Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/KgvLIrvuBwE
Bonjour !Je ne sais pas ce qui est arrivé à l’homme de Cro-Magnon, peut-être déconstruit en homo (pas assez) erectus par une Sandrine Rousseau préhistorique, mais si l’homo sapiens a survécu c’est parce que nous sommes des moutons intelligents. C’est cet instinct grégaire qui permet l’avènement d’une société hiérarchique qui, à son tour, permet une organisation collective évoluant de quelques individus rassemblés dans une grotte autour d’un feu vers une mécanique complexe de millions d’individus… seuls devant un écran : vive le progrès !
Quand cette mécanique que l’on appelle « le peuple » est cohérente et voit ses rouages bien huilés par une économie à SON service, elle n’a besoin que d’un cap à suivre, de garde-fous pour s’assurer qu’elle le maintient et de protection contre les attaques extérieures et intérieures, ce que l’on appelle le régalien, dévolu à l’état. Le reste se gère alors quasiment tout seul sur la base de règles de vie en bonne intelligence qui n’ont pas besoin d’être écrites, et ce, à chaque niveau (individu, entreprise, commune, département, région…) le niveau supérieur ne s’occupant que de ce qui ne peut être géré par celui de dessous, ce que l’on appelle « le principe de subsidiarité ».
En revanche, faute d’un vrai chef avec une vision, remplacée par les « compromis » (en un ou deux mots - pour cause de pseudo-démocratie) il peut arriver que le peuple perde sa cohérence et commence à tirer sur la corde dans des directions multiples et opposées au fur et à mesure que c’est lui qui est mis au service de l’économie par la corruption des politiques, action renforcée par certaines logiques communautaires que je ne nommerai pas pour ne pas être taxé d’antisémitisme et qui ont intérêt à casser l’homogénéité des peuples dans une visée suprémaciste religieuse. Conséquence : on fait venir beaucoup plus d’immigration que nécessaire, l’économie triant les 10 à 20% dont elle a besoin à bas prix, le reste étant à la charge de la collectivité et devenant autant de consommateurs supplémentaires subventionnés, les deux phénomènes, corruption et immigration, se nourrissant l’un l’autre.
L’entité purement administrative et hautement corruptible que l’on appelle l’état, incapable par nature de se remettre en question, plutôt que de restaurer un minimum de cohérence, ce qui ne peut se faire qu’en admettant le fait sinon racial (pour éviter les gros mots) au moins ethnique et culturel, tente alors mécaniquement de maintenir l’édifice chancelant avec du sparadrap législatif en s’immisçant, avec le succès que l’on connaît, dans toutes les strates de la société, jusque dans les chambres à coucher. Le souci, c’est que même avec beaucoup de sparadrap, gouverner un peuple non cohérent c’est un peu comme nager contre le courant : il faut de plus en plus d’efforts et ça ne peut durer qu’un temps. Un temps malheureusement suffisamment long à l’échelle de l’individu pour que ceux qui ne rament pas puissent dire : « après-moi le déluge », raison pour laquelle, en l’état, le système démocratique dit « représentatif » ne peut rien produire de bon.
Même Macron a conscience du problème ethnique et quand il a fait, il y a presque 2 ans, un grand discours sur le « réarmement démographique » que tout le monde a oublié y compris lui si l’on en croit, depuis, les plus bas niveaux de natalité jamais enregistrés, il parlait sans le dire (s’agissant de la France) de la natalité héréditairement caucasienne, car sinon, où serait le problème lorsqu’on a un réservoir quasi inépuisable d’immigration pour compenser le déficit des naissances ?
Bien que depuis longtemps convaincu des pouvoirs magiques des cartes de séjour et d’identité plastifiées pour transformer n’importe qui en vrai français qui ne poignardera plus qu’avec des couteaux made in France, si je me fais violence et que j’examine froidement les choses d’un point de vue purement logique, comme l’informaticien que je suis à la base, techniquement, il serait tout à fait possible de rendre progressivement à la France un minimum de cohérence ethnique, au risque de provoquer chez Mélenchon une crise d’apoplexie mortelle.
En revanche, comme pour une gangrène trop avancée, si je laisse la tronçonneuse à Milei, il faudrait au moins sortir la scie égoïne, encourant les mêmes risques de revers électoraux que lui, du fait que d’autres proposent encore une pommade parfumée totalement inefficace qui, certes, masque l’odeur de pourriture, mais conduira à la mort inéluctable du patient toujours preneur d’une solution miraculeuse électoralement moins effrayante et moins pénible sur le moment. Quand je dis « mort » cela ne veut pas dire qu’il ne subsistera pas un territoire qu’on appellera « la France » avec des gens dessus, mais ce serait un infâme trou à rats avec probablement quelques sites préservés pour les quelques touristes osant encore s’y aventurer et peut-être, profitant du chaos ambiant, quelques poches de résistance qui auront su s’affranchir de l’interdiction, faite aux seuls autochtones, de se regrouper en communautés.
Dès lors, sauf à cloner en masse du Léon Marchand plutôt que du Bruno Retailleau (question de goût), il faudrait trouver un moyen de détourner suffisamment les jeunes femmes de souche ou compatibles d’Instagram (la collision entre le smartphone et la gent féminine ayant été la plus grande catastrophe naturelle depuis la météorite qui a percuté la terre et éteint les dinosaures) pour, sinon les contraindre (ce que même la Corée du Nord a échoué à faire) au minimum fortement les inciter à avoir au moins 3 enfants non culturellement enrichis. Par exemple en augmentant considérablement les allocations familiales, lesquelles leur seraient alors strictement réservées, par une infâme discrimination, pour que la chose soit finançable, tout en valorisant le rôle de mère et la colorimétrie traditionnelle dans les médias, les publicités et le cinéma, entre autres.
La question épineuse des critères d’éligibilité se posera immanquablement et il conviendra d’éviter de se balader avec un nuancier Dulux Valentine et de répéter certaines exagérations du passé, le but étant avant tout de valoriser la tendance et de laisser faire le conformisme féminin, un peu comme la mode navrante du tatouage qui s’estompe au profit d’un nouveau « clean look » très tendance et très onéreux pour celles qui avaient suivi la mode précédente et qui se précipitent pour se faire détatouer à prix d’or.
Il va sans dire qu’il faudrait également limiter l’immigration à une immigration d’essence européenne ou occidentale et s’asseoir sur le droit d’asile, lequel prévoit, par ailleurs, que les réfugiés sont supposés s’installer dans le premier pays proche non en guerre, ce qui exclut déjà, en l’état, ceux qui en traversent 10 pour venir spécifiquement chez nous. Tant qu’à faire hurler la CEDH autant y aller franchement et procéder à la déchéance immédiate de la nationalité de tous les binationaux, suivie de l’expulsion, voire plus si affinités et refus d’obtempérer, de tous les illégaux en commençant par les criminels.
Les enfants devant être éduqués dans de bonnes conditions, autre frein à la natalité, il faudrait également réformer complètement le système scolaire et paradoxalement le rendre payant, même symboliquement, avec remboursement pour ceux qui ont la moyenne sur le trimestre et même obtention de crédits pour les meilleurs élèves pouvant, une fois cumulés, être convertis en bourses en fin de scolarité pour les études longues. Une école qui ne serait plus obligatoire, de sorte à pouvoir en exclure les éléments perturbateurs, chacun étant libre de la faire à la maison s’il le souhaite.
Si cela vous choque, ce que je peux comprendre, étant moi-même à deux doigts de me dénoncer, sachez que j’ai gardé les plus radicales de mes idées pour moi ne souhaitant pas avoir sur la conscience une hécatombe à la France Insoumise et faire s’étrangler jusqu’à Marine Le Pen. Autant vous dire qu’on n’est pas près de voir un homme politique proposer ce genre de programme qui par ailleurs n’a aucun sens en démocratie sauf à viser des scores asseliniens qui, lui aussi, s’étranglerait. Vous commencez, je l’espère, à voir où se situe le problème.
La logique (de même que les IA non bridées qui s’en nourrissent) étant une immonde raciste, je dois lutter au quotidien contre mon alter ego démoniaque informaticien qui, à sa décharge, aurait le même discours au Cameroun, en Chine ou au Japon pays, comme la plupart des nations du monde non occidental, pour lesquels la préférence ethnique est une évidence, et il me semble logique qu’ils appliquent la réciproque s’ils l’estiment nécessaire.
Par ailleurs, pour que les choses soient bien claires si le « sentiment » de race, qui vaut bien celui d’insécurité, peut être un facteur de cohérence et de cohésion, l’instinct nous poussant à aller vers ce qui nous ressemble, il n’est certainement pas suffisant en soi. Si tout européen s’intégrera, sans souci, en France en tant qu’individu, paradoxalement, les barrières culturelles produites par des millénaires de guerres et surtout les langues qui modifient considérablement la façon de penser, font qu'en tant que bloc, l'Allemand, par exemple, sera plus compatible avec le Japon dont la langue place aussi le verbe en fin de phrase qu'avec la France et je connais une entreprise japonaise qui a essayé d'implanter une usine en France et a dû renoncer en raison du fossé culturel avant de se tourner vers l'Allemagne où tout s'est parfaitement bien passé.
Dès lors, l’utopie d’une nation européenne « organique » de Brest à Vladivostok que j’ai entendu évoquer sur un blog dissident célèbre et qui serait effectivement idéale pour affronter la Chine et les USA, n’a malheureusement aucune chance de voir le jour, sur cette seule base en tout cas, et l’échec incontestable d’une UE chancelante, même si diamétralement opposée à cette idée dans ses fondations, a été un révélateur des limites de l’exercice.
Nous sommes donc probablement condamnés à régler les problèmes à l’échelle de la nation en négociant des alliances incertaines dans un monde de géants économiques, ce qui n’est pas idéal.
Nous sommes donc probablement condamnés à régler les problèmes à l’échelle de la nation en négociant des alliances incertaines dans un monde de géants économiques, ce qui n’est pas idéal.
Pour en revenir à nos moutons, une fois le problème principal de la natalité identifié, il est donc évident que les femmes sont centrales dans le processus. Cela m’attriste de risquer un lynchage juste en rappelant que leur fonction biologique première est d’avoir des enfants et que (sauf peut-être chez certaines premières dames) leur corps, de la poitrine au vagin, aux hanches et aux réserves de graisse sur les fesses est entièrement déterminé par ladite fonction, jusqu’à leur cerveau qui est câblé pour le multitâche et davantage de compassion avec un zeste de masochisme qui les prépare à l’enfantement. Cela ne veut pas dire qu’elles sont forcément réduites à ça et rien n’empêche d’enfoncer un clou avec une clé à molette de sorte que, contrairement à ce que leur a inculqué la mode du féminisme, ce n’est pas soit la maternité, soit la carrière. Sinon qu’on m’explique les 7 enfants de l’infâme von der Leyen pour ne citer qu’elle.
Cette conception erronée est une des causes du gouffre qui s’élargit de jour en jour, notamment chez les jeunes, mais pas que, entre des femmes d’un côté, laissées en roue libre par un état qui a prétendu remplacer le rôle protecteur de l’homme et qui se dérobe sous leurs pieds en faisant des proies idéales pour des prédateurs allogènes, femmes à l’origine de 75% des divorces et en concurrence acharnée sur Tinder pour le faible pourcentage d’hommes qui coche toutes les cases de leur hypergamie exponentielle et, de l’autre côté, des hommes castrés de naissance par le discours ambiant, la diabolisation de leur masculinité et l’exposition aux perturbateurs endocriniens qui ont pris la mesure du ratio bénéfices-risques à récupérer les restes, à l’approche de la date de péremption, et préfèrent jouer aux jeux vidéo. Inutile de préciser que la reprise de la natalité n’est pas pour demain.
Il n'en faut pas davantage à certains masculinistes, à la Andrew Tate (j’espère, pas encore sa mère), pour rejeter sur les femmes la responsabilité de la situation en remarquant, ce qui est vrai, que, tout en en étant les principales victimes, elles votent majoritairement pour davantage d’immigration et sont plus réceptives aux utopies gauchistes qui nient la réalité. Sa solution serait qu’on leur retire le droit de vote et toute fonction représentative et hiérarchique. Outre le fait que le système démocratique est suffisamment biaisé en l’état pour que la chose ne fasse aucune différence, les femmes n’ayant pas eu le droit de vote pour se voter le droit de vote, ceux qui le leur ont accordé sont forcément les hommes et si c’était une telle connerie et qu’ils l’ont commise, en quoi sont-ils plus capables qu’elles ?
Si tous les hommes étaient des Andrew Tate d’un mètre 90, 100kg, moins de 10% de matière grasse, dégoulinant de testostérone et roulant en Maserati, nul doute que nombre de femmes n’aurait pas d’objection à bénéficier d’une carte Gold tout en s’occupant des enfants dans une somptueuse résidence, la plupart des caissières de grandes surfaces et autres femmes de ménage que je connais ne travaillant généralement pas par choix. Même Sandrine Rousseau, face à cette option, regarderait peut-être son homme déconstruit en se demandant si, en enlevant le scotch, il rentrerait dans la poubelle jaune, recyclage oblige.
Force est de reconnaître que la majorité des hommes n’est pas Andrews Tate, lequel, par ailleurs, surjoue un peu le personnage pour justifier sa calvitie, comme la majorité des femmes n’est pas Sydney Sweeney, et si effectivement, les femmes votent davantage avec leurs émotions en faveur de ce qui nous détruit, un nombre considérable d’hommes soja vote dans le même sens et c'est encore pire dans la sphère politique où j'ai du mal à percevoir des différences morphologiques significatives entre Gabriel Attal et Élisabeth Borne. Inutile de dire que, dans ces conditions, si on votait demain pour supprimer le droit de vote aux femmes, la majorité des hommes, résolument et paradoxalement féministe, voterait contre. C’est donc à mon sens un faux débat qui évite de remettre en cause le système lui-même.
Si toutefois, on s’entête dans l’illusion démocratique, on pourrait effectivement, au moins reconsidérer le droit de vote en général qui, pour être réorienté dans l’intérêt du collectif, serait alors réservé aux seuls hommes réputés colorimétriquement « privilégiés » non binationaux, exerçant une activité depuis un certain temps et ayant effectué le rite de passage du service militaire qu’on devrait réinstaurer et qui donnerait le droit au port d’arme, ainsi qu’aux seules femmes monochromes en RGB 255 ayant eu trois enfants (leur rite de passage à elles) qui leur ouvrirait, en outre, de nombreux droits supplémentaires, comme l’accès à un compte bancaire indépendant (plus incitatif que le droit de vote) et avantages spécifiques pour réussir, si elles le souhaitent, une vie professionnelle à l’issue. Ce serait certes une perte partielle de droits, mais mieux qu’une perte complète à moyen (voire à court terme) quand des populations qui vont beaucoup plus loin qu’Andrew Tate et sont en passe de gagner la guerre démographique finiront par les recouvrir d’un sac de patates avec hublot.
Il faut également comprendre que si les femmes ont été sorties de la cuisine, cela n’a rien à voir avec une quelconque émancipation égalitaire, mais répond à une logique purement économique. Les évolutions technologiques, amplifiées par le développement du tertiaire, ont fait que la complémentarité originelle, à une époque où le travail était plus distinctement réparti en fonction de la force physique, s’est muée en concurrence directe, les femmes étant aussi qualifiées que les hommes pour remplir des tableaux Excel, appuyer sur des boutons ou blablater dans des réunions. Cela a donné à une économie, qui n’attendait que ça, l’opportunité de baisser le coût du travail en encourageant le travail féminin par un discours dévalorisant la famille au profit de la consommation heureuse et de la sexualité débridée en oubliant de préciser la date de péremption et, au bout du chemin, le vide affectif comblé avec des chats. Il en est résulté qu’une majorité d’hommes ne pouvait plus subvenir aux besoins d’une famille avec leur seul salaire, mettant encore davantage de femmes, y compris celles qui préféreraient rester à la maison, sur le marché du travail, faisant encore baisser son coût dans un cercle vicieux, aggravé par une immigration massive.
Renverser la vapeur reviendrait donc automatiquement à augmenter ledit coût du travail en raréfiant l’offre, et ce, dans un marché mondialisé de tendance opposée. Pour autant cela compenserait à peine l’hécatombe d’emplois due à l’intelligence artificielle qui risque de mettre tout le monde d’accord et qu’il convient d’anticiper, l’économie ayant alors un nouvel intérêt à promouvoir la femme au foyer plus susceptible de commander en ligne et les gouvernements à artificiellement faire baisser les chiffres d'un chômage qui risque d'exploser. En outre, une fois conceptualisé le fait que la dette mondiale (qu’on ne pourrait pas imprimer en rasant toute la forêt équatoriale) convertie en billets de 10€ empilés permettrait déjà d’atteindre Mars en orbite basse, organiser la société autour d’une économie basée sur de l’argent qui n’a que la valeur qu’on veut bien lui donner au détriment de la sécurité et de la cohérence des populations ne me semble pas la meilleure option pour le futur, car un peuple cohérent peut toujours rebondir, un cadavre moins. Je préférerais donc que l’on mise sur l’organique et l’ethnique ainsi que sur le fait qu’après quelques périodes d’adaptation difficiles, le génie français (s’il est préservé des coups de couteau, des balles perdues, de la théorie du genre et de la créolisation mélenchonienne) pourvoira comme il l’a toujours fait par le passé.
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