Bonjour,
Si l’on
considère que, de par leur expérience personnelle, un proctologue et un morpion
sont tous deux des spécialistes en hémorroïdes, on peut admettre qu’Emmanuel
Macron 2.0, depuis peu intarissable sur le sujet, est un spécialiste en
immigration même si sa spécialité majeure reste la pénétration rectale de diptères,
en vol et les yeux fermés. Activité qu’il pourra exercer tout à loisir sur les
mouches forcément peu réactives issues des asticots cocaïnomanes malgré-eux qui
vont se repaître des restes parfumés à la tête de veau de feu Jacques Chirac,
co-responsable du regroupement Familial à l’origine du problème et dont la célèbre
tirade de Marie-France Garaud : « nous pensions qu’il était du
marbre dont on fait les statues, il n’était que de la faïence dont on fait les
bidets » serait la parfaite épitaphe.
Probablement
pris de remords, conscient qu’il nous coûtait un rein pour rien, le brave homme
a arrêté de respirer. On attend le même sens civique de VGE, l’autre co-responsable
du regroupement familial, et pourquoi pas d’Hollande et de Sarkozy ; à 2
millions par tête de pipe, il n’y a pas de petites économies. À moins que cette apnée pécuniairement
salvatrice ne soit que l’anticipation, par l’amateur de pommes, du nuage de pollution
pétrochimique mâtiné des cendres de 8000 m² de toiture amiantée, d’arsenic et (selon
certaines rumeurs qui compensent le silence politique et médiatique), de
composés radioactifs, qu’ont allègrement respiré une centaine de communes
autour de Rouen. Il faut dire que respirer de la fumée, depuis Jeanne d’Arc, les
gens du coin avaient perdu l’habitude. En outre, cette fois, le nuage était trop
noir et trop visible pour qu’on nous refasse le coup de Tchernobyl, du coup,
même tactique que pour le plomb autour de Notre-Dame : « circulez, y a
rien à voir ». Dans la panique, ils n’ont même pas pensé à envoyer une
Schiappa, dont la constipation patronymique monte jusqu’au cerveau, pour
expliquer que la toxicité du nuage était due à sa masculinité et que du coup
elle allait proposer un nouveau projet de loi rendant féminins tous les mots se
terminant par « e » ce qui résoudrait le problème. Pour avoir été à
Toulouse le jour d’AZF, cette façon méprisante de prendre les gens pour des
cons a tendance à m’énerver et à faire ressortir mon côté Greta Thunberg
laquelle va encore pleurer, la pauvre, et cette fois, ce sera justifié, la fibre
écologique macronnienne s’arrêtant à la taxation des carburants dont le prix
suit la même évolution exponentielle que le tour de taille de la brave Marlène
depuis qu’elle fréquente la cantine de l’assemblée. Assemblée qui, pas à une
contradiction près, après qu’on ait annoncé, le 28, de nouvelles mesures pour
favoriser l’avortement, vote quelques jours après, porté par une Belloubet dont
le minois ésotérique est incontestablement un plaidoyer efficace en faveur de l’IVG,
le texte sur la PMA pour les lesbiennes, le tout, bien sûr, remboursé par la
sécu, ce qui revient à allumer le chauffage et la clim en même temps. J’attends
les réactions quand, et ça ne saurait tarder, une femme dont on aura financé la
PMA et qui changera d’avis parce que sa copine l’aura quittée, se fera avorter,
toujours aux frais du contribuable. Bienvenue en Macronnie.
Mais
je digresse. Toujours est-il qu’en parlant d’immigration, celui qui fantasme
peut-être déjà sur Bernadette Chirac enfin célibataire, allongée lascivement avec
un sac à main en peau de panthère sur un lit de pièces jaunes, caresse, avec un
doigt humide, dans le sens du poil, direction raie des fesses, à la fois ses
nouveaux électeurs de droite, en leur donnant une légitimité à râler (activité
favorite des gens de droite), tout en conservant la partie qui lui reste à
gauche, en ne faisant rien concrètement, voire en aggravant la situation en
faisant entrer toujours plus de migrants, comme convenu récemment en territoire
transalpin débarrassé de l’infâme Salvini qui utilisait la botte italienne pour
les chasser à coup de pieds dans les fesses. Pour autant, comme sa mission est
de presser le citron jusqu’à le rendre aussi sec que Brigitte un jour de
canicule et qu’il est devenu intenable, pour beaucoup, de se faire racketter et
de voir que, pendant ce temps, des étrangers bénéficient, eux, des largesses relatives
de l’État (même si on est encore loin d’un homard de Rugien qui serait dégusté
dans des locaux loués à prix d’or à la femme de Ferrand avec un personnel
fantôme payé sur des fonds européens par Sylvie Goulard, ou encore des 105
millions d’Euros gagnés par certains bénéfacteurs du candidat Macron lors de la
vente d’Alstom poussée par le Ministre de l’économie Macron), il est donc probable
qu’on va essayer de symboliquement pomper aussi quelques sous aux immigrés installés
et de raboter (un peu) l’AME afin, une fois qu’il sera établi que tout le monde
est dans le même bateau, qui coule, de pouvoir donner un tour de vis
supplémentaire à l’ensemble de la population, sans risque d’une émeute sociale
puisque, cerise sur le clafouti, le thème de l’immigration, qu’il va pousser
jusqu’en 2022 pour être sûr de se retrouver face à la danseuse post-électorale,
toujours prête à se jeter « Alliot » (même si récemment c’est
plutôt Alliot qui l’a jetée), va obliger les gilets jaunes à enfin parler de l’éléphant
au milieu de la pièce et à réaliser que la quasi-totalité des gens qui assurent
leur présence médiatique ou ont phagocyté leurs différentes instances sont en
totale opposition avec la partie immergée de l’iceberg sur le sujet, faute d’avoir
eu suffisamment tôt ce débat nécessaire, lequel aurait agit comme répulsif envers
certaines engeances. Tout ça pour avoir préféré miser sur le nombre plutôt que
sur des fondations saines et solides. Du coup, si l’abcès n’est pas crevé vite
et que Macron mène bien sa barque, on pourrait même assister à des bastons
gilets jaunes contre gilets jaunes tandis que les CRS compteront les points en
rigolant. La question que pose l’immigration est en réalité : « a-t-on
le droit de raisonner en termes de masses et de flux au lieu d’individus et de classer
hiérarchiquement les gens en fonction de critères d’appartenance, d’allégeances,
d’intelligence, de comportement, de bagages culturels, de capacités, de
compétences afin de décider qui peut venir et rester ? »
Inutile
de dire que le concept est reçu comme un représentant Terraillon sur le palier
de Claire O’Petit par tous ceux qui pensent qu’un homme et une femme c’est
pareil, que tout le monde a droit à une médaille en chocolat pour avoir
participé, que nous sommes tous interchangeables et qui confondent l’égalité du
citoyen, en tant que tel, avec celle, dénuée de sens, de l’individu.
Généralement, le gauchiste dévie le problème, comme Besancenot que, suite à un
clic malheureux de souris, j’ai écouté récemment, prétendant qu’aucun de nos
problèmes ne découle de, ni ne sera réglé par, l’immigration et qu’il faut se
focaliser sur la lutte contre la finance qu’il se garde bien, toutefois, de
qualifier de cosmopolite. Outre que l’immigration est l’un des principaux
outils de ladite finance et que l’en priver aurait forcément un impact sur sa
capacité à nuire, ce discours revient à dire que quand on a une blennorragie,
ça ne sert à rien de lutter contre les morpions, même si ça gratte. Se
débarrasser des problèmes spécifiques à l’immigration, même en admettant qu’ils
ne sont pas vitaux, ce que pour ma part je conteste, serait déjà un
soulagement. D’autant que, comme l’a fait remarquer Zemmour dans son récent
discours décrié (mais pas pour la bonne raison, à savoir qu’il ramène abusivement
l’immigration au seul Islam), ladite immigration, qu’elle en soit ou non la
cause, aggrave tous les problèmes : éducation, logement, santé, insécurité
etc.
En
fait, le terme réducteur d’immigration, comme la plupart des termes utilisés
pour mettre des débats sur la table, est une manipulation qui ne permet pas de
poser les bons postulats, sans lesquels toutes les discussions s’enlisent. C’est
un peu comme condamner la langue pour les gros mots ou ramener les rapports
sexuels à une question de va-et-vient : tout dépend, entre autres, de la nature
de ce qui rentre (les goûts de Macron n’étant pas universels), de l’orifice
utilisé, si c’est consenti ou non et du nombre de MST que ça transmet. On peut
aussi voir ça comme un tube d’essai en chimie. Avant de mélanger n’importe quoi
il est primordial de savoir ce qu’on a dans le tube (selon de Gaulle : « un
peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion
chrétienne ») et de savoir ce qu’on y met, sinon ça risque de faire « boom ! »
comme dans le cerveau de Schiappa quand c’est quelqu’un d’une communauté « opprimée »
qui commet un féminicide sur une blanche « privilégiée ». L’immigration,
en soi, n’est donc ni un problème, ni une obligation et encore moins un
phénomène inéluctable comme la pluie ou le vent. C’est un choix (sinon il faut
l’appeler invasion). Et ce choix a des conséquences, à commencer par l’impossibilité,
lorsqu’on est trop différents et divisés, de faire corps en tant que communauté
nationale face aux dangers qui nous menacent. L’analogie machiste du robinet,
largement répandue, qui fait accessoirement porter la responsabilité à la
dernière goutte de faire déborder le vase, est totalement biaisée. Certes, quand
on verse de l’eau dans de l’eau, il suffit de fermer le robinet pour éviter que
la baignoire déborde, mais quand on verse de l’huile dans l’eau, fermer le
robinet ne suffit plus. La bonne image, en réalité, n’est pas celle d’un
robinet mais d’un incendie. Tout immigré communautarisé, et j’insiste sur ce
point : « communautarisé » (les autres, en nombre raisonnable,
ne posant pas problème), peu importe depuis combien de temps il est là et son
niveau de réussite sociale, s’il reste dans sa communauté et conserve ses mœurs,
a vocation à ce que sa descendance constitue une immigration intérieure qui
sera d’autant plus hostile qu’elle sera déclassée ou précaire et qui continuera
à brûler le pays de l’intérieur, même si l’on ne laisse plus personne entrer,
ce qui est alors aussi futile (et il s’agit d’une analogie, pas d’une
comparaison) que de calfeutrer portes et fenêtres une fois qu’on a des blattes
dans l’appartement. Cette immigration intérieure, jamais comptée dans les
statistiques, et qui, parfois pour de bonnes raisons, haït ce qu’elle croit
être la France mais qui n’est que la république, est d’autant plus pernicieuse
que ses membres sont paradoxalement totalement inadaptés à la vie dans le pays
d’origine qu’ils idolâtrent de leurs parents ou de leurs grands, voire arrière-grands-parents,
pays qui, Israël mis à part, n’ont aucune envie, par ailleurs, de les récupérer
si l’envie nous prenait de les y renvoyer. Pourtant le problème principal est
ailleurs, à savoir le nombre hallucinant d’autochtones intoxiqués par la
propagande, au point qu’ils seraient prêts à prendre les armes pour lutter
contre leur propre peuple et pour sa mise en minorité par l’invasion migratoire.
Pour ceux que ça intéresse, Julien Rochedy fournit une explication assez
convaincante du phénomène dans sa conférence sur Nietzsche que je vous mets en
lien. En gros, la cruauté intrinsèque liée à la volonté de puissance, inhérente
à tout individu, bridée par une société pacifiée, ne peut plus s’exercer que
contre soi-même.
Il
faut bien comprendre que la France n’existe que par le lien social et le
sentiment d’appartenance, n’étant pas, comme l’Allemagne, « ein Volk »
(un peuple) qui préexistait au pays mais, au contraire, un conglomérat de tribus
différentes mais complémentaires et compatibles qui ont accepté, un peu
contraintes quand-même, de vivre ensemble (le peuple s’étant créé au bout de
1500 ans de vie commune et de brassage, avec ses caractéristiques ethniques et
sociétales propres, autour de l’amour du pays). Si cette envie de vivre
ensemble, parmi les siens, disparaît, qu’il n’y a plus de sentiment d’appartenance
et donc de lien social, la France est morte et nous avec, les migrants n’étant plus
alors que le dernier clou sur le couvercle du cercueil, et l’on finit par se
demander ce que l’on défend au juste quand son propre pays est peuplé de droits-de-l’hommistes
à la vue courte, lesquels, factuellement, ne valent pas mieux que lesdits
migrants qu’ils aiment tant et qui, eux au moins, ont une logique que l’on peut
comprendre.
Par
le passé, éliminer physiquement une part importante de la population d’un pays,
devenue idéologiquement incompatible avec l’autre partie et menaçant la survie
de l’ensemble, était une option comme une autre, la survie prévalant encore sur
les valeurs. Personne n’ose le dire mais c’est hélas la seule option efficace validée
par l’histoire, aucun bulletin de vote, pour qui que ce soit, même avec des longs
cheveux blonds et de jolies jambes, n’étant en mesure de résoudre le problème, la
démocratie n’étant pas adaptée aux égoïstes et aux suicidaires, et nécessitant,
pour fonctionner, un peuple « instruit » et non pas « éduqué ».
D’autant qu’on a trop attendu, abusés par une civilisation du virtuel qui
permet de nier la réalité, interdisant même d’évoquer ce genre d’amputation « haineuse »,
et que, sauf cataclysme qui obligera à l’action, ou homme courageux qui y
appellera du fond de sa prison, la gangrène va inexorablement évoluer et que le
malade mourra, tel la grenouille dans sa casserole d’eau tiède, en regardant
Netflix et Hanouna. C’est juste dommage pour tous ceux qui, au cours des
siècles, ont donné leur vie pour cette idée de France, ringarde et renfermée
sur elle-même, telle que la voient nos médias et politiciens, Macron, pourtant
censé la protéger, en tête.
Comme d’habitude, je n’ai pas la
prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter
la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure.
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