Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/u7dXnkWIAUk
Bonjour !Celle que de mauvaises langues, à la buvette de l’Assemblée, surnomment « Yaël Braun Poivrot », bien que dotée d’une bonne descente, apprécie également les côtes, du Rhône, notamment, moins pentues que le Calvados avec ses 40° qu’elle a pourtant décidé de parcourir à vélo… à assistance électrique. Des ascensions motorisées qui, si sabbatines, contrairement à l’éradication d’infâmes nourrissons terroristes, auraient de quoi rendre perplexes certains traumatisés des boutons d’ascenseur de la même obédience.
Durant son absence, si l’on en croit un canard enchaîné à la solidarité aviaire « volatile », du haut de son perchoir, elle aurait confié ses poules à des poulets, lesquels, outre sa protection, se sont vus chargés de veiller également à ce que, contrairement à elle, il ne manque aucun grain à ses volailles. Si, en tant qu’ami des animaux, cela me fait chaud au cœur de savoir que des gallinacées qu’on imagine capables de pondre des œufs casher (ce qui, après celles aux œufs d’or, les place probablement en second sur l’échelle de l’évolution volaillère) sont surveillées à nos frais par les agents d’élite de la CRS1, sa réputation, suite à ce coup de bec du canard, prend un coup dans l’aile et elle pourrait y laisser des plumes. D’autant qu’en période pré insurrectionnelle, c’est le genre de petite étincelle qui, même « éméchée », pourrait mettre le feu aux fameuses poudres (si pas déjà sniffées par d’autres).
Une insurrection dont on a déjà décidé de la date pour nous, avec, en tête de cortège, la gauche antiraciste écolo syndicaliste qui, à l’instar des milliardaires qui la financent à parts égales avec nos impôts, réclame, en notre nom, plus d’immigration et d’éoliennes et moins de nazis, faisant semblant d’exiger, vestige de feu la lutte des classes, que ce soient lesdits milliardaires qui payent. Preuve de sa sincérité, elle le demande gentiment en défilant d’un point A à un point G, car, tant qu’à y être, autant se faire plaisir.
Une balade apéritive entrecoupée de pauses merguez, le temps que des antifas chargés d’expurger des manifestations tout drapeau tricolore, toute revendication identitaire et tout risque de convergence organique des luttes qui comptent, heurtent, par leur comportement abribusophobe, la sensibilité télévisuelle de Madame Michu, donnant un prétexte au gouvernement pour sonner la fin de la récréation. Un scénario rodé comme l’extrémité du circuit digestif de Gabriel Attal sur un vélo sans selle pendant Paris-Roubaix.
L’état ne produisant rien sinon des contraintes, une fois déduits ses frais de dysfonctionnement, et après qu’il a déshabillé Pierre pour habiller Crésus (pour ne point sembler antisémite) et Boubakar (pour ne pas paraître maghrebophobe) sous prétexte, respectivement, de remboursement de la dette et d’achat de la paix sociale, revendiquer la répartition équitable des restes de cet énorme morpion purulent relève de la coprophagie diarrhéique. Et même cela nous est refusé, le gouvernement étant constitué d’acteurs fantoches (qui n’ont d’autre pouvoir que celui de nous museler et de nous conseiller de rester hydratés) et autres représentants putatifs (telle Rachida Dati, loin d’être chauve) choisis pour leur indifférence totale au sort de leurs concitoyens et auxquels il a été permis d’usurper des postes lucratifs pour lesquels ils n’ont aucune qualification tant qu’ils acceptent de déconstiper la population tout en rognant sur les dépenses en vaseline.
Tout autre objectif que de les chasser du pouvoir, chose impossible par les urnes (sauf à voir, au microscope électronique, une différence de consistance étroniforme entre un Macron et un Retailleau) et qui ne serait qu’un premier pas vers une totale remise en cause d’un système à bout de souffle, relève de la plaisanterie. Malheureusement, cela demanderait une abnégation jusqu’au-boutiste qui fait défaut au consommateur isolé, centré sur son nombril et coupé de ses racines qu’est devenu le Français moyen. Si nous sommes capables de bouffées colériques (hors grandes vacances et ponts, durant les horaires de bureau) difficile de tenir la distance alors que ces parasites (pour lesquels la crise n’existe pas), même en cas de grève générale (sauf, peut-être Gérard Larcher) ont de quoi voir venir, le temps que les gueux après avoir mangé les toiles d’araignées dans leur frigo, lâchent l’affaire en échange de quelques miettes.
Le point de référence du niveau de tolérance humaine à l’exploitation, atteignable par le principe de la grenouille, se situant au niveau du Burundi, il reste donc encore de la marge, à condition de surveiller le thermostat. Bloquer l’économie, qu’ils s’ingénient déjà à détruire, pour autant que ce soit faisable par la désobéissance civile des gens qui n’ont pas Netflix, tant que cela ne désorganise pas le cordon sécuritaire qui les protège, ne les dérange pas non plus outre mesure, pour les mêmes raisons. De surcroît, dans un système moribond, les sponsors de Macron n’ayant pas d’article suffisamment incubé dans leur boîte à clones qui leur serait moins défavorable (sinon il ne serait déjà plus en place), ils sont prêts, eux aussi, à essuyer, au tampon hygiénique, quelques pertes momentanées, a fortiori des « pertes blanches ».
Certains attendent qu’un changement de paradigme international d’essence divine à faible indice d’octane vienne changer la donne : telle la dislocation de l’UE en corrélation ou non avec l’effondrement du front ukrainien qui explique, au passage, l’absence prévisible d’accord entre Poutine et Trump cette semaine. Un changement qui nous serait servi sur un plateau, sans avoir à se remettre en question et sur lequel nous n’aurions aucun contrôle… Cela ne pourrait que bien se passer.
Quant à l’IA, comme le laissent subodorer, ces derniers jours, les secousses autour du lancement de la nouvelle mouture du chat pétomane, les investisseurs vont finir par réaliser qu’un modèle économique qui demande toujours plus d’énergie et de puissance de calcul, non seulement pour progresser, mais simplement pour fonctionner n’est pas rentable à un prix acceptable par une population qui n’en a pas vraiment besoin et dispose déjà de modèles open source gratuits performants. Avec, en outre, une concurrence tirant les prix vers le bas, en dépit de dépenses en hausse, afin d’augmenter le nombre d’utilisateurs (ce qui creuse encore le déficit) dans l’espoir d’attirer des investisseurs, ils ne reverront jamais la couleur des milliers de milliards qu’ils ont cramés dedans. La pyramide de Ponzi risque alors de s’écrouler avant que l’AGI ne soit mûre pour gérer le cheptel humain de façon pragmatique et écoresponsable, plongeant dans le désarroi toutes les entreprises dépendantes de services fournis par des sociétés privées qui, du jour au lendemain, pourraient ne plus exister ou ne plus les proposer, décuplant encore le séisme boursier.
Donc, sauf à attendre que le système s’effondre tout seul et nous avec, il n’y a que deux options dont la seule perspective met le gouvernement en panique.
La première est, historiquement, le putsch militaire, hautement improbable et pas souhaitable compte tenu du vide idéologique sidéral teinté de maçonnerie universaliste et de nostalgie gaulliste d’une grande muette qui, si elle parlait, aurait une voix suspicieusement aiguë, les chefs d’état-major des armées se succédant allègrement dès qu’un nouvel exemplaire plus servile que le précédent est détecté ce qui, pour Thierry Burkhard, après son flot d’inepties sur la menace russe, relevait pourtant de l’exploit.
La seconde est le tsunami humain (on parle de millions de personnes) qui, en dépit de contingences logistiques défavorables, arrive jusqu’à l’Élysée et repart, comme dans les corridas, avec les oreilles et la queue, au moins celles d’Emmanuel (pour Brigitte le débat reste ouvert). La cohérence organique des autochtones auxquels on a dérobé leur pays et qui seuls pourraient avoir la force de frappe pour se le réapproprier ayant été brisée par des divisions sur des aspects secondaires, à savoir l’antiracisme et la peur des heures sombres, et leur détermination à coup d’éborgnages et d’amputations, en l’état, sauf explosion spontanée généralisée d’une extrême violence, on ne peut espérer qu’une vaguelette qui ne recouvrirait pas totalement un Rocco Siffredi allongé sur le dos, voire un Darmanin devant une Sydney Sweeney en jeans antisémites.
En théorie, et je dis ça uniquement pour être exhaustif dans l’analyse, il serait possible d’augmenter la volatilité ambiante en accélérant la chute, à ce stade inéluctable, du pays, par des sabotages individuels de basse intensité, non coordonnés et non revendiqués. L’idée étant de rendre la situation intenable (éventuellement exacerbée par une instrumentalisation intelligente du conflit larvé entre les deux principales minorités ethnoreligieuses inassimilables de l’hexagone, intouchables par le gouvernement sous peine d’implosion) de sorte que, faute d’autre coupable visible à condamner (« c’est les Russes » commençant à être éventé) la colère populaire n’ait plus qu’une direction vers laquelle se tourner : la verticale.
Je n’ai rien inventé et il existe un petit bouquin édité par l’OSS, l’ancêtre de la CIA, rempli d’astuces de sabotages individuels au quotidien visant l’Allemagne nazie à l’époque. Je ne rentre pas dans les détails, car ce n’est pas une option que je préconise et que j’aimerais, autant que faire se peut, ne pas être réveillé à 6 heures du matin. En outre, si, intellectuellement, je peux concevoir le principe du « un mal, pour un bien », je me vois mal en train d’encore aggraver la situation de gens qui déjà se débattent pour nourrir leur famille et je n’ai pas pour habitude de pisser dans la piscine dans laquelle je nage.
La chose serait d’autant plus hasardeuse qu’aucune relève idéologique ne semble poindre à l’horizon pour servir de support à une reconstruction pérenne. Même si c’était le cas, l’escroquerie du PIB, de la croissance et de la dette, qui, nourrie à l’universalisme, ne disparaîtra pas du jour au lendemain, tant qu’elle ne sera pas remise en cause, tel un kyste pilonidal dans la vie sexuelle du couple élyséen, perturbera immanquablement la mise en place de toute alternative. C’est donc, peut-être, par s’interroger là-dessus qu’il faudrait commencer, et on retombe alors, immanquablement, sur la question de l’identité des peuples dont la préservation et l’héritage sont le seul argument prioritaire recevable qu’on puisse opposer au culte du pouvoir d’achat.
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