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lundi 27 mars 2023

MACRON va-t-il sauter ? Analyse (27/03/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/6paMcNgzKEk

Bonjour ! 

Si quelque chose se comporte comme un canard, fait coin-coin et pond des œufs, on a quand même moins de chances de se tromper en disant que c’est un canard qu’en envisageant l’éventualité d’un lapin xenogenre couvant un œuf de Pâques. De même, si quelqu’un détruit méthodiquement la France depuis des années, insulte et « emmerde » régulièrement les gens qui ne sont rien, il est cohérent d’imaginer être en présence, là encore, d’un gros canard (libre à vous de mettre un peu de diversité républicaine dans les voyelles) autant attaché à notre pays qu’Éric Ciotti à un peigne collector en os de pénis de baleine. 

Il y a donc peu de chances qu’en soi, la menace de bloquer, durant quelques jours, l’économie perturbe plus que ça quelqu’un qui n’a pas hésité à la mettre (et à nous pisser) à l’arrêt pendant plus d’un an juste pour polluer nos gènes avec un machin hors de prix, aussi efficace qu’un col roulé contre Vladimir Poutine (si l’on compare avec les pays qui, eux, n’ont pas jugé utile de massacrer leur PIB), et dont je soupçonne la capacité à mentir surhumaine d’Olivier Véran et la tête en forme de gland décalotté d’un autre arbre oléagineux du gouvernement (avec qui on est loin « du saut » qualitatif) de faire partie des effets secondaires. 

Macron non seulement a été mis là pour presser le citron France jusqu’à la pulpe, mais pour s’assurer que la pelure, une fois aussi desséchée que le dernier tampon hygiénique de Roselyne cacha… Bachelot, ne puisse plus jamais exister en tant que nation ethniquement cohérente, composée d’individus ayant une finalité commune et la capacité de faire bloc, autant dire en tant que nation tout court. Cette destruction est nécessaire et on n’a pas vraiment le « Schwab », lorsque, comme lui, on adhère à l’idée délirante d’un nouvel ordre mondial basé sur un crédo économique aussi décorrélé de la réalité que le concept de toilettes non genrées en Ouganda. Un fanatisme qu’on ne peut vraiment comprendre sans regarder en face sa dimension de culte ésotérique, la perte de notre spiritualité et la prise à la légère concomitante de cet aspect ne devant pas nous faire oublier que ce n’est pas nous qui décidons que ce jeu s’est arrêté et que, pour d’autres, en particulier une partie de l’élite oligarchique (qui cherche une justification à son hégémonie jusque dans les remugles du pédosatanisme) les guerres de religion n’ont jamais cessé, l’arbre de l’Islam cachant une forêt plus pernicieuse. 

Donc, si tout ce qui fait du mal à la France sert potentiellement les desseins de Macron (lequel a quand même vendu Alstom, fermé Fessenheim, cassé EDF, massacré nos PME et fait en sorte que l’affichage du déficit de la balance commerciale nécessite de changer la carte graphique de notre ordinateur) on peut se demander pourquoi le chaos qui s’installe le met, paradoxalement, aussi mal à l’aise que la première fois où il a vu Brigitte sans son slip kangourou. En fait, sa véritable crainte est de montrer à ses maîtres (lesquels, pour le placer là, ont tordu le système électoral façon nez de Nabila avant chirurgie) qu’il a perdu le contrôle de la situation et ne sera pas en mesure d’éviter un sursaut populaire avant le point de non-retour, relativement proche, à compter duquel la France ne pourrait plus jamais se relever. S’il échoue aussi près du but, il est probable qu’il sera sacrifié, comme le pion qu’il est, non seulement au figuré, mais peut-être même au propre, la foule ayant besoin d’un bouc émissaire à réduire en charpie pour se calmer, oublier qu’une partie a voté pour lui non pas une, mais deux fois, et accepter qu’on lui refourgue ensuite le prochain cheval d’une autre couleur, mais de la même écurie. C’est pour cela qu’il ne peut absolument pas reculer et qu’il s’accroche à sa réforme comme un morpion sur un des testicules en nombre indéterminé du couple présidentiel. 

Malheureusement pour lui, une grande majorité de la population a fini par réaliser que le roi est nu(l) et remettre le dentifrice dans le tube de sauce tomate risque d’être compliqué. Le fait que la visite du Roi d’Angleterre (pas vraiment rassuré de voir un Darmanin, atteint d’ethnopathie visuelle, chargé de sa sécurité) ait été reportée à des calendes plus ou moins grecques ne joue pas en sa faveur. Sa tactique habituelle du pourrissement semble non seulement ne pas marcher, mais se retourner contre lui, le temps jouant dès lors en sa défaveur, même avec une montre à 80 000€. On peut donc s’attendre à ce qu’il joue son va-tout en intensifiant la répression. Mais quand même l’Iran s’insurge contre les atteintes aux droits de l’homme dans notre pays donneur de leçons au reste du Monde, sauf à passer officiellement en mode Ceausescu, il ne lui reste pas beaucoup de marge de manœuvre. 

Et, à ce sujet, si ça ressemble à un Benalla motorisé, que ça se compote vis-à-vis des manifestants comme un Benalla, il y a des chances que ce soit un Benalla, et je ne serais pas surpris que, derrière leurs casques opaques, les membres de la Brav-M, au moins pour partie, compte tenu de leurs exactions documentées, ne soient même pas des policiers, mais des barbouzes de Macron. Peut-être même que, parmi eux, le Benalla originel, lequel coule tranquillement des jours heureux à l’abri des caméras des médias amnésiques, s’adonne, en toute discrétion, à son passe-temps favori. 

À la décharge de Macron, comme diraient les éboueurs en grève et Benjamin Griveaux, je rappelle aux poissons rouges et aux plus jeunes que tout a basculé en 2010 à l’occasion d’une autre réforme des retraites qui avait également mis dans la rue des millions de personnes (dont j’étais) peu enthousiastes à l’idée d’en prendre pour 2 ans de plus et naïvement persuadées que, comme Juppé en 1995, Sarkozy allait céder devant le nombre. Cette immonde pourriture à talonnettes dont on ne mesure même pas le mal qu’il a fait au pays et au Monde, recyclant le reste de la vaseline du traité de Lisbonne, nous a superbement ignorés, occupé qu’il était à revendre son Kärcher sur l’équivalent du « Bon Coin » de l’époque. Les syndicats, incapables d’appeler à une révolte qu’ils ont justement été créés pour éviter, révolte labellisée « non républicaine » par une république qui en est pourtant issue, se sont couchés et, après un moment de stupéfaction durant lequel on entendait les OQTF voler, chacun est rentré gentiment chez soi. 

Depuis, forte de cette jurisprudence, l’oligarchie considère les manifestations comme des promenades récréatives d’un point A à un point B avec retour à la niche à temps pour Hanouna tandis que des black blocks (dans lesquels d’immondes complotistes voient des policiers déguisés) jamais inquiétés, parachèvent le dispositif en faisant brûler des trucs devant les caméras pour que les aficionados du journal de 13 heures fassent pipi dans leurs protections absorbantes et désavouent le mouvement ; une poubellophobie qui permet également de justifier autant de coups de matraque pédagogiques que nécessaire sur le péquin moyen, certes gazé et éborgné sur les bords, mais désormais présenté par des médias aux ordres comme un factieux à frange et moustache subliminales. 

Le seul problème c’est qu’en dépit de la baisse orchestrée du QI moyen par : l’école, l’immigration anarchique, les perturbateurs endocriniens, l’aluminium en injection, Marlène Schiappa et l’encouragement de la gent féminine à faire n’importe quoi en matière de sélection du père de leurs enfants par la subvention des familles monoparentales, les gens sont quand même moins cons que nos élites ne le pensent et que cette petite mécanique bien huilée, mais par trop répétitive, commence à devenir aussi apparente que le glaçage narinaire de notre leader suprême. 

Outre la prise de conscience profonde de la nullité du personnage (au point qu’on le hue dans les stades) la nouveauté, par rapport aux secousses sismiques sociales précédentes, c’est que les hauts responsables syndicaux stipendiés sont débordés par leur base (laquelle inclut désormais la classe moyenne victime, à son tour, de l’eau qui monte); base qui, elle, a parfaitement compris les enjeux. Pris au piège du jusqu’au-boutisme de Macron, ils sont obligés de donner le change et de la voix, même si la CFDT propose désespérément la porte de sortie d’une suspension « provisoire » de la réforme histoire, on suppose, de briser l’élan révolutionnaire. 

Comme par hasard, une foule d’acteurs et autres chanteurs auxquels on n’a rien demandé et qui étaient aux abonnés absents pendant les gilets jaunes, viennent subitement apporter leur soutien en y mélangeant des discours LGBT et autres foutaises climatiques afin de bien noyer le poisson et que ça parte dans tous les sens tandis qu’Aurore Bergé, soucieuse de bien montrer à quel point ceux qui ne veulent pas se laisser sodomiser à sec sont des méchants, exhibe une lettre d’insultes (qu’il serait complotiste d’imaginer qu’elle aurait écrite elle-même), menaçant rien moins que son nourrisson de 4 mois déjà bien compromis, le pauvre, par son héritage génétique. Bien sûr, tout le spectre des couillons (de la NUPES jusqu’au RN) qui placent la défense des institutions avant celle de la France, vaguement conscients de leurs intérêts sectoriels parasitaires communs et du fait qu’une fois la guillotine en place on ne sait jamais ce qui pourrait arriver, tombent à pieds joints dans le panneau compassionnel en clamant, le torse bombé, que les violences envers les élus sont inacceptables. Le nouveau Robespierre sera donc à chercher ailleurs. 

Pour éviter ces pièges, le seul objectif, et encore une fois, la seule chose que Macron craint, devrait être de démontrer à ses maîtres qu’il a perdu le contrôle de la situation, et ce, car il ne faut jamais sous-estimer la connerie humaine, avant que l’effondrement, annoncé par ces banques dominos qui, ces jours-ci, tombent les unes après les autres, ne vienne lui sauver la mise en donnant une énième possibilité à ce pompier pyromane, au cul, jusqu’ici, quand même bordé de nouilles, de se poser encore une fois en sauveur de la nation devant des moutons tétanisés à qui on vendra que remettre leur masque et rester confinés à la maison les protégera contre l’évaporation de leur compte en banque. 

Nous sommes à un point de basculement potentiel, les gens ayant enfin réalisé qu’après tant de défaites et d’humiliations destinées à nous cacher autant la faiblesse d’un pouvoir aux pieds d’argile que notre force véritable, il suffirait juste de pousser encore un peu pour pouvoir enfin décider de notre destin. Si nous lâchons maintenant, pour Macron, lequel ne s’arrête jamais, ce sera open-bar, et sans même laisser à notre sphincter anal le temps de se rétracter, il a déjà annoncé la suite des réjouissances avec la prochaine loi travail et celle non pas contre mais, nuance subtile, « SUR » l’immigration, qui vont finir de casser le peu qui reste de notre système social. Nous n’aurons pas de deuxième chance. 

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dimanche 19 mars 2023

La vidéo que vous n’oserez pas partager ! (19/03/2023)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/nuv-wyLGGno

Bonjour ! 

Je ne sais pas si c’est les lasagnes ou le 49-3, mais cette nuit j’ai fait un rêve bizarre. Contrairement à un iel à perruque bien connu, il était « sanglant ». Donc, si dans la famille King, vous êtres plutôt Martin Luther que Stephen ou Kong vous voilà prévenus. 

Pour commencer, j’ai assisté à l’oxymorique « crépuscule d’Aurore » Bergé que j’ai vue débouler, en nuisette et en courant, talonnée par une horde de cégétistes brandissant des torches. Désespérée elle s’est engouffrée dans un hall d’immeuble percutant 400 migrants fraîchement débarqués de l’Océan viking. À la vue de son « haut séant, vits king » size (et plus modestes) se dressèrent derechef. Sous mes yeux horrifiés, la voilà promptement enrichie, et ce simultanément, par deux 49,3 (minimum), avant que d’aggraver encore la situation en ouvrant imprudemment la bouche (pour se plaindre) et, alors que je pensais qu’il ne pouvait rien lui arriver de pire, c’est le moment que choisirent deux futurs physiciens quantiques particulièrement inventifs pour réaliser, eux aussi, alertés par l’écho de ses déglutitions, qu’il restait un grand vide inoccupé entre ses deux oreilles. 

Encore sous le choc, après avoir fait signe (et galamment tenu la porte) à Marlène Schiappa, dans la même tenue (version bonnet E), poursuivie par les mêmes, je sortis dans la rue, surpris de constater qu’on avait installé ce que je pris d’abord pour des structures gonflables, mais qui n’étaient rien d’autre que Gérard Larcher et Dupont-Moretti sur la bedaine duquel des enfants hilares en crampons ensanglantés rebondissaient « Outreau » ou pas assez, en faisant des bras d’honneur. Un peu plus bas, un groupe d’adolescents disputaient une partie de foot acharnée avec la vraie tête d’Olivier Dussopt. Alors que, sidéré, je m’enquérais de savoir où ils l’avaient trouvée, l’un d’entre eux pointa nonchalamment du doigt une gigantesque guillotine autour de laquelle une foule en liesse applaudissait, tandis qu’étaient raccourcis à la chaîne tous les députés n’ayant pas voté la motion de censure. Je clignai alors momentanément des yeux, ébloui par le reflet de la lune sur le crâne d’Éric Ciotti. 

Dans le lot se trouvaient aussi quelques ministres dont le malheureux Bruno Le Maire qui eut droit à plusieurs passages en raison de dérapages répétés sur son col roulé. C’est alors que je manquai d’être renversé par Gérald Darmanin fuyant une meute de féministes brandissant des ciseaux de 7 pouces. Malchanceux, en essayant d’éviter un groupe de supporters anglais, il s’étala de tout son long , trébuchant sur les restes de ce que les lunettes et un prospectus du Medef permettaient encore d’identifier comme Agnès Pannier-Runacher. Tandis que, finalement rattrapé par la marabunta ovarienne, les supplications du ministre se faisaient de plus en plus aiguës, je décidai de remonter la rue, attiré par une clameur lointaine. 

Olivier Véran, recouvert de purée de bananes, avait été enfermé dans une cage avec 3 gorilles que la foule titillait en leur jetant des bouts de Gabriel Attal tout en scandant : « explique-leur la réforme des retraites ! ». Non loin de là, juste en face de l’immeuble en flamme de la banque Rothschild, un groupe de soignants suspendus jouait aux fléchettes avec des doses Pfizer sur ce qui restait d’Élisabeth Borne dont un plaisantin avait rendu non métaphorique le balai qu’elle avait généralement dans le… fondement. 

Mon rêve se déroulait de toute évidence à Paris, car les rues étaient jonchées d’ordures. D’un sac éventré dépassait une petite main, vierge d’ampoules et de durillons, encore crispée sur une carte de presse de BFMTV et, tandis que la découverte d’un sac poubelle de 50 litres à forte poitrine me faisait craindre le pire pour Léa Salamé, ma vision périphérique me fit repérer un individu en sueur et aux narines blanchâtres essayant de se fondre dans un tas d’immondices. Seuls son tatouage « Kylian je t’aime » en forme de ballon de foot sur sa fesse gauche et l’inscription « Jean-Mi pour toujours » sur la droite, permettaient de le différencier de son environnement, d’autant qu’une famille de surmulots, trompée par la béance de l’orifice équidistant, semblait désireuse d’y élire domicile. « Franchement, lui dis-je, tu n’as rien vu venir ? ». Il me regarda d’un air méchant en articulant : « Je t’emmerde ! ». 

Je me suis réveillé juste au moment où, un peu mesquinement, je l’admets, je signalais sa position à un groupe de gilets jaunes réfractaires, non-vaccinés, bipolaires, antisémites et possiblement cannibales. 

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lundi 13 mars 2023

Attention, ça pique ! (13/03/2023)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/yAv6h1yRUJ0


 

Un faquin pas vacciné (selon Lassale) 

À l’Élysée dans les sous-sols 

Snifferait des trucs par le nez (Pas comme Palmade !) 

En guise, en guise, en guise, en guise, en guise, en guise d’aérosol 

 

Y en a qui disent que sa femme c’est pas « elle », mais « iel » 

Une femme « habite » à l’Élysée… avec son matériel 

Il ment sur tout, tout le temps, rien n’est impossible 

1500 milliards de dette en plus... faute à ce nuisible 

Et comme il n’y a plus d’argent, sauf pour l’Ukraine et les migrants 

C’est la retraite à 120 ans qui, tous, nous attend 

 

Il a détruit le pays, y a plus d’industrie 

Après l’ineptie covid, sus à la Russie 

Qui nous livre notre uranium, en grande partie 

Mais gentil il nous donne, à crédit, un chèque énergie 

Plus de Gaz, plus de pétrole, les prix de la bouffe, qui s’envolent 

S’il reste encore là, pour 4 ans, bienvenue au Liban 

 

Les électeurs enfumés 

Qui ont voté pour ce guignol 

Une pince à linge sur le nez 

Ils ont dans le cul, ça glisse, ça glisse, Un piquet de parasol 

 

On viole jusqu’à nos mamies, sous OQTF 

On apprend à nos enfants à changer de sexe 

Défendre ces belles valeurs vaut bien une guerre 

Même si, petit détail, presque rien, elle sera nucléaire 

Et contre les radiations plus de doses, masques, confinements 

C’est la solution que Véran donnera doctement 

 

Paraît que Dupont-Moretti, fait des bras d’honneur 

Qu’Aurore et Dussopt aussi crient ou tombent en pleurs 

Le gang de la macronie a quelques sueurs, 

Sont plus qu’à un 49-3 de perdre la tête 

Tant va la Marlène à l’eau, qu’à la fin elle se casse, c’est tout bête 

Car de Guillotin, la machine, sera bientôt prête 

 

Un faquin pas vacciné 

À l’Élysée dans les sous-sols 

Snifferait des trucs par le nez  

En guise, en guise, en guise, en guise, en guise, en guise d’aérosol

lundi 6 mars 2023

2023 : LES FEMMES à la « Kouizine » (06/03/2023)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/-IuMlT5YVAA

Bonjour!

Tandis qu’en Espagne une loi codifie la zoophilie, avec pour résultat que si l’animal n’est pas blessé, ça va, et qu’on est sans nouvelles du poisson rouge, du chihuahua et de l’aspirateur de Pierre Palmade, on recense en France au moins un cas avéré de schiappaphilie, la ministre, en bonne féministe, ayant plaqué l’homme déconstruit, père de ses deux enfants, pour un membre qu’on imagine plus actif du patriarcat toxique. Un individu décrit par la presse people comme athlétique et tatoué et qui se trouvait probablement dans le coffre du véhicule percuté par Pierre Palmade, seul un traumatisme crânien particulièrement grave pouvant expliquer ce genre de pulsion morbide, certains individus pouvant toutefois, soyons honnêtes, être impressionnés par l’intellect de l’écrivaine, laquelle se qualifie comme sapiosexuelle, et sa capacité, amplement décrite dans son œuvre, à conjuguer le verbe savoir à l’imparfait du subjonctif. Libre à ceux qui s’inquiétaient de la voir laisser Sandrine Rousseau occuper seule le terrain de la pensée métaphysique hélicoïdale, d’en déduire que si elle ne parlait plus, c’est que les règles de la bienséance l’y obligeaient et de se réjouir du fait que, contrairement au français moyen, lequel, selon les dernières études, sombre dans la malbouffe pour compenser l’inflation galopante, elle n’est visiblement pas carencée en micronutriments. 

« Moi Tarzan, toi Marlène ». Sans vouloir sombrer dans le complotisme, après des décennies de lutte pour enfin faire de l’homme occidental ce buveur de lait de soja bio respectueux, à l’écoute de sa part féminine et de ses émotions qui les laisse prendre toutes les décisions dont toutes les femmes rêvent (et que, point positif, on aura du mal à convaincre d’aller se battre contre le méchant Poutine) c’est presque comme s’il existait, y compris chez les féministes non-gender fluide transcendantal ascendant belette les années bissextiles, une force mystérieuse qu’on pourrait appeler « biologie » qui les pousserait à rechercher un minimum d’un autre truc qu’on pourrait appeler « virilité ». 

Virilité que les nouvelles générations, faute d’exemple médiatique encore toléré, confondent souvent, à tort, avec la violence et qu’elles vont désespérément chercher chez des individus à QI de crevettes d’importation surgelées (que, bizarrement, on aura aussi du mal à convaincre d’aller se battre contre le méchant Poutine) et qui, quand ils ne les plantent pas sans laisser d’adresse avec un ou deux futurs prix Nobel sur les bras, les renvoient à la « Kouizine » avec une double Quatennens et ne sont pas pour rien, pour peu que les pâtes soient mal cuites, dans l’explosion de ce que la même Schiappa, quand rien n’obère sa mobilité linguale, qualifie pudiquement de « féminicides », soucieuse de ne pas pointer d’un doigt encore un peu visqueux de quelque surplus promptement essuyé, certains éléments statistiques totalement inexplicables lorsqu’on se prend, entre autres, du padamalgam en suppositoire. 

Une forme subtile d’enrichissement culturel qui n’est pas du goût du président tunisien… quand cela se passe chez lui ; un président incompréhensiblement convaincu, que contrairement au sphincter de certains ramasseurs de savonnettes, il y aurait des limites au nombre d’Africains mélaninés qu’un pays peut accueillir et qui, de surcroît, a émis le souhait absurde que la Tunisie soit peuplée par dixit « des arabes » : pourquoi pas la Chine par des Chinois ou le Japon par des Japonais tant qu’on y est. Pire, il a sonné « l’halal-i » contre l’immigration subsaharienne, faisant que d’ici quelques années, chanceux que nous sommes, on peut s’attendre, en France, à une immigration 100% tunisienne certifiée qui tombera à pic, le label rouge étant, ces temps-ci, insidieusement attaqué par la réglementation européenne. 

Dire que Mélenchon a été horrifié par cette résurrection de la bête immonde est un doux euphémisme et ses brigades antifas ont quelques fils qui se touchent devant le concept novateur de « ratonnades antinazies » vers lesquelles, sauf à changer de nom, les conduit leur logique implacable, d’autant que, sentant le vent tourner, de nombreux individus peu distinguables la nuit ont déjà quitté la Tunisie en direction de leurs pays d’origine voire, pour certains, du pays imaginaire du nouveau Peter Pan de Disney sur le trailer duquel, 90 pour cent de racistes sur 2,5 millions de vues ont mis un pouce négatif, imperméables au concept innovant d’une clochette de pâques en chocolat et d’un Peter Pan sosie de Mowgli du livre de la jungle. Toujours est-il que, s’il y avait contagion du phénomène démigratoire jusqu’en France, cela signifierait la fin de l’âge d’or que cette manne céleste nous apporte et, accessoirement, de LFI. Mais que Mélenchon se rassure, ici, l’âge d’or « dure » et un nouveau rapport préconise de fermer la centaine de petites maternités qui produisent encore, dans les campagnes reculées, un peu de gaulois réfractaire raciste d’extrême droite, et ce afin de renforcer celles des grandes agglomérations qui produisent, elles, de la bonne diversité républicaine. No PASARAN ! 

Macron n’est pas mieux, puisque planqué en Afrique, par le pur hasard du calendrier, en attendant que les manifs contre sa réforme passent, laissant à Vérandouille le soin d’expliquer, sans rire, à quel point « mettre un pays à l’arrêt c’est prendre le risque d’une catastrophe écologique, agricole, sanitaire, voire humaine », il n’a rien trouvé de mieux que d’aller insulter chez eux, en les traitant en substance d’incapables, les ressortissants d’un des rares pays au Monde où sont encore documentés des cas épisodiques de cannibalisme rituel, de sorte que si certains sombraient dans le macronovorisme avec un peu de pâte de manioc pour faire descendre, nul ne saurait leur en tenir rigueur et que, dans un souci d’universalisme, je pourrais même envisager, en cas d’inévitables problèmes digestifs liés à un « en même temps » qui remonte, une collecte afin de leur faire parvenir du Citrate de Bétaïne, si, bien sûr, à l’instar d’un nombre croissant de médicaments dans notre beau pays, il n’y a pas de rupture de stock en pharmacie. 

Pour en revenir au féminisme, dont la cible principale n’a jamais été le patriarcat, mais l’idée même de femme, concept que les machins à cheveux bleus peinent à incarner et dont, par dépit, ils essaient de faire un homme comme les autres, problématique qui me concerne d’autant plus que j’ai une fille et que je suis légitimement inquiet pour son devenir, je suis comme une Sandrine Rousseau qui a trouvé un épluche patates devant cette nouvelle manifestation dudit patriarcat toxique qui enflamme les réseaux sociaux sous le vocable de « Gym-timidation ». En gros, ces produits 100% allégés en matière cérébrale que sont les instagrammeuses (lesquelles ne cherchent, bien sûr, absolument pas à attirer l’attention) se pointent en leggings moulants fluo et petits hauts anecdotiques dans des salles de musculation remplies à 80% d’hommes, s’arrêtent toutes les 2 minutes pour prendre un selfie de leurs fesses en cambrant les reins comme pour réceptionner un bilboquet imaginaire et se plaignent ensuite, vidéo victimaire à l’appui, que même les hommes qui ne leur plaisent pas les regardent. 

Mon petit doigt me dit qu’elles n’ont pas mesuré à quel point le sentiment de sécurité qui leur permet d’avoir ce genre d’attitude est artificiel et se délite à la vitesse d’une érection face à un striptease d’Elisabeth Borne, conjointement à la société d’abondance pacifique et jadis uniforme qui a permis ce genre d’aberration culturelle. La chute va être rude, le mythe de la femme forte et indépendante n’étant que la conséquence du mirage collectif de la croyance en la viabilité d’une société de services, laquelle a permis, financés par de la monnaie de singe dont plus personne ne veut, la création d’une foultitude d’emplois aussi improductifs qu’inutiles vers lesquels la gent féminine a été massivement aiguillée. Et ce sont justement ces emplois à base de clics sur des tableaux Excel et de réunions pour décider de la prochaine réunion qui vont être impitoyablement et quasi intégralement remplacés dans les mois qui viennent par les intelligences artificielles, provoquant un tsunami de licenciements, plus particulièrement chez les femmes, une IA devant encore pas mal évoluer avant de savoir déboucher des chiottes, installer une box internet, ou réparer une fuite sur le toit, de même que pour remplacer tous ces autres métiers pour lesquels, même en scrutant l’horizon au télescope électronique, on n’a jamais vu poindre la moindre exigence de parité. 

Comme si cela ne suffisait pas, outre le fait que ces emplois inutiles génèrent d’autres emplois pour l’entretien et le ménage des locaux, le transport ou la restauration qui, eux aussi, vont être impactés, de nombreux emplois originellement occupés par des hommes ne se sont féminisés que parce que ces professions se sont suffisamment « humanisées » et adoucies pour les rendre attractives pour une population féminine : éducation, santé, justice, politique, voire l’armée, sans même évoquer ces légions de femmes cadres de 50 kilos, notamment dans l’administration, dont l’autorité artificielle ne repose que sur celle que leur confère l’état déficient derrière lequel elles s’abritent et qui, au fur et à mesure que les temps vont se durcir, faute de l’autorité naturelle indispensable pour tenir des gens de plus en plus énervés, vont être balayées façon Élisabeth Borne si un type de 90 kilos en colère fait irruption dans son bureau. L’humanité étant un luxe que nous ne pouvons plus nous permettre, sauf suicide collectif bien entamé (et qui n’est, hélas, pas à exclure) la tendance ne peut donc que s’inverser que ce soit dans l’éducation où, si la maîtresse n’est pas de nouveau remplacée par des hussards de la république capables de délivrer des gnons on va aller à la catastrophe, ou encore dans la politique si Clémenceau ne remplace pas vite Sandrine Rousseau ou les nombreux homuncules qui y sévissent et qui ne valent pas mieux. 

Enfin, comme en témoignent la réforme des retraites qui les désavantage honteusement et l’accroissement exponentiel du « sentiment » de se faire violer, l’état se fout des femmes comme de sa première chemise archivée. Le mensonge de l’indépendance qu’il a fait gober à certaines, n’a jamais été rien d’autre qu’une dépendance aux subsides gouvernementaux et parfois à un employeur en lieu et place de celle à un époux qui, lui au moins, est capable de sentiments, le tout doublé d’un correctif artificiel par la loi des inégalités physiques, correctif qui ne sert plus à rien face à un migrant sous OQTF multirécidiviste. 

Le système arrive au bout de ses capacités et il n’aura bientôt plus les moyens de financer et donc d’encourager l’absence de discernement dans le choix initial d’un partenaire qui se traduit par l’explosion du phénomène des mères célibataires. Face au carnage économique qui s’annonce, doublé d’un risque de conflit militaire généralisé avec la prise imminente de Bakhmout par les Russes et triplé d’une insécurité qui va s’accroître de façon exponentielle avec l’explosion du prix de la nourriture, celles qui auront gaspillé leurs meilleures années à papillonner en attendant un milliardaire, gobant qu’elles pouvaient se comporter sexuellement comme des hommes sans conséquences, ou qui auront poursuivi une carrière stérile, au détriment d’une possibilité de relation durable, pourraient bien passer de la crainte de devoir retourner à la cuisine, à la crainte de l’absence de cuisine vers laquelle retourner. 

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