Transcription de ma vidéo sur YouTube https://youtu.be/OTS_CeBWlb4
Bonjour !
Il y a quelques années, un certain Boris Le Lay avait débordé de la casserole en manifestant son désarroi devant le concept de « Celte noir », désarroi qui lui a valu les ennuis judiciaires que l’on sait lesquels l’ont conduit à s’expatrier au Japon, probablement en quête d’un Japonais bleu à pois verts. Dès lors qu’il est communément admis, sous peine de risquer d’aller faire du karting en prison, que n’importe qui peut être Français à partir du moment où il est administrativement reconnu comme tel, pourquoi un individu administrativement reconnu comme un homme, ne pourrait-il pas être enceint ? Ce n’est que le prolongement de la même logique.
Certes certains diront qu’un père sans paire, c’est le moindre mâle, surtout qu’il peut être mère, (voire maire) et qu’alors la fille au père (qui est aussi la mère) pouvant aussi être au pair au bord de la mer, on s’y perd (surtout quand on est mère) ce qui peut rendre amer le père, la paire, la mère ou le maire (avec ou sans paire), même si l’amer chez un père est toujours mieux que l’acide d’une mère de vinaigre, vinaigre qui reste préférable, pour un père déjà sans paire, à pas de vie du tout.
Nonobstant, quand on l’observe bien, le concept d’égalité n’existe pas dans la nature et, de même que certaines opinions mathématiques sur des comptes ronds ne sont pas des opinions, mais des délits, ladite nature n’ayant pas de représentant légal, c’est donc ce que décrète la loi de la république qui prévaut. Une république qui, sauf à saper ses fondements et son triptyque, se doit, par conséquent, sous peine de reconnaître qu’elle est basée sur un mensonge, d’aller autant que possible à l’encontre des lois naturelles. Dès lors, si vous vous vous introduisez, avec les précautions d’usage, une jolie plume multicolore dans le sphincter anal, que vous vous considérez comme un oiseau et que vous êtes administrativement reconnu comme tel, vous êtes donc un oiseau. Point barre. Il ne vous reste plus alors qu’à vous élancer majestueusement du haut d’un immeuble en remuant les bras très très, mais alors très très vite et en faisant cui-cui.
Peut-être même qu’un jour, avec beaucoup de persévérance et d’opiniâtreté, si vous couvez assez longtemps ce qui sortira dudit sphincter et que vous y croyez assez fort, vous serez l’heureux parent 1 de quelque chose, même si ce quelque chose n’ira pas forcément à l’école, comme dirait Dieudonné, incarnation d’un autre concept républicain particulièrement novateur : le « Nazi noir » ; concept qui n’a fait moufter personne et à côté duquel, pourtant, l’homme enceint, c’est du pipi de chat transgenre.
Je ne comprends pas trop les féministes qui s’insurgent contre l’idée même d’homme enceint, sachant que l’égalité qu’elles se sont fourvoyées à réclamer à cors et à cris, plutôt que du respect et de la reconnaissance, ne peut passer que par l’éradication des différences. Deux poulets plumés seront plus semblables entre eux qu’avec leurs plumes sur le dos et ils atteindront l’égalité parfaite quand ils seront transformés en escalopes de 125 grammes sous cellophane. Au prétexte d’être l’égale de l’homme, tout dans le féminisme pousse la femme à en devenir un. Mais même en travaillant, en ne faisant plus d’enfants, en buvant, en se tatouant, en s’adonnant au sexe récréatif (idéalement avec d’autres femmes à cheveux roses et bleus sur la partie pas rasée du crâne), en cassant la figure (dans les films et séries seulement) à des hommes deux fois plus lourds qu’elle, en se laissant pousser les poils et en cessant totalement d’être une femme, elle peine à devenir un homme à menstruations comme les autres.
La féministe qui n’a toujours pas compris qu’une fois que le barrage a cédé pour des choses qui pouvaient sembler désuètes, raisonnables et évidentes, il n’y a plus aucun moyen d’empêcher qu’il ne se vide totalement, plutôt que d’être reconnaissante, n’est pas contente non plus quand c’est l’homme qui fait l’effort de devenir une femme et que, par exemple, la police en vient à expulser des femmes lesbiennes de la marche des fiertés au Pays de Galles parce que leur présence « provoquait une confrontation » avec des hommes biologiques qui s'identifient comme des femmes transgenres. Je n’invente rien et je comprends mieux pourquoi les gens qui viennent en Europe revendiquent le droit d’asile, conscient, eux, qu’ils y vont tout droit… à l’asile.
La conclusion logique du féminisme et de l’égalitarisme républicain est donc la déconstruction à la Sandrine Rousseau (dont le compte Twitter parodique compte désormais plus d’abonnés que l’original), c’est-à-dire la destruction et de l’homme et de la femme dans un brouillard transsexuel, post sexuel et finalement asexué avec, en bout de course, un implant numérique qui ramènera notre identité à un simple numéro, parfaitement égalitaire. Mais c’est toujours mieux que de faire des gosses et de les regarder grandir avant de choyer ses petits-enfants, surtout quand on peut, à la place, remplir ses placards de trucs inutiles et vieillir avec un chat castré (ou plusieurs selon l’importance du vide à combler) en regardant des comédies romantiques de couples mixtes sur Netflix. De toute façon, qu’importe puisque, comme la mise au travail des femmes, souvent au SMIC, fait qu’elles ne peuvent plus jouer pleinement leur rôle de ciment de la cellule familiale et ne peuvent pas davantage s’occuper de parents âgés que la solitude et l’isolement poussent vers la sénilité précoce, tout le monde finit en EHPAD à 3000€ par mois (en échange, encore une fois, du privilège de bosser au SMIC), là encore dans une parfaite égalité légumière et incontinente.
Pour autant, cette enfoirée de nature ayant horreur du vide, l’homme blanc, pourtant suffisamment civilisé pour être avant tout un protecteur si on lui laisse ses testicules, après castration démocratique n’arrive plus à alimenter certains fantasmes émoustillants et nécessaires, mais supposés rester à ce stade. Même refoulé aux fins fonds de l’inconscient de la féministe intersectionnelle 3.4 version bêta, le besoin d’être confronté ponctuellement à de la testostérone pour se sentir véritablement femme explique alors cette compulsion maladive d’en importer massivement de la brute (à tous les sens du terme) en ouvrant la porte à des populations polygames qui, niveau enceintes, ont le Dolby Surround au minimum.
Populations auxquelles mon petit doigt me dit qu’expliquer le concept d’homme enceint (et même de féminisme) rendra, par comparaison, l’enculage de mouches sans vaseline aussi aisé que le récent enrichissement culturel à fort contraste chromatique d’une réfugiée ukrainienne en pleine rue et en plein jour. Vidéo devenue virale, sauf dans les sphères féministes, preuve noir sur blanc, si j’ose dire, qu’il n’est pas bon de mélanger fantasmes et réalité laquelle, faute du vernis civilisationnel adéquat, devient vite cauchemardesque. Un cauchemar qu’on n’arrive plus à étouffer dans les recoins de la presse régionale et à camoufler derrière ce chef-d’œuvre de novlangue qu’est le mot « féminicide ».
Fort heureusement, il reste des femmes fortes, comme Sana Marin le Premier ministre finlandais, qui vont pleurer à la télé (parce que privilège féminin quand même) quand elles se font poisser à se trémousser en soirée en état d’ébriété en faisant l’éloge de la cocaïne. Comme si la politique avait encore quelque chose à voir avec cette conception patriarcale désuète de la vocation et du don total de soi à son pays et à l’intérêt supérieur de la nation alors qu’il s’agit simplement d’un boulot comme un autre où l’on fait ce que l’on veut de son temps libre, comme du jet-ski, dès lors qu’on a rempli son quota de 38 heures par semaine. Un nouveau principe fondateur que les élues écologistes françaises se sont empressées, en solidarité, de graver dans le marbre en trémoussant le résultat flasque de leur surconsommation énergétique sur des musiques exotiques, mais en oubliant, honte à elles, de convier le moindre homme enceint à monter sur scène.
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