Bonjour !
La violence c’est comme une flatulence
après une mounjetado (que les puristes me pardonneront de traduire en
« cassoulet » pour ceux qui ne savent pas de quoi je parle) ou comme une
idée absurde dans la tête de Marlène Schiappa : il faut que ça sorte. Ce
n’est ni bon, ni mauvais, c’est juste un trop plein naturel ; la
tectonique des plaques de la connerie humaine ; et plus on aura refusé de
traiter les problèmes en amont, plus on aura forcé à cohabiter ensemble des
chats et des chiens, en empêchant tout le monde de remuer la queue, au prétexte
que ça pourrait-être mal interprété, plus s’accumulera la pression dans la cocotte-minute.
La tabouisation absurde d’une violence (pas forcément physique) mais aussi
mécaniquement nécessaire qu’inévitable, de surcroit en la bridant par une
contre-violence étatique sans vertus exutoires qui, tout en augmentant le
différentiel en nombre d’yeux entre les patates et les gilets jaunes, laisse
les endroits qui en auraient besoin aussi dénués de police que les fesses de
notre first Lady avant onction de crème hydratante que certainement on lui livre
à nos frais par semi-remorque, ainsi que le refus de tolérer un relâchement des
tensions, par petites touches, en obstruant la soupape de sécurité des paroles
offensantes et de l’humour déplacé qui n’ont jamais tué personne, conduisent toujours
à des explosions cataclysmiques.
Ce sont les tensions non résolues, aggravées
par le façonnage castrateur de l’individu à l’opposé de sa nature profonde (façon
bonzaï crypto-caduque non binaire) et la négation des réalités ontologiques qui
débouchent sur la violence et non la violence, laquelle une fois la tension
retombée s’arrête toujours toute seule, qui provoque la tension. La guerre
civile qu’on nous concocte est simplement la tentative de canaliser l’explosion,
devenue inévitable pour avoir trop longtemps nié le réel et piqué dans la
caisse, en poussant une partie de la population contre l’autre afin d’éviter que
ladite violence ne suive son cours naturel en direction de l’état, des élites
et du système.
On réalise alors que, même s’il y a en apparence 2 factions qui
semblent s’affronter, il y a en fait trois participants, dont un qui tire les ficelles
en comptant tranquillement les points, et qui n’a que deux objectifs :
affaiblir le plus possible les deux camps pour qu’ils ne représentent plus une
menace pour lui et éviter, absolument, qu’un des deux ne remporte la bataille,
car il a besoin de division pour continuer à régner, en dépit de son
incompétence et de sa rapacité parasite, qui sautent aux yeux quand elles ne
sont pas occultées par le flot constant de nouvelles anxiogènes ou futiles,
souvent les deux, diffusé par les médias. C’est pour cela que, d’un côté, il
excite la bête contre le méchant islamiste, mais la taxe d’islamophobie
aussitôt qu’elle réagit.
Avant de parler de guerre civile, il
serait bon de préciser guerre de qui contre qui. Aux yeux du système c’est
extrêmement simple : les Français qu’il a parfaitement identifiés et cherche
à détruire en raison de leur capacité à faire corps, contre les pseudo-Français,
qu’on s’emploie à transformer en anti-Français, que leurs dissentions et
incompatibilités rendent beaucoup plus facile à manipuler. On nous vend
perpétuellement le mensonge qu’il est extrêmement compliqué voire impossible de
tracer une ligne entre les deux : on serait tous, à des degrés divers et
variés, des immigrés, issus de toutes ces races qui n’existent pas, de toutes
les religions, le tout s’entrelaçant, au bout de plusieurs générations de
métissage forcé, dans un magma inextricable, un peu comme une explication de
Benalla.
En réalité, ce n’est pas la bonne grille de lecture et quand les
choses tournent au vinaigre, les tripes prennent généralement le pas sur les
raisonnements tordus et les subtilités administratives, et l’on se rend compte
que, dans ces situations extrêmes, les Français charnels, ceux qui aiment ce
que représentait feu Raymond Poulidor, se reconnaissent toujours quelle que
soit, par ailleurs, la teinte de leur épiderme et ce qui est inscrit (ou non)
sur une carte d’identité tellement galvaudée qu’elle ne signifie plus rien. Tous
ceux qui, comme moi, ont pas mal voyagé de par le monde, vous diront que, dans
n’importe quel endroit de la planète, instantanément, vous repérez un autre
Français aussi facilement qu’un gilet jaune au milieu d’une compagnie de CRS
quand cesse la pluie de coups de matraques, sans par ailleurs trop savoir
pourquoi. Peut-être son attitude générale, sa façon de se tenir et de regarder
les choses ou parfois son comportement lequel, il faut bien le reconnaître, à
l’étranger, ne fait pas toujours honneur à notre pays, surtout quand il y a un
buffet gratuit.
En revanche, un musulman se comportera d’abord comme un
musulman, de même que toute personne qui s’accroche à une identité culturelle
autre. Celui-là ne sera pas reconnu. Il est par ailleurs troublant que ceux qui
soufflent sur les braises de façon la plus véhémente, tout en brandissant leur
carte d’identité, sanctifiant de façon paradoxale l’enfumage de la laïcité et
chantant la marseillaise plus fort que les autres, un peu trop fort trouveront
certains, n’ont pas abandonné leur communauté. Zemmour est marié dans sa
communauté et ses enfants sont comme des poissons en Israël, Zineb El Rhazoui, qui
n’est pas spécialement répugnante et qui (même si son côté bâton de dynamite
sur une cuve de nitroglycérine à deux doigts de dévaler un escalier a pu en
effrayer plus d’un) ne saurait arguer qu’elle manquait de choix, s’est mariée
dans sa communauté.
Faites le test en parcourant Wikipédia, un jour de pluie,
quand votre conjoint ou conjointe n’est pas d’humeur à faire des choses plus
intéressantes, et cherchez combien parmi tous ces va-t-en-guerre font partie
d’une autre communauté et surtout combien ont eu le courage de jeter leur bouée
communautaire et sont prêts à couler avec le bateau France en cas de problème.
Une autre définition possible du Français c’est, en effet : celui qui n’a
pas d’autre choix que de couler avec le bateau, tel un neurone esseulé dans le
vide synaptique d’un cerveau castanérien. En outre, compte-tenu du fait que (preuve
de l’artificialité du peuplement sur le territoire qui ne permet pas une
partition, comme en Yougoslavie) les combattants potentiels se répartissent
majoritairement dans les campagnes pour les uns et dans les grandes métropoles
pour les autres, même pas besoin de se reconnaître, car en campagne on se
connaît. Donc, en résumé, un Français organique ça se connaît ou ça se
reconnaît.
Poussé essentiellement par des élites auto-proclamées d’une
communauté qui commence à voir l’eau monter et à se faire pipi dessus (encore une
fois regardez les pédigrées sur Wikipédia) et qui a réussi, par son soutien à
l’immigration, à imposer chez nous un conflit israélo-palestinien qui nous
concerne autant qu’un furoncle sur les fesses de Lady Gaga, on nous vend le
discours que l’autre camp se limite à l’hydre musulmane à laquelle on essaie
malhonnêtement de circonscrire ladite immigration et le problème. J’ai toujours
considéré que l’islam, comme le judaïsme sont parfaitement compatibles avec la
république, ce n’est d’ailleurs pas les républiques islamiques qui manquent,
mais pas avec la France, ce qui se voit comme le nez au milieu de la figure à
travers les problèmes qui surgissent dès lors que l’on dépasse un nombre
raisonnable de leurs ressortissants dans le macrocosme Français ou dans le microcosme
politico-médiatique.
Notre laïcité est faite sur mesure pour détruire le
catholicisme ce qui est sa seule finalité mais n’est absolument pas calibrée
pour contingenter d’autres religions qui ne sont pas des religions de paix et
qui du coup ne se laissent pas faire, les fêtes juives n’étant quasiment que
des commémorations de massacres qu’ils ont perpétrés, quant à l’islam…, il faudrait
vraiment arracher beaucoup de pages au Coran pour y voir des colombes qui
roucoulent. L’immigration ce n’est pas que l’islam, lequel après avoir joué son
rôle, compte tenu (en dépit des rivalités entre chiites, sunnites et autre « ites »
divers et variés) de sa vocation fédératrice, gênante pour un pouvoir qui a
besoin de division maximum, sera avantageusement remplacé par une immigration Africaine,
laquelle quand elle s’adapte, s’adapte mieux que certains musulmans qui, dans
ce cas-là ont tendance à la gonfler, mais dont, à part peut-être Sibeth Ndiaye,
on ne nous envoie plus depuis longtemps la crème de la crème et qui s’écharpe
alors en fonction des ethnies, des tribus et autres subtilités qui nous
échappent qui la rendent peu susceptible, alors qu’ils ne l’ont jamais fait
chez eux, de s’unir chez nous et de faire front, comme ce qu’il reste de la
France qu’on essaie de briser pour cette même raison.
Maintenant qu’on connait les
protagonistes voyons comment la guerre pourrait se dérouler. Compte-tenu de la
répartition des forces, dans un premier temps, elle sera forcément larvée et on
peut dire qu’elle a déjà commencé (attentats et agressions d’un côté,
répercussions molles sur des mosquées de l’autre) et va s’intensifier au fur et
à mesure que le nombre de morts va croitre, des morts qui seront paradoxalement,
en premier lieu, les autruches des deux bords qui vivent la tête dans le sable
et le cul en l’air, position qui évoque probablement la prière pour les
musulmans dits modérés, largement minoritaires et en terrain hostile en zone
rurale, qui font comme si ça ne les concernait pas, et rappelle probablement les
postures LGBT aux bobos immigrationnistes des villes, les mêmes qui ont
manifesté contre l’islamophobie, entre deux « Allah Akbar » pacifiques,
jetant de l’huile sur le feu en soutenant des revendications communautaires plus
énervantes qu’un roman de BHL lu par Bruno Lemaire pendant une crise de
sciatique lorsqu’on a tombé la télécommande de la télé et qui, pour de simples
raisons de proximité géographique, n’ayant tiré aucune leçon du Bataclan, constitueront
la cible privilégiée des excités de l’autre bord.
Quand la mayonnaise aura pris et que le
moment sera venu, soit que les tensions sociales seront trop exacerbées soit,
plus probablement, histoire de détourner l’attention d’un hold-up bancaire camouflé
en krach boursier et qui fera les poches d’une population déjà passablement
stressée, on aura droit à l’acte déclencheur : quelque chose de tellement
horrible que ça finira d’allumer le Français de base, moins belliqueux au
départ que sa contrepartie, du fait de sa castration par un catholicisme
dévoyé, le féminisme idéologique et deux siècles de conditionnement aux valeurs
de la république et qui, comme les vieux diesels avec lesquels il roule, a
besoin d’un préchauffage avant de démarrer. Le plus horrible que je puisse
imaginer serait un massacre dans une maternité, probablement en province pour
que la chose porte, si l’on tient compte du fait qu’ailleurs la part de prénoms
musulmans, lesquels ne sont qu’une partie des prénoms étrangers, excède déjà parfois
les 50% ; une autre variante pouvant-être un égorgement sélectif à même
les couveuses de tous ceux qui n’ont pas un prénom musulman sur leur bracelet
d’identification. Faisons confiance à l’inventivité du système qui ne nous
jamais déçu et n’a même pas besoin de se préoccuper de rendre les choses
logiques ou cohérentes.
À partir de là les choses devraient s’enflammer comme
les mosquées et refuges de migrants en campagne tandis que, la police étant
mobilisée pour protéger les élites en centre-ville, on aura des razzias de
représailles sur les banlieues pavillonnaires. Parallèlement un certain nombre
d’alimentaires quitteront le navire et ce sera la ruée vers les pays d’origines
lesquels fermeront vite la porte, peu désireux de récupérer une population
excédentaire et souvent à problème dont ils étaient contents d’être débarrassés,
ce qui renforcera encore la panique, les flots se déversant alors sur l’Europe,
donnant le prétexte d’une intervention humanitaire que, dans un premier temps,
le nombre de morts étant encore insuffisant dans les générations encombrantes,
c’est-à-dire encore capables de résister, les mêmes qu’on a massacrées pendant
la première guerre mondiale (les vieux étant considérés comme déjà morts et les
jeunes étant déjà écrasés numériquement), Macron diffèrera un peu en jouant les
gros bras, conscient que l’armée, elle-même divisée en raison d’un recrutement
massif de populations issues de l’immigration et de Français qui, contrairement
à la police, refuseront de tirer sur les leurs, sera ingérable.
Ce n’est que
quand certains réaliseront que les villes, déjà malmenées par les pillages de
plus en plus fréquents, sont très faciles à affamer en bloquant les routes et
que des cités commenceront à être attaquées dans les villes intermédiaires (ainsi
que les commissariats et gendarmeries de part et d’autre pour récupérer des
armes) et qu’après d’âpres combats, on défenestra du 8ème étage une partie des
habitants de quelque cité, qu’on donnera le feu vert pour l’intervention d’une
coalition internationale qui tirera sans états d’âme dans le tas pour terminer
le carnage et imposer un système encore plus autoritaire lequel n’empêchera pas,
pendant des années, des attentats de part et d’autres et des sabotages des
infrastructures, comme au temps de la résistance, le tout transformant la
France en un pays d’esclaves multiculturels miséreux au service de ceux qui
exploiterons ses richesses et qui le restera, faute d’un peuple suffisamment
cohérent et enraciné dans le passé pour pouvoir se relever.
Je peux me tromper mais, sauf si entre-temps
un tremblement de terre, comme récemment en Ardèche et dans la Drôme, fait
sauter une centrale nucléaire, ce qui ramènerait nos préoccupations au niveau d’un
combat de fourmis pour la possession d’une motte de terre tandis que
l’histoire, s’il y en a encore une, retiendra que sur la fin il nous fallait
une boussole pour trouver notre orientation sexuelle, je crains qu’on ne s’oriente
dans cette direction qui ne pourra être évitée que si, rapidement, la tête de
Macron finit, figurativement bien sûr, sur une pique, chose qui ne peut arriver
que si on écoute nos tripes au lieu de nos fantasmes et que les Français
organiques (seule partie de la population encore capable de le faire) se
reconnaissent et font front commun en tant que tels ; et quand je vois des
gilets jaunes faire une vidéo d’une naïveté déconcertante appelant à une révolution
internationale hors-sol des peuples opprimés qu’on dirait sortie des fantasmes
de Che Guevara et qui, dans le délire des gauchistes qui drivent visiblement la
chose, passe à côté de l’essentiel, ça a beau partir d’une bonne intention, je
me dis qu’on est encore loin du compte et qu’on met la charrue avant les
entrecôtes.
Comme d’habitude, je n’ai pas la
prétention de détenir la vérité, juste, tant qu’on me laisse faire, de susciter
la réflexion par un discours honnête, logique et argumenté, sans auto-censure.
Je ne filtre aucun commentaire et cette chaîne, par principe, n’est pas
monétisée et ne fait pas appel aux dons, si vous voulez me soutenir faites-le
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encouragements et à bientôt… j’espère.
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