Bonjour !
L’intervention Française au Mali qui tire un semblant de légitimité en se contorsionnant dans les interstices d’une résolution de l’ONU de 2012, d’où certainement le célèbre adage : « ONU soit qui MALI pense », et de la demande initiale d’un président illégitime soutenu par la France après son coup d’État, a autant à voir avec la protection des populations que le trou de balle de Macron avec les territoires vierges de la jungle africaine.
Tout a commencé en fait parce que les mines d’uranium qu’exploite, à ciel ouvert, AREVA (anciennement Cogema), polluant de manière irréversible le désert commun entre le Niger et le Mali, font crever les Touaregs comme des mouches passant trop près de la bouche de Jean-Claude Juncker pendant une allocution, sans par ailleurs que ces pays ne bénéficient des avantages financiers de la Manne. Donc, en gros, dès qu’on allume la lumière pour aller aux toilettes, il y a un bébé touareg qui crève. J’ai essayé d’expliquer à ma femme, quand elle m’accuse de mal viser la cuvette, que c’est pour sauver des vies, mais elle n’a visiblement aucun respect pour la vie humaine. On va être honnête : le bébé touareg on s’en fout un peu. Comme de tous les bébés que le camp du bien massacre de manière plus ou moins indirecte en exportant la démocratie et les droits de l’homme de par le Monde. C’est le prix à payer pour se faire mettre nos valeurs universelles dans l’orifice anal sans quoi on n’est pas civilisés ; en plus il en reste toujours assez pour venir nous faire goûter, chez nous, aux joies de la diversité multiculturelle, donc c’est pas grave.
Mais bon, allez savoir pourquoi les Touaregs ne le voient pas comme ça et ne sont pas contents. Ils ont donc commencé à se rebeller et selon l’adage « l’ennemi de mon ennemi est mon ami » (d’autant que culturellement ils ont une tradition de vivre des raids effectués sur les populations sédentaires) ils ont fait copain-copain avec quelques islamistes, dont ceux qui étaient contrôlés par Kadhafi et que l’action calamiteuse du tandem auvergnat BHL-Sarkozy a éparpillés dans la nature. Du coup ça commençait à chauffer pour notre approvisionnement en uranium, et on s’est de suite sentis concernés par le bien-être de ces populations qu’il fallait d’urgence sauver de l’hydre islamique qui leur pourrit la vie depuis… quelques siècles. On a commencé par soutenir certaines tribus (islamistes ou non) contre d’autres (islamistes ou non), partant du principe que tant qu’ils se battent entre eux c’est toujours ça de pris; on a laissé sans rien faire les exactions se poursuivre dans le centre, ne protégeant que la capitale et les mines d’uranium avec, pour conséquence, que les habitants, dont l’ingratitude mériterait presque qu’on les laisse se démerder tout seuls, chipotent en faisant valoir que leur situation n’a fait qu’empirer et se focalisent sur quelques malheureuses bavures, style enfant criblé de balles depuis un hélico puis enterré à la hâte dans un trou, bavures par ailleurs jamais reconnues, il ne manquerait plus que ça. Des ingrats !
Mais bon, c’est loin et ça ne passe pas au journal de 20H donc, on s’en fout. En revanche, en toute logique, le prix du kilowatt devrait être inversement proportionnel au taux de bébé Touareg fluorescent la nuit, or on constate qu’on paie notre électricité de plus en plus cher, ce qui veut dire que non seulement les habitants du Mali et du Niger ne voient pas l’ombre d’un euro se déposer sur leur compte en banque, mais nous non plus qui pourtant, en attendant de payer le démantèlement des centrales qui n’a pas été provisionné (et encore moins déduit des bénéfices des actionnaires) payons, avec nos impôts, ces braves soldats qui se font tuer par 13 à la douzaine et fournissons des rafales à 27 000€ l’heure de vol à tous les sens du terme, car à ce prix c’est vraiment du vol. On me dira que nos troupes ne sont pas issues d’une conscription et que ces soldats de métier sont plus proches, dans l’esprit, de mercenaires que des poilus de 14, mais ça reste des Français dont certains étaient probablement assez naïfs pour croire qu’ils servaient leur Pays au lieu des actionnaires d’AREVA ; et savoir que s’ils sont bien morts pour quelque chose ce n’est certainement pas pour la France a un petit côté révoltant, d’autant que les mêmes qui s’insurgent contre le manque de diversité partout et nous vendent que les tirailleurs Sénégalais ont gagné la 2eme guerre mondiale, se sont bien gardés de relever que le niveau de « blanchitude » de ceux qui se sont fait tuer, soi-disant « pour la France », dans une indifférence relative est à l’opposé de celui de ceux qu’ils adulent pour courir derrière un ballon là-aussi soi-disant « pour la France ».
Car en plus d’être considérés comme remplaçables et nonobstant la minute de silence à l’Assemblée (ce qui divisé par treize leur fait quand-même, outre une belle jambe, presque 5 secondes à chacun), ils servent de variable d’ajustement budgétaire et sont souvent dotés d’un matériel obsolète dont la vitesse d’usure dans le désert frise l’érosion Mélenchonienne, et l’hélicoptère « cougar », dont la conception date de 30 ans (davantage si l’on considère qu’il ne s’agit que d’un changement de nom du super Puma), le cougar donc, qui pour le coup aurait pu être féminin, avait peut-être un peu d’arthrite. Quand les américains arrivent à castrer une mouche en vol avec un joystick à quelques milliers de kilomètres de distance, j’ai du mal à croire que notre matériel, à défaut, pour des raisons tactiques, de système anti-collision, ne soit pas équipé au moins de détecteurs et de systèmes plus performants pour naviguer dans l’obscurité que des jumelles améliorées. Si tel est le cas, il était irresponsable de les envoyer « en même temps » pour appliquer le motto macronien ; dans le cas contraire, l’autre hélicoptère, « le tigre », pouvant se déplacer dans toutes les directions, y compris en marche arrière, partant du principe que « si quand j’avance tu recules, comment veux-tu, comment veux-tu que je… » la double erreur humaine que cela suppose a bon dos, et si l’équipement n’a pas fonctionné, il convient de se demander si cela a quelque chose à voir avec le fait que moins de 30% des hélicoptères sur place sont encore opérationnels et souvent réparés avec les pièces des autres.
En outre, c’est totalement calamiteux. Imaginez que vous soyez un Islamiste dans un pick-up tout neuf, dont par ailleurs je serais curieux de connaître la marque, laquelle doit forcément savoir à qui elle l’a vendu en premier, et que vous voyiez 2 hélicoptères fondre sur vous et devenir de plus en plus… Akbar, comme Allah, vous faites quoi ? Ben justement vous priez ledit Allah ! Et paf ! les deux hélicoptères entrent en collision. Pour lui, notre dame de Lourdes à côté, même si un jour un paralytique en fauteuil roulant en revenait avec des pneus neufs, c’est de la rigolade. La seule chose qui pourrait battre çà c’est, à la rigueur, le scandale Fillon tombant (comme l’histoire des attachés parlementaires de Marine Le Pen), juste avant les présidentielles. Si, à la base, le gars était intégriste, je vous laisse deviner ce qu’il est maintenant. Notre système, jamais à court de superlatifs, va devoir lancer le concept du « super intégriste ». Le bonhomme, la prochaine fois, il affronte des tanks en slip avec un cure-dent et le sourire aux lèvres.
Tant qu’à exploiter cette tragédie, aussi inutile qu’évitable, je serais Macron, lequel paraît-il craint pour sa vie (on se demande pourquoi), je ferais un hommage solennel, non le 2, mais le 5 décembre, comme ça, au hasard… prétextant que la veille j’avais piscine et que le lendemain j’avais prévu une projection privée des misérables pour voir si je chialais autant que la première fois. Vivement la suite : « les misérables à la campagne » avec cette fois les méchants policiers qui tapent sur des gilets jaunes, gilets jaunes qu’on a laissés manifester et se faire éborgner pendant un an sans leur dire qu’il suffisait de faire un film pour toucher le cœur du président.
Peut-être d’ailleurs qu’un jour on tournera le film « Hold-Up sur les retraites » dans lequel une bande de malfrats dérobe un magot caché de presque 200 milliards provisionné pour lesdites retraites. Non, vous ne rêvez pas et je ne suis pas un enfoiré de complotiste, c’est BFM (je vous mets le lien) qui a révélé le pot aux roses dans l’indifférence générale alors que ça devrait faire le buzz sur tous les réseaux sociaux. Entre les 30 milliards du fond Jospin et les fonds de réserve des mutuelles on dispose de plus de 150 Milliards de réserve pour financer les retraites auxquelles s’ajouteront, en 2024, 24 milliards supplémentaires émanant de la CADES financée par le CRDS. Il y a donc largement de quoi tenir, le temps que suffisamment de baby-boomers soient passés de vie à trépas pour que les comptes soient rééquilibrés, naturellement, par la démographie, d’autant que l’espérance de vie (pour le calcul de laquelle on utilise les mêmes méthodes que pour le chômage afin de rassurer les gens) a déjà du plomb dans l’aile et que, même à l’état de zombie Alzheimer sous perfusion, sauf peut-être au sein de certaines élites privilégiées, je ne crois pas qu’on produise beaucoup de Brigittes Macron dans les prochaines décennies. Surtout si l’on considère toutes les saloperies cachées que l’on mange, boit, respire ou se passe sur la peau, cumulées avec la malbouffe, les heures statiques devant des écrans et le stress permanent face à une existence où il n’est plus possible de planifier à long-terme (compte tenu de la volatilité, tant de la monnaie que du marché de l’emploi et des changements structurels de population), ainsi qu’à la perspective constante d’un krach économique, voire de la fin du monde, avec, en prime, un petit nuage radioactif de temps en temps, le tout sans savoir si, au bout du compte, on est un homme ou une femme.
La réforme des retraites est donc une escroquerie et un scandale dont le seul but est de détourner tous ces milliards et de perpétrer un des plus gros hold-up de tous les temps (après l’escroquerie de la dette) sur le dos, non seulement des retraités, mais de leur famille, car il faudra bien payer pour ces EHPAD à 2 ou 3000 € mensuels.
Nonobstant, Sibeth Ndyayé, qui est à la communication gouvernementale ce que le rat est à la peste bubonique, n’a pas hésité à dépasser toutes les limites de la perversion qui caractérise ce gouvernement en affirmant que l’escroquerie que je viens de démontrer est, je cite : « une des réponses à la crise des gilets jaunes ». Sauf à considérer que ladite réponse est : « allez vous faire foutre ! », à ce niveau-là de foutage de gueule et de brouillage des pistes, on culmine au sublime vomitoire. Je ne crois pas à la convergence des luttes, concept qui véhicule le mensonge qu’il y a des luttes différentes alors que l’ennemi est commun, mais je crois qu’on est assis sur une poudrière, que les forces de l’ordre qui, après les pompiers, s’en prennent désormais aux lycéens, ont pris un mauvais pli, du fait que la violence est devenue la seule réponse du gouvernement à tous les problèmes, et qu’à force de tirer sur la corde, non seulement les craintes de Macron pour sa vie pourraient être fondées (car on ne se sort pas d’un tel foutoir sans sacrifier un bouc émissaire et autant en choisir un qui soit aussi coupable qu’haïssable), mais qu’on pourrait assister à une épuration physique de la pourriture politico-médiatique sans équivalent depuis la purge à la libération ou le nettoyage des écuries d’Augias, ce qui, pour autant, ne nous mettra pas à l’abri de l’affrontement ethnique auquel on nous prépare pour tenter d’éviter ladite purge lequel semble, lui-aussi, difficilement évitable, mais qu’on a objectivement plus de chances de remporter une fois débarrassés de ceux qui nous poignardent dans le dos. D’où l’intérêt de bien choisir ses priorités et ses combats.
Nonobstant, Sibeth Ndyayé, qui est à la communication gouvernementale ce que le rat est à la peste bubonique, n’a pas hésité à dépasser toutes les limites de la perversion qui caractérise ce gouvernement en affirmant que l’escroquerie que je viens de démontrer est, je cite : « une des réponses à la crise des gilets jaunes ». Sauf à considérer que ladite réponse est : « allez vous faire foutre ! », à ce niveau-là de foutage de gueule et de brouillage des pistes, on culmine au sublime vomitoire. Je ne crois pas à la convergence des luttes, concept qui véhicule le mensonge qu’il y a des luttes différentes alors que l’ennemi est commun, mais je crois qu’on est assis sur une poudrière, que les forces de l’ordre qui, après les pompiers, s’en prennent désormais aux lycéens, ont pris un mauvais pli, du fait que la violence est devenue la seule réponse du gouvernement à tous les problèmes, et qu’à force de tirer sur la corde, non seulement les craintes de Macron pour sa vie pourraient être fondées (car on ne se sort pas d’un tel foutoir sans sacrifier un bouc émissaire et autant en choisir un qui soit aussi coupable qu’haïssable), mais qu’on pourrait assister à une épuration physique de la pourriture politico-médiatique sans équivalent depuis la purge à la libération ou le nettoyage des écuries d’Augias, ce qui, pour autant, ne nous mettra pas à l’abri de l’affrontement ethnique auquel on nous prépare pour tenter d’éviter ladite purge lequel semble, lui-aussi, difficilement évitable, mais qu’on a objectivement plus de chances de remporter une fois débarrassés de ceux qui nous poignardent dans le dos. D’où l’intérêt de bien choisir ses priorités et ses combats.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Pensez aussi à vous abonner et, si vous êtes nouveaux, à faire un peu de spéléologie sur la chaîne, certaines de mes vidéos, souvent les plus pertinentes, faute de référencement par YouTube, passant parfois inaperçues. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.