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dimanche 24 novembre 2024

Travailler plus pour gagner PAREIL, merci le SÉNAT… (25/11/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/jSRGGH_SsPE

Bonjour !
Depuis que « je dépense, donc je suis » a remplacé la logique cartésienne faisant que Descartes, certes, mais des Pokémon, on s’emploie à mettre de grosses mains (statistiques) au panier de la ménagère en essayant de la convaincre qu’un abonnement Netflix est aussi vital que 10 kg de patates. Du « confort » pour « cons faibles » qui, s’ils doivent choisir, préféreront leur dose de spectacle woke en 4K, voire 4KK si on zoome trop, à de la vraie nourriture, remplacée par des chips à base de larves grillées probablement un peu transgenres. 
 
Cette distorsion orchestrée de la valeur des choses, rendant, souvent au prix de la santé, le superflu indispensable et vice-versa, génère d’immenses profits pour les marchands de vent et de malbouffe (qui en produit aussi) ainsi que l’industrie du médicament et la bourse en général, profits que, conscients de l’escroquerie qui ne saurait durer éternellement, ils réinvestissent massivement dans l’achat de choses concrètes dont la terre, faisant disparaître aussi efficacement que l’album photo de notre première dame les agriculteurs, ces empêcheurs de créer en rond des pénuries alimentaires fort rentables pour qui saura les organiser.
 
 Ces derniers peuvent donc manifester autant qu’ils le veulent, tant qu’il n’y aura pas des crânes d’œufs de « pontes » au bout de leurs fourches à commencer par ceux de la FNSEA, ce que (sauf à ce que LFI obtienne la suppression demandée du délit d’apologie du terrorisme) je n’encourage que de façon symbolique, la position assise sur leur tracteur sera de plus en plus inconfortable en raison de l’effet ventouse, le seuil critique sur l’échelle de Bruno Le Maire ayant déjà été atteint.

Comme le démontre l’adoption par le sénat, mot qui a la même étymologie que « sénile », de l’idée lumineuse de faire travailler gratuitement 7 heures par an (et plus si affinités), les gens qui bossent encore et dont la portion se réduit façon pénis macronien s’il avait tenu sa promesse de flotter dans les eaux froides de la Seine au milieu d’autres choses peu ragoûtantes avec lesquelles un regard inattentif aurait pu le confondre, l’argent n’est rien d’autre qu’une promesse de travail au sens de la physique, c’est à dire d’énergie et quand il y a davantage d’argent virtuel (qu’on appelle pudiquement « la dette ») que d’énergie disponible, les joules se transforment en geôles avec le retour de l’esclavage, pour tenter vainement de compenser.

Par ailleurs depuis que Sarkozy a érigé en principe la « fongibilité », tout ce que l’on vous prélève va peu ou « prout » au même endroit et, peu importe qu’on vous vende ça pour soi-disant « financer la sécurité sociale », la priorité restant l’accueil des migrants sur lesquels (pas plus que sur tous les parasites qui en vivent) aucune économie n’a encore été faite, on l’utilisera pour transformer le pays jusqu’au moindre petit village en paradis multiculturel. En dépit de votre travail pas payé, les déserts médicaux le resteront et, face aux hôpitaux en déshérence façon pèse-personne de Gérard Larcher, ainsi qu’au déremboursement d’encore 5% des visites médicales (hors AME), seule la forme peu ergonomique de notre jolie carte vitale rend techniquement compliquée la suggestion qui me vient, quant à l’endroit où, par souci de ne pas polluer la planète, on pourra alors se la carrer.

Ceci seulement, bien évidemment, si ladite planète existe encore, Poutine commençant sérieusement à manquer de craie pour tracer de nouvelles lignes rouges, qui, à force d’être franchies en totale impunité, finissent par être aussi crédibles qu’un compte rendu sur la situation à Gaza par Bernard-Henri Lévy, l’acculant de façon non LGBT à menacer d’utiliser des missiles balistiques hypersoniques pour frapper des cibles sur les pays qui fourniraient l’aide et les lanceurs pour des tirs à longue portée sur le territoire russe, matériels incluant les SCALP français, dont notre Macron à moumoute pour couvrir le sien, aurait autorisé l’usage, entre une déclaration inspirée pour dire que les Haïtiens sont des cons et une énième annonce de panthéonisation, ce coup-ci de Marc Bloch, la Palestine n’ayant visiblement pas le monopole de la colonisation.
 
Il est clair que Poutine va tout faire pour attendre la prise de fonction de Trump avant de tomber dans le piège de l’escalade. Pour autant, si un missile s’abattait sur une école au centre de Moscou, par exemple, chose que, bien sûr, le camp du bien ne ferait jamais, son opinion publique ne comprendrait pas qu’il ne donne pas suite à ses menaces et qu’il transige, comme à son accoutumée, en se rabattant sur quelque cible militaire plus symbolique qu’autre chose plutôt que sur l’Élysée, la Maison-Blanche ou le lieu de pouvoir du pays ayant fourni et piloté les armes. À titre personnel, j’ai toujours pensé qu’il y aurait moins de guerres si on bombardait, chose que les missiles hypersoniques à longue portée inarrêtables permettent enfin, ceux qui les décident plutôt que les pauvres bougres qui la font.

À minima, on peut toujours les condamner à l’instar de la CPI qui a émis un mandat d’arrêt, forcément antisémite, contre Benyamin Netanyahou Israël produisant suffisamment d’avocats pour qu’il s’asseye dessus, d’autant que les USA ont menacé de sanctions tout pays allié qui le mettrait à exécution de sorte qu’il peut continuer à, humainement, bombarder Gaza, le Liban, l’Iran, la Syrie, voire un peu l’Irak s’il est en forme. Pierre Palmade, lui, en revanche, a été condamné, bénéficiant, preuve que, contrairement à ce que disent les mauvaises langues, la justice est la même pour tous, de la même clémence qu’un violeur multirécidiviste sous OQTF, soit deux ans ferme probablement aménageables. Il devra donc peut-être se balader avec un traceur GPS comme les écoliers de Strasbourg équipés d’un dispositif, mis en place sur les deniers publics, pour éviter que les garçons n’accaparent 80% de l’espace de la cour de récréation.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


dimanche 17 novembre 2024

Descente aux ENFERS (18/11/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/mKXzOo_mqKg

 
Bonjour !
Probablement soucieux de ne pas provoquer un nouvel incendie nicotiné, Macron n’a pas « mégoté » sur l’argent (… des autres) pour rebâtir Notre-Dame en s’inspirant, on l’espère, des mosquées et des synagogues qui, elles, semblent (en France en tout cas) beaucoup plus soigneusement ignifugées. Hélas pour lui, les cloches ayant retrouvé leur place dans le beffroi, sa présence surnuméraire à l’intérieur n’était plus ni souhaitée ni nécessaire et, après moult tergiversations, il a dû accepter, à contrecœur, de prononcer son discours suspicieusement enflammé depuis le parvis de l’édifice à l’occasion de la réouverture solennelle qui se déroulera début décembre. 
 
Pour ce qui est des causes du sinistre il faudra, au bout de 5 ans d’enquête feutrée et de mutisme médiatique, se contenter d’un sentiment d’accidentalité avec, possiblement, si l’on en juge par le nombre d’églises réduites en CO2 toxique en ce moment, l’ajout de la mention « brûle le catholicisme » directement sous « le tabac tue » au recto des paquets de cigarettes.

Les agriculteurs, eux aussi, s’enflamment et se préparent à une nouvelle jacquerie qui s’avérera aussi efficace qu’un stérilet dans le rectum de Stéphane Séjourné s’ils ne font pas tomber, non seulement le gouvernement, mais la république (sans quoi, il serait simplement remplacé par un autre tout aussi toxique). La fin de non-recevoir de Von der Leyen à la timide demande de rejet du Mercosur par Barnier suffit à prouver que nos dirigeants, même s’ils le voulaient, ont depuis longtemps recyclé les manettes qu’ils n’ont plus en plug Attal et que manifester à leur intention c’est comme défiler devant un pompiste pour réclamer une baisse du prix du baril de pétrole. 
 
Une demande qui fut d’autant plus timide, par ailleurs, que ledit Barnier s’est illustré lors des cérémonies du 11 novembre (jour férié, jugé - contrairement à son auguste personne - non-indispensable par Jean-François, Copé, au civil et « coupé » dans l’intime) en faisant une remontrance à un gamin pour n’avoir pas, l’impudent, secoué l’anus étoilé européen en même temps que le machin tricolore, symbole non pas de la France, mais de la république, qu’on nous fait vénérer, par intermittence, depuis deux siècles et des poussières. S’agissant de deux émanations de la même idéologie, sa remarque selon laquelle les deux, dixit : « vont ensemble » est tout à fait pertinente, même si elle a choqué beaucoup de patriotes en carton qui se sont bien gardés, en revanche, de relever, fait beaucoup plus inquiétant, que la nuée de gamins qui les agitait ferait passer, même l’équipe dite « de France » pour un poster publicitaire (aux relents nauséabonds) des années 30. Petite pensée pour nos poilus, dont, nouvelle mode, les tombes sont saccagées pour alimenter les collections de médaillons funéraires, et qui doivent, en voyant le paradis multiculturel pour lequel ils sont morts, se retourner d’allégresse dans leur tombe, générant une nouvelle source providentielle et inespérée d’électricité décarbonée, pour peu qu’on leur adjoigne un transformateur quantique voire cantique pour les plus pieux. 

Même si révolution il y avait, il n’y a personne de suffisamment radical dans le paysage politique pour prendre les mesures qui s’imposent à commencer par le RN lequel, dans sa tentative de dédiabolisation, a certes perdu la fourche et la queue, mais a gardé les cornes, cocufié par le même système auquel il fait allégeance rectale et qui menace à présent l’éleveuse de chats peroxydée (dénuée de toute doctrine politique, et qui n’a servi qu’à canaliser les mécontentements vers une voie de garage) d’inéligibilité … sauf, peut-être, si son parti s’abstient de voter la motion de censure à l’issue du 49-3 qui s’annonce pour le budget. Il est clair que le problème est moins le réquisitoire (quoi qu’on en dise d’autant plus justifié, à son encontre, que quand on monte au cocotier il vaut mieux avoir la culotte propre) que la clémence dont a bénéficié, parmi tant d’autres, François Bayrou pour des faits du même ordre, rendant l’emprise malsaine du politique sur le judiciaire aussi évidente qu’un testicule de première dame en bikini. Histoire de voir l’œil de verre à moitié plein, peut-être que la possible faillite de la PME Le Pen sera la douche froide qui réveillera le chaland et lui fera enfin comprendre que le changement ne se fera pas par les urnes.

On m’objectera Trump : c’est encore une illusion. Disons, en préambule, que l’Amérique est un bébé de 2 siècles et demi qui, tout naturellement, soutient des pays similaires absents sur les cartes du monde avant les années 20 ou 40, tels l’Ukraine et Israël et ce, contre des pays millénaires tels la Russie ou l’Iran qui lui rappellent trop ses pieds d’argile. La France n’a donc rien à en attendre. Faute d’uniformité ethnique et d’héritage culturel, les USA se sont construits autour d’un drapeau (il est vrai, fièrement agité par tous les camps) et de la promesse de la réussite : le fameux « rêve américain » dont feu Georges Carlin disait qu’on l’appelle ainsi, car il faut être endormi pour y croire. C’est peu, et si cela peut donner, un temps, l’illusion, dans un pays aux ressources immenses et qui a, qui plus est, l’habitude de piller celles de ses vassaux, que des gens de toutes races, religions et autres fractures (naturelles ou créées) vont faire fi de leurs différences au nom du droit inaliénable de se disputer, au mérite, les miettes du gâteau ; en cas de déclassement économique faisant que ledit gâteau s’assèche comme les pertes, autres que de bon sens, de Sandrine Rousseau, le mirage démocratique ne peut que s’effondrer, le naturel reprenant alors le dessus, un pays multiculturel et (ou) multiethnique étant par nature un pays multiconflictuel. 
 
Même en admettant que Trump soit sincère, hypothèse que les manœuvres de Macron et de son homologue britannique pour convaincre Biden d’autoriser les Ukrainiens à frapper les Russes en profondeur avant son entrée en fonction tendrait à conforter, les parlements américains étant constitués, républicains compris, de menteurs professionnels financés par des lobbies (à commencer par l’AIPAC) qui n’hésiteraient pas à le mettre en minorité s’il dépassait certaines bornes tacites, il doit d’ores et déjà donner des gages en distribuant des postes à des neocons bellicistes purs et durs à la Rubio, Noem et Hegseth pour pouvoir espérer saupoudrer des Kennedy et autres Tulsi Gabbard. Le système n’étant, de toute façon, tout comme chez nous, pas réformable de par sa nature même, il ne pourra pas prendre de mesures réellement radicales sans un changement de régime ce qui, vu son tour de taille, n’est pas dans sa nature et donc, le peu qu’il fera aura la même espérance de vie que son mandat, voire que lui-même qu’il soit assassiné, succombe à son grand-âge ou à ses habitudes alimentaires, la « démocratie » veillant à maintenir, à sa suite, le changement permanent qui la caractérise pour que, justement, rien ne change.

Contrairement aux USA, la France métropolitaine a derrière elle des millénaires de sédimentation (depuis les Gaulois, les Celtes et les Francs), de peuplades diverses qui avaient en commun, jusqu’à il y a peu, de ne pas présenter, sous peine de Saint-Barthélemy, de marqueurs raciaux, ethniques ou religieux indélébiles, susceptibles de pousser leurs descendants, en cas de trop grand nombre et de temps difficiles, à s’identifier à une autre communauté que la dominante, d’abord régionale, puis nationale. Le succès éventuel de l’intégration, pis-aller de l’assimilation, s’apprécie sur plusieurs générations et force est de constater que certains, notamment ceux, des deux bords, qui rejouent chez nous le conflit israélo-palestinien comme dans les tribunes, pourtant quasiment vides, de France-Israël, ne sont, selon cette définition, visiblement pas intégrés et donc pas intégrables ; pas plus que les nuées d’OQTF divers et a-variés, officiels ou en devenir, qui redoublent d’imagination pour repousser encore un peu plus, chaque semaine qui passe, les frontières de l’atrocité, telle la créature à pouces opposables qui s’est amusée, tant en France qu’aux Pays-Bas, à écraser des têtes de SDF avec des parpaings. J’avoue que faire craquer du plastique à bulles me délasse, mais là c’est pousser le bouchon un peu loin.

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dimanche 10 novembre 2024

HORREUR, la bête immonde a gagné😬 (11/11/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube :https://youtu.be/kQrcHsl29rw

Bonjour !

Si j’en juge par la mine des cons frits déconfits dès qu’on fit l’annonce des résultats des élections US, les 12 millions d’électeurs démocrates supplémentaires (par rapport à Obama ou à Clinton) qui étaient sortis des cimetières pour voter par correspondance pour un Joe Biden souffreteux et cacochyme en 2020, semblent avoir disparu aussi mystérieusement que le trou, pourtant dilaté, de la couche d’ozone, devant le raz-de-marée trumpiste doublé d’une armée d’avocats et de volontaires chargés de surveiller les centres de vote et de dépouillement, faisant que Kamala Harris, mais jaune. Au bout du compte, la proposition minimaliste d’une femme vaguement mélaninée n’aura pas suffi à convaincre les Américains qui ont bien senti le manque d’inclusivité et d’audace : il aurait fallu oser, à la place, proposer à ce poste la première femme noire trans unijambiste, body et HIV -positive, portant fièrement un hijab arc-en-ciel agrémenté d’une étoile de David en pendentif, bijou écologique fait à la main par sa grand-mère mexicaine d’origine apache mariée à un pasteur presbytérien. Là, ça aurait eu de la gueule.

En attendant que les démocrates dénichent, au sens propre et figuré, l’oiseau rare capable de représenter un peuple multiracial, multicultuel et multiculturel (ce qui à mon sens, le condamne), Trump, faute d’identité à défendre, a préféré miser sur le seul point qui le rassemble : promettre des opportunités de gagner du pognon et leur corollaire, suffisamment de sécurité pour en profiter, ce que les amateurs de version poétique appellent « le rêve américain ». Contrairement aux castors français à queue plate, lesdits Américains, même si certains sont des Mexicains, ne sont pas forcément des mecs si cons et, énervés de voir que, plutôt que de s’attaquer aux gangs d’illégaux, leurs sous sont dépensés pour tuer un écureuil apprivoisé en pénétrant à 10 fonctionnaires armés chez le maître de la diabolique créature coupable d’avoir 500 000 abonnés sur les réseaux sociaux, ont, au moins, eu assez de noisettes pour voter en fonction leur intérêt immédiat… sous réserve que Trump ne se dégonfle pas, une fois encore, comme un testicule fripé de première dame. 
 
S’il ne gracie pas, dès le premier jour, les pigeons qui sont tombés dans le piège du Capitole et qu’il a abandonnés en rase campagne, inutile de se faire d’illusion sur le reste. Ce sera un premier test. Ceci dit, des années de procès, de coups bas et un second trou de balle au niveau de l’oreille ça peut vous changer un homme, d’autant plus s’il dispose du sénat et, probablement de la chambre, avec la possibilité de nommer encore deux juges de la Cour Suprême, soit le grand chelem absolu. Plus encore, il s’est entouré d’une dream team inédite de fortes personnalités qui ont mouillé leur chemise sans compter et se sont autoattribuées les points précis sur lesquels ils entendent faire le ménage : que ce soit Musk qui, contrairement à la femme de Rocco Sifredi, n’aime pas « les normes » et envisage, comme pour X (version non porno), de virer 80% de l’administration tout en la rendant plus efficace, Robert Kennedy junior qui veut éradiquer l’obésité, la crise des opioïdes et la vaccinolâtrie en mettant big Pharma à genoux en commençant par la FDA, l’OMS et le CDC, JD Vance qui veut traquer tous les acteurs de la censure de l’élection précédente incluant FBI, CIA, Facebook, google et consorts, Tulsi Gabbard partisane de la paix par la puissance qui veut remettre de l’ordre dans l’armée à commencer par les généraux à perruque et en jupette, sans oublier Charlie Kirk qui souhaite expulser le wokisme de l’éducation et des universités pour le remplacer par le mérite, tous le soutenant sur le point principal d’une déportation massive des illégaux, ce qui rend quand même un peu jaloux quand on n’a, en France, comme perspective, que le RN, qui joue, lui, la carte diamétralement opposée de la « dédiabolisation » et de l’ectopie testiculaire. 
 
Pour autant, si c’est bon pour les Américains, ça ne l’est pas forcément pour nous et nous n’avons aucun intérêt à avoir une Amérique forte, voire une Amérique tout court, laquelle finira par faire sécession un jour ou l’autre, processus que Kamala aurait considérablement accéléré. Cependant, il faut savoir voir le verre à moitié plein et, dans l’immédiat, les idéologies woke et climatique vont reculer, c’est toujours bon à prendre. Par ailleurs, l’avenir de X semble assuré, faisant que, de Facebook à YouTube, les autres vont faire dans leurs Pampers, lâchant, bon gré, mal gré, un peu la bride aux paroles dissidentes, dans la limite, probablement, faut pas pousser non plus, d’une démocratie non participative (pour ceux qui voient de quoi je parle).

Mais Trump va continuer à ponctionner l’UE et même (si on l’écoute bien) amplifier l’aspiration d’une façon que seul un 68 + pas grand-chose entre Attal et Séjourné est en mesure d’égaler, nous obligeant à payer l’addition une fois qu’il aura intimé à Zelensky de manger son chapeau, certes rond, mais, faute de bords, pas particulièrement breton. À l’inverse, être riche ne signifiant pas avoir des liquidités et encore moins vouloir les lâcher, compte tenu des 100 millions donnés à sa campagne par la veuve Adelson, partisane, comme feu son époux, de l’éradication de la Palestine, sauf à ce que Musk lui ait donné assez pour qu’il puisse se permettre de l’envoyer bouler, j’attends de voir ce qu’il va faire dans le conflit au Moyen-Orient. 
 
Un conflit qui s’exporte aux Pays-Bas où des supporters israéliens, aspirants macchabées, du Maccabi Tel-Aviv, après s’être bruyamment manifestés durant la minute de silence pour les victimes des inondations en Espagne (pays qui a reconnu la Palestine) et avoir arraché des signes propalestiniens en ville, pour avoir, telles des cigales chères à Lafontaine, entonné des chansons pas vraiment gentilles envers les autres sémites, se trouvèrent fort dépourvus lorsque l’Aziz fut venu… avec sa bande de copains, au point que Netanyahou a dû dépêcher deux avions pour les rapatrier d’urgence. Espérons que lors du prochain match de leur équipe, cette semaine, au Stade de France (connu pour ses supporters anglais), à défaut de pouvoir, techniquement, leur secouer les pré-puces, certains ne se rabattent pas sur les puces tout court. Heureusement, pas rancunier après l’arrestation à Jérusalem (ouvrant une boîte éponyme dangereuse) de deux « pandores » avec statut diplomatique par la police israélienne dans l'Église même du Pater Noster qui est un domaine français, notre ministre de l’intérieur … du trou de balle… de football a néanmoins promis d’assurer leur sécurité. 
 
À son actif, on ne peut nier sa focalisation sur les stades dans lesquels il condamne, avec la solennité qui s’impose, tant les propos homophobes que les banderoles et autres tifos « Free Palestine » ne lui laissant, hélas, que peu de temps et d’énergie (autre que verbale) pour traquer le type d’individu qui tabasse et viole en plein jour (digitalement, technologie oblige) sur un parking de supermarché, une femme poussant son bébé dans une poussette, même si, en toute impartialité, le non-viol magnanime dudit bébé mérite d’être souligné et pourra, à juste titre, lui valoir, selon le dicton japonais : «  o tempura, o Maures », la clémence des juges et un stage de poney.

Tandis que l’on apprend que, dans notre beau pays, 66 000 entreprises ont fait faillite au cours des trois premiers trimestres, avec, notamment, une augmentation de 20% constatée au mois de septembre et qu’Auchan et Michelin font la course aux plans sociaux et aux fermetures de sites, il ne reste guère du projet initial de budget de Barnier que la hausse de TVA sur les chaudières à gaz antisémites, tout le reste ayant été remplacé par les délires taxatoires des uns et des autres pour obtenir un agglomérat, aussi affriolant qu’Élisabeth Borne en bikini lequel ne recueillera pas suffisamment de votes faisant que c’est ledit projet initial, concocté par l’UE, qui ira au Sénat avant d’être renvoyé à l’assemblée où il sera vraisemblablement imposé par 49-3, vu « l’urgence » provoquée par des semaines de cirque blablatoire pour rien. 
 
Mission accomplie, donc, pour Macron, toujours-là grâce au RN et LFI, et occupé à éclairer les foules avec une leçon de choses sur les carnivores, les herbivores et les omnivores à laquelle personne n’a rien compris alors même qu’il n’a pas évoqué le cas d’école d’un lapin s’identifiant à une endive qu’il serait discriminatoire pour un végan de ne pas consommer. Soyez rassurés d'apprendre que rien de tout cela n’est de la faute de Bruno Le Maire, qui, né avant la honte, lors de son audition par le Sénat, a accusé l’actuel gouvernement d’être responsable du déficit qu’il a laissé avant de partir.

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dimanche 3 novembre 2024

Vols de PÉNIS en Afrique : la France impliquée ? (04/11/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/pmFSYOhX9wU

Bonjour !
 
J’ignore si Sandrine Rousseau plante des aiguilles sur son homme déconstruit (et où), mais certains artefacts de magie noire sont terriblement puissants et j’ai ouï dire qu’une poupée vaudoue entièrement constituée de poils de testicules de première dame, pour peu que l’on abatte conjointement un ou deux poulets (ou CRS), lorsqu’introduite, une nuit de pleine lune, dans un anus dilaté, par Bruno Le Maire, à coups de prévisions budgétaires mystiques, serait réputée capable de faire disparaître des milliers de milliards de nos finances publiques. Je me garderai donc de me moquer des rumeurs qui courent dans la presse centre-africaine sur de mystérieuses disparitions de pénis suspectées être orchestrées par la DGSE pour alimenter des labos secrets, sous le château de Versailles, chargés d’en extraire génétiquement la virilité. 
 
Après tout, un peu comme pour les cornes de rhinocéros et, à défaut, d’épouse numéro 1 d’Éric Zemmour ou pour les sacrifices rituels d’enfants dans des réseaux pédophiles, la question n’a jamais été de savoir si la magie existe, mais si des gens y croient suffisamment pour commettre des actes répréhensibles d’autant que la plupart des religions sont d’essence surnaturelle et que j’ai déjà vu des gens intelligents se passionner pour la Kabbale. Le terrain, en ces temps de régression et de fin de civilisation, est donc plus que propice à la pensée magique délétère et si l’idée de la disparition spontanée d’organes érectiles, surtout depuis que Marlène Schiappa ferme sa grande bouche, me semble un peu tirée, sinon par les cheveux, au moins par les poils de c…, la possibilité, en revanche, d’un trafic de pénis africains pour lesquels une partie de nos élites ne cache pas son attirance, n’est pas, en soi, aussi ridicule qu’il y paraît et je n’aurais aucun mal à imaginer le couple Macronscescu en consommer, nature ou farcis, avec une sauce bolognaise. 
 
Dès lors, l’envoi au Maroc de deux A330 et d’un Falcon, ce qui n’a aucun sens en période de restriction budgétaire, pourrait au moins s’expliquer comme une couverture pour rapatrier un peu plus de « membres » que les 122, au demeurant un peu flasques, de la cour macronienne, conviés à la « sauterie ».
 
Pour rester dans les croyances superstitieuses, ledit Macron nous avait « méga-bassiné », en mars 2023 (de peur que, contrairement à son épouse, nous risquions de perdre les eaux) avec son plan éponyme pour anticiper la sécheresse prévue pour 2023 et 2024 selon un modèle climatologique infaillible multipliant la masse gazeuse flatulée par les vaches et Gérard Larcher par le carré de l’hypoténuse plutôt que le cubage de ce qu’elles pissent par « π π » ce qui, au vu de la pluviométrie record depuis ladite annonce, était au mieux une erreur d’appréciation. 
 
Il se peut aussi qu’à force de bouffer des insectes et de prendre des douches froides, nous ayons inversé le processus, auquel cas, Anne Hidalgo, en limitant la vitesse à 50km à l’heure sur le périphérique parisien a peut-être été, par son excès de zèle, la goutte d’eau qui a fait déborder… l’Espagne avec, à ce jour, 213 victimes à déplorer. N’ayant pas fait le rapprochement, les Espagnols préfèrent blâmer le roi, traité d’assassin et aspergé de boue lors de sa visite, ainsi que le gouvernement, aussi efficace que le nôtre, qui a mis à peine 10 heures à transmettre l’alerte à la population, pour ensuite envoyer des secours insuffisants, laminés par des coupes budgétaires pourtant très jolies sur des tableaux Excel. 
 
J’admets que, contrairement à l’amère (depuis les présidentielles) de Paris (que d’aucuns qualifient du contraire, surtout depuis qu’elle s’est baignée dans la Seine), je suis un vrai sceptique, notamment en matière de réchauffement climatique anthropique, davantage concerné que je suis par les choses dont l’homme est indiscutablement responsable comme le taux de mercure dans le thon, dont tout le monde se fout, probablement du fait que, fort heureusement, il n’y a pas de cannibales à l’Assemblée nationale et qu’Ersilia Soudais est sauve. Mais lorsqu’on apprend, cette semaine, qu’il atteint 13 fois le taux maximum autorisé, lui-même déjà outrageusement gonflé, à la base, pour ne pas ruiner la filière, cela donne à réfléchir, même quand on aime bien « petit navire »… tant qu’il n’emmène pas de migrants dans ses cales, migrants dont on aimerait qu’on nous dise à partir de combien de millions, ou de milliards, soyons fous, il y en aura trop. 
 
On ne pourra jamais savoir, car non contents, en interdisant les statistiques ethniques, d’avoir cassé le thermomètre une fois largement introduit (ce qui aggrave la pollution par le mercure) les idéologues qui nous dirigent vers l’abîme viennent d’étendre (ce qui est médicalement et financièrement absurde) les tests de drépanocytose à l’ensemble des bébés dès cette année, et ce, uniquement pour qu’on ne puisse plus mesurer le caractère exponentiel de l’invasion migratoire.
 
En dépit de tous leurs efforts, la situation est telle que cela finit par se voir comme un hétérosexuel au Rassemblement National, les obligeant à envoyer Retailleau avec ses paroles verbales et (à défaut de Kärcher), une poire à lavement, lorsque, faute de place sous le tapis de prière pour glisser la poussière, le vase de Soissons déborde de partout à l’occasion d’une nouvelle bataille de Poitiers, où, contrairement à 732, il n’y a plus aucun autochtone sur le champ de bataille qui voit s’affronter, désormais, à l’arme lourde (on imagine, au nom des valeurs de la république), des centaines (selon Retailleau lui-même), de Magrébins et Guadeloupéens. Ailleurs, des enfants de 5 ans prennent des balles perdues tandis que des femmes sont violées par un « patriarcat toxique » dépourvu de caractéristiques méritant de s’y attarder comme, parmi tant d’autres, cette gamine de 8 ans laissée se vider de son sang, après usage, en raison d’un vagin déchiré. « OQTF » semble désormais signifier à l’état : « Oh Que T’es Faible » … sauf avec les quelques Français qui se rebiffent sur les réseaux sociaux, dont 9 viennent d’être condamnés en relation avec le drame de Crépol, tandis que l’on apprend, par ailleurs, que le jeune Nicolas, membre du même club de rugby que feu Thomas, club qui n’avait pas forcément envisagé de jouer à XIII, a été tué à l’entrée d’une boîte de nuit, mais c’est déjà la routine. 
 
Plus fort encore, outre le fait que l’explosion du trafic de stupéfiants implique une explosion délétère et inquiétante du nombre de clients (y compris hors France Insoumise) et que l’état inclut la chose dans le calcul du PIB qu’il n’a aucun intérêt à voir baisser (même si l’augmentation du SMIC de 27€61 est un peu légère pour booster la demande), on a le culot de nous présenter cela sous l’angle du seul banditisme, comme si lesdits bandits n’avaient pas de spécificités certes amalgamantes, mais néanmoins incontestables s’agissant, par ailleurs, souvent, d’individus inadaptés à la vie dans leurs propres sociétés, lesquelles, plutôt que de composter écologiquement leurs déchets, vidangent allègrement chez nous leur Hid… fosse septique. 
 
Des individus qui, non seulement, ne veulent pas s’intégrer, mais dont beaucoup ne le pourraient pas de toute façon en raison (outre de spécificités ethniques, culturelles et religieuses qui n’aident pas vraiment) d’un QI de crevette trépanée anémique aux pinces hélas non isolantes après séjour dans un transformateur électrique directement alimenté par une pyramide égyptienne. Une mesure de l’intelligence certes contestable et contestée d’un point de vue universel, mais qui évalue néanmoins efficacement la forme cognitive spécifique nécessaire à faire société dans des pays occidentaux. Il en ressort qu’ils ne sont ni assimilables, ni intégrables, ni éducables, ni intimidables, ni expulsables, ni même emprisonnables (faute de place et en raison d’un laxisme judiciaire d’extrême gauche) de sorte que, comme pour toute invasion de parasites, en dernier recours, il ne resterait que le Baygon vert, (jaune pour ceux qui « volent »), chose impossible avec les oxymores que sont tant « l’ordre républicain » que « l’état de droit ». C’est en effet ladite république qui provoque elle-même le désordre par son idéologie absurde des « droits de l’autre » laquelle implique que tous les hommes sont égaux et donc ont le droit de venir chez nous, non invités, sans risquer d’être abattus.
 
 Ce fut pourtant la norme pendant des siècles et ça l’est encore ailleurs, comme en Israël qui lui a, apparemment, le droit (en tout cas, il prend le gauche) au nom de sa « survie », de tuer des gosses avec des frappes chirurgicales au bistouri pour le moins mal calibré, ce que certains de ses ressortissants binationaux médiatiques et associatifs (par peur d’être les suivants sur la liste en cas de résurgence d’un nationalisme qui se poserait un peu trop fort la question de savoir qui est français et qui ne l’est pas) nous interdisent de faire chez nous y compris pour des criminels. En parallèle, entre deux coups de marteau et autres règlements de comptes à la mexicaine, des « sombres héros » de la bien-pensance (bien français, eux, quelle que soit la définition) lesquels en redemandent et sont beaucoup plus nocifs que n’importe quel migrant, ont pour priorité de censurer la BD Spirou et Fantasio pour des dessins jugés trop caricaturaux.
 
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