Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/azljPq6eOz8
Bonjour !
La satire DE Trump, on était habitués, mais là ça tire SUR Trump (qui s’est fait littéralement tirer l’oreille) et sa réaction, le visage ensanglanté, le poing levé, à la Che Guevara, sous un ciel bleu avec le drapeau américain qui flotte derrière, est une image qui restera dans les annales (au sens non LGBT du terme, c’est-à-dire avec plus de « N ») tout comme cette autre photo inouïe où l’on distingue aussi clairement que des testicules de première dame la traînée du projectile qui le frôle. En fait, s’il n’avait pas tourné la tête une fraction de seconde avant l’impact, il avait un second trou de balle, mais dans son crâne.
La satire DE Trump, on était habitués, mais là ça tire SUR Trump (qui s’est fait littéralement tirer l’oreille) et sa réaction, le visage ensanglanté, le poing levé, à la Che Guevara, sous un ciel bleu avec le drapeau américain qui flotte derrière, est une image qui restera dans les annales (au sens non LGBT du terme, c’est-à-dire avec plus de « N ») tout comme cette autre photo inouïe où l’on distingue aussi clairement que des testicules de première dame la traînée du projectile qui le frôle. En fait, s’il n’avait pas tourné la tête une fraction de seconde avant l’impact, il avait un second trou de balle, mais dans son crâne.
Totalement impossible qu’il s’agisse d’une mise en scène, comme l’ont suggéré certains humanistes, parfois déçus que le tireur ait loupé sa cible, ce qui, à 150 m et sans lunette, est compréhensible, d’autant que les balles, bien réelles, ont terminé leur course dans au moins trois spectateurs, dont un décédé et deux dans un état grave. On apprend d’ailleurs la mort de Shannen Doherty l’actrice de Beverly Hills… (aucun rapport, mais il fallait que je le place). Autant dire que Trump (qui ferait bien de surveiller son épouse) a déjà gagné l’élection, beaucoup voyant une intervention divine derrière cette chance de cocu.
Toute autre option se traduirait désormais par une guerre civile parce qu’aucun de ses supporters chauffés à blanc, n’accepterait une seconde fois le narratif d’une victoire « démocratique » d’un Joe Biden dont l’aptitude à sucrer les fraises et la maîtrise dialectique à la Séjourné, auraient magiquement enthousiasmé les foules et les algorithmes des machines à voter. Le fait que plusieurs personnes aient aperçu et signalé le tireur sur le toit plusieurs minutes avant les tirs et la lenteur de la réaction de la sécurité, n’ont pas fini de soulever des polémiques, des mal pensants complotistes pouvant imaginer que faute de pouvoir gagner par les urnes…
Toujours est-il que Macron, qui a tendance à la grosse tête (cible donc plus visible, mais, subséquemment, défi mineur qui ne semble tenter personne) et qui, lui, va parvenir à sécuriser un énorme périmètre à ciel ouvert pour la cérémonie d’inauguration de ses jeux, visiblement déçu que son 14 juillet passe, du coup, à la trappe médiatique, a tardivement envoyé ses souhaits de bon rétablissement à celui qui conserve précieusement un mystérieux gros dossier avec son nom dessus.
Dès lors, les actualités hexagonales semblent bien dérisoires à l’instar du bain dans la Seine de la ministre des Sports laquelle glisse sur de la substance molle (qu’on espère être de la vase) ayant mystérieusement échappé au grand récurage à 1,4 milliard d’euros et se casse la figure dans les eaux noires, couleur qu’apprécie Rokaya qui telle Nabilla « dit allô », laquelle s’insurge du cruel manque de mélanine sur la photo de famille du Nouveau Front populaire. À sa décharge publique, il est vrai que « créolisation » bien ordonnée commençant par soi-même, Mélenchon, par exemple, fait « pâle » figure à tous les sens du terme contrairement à notre exemplaire équipe de France, en danger, la nuit, sans catadioptre, qui, elle, n’a jamais essuyé la moindre critique de Rokaya.
On pourrait donc éventuellement panacher les deux, d’autant que les joueurs se sont activement mis à la politique, au point d’avoir eu soudainement 2 pieds gauches (probablement par détestation de la droite) face à une équipe d’Espagne qui, pour l’anecdote, compte plus de Français dits « de souche » dans ses rangs que l’équipe tricolore ! En tous les cas, twitter ou jouer, il faut choisir quand on n’a, visiblement, pas les neurones pour faire les deux choses à la fois. Kylian Mbappé, à la place de Mélenchon ce serait donc un bon début, d’autant que remplacer un millionnaire par un autre garantirait que les classes populaires continuent à être bien représentées et si, en sus, on intervertit Thuram et Bompard on commencera à chatouiller un quota intéressant qui plaira sûrement à Médiapart lequel innove en se lançant dans les statistiques ethniques et en classant les députés par teinte, un peu comme les peintures Dulux-Valentine. La sodomie ayant tendance à rendre pâle, autant dire que le RN est mal placé.
Tandis que tout le monde se bouffe le foie pour avoir sa part de gamelle, Mélenchon, encore lui, s’associe aux communistes pour proposer une femme « racisée » comme Premier ministre, deux qualités absolument indispensables à la bonne gestion du pays et qu’il n’a, hélas, pas lui-même, de sorte à faire oublier aux gogos qui le suivent cette carence impardonnable faisant que, selon ses propres critères, il est illégitime à ouvrir sa gueule. Après, comme on dit, les goûts et les couleurs… Pour tout vous dire, j’ai un copain raciste (parce que je ne suis pas sectaire) et il fait sans arrêt l’amalgame entre diversité et criminalité, au point que ça en devient ridicule. Impossible de lui faire admettre, par exemple, que le fait qu’on a volé pour 150 000€ de vélos sur le tour de France, n’a strictement rien à voir avec la présence, pour la première fois, d’un noir, lequel accomplit par ailleurs de belles choses, mais le gars est têtu.
C’est pour cela qu’il faut lutter contre les préjugés racistes, comme celui qui dit que les Juifs sont plus intelligents que les autres, un préjugé tellement bien ancré, qu’il a semblé suffisamment incroyable à Nicole Beloubet qu’une quinzaine d’élèves de cette confession ait eu de mauvaises notes au Grand Oral du Bac, pour qu’elle s’empresse de diligenter une enquête laquelle a, finalement, conclu que les Juifs peuvent être aussi cons que les autres, un grand pas vers le vivre-ensemble ayant ainsi été franchi. Il reste toutefois encore du travail, si l’on considère qu’une bande de gamins de 8 ans, d’origine médiatiquement inconnue, a été interceptée alors qu’elle s’en allait gaiement faire un remake de la guerre des boutons sur un groupe d’enfants d’une école israélite qu’on avait emmené en sortie dans un parc parisien sans couverture aérienne, rien ne semblant pouvoir arrêter la vague d’antisémitisme qui frappe l’occident tout entier, jusqu’à l’éviction récente de Meyer Habib, selon l’adage, « c’est toujours les Meyer qui s’en vont »…
Mais on se consolera, en se disant qu’au moins l’antisémitisme est absent de la nouvelle salve de distribution de Légions d’honneur (plus « en promotion » que promotion tout court) ; liste publiée à la hâte entre les deux tours (on ne sait jamais). Un insigne insigne que Dieudonné qualifiait à tort de fion de hamster, alors qu’il s’agit plutôt du fion des castors qui ont fait élire, par exemple, Elisabeth Borne, apocope de Bornstein, élevée au grade de commandeur, tout comme Michel Drucker. Le président du CRIF, Yonathan Arfi, n’étant lui que chevalier ce qui est certes mieux que rien, mais un petit effort aurait pu être fait. Également de la partie, une flopée de bienfaiteurs de la France à l’instar de Caroline Fourest pour son action pour le saphisme et contre le saLAphisme, Virginie Efira pour… son 95 bonnet G ou encore Michel « Cymes » qui, comme son nom, atteint sur ce coup les sommets, bien que plutôt au ras des pâquerettes sur le COVID.
« C'est avec ces hochets qu'on fait marcher les hommes » avait lancé Napoléon, fondateur de la breloque que Coluche avait envisagé de recevoir en slip si elle lui avait été proposée, évoquant sans le vouloir le funeste Pinochet, vu le peu d’options pour l’accrocher.
Une qui ne l’a pas eue, c’est Arielle Dombasle, en dépit de sa prestation remarquée à l’occasion de l’arrivée de la flamme olympique. Une Arielle, ma foi fort bien conservée, et qui peut encore émoustiller du monde si on en juge par la statue en érection, à l’arrière-plan d’un clip éminemment politique, puisqu’après une minute d’écoute j’enviais le sort des Gazaouis et l’infirmité de Beethoven à qui on avait emprunté la musique.
Pendant ce temps, le RN traque ses brebis galeuses et cherche comment il pourrait encore plus se dédiaboliser, mais, sauf à louer un char à la prochaine GayPride et twerker dessus en string en se faisant fouetter par un transsexuel racisé ou un rabbin progressiste, je ne vois guère à quoi il pourrait encore renoncer.
À l’opposé, Sarah KNAFO, elle, pense qu’il faut revenir aux fondamentaux, ce en quoi elle a raison et focaliser sur l’islam, ce en quoi elle a tort. Le problème de la France et qui explique que toute la politique française semble axée autour du racisme et de l’antisémitisme est que, contrairement au Japonais qui, à 2 ans, sait ce qu’est un Japonais et donc, par extension, qui n’est pas Japonais, le Français, qui a su qui il était pendant plus d’un millénaire, a perdu sa boussole lorsque que le premier clou du cercueil, à savoir l’octroi de la citoyenneté aux israélites, a été enfoncé, ouvrant la porte à tout le reste et générant la confusion que nous connaissons laquelle a abouti à ce récent débat surréel sur l’aberration que constitue, pour toute personne avec deux sous de logique, le concept absurde de double nationalité.
KNAFO est donc bien gentille, mais réduire l’immigration à l’islam en occultant notamment l’Afrique subsaharienne, souvent catholique, animiste ou autre, est juste un moyen de détourner l’attention de l’origine du problème afin d’éviter de faire partie de la charrette, tout en procédant (de façon à la neutraliser) à la confiscation communautaire de toute velléité identitaire tentant de combler le vide béant laissé par le RN. C’est d’autant plus nécessaire que le Français de base a perdu tout sens du collectif, devenant un jouisseur matérialiste accro au confort : un consommateur individualiste, au même titre par ailleurs (et ironiquement) que les racailles de banlieue, dont à peine une feuille de papier à joint le sépare, prétendument musulmanes, mais qui se comportent comme des sous-rappeurs qui ne pourraient même pas vivre dans leur pays d’origine qu’ils fantasment tant ils sont « américanisés ».
S’ils devaient choisir entre la France et un abonnement Netflix ou un forfait 5G, combien de Français choisiraient sans hésiter la première, sachant, à leur décharge, qu’en l’état, faute d’être un rempart pour eux (sa finalité originelle) quand elle n’est pas une prison, elle ne leur est plus indispensable dans leur lente agonie ? Contrairement aux USA qui sont, à terme, condamnés pour cette raison, mais qui n’ont d’autre choix que de tenter de s’unir artificiellement autour d’un pays et d’un drapeau (d’où leur patriotisme exacerbé), la France n’est pas, à la base, un pays multiracial. C’est pour cela qu’elle a survécu aussi longtemps. Mais sans un vent de nationalisme et un retour aux fondamentaux (lequel passe par le droit de revendiquer un minimum de cohérence ethnique et culturelle sans laquelle il ne saurait y avoir d’unité durable), le pays, déjà ruiné et ingouvernable, a les chances de survie d’une chèvre transgenre en bas résille avec un éclairage LED sur la vulve, déambulant, la nuit tombée, aux abords du stade olympique.
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