Ce blog est parfois au second degré, merci de ne pas tout prendre littéralement et d'en tenir compte si vous devez laisser des commentaires.

dimanche 19 octobre 2025

ÇA VA FAIRE TRÈS MAL ! + crash cryptos expliqué et autres news (19/10/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/dlUz1uA9onI

Bonjour !

Certains jours, je me sens comme les suspensions d’une voiture électrique à pédales conduite par Ersilia Soudais, transportant Mathilde Panot, la liste intégrale des genres LGBTQIA2S+ en 40 volumes reliés, plus Gérard Larcher pris en autostop après son petit-déjeuner, comme quoi, les éléphants ce n’est pas qu’au parti socialiste. Le futur est, en effet, tellement évident qu’on pourrait le lire dans une boule de Première dame et il n’est pas réjouissant.

Un total de 6 800 défaillances d’entreprises a été enregistré en France en septembre, ce qui constitue la pire période de rentrée depuis 2009 (en concurrence avec le record de Bonnie Blue si on met un s à « rentrée »), tandis qu’après Moody’s et Fitch c’est, cette fois, Standard & Poors qui dégrade notre note. Nos taux d’emprunt vont donc s’envoler avec un degré de certitude équivalent à la probabilité d’enrichissement culturel de toute personne de sexe féminin avec un record personnel supérieur à 9 secondes au 100m départ arrêté en escarpins, passant nuitamment sous un réverbère éteint pour des motifs écologiques. 
 
Une note qui baisse d’une octave en mode mineur, très difficile à jouer au pipeau, même avec l’orifice de prédilection de Bruno Le Maire transmis à ses successeurs, passant de AA- à A+, comme dans « à la revoyure… pour la prochaine salve ». Personne n’est dupe du fait que les prévisions de Bercy et les attentes relatives au budget 2026 sont aussi réalistes que l’espoir de vendre une voiture électrique d’occasion plus cher qu’un vibromasseur à piles.

Car oui, projet de budget il y a, puisque, bien sûr, tels des excréments de mouches coprophages atteintes de gastro-entérite dans une fosse septique, les députés PS et LR ont atteint, eux aussi, la quintessence de leur nature profonde et n’ont pas censuré Lecornu. Le biprotubérant s’est immédiatement mué en « taxator », ce qui sonne mieux qu’ « impôtstor », allant, pour rester dans le thème, en sus de 19 milliards d’impôts nouveaux, jusqu’à taxer discrètement nos poubelles sous forme d’augmentation de la TGAP (taxe générale sur les activités polluantes) intégrée dans la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (et non, hélas, politiques) qui va augmenter de 62% en 5 ans. 
 
L’illusoire gel aqueux à propriétés lubrifiantes de la réforme des retraites ne parvient pas à faire oublier que tandis qu’on gèle le barème de l’impôt sur le revenu et qu’on supprime l’abattement fiscal de 10 % pour les retraités, qu’on essaie d’économiser quelques millions d’euros en rognant sur les allocations familiales et les aides aux apprentis, qu’on sucre les avantages fiscaux des biocarburants (comme quoi, l’écologie…) et que Braun Poivrot veut faire un sort à ce « truc pas sain » qu’est l’héritage (pour ne citer que le sommet d’un iceberg de 390 pages), en dehors de quelques niches fiscales symboliques, toujours rien en vue sur les centaines de milliards dilapidés en tous sens pour faire vivre un système maffieux devenu pachydermique et qui peut sans sourciller blanchir Anne Hidalgo, en dépit de son bronzage, sur ses notes de frais hors climatisation, par le biais du Conseil d’État. 

Outre le fait que chaque centime raboté ira dans le pot commun et continuera à financer l’Ukraine, l’Union européenne, l’usine à navets du cinéma français, les associations politisées et pro-migrants, l’immigration de masse, la pléthore de comités Théodule et d’officines inutiles et les cadeaux à la finance internationale, sans compter Léa Salamé profond qui, comme son collègue du 13h, lit connement le même prompteur qui confond Dominique Bernard et Samuel Paty trop tôt, le taux de taxation est tel que le point d’inflexion de la fameuse courbe de Laffer est depuis longtemps dépassé. 
 
La théorie étant que, passé ce seuil, paradoxalement, toute hausse d’impôt se traduit par une baisse des recettes, les gens réduisant leurs dépenses (donc baisse des rentrées TVA), ou trouvant des expédients comme le travail au noir, le troc, l’échange ou des biais fiscaux en affinant leurs connaissances. En d’autres termes : « trop d’impôt tue l’impôt ! ». Ceux qui le peuvent profitent même des opportunités de s’exiler à l’étranger qui foisonnent : après Poutine qui offre des terres à tout Français anti-LGBT qui souhaite s’installer en Russie, c’est au tour de Trump d’opter pour une immigration de nouveau totalement européenne, c’est-à-dire blanche, avec priorité donnée à ceux qui sont persécutés pour leur opposition à l’immigration.

Comme il n’est pas question de toucher à l’énorme voie d’eau dans la coque du Titanic semblant issue de la rencontre fortuite entre Gabriel Attal ramassant des fraises et un mammouth homosexuel, les pantins qui nous gouvernent n’ont d’autre choix que de continuer à nous faire écoper la soute à la petite cuillère. Le projet inique de taxer les petits colis hors UE, jusqu’à 50€ pièce, enlevant aux plus modestes la possibilité de s’habiller en rapport à leur budget sur Temu ou Shein, et de compenser sur divers autres produits leur perte de pouvoir d’achat, en est un bon exemple et ne fera pas rentrer un centime supplémentaire, les fournisseurs chinois implantant désormais des entrepôts en France pour contourner la réglementation.

Petite consolation, la pourriture du système dépasse les frontières comme l’a démontré le gigantesque crack sur les cryptos cette semaine, Trump ayant volontairement annoncé des frais de douane gigantesques contre la Chine, un vendredi, à la fermeture des marchés, ne laissant que les cryptos aux investisseurs inquiets pour retirer leurs fonds à risque avant la tempête, dans l’idée de les placer en or ou autre. Le problème est que certains traders n’achètent pas vraiment les bitcoins et équivalents en temps réel et, dans l’intervalle, paient ceux qui croient en vendre avec les sommes de ceux qui croient en acheter. 
 
Ces plateformes n'ont pas tenu le choc face à une demande aussi subite, accroissant la panique en spirale et faisant baisser les cours de façon drastique. Par ailleurs, des millions d’investisseurs qui avaient succombé aux sirènes des effets de levier, consistant à acheter à crédit différé de la crypto pour plusieurs fois la somme réellement investie en tablant sur des hausses, une fois que leur perte a atteint le montant de leur apport personnel de garantie, ont vu leur position liquidée automatiquement, c’est-à-dire qu’ils ont tout perdu, même s’il y a eu un rebond juste après. 19 milliards de dollars se sont ainsi évaporés, tandis que certains initiés, on se demande bien par qui, se sont fait des attributs de Première dame en or et se sont engraissés.

On aimerait pouvoir en dire autant des habitants de Gaza, l’aide humanitaire arrivant à la vitesse d’exécution d’une OQTF en Seine Saint-Denis, en dépit d’un cessez-le-feu qui n’a pas empêché quelques assassinats nerveux et qui sera probablement piétiné par Netanyahu à la seconde où il aura récupéré les derniers bouts d’otages râclés sur les gravats, seul frein au soutien quasi unanime de sa population à ses velléités de faire de la zone une aire de stationnement géante. On verra bien si je me trompe et j’espère me tromper.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire