Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/oczq1K6PUTw
Bonjour !Quand on tape avec un marteau sur une boomeuse (qui l’était tout autant pour accueillir régulièrement chez elle des migrants vendeurs de cigarettes de contrebande) on arrive au bout de la connerie humaine et inévitablement, le « bout meurt » du fait qu’à l’inverse, le heurt ne fait pas boom, même sur un crâne pourtant ostensiblement creux, mais plutôt « crack » comme l’a sans doute découvert un migrant Marocain (qui en fumait peut-être) lorsqu’il a tenté l’expérience sonore, apportant sa modeste contribution à l’éradication de cette plaie semi-incontinente qui, selon le juvénile François Bayrou, est la cause de tous nos maux, à savoir le boomer. Si, au cas particulier, mon compassionomètre pour cette victime (tardive à 71 ans) de la sélection naturelle, même en changeant les piles, reste obstinément sur zéro, blâmer lesdits « boomers », concept particulièrement ambigu (supposé regrouper ceux, issus du baby-boom, qui ont bénéficié des 30 glorieuses) plutôt que les gouvernements successifs que, certes, ils ont élus, me semble, au cas particulier, « auricularotracté » plutôt que tiré par les cheveux, compte tenu de la surface utile de notre futur ex-Premier ministre.
Cela sous-entend, surtout avec ce type d’oreilles, que la démocratie « représentative » fonctionne et que ce seraient les seuls boomers, dont la proportion qui a profité et profite encore du système reste à déterminer, qui bien que disposant d’une offre politique proposant des choix meilleurs et étant loyalement informés, auraient sciemment, les salauds, fait les mauvais choix à long terme et qui encore aujourd’hui, en votant avec l’espoir que ça tienne jusqu’à la tombe, paralyseraient toute évolution démocratique.
Juste avant les boomers, il s’est quand même passé deux ou trois trucs, donc, si on veut vraiment remonter aux causes, il me semble que c’est Soral qui, un jour, a posé la question : « Si Hitler, qui combattait une certaine communauté, a perdu la guerre, qui au juste l’a gagnée ? ». Honnêtement, je ne vois pas, mais comme certains sites de mauvais aloi donnent quelques indices, évoquant de mystérieuses créatures ornées d’une coiffe bizarre qui se caractérisent par leur goût pour la couleur bleue, leur petite queue raccourcie qui frétille et leur tendance à écouter ce qu’un vénérable vieillard à barbe leur dit après avoir consulté un vieux grimoire, étant, moi-même, un amateur de bandes dessinées, je vais dire, au hasard : les Schtroumpfs.
En dehors de leur village où c’est la règle, les Schtroumpfs, par essence inassimilables et qui seront toujours des Schtroumpfs dans 2000 ans, sont farouchement opposés à toute forme de nationalisme sérieux… chez les autres. Un nationalisme dont le principe de base serait, à minima, d’exclure tout risque de double allégeance et de définir sa singularité en tant que peuple. Dans cet environnement, un Schtroumpf est un peu comme un morpion fluorescent sur les testicules gargaméliens d’une Première dame et ça ne finit généralement pas très bien pour lui.
Le général de Gaulle étant revenu de Londres en se grattant suffisamment le scrotum pour ne pas nécessiter de loupiote lors d’expéditions nocturnes aux toilettes, il va sans dire que (même si, tout système visant à sa propre préservation, nul n’a jamais attendu après quiconque pour éliminer la concurrence) toute option nationaliste sérieuse et, au-delà, toute offre politique non républicaine, a été bannie. Seule une candidature royaliste qui plus est non absolutiste, universaliste et antiraciste avec un discours pouvant faire tomber Asselineau pour plagiat (je vous mets le lien en description) a été tolérée sous la 5e république en 74 et 81 et ne serait même plus possible aujourd’hui avec les parrainages.
Dès lors, quoi qu’aient voté les boomers, sur la base de promesses jamais tenues de toute façon, ils avaient, au mieux, tout comme nous, le choix du parfum du lubrifiant « aqueux » dilatant, que ce soit avec la gauche mitterrandienne, parfum « SOS racisme » ou avec Giscard et autres Chirac, parfum « regroupement familial ».
Ce choix cornélien entre le pareil et le même a toujours été cornaqué par une presse aux ordres, les médias actuels qui (comme on a pu le voir avec la fabrication anale d’huile d’olive première pression à froid quand Le Pen père a atteint le second tour) déjà, en 2002, fonctionnaient parfaitement à l’unisson, n’étant que le prolongement des différentes variantes de feu le ministère de l’information. Faute d’Internet (lequel, de par son avalanche de clous remplaçant l’autre, nous a transformés en poissons rouges) lesdits boomers, de surcroît conditionnés, dès l’enfance, par Fernand Nathan à avoir une confiance aveugle dans un système qui semblait fonctionner, d’où, encore aujourd’hui, un vote pavlovien majoritaire pour ce dernier qui, c’est vrai, bloquerait toute possibilité d’évolution démocratique si la chose était réellement une option, n’étaient informés de rien d’important. Un conditionnement à l’universalisme qui fait que, face à l’immigration de masse, certains sont, comme des dodos, à attendre de devenir éternels, à coup de marteau, avec le sourire, un panneau « welcome » dans les mains, tandis que leurs hémorroïdes, plus réalistes, prient fiévreusement pour que le manche soit dépourvu d’échardes.
Il n’empêche que, quand on voit un Cohn-Bendit avec plus de retraites qu’un chien LGBT a de puces genderfluides qui, à 80 balais, vient d’obtenir un rond de serviette rémunéré à BFM, on peut comprendre un certain ressentiment. Il est même certain que, parmi ceux qui abusent, d’aucuns, parfaitement conscients de la situation, en jouissent au sens érotique et pervers du terme. Des enfoirés qui s’abritent derrière un bloc générationnel artificiel pour sortir l’argument, au demeurant exact, que beaucoup de retraités se débattent avec moins de 1000€ par mois et que donc eux, par capillarité, avec leurs retraites mirobolantes, gagnées à la sueur de notre front après des décennies de parasitisme délétère, ne seraient pas des privilégiés, un peu comme certains se cachent derrière l’antisémitisme pour justifier leurs exactions.
Mais, outre le fait que les vrais riches ne sont jamais à la retraite et se débrouillent d’une autre façon, qu’entre les 30 milliards du fond Jospin, les fonds de réserve des mutuelles et les 24 milliards de la CADES on disposait, avant pillage gouvernemental, de plus de 175 milliards pour tenir jusqu’à ce que la vague boomer passe, que lesdites retraites pèsent moins que les 212 milliards versés sans contrepartie aux grandes entreprises ou les 107 milliards dilapidés en agences gouvernementales inutiles, si on veut vraiment se disputer sur la répartition des miettes, il faudrait être particulièrement naïf pour ne pas comprendre que, sauf peut-être, en Australie, le pognon que le « boomer rend » ne revient pas et que ce qu’ils ne toucheraient plus serait quand même capté par un système parasitaire dans la bourse de Nicolas, mais irait simplement ailleurs.
Le système cherche juste une excuse pour, désormais, s’attaquer aux retraités, en commençant par les plus modestes, car sinon, comme l’état obèse et la finance sont hors-jeu, ne resterait que l’immigration. Le choix est donc vite fait pour qui connaît l’ordre des priorités étatiques et réalise que, tandis que l’on pille impunément les églises, on a fait venir la police scientifique pour l’arbre en mémoire de Ian Halimi scié et que c’est un segment d’ADN qui a permis d’identifier les coupables, deux jumeaux tunisiens, jugées, eux, en comparution immédiate, un peu comme cette squatteuse qui avait eu la mauvaise idée de s’installer chez un magistrat, expulsée et jugée en un temps record. Bref, les boomers, relégués en milieu de classement, a fortiori si quintuples vaccinés et avec en perspective la loi « fin de vie » (même si retardée en cas de bouleversement ministériel), sont juste une diversion provisoire.
On ne peut pas, par ailleurs, leur reprocher un égoïsme, parfois réel, si c’est simplement pour le remplacer par un autre. « Donne-moi, parce que c’est mon tour ! » ne marche que par la force. Sinon, en l’absence de préceptes moraux ou religieux supérieurs, on ne peut être légitime à réclamer que si c’est pour un intérêt supérieur réel, comme la continuité d’un peuple clairement défini qui donne un sens à la transmission. Comme cette identité a été détruite, il n’y a plus de solidarité, a fortiori avec un substrat d’enrichisseurs culturels, ni même d’intérêt pour le pays de sorte qu’en dépit des velléités guerrières de Macron, si demain le Lichtenstein décidait de nous envahir, il arriverait jusqu’à Paris sans rencontrer la moindre résistance.
Par ailleurs, les mêmes qui protestent, souvent éduqués dans le mythe de l’enfant roi, vivent dans l’illusion que quelque chose leur est dû, alors qu’il n’est qu’à voir comment les enfants sont traités, exploités et vendus, souvent par leurs propres parents, dans certaines parties du monde pour relativiser l’amour parental au-delà du lien purement animal qui, même dans la nature, disparaît une fois le jeune autonome et libère ses géniteurs de toute obligation contractuelle. Une nature qui n’a prévu ni le concept d’adolescent, ni celui d’adulescent, de joueur compulsif agoraphobe et encore moins celui de programmeur quadragénaire au chômage à cause de l’Intelligence Artificielle auxquels les boomers sont la première génération à avoir été confrontée, chose qui peut les condamner à la parentalité à perpète et à baigner dans un sentiment d’échec, jusqu’au moment où ils seront inévitablement placés en EHPAD.
En l’absence d’une perspective pérenne de transmission de quelque chose, la tentation est alors grande de tomber dans le calcul avantages - inconvénients. Il ne faut pas oublier que, même dans le monde occidental, la propension aux familles nombreuses coïncidait avec la nécessité d’avoir davantage de bras pour les champs ou un espoir statistique d’assurance vieillesse, puis pour les parents desdits boomers eux-mêmes, avec le fait que les allocs permettaient enfin l’accès à certains biens de consommation, comme parfaitement illustré par le roman bien connu « les petits enfants du siècle ». Une fois ces besoins devenus obsolètes, la natalité a fortement chuté et c’est l’enfant lui-même qui est devenu un objet de marketing et de réponse conditionnée à une envie, comme le dernier iPhone devant l’écran duquel les fils et petits-fils desdits boomers l’élèvent.
Bref, les boomers ne sont ni meilleurs ni pires que les autres. Le fond du problème, la nature humaine étant ce qu’elle est, reste que sans le ciment de l’identité de groupe, la solidarité générationnelle a vocation à disparaître dans les deux sens et se battre pour autre chose que la retrouver revient à placer la charrue avant les bœufs.
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