Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/6paMcNgzKEk
Bonjour !
Si quelque chose se comporte comme un canard, fait coin-coin et pond des œufs, on a quand même moins de chances de se tromper en disant que c’est un canard qu’en envisageant l’éventualité d’un lapin xenogenre couvant un œuf de Pâques. De même, si quelqu’un détruit méthodiquement la France depuis des années, insulte et « emmerde » régulièrement les gens qui ne sont rien, il est cohérent d’imaginer être en présence, là encore, d’un gros canard (libre à vous de mettre un peu de diversité républicaine dans les voyelles) autant attaché à notre pays qu’Éric Ciotti à un peigne collector en os de pénis de baleine.
Il y a donc peu de chances qu’en soi, la menace de bloquer, durant quelques jours, l’économie perturbe plus que ça quelqu’un qui n’a pas hésité à la mettre (et à nous pisser) à l’arrêt pendant plus d’un an juste pour polluer nos gènes avec un machin hors de prix, aussi efficace qu’un col roulé contre Vladimir Poutine (si l’on compare avec les pays qui, eux, n’ont pas jugé utile de massacrer leur PIB), et dont je soupçonne la capacité à mentir surhumaine d’Olivier Véran et la tête en forme de gland décalotté d’un autre arbre oléagineux du gouvernement (avec qui on est loin « du saut » qualitatif) de faire partie des effets secondaires.
Macron non seulement a été mis là pour presser le citron France jusqu’à la pulpe, mais pour s’assurer que la pelure, une fois aussi desséchée que le dernier tampon hygiénique de Roselyne cacha… Bachelot, ne puisse plus jamais exister en tant que nation ethniquement cohérente, composée d’individus ayant une finalité commune et la capacité de faire bloc, autant dire en tant que nation tout court. Cette destruction est nécessaire et on n’a pas vraiment le « Schwab », lorsque, comme lui, on adhère à l’idée délirante d’un nouvel ordre mondial basé sur un crédo économique aussi décorrélé de la réalité que le concept de toilettes non genrées en Ouganda. Un fanatisme qu’on ne peut vraiment comprendre sans regarder en face sa dimension de culte ésotérique, la perte de notre spiritualité et la prise à la légère concomitante de cet aspect ne devant pas nous faire oublier que ce n’est pas nous qui décidons que ce jeu s’est arrêté et que, pour d’autres, en particulier une partie de l’élite oligarchique (qui cherche une justification à son hégémonie jusque dans les remugles du pédosatanisme) les guerres de religion n’ont jamais cessé, l’arbre de l’Islam cachant une forêt plus pernicieuse.
Donc, si tout ce qui fait du mal à la France sert potentiellement les desseins de Macron (lequel a quand même vendu Alstom, fermé Fessenheim, cassé EDF, massacré nos PME et fait en sorte que l’affichage du déficit de la balance commerciale nécessite de changer la carte graphique de notre ordinateur) on peut se demander pourquoi le chaos qui s’installe le met, paradoxalement, aussi mal à l’aise que la première fois où il a vu Brigitte sans son slip kangourou. En fait, sa véritable crainte est de montrer à ses maîtres (lesquels, pour le placer là, ont tordu le système électoral façon nez de Nabila avant chirurgie) qu’il a perdu le contrôle de la situation et ne sera pas en mesure d’éviter un sursaut populaire avant le point de non-retour, relativement proche, à compter duquel la France ne pourrait plus jamais se relever. S’il échoue aussi près du but, il est probable qu’il sera sacrifié, comme le pion qu’il est, non seulement au figuré, mais peut-être même au propre, la foule ayant besoin d’un bouc émissaire à réduire en charpie pour se calmer, oublier qu’une partie a voté pour lui non pas une, mais deux fois, et accepter qu’on lui refourgue ensuite le prochain cheval d’une autre couleur, mais de la même écurie. C’est pour cela qu’il ne peut absolument pas reculer et qu’il s’accroche à sa réforme comme un morpion sur un des testicules en nombre indéterminé du couple présidentiel.
Malheureusement pour lui, une grande majorité de la population a fini par réaliser que le roi est nu(l) et remettre le dentifrice dans le tube de sauce tomate risque d’être compliqué. Le fait que la visite du Roi d’Angleterre (pas vraiment rassuré de voir un Darmanin, atteint d’ethnopathie visuelle, chargé de sa sécurité) ait été reportée à des calendes plus ou moins grecques ne joue pas en sa faveur. Sa tactique habituelle du pourrissement semble non seulement ne pas marcher, mais se retourner contre lui, le temps jouant dès lors en sa défaveur, même avec une montre à 80 000€. On peut donc s’attendre à ce qu’il joue son va-tout en intensifiant la répression. Mais quand même l’Iran s’insurge contre les atteintes aux droits de l’homme dans notre pays donneur de leçons au reste du Monde, sauf à passer officiellement en mode Ceausescu, il ne lui reste pas beaucoup de marge de manœuvre.
Et, à ce sujet, si ça ressemble à un Benalla motorisé, que ça se compote vis-à-vis des manifestants comme un Benalla, il y a des chances que ce soit un Benalla, et je ne serais pas surpris que, derrière leurs casques opaques, les membres de la Brav-M, au moins pour partie, compte tenu de leurs exactions documentées, ne soient même pas des policiers, mais des barbouzes de Macron. Peut-être même que, parmi eux, le Benalla originel, lequel coule tranquillement des jours heureux à l’abri des caméras des médias amnésiques, s’adonne, en toute discrétion, à son passe-temps favori.
À la décharge de Macron, comme diraient les éboueurs en grève et Benjamin Griveaux, je rappelle aux poissons rouges et aux plus jeunes que tout a basculé en 2010 à l’occasion d’une autre réforme des retraites qui avait également mis dans la rue des millions de personnes (dont j’étais) peu enthousiastes à l’idée d’en prendre pour 2 ans de plus et naïvement persuadées que, comme Juppé en 1995, Sarkozy allait céder devant le nombre. Cette immonde pourriture à talonnettes dont on ne mesure même pas le mal qu’il a fait au pays et au Monde, recyclant le reste de la vaseline du traité de Lisbonne, nous a superbement ignorés, occupé qu’il était à revendre son Kärcher sur l’équivalent du « Bon Coin » de l’époque. Les syndicats, incapables d’appeler à une révolte qu’ils ont justement été créés pour éviter, révolte labellisée « non républicaine » par une république qui en est pourtant issue, se sont couchés et, après un moment de stupéfaction durant lequel on entendait les OQTF voler, chacun est rentré gentiment chez soi.
Depuis, forte de cette jurisprudence, l’oligarchie considère les manifestations comme des promenades récréatives d’un point A à un point B avec retour à la niche à temps pour Hanouna tandis que des black blocks (dans lesquels d’immondes complotistes voient des policiers déguisés) jamais inquiétés, parachèvent le dispositif en faisant brûler des trucs devant les caméras pour que les aficionados du journal de 13 heures fassent pipi dans leurs protections absorbantes et désavouent le mouvement ; une poubellophobie qui permet également de justifier autant de coups de matraque pédagogiques que nécessaire sur le péquin moyen, certes gazé et éborgné sur les bords, mais désormais présenté par des médias aux ordres comme un factieux à frange et moustache subliminales.
Le seul problème c’est qu’en dépit de la baisse orchestrée du QI moyen par : l’école, l’immigration anarchique, les perturbateurs endocriniens, l’aluminium en injection, Marlène Schiappa et l’encouragement de la gent féminine à faire n’importe quoi en matière de sélection du père de leurs enfants par la subvention des familles monoparentales, les gens sont quand même moins cons que nos élites ne le pensent et que cette petite mécanique bien huilée, mais par trop répétitive, commence à devenir aussi apparente que le glaçage narinaire de notre leader suprême.
Outre la prise de conscience profonde de la nullité du personnage (au point qu’on le hue dans les stades) la nouveauté, par rapport aux secousses sismiques sociales précédentes, c’est que les hauts responsables syndicaux stipendiés sont débordés par leur base (laquelle inclut désormais la classe moyenne victime, à son tour, de l’eau qui monte); base qui, elle, a parfaitement compris les enjeux. Pris au piège du jusqu’au-boutisme de Macron, ils sont obligés de donner le change et de la voix, même si la CFDT propose désespérément la porte de sortie d’une suspension « provisoire » de la réforme histoire, on suppose, de briser l’élan révolutionnaire.
Comme par hasard, une foule d’acteurs et autres chanteurs auxquels on n’a rien demandé et qui étaient aux abonnés absents pendant les gilets jaunes, viennent subitement apporter leur soutien en y mélangeant des discours LGBT et autres foutaises climatiques afin de bien noyer le poisson et que ça parte dans tous les sens tandis qu’Aurore Bergé, soucieuse de bien montrer à quel point ceux qui ne veulent pas se laisser sodomiser à sec sont des méchants, exhibe une lettre d’insultes (qu’il serait complotiste d’imaginer qu’elle aurait écrite elle-même), menaçant rien moins que son nourrisson de 4 mois déjà bien compromis, le pauvre, par son héritage génétique. Bien sûr, tout le spectre des couillons (de la NUPES jusqu’au RN) qui placent la défense des institutions avant celle de la France, vaguement conscients de leurs intérêts sectoriels parasitaires communs et du fait qu’une fois la guillotine en place on ne sait jamais ce qui pourrait arriver, tombent à pieds joints dans le panneau compassionnel en clamant, le torse bombé, que les violences envers les élus sont inacceptables. Le nouveau Robespierre sera donc à chercher ailleurs.
Pour éviter ces pièges, le seul objectif, et encore une fois, la seule chose que Macron craint, devrait être de démontrer à ses maîtres qu’il a perdu le contrôle de la situation, et ce, car il ne faut jamais sous-estimer la connerie humaine, avant que l’effondrement, annoncé par ces banques dominos qui, ces jours-ci, tombent les unes après les autres, ne vienne lui sauver la mise en donnant une énième possibilité à ce pompier pyromane, au cul, jusqu’ici, quand même bordé de nouilles, de se poser encore une fois en sauveur de la nation devant des moutons tétanisés à qui on vendra que remettre leur masque et rester confinés à la maison les protégera contre l’évaporation de leur compte en banque.
Nous sommes à un point de basculement potentiel, les gens ayant enfin réalisé qu’après tant de défaites et d’humiliations destinées à nous cacher autant la faiblesse d’un pouvoir aux pieds d’argile que notre force véritable, il suffirait juste de pousser encore un peu pour pouvoir enfin décider de notre destin. Si nous lâchons maintenant, pour Macron, lequel ne s’arrête jamais, ce sera open-bar, et sans même laisser à notre sphincter anal le temps de se rétracter, il a déjà annoncé la suite des réjouissances avec la prochaine loi travail et celle non pas contre mais, nuance subtile, « SUR » l’immigration, qui vont finir de casser le peu qui reste de notre système social. Nous n’aurons pas de deuxième chance.
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