre vous, mais si vous souhaitez m’encourager, n’hésitez pas à vous y abonner.
Tant que vous y êtes, n’oubliez pas de cliquer sur tous les machins en bas et à bientôt… j’espère.