Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/F-cveLFxO64
Bonjour !La classe politico-médiatique a, d’ordinaire, la volubilité d’un morpion retrouvé en état de choc dans le lit conjugal présidentiel concernant la pédophilie en général et celle de réseau en particulier. La triste vérité, que personne ne veut regarder en face, étant qu’il y a certainement plus de pédophiles en France que d’électeurs d’Asselineau, d’autant que, statistiquement, comme pour tous les partis, il doit s’en trouver qui votent pour lui, mais discrètement, et c’est sympa de leur part parce qu’une bannière « les pédophiles pour le Frexit » pourrait être contre-productive. Les optimistes m’objecteront qu’il y a probablement aussi davantage d’hétérochromes unijambistes que d’électeurs d’Asselineau, mais c’est un autre débat.
Il est donc surprenant que cette même classe politico-médiatique, enfourche (b)analement son blanc destrier et fonce tel Don Quichotte vers un moulin à vent en hurlant : « Couvrez ce « Shein » que je ne saurais voir ! » avec la même hypocrisie que le Tartuffe de Molière à la « soudaine » découverte de poupées à caractère pédopornographique made in China. En gros pendant que de vrais gosses se font maltraiter dans l’indifférence générale, c’est le « branle » bas de combat contre la vente de bouts de plastique qui eux ne souffrent pas quand on les …
Toujours cette maladie typiquement « républicaine » qui tend à remplacer la réalité par des concepts foireux comme « liberté, égalité, fraternité » dont nul n’a jamais vu la matérialisation concrète (et pour cause) et fait qu’on s’excite sur les symboles tout en fermant les yeux sur les actes, refusant de voir ladite réalité forcément d’extrême droite au même titre que la gravité (celle de Newton, pas de la situation). Cela explique, par exemple, dans la même veine, pourquoi on punit les vrais délinquants avec des cartes OQTF à collectionner et des stages de poney et qu’on sanctionne lourdement, en revanche, les opinions et les idées, qualifiées de discours « de haine », lesquels, même si parfois « tranchants », n’ont jamais, eux, égorgé personne. Si, d’après l’admission implicite de nos politiciens, les gens sont suffisamment cons et influençables pour qu’on soit obligés de limiter la liberté d’expression, le suffrage universel est donc, de facto, une vaste plaisanterie. CQFD.
Nonobstant, on va tenter de nous faire croire qu’un dérangé mental, qui manque de manières pour un « poly »toxicomane (dont, exceptionnellement, parce qu’il est, nous dit-on avec gourmandise, « caucasien », on a eu le pedigree jusqu’à la couleur du slip dans les 5 minutes) après avoir fait des démarches pour se faire baptiser à l’église, a, logiquement, fauché des personnes en voiture sur l’île d’Oléron en criant Allah Akbar, non parce qu’il a été influencé par un « sentiment » d’immigration de masse qui l’a mis dans le même état, mais parce qu’il aura visionné une vidéo sur X ou sur TikTok. Il est donc, paraît-il, urgent d’interdire les réseaux sociaux et, cela tombe bien, pile au moment où Macron, parti en célibataire faire le pitre au Brésil, après avoir annoncé qu’il lâchait un « manche » indéterminé, fait le forcing pour vendre l’idée avant que l’affaire Brigitte n’arrive à son inévitable conclusion.
Outre le fait que bannir Shein et consorts relève d’une volonté politique, clairement affichée antérieurement et que cela donne un prétexte supplémentaire pour le faire dans le seul but (puisqu’il n’y a plus d’industrie textile à sauver en France) de priver les gens en perte de pouvoir d’achat, à qui on cherche à retirer la possibilité de découvert bancaire, de celle de s’habiller à peu de frais avec des produits toxiques, en payant, les salauds, moins de TVA à l’état que pour les mêmes, tout aussi toxiques, mais avec un coefficient multiplicateur de 10 dans les commerces traditionnels, en dehors d’une position purement morale tout à fait compréhensible et d’un réflexe vomitif naturel chez toute personne normalement constituée (mais qui est une grosse ficelle pour se faire manipuler par l’émotion) faire la chasse à ces poupées revient à changer le joint du lavabo dans les toilettes du Titanic après la supposée collision contre un iceberg.
Même en faisant fi de leur indice carbone plus faible qu’une réplique, à l’échelle, de Mathilde Panot, les rendant vertueuses pour la planète (si j’ai bien compris la logique écologique), si on pousse le raisonnement, la seule différence avec des poupées ordinaires réalistes qui restent autorisées est que celles-ci sont munies d’orifices et qu’on n’a pas pensé à les renommer « tirelires ». Donc, comme pour l’emmental on paye pour les trous sachant que rien n’empêche d’en percer avec une mèche de 10 qui devrait suffire pour ce type d’individu, ou alors de proposer des versions en kit avec accessoires vendus séparément, car s’il y a une demande, un biais sera forcément trouvé du fait, notamment, de la difficulté à déterminer si un bout de caoutchouc a atteint la puberté.
Et je ne parle même pas de l’IA, notamment open source et non censurée hébergée sur des ordinateurs personnels qui permettra de produire, entre autres, du contenu pédopornographique à la chaîne, peut-être même avec des elfes ou des martiens prépubères histoire de compliquer la chose. Casser le thermomètre n’ayant jamais résolu quoi que ce soit, la véritable question qui se pose est simplement de savoir si ce genre de pis-aller est de nature à offrir à des dégénérés une alternative aux vrais enfants ou si, au contraire, il incite au passage à l’acte. Question fondamentale que je n’ai pas entendu poser.
Côté positif, entre les robots sexuels de plus en plus sophistiqués et la profusion des vidéos IA dans lesquelles aucun véritable enfant, humain ou non, n’aura été molesté, il est probable qu’au moins, en l’absence de demande, l’intérêt financier à produire de vrais films avec de vraies victimes finisse par s’évaporer et que cette industrie devienne totalement marginale. Idem, par ailleurs, pour le porno, autre plaie sociétale, dont je pense que les jours, en tant que manne financière, sont comptés, ne pouvant rivaliser avec une usine à animer les fantasmes. Difficile en effet pour une hardeuse de faire le poids face une créature extraterrestre bleue d’alpha du centaure dotée de 2 pénis et 3 vagins partouzant avec un fox à poil dur et Brigitte Macron (pour les plus dépravés) dont on peut supputer que « l’épais dos file » sur les draps en soie.
Si l’on considère que la demande du toujours plus pour maintenir sa dose de dopamine fait que, par exemple, les gros consommateurs de porno perdent tout intérêt pour les véritables et banales relations physiques avec de vrais partenaires, ce qui commence même à devenir un problème sociétal, on peut donc raisonnablement penser que la crainte répandue selon laquelle laisser des pervers s’astiquer le poireau sur un bout de plastique en regardant des vidéos IA, joignant le pathétique à la dégénérescence, les pousserait au passage à l’acte est peut-être pessimiste.
Par ailleurs, contrairement aux enfants que l’éducation nationale force à avoir des préoccupations sexuelles qui ne sont pas de leur âge, chose qu’on trouve apparemment normale puisque les gens laissent faire, concernant les adultes, en revanche, s’ils ne sont pas sous l’effet de certaines substances qui peuvent les rendre influençables, auquel cas, ce sont elles le problème, s’ils sont tentés par des images ou par l’achat de ce genre de poupées qui ne figurent probablement pas en page d’accueil du site et qu’il doit quand même falloir un peu chercher, c’est que le ver était déjà dans le fruit et que, certainement, s’ils doivent passer à l’acte, ils le feront poupées ou pas.
Dites-moi ce que vous en pensez en commentaire.
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Toujours est-il que, hors pédophilie de réseau laquelle a des moteurs spécifiques, on a peut-être mis la charrue avant les bœufs et que c’est peut-être, à l’inverse, le terrain qui a changé et qui permet à ces perversions, qui ont certes toujours existé, de faire leur nid dans des proportions croissantes. Il y a de nombreuse explications possibles, y compris les perturbateurs endocriniens et autres microplastiques qui font changer les poissons de sexe (heureusement Brigitte Macron est Bélier), l’abus de substances stupéfiantes, l’oisiveté qu’elle soit choisie ou forcée (je doute en effet que la chose ait pu être la préoccupation première des gens qui passaient leur journée au fond d’une mine à donner des coups de pioche, à supposer qu’il leur soit resté assez d’énergie), la misère sexuelle et la castration sociétale des hommes dans une société « féministe » qui fait que, pour certains, les enfants sont les seuls sur lesquels ils peuvent encore avoir une illusion de pouvoir inversement proportionnelle à leur insignifiance, la domination étant inhérente à la libido masculine.
Hommes qui, il faut le préciser, n’ont pas, pour autant, tant s’en faut, le monopole de la pratique et si quelqu’un a une explication à ce qui peut motiver des femmes à faire de même, merci de m’éclairer dans les commentaires, car cela me dépasse. Et je ne parle pas des sociétés chez lesquelles la chose est un fait culturel, dont certaines viennent copieusement nous enrichir, ajoutant même la gérontophilie histoire de ne pas faire de jaloux, hormis peut-être quelques chèvres.
Au final, notre société décadente est malade et l’explosion de la pédophilie dont Bétharram et autres ne sont que le sommet de l’Iceberg, perversion qui représente une masse financière considérable (et je ne serais pas surpris qu’après la prostitution et la drogue, notre Mozart de la Finance l’inclue, elle aussi, dans le calcul du PIB) en est juste un des symptômes terminaux.
Si je me sens autant concerné par la problématique (dont contrairement à d’autres, je peux parler, car ma chaîne n’est pas, par choix, monétisée) c’est qu’un jour j’ai appris par une ancienne voisine chez laquelle ma fille, quand elle était gamine, allait jouer de temps à autre et en qui j’avais d’autant plus confiance qu’elle était assistante maternelle de profession, que son compagnon de l’époque avait ce genre de perversion. Bien sûr, dès qu’elle l’a découvert, elle l’a chassé après l’avoir dénoncé à la police, m’assurant qu’elle n’avait jamais laissé la gamine seule avec lui et qu’il ne s’était rien passé, d’autant que son truc, d’après les photos qu’elle avait trouvées sur son ordinateur, c’était plutôt les petits garçons. Pour autant, cette révélation m’a littéralement glacé le sang et je me suis senti submergé par la culpabilité de ma négligence, qui ne m’a pas lâché, encore à ce jour, pour avoir aussi longtemps balayé la chose comme un phénomène marginal, hors de ma compréhension et qui ne me concernait pas.
D’où mon énervement face à ce foutage de gueule. Car faire la chasse à des bouts de caoutchouc qui sont en vente libre dans une grande partie de l’Asie, avec 200.000 colis ouverts par la Douane dans une opération coup de poing médiatique, visant une seule enseigne et qui ne pourra pas être maintenue sur la durée en raison d’un manque de moyens et d’effectifs, est juste une façon hypocrite de faire semblant alors que le fond du problème, lui, ne fait qu’empirer.
Se limiter à ça, c’est un peu comme les wagons « spécial-femmes » dans les transports en commun, non pas avec un châssis renforcé, mais soi-disant pour les protéger : si on ne dit pas « de qui », c’est qu’on n’a aucune intention de résoudre le problème. Pire, on perd de vue l’essentiel : la lutte contre la pédophilie, qu’on ne met en avant que quand il s’agit de faire passer des lois liberticides, sans jamais s’attaquer au cœur dudit problème, a pour but premier de protéger les enfants, les vrais pas ceux en caoutchouc ou des considérations morales lesquelles ne sont pas, d’ailleurs, aussi universelles qu’on le croit quand on voit comment on les traite ailleurs. Même chez nous, où les survivants de l’avortement sont de plus en plus considérés comme des empêcheurs de jouir sans entraves, ou à l’inverse, comme un simple objet de désir égoïste au même titre qu’une TV 4K sans oublier ceux qui les désignent comme des menaces pour la planète en raison de leur indice carbone.
D’un point de vue purement pragmatique, qui est le seul qui compte, la nécessité vitale de protéger les enfants est un fait éminemment politique qui découle simplement du fait qu’ils sont les adultes de demain et que dans ce monde en pleine dégénérescence, sauf à vouloir mettre en place, non pas seulement une dictature laquelle peut parfois être positive, mais carrément une tyrannie, on a cruellement besoin d’adultes équilibrés. Je n’entre pas plus avant dans les détails, car j’ai déjà traité ce sujet sensible beaucoup plus en profondeur dans une précédente vidéo qui date déjà d’une dizaine d’années, mais qui reste, hélas, totalement d’actualité : je vous mets le lien dans la description.

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