Salut à tous et tous mes vœux.
Après plus d'un an dans la naphtaline, je réactive ce blog car la connerie ambiante a atteint de telles proportions que, malgré mes bonnes résolutions, me taire plus longtemps m'exposerait à une crise aiguë d’hémorroïdes. La transition est toute trouvée, donc, pour aborder le sujet du jour : la quenelle.
Il s'agirait d'un salut nazi inversé. Ce qui revient en gros à dire que se gratter le cul revient à se gratter la tête à l'envers. Le pire c'est que ce n'est peut-être pas faux si l'on considère que beaucoup de gens semblent avoir davantage d'idées en se grattant les fesses qu'en massant leur lobe temporal.
J'ai relu "Mein Kampf" 3 fois et je maintiens que la simple idée d'un nazi noir est aussi absurde que la perspective d'une baisse d'impôt sous un gouvernement socialiste.
Comme je suis quelqu’un d'ouvert, j'ai quand même essayé d'imaginer un scénario qui rendrait la chose possible, et à ma grande surprise, j'ai trouvé.
Comme nous l'a rappelé l'affaire Taubira : avant la colonisation, les noirs vivaient essentiellement dans les arbres, s’empiffrant de bananes en s'épouillant les uns les autres. Je suis hélas obligé de casser l'effet comique en précisant, à l'intention du nombre croissant d'hominidés trépanés par la télé et qui prennent tout au pied de la lettre que c'est du second degré et qu'à ma connaissance, le seul homme en Afrique qui ait jamais vécu dans les arbres, au milieu des singes, il s'appelait Tarzan et il était blanc.
Comme le reconnait lui-même Dieudonné, il a un nom qui rebondit : mbala mbala. Mais d'où vient ce nom? On peut tout à fait imaginer que son grand-père soit tombé d'un bananier en essayant d'attraper une banane et qu'au lieu de s'écraser sur le sol, il se soit mis à rebondir : mbala, mbala, mbala... Deux explorateurs allemands qui passaient par là, amusés par le phénomène décidèrent de l'amener sur le continent. Après moult aventures qu'il serait trop long de narrer dans ce billet, le fameux grand-père se retrouve mascotte d'un régiment de Waffen SS et on ne doit qu'à la sagacité des agents du CRIF et de la LICRA de l'avoir repéré sur les photos d'époque. Il faut dire aussi qu'un pygmée noir d'un mètre trente qui bouffe une banane au premier rang devant 80 types d'un mètre quatre-vingt, blonds aux yeux bleus c'était pas trop difficile à trouver.
Autant dire que quand Hitler l'a repéré, il a fait la grimace et puis, soudain, quelque chose l'a intrigué. Le petit homme bouffait des bananes, les portant à sa bouche en les remontant le long du bras opposé lequel restait tendu vers le bas:. un coup à droite, un coup à gauche, de manière souple. Bizarrement l'idée lui plût mais il trouvait que le bras pendouillant vers le bas ce n'était pas assez viril. Pris d'une soudaine illumination il leva son bras en l'air avec une telle violence qu'il se déboita l'épaule et poussa un énorme "AÏE!". Tous les cons en face qui n'avaient rien compris l'imitèrent comme un seul homme en criant "HEIL!".
La vérité est donc plus horrible encore que tout ce qu'on a pu imaginer: la quenelle n'est pas un salut nazi inversé, c'est le salut nazi qui est une quenelle inversée et c'est la faute à Dieudonné.
Si la chose s'était arrêtée là, on pourrait peut-être lui pardonner mais la suite est carrément nauséabonde. A force de bouffer des bananes, le grand-père de Dieudonné s'est mis à lâcher des gaz faisant s'écrouler d'un coup 2 rangées de Waffen SS. Hitler se dit alors "Des gaz? Mais oui, bien sûr..." On connait la suite.
Pour l’anecdote, ce même jour Hitler réfléchissait justement à un drapeau pour symboliser le nazisme et pour la croix du milieu il hésitait encore entre le fuchsia et le vert pistache mais on ne sait pas pourquoi, il opta pour le noir.
Comme il faut quand même un happy-end, la légende raconte que, pour alimenter le bonhomme en bananes, on a carrément réquisitionné un train qu'on a vidé des juifs qu'on venait de charger dedans à la fourche et que les pauvres bougres, profitant de l'aubaine, on pu s'échapper et se cacher au fond de caves dans la région parisienne. Ils étaient si bien planqués qu'ils étaient toujours là plusieurs années après la guerre et on ne les a trouvés qu'après avoir construit au dessus d'eux les locaux de l'ancienne ORTF. Comme ils étaient déjà là, on n'a pas osé les mettre dehors. C'est certainement une histoire vraie car sinon comment expliquer qu'en ne représentant que moins d'un pour cent de la population, ils soient très largement majoritaires dans les médias, ces mêmes médias qui fustigent l'abominable Dieudonné et nous prennent pour des cons?
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