Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/VPsxdouP04M
Bonjour !Au moins avec Lecornu comme Premier ministre, on sait à quoi on « Satan ». C’était, paraît-il, le chouchou dans la course de la moitié à perruque du président, moitié qu’on aimerait plus connue pour son entregent que pour son entrejambe, le seul fait d’évoquer « Lecornu de Brigitte » ayant un effet négatif instantané sur ma libido. La seule chose à retenir est que le RN aurait, dans quelque sombre alcôve, signé un pacte de circonstance avec Le(dit)cornu, par l’entremise d’un Sarkozy pareillement équipé par sa première épouse. Il laissera donc, probablement, Macron en place dans l’attente d’une loi d’amnistie qui permettrait à l’amateur de talonnettes de ne pas compléter sa collection de bracelets électroniques et à Marine de se présenter aux futures présidentielles, scellant sur notre dos ledit pacte en donnant un coup de main ou plutôt de « Menton » (mairie servie sur un plateau d’argent) au fiston tatoué du « Nicolas qui touche ».
Alors qu’à Londres près d’un million d’Anglais ont manifesté contre l’immigration, je ne vais pas m’étendre non plus sur le flop prévisible d’un 10 septembre transformé en gâchis parmentier par les patates de gauche qui ont bravé le réchauffement climatique pour manifester pour la Palestine, plus de migrants et moins de nazis, le tout sous les couleurs LGBT, encapsulant exactement l’essence (à 1,80€ le litre) de ce que réclamaient les gueux et « Nicolas qui paye » pourtant inexplicablement absents des cortèges, alors même qu’on leur avait fait de la place en tabassant et chassant tout ce qui arborait un drapeau bleu-blanc-rouge nauséabond. Les quelques bus et poubelles cramés n’ont même pas réussi à réchauffer le cœur glacé de l’agence de notation Fitch qui a encore dégradé la note française, reléguée au niveau de l’Estonie ou de Malte, mettant et les points sur les i et des « i » sur les poings… levés, transformant la dette en véritable diète inévitable.
Dans cette odeur de pourriture fermentée qui accompagne la décomposition de la France, c’est à peine si on remarque olfactivement un Patrick Cohen, pris en flagrant délit de manipulation électorale, mais gracié par ses pairs. De même, l’énergie nous manque pour se demander si le violeur récemment appréhendé, de la victime (Agathe Hilairet) 2 pour le coup, mais 3 dans la réalité (s’agissant, comme de bien entendu, d’un multirécidiviste) l’a violée pré ou post-mortem. Il est vrai que pendant que les forces de l’ordre sont occupées à traquer l’origine de têtes de cochons qu’on subodore avoir été posées par Poutine en personne devant des mosquées, le flot d’horreurs charrié, depuis, par un torrent d’enrichissement culturel relègue désormais le sordide au rang de simple fait divers d’une affligeante banalité.
Il faut donc se tourner vers les États-Unis pour retrouver un peu de fraîcheur et de dynamisme dans le mortifère et si vous ne saviez pas qui était Charlie Kirk, assassiné en plein meeting dans un jet de sang spectaculaire (pour ceux qui ont vu la vidéo) nul doute que, sauf à avoir passé les derniers jours dans un coma éthylique profond au milieu des poules de Yaël Braun Pivet, cette lacune aura été, depuis, médiatiquement corrigée.
L’idéologie de feu Charlie Kirk relève de la contradiction typique de cette droite américaine chrétienne, donc universaliste, qui ne réalise pas qu’elle est un oxymore, sans réelle différence avec la gauche, tout aussi universaliste, qu’elle combat, si ce n’est sa religion, issue comme l’Islam, d’un « fork » de la version originale judaïque conçue pour des amateurs de chèvres nymphomanes et péniblement adaptée aux peuples européens, contre leur nature profonde, en phagocytant les fêtes païennes préexistantes. Une religion dont d’ailleurs la gauche, bien que l’ayant rejetée, reste complètement imprégnée dans ses fondamentaux. Tendre l’autre joue a participé à la chute de Rome autant que les orgies décadentes et l’histoire bégaie selon le même schéma avec notre civilisation, elle aussi passivement envahie par des barbares tandis que les élites s’enculent.
Sans rentrer dans les détails, le bien dont chacun se réclame et le mal dont on affuble l’autre sont des termes mal choisis. Le bon sens suffit à discerner ce qui construit de ce qui délite, mais seulement en fonction d’un but qui lui donne un sens. Viendra alors, toujours un moment où il faudra choisir entre la promesse quasi électorale du paradis dans le ciel et la nécessité de se défendre et d’annihiler sans pitié ses ennemis, seule façon d’avoir un semblant de tranquillité et accessoirement de bonheur sur terre, finalité contradictoire, voire blasphématoire. Ceux qui prétendent concilier les deux, souvent à coup de dollars, qui sont un dieu qui en vaut un autre, ne m’inspirent jamais une grande confiance.
Charlie Kirk, multimillionnaire, largement financé par le lobby sioniste, vivait très bien de ce qu’il dénonçait, comme de nombreux influenceurs qui « dénoncent apostoliques » et vous demandent des sous pour acheter une meilleure caméra, ce qui est supposé rendre la lutte plus efficace, l’argent, c’est bien connu, étant le nerf de la guerre. Certains mauvais esprits diront que si on vit bien de ce que l’on dénonce on n’a pas forcément intérêt à ce que cela s’arrête, un peu comme France Travail et le chômage ou les députés et la république.
Toujours est-il qu’il avait trouvé sa martingale de ChatGPT humain, consistant, après des mois d’entraînement au débat et l’ingurgitation de tonnes de statistiques (ce qui, il faut le lui reconnaître, demande du travail, de la discipline et aussi du talent) à aller sur les campus américains pour débattre en public et sans filet des étudiants gauchistes en théorie du genre, à neurones aléatoires, à peu près aussi illettrés que les nôtres, mais avec des tonnes de dettes en plus, faisant le buzz sur internet avec ses victoires faciles. Un peu comme si un pro du MMA allait combattre un Emmanuel Macron non photoshopé. Étrangement, quand un autre spécialiste sur le même segment de marché, et tout aussi plein de contradictions et de dollars, mais antisioniste et plus doué, comme Nick Fuentes, lui a demandé un débat, là, il a eu piscine. Nul n’est parfait.
D’aucuns disent qu’il était en train de tourner casaque sur Israël, face à un génocide pas très « catholique » dont le soutien commençait à trop lui étirer les adducteurs par manque de cartouches argumentaires et devant la bronca d’une partie de ses suiveurs. Il aurait même refusé une invitation directe par Netanyahou, lequel a été le premier à prendre la parole après sa mort, puis a annoncé ensuite qu’il n’y était pour rien. Chacun en tirera ses conclusions, Ben Shapiro, sioniste rabique, ayant annoncé qu’il allait reprendre le flambeau.
Du point de vue du jeu de dupes de la politique politicienne, Charlie Kirk a quand même réussi à ramener des dizaines de milliers de jeunes dans l’escarcelle de Trump et lui a probablement fait gagner l’élection. Il avait d’ailleurs ses entrées à la maison blanche et certains le voyaient déjà comme un futur présidentiable.
Inutile de dire que, depuis son assassinat par un individu au profil improbable, vivant avec un trans et qu’on voit mal organiser seul la logistique de l’opération, plus personne ne parle de la liste d’Epstein. Trump va donc faire durer au maximum, à coup de cérémonies diverses, profitant du torrent de chaudes larmes de crocodiles allergiques au pollen, déversées par moult influenceurs, n’oubliant jamais de ramener la chose à leur sujet de prédilection (à savoir eux-mêmes) tout en en faisant des tonnes sur la veuve éplorée (mais combative et pas abattue, elle) et les 2 enfants en bas âge que laisse Charlie Kirk. Un aspect qui, je l’avoue, comme tout humain normalement constitué, à momentanément embué mes globes oculaires, Candace Owens, par exemple, qui elle était une amie proche, ayant été particulièrement émouvante et sobre dans son hommage.
Comme nous vivons dans la réalité alternative montrée par les écrans, quand un influenceur est tué dans la vraie vie, cassant l’illusion de sécurité derrière son smartphone, la réalisation soudaine que le courage verbal (facile dans un pays protégé, comme les USA, par une quasi totale liberté d’expression) doit se muer en courage physique pour pouvoir continuer à ouvrir son clapet, est un réveil qui peut être douloureux dans les deux camps. C’est peu de dire que l’Amérique, incurablement malade de sa diversité, ce que la fracture artificielle républicains – démocrates, en passe de se transformer en guerre, tente de masquer, est en état de choc.
D’ores et déjà, la droite américaine applique les méthodes de la gauche, parle de censure, et plusieurs centaines, parmi les milliers de crétins qui s’étaient réjouis de la mort de Charlie Kirk sur les réseaux, ont déjà perdu leur emploi face à une déferlante de dénonciations et certains, dont l’adresse a été publiée, doivent même déménager. Tout le monde sent que la cocotte-minute occidentale est sur le point d’exploser, et la seule question qui se pose est de savoir dans quel pays ça va péter en premier et dans quelle direction : verticale comme au Népal avec des ministres déshabillés et battus et le feu mis aux bâtiments institutionnels, ou horizontale, style émeutes raciales ou guerre civile entre blancs devenue un préalable à toute opération de remigration sérieuse ? Est-ce que le catalyseur Charlie Kirk sera suffisant pour que la réaction en chaîne commence aux États-Unis ? Réponse dans pas trop longtemps.
Merci, merci, merci.
RépondreSupprimerpierrenanou09@gmail.com
RépondreSupprimerJe te découvre seulement depuis deux semaines avec tes supers parodies et je t'adore !!!! ne lâche rien ! on a trop besoin de vraies infos sous forme humoristique !
RépondreSupprimerA quand la possibilité de vous rencontrer en chair et en os puisque visiblement cela mérite plus vu qu'il y a affinités.cdt
RépondreSupprimerHBordes