Bonjour !
Le mythique Français moyen ayant la
mémoire politique d’un poisson rouge cacochyme en commotion cérébrale suite à la
collision répétée de son bocal contre un objet contondant style téton turgescent
de secrétaire d’État sapiosexuelle versée dans les arts occultes, qu’on imagine
bien, entre deux incantations, s’offrir sans retenue à la science, à même son
bureau, devant un portrait d’Albert Einstein, je m’étais dit que s’imposait un
rappel de la nullité calamiteuse, à l’international, du paquet de lessive qui
nous a été vendu par les médias à l’occasion des présidentielles ; une
sorte de « nouvel Omo » cher à Coluche avec la même prédilection pour
les gros nœuds. Asselineau m’a coiffé au poteau avec une brève mais édifiante
vidéo que je vous mets en lien et qui vous donnera une nouvelle fois envie de
vous faire hara-kiri avec une louche à potage si tout comme lui (il faut
quand-même le rappeler), pour aussi médiocre qu’elle ait été, vous n’avez pas
voté et appelé à voter au second tour pour la bête immonde peroxydée et
cannibale qui, selon une presse pas du tout partisane, allait mettre en place
un état policier, restreindre la liberté d’expression et ruiner le pays. Ouf,
on a eu chaud. Il y confirme également, ce que je dis depuis longtemps, à
savoir que Macron, qui comme tous les médiocres s’entoure de nuls qui ne
captent pas sa lumière, est beaucoup moins intelligent que ce qu’on nous a fait
croire sachant que, de même que quand on est poursuivi par un lion il suffit de
courir plus vite que sa belle-mère, il lui a suffi d’être plus intelligent que
la danseuse post-électorale laquelle, après s’être visiblement donné comme
mission de confirmer tous les stéréotypes sur les blondes au cours d’un débat
désastreux, dénuée de tout amour « propre » en dépit de tous les barils
de lessive de la marque précédemment citée dont elle s’est entourée, est déjà,
toute honte bue, sur les starting-blocks pour 2022. Compte tenu de son inculture crasse et du fait
qu’à l’instar du site du RN, qui n’est jamais alimenté les week-ends et les
jours fériés, elle ne fait de la politique que de 8h à midi et de 14h à 16h, je
n’ai pas la naïveté de croire que celle que la cour de cassation vient d’autoriser
à comparer à un étron fumant aurait forcément fait mieux pour le prestige de la
France, mais, au moins, elle avait inscrit la proportionnelle et le référendum
d’initiative populaire dans son programme, ce qui nous aurait certainement
évité de booster tous les samedis l’industrie de la prothèse oculaire.
Au national, Macron, qui fait plutôt dans
l’étron fumeux, ne fait pas mieux. C’était bien la peine de faire la leçon à Bolsonaro
concernant les incendies en Amazonie quand, en France, désormais officiellement
(je vous mets le lien) deuxième pays d’Europe en matière de vols avec violence
et, cocorico, premier en matière d’homicides, les églises, les cathédrales, les
usines ou les écoles (comme à Béziers) flambent quasi quotidiennement, dans la
plus grande pudeur médiatique et que de Mantes-La-Jolie à Chanteloup-Les-Vignes
en passant par Trappes, les Mureaux, La Courneuve, Bobigny, Clichy-sous-Bois,
Étampes, Tours, Champigny-sur-Seine, Chenôve, Émerainville, Limeil-Brévannes… des
bandes dont, selon les médias, la caractéristique principale est d’être composées
de « jeunes » accélèrent le réchauffement climatique en organisant
des méchouis d’éborgneurs de gilets jaunes à coups de pétards et feux d’artifices
rebaptisés « mortiers » histoire d’affoler le chaland, mais qui
restent des amuse-gueules si l’on tient compte de l’arsenal allant de la kalachnikov
au bazooka qui se trouve dans les caves des cités et qui ne manquerait pas d’être
sorti si, comme le suggère l’enthousiaste et pétulante Zineb El Razhoui, les
policiers tiraient à armes réelles sur ces jeunes honteusement dépourvus de
tout signe ethnique et culturel distinctif qui, à l’instar des antifas et de la
LDJ, dont ils partagent l’impunité, contribuent à un chaos ambiant (propice aux
affrontements croisés) qui arrange le gouvernement ; même si, dans ces
quartiers, il y a probablement encore plus de gais tapés que de guet-apens. Après avoir relancé le débat sur l’immigration
sans proposer de solution ni même faire les bons constats, histoire d’occuper
le chaland pendant qu’il privatise et détricote les acquis sociaux, notre
gérontophile bucolique qui, quand il pense printemps, pense printemps arabe, en
rajoute une couche en précisant qu’il préfère l’Africain à l’Albanais ou l’Ukrainien
qu’apparemment il a le droit, lui, de traiter de mafieux alors que Jean-Marie
Le Pen a été condamné, sans que personne ne moufte, pour sa blague pourtant
éculée sur les Roms qui, comme les oiseaux, voleraient naturellement. C’est ce
qu’on appelle liberté d’expression à géométrie variable dans un pays où un
système judiciaire qui a perdu toute crédibilité est toujours prompt à
condamner le nazi qui s’ignore pour avoir, de manière ignoble, frappé avec son énorme
œil droit le petit poing timidement fermé de quelqu’un du camp du bien. Liberté
d’expression à géométrie variable donc qui fait que, tandis que de preux
chevaliers se démènent pour défendre celle d’un Zemmour, dont le problème est
moins ce qu’il dit, souvent exact, que ce qu’il ne dit pas et dont, en dépit de
beaucoup d’agitation, au bout du compte, la moindre flatulence est récupérée
par un micro qui traine et répartie sur les ondes, peu sont ceux qui poussent
la logique jusqu’à réclamer la même chose pour des Soral et autre Dieudonné.
Un Soral critiqué par certains au
prétexte que, fidèle à son substrat Marxiste qui sous-estime certaines réalités
organiques, il a pointé du doigt l’évidence que les intérêts objectifs de la
classe laborieuse musulmane étaient plus proches de ceux des gilets Jaunes que
de ceux des émirs qataris de même que, n’en déplaise au féminisme, une femme
pauvre a plus en commun avec un homme pauvre qu’avec la femme dont elle nettoie
tous les jours les chiottes et dont elle garde les gosses que bientôt elle sera
payée pour porter dans son ventre et mettre au monde pour éviter à Madame des
vergetures disgracieuses. Je n’ai aucune prétention d’expertise dans le domaine
de l’exégèse Soralienne d’autant que je ne le connais pas personnellement, ne l’ai
jamais rencontré et que, compte tenu de sa coupe de cheveux, il est compliqué
de s’imprégner de sa pensée profonde par capillarité, mais, au risque de me
tromper, il semblerait qu’à force de se faire mordre cette main tendue, façon Laeticia
Avia en deuxième semaine de Koh-Lanta, par une longue liste de personnes et de
constater que, sur son propre site, certains applaudissaient à ses critiques d’Israël
mais s’offusquaient à la moindre attaque du communautarisme musulman, de
manière tout à fait pragmatique, il ait pris en compte les propos d’Hassan 2 en
1993 lequel, ne confondant pas la France et la république, disait, en substance,
que des musulmans, issus de surcroit non seulement d’un autre pays mais carrément
d’un autre continent, ne seront jamais 100% Français, sous-entendu : sauf à
renoncer à leur essence profonde laquelle transcende la composante sociale. Du
coup, conscient d’avoir perdu la bataille d’Alamo qu’il menait certainement sans
illusion, faute d’alternative, dans l’optique d’éviter une guerre civile depuis
longtemps programmée, j’ai l’impression que Soral, bien que continuant à
accueillir les rares personnes capables de se remettre en question et de faire
la démarche de frapper à la porte, est passé à l’étape suivante avec son
concept du « national-sionisme » qui s’adresse davantage à ceux
qu’on cherche à envoyer se fritter contre les musulmans qu’aux musulmans
eux-mêmes ; et ce d’autant plus qu’il n’a pas pu ne pas constater que
la main tendue des gilets jaunes à cette même communauté, dernière chance d’éviter
un hallali prévisible et d’établir les bases d’une communauté nationale
multicultuelle apaisée que, pour ma part, j’ai toujours considérée, au mieux,
comme improbable, n’a pas non plus été saisie.
Parallèlement il est qualifié d’antisémite
par les médias alors que, là encore, il fait une distinction purement de classe
entre des élites souvent corrompues et, selon ses termes, « le juif du
quotidien ». Pour ceux qui, à l’instar de Ploncard d’Assac qui évoquait
récemment la chose, s’interrogent fort légitimement sur ce qui peut pousser
quelqu’un d’intelligent à prendre de tels risques et à dire de façon provocatrice
des choses qui pourraient être énoncées de manière plus urbaine et ampoulée, la
réponse est évidente quand on constate que ce qui est reproché à Soral et ne
lui sera jamais pardonné c’est d’avoir cassé l’image de la petite souris
fragile et tremblante laquelle, pas remise de la barbarie nazie, réclame une
éternelle protection et cherche à provoquer une compassion naturelle, chose qu’il
a accomplie justement en agitant sciemment le chiffon rouge devant le taureau
jusqu’à ce que ladite petite souris se comporte comme le chat dans cette daube
intersidérale qu’est le film Cap’tain Marvel, un mignon félidé ronronnant qui,
d’un coup, se transforme en alien effrayant bardé de tentacules qui broie tout
sur son passage. Des centaines de milliers d’euros d’amendes et quelques années
de peines de prison plus tard, ce qui fait de sacrés tentacules, (« cadeau ! »
comme dirait la regrettée Marie Laforêt) désormais, en dehors des médias qui se
font encore pipi dessus, les gens, passé un premier stade de sidération qui
limite un peu les capacités de compassion, ont intégré que les juifs ne valent
pas mieux que le reste de l’humanité et que rien ne justifie un traitement de
faveur (que beaucoup par ailleurs n’ont pas demandé) par rapport au citoyen
lambda, comme placer des militaires devant les seules synagogues alors que des
églises sont vandalisées quotidiennement, preuve s’il en était encore besoin
que le concept fumeux de laïcité n’est qu’un anticatholicisme qui ne dit pas
son nom et, de ce fait, totalement incapable de gérer les autres religions. Même
si elles n’en ont pas encore pris la mesure lesdites élites ont déjà perdu un
combat millénaire dont beaucoup n’ont pas conscience et qui remonte à la crucifixion
ironique avec des clous d’un charpentier devenu célèbre lequel, en devenant goy
d’un simple claquement de doigt, avait eu l’outrecuidance de faire comme si il
n’y avait jamais eu d’élection et que le Judaïsme était un simple fantasme qui
pouvait se soigner avec deux Lexomils, ce qui, outre l’escroquerie de la
soi-disant culture « judéo-chrétienne », pourrait expliquer pourquoi,
à ce jour, personne n’a été capable de donner une définition légale d’un antisémitisme
aussi flou que polymorphe, ce qui n’empêche pas la chose d’être impitoyablement
condamnée.
Tant le discours que le raisonnement de
Soral, qui ne se limitent pas à ces deux aspects, sont objectivement cohérents,
et même s’il n’est pas le seul, ça ne court déjà pas les rues. Certes être
cohérent ne veut pas dire forcément avoir raison, mais être incohérent n’est
jamais un bon signe et c’est déjà un bon critère de tri pour séparer les gens
pertinents des autres, le second étant de savoir si les faits leur ont donné
raison.
Mon analyse, pour ce qu’elle vaut, est
que beaucoup des problèmes sur lesquels on se focalise sont secondaires. cela ne
veut pas dire qu’ils ne doivent pas être traités de manière prioritaire, de
même que les personnes atteintes du Sida, pour ceux qui y croient, meurent
généralement d’un simple rhume ou de toute autre infection qui profite de l’affaiblissement
de leur système immunitaire ou de leur corps malade ; infection qu’il y a
donc lieu de traiter avant de s’attaquer à la cause principale qui, pour moi,
est le manque de but collectif transcendant. Non pas pour l’humanité qui n’a
aucune réalité et ne pourrait éventuellement exister que par opposition, en cas
d’invasion par exemple par des aliens hostiles en forme de Castaner, et encore,
mais pour la France, seule entité à notre portée capable de nous éviter un
individualisme délétère. Quel est le but de la France ? La question, qui
passe aussi par la définition honnête de notre identité, sous peine de se
comporter en paraplégique qui veut devenir champion du 110 mètres haies, n’est
jamais posée. Les religions ont un temps pallié à ce manque de but en donnant
un sens à l’existence, leur a succédé la consommation qui vise à la remplir et
la distraction qui vise à l’oublier ; la progression logique conduisant à
la mort et un rétro pédalage n’étant plus, à mon sens, possible, c’est bien d’un
but dont nous avons besoin. Un but, ni une idéologie prétentieuse, ni un rêve
illusoire, et encore moins un vague objectif comme redresser la courbe du chômage,
mais une priorité absolue qui (sinon ce n’est plus une priorité) ne s’embarrasse
pas de considérations morales. Quel que soit le but que nous nous choisirons,
la première étape est de survivre et ce n’est pas gagné.
Comme d’habitude, je n’ai pas la
prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter
la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure.
Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas
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en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin
de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire
avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos
encouragements et à bientôt… j’espère.
Gay tapé contre guet-apens... Whaou ! J'aurai aimé la trouver celle-là... En même temps (comme dirait mes couilles) lorsque Ruquier agresse Isadora Duncan, c'est un véritable gay tapant, ou bien ???
RépondreSupprimerFélicitations pour votre travail !
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