Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/t1ydkaroSC0
Bonjour !
J’ai écouté le pervers solitaire (faute d’avoir nommé un gouvernement) qui nous tient lieu de Premier ministre. Un ténia politique, roublard, à diplôme virtuel qui veut nous la mettre par là même d’où il est sorti. Tel que je le comprends, entre les lignes (qu’on espère pas de coke) le renoncement au 49-3 et la volonté de « rendre le pouvoir aux assemblées » signifient surtout : pas besoin d’engager la responsabilité du gouvernement, donc pas de motion de censure. Ce faisant, l’homme qui habite (plus une) à l’Élysée, faute d’autre fusible à sa disposition si « Lecornu » devait se « rhabiller », tire sa dernière cartouche dans l’idée de finir tranquillement son mandat au prix de lâcher le gouvernail.
Hormis quelques propositions comme remplacer l’absurde taxe Zucman par une taxe sur le patrimoine financier non professionnel, centrée sur les holdings, qui ne fera lever aucun bouclier (même fiscal), mais n’est pas à la mesure du problème, Lecornu qui, par précaution, est célibataire, se défausse élégamment de la patate chaude du budget, laissée à l’appréciation sans restrictions d’une assemblée ingouvernable, sachant que, compte tenu de la trajectoire du Titanic (la France), l’objectif premier de la couler sera atteint de toute façon, personne n’ayant envie de toucher aux centaines de milliards dilapidés en subventions diverses, officines inutiles, mirage climatique, fraude sociale, immigration, train de vie de l’état et autres participations européennes sans le clientélisme et les bakchichs desquels cette république mafieuse s’effondrerait comme la poitrine de Roselyne Bachelot sans soutien-gorge.
Ce que l’on appelle aux échecs un « pat » (tu me tiens, je te tiens par la barbichette - ou par ailleurs si affinités) dont la seule résolution serait de renverser l’échiquier par une procédure de destitution. Destitution à laquelle le RN est opposé pour des calculs de boutique, Marine Le Pen, bien que ménopausée s’étant rendue à la convocation avec un petit chat toujours vivant… transporté dans un panier, peut être avec un espoir que Lecornu y mette la main. Bref, à ce stade, Macron semble bien avoir gagné.
D’autant que, sauf parenthèse hautement saponifiable à bulles potentielles de la reconnaissance tardive du tas de ruines gazaoui qui ne mange pas de pain (ni quoi que ce soit d’autre, blocus oblige), sa capacité de nuisance à l’international reste intacte.
D’autant que, sauf parenthèse hautement saponifiable à bulles potentielles de la reconnaissance tardive du tas de ruines gazaoui qui ne mange pas de pain (ni quoi que ce soit d’autre, blocus oblige), sa capacité de nuisance à l’international reste intacte.
L’arraisonnement d’un navire pétrolier russe, dans le but de se faire, là aussi, mousser lors de son voyage au Danemark, revient à tester le (jusque-là) très patient Poutine en espérant qu’à force de le titiller en quelque endroit dépourvu de fourrure, l’ours finira par réagir et entamer une guerre qu’il n’a aucun intérêt géostratégique à mener, et ce, dans une course contre la montre (d’où le discours lunaire du 3 octobre en Allemagne sur la nocivité des réseaux sociaux) avant que, confrontée à son bilan, toute cette clique de gouvernants européens doive rendre des comptes à la justice… populaire si l’autre ne fonctionne pas.
Tandis que l’Australie vient de nous classer en haut de la liste mondiale en matière d’insécurité dans ses conseils aux touristes et que ça canarde en pleine rue aux quatre coins de l’hexagone (ce qui n’est ni mathématiquement ni éthiquement correct), ladite justice semble avoir décidé de rediriger ses faibles ressources vers le haut. Je ne sais pas si le mot « tal » a un sens en dehors de l’univers numismatique, mais après Sarkozy dont la paire qu’il possède est la seule part honnête et dont tout ce qui dépasse des chaussures, même si ce n’est pas beaucoup, est foncièrement pourri (je vous renvoie à ma petite chanson récapitulative de la semaine dernière) on apprend que Gérard, Miller de rien, vient enfin d’être placé en garde à vue tandis que, de toute part, tels des égouts bouchés par un excès de tampons de féministes écologistes, telle Marine Tondelier qui a fait arrêter une lesbienne racisée et visiblement malvoyante pour harcèlement amoureux à son encontre, les scandales remontent, que ce soient les frais de de déplacement, de restauration et de représentation d’Anne Hidalgo où les abus de Delphine Ernotte à France Télévision.
C’est au point que l’arrachage oléophobe d’un second olivier en hommage à Gérard Halimi est rétrogradé (sans même intervention du RAID et de la police scientifique) à la rubrique des chiens casher écrasés rejoignant hiérarchiquement la flopée de meurtres, agressions et viols de Français ordinaires dont personne n’a, visiblement, rien à cirer dans un pays ou des sandwiches jambon beurre à 3€ provoquent des émeutes... pardon, j’ai mal lu, où des Tacos à 3€ provoquent des émeutes. Pour un peu, on en oublierait presque de parler, non du sexe des anges, mais de celui de Brigitte, un peu comme Candace Owens focalisée actuellement sur un Charlie Kirk assassiné à point, bien que saignant.
En attendant, pour tuer le temps qui lui n’est pas suicidaire, Macron, après Simone Veil, Joséphine Baker et Manouchian va poursuivre la colonisation du Panthéon avec le sinistre Badinter. À ce propos, l’excellent Thomas Séraphin a commis une rubrique savoureuse sur le sujet que je vous mets en description, rappelant que c’est à ce prépuçophobe que l’on doit : d’être sans solution face aux criminels récidivistes, la politique de l’excuse dans les tribunaux et la suppression de la rétention de sécurité, la censure de la loi Pasqua sur l’immigration, les collectes de sang dans les prisons avec pour conséquence le sang contaminé de sinistre mémoire et autres joyeusetés comme le premier changement de sexe officiel d’un trans à l’état civil, au point de se demander s’il a jamais existé un « Goodinter ». Par ailleurs, il s’agit d’un cénotaphe, cercueil qui ne contiendra ni le Badinter, ni le haut, puisqu’il sera vide, tout ceci n’étant que du vent, pour ne pas dire flatulence.
Dans cette monotonie hypnotique de spirale descendante de fond de cuvette qui finit par nous rendre amorphes, il faut se tourner vers les États-Unis pour avoir un peu de dynamisme. Au moins, les choses y bougent. Certes dans tous les sens et parfois opposés, mais au moins elles bougent. Que ce soit avec Trump qui, entre deux taxes utilisées comme un marteau, à tort (et non de Thor) et pour qui tout problème est un clou, trouve le temps de déclarer les antifas mouvement terroriste ou avec Elon Musk parti en croisade contre ce repaire purulent de désaxés qu’est devenu Netflix qui fait en douce la promotion du transgenrisme dans ses dessins animés pour enfants, comptant sur le fait que les parents ne les regardent pas.
La chute continue du cours depuis quelques jours et l’avalanche de désabonnements fait partie des petits plaisirs à ne pas bouder, même si le LGBTQIA+√2³ est juste un caillou qu’on a mis dans notre chaussure pour qu’on se sente mieux quand on l’enlève, alors que rien n’a fondamentalement changé, sinon en pire, par rapport à avant qu’on nous le mette, mais sur le moment, on a l’impression d’avoir gagné quelque chose. Même méthode que promettre de supprimer 2 jours de congés pour ensuite y renoncer après nous avoir bien….