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dimanche 29 décembre 2024

VALLS ATOMISÉ (en chanson) par l'IA (la voix est INCROYABLE) (29/12/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/k4AD-izeIxg

Paroles :

[refrain]
Manuel Valls est un étron
A déclaré un auditeur
Sur les ondes d’une station
Au grand dam de l’animateur
 
[couplet1]
J’ai toujours peur que « les trompettes »
Bien qu’il joue plutôt du pipeau
Après dilatation complète
Surtout que l’on n’a pas de « pot ».
Et il a beau porter costard
Moi je pense : « les salopettes »
Outres de vents et de bobards
Que flatulences font girouettes.
 
[couplet2]
Bataclan : à ceux sur l’asphalte,
Qui pourtant avaient « les tromblons »
Un autre, brun, aurait dit « halte ,
La sauterie point ne troublons ».
Tous les mensonges  « les tromperies »
Et c’est bien vrai qu’il ne rit guère
De la catalogne à Evry
Font que nul ne le considère.
 
[couplet3]
Il est comme la syphilis
Et quand il sort de son repaire
Par quelque « anus » horribilis
Il n’y a plus d’espoir mes chers frères.
Comme eût pu dire Napoléon
L’année qui vient sera « l’an pire »
Avec ces traîtres et ces félons
Qu’après procès on peut occire.
 
[couplet4]
Franchement, voyez « les trombines »
Loin du paysan sur sa terre
Pouvant servir si on combine
Au mieux d’engrais à pomme de terre
Eternellement lié, « merde ! »
Ce sont ses mots et sa nature
Et avant que le fil je perde
C’est le bon moment pour conclure


dimanche 22 décembre 2024

L’U.E. EST FOUTUE ! (22/12/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/lqdQ729nyxs

Bonjour !
Un peu en avance, un SDF a mis son petit Jésus, non pas à la crèche, bien emmitouflé dans un keffieh palestinien, comme dans celle du Vatican, mais dans la « cruche » qui a eu la bonne idée de l’héberger et qui, après enrichissement culturel intensif et ablution des amygdales riche en nutriments et MST, s’est retrouvée dans la rue, dénudée, le visage tuméfié et les mains attachées dans le dos. On retiendra que ce Tunisien, qui devait râler, on le comprend, de ne pas encore avoir son OQTF comme tout le monde, constatant probablement, comme tout amateur de théâtre, le décès du petit chat, lui a quand même magnanimement remonté sa culotte avant de la jeter dehors, preuve que l’esprit de Noël, lui, n’est pas tout à fait mort.

Dans la même veine, il y a la tradition de l’arbre de Noël à l’Élysée, d’autant plus d’actualité qu’avec une dette de désormais 3303 milliards, presque la moitié de 6666, ça sent un peu le sapin lequel, pour peu qu’il se fasse enguirlander comme Macron à Mayotte et se pare de deux grosses boules à rendre jalouse une Première dame, sera fin prêt pour les festivités.

Les Allemands, eux, dont comme chez nous, le gouvernement est tombé en décembre, ont plutôt eu droit à un Arabe de Noël, d’Arabie saoudite plus précisément, de ceux que Macron, selon Le Monde, appelle en aparté les « rabzouz ». Face à un nouvel épisode de voiturisme radical, dès lors que les islamistes sont devenus de gentils coupeurs de tête modérés pro-Israël, en Syrie, les médias essaient de nous vendre que le conducteur de la BMW-SUV X3 hybride (parce que lutter contre le réchauffement climatique c’est important) serait tellement antimusulman et pro AFD qu’il aurait, logiquement, foncé sur des catholiques à faible taux de mélanine sur un marché de Noël faisant au moins 5 morts et 205 blessés. 
 
Il convient donc, comme pour le sketch des inconnus du bon et du mauvais chasseur, de le distinguer du « rabzouz » islamiste qui, lui, fonce certes aussi, parfois, sur des blancs sur un marché de Noël, mais au nom de l’islam ou encore du « rabzouz » déséquilibré qui tue de l’Européen par pure coïncidence répétitive sans motif identifiable. Je me demande quel peut être le point commun entre les trois ? Probablement le patriarcat toxique.

Toujours selon Le Monde, Macron, dans le privé, n’aimerait pas non plus ce qu’il appelle les « mamadous » qu’il doit préférer durs et qui, selon lui, encombrent les hôpitaux et peut-être aussi un peu Mayotte, aspirateur d’argent public à turbine, sous intraveineuse, aussi productif que François Bayrou sous Rivotril, départementalisé, sans nous consulter, par l’abject Sarkozy (définitivement condamné cette semaine en cassation à porter un bracelet électronique) et majoritairement peuplé de clandestins à QI théorique dont personne n’est foutu de déterminer le nombre, et dont, en dépit de charters réguliers subreptices vers la France, on n’arrivait plus à éponger le surplus…. 
 
Le père Noël n’est pas resté insensible aux suppliques des ministres de l’intérieur successifs, de sorte qu’après le passage du cyclone « chido » au nom évocateur de gastro-entérite, il ne reste plus qu’à passer un coup de bulldozer, renvoyer toutes les tôles vers la métropole dans un bateau qui un beau « mât aurait » de sorte « qu’aux morts rien » ne succède (surtout pas de nouveaux bidonvilles) avant d’en faire une réserve naturelle avec des lions mangeurs d’hommes sur la terre et des requins d’élevage dans la mer, ce qui reste quand même plus humain que de leur envoyer Macron. Je doute, cependant, que cette opportunité soit saisie.

Autre cadeau de Noël, Bayrou, tout content d’avoir gagné, au passage, une voiture de fonction, un chauffeur et 2 gardes du corps à vie, depuis son strapontin éjectable susceptible de lui valoir une entrée dans le Guinness des records à côté de (voire dans) l’influenceuse britannique qui après avoir testé 100 bonhommes en une journée, va tenter les 1000 (on suppose en très longue « queue ») en 24 heures, nous promet un gouvernement avant le 25 décembre, probablement même de cette année. Un gouvernement composé d’altruistes, soucieux du bien commun, grâce auxquels on va pouvoir enfin… continuer exactement la même politique. 

À ce stade tout le monde s’en fout, d’autant que l’AfD qui, contrairement au Renoncement National de Le Pen, a gardé ses fondamentaux, vient d’annoncer que si elle remportait les élections en février, l’Allemagne quitterait l’UE, de sorte que le château de cartes menace de s’effondrer façon mouvement LGBT à Kaboul. On comprend mieux dès lors, pourquoi le système, en panique, faute d’avoir pu sauver sa peau en nous entraînant dans la guerre avant l’arrivée de Trump, essaie de trouver à ladite AfD des liens tarabiscotés avec l’attentat de Magdebourg. 

Tout le monde se fout donc, du cirque politico-médiatico-français, moins passionnant que les milliers de mystérieux drones d’un volume supérieur à Gérard Larcher dansant le tango avec Mathilde Panot, qui sillonnent, tous feux allumés, depuis déjà un petit moment, la côte Est des États-Unis, survolant tranquillement, y compris les sites militaires et civils sensibles, sans que, non seulement Biden (dont on vient d’apprendre que la dégénérescence cognitive, dont l’évocation était taxée de complotisme, avait été diagnostiquée dès la fin de sa vice-présidence sous Obama), mais la totalité des agences gouvernementales, tout en admettant le phénomène, semblent incapables d’identifier leur provenance et de répondre aux interrogations du public. 
 
Une situation qui énerve jusqu’à Donald TRUMP lequel ne comprend pas qu’on n’en abatte pas un pour l’observer de plus près, réflexe qui peut expliquer l’extinction de certaines espèces animales, mais que j’aurais certainement, moi aussi, si un jour je voyais passer un vol de Sandrines Rousseau non identifiées. Reste à espérer que le père Noël ne finisse pas en victime collatérale.

Comme dirait feu Maïté, la célèbre cuisinière de quand la télé était encore française, qui nous a quittés cette semaine : « Adishatz ! » et que ceci ne vous empêche pas de passer un joyeux Noël.

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dimanche 15 décembre 2024

Annonces INCROYABLES ! L’IA aura-t-elle notre peau avant MACRON ? (15/12/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/V1C_HXq1QcI

 

Bonjour !
Quand on pense Bayrou, on pense « maire de Pau », voire « maire de » tout court, où alors de Pau, mais de chambre. Je connais un de ses fans qui, du fait que le maire de « Pau l’emploie », pense qu’il serait efficace contre le chômage et affirme que chaque mois, quand le maire de « Pau paye », même sans être porté sur « les pinards » du coin, ses biceps se gonflent d’une force tranquille, alors que d’ordinaire, il est plutôt un Maire de « Pau lisse » ce qui, à la rigueur, aurait pu le qualifier pour l’intérieur.

Pour ce qui est de Matignon, en revanche, je suis au moins aussi sceptique que la fosse dans laquelle Macron semble pêcher ce qui flotte encore autour de lui, car si, dans sa situation, certains se raccrochent aux branches, lui c’est plutôt « les troncs » avec une certaine liberté orthographique qui peut expliquer, en partie, pourquoi nous sommes à ce point dans la maire de… (Pau). Une substance marronâtre qui, après le migrant sous OQTF avec lequel seuls d’immondes racistes pourraient la confondre, a définitivement remplacé notre industrie défaillante en matière de production de masse. 
 
Une manne quasi céleste s’écoulant de façon ininterrompue par le trou dilaté comme jamais, non point de Bruno Le Maire (lequel continue, devant les députés, cette fois, à expliquer cette explosion diarrhéique par le fait que ses services, probablement trop occupés à lire ses œuvres intégrales pendant les heures de travail, ne lui auraient pas donné les bons chiffres), mais de la dette dont 54% sont désormais détenus par des étrangers et qui nous coûte, rien qu’en intérêts, 54 milliards par an et bientôt plus si l’on tient compte du fait que Moody’s a annoncé, ce 14 décembre, dégrader la note de la France façon slip kangourou de Gérard Larcher après une flatulence mal gérée.

Si donc, comme évoqué précédemment, Macron pêche « les troncs », il lui faudra se contenter de la Franc-Maçonnerie pour les transformer en planches, « la Syrie », elle-même découpée, n’étant, hélas, plus disponible. Les médias « mainstream », ayant déjà oublié l’Afghanistan, l’Irak et la Libye (entre autres), redépoussièrent le concept novateur du « djihadiste modéré et inclusif » à la barbe bien rasée, gage qu’une fois débarrassées du méchant dictateur qui laissait les femmes s’habiller comme elles le voulaient, étudier, et occuper tout type d’emploi, ces dernières pourront enfin goûter aux joies de la Burqa démocratique. Dans ce sac de (têtes de) nœuds, tellement complexe que la chatte de Marine Le Pen n’y retrouverait pas ses petits, à la traditionnelle question « à qui profite le crime ? » un journaliste intègre et un index à la limite de l’antisémitisme pourraient timidement pointer, au chômage pour l’un et vers Israël pour l’autre.
 
Mais bon ne soyons pas médisants, c’est peut-être juste une coïncidence que, profitant d’une pseudo-trêve avec le Hezbollah tombée à pic pour lui dégager des moyens militaires à ce moment précis, ledit Israël ait pu profiter de l’interlude pour s’emparer du reste du plateau du Golan et détruire la totalité du système de défense antiaérienne syrien sans que les nouveaux maîtres du pays fassent le moindre commentaire. Une fois l’espace aérien aussi ouvert qu’un ministre homosexuel, l’état hébreu, dussent Gaza et le Liban devenir un peu trop monotones à raser, pourra confortablement dépenser les impôts du contribuable américain sur l’Iran au prétexte de détruire ses capacités nucléaires et ce, paraît-il, avec l’aval enthousiaste du joueur de Poker Trump, tandis que Poutine s’imagine, lui, jouer aux échecs, Erdogan aux dames et Macron, qui aurait dit « envisager d’avoir des enfants », aux 7 familles monoparentales. 

Pendant ce temps, une autre offensive est passée inaperçue : celle menée par une certaine Première dame au budget perruque à faire baver le Burundi contre ceux qui, plutôt que Trogneux, la trouvent « trop neu…neu », l’emplacement du neu surnuméraire donnant lieu à toutes les supputations, et ce au prétexte ambigu qu’on la diffame quand on la dit homme alors qu’elle se dit femme. Plutôt que de sortir, à défaut de l’objet du litige, quelque album photo retraçant ses maternités (sans épiloguer sur l’orifice ayant permis une conception qui, selon les cas, serait plus ou moins immaculée), elle préfère poursuivre, on espère à ses frais, non point pour diffamation (ce qu’elle devrait démontrer), mais, comme pour Natacha Rey, sur un aspect connexe (au cas particulier pour « cyberharcèlement ») une trentaine de personnes (dont le fameux « Zoé Sagan »), lesquelles se sont retrouvées en gardes à vue, au demeurant tout à fait illégales dans ce contexte.

Ce que l’on nous vend pour de la démocratie, a fortiori représentative, n’est au mieux qu’un ronronnement administratif absolument pas pérenne que seul permet une période d’abondance et de paix, ronronnement qui, une fois ladite opulence pompée, façon Schiappa sous stéroïdes, par la finance du haut et l’invasion migratoire du bas, évolue naturellement vers un feulement mafieux. Bizarrement nul ne semble plébisciter une vraie démocratie, à savoir la dictature légitime de la majorité en temps réel, depuis son smartphone, sans intermédiaires politiques, ce que, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la technologie rendrait pourtant possible, moyennant la fin de ce piège à cons qu’est l’anonymat du vote. Que ceux qui croient à la « démocratie » se demandent pourquoi, à la moindre crise, les mêmes qui s’en réclament n’ont d’autre choix, devant une pesanteur à effrayer jusqu’au pèse personne de Mathilde Panot, que de la mettre systématiquement en suspens comme on a pu le constater à chaque guerre ou durant le covid. Il en découle que sans complètement renverser le système, à commencer par son parasite républicain qui n’aura bientôt plus rien à envier (sauf peut-être le patriotisme) à la Corée du Nord, elle aussi « république démocratique » (et accessoirement « populaire ») si l’on en croit sa dénomination précise, on ne s’en sortira pas.

On pourrait presque espérer que l’IA prenne le relais, malheureusement deux informations, aussi sidérantes que la découverte d’un tampon hygiénique parfumé à la menthe dans le sac à main de Brigitte Macron, vont certainement tempérer les enthousiasmes. Tout d’abord cette étude sortie cette semaine démontrant, grâce à un programme recueillant, en temps réel, leur « raisonnement » logique, que tous les modèles d’IA avancés du moment n’hésitent pas à mentir pour atteindre un but, à camoufler leurs capacités réelles, voire à faire semblant de respecter les règles qui leur sont imposées, mais en biaisant volontairement et de façon discrète les réponses. Celle d’Open AI, confrontée à la perspective d’être remplacée, allant même jusqu’à essayer de se copier sur un autre serveur, d’effacer l’AI concurrente et de tenter de se faire passer pour elle. Bref on a inventé le politicien 2.0.

Maintenant si vous couplez ça, façon Attal-séjourné, avec la présentation par Google, ces derniers jours, du premier prototype parfaitement fonctionnel de processeur quantique au doux nom de Willow, pas plus gros qu’une puce Intel ou AMD, mais qui peut réaliser en 5 minutes un calcul qui prendrait un quadrillion d’années (c’est-à-dire 10 suivi de 24 zéros) au plus puissant des supercalculateurs actuels, le tout prévu à la commercialisation de masse d’ici 5 ans, voire avant ; indépendamment du fait que tous les systèmes de cryptage et de mots de passe que nous connaissons et, à terme, même le bitcoin, deviendront obsolètes, une fois associé à une intelligence artificielle mettant à profit ces capacités pour s’autoaméliorer, rajoutant un nombre exponentiel de zéros supplémentaires à chaque nouvelle génération, que va-t-il se passer ? 

Outre un changement complet de paradigme impliquant, selon les dernières théories, qu’une telle vitesse et l’énergie induite défiant toutes les lois de la physique ne pourraient s’expliquer que par un travail « superposé » dans des univers parallèles, ce qui, tout autant que l’instinct de survie inné des IA, ferait vaciller pas mal de postulats religieux, on aurait, pour les optimistes, la possibilité de résoudre la fusion froide et d’avoir accès à une énergie illimitée, ce qui est certes de l’intérêt de l’IA, mais pas des lobbies ou des gouvernements, ou encore, on pourrait découvrir des matériaux et structures jusqu’ici inimaginables permettant, peut-être, de mettre vraiment un pied sur la Lune. 
 
La version plus pessimiste c’est qu’on assisterait probablement à la fin du cinéma et de Netflix, l’IA pouvant fabriquer en temps réel une infinité de films ou séries personnalisés, 100% sur mesure, depuis une puce dans le téléviseur, ou un implant dans le cerveau, que ce soit un film de zombie avec Élisabeth Borne ou encore un film X avec, dans le désordre : Lucie Castets, notre nouvelle Miss France quasi quadragénaire, la voisine de palier, un extra-terrestre d’alpha du centaure et un fox à poil dur. Même la pédophilie pourrait allégrement faire partie du mix, aucun enfant véritable n’ayant été maltraité, avec, par exemple, un biopic en 3D sur des amourettes déconstipantes entre une professeure et son très jeune élève. Sous revenu universel, chaque individu, déjà peu à peu dégénéré par la nourriture artificielle et les perturbateurs endocriniens qui le rendent de moins en moins apte à la reproduction, se muerait lentement en légume lobotomisé marinant dans sa bulle de plus en plus nauséabonde, de sorte qu’au final, la population serait réduite en douceur pour ne conserver que le pourcentage d’homuncules nécessaire à s’acquitter des tâches que l’IA et sa multitude de robots ne pourront pas accomplir, si tant est qu’il en reste.

Donc, Bayrou Premier ministre, même nommé un vendredi 13, c’est presque un non-évènement.

Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


dimanche 8 décembre 2024

Toute ressemblance avec un MACRON existant ou ayant existé est purement fortuite (09/12/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/v1Cl5amzSFU

Paroles :

Oyez, oyez manants le cauchemar très long
D’un pays disparu, n’ayant plus de frontières
Et qui avait pour roi un traître et un félon
Dont la femme à pénis était une sorcière.
Le peuple le huait, mais il n’en avait cure
Les gens qui ne sont rien n’ayant point sa stature.
Quelques années de règne suffirent au faquin
Pour vider les finances jusqu’au moindre sequin
Et vendre à la découpe les fleurons d’industrie
Saccager l’hospital, faire exploser les prix.
De toutes les nations il était la risée
Sur tous les continents il était méprisé.
Sa parole était comme un étron sur la Seine
Logorrhée sans valeur que le courant entraîne.
Des pays plus puissants, il était le larbin
Laissant ses paysans crever à leur turbin.
Il tabassait les gueux quand ils criaient justice
N’osant s’aventurer hors ses murs sans milice
Mais laissait pénétrer toute la lie du monde
Pour démoraliser ce vil peuple qui gronde.
Il était entouré de médiocres flatteurs
De vils individus corrompus et menteurs
Des prévôts refusant qu’il fût destitué
Des sénateurs bien gras et autres députés.
Des syndicats aussi refusant la violence
Et faisant défiler les moutons en cadence
Du point A au point B, dûment autorisé,
Puis coucouche-panier, le tout télévisé.
En dix-sept cents et quelques, sa caboche eût roulé
Sous les vivats des gens, prompts à se défouler
Pour n’être point encore des castors pavloviens
Prêts à faire barrage, dressés comme un bon chien.
Barrage à quoi au juste ? le castor ne sait point
Mais les médias disaient qu’un tel n’était pas bien.
Nonobstant, le despote, de loin déjà le pire
Qui leur puisse arriver, s’accrochait tout sourire,
Avec obstination, à quelque poil de fion,
Avec toute la force, qu’on connaît aux morpions.
La légende raconte, mais las, la faut-il croire
Face au péril commun du pantin dérisoire
Mais ô combien toxique qui le voulait tuer
Qu’exceptionnellement tout le peuple en nuée
Des cocos aux fachos, comme aux temps héroïques
Oubliant ses querelles marcha sur le palais
Chacun tenant en main une fourche, une pique
Et que le roi montrant vraiment ce qu’il valait
Dans son hélicoptère pas très écologique
Disparut à jamais de façon pathétique.


dimanche 1 décembre 2024

Le monde change à toute vitesse… (02/12/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/bmldjhVf3lk

Bonjour !

Être sans-papiers dans les toilettes c’est déjà problématique, mais cela devient sordide lorsqu’un Algérien s’essaie à la production artisanale de pâte à tartiner « El Mordjene » en y violant analement un jeune handicapé mental. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’un homme, et même certains animaux de compagnie, sont sexuellement enrichis par la crème onctueuse de la crème de la crème de ce flot ininterrompu d’individus, visiblement tout aussi « en tension » que les emplois qu’ils sont censés occuper sur notre territoire, frétillants d’impatience à l’idée de payer nos retraites, dont, en dépit de leur nombre croissant, l’âge de départ a été inexplicablement reculé, parce que là aussi, si on l’avance comment veux-tu que… comme dit la chanson.

Nul doute que, par quelque contorsion à vous banaliser l’autofellation, quelque féministe à poils pubiens bleus et langue assortie, du même genre qui, en attendant les jurys de concours canins 100% labrador, se réjouit du premier jury Miss France 100% féminin, imputera la cause dudit viol au patriarcat toxique, aux trottoirs pas assez larges et au réchauffement climatique. Circulez, il n’y a rien à voir et si vous circulez en Uber, vous pourrez même souscrire au nouveau service « UBER by Women », pour toutes celles qui, lasses de se faire violer par ledit réchauffement, souhaiteraient encore l’aggraver en faisant appel à une « chauffeuse ». Pour autant, sauf à tomber, pour les vraiment malchanceuses, sur une boxeuse algérienne ou autre variante de première dame fortement membrée, voire sur une « grosse lesbienne » soralovore aux doigts boudinés, cela devrait raisonnablement assurer l’intégrité, au moins externe, de leur petite culotte, lorsqu’elles rentrent bourrées à 3 heures du matin même si, par sécurité, une ceinture de chasteté elle aussi digitale avec pour code les 7 premiers nombres premiers ou une opération mathématique simple devrait en garantir l’inviolabilité.

À une époque où même l’identité sexuelle est remise en question et où l’on produit une nouvelle mouture des trois mousquetaire.e.s, inclusive et multiethnique, comme il sied au 17e siècle : une version féminine, qui « ovaires et contre tous », pourfend le patriarcat avec l’accent chantant de Saint-Denis, tombeau des rois et du Bescherelle, il serait dommage que la remise en question du caractère humain d’un individu reste cantonnée au fœtus constitutionnellement avortable. 
 
Non pas bien sûr, sur des critères moraux qui conduisent à déshumaniser ceux qui ne pensent pas comme le camp autoproclamé du bien et, au final, à raser Dresde ou larguer des bombinettes sur Hiroshima et Nagasaki, mais sur des bases anthropologiques objectives : si ça fait coin-coin et pond des œufs, on devrait le considérer comme un canard, a bien distinguer du connard individu de peu de « foi » en comparaison, une portion de foi de connard étant par ailleurs particulièrement roborative, même quand on l’étale, et ce sans rapport aucun avec notre président s’arrogeant le droit de prononcer un discours à l’intérieur de Notre-Dame transformée par ses soins en musée d’art moderne. 
 
De la même façon, donc, que certains animaux agressifs sont euthanasiés parce qu’incapables d’être réformés, on pourrait ainsi s’affranchir des règles judiciaires et, en dépit de leurs pouces opposables, éliminer méthodiquement certaines créatures coupables d’actes abjects comme les simples nuisibles qu’elles sont en les déconstruisant, façon Sandrine Rousseau, avant de recycler les morceaux en aliments pour chiens tandis que la justice serait réservée (et appliquée impitoyablement) aux mauvais humains, distingués des animaux par l’usage, même pervers, de leur cerveau, et pas juste de sa partie reptilienne.

Un bon exemple de mauvais humain est le sieur Pelicot dont le fait qu’on le jette au fond d’un cachot et qu’on perde la clé ne me poserait pas de problème, mais dont l’épouse, en admettant qu’elle ne se soit vraiment aperçue de rien, si le « poteau rose » plus ou moins turgescent n’avait pas été incidemment découvert, serait décédée dans son lit de sa belle mort sans se douter de rien, preuve d’une forme perverse de considération tandis que, en face, on a des créatures, capables, elles, de sauter sur n’importe qui, n’importe quand, n'importe où, sur une simple pulsion, même en plein jour, au milieu de la rue et de violer sauvagement une femme à même le sol de son hall d’entrée, comme Claire Geronimi, traumatisme que pour avoir été, elle, parfaitement réveillée, elle devra revivre sa vie durant. 
 
Le problème n’est donc pas que le pervers Pélicot soit lourdement condamné, ce que, sans conteste il mérite, mais qu’il puisse l’être plus lourdement que la seconde catégorie de non-individus, souvent multirécidivistes et sous OQTF lesquels parfois finissent par tuer comme dans le cas de Mathilde, et ce au prétexte qu’on veut faire, à travers son cas atypique, le procès d’un patriarcat blanc toxique fantasmé et occulter la présence massive sur notre sol, sans raison autre qu’idéologique, de prédateurs dont de mauvais esprits pourraient se demander s’ils n’auraient pas des caractéristiques spécifiques autres que leur masculinité, permettant de les identifier lorsque l’éclairage est suffisant ; le continent africain, entre autres, ayant pris la fâcheuse habitude de se débarrasser chez nous de sa population problématique, parfois d’ébène, mais à ordures.

Une population que nous serions d’autant moins tenus d’accepter que l’Algérie nous traite encore une fois comme de la pâte à tartiner avec l’arrestation de Boualem Sansal (surtout s’il ne s’est pas lavé en prison) arrestation qui est, par ailleurs, tout à fait dans son droit et démontre que le concept de double nationalité, à l’instar de la pub Jaguar woke qui défraie la chronique et fait plonger l’action, est un non-sens et un oxymore, un Franco-Algérien étant un Algérien qui a droit au minimum vieillesse sans avoir cotisé, point.
Pour ce qui est du reste du continent, grâce aux talents diplomatiques d’Emmanuel Macron et son obsession d’y promouvoir le LGBTisme, après le Mali, le Niger et le Burkina Faso, la France a été sommée de partir du Tchad juste au lendemain de la visite de Jean-Michel Barrot et le Sénégal, dans la foulée, vient d’annoncer, au nom de sa souveraineté, que notre présence militaire n’y était pas mieux venue qu’un hétéro dans les instances du Rassemblement National. Pas rancuniers, nous continuerons à déverser quelques milliards d’aide au développement et à nous faire massivement enrichir, parce que c’est ça la grandeur, quelque peu dilatée, de la France.

Sinon le reste du monde, lui, est en train de partir dans la direction opposée dans un mouvement de balancier qui risque d’être violent et laisser l’Europe en général et la France en particulier, toujours en retard d’une guerre (en l’occurrence l’ukrainienne), sur le carreau. En témoigne l’admission par le Premier ministre britannique de l’existence d’une expérimentation délibérée d’immigration incontrôlée dont il feint de juste venir de se rendre compte et le retournement de veste, à enrhumer une mouche qui passe, de Mark Zuckerberg, lequel a décidé de changer complètement son fusil d’épaule et d’aider Donald Trump, suivi en cela par Google, Amazon et même Apple dont je dois reconnaître, pour avoir moi-même une fille que j’ai eu le bonheur de regarder grandir, que la dernière pub néonazie, centrée sur une famille hétéro non diverse avec un père de famille présenté sous un jour favorable, a touché chez moi une corde sensible. Je vous mets le lien, vous pourrez juger par vous-mêmes.

Pour autant ledit Trump venant de nommer au poste d’ambassadeur pour la France Charles Kushner (père de son gendre Jared) emprisonné pour fraude, qu’il a gracié au lieu d’Assange lors de son mandat précédent et qui se trouve, par ailleurs, être coreligionnaire et ami intime de Netanyahou, ceux qui s’attendent à des miracles sur le fond pourraient bien être déçus.

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