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vendredi 8 novembre 2019

Macron le nullissime, Soral le maudit et nous et nous et nous... (08 nov. 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube:https://youtu.be/VugqnxzMO2g





Bonjour !
Le mythique Français moyen ayant la mémoire politique d’un poisson rouge cacochyme en commotion cérébrale suite à la collision répétée de son bocal contre un objet contondant style téton turgescent de secrétaire d’État sapiosexuelle versée dans les arts occultes, qu’on imagine bien, entre deux incantations, s’offrir sans retenue à la science, à même son bureau, devant un portrait d’Albert Einstein, je m’étais dit que s’imposait un rappel de la nullité calamiteuse, à l’international, du paquet de lessive qui nous a été vendu par les médias à l’occasion des présidentielles ; une sorte de « nouvel Omo » cher à Coluche avec la même prédilection pour les gros nœuds. Asselineau m’a coiffé au poteau avec une brève mais édifiante vidéo que je vous mets en lien et qui vous donnera une nouvelle fois envie de vous faire hara-kiri avec une louche à potage si tout comme lui (il faut quand-même le rappeler), pour aussi médiocre qu’elle ait été, vous n’avez pas voté et appelé à voter au second tour pour la bête immonde peroxydée et cannibale qui, selon une presse pas du tout partisane, allait mettre en place un état policier, restreindre la liberté d’expression et ruiner le pays. Ouf, on a eu chaud. Il y confirme également, ce que je dis depuis longtemps, à savoir que Macron, qui comme tous les médiocres s’entoure de nuls qui ne captent pas sa lumière, est beaucoup moins intelligent que ce qu’on nous a fait croire sachant que, de même que quand on est poursuivi par un lion il suffit de courir plus vite que sa belle-mère, il lui a suffi d’être plus intelligent que la danseuse post-électorale laquelle, après s’être visiblement donné comme mission de confirmer tous les stéréotypes sur les blondes au cours d’un débat désastreux, dénuée de tout amour « propre » en dépit de tous les barils de lessive de la marque précédemment citée dont elle s’est entourée, est déjà, toute honte bue, sur les starting-blocks pour 2022.  Compte tenu de son inculture crasse et du fait qu’à l’instar du site du RN, qui n’est jamais alimenté les week-ends et les jours fériés, elle ne fait de la politique que de 8h à midi et de 14h à 16h, je n’ai pas la naïveté de croire que celle que la cour de cassation vient d’autoriser à comparer à un étron fumant aurait forcément fait mieux pour le prestige de la France, mais, au moins, elle avait inscrit la proportionnelle et le référendum d’initiative populaire dans son programme, ce qui nous aurait certainement évité de booster tous les samedis l’industrie de la prothèse oculaire.
Au national, Macron, qui fait plutôt dans l’étron fumeux, ne fait pas mieux. C’était bien la peine de faire la leçon à Bolsonaro concernant les incendies en Amazonie quand, en France, désormais officiellement (je vous mets le lien) deuxième pays d’Europe en matière de vols avec violence et, cocorico, premier en matière d’homicides, les églises, les cathédrales, les usines ou les écoles (comme à Béziers) flambent quasi quotidiennement, dans la plus grande pudeur médiatique et que de Mantes-La-Jolie à Chanteloup-Les-Vignes en passant par Trappes, les Mureaux, La Courneuve, Bobigny, Clichy-sous-Bois, Étampes, Tours, Champigny-sur-Seine, Chenôve, Émerainville, Limeil-Brévannes… des bandes dont, selon les médias, la caractéristique principale est d’être composées de « jeunes » accélèrent le réchauffement climatique en organisant des méchouis d’éborgneurs de gilets jaunes à coups de pétards et feux d’artifices rebaptisés « mortiers » histoire d’affoler le chaland, mais qui restent des amuse-gueules si l’on tient compte de l’arsenal allant de la kalachnikov au bazooka qui se trouve dans les caves des cités et qui ne manquerait pas d’être sorti si, comme le suggère l’enthousiaste et pétulante Zineb El Razhoui, les policiers tiraient à armes réelles sur ces jeunes honteusement dépourvus de tout signe ethnique et culturel distinctif qui, à l’instar des antifas et de la LDJ, dont ils partagent l’impunité, contribuent à un chaos ambiant (propice aux affrontements croisés) qui arrange le gouvernement ; même si, dans ces quartiers, il y a probablement encore plus de gais tapés que de guet-apens.  Après avoir relancé le débat sur l’immigration sans proposer de solution ni même faire les bons constats, histoire d’occuper le chaland pendant qu’il privatise et détricote les acquis sociaux, notre gérontophile bucolique qui, quand il pense printemps, pense printemps arabe, en rajoute une couche en précisant qu’il préfère l’Africain à l’Albanais ou l’Ukrainien qu’apparemment il a le droit, lui, de traiter de mafieux alors que Jean-Marie Le Pen a été condamné, sans que personne ne moufte, pour sa blague pourtant éculée sur les Roms qui, comme les oiseaux, voleraient naturellement. C’est ce qu’on appelle liberté d’expression à géométrie variable dans un pays où un système judiciaire qui a perdu toute crédibilité est toujours prompt à condamner le nazi qui s’ignore pour avoir, de manière ignoble, frappé avec son énorme œil droit le petit poing timidement fermé de quelqu’un du camp du bien. Liberté d’expression à géométrie variable donc qui fait que, tandis que de preux chevaliers se démènent pour défendre celle d’un Zemmour, dont le problème est moins ce qu’il dit, souvent exact, que ce qu’il ne dit pas et dont, en dépit de beaucoup d’agitation, au bout du compte, la moindre flatulence est récupérée par un micro qui traine et répartie sur les ondes, peu sont ceux qui poussent la logique jusqu’à réclamer la même chose pour des Soral et autre Dieudonné.
Un Soral critiqué par certains au prétexte que, fidèle à son substrat Marxiste qui sous-estime certaines réalités organiques, il a pointé du doigt l’évidence que les intérêts objectifs de la classe laborieuse musulmane étaient plus proches de ceux des gilets Jaunes que de ceux des émirs qataris de même que, n’en déplaise au féminisme, une femme pauvre a plus en commun avec un homme pauvre qu’avec la femme dont elle nettoie tous les jours les chiottes et dont elle garde les gosses que bientôt elle sera payée pour porter dans son ventre et mettre au monde pour éviter à Madame des vergetures disgracieuses. Je n’ai aucune prétention d’expertise dans le domaine de l’exégèse Soralienne d’autant que je ne le connais pas personnellement, ne l’ai jamais rencontré et que, compte tenu de sa coupe de cheveux, il est compliqué de s’imprégner de sa pensée profonde par capillarité, mais, au risque de me tromper, il semblerait qu’à force de se faire mordre cette main tendue, façon Laeticia Avia en deuxième semaine de Koh-Lanta, par une longue liste de personnes et de constater que, sur son propre site, certains applaudissaient à ses critiques d’Israël mais s’offusquaient à la moindre attaque du communautarisme musulman, de manière tout à fait pragmatique, il ait pris en compte les propos d’Hassan 2 en 1993 lequel, ne confondant pas la France et la république, disait, en substance, que des musulmans, issus de surcroit non seulement d’un autre pays mais carrément d’un autre continent, ne seront jamais 100% Français, sous-entendu : sauf à renoncer à leur essence profonde laquelle transcende la composante sociale. Du coup, conscient d’avoir perdu la bataille d’Alamo qu’il menait certainement sans illusion, faute d’alternative, dans l’optique d’éviter une guerre civile depuis longtemps programmée, j’ai l’impression que Soral, bien que continuant à accueillir les rares personnes capables de se remettre en question et de faire la démarche de frapper à la porte, est passé à l’étape suivante avec son concept du « national-sionisme » qui s’adresse davantage à ceux qu’on cherche à envoyer se fritter contre les musulmans qu’aux musulmans eux-mêmes ; et ce d’autant plus qu’il n’a pas pu ne pas constater que la main tendue des gilets jaunes à cette même communauté, dernière chance d’éviter un hallali prévisible et d’établir les bases d’une communauté nationale multicultuelle apaisée que, pour ma part, j’ai toujours considérée, au mieux, comme improbable, n’a pas non plus été saisie.
Parallèlement il est qualifié d’antisémite par les médias alors que, là encore, il fait une distinction purement de classe entre des élites souvent corrompues et, selon ses termes, « le juif du quotidien ». Pour ceux qui, à l’instar de Ploncard d’Assac qui évoquait récemment la chose, s’interrogent fort légitimement sur ce qui peut pousser quelqu’un d’intelligent à prendre de tels risques et à dire de façon provocatrice des choses qui pourraient être énoncées de manière plus urbaine et ampoulée, la réponse est évidente quand on constate que ce qui est reproché à Soral et ne lui sera jamais pardonné c’est d’avoir cassé l’image de la petite souris fragile et tremblante laquelle, pas remise de la barbarie nazie, réclame une éternelle protection et cherche à provoquer une compassion naturelle, chose qu’il a accomplie justement en agitant sciemment le chiffon rouge devant le taureau jusqu’à ce que ladite petite souris se comporte comme le chat dans cette daube intersidérale qu’est le film Cap’tain Marvel, un mignon félidé ronronnant qui, d’un coup, se transforme en alien effrayant bardé de tentacules qui broie tout sur son passage. Des centaines de milliers d’euros d’amendes et quelques années de peines de prison plus tard, ce qui fait de sacrés tentacules, (« cadeau ! » comme dirait la regrettée Marie Laforêt) désormais, en dehors des médias qui se font encore pipi dessus, les gens, passé un premier stade de sidération qui limite un peu les capacités de compassion, ont intégré que les juifs ne valent pas mieux que le reste de l’humanité et que rien ne justifie un traitement de faveur (que beaucoup par ailleurs n’ont pas demandé) par rapport au citoyen lambda, comme placer des militaires devant les seules synagogues alors que des églises sont vandalisées quotidiennement, preuve s’il en était encore besoin que le concept fumeux de laïcité n’est qu’un anticatholicisme qui ne dit pas son nom et, de ce fait, totalement incapable de gérer les autres religions. Même si elles n’en ont pas encore pris la mesure lesdites élites ont déjà perdu un combat millénaire dont beaucoup n’ont pas conscience et qui remonte à la crucifixion ironique avec des clous d’un charpentier devenu célèbre lequel, en devenant goy d’un simple claquement de doigt, avait eu l’outrecuidance de faire comme si il n’y avait jamais eu d’élection et que le Judaïsme était un simple fantasme qui pouvait se soigner avec deux Lexomils, ce qui, outre l’escroquerie de la soi-disant culture « judéo-chrétienne », pourrait expliquer pourquoi, à ce jour, personne n’a été capable de donner une définition légale d’un antisémitisme aussi flou que polymorphe, ce qui n’empêche pas la chose d’être impitoyablement condamnée.
Tant le discours que le raisonnement de Soral, qui ne se limitent pas à ces deux aspects, sont objectivement cohérents, et même s’il n’est pas le seul, ça ne court déjà pas les rues. Certes être cohérent ne veut pas dire forcément avoir raison, mais être incohérent n’est jamais un bon signe et c’est déjà un bon critère de tri pour séparer les gens pertinents des autres, le second étant de savoir si les faits leur ont donné raison.
Mon analyse, pour ce qu’elle vaut, est que beaucoup des problèmes sur lesquels on se focalise sont secondaires. cela ne veut pas dire qu’ils ne doivent pas être traités de manière prioritaire, de même que les personnes atteintes du Sida, pour ceux qui y croient, meurent généralement d’un simple rhume ou de toute autre infection qui profite de l’affaiblissement de leur système immunitaire ou de leur corps malade ; infection qu’il y a donc lieu de traiter avant de s’attaquer à la cause principale qui, pour moi, est le manque de but collectif transcendant. Non pas pour l’humanité qui n’a aucune réalité et ne pourrait éventuellement exister que par opposition, en cas d’invasion par exemple par des aliens hostiles en forme de Castaner, et encore, mais pour la France, seule entité à notre portée capable de nous éviter un individualisme délétère. Quel est le but de la France ? La question, qui passe aussi par la définition honnête de notre identité, sous peine de se comporter en paraplégique qui veut devenir champion du 110 mètres haies, n’est jamais posée. Les religions ont un temps pallié à ce manque de but en donnant un sens à l’existence, leur a succédé la consommation qui vise à la remplir et la distraction qui vise à l’oublier ; la progression logique conduisant à la mort et un rétro pédalage n’étant plus, à mon sens, possible, c’est bien d’un but dont nous avons besoin. Un but, ni une idéologie prétentieuse, ni un rêve illusoire, et encore moins un vague objectif comme redresser la courbe du chômage, mais une priorité absolue qui (sinon ce n’est plus une priorité) ne s’embarrasse pas de considérations morales. Quel que soit le but que nous nous choisirons, la première étape est de survivre et ce n’est pas gagné.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.

2 commentaires:

  1. Gay tapé contre guet-apens... Whaou ! J'aurai aimé la trouver celle-là... En même temps (comme dirait mes couilles) lorsque Ruquier agresse Isadora Duncan, c'est un véritable gay tapant, ou bien ???

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  2. Félicitations pour votre travail !

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