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vendredi 18 octobre 2019

Du nutella à Nabilla en passant par la fin du Monde (18 oct. 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube :https://youtu.be/51zcVxMKnY4





Bonjour!
Ce qui est fascinant avec Macron c’est que quelles que soient les insanités qui transitent par son orifice buccal, il semble toujours aussi parfaitement à l’aise qu’un ténia dans un pot de Nutella format familial, à température ambiante. Nutella mal inspiré, au passage, de donner des leçons de morale à Zemmour si l’on considère que cette pâte à fabriquer des obèses qui sentent la noisette quand ils flatulent, n’a comme seul intérêt accessoire que la propriété lubrifiante que lui confère l’huile de palme avec, c’est vrai, un côté ton sur ton de nature à camoufler les petits accidents, en cas de pratiques que d’infâmes rumeurs qualifieraient de macrono-benalliennes ou inversement.  Un Emmanuel Macron donc, comparé sarcastiquement à Napoléon par Trump lequel, en retirant ses troupes du nord-est de la Syrie, l’a laissé aussi à poil qu’une strip-teaseuse au cap d’Agde un jour de canicule. Ce qui ne l’empêche pas de donner des leçons au reste du Monde, projetant vers l’avenir ce regard vague mais déterminé des êtres supérieurs qui ont pris la mesure de cet infini qu’un cerveau ordinaire ne saurait appréhender même si, devant l’étendue de la connerie des gens dont il s’entoure, on commence à se faire une idée du concept. On est heureux d’apprendre qu’il a décidé, en notre nom, pour une raison géopolitique qui m’échappe tout autant que ce qu’on aurait à y gagner, des sanctions contre la Turquie sur le territoire de laquelle Renault, déjà mal en point, a cru bon de délocaliser et que nous ne vendrons plus d’arme à Erdogan lequel, si on le gonfle trop, peut nous enrichir culturellement de 2 millions de migrants supplémentaires d’un simple claquement de doigt mais qui, heureusement, s’en tamponne le loukoum avec du sucre glace, vu que ses chars sont allemands et ses avions américains. Les répercussions se limitent donc, pour l’instant, à quelques sifflets et des saluts militaires pendant un match de foot qu’on n’a, par ailleurs, pas été foutus de gagner, contre une équipe de Turquie qui, géographiquement, a autant sa place en coupe d’Europe qu’Israël à l’eurovision, sans que personne ne se demande, à cette occasion, d’où sortent tous ces turcs qui ont rempli le stade de France. La situation pourrait s’empirer si l’on considère la petite dizaine de bases militaires Françaises en Syrie, aussi officieuses qu’illégales, qui se retrouvent à présent coincées entre les ottomans et nos anciens alliés Kurdes qui ont retourné leur veste avec la dextérité d’un croisement génétique entre Bruno Le Maire et Manuel Valls, et soutenus désormais par Assad et donc, la Russie. Probablement que fort des connaissances en géographie qu’il a étalées lors de sa visite en 2017 dans cette magnifique « île » qu’est la Guyane, notre gérontophilissime a mal estimé les distances, pensant peut-être que le kur « distant » ne pouvait pas être au « proche »-orient. Cerise sur le gâteau, les 12000 jihadistes et leurs familles, gardées par lesdits kurdes dans des camps, dont plusieurs centaines de Français, eux, se retrouvent potentiellement dans la nature. Si gouverner c’est prévoir, à ce niveau-là d’imprévision les capacités à gouverner de l’inventeur de la pensée complexe ambivalente à rétropédale inversé qu’on appelle le « en même temps » le placent quelque part entre un réverbère anglais du 19ème et une chèvre rescapée d’une tournante Jihadiste, laquelle, si elle n’est pas transgenre, pourrait au moins donner du lait…
Heureusement, pour nous distraire de cette débâcle, de la question de savoir jusqu’à quel point nos services d’état, déjà sous la coupe, au sommet, de la maçonnerie, sont infiltrés, à la base, par des éléments hostiles qui font valoir leur penchant pour la coutellerie ménagère et nous informent régulièrement qu’Allah a la bonne taille pour jouer au basket, de l’incapacité à gérer quoi que ce soit personnifiée par un Castaner qui gagnerait à cantonner l’utilisation de sa langue au roulage de patins en boite de nuit après recrachâge éventuel, par respect pour la dame, des poils résiduels parfumés au Nutella que récoltent parfois les lèche-culs serviles, de la nullité totale, tant de la police que de la presse, illustrée par l’affaire Dupont de Ligonese dont personne n’a remarqué qu’il a juste mis une perruque et coule des jours heureux, en pleine lumière, comme ministre de la justice, de l’abdication honteuse que constitue le premier conseil des ministres Franco-allemand, du fait que nos braves députés viennent de se voter en douce une augmentation de 33% de leurs indemnités de logement… pour nous distraire donc de cette liste non exhaustive, nous voici partis sur un énième débat sur le voile musulman, voile qui tombe à pic après le revirement d’un Macron qui est aussi à vapeur, sachant que le cœur du problème, que bien sûr personne n’évoque, c’est que ledit voile, et par là-même l’islam (dont objectivement on n’a pas besoin et dont j’attends qu’on me donne des exemples concrets de l’enrichissement qu’il apporte) est certes compatible avec la république, terme qu’on retrouve dans « république démocratique de Corée » (et qui est foncièrement anticatholique, et non pas laïque comme elle le prétend), mais pas avec la France. La machine à empêcher de réfléchir déverse un flot continu d’informations pour qu’on ne voie pas qu’un même virus totalitaire polymorphe, à vocation hégémonique, qui se finit toujours en "isme" (communisme, capitalisme, nazisme, islamisme, sionisme, mondialisme…) est en train de faire évoluer son faux-nez droit-de-l’hommiste en recyclant tous les idiots utiles qui ont besoin pour exister d’une cause à défendre consistant essentiellement à demander des sacrifices aux autres afin de se sentir moralement supérieurs, seule supériorité à laquelle ils peuvent prétendre. Quoi de mieux que l’écologie, depuis longtemps dévoyée en la pastèque verte dehors et rouge dedans dénoncée en son temps par Le Pen père mais, à présent, devenue écologisme hystérique et mortifère, en attendant d’être violent ; une violence qui, bien sûr, ne sera pas tournée contre le pouvoir et ses représentants, mais contre le quidam qui n’aura pas de toilettes sèches ou roulera au diesel parce qu’il n’aura pas les moyens de se payer une voiture électrique aux batteries hyper polluantes construites grâce à l’esclavage d’enfants à l’autre bout du monde. Comme c’est déjà sur les mêmes que le gouvernement tape, pas étonnant que Extinction Rébellion ait pu passer des tentes et des groupes électrogènes qui devaient certainement fonctionner au jus de carotte, là où les gilets jaunes se font confisquer leur bouteille d’eau et leur sandwich au jambon et qu’une milice, qui a définitivement perdu le droit de s’appeler « police » depuis, qu’après avoir tapé servilement pendant des mois sur tout ce qui bouge, elle a fini par s’en prendre carrément aux pompiers, n’a pas moufté tandis que ces écolos tout frais éclos faisaient la ronde en tortillant du popotin pour sauver la planète, méthode déjà utilisée par les indiens pour faire pleuvoir et dont l’efficacité n’est plus à démontrer.
Donc, en résumé, tandis que les parasites qui nous gouvernent se maintiennent à coups de matraques et de lacrymos, continuant à dépecer la France et à s’en mettre plein les fouilles en toute impunité, qu’on flirte quotidiennement avec la troisième guerre mondiale au Moyen-Orient, liée aux trahisons des mêmes et que, toujours à cause d’eux, l’économie mondiale est sur le point d’imploser, que la France brûle de mystérieux incendies d’églises et d’usines quasi quotidiens dont les médias ne parlent pas, que la pédophilie de réseau, touchant les plus hautes sphères, révélée par l’affaire Epstein, a été subrepticement placée en bas de la pile, noyée par un battage médiatique sans précédent qui nous prépare à une guerre civile, pauvres contre pauvres, zemmourienne, des pompiers aux agriculteurs, en passant par les infirmières et autres enseignants, poussé par des syndicats dont les appareils vendus sont payés pour ça, chacun tire dans son coin, demandant un petit billet à ce même État qu’il critique, au lieu de s’agréger aux deux seuls mouvements réellement massifs car altruistes que sont les gilets jaunes et la manif pour tous, mais rendus idéologiquement incompatibles entre eux du fait du phagocytage gauchiste des premiers et faute de vision globale de la problématique des seconds, tandis que des écolos de pacotille ajoutent à la confusion en dénonçant des conséquences au lieu des causes, donnant un prétexte à un gouvernement qui n’en demandait pas tant pour pouvoir encore plus taxer tous les autres. Je ne voudrais pas plagier, mais je suis pas content.
Personne ne relève que toutes les revendications passent par un point unique, la marionnette Emmanuel Macron dont la chute priverait un système à bout de souffle de son principal relai et dans le marasme actuel ferait s’effondrer le château de cartes. Pourtant en dépit de la certitude de tomber dès DEMAIN au fond du gouffre vers lequel nous sommes entraînés à toute vitesse, rares sont ceux disposés à aller au bout de la démarche et à faire tomber le système mafieux qu’est devenue la 5eme république de peur de perdre AUJOURD’HUI, dans le bref chaos inévitable mais salutaire qui s’en suivrait, ses maigres avantages et les deux trois trucs qu’il a encore dans le frigo.
Sachant que, par définition, quand plus personne n’aura quelque chose à perdre, il sera trop tard, j’envie ceux qui ont la foi et qui peuvent espérer un miracle, car à ce niveau de frilosité et de manque de hauteur de vue mâtinée d’égoïsme, généralisées, c’est la seule chose qui pourra nous sauver. Peut-être un nouveau messie, sachant que Nabilla a eu un petit garçon, dont nul ne pourra douter de la nature divine s’il parvient à survivre en tétant les airbags aux silicones qu’on lui présente avec insistance : « Au lait, mais au lait, quoi ! » Évènement d’une importance majeure donc et dont, en revanche, est au courant cette masse végétative qui rit quand Hanouna pète et pour laquelle tout ce que je viens d’évoquer c’est du serbo-croate.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public, en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Vous pouvez aussi vous abonner et cliquer sur la cloche. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

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