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lundi 6 mars 2023

2023 : LES FEMMES à la « Kouizine » (06/03/2023)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube: https://youtu.be/-IuMlT5YVAA

Bonjour!

Tandis qu’en Espagne une loi codifie la zoophilie, avec pour résultat que si l’animal n’est pas blessé, ça va, et qu’on est sans nouvelles du poisson rouge, du chihuahua et de l’aspirateur de Pierre Palmade, on recense en France au moins un cas avéré de schiappaphilie, la ministre, en bonne féministe, ayant plaqué l’homme déconstruit, père de ses deux enfants, pour un membre qu’on imagine plus actif du patriarcat toxique. Un individu décrit par la presse people comme athlétique et tatoué et qui se trouvait probablement dans le coffre du véhicule percuté par Pierre Palmade, seul un traumatisme crânien particulièrement grave pouvant expliquer ce genre de pulsion morbide, certains individus pouvant toutefois, soyons honnêtes, être impressionnés par l’intellect de l’écrivaine, laquelle se qualifie comme sapiosexuelle, et sa capacité, amplement décrite dans son œuvre, à conjuguer le verbe savoir à l’imparfait du subjonctif. Libre à ceux qui s’inquiétaient de la voir laisser Sandrine Rousseau occuper seule le terrain de la pensée métaphysique hélicoïdale, d’en déduire que si elle ne parlait plus, c’est que les règles de la bienséance l’y obligeaient et de se réjouir du fait que, contrairement au français moyen, lequel, selon les dernières études, sombre dans la malbouffe pour compenser l’inflation galopante, elle n’est visiblement pas carencée en micronutriments. 

« Moi Tarzan, toi Marlène ». Sans vouloir sombrer dans le complotisme, après des décennies de lutte pour enfin faire de l’homme occidental ce buveur de lait de soja bio respectueux, à l’écoute de sa part féminine et de ses émotions qui les laisse prendre toutes les décisions dont toutes les femmes rêvent (et que, point positif, on aura du mal à convaincre d’aller se battre contre le méchant Poutine) c’est presque comme s’il existait, y compris chez les féministes non-gender fluide transcendantal ascendant belette les années bissextiles, une force mystérieuse qu’on pourrait appeler « biologie » qui les pousserait à rechercher un minimum d’un autre truc qu’on pourrait appeler « virilité ». 

Virilité que les nouvelles générations, faute d’exemple médiatique encore toléré, confondent souvent, à tort, avec la violence et qu’elles vont désespérément chercher chez des individus à QI de crevettes d’importation surgelées (que, bizarrement, on aura aussi du mal à convaincre d’aller se battre contre le méchant Poutine) et qui, quand ils ne les plantent pas sans laisser d’adresse avec un ou deux futurs prix Nobel sur les bras, les renvoient à la « Kouizine » avec une double Quatennens et ne sont pas pour rien, pour peu que les pâtes soient mal cuites, dans l’explosion de ce que la même Schiappa, quand rien n’obère sa mobilité linguale, qualifie pudiquement de « féminicides », soucieuse de ne pas pointer d’un doigt encore un peu visqueux de quelque surplus promptement essuyé, certains éléments statistiques totalement inexplicables lorsqu’on se prend, entre autres, du padamalgam en suppositoire. 

Une forme subtile d’enrichissement culturel qui n’est pas du goût du président tunisien… quand cela se passe chez lui ; un président incompréhensiblement convaincu, que contrairement au sphincter de certains ramasseurs de savonnettes, il y aurait des limites au nombre d’Africains mélaninés qu’un pays peut accueillir et qui, de surcroît, a émis le souhait absurde que la Tunisie soit peuplée par dixit « des arabes » : pourquoi pas la Chine par des Chinois ou le Japon par des Japonais tant qu’on y est. Pire, il a sonné « l’halal-i » contre l’immigration subsaharienne, faisant que d’ici quelques années, chanceux que nous sommes, on peut s’attendre, en France, à une immigration 100% tunisienne certifiée qui tombera à pic, le label rouge étant, ces temps-ci, insidieusement attaqué par la réglementation européenne. 

Dire que Mélenchon a été horrifié par cette résurrection de la bête immonde est un doux euphémisme et ses brigades antifas ont quelques fils qui se touchent devant le concept novateur de « ratonnades antinazies » vers lesquelles, sauf à changer de nom, les conduit leur logique implacable, d’autant que, sentant le vent tourner, de nombreux individus peu distinguables la nuit ont déjà quitté la Tunisie en direction de leurs pays d’origine voire, pour certains, du pays imaginaire du nouveau Peter Pan de Disney sur le trailer duquel, 90 pour cent de racistes sur 2,5 millions de vues ont mis un pouce négatif, imperméables au concept innovant d’une clochette de pâques en chocolat et d’un Peter Pan sosie de Mowgli du livre de la jungle. Toujours est-il que, s’il y avait contagion du phénomène démigratoire jusqu’en France, cela signifierait la fin de l’âge d’or que cette manne céleste nous apporte et, accessoirement, de LFI. Mais que Mélenchon se rassure, ici, l’âge d’or « dure » et un nouveau rapport préconise de fermer la centaine de petites maternités qui produisent encore, dans les campagnes reculées, un peu de gaulois réfractaire raciste d’extrême droite, et ce afin de renforcer celles des grandes agglomérations qui produisent, elles, de la bonne diversité républicaine. No PASARAN ! 

Macron n’est pas mieux, puisque planqué en Afrique, par le pur hasard du calendrier, en attendant que les manifs contre sa réforme passent, laissant à Vérandouille le soin d’expliquer, sans rire, à quel point « mettre un pays à l’arrêt c’est prendre le risque d’une catastrophe écologique, agricole, sanitaire, voire humaine », il n’a rien trouvé de mieux que d’aller insulter chez eux, en les traitant en substance d’incapables, les ressortissants d’un des rares pays au Monde où sont encore documentés des cas épisodiques de cannibalisme rituel, de sorte que si certains sombraient dans le macronovorisme avec un peu de pâte de manioc pour faire descendre, nul ne saurait leur en tenir rigueur et que, dans un souci d’universalisme, je pourrais même envisager, en cas d’inévitables problèmes digestifs liés à un « en même temps » qui remonte, une collecte afin de leur faire parvenir du Citrate de Bétaïne, si, bien sûr, à l’instar d’un nombre croissant de médicaments dans notre beau pays, il n’y a pas de rupture de stock en pharmacie. 

Pour en revenir au féminisme, dont la cible principale n’a jamais été le patriarcat, mais l’idée même de femme, concept que les machins à cheveux bleus peinent à incarner et dont, par dépit, ils essaient de faire un homme comme les autres, problématique qui me concerne d’autant plus que j’ai une fille et que je suis légitimement inquiet pour son devenir, je suis comme une Sandrine Rousseau qui a trouvé un épluche patates devant cette nouvelle manifestation dudit patriarcat toxique qui enflamme les réseaux sociaux sous le vocable de « Gym-timidation ». En gros, ces produits 100% allégés en matière cérébrale que sont les instagrammeuses (lesquelles ne cherchent, bien sûr, absolument pas à attirer l’attention) se pointent en leggings moulants fluo et petits hauts anecdotiques dans des salles de musculation remplies à 80% d’hommes, s’arrêtent toutes les 2 minutes pour prendre un selfie de leurs fesses en cambrant les reins comme pour réceptionner un bilboquet imaginaire et se plaignent ensuite, vidéo victimaire à l’appui, que même les hommes qui ne leur plaisent pas les regardent. 

Mon petit doigt me dit qu’elles n’ont pas mesuré à quel point le sentiment de sécurité qui leur permet d’avoir ce genre d’attitude est artificiel et se délite à la vitesse d’une érection face à un striptease d’Elisabeth Borne, conjointement à la société d’abondance pacifique et jadis uniforme qui a permis ce genre d’aberration culturelle. La chute va être rude, le mythe de la femme forte et indépendante n’étant que la conséquence du mirage collectif de la croyance en la viabilité d’une société de services, laquelle a permis, financés par de la monnaie de singe dont plus personne ne veut, la création d’une foultitude d’emplois aussi improductifs qu’inutiles vers lesquels la gent féminine a été massivement aiguillée. Et ce sont justement ces emplois à base de clics sur des tableaux Excel et de réunions pour décider de la prochaine réunion qui vont être impitoyablement et quasi intégralement remplacés dans les mois qui viennent par les intelligences artificielles, provoquant un tsunami de licenciements, plus particulièrement chez les femmes, une IA devant encore pas mal évoluer avant de savoir déboucher des chiottes, installer une box internet, ou réparer une fuite sur le toit, de même que pour remplacer tous ces autres métiers pour lesquels, même en scrutant l’horizon au télescope électronique, on n’a jamais vu poindre la moindre exigence de parité. 

Comme si cela ne suffisait pas, outre le fait que ces emplois inutiles génèrent d’autres emplois pour l’entretien et le ménage des locaux, le transport ou la restauration qui, eux aussi, vont être impactés, de nombreux emplois originellement occupés par des hommes ne se sont féminisés que parce que ces professions se sont suffisamment « humanisées » et adoucies pour les rendre attractives pour une population féminine : éducation, santé, justice, politique, voire l’armée, sans même évoquer ces légions de femmes cadres de 50 kilos, notamment dans l’administration, dont l’autorité artificielle ne repose que sur celle que leur confère l’état déficient derrière lequel elles s’abritent et qui, au fur et à mesure que les temps vont se durcir, faute de l’autorité naturelle indispensable pour tenir des gens de plus en plus énervés, vont être balayées façon Élisabeth Borne si un type de 90 kilos en colère fait irruption dans son bureau. L’humanité étant un luxe que nous ne pouvons plus nous permettre, sauf suicide collectif bien entamé (et qui n’est, hélas, pas à exclure) la tendance ne peut donc que s’inverser que ce soit dans l’éducation où, si la maîtresse n’est pas de nouveau remplacée par des hussards de la république capables de délivrer des gnons on va aller à la catastrophe, ou encore dans la politique si Clémenceau ne remplace pas vite Sandrine Rousseau ou les nombreux homuncules qui y sévissent et qui ne valent pas mieux. 

Enfin, comme en témoignent la réforme des retraites qui les désavantage honteusement et l’accroissement exponentiel du « sentiment » de se faire violer, l’état se fout des femmes comme de sa première chemise archivée. Le mensonge de l’indépendance qu’il a fait gober à certaines, n’a jamais été rien d’autre qu’une dépendance aux subsides gouvernementaux et parfois à un employeur en lieu et place de celle à un époux qui, lui au moins, est capable de sentiments, le tout doublé d’un correctif artificiel par la loi des inégalités physiques, correctif qui ne sert plus à rien face à un migrant sous OQTF multirécidiviste. 

Le système arrive au bout de ses capacités et il n’aura bientôt plus les moyens de financer et donc d’encourager l’absence de discernement dans le choix initial d’un partenaire qui se traduit par l’explosion du phénomène des mères célibataires. Face au carnage économique qui s’annonce, doublé d’un risque de conflit militaire généralisé avec la prise imminente de Bakhmout par les Russes et triplé d’une insécurité qui va s’accroître de façon exponentielle avec l’explosion du prix de la nourriture, celles qui auront gaspillé leurs meilleures années à papillonner en attendant un milliardaire, gobant qu’elles pouvaient se comporter sexuellement comme des hommes sans conséquences, ou qui auront poursuivi une carrière stérile, au détriment d’une possibilité de relation durable, pourraient bien passer de la crainte de devoir retourner à la cuisine, à la crainte de l’absence de cuisine vers laquelle retourner. 

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1 commentaire:

  1. A propos de la vidéo du06 03 2023. Pour s'en tenir qu'au paragraphe :... comme si cela ne suffisait pas...et qui ne valent pas mieux. Long paragraphe, dépourvu des jeux de mots facétieux habituels. Là, on ne rigole plus. C'est révélateur de l'inusable, de l'universelle, de l'éternelle, de l'intemporelle misogynie qui sévit depuis le néolithique, au moins. Peu importe Sandrine Rousseau et autres qui n'ont rien à voir avec le féminisme. En résumé, vos diatribes sentent la haine. Adieu, la Mite.

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