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jeudi 14 novembre 2019

Guerre civile en France (14 nov. 2019)

Transcription de ma vidéo YouTube:https://youtu.be/DFj0JGUFMes
 


Bonjour !
La violence c’est comme une flatulence après une mounjetado (que les puristes me pardonneront de traduire en « cassoulet » pour ceux qui ne savent pas de quoi je parle) ou comme une idée absurde dans la tête de Marlène Schiappa : il faut que ça sorte. Ce n’est ni bon, ni mauvais, c’est juste un trop plein naturel ; la tectonique des plaques de la connerie humaine ; et plus on aura refusé de traiter les problèmes en amont, plus on aura forcé à cohabiter ensemble des chats et des chiens, en empêchant tout le monde de remuer la queue, au prétexte que ça pourrait-être mal interprété, plus s’accumulera la pression dans la cocotte-minute. 
La tabouisation absurde d’une violence (pas forcément physique) mais aussi mécaniquement nécessaire qu’inévitable, de surcroit en la bridant par une contre-violence étatique sans vertus exutoires qui, tout en augmentant le différentiel en nombre d’yeux entre les patates et les gilets jaunes, laisse les endroits qui en auraient besoin aussi dénués de police que les fesses de notre first Lady avant onction de crème hydratante que certainement on lui livre à nos frais par semi-remorque, ainsi que le refus de tolérer un relâchement des tensions, par petites touches, en obstruant la soupape de sécurité des paroles offensantes et de l’humour déplacé qui n’ont jamais tué personne, conduisent toujours à des explosions cataclysmiques. 
Ce sont les tensions non résolues, aggravées par le façonnage castrateur de l’individu à l’opposé de sa nature profonde (façon bonzaï crypto-caduque non binaire) et la négation des réalités ontologiques qui débouchent sur la violence et non la violence, laquelle une fois la tension retombée s’arrête toujours toute seule, qui provoque la tension. La guerre civile qu’on nous concocte est simplement la tentative de canaliser l’explosion, devenue inévitable pour avoir trop longtemps nié le réel et piqué dans la caisse, en poussant une partie de la population contre l’autre afin d’éviter que ladite violence ne suive son cours naturel en direction de l’état, des élites et du système. 
On réalise alors que, même s’il y a en apparence 2 factions qui semblent s’affronter, il y a en fait trois participants, dont un qui tire les ficelles en comptant tranquillement les points, et qui n’a que deux objectifs : affaiblir le plus possible les deux camps pour qu’ils ne représentent plus une menace pour lui et éviter, absolument, qu’un des deux ne remporte la bataille, car il a besoin de division pour continuer à régner, en dépit de son incompétence et de sa rapacité parasite, qui sautent aux yeux quand elles ne sont pas occultées par le flot constant de nouvelles anxiogènes ou futiles, souvent les deux, diffusé par les médias. C’est pour cela que, d’un côté, il excite la bête contre le méchant islamiste, mais la taxe d’islamophobie aussitôt qu’elle réagit.
Avant de parler de guerre civile, il serait bon de préciser guerre de qui contre qui. Aux yeux du système c’est extrêmement simple : les Français qu’il a parfaitement identifiés et cherche à détruire en raison de leur capacité à faire corps, contre les pseudo-Français, qu’on s’emploie à transformer en anti-Français, que leurs dissentions et incompatibilités rendent beaucoup plus facile à manipuler. On nous vend perpétuellement le mensonge qu’il est extrêmement compliqué voire impossible de tracer une ligne entre les deux : on serait tous, à des degrés divers et variés, des immigrés, issus de toutes ces races qui n’existent pas, de toutes les religions, le tout s’entrelaçant, au bout de plusieurs générations de métissage forcé, dans un magma inextricable, un peu comme une explication de Benalla. 
En réalité, ce n’est pas la bonne grille de lecture et quand les choses tournent au vinaigre, les tripes prennent généralement le pas sur les raisonnements tordus et les subtilités administratives, et l’on se rend compte que, dans ces situations extrêmes, les Français charnels, ceux qui aiment ce que représentait feu Raymond Poulidor, se reconnaissent toujours quelle que soit, par ailleurs, la teinte de leur épiderme et ce qui est inscrit (ou non) sur une carte d’identité tellement galvaudée qu’elle ne signifie plus rien. Tous ceux qui, comme moi, ont pas mal voyagé de par le monde, vous diront que, dans n’importe quel endroit de la planète, instantanément, vous repérez un autre Français aussi facilement qu’un gilet jaune au milieu d’une compagnie de CRS quand cesse la pluie de coups de matraques, sans par ailleurs trop savoir pourquoi. Peut-être son attitude générale, sa façon de se tenir et de regarder les choses ou parfois son comportement lequel, il faut bien le reconnaître, à l’étranger, ne fait pas toujours honneur à notre pays, surtout quand il y a un buffet gratuit. 
En revanche, un musulman se comportera d’abord comme un musulman, de même que toute personne qui s’accroche à une identité culturelle autre. Celui-là ne sera pas reconnu. Il est par ailleurs troublant que ceux qui soufflent sur les braises de façon la plus véhémente, tout en brandissant leur carte d’identité, sanctifiant de façon paradoxale l’enfumage de la laïcité et chantant la marseillaise plus fort que les autres, un peu trop fort trouveront certains, n’ont pas abandonné leur communauté. Zemmour est marié dans sa communauté et ses enfants sont comme des poissons en Israël, Zineb El Rhazoui, qui n’est pas spécialement répugnante et qui (même si son côté bâton de dynamite sur une cuve de nitroglycérine à deux doigts de dévaler un escalier a pu en effrayer plus d’un) ne saurait arguer qu’elle manquait de choix, s’est mariée dans sa communauté. 
Faites le test en parcourant Wikipédia, un jour de pluie, quand votre conjoint ou conjointe n’est pas d’humeur à faire des choses plus intéressantes, et cherchez combien parmi tous ces va-t-en-guerre font partie d’une autre communauté et surtout combien ont eu le courage de jeter leur bouée communautaire et sont prêts à couler avec le bateau France en cas de problème. Une autre définition possible du Français c’est, en effet : celui qui n’a pas d’autre choix que de couler avec le bateau, tel un neurone esseulé dans le vide synaptique d’un cerveau castanérien. En outre, compte-tenu du fait que (preuve de l’artificialité du peuplement sur le territoire qui ne permet pas une partition, comme en Yougoslavie) les combattants potentiels se répartissent majoritairement dans les campagnes pour les uns et dans les grandes métropoles pour les autres, même pas besoin de se reconnaître, car en campagne on se connaît. Donc, en résumé, un Français organique ça se connaît ou ça se reconnaît.
Poussé essentiellement par des élites auto-proclamées d’une communauté qui commence à voir l’eau monter et à se faire pipi dessus (encore une fois regardez les pédigrées sur Wikipédia) et qui a réussi, par son soutien à l’immigration, à imposer chez nous un conflit israélo-palestinien qui nous concerne autant qu’un furoncle sur les fesses de Lady Gaga, on nous vend le discours que l’autre camp se limite à l’hydre musulmane à laquelle on essaie malhonnêtement de circonscrire ladite immigration et le problème. J’ai toujours considéré que l’islam, comme le judaïsme sont parfaitement compatibles avec la république, ce n’est d’ailleurs pas les républiques islamiques qui manquent, mais pas avec la France, ce qui se voit comme le nez au milieu de la figure à travers les problèmes qui surgissent dès lors que l’on dépasse un nombre raisonnable de leurs ressortissants dans le macrocosme Français ou dans le microcosme politico-médiatique. 
Notre laïcité est faite sur mesure pour détruire le catholicisme ce qui est sa seule finalité mais n’est absolument pas calibrée pour contingenter d’autres religions qui ne sont pas des religions de paix et qui du coup ne se laissent pas faire, les fêtes juives n’étant quasiment que des commémorations de massacres qu’ils ont perpétrés, quant à l’islam…, il faudrait vraiment arracher beaucoup de pages au Coran pour y voir des colombes qui roucoulent. L’immigration ce n’est pas que l’islam, lequel après avoir joué son rôle, compte tenu (en dépit des rivalités entre chiites, sunnites et autre « ites » divers et variés) de sa vocation fédératrice, gênante pour un pouvoir qui a besoin de division maximum, sera avantageusement remplacé par une immigration Africaine, laquelle quand elle s’adapte, s’adapte mieux que certains musulmans qui, dans ce cas-là ont tendance à la gonfler, mais dont, à part peut-être Sibeth Ndiaye, on ne nous envoie plus depuis longtemps la crème de la crème et qui s’écharpe alors en fonction des ethnies, des tribus et autres subtilités qui nous échappent qui la rendent peu susceptible, alors qu’ils ne l’ont jamais fait chez eux, de s’unir chez nous et de faire front, comme ce qu’il reste de la France qu’on essaie de briser pour cette même raison.
Maintenant qu’on connait les protagonistes voyons comment la guerre pourrait se dérouler. Compte-tenu de la répartition des forces, dans un premier temps, elle sera forcément larvée et on peut dire qu’elle a déjà commencé (attentats et agressions d’un côté, répercussions molles sur des mosquées de l’autre) et va s’intensifier au fur et à mesure que le nombre de morts va croitre, des morts qui seront paradoxalement, en premier lieu, les autruches des deux bords qui vivent la tête dans le sable et le cul en l’air, position qui évoque probablement la prière pour les musulmans dits modérés, largement minoritaires et en terrain hostile en zone rurale, qui font comme si ça ne les concernait pas, et rappelle probablement les postures LGBT aux bobos immigrationnistes des villes, les mêmes qui ont manifesté contre l’islamophobie, entre deux « Allah Akbar » pacifiques, jetant de l’huile sur le feu en soutenant des revendications communautaires plus énervantes qu’un roman de BHL lu par Bruno Lemaire pendant une crise de sciatique lorsqu’on a tombé la télécommande de la télé et qui, pour de simples raisons de proximité géographique, n’ayant tiré aucune leçon du Bataclan, constitueront la cible privilégiée des excités de l’autre bord.
Quand la mayonnaise aura pris et que le moment sera venu, soit que les tensions sociales seront trop exacerbées soit, plus probablement, histoire de détourner l’attention d’un hold-up bancaire camouflé en krach boursier et qui fera les poches d’une population déjà passablement stressée, on aura droit à l’acte déclencheur : quelque chose de tellement horrible que ça finira d’allumer le Français de base, moins belliqueux au départ que sa contrepartie, du fait de sa castration par un catholicisme dévoyé, le féminisme idéologique et deux siècles de conditionnement aux valeurs de la république et qui, comme les vieux diesels avec lesquels il roule, a besoin d’un préchauffage avant de démarrer. Le plus horrible que je puisse imaginer serait un massacre dans une maternité, probablement en province pour que la chose porte, si l’on tient compte du fait qu’ailleurs la part de prénoms musulmans, lesquels ne sont qu’une partie des prénoms étrangers, excède déjà parfois les 50% ; une autre variante pouvant-être un égorgement sélectif à même les couveuses de tous ceux qui n’ont pas un prénom musulman sur leur bracelet d’identification. Faisons confiance à l’inventivité du système qui ne nous jamais déçu et n’a même pas besoin de se préoccuper de rendre les choses logiques ou cohérentes. 
À partir de là les choses devraient s’enflammer comme les mosquées et refuges de migrants en campagne tandis que, la police étant mobilisée pour protéger les élites en centre-ville, on aura des razzias de représailles sur les banlieues pavillonnaires. Parallèlement un certain nombre d’alimentaires quitteront le navire et ce sera la ruée vers les pays d’origines lesquels fermeront vite la porte, peu désireux de récupérer une population excédentaire et souvent à problème dont ils étaient contents d’être débarrassés, ce qui renforcera encore la panique, les flots se déversant alors sur l’Europe, donnant le prétexte d’une intervention humanitaire que, dans un premier temps, le nombre de morts étant encore insuffisant dans les générations encombrantes, c’est-à-dire encore capables de résister, les mêmes qu’on a massacrées pendant la première guerre mondiale (les vieux étant considérés comme déjà morts et les jeunes étant déjà écrasés numériquement), Macron diffèrera un peu en jouant les gros bras, conscient que l’armée, elle-même divisée en raison d’un recrutement massif de populations issues de l’immigration et de Français qui, contrairement à la police, refuseront de tirer sur les leurs, sera ingérable. 
Ce n’est que quand certains réaliseront que les villes, déjà malmenées par les pillages de plus en plus fréquents, sont très faciles à affamer en bloquant les routes et que des cités commenceront à être attaquées dans les villes intermédiaires (ainsi que les commissariats et gendarmeries de part et d’autre pour récupérer des armes) et qu’après d’âpres combats, on défenestra du 8ème étage une partie des habitants de quelque cité, qu’on donnera le feu vert pour l’intervention d’une coalition internationale qui tirera sans états d’âme dans le tas pour terminer le carnage et imposer un système encore plus autoritaire lequel n’empêchera pas, pendant des années, des attentats de part et d’autres et des sabotages des infrastructures, comme au temps de la résistance, le tout transformant la France en un pays d’esclaves multiculturels miséreux au service de ceux qui exploiterons ses richesses et qui le restera, faute d’un peuple suffisamment cohérent et enraciné dans le passé pour pouvoir se relever.
Je peux me tromper mais, sauf si entre-temps un tremblement de terre, comme récemment en Ardèche et dans la Drôme, fait sauter une centrale nucléaire, ce qui ramènerait nos préoccupations au niveau d’un combat de fourmis pour la possession d’une motte de terre tandis que l’histoire, s’il y en a encore une, retiendra que sur la fin il nous fallait une boussole pour trouver notre orientation sexuelle, je crains qu’on ne s’oriente dans cette direction qui ne pourra être évitée que si, rapidement, la tête de Macron finit, figurativement bien sûr, sur une pique, chose qui ne peut arriver que si on écoute nos tripes au lieu de nos fantasmes et que les Français organiques (seule partie de la population encore capable de le faire) se reconnaissent et font front commun en tant que tels ; et quand je vois des gilets jaunes faire une vidéo d’une naïveté déconcertante appelant à une révolution internationale hors-sol des peuples opprimés qu’on dirait sortie des fantasmes de Che Guevara et qui, dans le délire des gauchistes qui drivent visiblement la chose, passe à côté de l’essentiel, ça a beau partir d’une bonne intention, je me dis qu’on est encore loin du compte et qu’on met la charrue avant les entrecôtes.
Comme d’habitude, je n’ai pas la prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure. Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le en likant, commentant et, pour les plus courageux, en partageant mes vidéos afin de toucher un plus large public en espérant que ça puisse contribuer à faire avancer les choses. Merci encore à tous pour votre fidélité et vos encouragements et à bientôt… j’espère.
 

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