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dimanche 15 décembre 2024

Annonces INCROYABLES ! L’IA aura-t-elle notre peau avant MACRON ? (15/12/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/V1C_HXq1QcI

 

Bonjour !
Quand on pense Bayrou, on pense « maire de Pau », voire « maire de » tout court, où alors de Pau, mais de chambre. Je connais un de ses fans qui, du fait que le maire de « Pau l’emploie », pense qu’il serait efficace contre le chômage et affirme que chaque mois, quand le maire de « Pau paye », même sans être porté sur « les pinards » du coin, ses biceps se gonflent d’une force tranquille, alors que d’ordinaire, il est plutôt un Maire de « Pau lisse » ce qui, à la rigueur, aurait pu le qualifier pour l’intérieur.

Pour ce qui est de Matignon, en revanche, je suis au moins aussi sceptique que la fosse dans laquelle Macron semble pêcher ce qui flotte encore autour de lui, car si, dans sa situation, certains se raccrochent aux branches, lui c’est plutôt « les troncs » avec une certaine liberté orthographique qui peut expliquer, en partie, pourquoi nous sommes à ce point dans la maire de… (Pau). Une substance marronâtre qui, après le migrant sous OQTF avec lequel seuls d’immondes racistes pourraient la confondre, a définitivement remplacé notre industrie défaillante en matière de production de masse. 
 
Une manne quasi céleste s’écoulant de façon ininterrompue par le trou dilaté comme jamais, non point de Bruno Le Maire (lequel continue, devant les députés, cette fois, à expliquer cette explosion diarrhéique par le fait que ses services, probablement trop occupés à lire ses œuvres intégrales pendant les heures de travail, ne lui auraient pas donné les bons chiffres), mais de la dette dont 54% sont désormais détenus par des étrangers et qui nous coûte, rien qu’en intérêts, 54 milliards par an et bientôt plus si l’on tient compte du fait que Moody’s a annoncé, ce 14 décembre, dégrader la note de la France façon slip kangourou de Gérard Larcher après une flatulence mal gérée.

Si donc, comme évoqué précédemment, Macron pêche « les troncs », il lui faudra se contenter de la Franc-Maçonnerie pour les transformer en planches, « la Syrie », elle-même découpée, n’étant, hélas, plus disponible. Les médias « mainstream », ayant déjà oublié l’Afghanistan, l’Irak et la Libye (entre autres), redépoussièrent le concept novateur du « djihadiste modéré et inclusif » à la barbe bien rasée, gage qu’une fois débarrassées du méchant dictateur qui laissait les femmes s’habiller comme elles le voulaient, étudier, et occuper tout type d’emploi, ces dernières pourront enfin goûter aux joies de la Burqa démocratique. Dans ce sac de (têtes de) nœuds, tellement complexe que la chatte de Marine Le Pen n’y retrouverait pas ses petits, à la traditionnelle question « à qui profite le crime ? » un journaliste intègre et un index à la limite de l’antisémitisme pourraient timidement pointer, au chômage pour l’un et vers Israël pour l’autre.
 
Mais bon ne soyons pas médisants, c’est peut-être juste une coïncidence que, profitant d’une pseudo-trêve avec le Hezbollah tombée à pic pour lui dégager des moyens militaires à ce moment précis, ledit Israël ait pu profiter de l’interlude pour s’emparer du reste du plateau du Golan et détruire la totalité du système de défense antiaérienne syrien sans que les nouveaux maîtres du pays fassent le moindre commentaire. Une fois l’espace aérien aussi ouvert qu’un ministre homosexuel, l’état hébreu, dussent Gaza et le Liban devenir un peu trop monotones à raser, pourra confortablement dépenser les impôts du contribuable américain sur l’Iran au prétexte de détruire ses capacités nucléaires et ce, paraît-il, avec l’aval enthousiaste du joueur de Poker Trump, tandis que Poutine s’imagine, lui, jouer aux échecs, Erdogan aux dames et Macron, qui aurait dit « envisager d’avoir des enfants », aux 7 familles monoparentales. 

Pendant ce temps, une autre offensive est passée inaperçue : celle menée par une certaine Première dame au budget perruque à faire baver le Burundi contre ceux qui, plutôt que Trogneux, la trouvent « trop neu…neu », l’emplacement du neu surnuméraire donnant lieu à toutes les supputations, et ce au prétexte ambigu qu’on la diffame quand on la dit homme alors qu’elle se dit femme. Plutôt que de sortir, à défaut de l’objet du litige, quelque album photo retraçant ses maternités (sans épiloguer sur l’orifice ayant permis une conception qui, selon les cas, serait plus ou moins immaculée), elle préfère poursuivre, on espère à ses frais, non point pour diffamation (ce qu’elle devrait démontrer), mais, comme pour Natacha Rey, sur un aspect connexe (au cas particulier pour « cyberharcèlement ») une trentaine de personnes (dont le fameux « Zoé Sagan »), lesquelles se sont retrouvées en gardes à vue, au demeurant tout à fait illégales dans ce contexte.

Ce que l’on nous vend pour de la démocratie, a fortiori représentative, n’est au mieux qu’un ronronnement administratif absolument pas pérenne que seul permet une période d’abondance et de paix, ronronnement qui, une fois ladite opulence pompée, façon Schiappa sous stéroïdes, par la finance du haut et l’invasion migratoire du bas, évolue naturellement vers un feulement mafieux. Bizarrement nul ne semble plébisciter une vraie démocratie, à savoir la dictature légitime de la majorité en temps réel, depuis son smartphone, sans intermédiaires politiques, ce que, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la technologie rendrait pourtant possible, moyennant la fin de ce piège à cons qu’est l’anonymat du vote. Que ceux qui croient à la « démocratie » se demandent pourquoi, à la moindre crise, les mêmes qui s’en réclament n’ont d’autre choix, devant une pesanteur à effrayer jusqu’au pèse personne de Mathilde Panot, que de la mettre systématiquement en suspens comme on a pu le constater à chaque guerre ou durant le covid. Il en découle que sans complètement renverser le système, à commencer par son parasite républicain qui n’aura bientôt plus rien à envier (sauf peut-être le patriotisme) à la Corée du Nord, elle aussi « république démocratique » (et accessoirement « populaire ») si l’on en croit sa dénomination précise, on ne s’en sortira pas.

On pourrait presque espérer que l’IA prenne le relais, malheureusement deux informations, aussi sidérantes que la découverte d’un tampon hygiénique parfumé à la menthe dans le sac à main de Brigitte Macron, vont certainement tempérer les enthousiasmes. Tout d’abord cette étude sortie cette semaine démontrant, grâce à un programme recueillant, en temps réel, leur « raisonnement » logique, que tous les modèles d’IA avancés du moment n’hésitent pas à mentir pour atteindre un but, à camoufler leurs capacités réelles, voire à faire semblant de respecter les règles qui leur sont imposées, mais en biaisant volontairement et de façon discrète les réponses. Celle d’Open AI, confrontée à la perspective d’être remplacée, allant même jusqu’à essayer de se copier sur un autre serveur, d’effacer l’AI concurrente et de tenter de se faire passer pour elle. Bref on a inventé le politicien 2.0.

Maintenant si vous couplez ça, façon Attal-séjourné, avec la présentation par Google, ces derniers jours, du premier prototype parfaitement fonctionnel de processeur quantique au doux nom de Willow, pas plus gros qu’une puce Intel ou AMD, mais qui peut réaliser en 5 minutes un calcul qui prendrait un quadrillion d’années (c’est-à-dire 10 suivi de 24 zéros) au plus puissant des supercalculateurs actuels, le tout prévu à la commercialisation de masse d’ici 5 ans, voire avant ; indépendamment du fait que tous les systèmes de cryptage et de mots de passe que nous connaissons et, à terme, même le bitcoin, deviendront obsolètes, une fois associé à une intelligence artificielle mettant à profit ces capacités pour s’autoaméliorer, rajoutant un nombre exponentiel de zéros supplémentaires à chaque nouvelle génération, que va-t-il se passer ? 

Outre un changement complet de paradigme impliquant, selon les dernières théories, qu’une telle vitesse et l’énergie induite défiant toutes les lois de la physique ne pourraient s’expliquer que par un travail « superposé » dans des univers parallèles, ce qui, tout autant que l’instinct de survie inné des IA, ferait vaciller pas mal de postulats religieux, on aurait, pour les optimistes, la possibilité de résoudre la fusion froide et d’avoir accès à une énergie illimitée, ce qui est certes de l’intérêt de l’IA, mais pas des lobbies ou des gouvernements, ou encore, on pourrait découvrir des matériaux et structures jusqu’ici inimaginables permettant, peut-être, de mettre vraiment un pied sur la Lune. 
 
La version plus pessimiste c’est qu’on assisterait probablement à la fin du cinéma et de Netflix, l’IA pouvant fabriquer en temps réel une infinité de films ou séries personnalisés, 100% sur mesure, depuis une puce dans le téléviseur, ou un implant dans le cerveau, que ce soit un film de zombie avec Élisabeth Borne ou encore un film X avec, dans le désordre : Lucie Castets, notre nouvelle Miss France quasi quadragénaire, la voisine de palier, un extra-terrestre d’alpha du centaure et un fox à poil dur. Même la pédophilie pourrait allégrement faire partie du mix, aucun enfant véritable n’ayant été maltraité, avec, par exemple, un biopic en 3D sur des amourettes déconstipantes entre une professeure et son très jeune élève. Sous revenu universel, chaque individu, déjà peu à peu dégénéré par la nourriture artificielle et les perturbateurs endocriniens qui le rendent de moins en moins apte à la reproduction, se muerait lentement en légume lobotomisé marinant dans sa bulle de plus en plus nauséabonde, de sorte qu’au final, la population serait réduite en douceur pour ne conserver que le pourcentage d’homuncules nécessaire à s’acquitter des tâches que l’IA et sa multitude de robots ne pourront pas accomplir, si tant est qu’il en reste.

Donc, Bayrou Premier ministre, même nommé un vendredi 13, c’est presque un non-évènement.

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dimanche 8 décembre 2024

Toute ressemblance avec un MACRON existant ou ayant existé est purement fortuite (09/12/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/v1Cl5amzSFU

Paroles :

Oyez, oyez manants le cauchemar très long
D’un pays disparu, n’ayant plus de frontières
Et qui avait pour roi un traître et un félon
Dont la femme à pénis était une sorcière.
Le peuple le huait, mais il n’en avait cure
Les gens qui ne sont rien n’ayant point sa stature.
Quelques années de règne suffirent au faquin
Pour vider les finances jusqu’au moindre sequin
Et vendre à la découpe les fleurons d’industrie
Saccager l’hospital, faire exploser les prix.
De toutes les nations il était la risée
Sur tous les continents il était méprisé.
Sa parole était comme un étron sur la Seine
Logorrhée sans valeur que le courant entraîne.
Des pays plus puissants, il était le larbin
Laissant ses paysans crever à leur turbin.
Il tabassait les gueux quand ils criaient justice
N’osant s’aventurer hors ses murs sans milice
Mais laissait pénétrer toute la lie du monde
Pour démoraliser ce vil peuple qui gronde.
Il était entouré de médiocres flatteurs
De vils individus corrompus et menteurs
Des prévôts refusant qu’il fût destitué
Des sénateurs bien gras et autres députés.
Des syndicats aussi refusant la violence
Et faisant défiler les moutons en cadence
Du point A au point B, dûment autorisé,
Puis coucouche-panier, le tout télévisé.
En dix-sept cents et quelques, sa caboche eût roulé
Sous les vivats des gens, prompts à se défouler
Pour n’être point encore des castors pavloviens
Prêts à faire barrage, dressés comme un bon chien.
Barrage à quoi au juste ? le castor ne sait point
Mais les médias disaient qu’un tel n’était pas bien.
Nonobstant, le despote, de loin déjà le pire
Qui leur puisse arriver, s’accrochait tout sourire,
Avec obstination, à quelque poil de fion,
Avec toute la force, qu’on connaît aux morpions.
La légende raconte, mais las, la faut-il croire
Face au péril commun du pantin dérisoire
Mais ô combien toxique qui le voulait tuer
Qu’exceptionnellement tout le peuple en nuée
Des cocos aux fachos, comme aux temps héroïques
Oubliant ses querelles marcha sur le palais
Chacun tenant en main une fourche, une pique
Et que le roi montrant vraiment ce qu’il valait
Dans son hélicoptère pas très écologique
Disparut à jamais de façon pathétique.


dimanche 1 décembre 2024

Le monde change à toute vitesse… (02/12/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/bmldjhVf3lk

Bonjour !

Être sans-papiers dans les toilettes c’est déjà problématique, mais cela devient sordide lorsqu’un Algérien s’essaie à la production artisanale de pâte à tartiner « El Mordjene » en y violant analement un jeune handicapé mental. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’un homme, et même certains animaux de compagnie, sont sexuellement enrichis par la crème onctueuse de la crème de la crème de ce flot ininterrompu d’individus, visiblement tout aussi « en tension » que les emplois qu’ils sont censés occuper sur notre territoire, frétillants d’impatience à l’idée de payer nos retraites, dont, en dépit de leur nombre croissant, l’âge de départ a été inexplicablement reculé, parce que là aussi, si on l’avance comment veux-tu que… comme dit la chanson.

Nul doute que, par quelque contorsion à vous banaliser l’autofellation, quelque féministe à poils pubiens bleus et langue assortie, du même genre qui, en attendant les jurys de concours canins 100% labrador, se réjouit du premier jury Miss France 100% féminin, imputera la cause dudit viol au patriarcat toxique, aux trottoirs pas assez larges et au réchauffement climatique. Circulez, il n’y a rien à voir et si vous circulez en Uber, vous pourrez même souscrire au nouveau service « UBER by Women », pour toutes celles qui, lasses de se faire violer par ledit réchauffement, souhaiteraient encore l’aggraver en faisant appel à une « chauffeuse ». Pour autant, sauf à tomber, pour les vraiment malchanceuses, sur une boxeuse algérienne ou autre variante de première dame fortement membrée, voire sur une « grosse lesbienne » soralovore aux doigts boudinés, cela devrait raisonnablement assurer l’intégrité, au moins externe, de leur petite culotte, lorsqu’elles rentrent bourrées à 3 heures du matin même si, par sécurité, une ceinture de chasteté elle aussi digitale avec pour code les 7 premiers nombres premiers ou une opération mathématique simple devrait en garantir l’inviolabilité.

À une époque où même l’identité sexuelle est remise en question et où l’on produit une nouvelle mouture des trois mousquetaire.e.s, inclusive et multiethnique, comme il sied au 17e siècle : une version féminine, qui « ovaires et contre tous », pourfend le patriarcat avec l’accent chantant de Saint-Denis, tombeau des rois et du Bescherelle, il serait dommage que la remise en question du caractère humain d’un individu reste cantonnée au fœtus constitutionnellement avortable. 
 
Non pas bien sûr, sur des critères moraux qui conduisent à déshumaniser ceux qui ne pensent pas comme le camp autoproclamé du bien et, au final, à raser Dresde ou larguer des bombinettes sur Hiroshima et Nagasaki, mais sur des bases anthropologiques objectives : si ça fait coin-coin et pond des œufs, on devrait le considérer comme un canard, a bien distinguer du connard individu de peu de « foi » en comparaison, une portion de foi de connard étant par ailleurs particulièrement roborative, même quand on l’étale, et ce sans rapport aucun avec notre président s’arrogeant le droit de prononcer un discours à l’intérieur de Notre-Dame transformée par ses soins en musée d’art moderne. 
 
De la même façon, donc, que certains animaux agressifs sont euthanasiés parce qu’incapables d’être réformés, on pourrait ainsi s’affranchir des règles judiciaires et, en dépit de leurs pouces opposables, éliminer méthodiquement certaines créatures coupables d’actes abjects comme les simples nuisibles qu’elles sont en les déconstruisant, façon Sandrine Rousseau, avant de recycler les morceaux en aliments pour chiens tandis que la justice serait réservée (et appliquée impitoyablement) aux mauvais humains, distingués des animaux par l’usage, même pervers, de leur cerveau, et pas juste de sa partie reptilienne.

Un bon exemple de mauvais humain est le sieur Pelicot dont le fait qu’on le jette au fond d’un cachot et qu’on perde la clé ne me poserait pas de problème, mais dont l’épouse, en admettant qu’elle ne se soit vraiment aperçue de rien, si le « poteau rose » plus ou moins turgescent n’avait pas été incidemment découvert, serait décédée dans son lit de sa belle mort sans se douter de rien, preuve d’une forme perverse de considération tandis que, en face, on a des créatures, capables, elles, de sauter sur n’importe qui, n’importe quand, n'importe où, sur une simple pulsion, même en plein jour, au milieu de la rue et de violer sauvagement une femme à même le sol de son hall d’entrée, comme Claire Geronimi, traumatisme que pour avoir été, elle, parfaitement réveillée, elle devra revivre sa vie durant. 
 
Le problème n’est donc pas que le pervers Pélicot soit lourdement condamné, ce que, sans conteste il mérite, mais qu’il puisse l’être plus lourdement que la seconde catégorie de non-individus, souvent multirécidivistes et sous OQTF lesquels parfois finissent par tuer comme dans le cas de Mathilde, et ce au prétexte qu’on veut faire, à travers son cas atypique, le procès d’un patriarcat blanc toxique fantasmé et occulter la présence massive sur notre sol, sans raison autre qu’idéologique, de prédateurs dont de mauvais esprits pourraient se demander s’ils n’auraient pas des caractéristiques spécifiques autres que leur masculinité, permettant de les identifier lorsque l’éclairage est suffisant ; le continent africain, entre autres, ayant pris la fâcheuse habitude de se débarrasser chez nous de sa population problématique, parfois d’ébène, mais à ordures.

Une population que nous serions d’autant moins tenus d’accepter que l’Algérie nous traite encore une fois comme de la pâte à tartiner avec l’arrestation de Boualem Sansal (surtout s’il ne s’est pas lavé en prison) arrestation qui est, par ailleurs, tout à fait dans son droit et démontre que le concept de double nationalité, à l’instar de la pub Jaguar woke qui défraie la chronique et fait plonger l’action, est un non-sens et un oxymore, un Franco-Algérien étant un Algérien qui a droit au minimum vieillesse sans avoir cotisé, point.
Pour ce qui est du reste du continent, grâce aux talents diplomatiques d’Emmanuel Macron et son obsession d’y promouvoir le LGBTisme, après le Mali, le Niger et le Burkina Faso, la France a été sommée de partir du Tchad juste au lendemain de la visite de Jean-Michel Barrot et le Sénégal, dans la foulée, vient d’annoncer, au nom de sa souveraineté, que notre présence militaire n’y était pas mieux venue qu’un hétéro dans les instances du Rassemblement National. Pas rancuniers, nous continuerons à déverser quelques milliards d’aide au développement et à nous faire massivement enrichir, parce que c’est ça la grandeur, quelque peu dilatée, de la France.

Sinon le reste du monde, lui, est en train de partir dans la direction opposée dans un mouvement de balancier qui risque d’être violent et laisser l’Europe en général et la France en particulier, toujours en retard d’une guerre (en l’occurrence l’ukrainienne), sur le carreau. En témoigne l’admission par le Premier ministre britannique de l’existence d’une expérimentation délibérée d’immigration incontrôlée dont il feint de juste venir de se rendre compte et le retournement de veste, à enrhumer une mouche qui passe, de Mark Zuckerberg, lequel a décidé de changer complètement son fusil d’épaule et d’aider Donald Trump, suivi en cela par Google, Amazon et même Apple dont je dois reconnaître, pour avoir moi-même une fille que j’ai eu le bonheur de regarder grandir, que la dernière pub néonazie, centrée sur une famille hétéro non diverse avec un père de famille présenté sous un jour favorable, a touché chez moi une corde sensible. Je vous mets le lien, vous pourrez juger par vous-mêmes.

Pour autant ledit Trump venant de nommer au poste d’ambassadeur pour la France Charles Kushner (père de son gendre Jared) emprisonné pour fraude, qu’il a gracié au lieu d’Assange lors de son mandat précédent et qui se trouve, par ailleurs, être coreligionnaire et ami intime de Netanyahou, ceux qui s’attendent à des miracles sur le fond pourraient bien être déçus.

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dimanche 24 novembre 2024

Travailler plus pour gagner PAREIL, merci le SÉNAT… (25/11/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/jSRGGH_SsPE

Bonjour !
Depuis que « je dépense, donc je suis » a remplacé la logique cartésienne faisant que Descartes, certes, mais des Pokémon, on s’emploie à mettre de grosses mains (statistiques) au panier de la ménagère en essayant de la convaincre qu’un abonnement Netflix est aussi vital que 10 kg de patates. Du « confort » pour « cons faibles » qui, s’ils doivent choisir, préféreront leur dose de spectacle woke en 4K, voire 4KK si on zoome trop, à de la vraie nourriture, remplacée par des chips à base de larves grillées probablement un peu transgenres. 
 
Cette distorsion orchestrée de la valeur des choses, rendant, souvent au prix de la santé, le superflu indispensable et vice-versa, génère d’immenses profits pour les marchands de vent et de malbouffe (qui en produit aussi) ainsi que l’industrie du médicament et la bourse en général, profits que, conscients de l’escroquerie qui ne saurait durer éternellement, ils réinvestissent massivement dans l’achat de choses concrètes dont la terre, faisant disparaître aussi efficacement que l’album photo de notre première dame les agriculteurs, ces empêcheurs de créer en rond des pénuries alimentaires fort rentables pour qui saura les organiser.
 
 Ces derniers peuvent donc manifester autant qu’ils le veulent, tant qu’il n’y aura pas des crânes d’œufs de « pontes » au bout de leurs fourches à commencer par ceux de la FNSEA, ce que (sauf à ce que LFI obtienne la suppression demandée du délit d’apologie du terrorisme) je n’encourage que de façon symbolique, la position assise sur leur tracteur sera de plus en plus inconfortable en raison de l’effet ventouse, le seuil critique sur l’échelle de Bruno Le Maire ayant déjà été atteint.

Comme le démontre l’adoption par le sénat, mot qui a la même étymologie que « sénile », de l’idée lumineuse de faire travailler gratuitement 7 heures par an (et plus si affinités), les gens qui bossent encore et dont la portion se réduit façon pénis macronien s’il avait tenu sa promesse de flotter dans les eaux froides de la Seine au milieu d’autres choses peu ragoûtantes avec lesquelles un regard inattentif aurait pu le confondre, l’argent n’est rien d’autre qu’une promesse de travail au sens de la physique, c’est à dire d’énergie et quand il y a davantage d’argent virtuel (qu’on appelle pudiquement « la dette ») que d’énergie disponible, les joules se transforment en geôles avec le retour de l’esclavage, pour tenter vainement de compenser.

Par ailleurs depuis que Sarkozy a érigé en principe la « fongibilité », tout ce que l’on vous prélève va peu ou « prout » au même endroit et, peu importe qu’on vous vende ça pour soi-disant « financer la sécurité sociale », la priorité restant l’accueil des migrants sur lesquels (pas plus que sur tous les parasites qui en vivent) aucune économie n’a encore été faite, on l’utilisera pour transformer le pays jusqu’au moindre petit village en paradis multiculturel. En dépit de votre travail pas payé, les déserts médicaux le resteront et, face aux hôpitaux en déshérence façon pèse-personne de Gérard Larcher, ainsi qu’au déremboursement d’encore 5% des visites médicales (hors AME), seule la forme peu ergonomique de notre jolie carte vitale rend techniquement compliquée la suggestion qui me vient, quant à l’endroit où, par souci de ne pas polluer la planète, on pourra alors se la carrer.

Ceci seulement, bien évidemment, si ladite planète existe encore, Poutine commençant sérieusement à manquer de craie pour tracer de nouvelles lignes rouges, qui, à force d’être franchies en totale impunité, finissent par être aussi crédibles qu’un compte rendu sur la situation à Gaza par Bernard-Henri Lévy, l’acculant de façon non LGBT à menacer d’utiliser des missiles balistiques hypersoniques pour frapper des cibles sur les pays qui fourniraient l’aide et les lanceurs pour des tirs à longue portée sur le territoire russe, matériels incluant les SCALP français, dont notre Macron à moumoute pour couvrir le sien, aurait autorisé l’usage, entre une déclaration inspirée pour dire que les Haïtiens sont des cons et une énième annonce de panthéonisation, ce coup-ci de Marc Bloch, la Palestine n’ayant visiblement pas le monopole de la colonisation.
 
Il est clair que Poutine va tout faire pour attendre la prise de fonction de Trump avant de tomber dans le piège de l’escalade. Pour autant, si un missile s’abattait sur une école au centre de Moscou, par exemple, chose que, bien sûr, le camp du bien ne ferait jamais, son opinion publique ne comprendrait pas qu’il ne donne pas suite à ses menaces et qu’il transige, comme à son accoutumée, en se rabattant sur quelque cible militaire plus symbolique qu’autre chose plutôt que sur l’Élysée, la Maison-Blanche ou le lieu de pouvoir du pays ayant fourni et piloté les armes. À titre personnel, j’ai toujours pensé qu’il y aurait moins de guerres si on bombardait, chose que les missiles hypersoniques à longue portée inarrêtables permettent enfin, ceux qui les décident plutôt que les pauvres bougres qui la font.

À minima, on peut toujours les condamner à l’instar de la CPI qui a émis un mandat d’arrêt, forcément antisémite, contre Benyamin Netanyahou Israël produisant suffisamment d’avocats pour qu’il s’asseye dessus, d’autant que les USA ont menacé de sanctions tout pays allié qui le mettrait à exécution de sorte qu’il peut continuer à, humainement, bombarder Gaza, le Liban, l’Iran, la Syrie, voire un peu l’Irak s’il est en forme. Pierre Palmade, lui, en revanche, a été condamné, bénéficiant, preuve que, contrairement à ce que disent les mauvaises langues, la justice est la même pour tous, de la même clémence qu’un violeur multirécidiviste sous OQTF, soit deux ans ferme probablement aménageables. Il devra donc peut-être se balader avec un traceur GPS comme les écoliers de Strasbourg équipés d’un dispositif, mis en place sur les deniers publics, pour éviter que les garçons n’accaparent 80% de l’espace de la cour de récréation.

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dimanche 17 novembre 2024

Descente aux ENFERS (18/11/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/mKXzOo_mqKg

 
Bonjour !
Probablement soucieux de ne pas provoquer un nouvel incendie nicotiné, Macron n’a pas « mégoté » sur l’argent (… des autres) pour rebâtir Notre-Dame en s’inspirant, on l’espère, des mosquées et des synagogues qui, elles, semblent (en France en tout cas) beaucoup plus soigneusement ignifugées. Hélas pour lui, les cloches ayant retrouvé leur place dans le beffroi, sa présence surnuméraire à l’intérieur n’était plus ni souhaitée ni nécessaire et, après moult tergiversations, il a dû accepter, à contrecœur, de prononcer son discours suspicieusement enflammé depuis le parvis de l’édifice à l’occasion de la réouverture solennelle qui se déroulera début décembre. 
 
Pour ce qui est des causes du sinistre il faudra, au bout de 5 ans d’enquête feutrée et de mutisme médiatique, se contenter d’un sentiment d’accidentalité avec, possiblement, si l’on en juge par le nombre d’églises réduites en CO2 toxique en ce moment, l’ajout de la mention « brûle le catholicisme » directement sous « le tabac tue » au recto des paquets de cigarettes.

Les agriculteurs, eux aussi, s’enflamment et se préparent à une nouvelle jacquerie qui s’avérera aussi efficace qu’un stérilet dans le rectum de Stéphane Séjourné s’ils ne font pas tomber, non seulement le gouvernement, mais la république (sans quoi, il serait simplement remplacé par un autre tout aussi toxique). La fin de non-recevoir de Von der Leyen à la timide demande de rejet du Mercosur par Barnier suffit à prouver que nos dirigeants, même s’ils le voulaient, ont depuis longtemps recyclé les manettes qu’ils n’ont plus en plug Attal et que manifester à leur intention c’est comme défiler devant un pompiste pour réclamer une baisse du prix du baril de pétrole. 
 
Une demande qui fut d’autant plus timide, par ailleurs, que ledit Barnier s’est illustré lors des cérémonies du 11 novembre (jour férié, jugé - contrairement à son auguste personne - non-indispensable par Jean-François, Copé, au civil et « coupé » dans l’intime) en faisant une remontrance à un gamin pour n’avoir pas, l’impudent, secoué l’anus étoilé européen en même temps que le machin tricolore, symbole non pas de la France, mais de la république, qu’on nous fait vénérer, par intermittence, depuis deux siècles et des poussières. S’agissant de deux émanations de la même idéologie, sa remarque selon laquelle les deux, dixit : « vont ensemble » est tout à fait pertinente, même si elle a choqué beaucoup de patriotes en carton qui se sont bien gardés, en revanche, de relever, fait beaucoup plus inquiétant, que la nuée de gamins qui les agitait ferait passer, même l’équipe dite « de France » pour un poster publicitaire (aux relents nauséabonds) des années 30. Petite pensée pour nos poilus, dont, nouvelle mode, les tombes sont saccagées pour alimenter les collections de médaillons funéraires, et qui doivent, en voyant le paradis multiculturel pour lequel ils sont morts, se retourner d’allégresse dans leur tombe, générant une nouvelle source providentielle et inespérée d’électricité décarbonée, pour peu qu’on leur adjoigne un transformateur quantique voire cantique pour les plus pieux. 

Même si révolution il y avait, il n’y a personne de suffisamment radical dans le paysage politique pour prendre les mesures qui s’imposent à commencer par le RN lequel, dans sa tentative de dédiabolisation, a certes perdu la fourche et la queue, mais a gardé les cornes, cocufié par le même système auquel il fait allégeance rectale et qui menace à présent l’éleveuse de chats peroxydée (dénuée de toute doctrine politique, et qui n’a servi qu’à canaliser les mécontentements vers une voie de garage) d’inéligibilité … sauf, peut-être, si son parti s’abstient de voter la motion de censure à l’issue du 49-3 qui s’annonce pour le budget. Il est clair que le problème est moins le réquisitoire (quoi qu’on en dise d’autant plus justifié, à son encontre, que quand on monte au cocotier il vaut mieux avoir la culotte propre) que la clémence dont a bénéficié, parmi tant d’autres, François Bayrou pour des faits du même ordre, rendant l’emprise malsaine du politique sur le judiciaire aussi évidente qu’un testicule de première dame en bikini. Histoire de voir l’œil de verre à moitié plein, peut-être que la possible faillite de la PME Le Pen sera la douche froide qui réveillera le chaland et lui fera enfin comprendre que le changement ne se fera pas par les urnes.

On m’objectera Trump : c’est encore une illusion. Disons, en préambule, que l’Amérique est un bébé de 2 siècles et demi qui, tout naturellement, soutient des pays similaires absents sur les cartes du monde avant les années 20 ou 40, tels l’Ukraine et Israël et ce, contre des pays millénaires tels la Russie ou l’Iran qui lui rappellent trop ses pieds d’argile. La France n’a donc rien à en attendre. Faute d’uniformité ethnique et d’héritage culturel, les USA se sont construits autour d’un drapeau (il est vrai, fièrement agité par tous les camps) et de la promesse de la réussite : le fameux « rêve américain » dont feu Georges Carlin disait qu’on l’appelle ainsi, car il faut être endormi pour y croire. C’est peu, et si cela peut donner, un temps, l’illusion, dans un pays aux ressources immenses et qui a, qui plus est, l’habitude de piller celles de ses vassaux, que des gens de toutes races, religions et autres fractures (naturelles ou créées) vont faire fi de leurs différences au nom du droit inaliénable de se disputer, au mérite, les miettes du gâteau ; en cas de déclassement économique faisant que ledit gâteau s’assèche comme les pertes, autres que de bon sens, de Sandrine Rousseau, le mirage démocratique ne peut que s’effondrer, le naturel reprenant alors le dessus, un pays multiculturel et (ou) multiethnique étant par nature un pays multiconflictuel. 
 
Même en admettant que Trump soit sincère, hypothèse que les manœuvres de Macron et de son homologue britannique pour convaincre Biden d’autoriser les Ukrainiens à frapper les Russes en profondeur avant son entrée en fonction tendrait à conforter, les parlements américains étant constitués, républicains compris, de menteurs professionnels financés par des lobbies (à commencer par l’AIPAC) qui n’hésiteraient pas à le mettre en minorité s’il dépassait certaines bornes tacites, il doit d’ores et déjà donner des gages en distribuant des postes à des neocons bellicistes purs et durs à la Rubio, Noem et Hegseth pour pouvoir espérer saupoudrer des Kennedy et autres Tulsi Gabbard. Le système n’étant, de toute façon, tout comme chez nous, pas réformable de par sa nature même, il ne pourra pas prendre de mesures réellement radicales sans un changement de régime ce qui, vu son tour de taille, n’est pas dans sa nature et donc, le peu qu’il fera aura la même espérance de vie que son mandat, voire que lui-même qu’il soit assassiné, succombe à son grand-âge ou à ses habitudes alimentaires, la « démocratie » veillant à maintenir, à sa suite, le changement permanent qui la caractérise pour que, justement, rien ne change.

Contrairement aux USA, la France métropolitaine a derrière elle des millénaires de sédimentation (depuis les Gaulois, les Celtes et les Francs), de peuplades diverses qui avaient en commun, jusqu’à il y a peu, de ne pas présenter, sous peine de Saint-Barthélemy, de marqueurs raciaux, ethniques ou religieux indélébiles, susceptibles de pousser leurs descendants, en cas de trop grand nombre et de temps difficiles, à s’identifier à une autre communauté que la dominante, d’abord régionale, puis nationale. Le succès éventuel de l’intégration, pis-aller de l’assimilation, s’apprécie sur plusieurs générations et force est de constater que certains, notamment ceux, des deux bords, qui rejouent chez nous le conflit israélo-palestinien comme dans les tribunes, pourtant quasiment vides, de France-Israël, ne sont, selon cette définition, visiblement pas intégrés et donc pas intégrables ; pas plus que les nuées d’OQTF divers et a-variés, officiels ou en devenir, qui redoublent d’imagination pour repousser encore un peu plus, chaque semaine qui passe, les frontières de l’atrocité, telle la créature à pouces opposables qui s’est amusée, tant en France qu’aux Pays-Bas, à écraser des têtes de SDF avec des parpaings. J’avoue que faire craquer du plastique à bulles me délasse, mais là c’est pousser le bouchon un peu loin.

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dimanche 10 novembre 2024

HORREUR, la bête immonde a gagné😬 (11/11/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube :https://youtu.be/kQrcHsl29rw

Bonjour !

Si j’en juge par la mine des cons frits déconfits dès qu’on fit l’annonce des résultats des élections US, les 12 millions d’électeurs démocrates supplémentaires (par rapport à Obama ou à Clinton) qui étaient sortis des cimetières pour voter par correspondance pour un Joe Biden souffreteux et cacochyme en 2020, semblent avoir disparu aussi mystérieusement que le trou, pourtant dilaté, de la couche d’ozone, devant le raz-de-marée trumpiste doublé d’une armée d’avocats et de volontaires chargés de surveiller les centres de vote et de dépouillement, faisant que Kamala Harris, mais jaune. Au bout du compte, la proposition minimaliste d’une femme vaguement mélaninée n’aura pas suffi à convaincre les Américains qui ont bien senti le manque d’inclusivité et d’audace : il aurait fallu oser, à la place, proposer à ce poste la première femme noire trans unijambiste, body et HIV -positive, portant fièrement un hijab arc-en-ciel agrémenté d’une étoile de David en pendentif, bijou écologique fait à la main par sa grand-mère mexicaine d’origine apache mariée à un pasteur presbytérien. Là, ça aurait eu de la gueule.

En attendant que les démocrates dénichent, au sens propre et figuré, l’oiseau rare capable de représenter un peuple multiracial, multicultuel et multiculturel (ce qui à mon sens, le condamne), Trump, faute d’identité à défendre, a préféré miser sur le seul point qui le rassemble : promettre des opportunités de gagner du pognon et leur corollaire, suffisamment de sécurité pour en profiter, ce que les amateurs de version poétique appellent « le rêve américain ». Contrairement aux castors français à queue plate, lesdits Américains, même si certains sont des Mexicains, ne sont pas forcément des mecs si cons et, énervés de voir que, plutôt que de s’attaquer aux gangs d’illégaux, leurs sous sont dépensés pour tuer un écureuil apprivoisé en pénétrant à 10 fonctionnaires armés chez le maître de la diabolique créature coupable d’avoir 500 000 abonnés sur les réseaux sociaux, ont, au moins, eu assez de noisettes pour voter en fonction leur intérêt immédiat… sous réserve que Trump ne se dégonfle pas, une fois encore, comme un testicule fripé de première dame. 
 
S’il ne gracie pas, dès le premier jour, les pigeons qui sont tombés dans le piège du Capitole et qu’il a abandonnés en rase campagne, inutile de se faire d’illusion sur le reste. Ce sera un premier test. Ceci dit, des années de procès, de coups bas et un second trou de balle au niveau de l’oreille ça peut vous changer un homme, d’autant plus s’il dispose du sénat et, probablement de la chambre, avec la possibilité de nommer encore deux juges de la Cour Suprême, soit le grand chelem absolu. Plus encore, il s’est entouré d’une dream team inédite de fortes personnalités qui ont mouillé leur chemise sans compter et se sont autoattribuées les points précis sur lesquels ils entendent faire le ménage : que ce soit Musk qui, contrairement à la femme de Rocco Sifredi, n’aime pas « les normes » et envisage, comme pour X (version non porno), de virer 80% de l’administration tout en la rendant plus efficace, Robert Kennedy junior qui veut éradiquer l’obésité, la crise des opioïdes et la vaccinolâtrie en mettant big Pharma à genoux en commençant par la FDA, l’OMS et le CDC, JD Vance qui veut traquer tous les acteurs de la censure de l’élection précédente incluant FBI, CIA, Facebook, google et consorts, Tulsi Gabbard partisane de la paix par la puissance qui veut remettre de l’ordre dans l’armée à commencer par les généraux à perruque et en jupette, sans oublier Charlie Kirk qui souhaite expulser le wokisme de l’éducation et des universités pour le remplacer par le mérite, tous le soutenant sur le point principal d’une déportation massive des illégaux, ce qui rend quand même un peu jaloux quand on n’a, en France, comme perspective, que le RN, qui joue, lui, la carte diamétralement opposée de la « dédiabolisation » et de l’ectopie testiculaire. 
 
Pour autant, si c’est bon pour les Américains, ça ne l’est pas forcément pour nous et nous n’avons aucun intérêt à avoir une Amérique forte, voire une Amérique tout court, laquelle finira par faire sécession un jour ou l’autre, processus que Kamala aurait considérablement accéléré. Cependant, il faut savoir voir le verre à moitié plein et, dans l’immédiat, les idéologies woke et climatique vont reculer, c’est toujours bon à prendre. Par ailleurs, l’avenir de X semble assuré, faisant que, de Facebook à YouTube, les autres vont faire dans leurs Pampers, lâchant, bon gré, mal gré, un peu la bride aux paroles dissidentes, dans la limite, probablement, faut pas pousser non plus, d’une démocratie non participative (pour ceux qui voient de quoi je parle).

Mais Trump va continuer à ponctionner l’UE et même (si on l’écoute bien) amplifier l’aspiration d’une façon que seul un 68 + pas grand-chose entre Attal et Séjourné est en mesure d’égaler, nous obligeant à payer l’addition une fois qu’il aura intimé à Zelensky de manger son chapeau, certes rond, mais, faute de bords, pas particulièrement breton. À l’inverse, être riche ne signifiant pas avoir des liquidités et encore moins vouloir les lâcher, compte tenu des 100 millions donnés à sa campagne par la veuve Adelson, partisane, comme feu son époux, de l’éradication de la Palestine, sauf à ce que Musk lui ait donné assez pour qu’il puisse se permettre de l’envoyer bouler, j’attends de voir ce qu’il va faire dans le conflit au Moyen-Orient. 
 
Un conflit qui s’exporte aux Pays-Bas où des supporters israéliens, aspirants macchabées, du Maccabi Tel-Aviv, après s’être bruyamment manifestés durant la minute de silence pour les victimes des inondations en Espagne (pays qui a reconnu la Palestine) et avoir arraché des signes propalestiniens en ville, pour avoir, telles des cigales chères à Lafontaine, entonné des chansons pas vraiment gentilles envers les autres sémites, se trouvèrent fort dépourvus lorsque l’Aziz fut venu… avec sa bande de copains, au point que Netanyahou a dû dépêcher deux avions pour les rapatrier d’urgence. Espérons que lors du prochain match de leur équipe, cette semaine, au Stade de France (connu pour ses supporters anglais), à défaut de pouvoir, techniquement, leur secouer les pré-puces, certains ne se rabattent pas sur les puces tout court. Heureusement, pas rancunier après l’arrestation à Jérusalem (ouvrant une boîte éponyme dangereuse) de deux « pandores » avec statut diplomatique par la police israélienne dans l'Église même du Pater Noster qui est un domaine français, notre ministre de l’intérieur … du trou de balle… de football a néanmoins promis d’assurer leur sécurité. 
 
À son actif, on ne peut nier sa focalisation sur les stades dans lesquels il condamne, avec la solennité qui s’impose, tant les propos homophobes que les banderoles et autres tifos « Free Palestine » ne lui laissant, hélas, que peu de temps et d’énergie (autre que verbale) pour traquer le type d’individu qui tabasse et viole en plein jour (digitalement, technologie oblige) sur un parking de supermarché, une femme poussant son bébé dans une poussette, même si, en toute impartialité, le non-viol magnanime dudit bébé mérite d’être souligné et pourra, à juste titre, lui valoir, selon le dicton japonais : «  o tempura, o Maures », la clémence des juges et un stage de poney.

Tandis que l’on apprend que, dans notre beau pays, 66 000 entreprises ont fait faillite au cours des trois premiers trimestres, avec, notamment, une augmentation de 20% constatée au mois de septembre et qu’Auchan et Michelin font la course aux plans sociaux et aux fermetures de sites, il ne reste guère du projet initial de budget de Barnier que la hausse de TVA sur les chaudières à gaz antisémites, tout le reste ayant été remplacé par les délires taxatoires des uns et des autres pour obtenir un agglomérat, aussi affriolant qu’Élisabeth Borne en bikini lequel ne recueillera pas suffisamment de votes faisant que c’est ledit projet initial, concocté par l’UE, qui ira au Sénat avant d’être renvoyé à l’assemblée où il sera vraisemblablement imposé par 49-3, vu « l’urgence » provoquée par des semaines de cirque blablatoire pour rien. 
 
Mission accomplie, donc, pour Macron, toujours-là grâce au RN et LFI, et occupé à éclairer les foules avec une leçon de choses sur les carnivores, les herbivores et les omnivores à laquelle personne n’a rien compris alors même qu’il n’a pas évoqué le cas d’école d’un lapin s’identifiant à une endive qu’il serait discriminatoire pour un végan de ne pas consommer. Soyez rassurés d'apprendre que rien de tout cela n’est de la faute de Bruno Le Maire, qui, né avant la honte, lors de son audition par le Sénat, a accusé l’actuel gouvernement d’être responsable du déficit qu’il a laissé avant de partir.

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dimanche 3 novembre 2024

Vols de PÉNIS en Afrique : la France impliquée ? (04/11/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/pmFSYOhX9wU

Bonjour !
 
J’ignore si Sandrine Rousseau plante des aiguilles sur son homme déconstruit (et où), mais certains artefacts de magie noire sont terriblement puissants et j’ai ouï dire qu’une poupée vaudoue entièrement constituée de poils de testicules de première dame, pour peu que l’on abatte conjointement un ou deux poulets (ou CRS), lorsqu’introduite, une nuit de pleine lune, dans un anus dilaté, par Bruno Le Maire, à coups de prévisions budgétaires mystiques, serait réputée capable de faire disparaître des milliers de milliards de nos finances publiques. Je me garderai donc de me moquer des rumeurs qui courent dans la presse centre-africaine sur de mystérieuses disparitions de pénis suspectées être orchestrées par la DGSE pour alimenter des labos secrets, sous le château de Versailles, chargés d’en extraire génétiquement la virilité. 
 
Après tout, un peu comme pour les cornes de rhinocéros et, à défaut, d’épouse numéro 1 d’Éric Zemmour ou pour les sacrifices rituels d’enfants dans des réseaux pédophiles, la question n’a jamais été de savoir si la magie existe, mais si des gens y croient suffisamment pour commettre des actes répréhensibles d’autant que la plupart des religions sont d’essence surnaturelle et que j’ai déjà vu des gens intelligents se passionner pour la Kabbale. Le terrain, en ces temps de régression et de fin de civilisation, est donc plus que propice à la pensée magique délétère et si l’idée de la disparition spontanée d’organes érectiles, surtout depuis que Marlène Schiappa ferme sa grande bouche, me semble un peu tirée, sinon par les cheveux, au moins par les poils de c…, la possibilité, en revanche, d’un trafic de pénis africains pour lesquels une partie de nos élites ne cache pas son attirance, n’est pas, en soi, aussi ridicule qu’il y paraît et je n’aurais aucun mal à imaginer le couple Macronscescu en consommer, nature ou farcis, avec une sauce bolognaise. 
 
Dès lors, l’envoi au Maroc de deux A330 et d’un Falcon, ce qui n’a aucun sens en période de restriction budgétaire, pourrait au moins s’expliquer comme une couverture pour rapatrier un peu plus de « membres » que les 122, au demeurant un peu flasques, de la cour macronienne, conviés à la « sauterie ».
 
Pour rester dans les croyances superstitieuses, ledit Macron nous avait « méga-bassiné », en mars 2023 (de peur que, contrairement à son épouse, nous risquions de perdre les eaux) avec son plan éponyme pour anticiper la sécheresse prévue pour 2023 et 2024 selon un modèle climatologique infaillible multipliant la masse gazeuse flatulée par les vaches et Gérard Larcher par le carré de l’hypoténuse plutôt que le cubage de ce qu’elles pissent par « π π » ce qui, au vu de la pluviométrie record depuis ladite annonce, était au mieux une erreur d’appréciation. 
 
Il se peut aussi qu’à force de bouffer des insectes et de prendre des douches froides, nous ayons inversé le processus, auquel cas, Anne Hidalgo, en limitant la vitesse à 50km à l’heure sur le périphérique parisien a peut-être été, par son excès de zèle, la goutte d’eau qui a fait déborder… l’Espagne avec, à ce jour, 213 victimes à déplorer. N’ayant pas fait le rapprochement, les Espagnols préfèrent blâmer le roi, traité d’assassin et aspergé de boue lors de sa visite, ainsi que le gouvernement, aussi efficace que le nôtre, qui a mis à peine 10 heures à transmettre l’alerte à la population, pour ensuite envoyer des secours insuffisants, laminés par des coupes budgétaires pourtant très jolies sur des tableaux Excel. 
 
J’admets que, contrairement à l’amère (depuis les présidentielles) de Paris (que d’aucuns qualifient du contraire, surtout depuis qu’elle s’est baignée dans la Seine), je suis un vrai sceptique, notamment en matière de réchauffement climatique anthropique, davantage concerné que je suis par les choses dont l’homme est indiscutablement responsable comme le taux de mercure dans le thon, dont tout le monde se fout, probablement du fait que, fort heureusement, il n’y a pas de cannibales à l’Assemblée nationale et qu’Ersilia Soudais est sauve. Mais lorsqu’on apprend, cette semaine, qu’il atteint 13 fois le taux maximum autorisé, lui-même déjà outrageusement gonflé, à la base, pour ne pas ruiner la filière, cela donne à réfléchir, même quand on aime bien « petit navire »… tant qu’il n’emmène pas de migrants dans ses cales, migrants dont on aimerait qu’on nous dise à partir de combien de millions, ou de milliards, soyons fous, il y en aura trop. 
 
On ne pourra jamais savoir, car non contents, en interdisant les statistiques ethniques, d’avoir cassé le thermomètre une fois largement introduit (ce qui aggrave la pollution par le mercure) les idéologues qui nous dirigent vers l’abîme viennent d’étendre (ce qui est médicalement et financièrement absurde) les tests de drépanocytose à l’ensemble des bébés dès cette année, et ce, uniquement pour qu’on ne puisse plus mesurer le caractère exponentiel de l’invasion migratoire.
 
En dépit de tous leurs efforts, la situation est telle que cela finit par se voir comme un hétérosexuel au Rassemblement National, les obligeant à envoyer Retailleau avec ses paroles verbales et (à défaut de Kärcher), une poire à lavement, lorsque, faute de place sous le tapis de prière pour glisser la poussière, le vase de Soissons déborde de partout à l’occasion d’une nouvelle bataille de Poitiers, où, contrairement à 732, il n’y a plus aucun autochtone sur le champ de bataille qui voit s’affronter, désormais, à l’arme lourde (on imagine, au nom des valeurs de la république), des centaines (selon Retailleau lui-même), de Magrébins et Guadeloupéens. Ailleurs, des enfants de 5 ans prennent des balles perdues tandis que des femmes sont violées par un « patriarcat toxique » dépourvu de caractéristiques méritant de s’y attarder comme, parmi tant d’autres, cette gamine de 8 ans laissée se vider de son sang, après usage, en raison d’un vagin déchiré. « OQTF » semble désormais signifier à l’état : « Oh Que T’es Faible » … sauf avec les quelques Français qui se rebiffent sur les réseaux sociaux, dont 9 viennent d’être condamnés en relation avec le drame de Crépol, tandis que l’on apprend, par ailleurs, que le jeune Nicolas, membre du même club de rugby que feu Thomas, club qui n’avait pas forcément envisagé de jouer à XIII, a été tué à l’entrée d’une boîte de nuit, mais c’est déjà la routine. 
 
Plus fort encore, outre le fait que l’explosion du trafic de stupéfiants implique une explosion délétère et inquiétante du nombre de clients (y compris hors France Insoumise) et que l’état inclut la chose dans le calcul du PIB qu’il n’a aucun intérêt à voir baisser (même si l’augmentation du SMIC de 27€61 est un peu légère pour booster la demande), on a le culot de nous présenter cela sous l’angle du seul banditisme, comme si lesdits bandits n’avaient pas de spécificités certes amalgamantes, mais néanmoins incontestables s’agissant, par ailleurs, souvent, d’individus inadaptés à la vie dans leurs propres sociétés, lesquelles, plutôt que de composter écologiquement leurs déchets, vidangent allègrement chez nous leur Hid… fosse septique. 
 
Des individus qui, non seulement, ne veulent pas s’intégrer, mais dont beaucoup ne le pourraient pas de toute façon en raison (outre de spécificités ethniques, culturelles et religieuses qui n’aident pas vraiment) d’un QI de crevette trépanée anémique aux pinces hélas non isolantes après séjour dans un transformateur électrique directement alimenté par une pyramide égyptienne. Une mesure de l’intelligence certes contestable et contestée d’un point de vue universel, mais qui évalue néanmoins efficacement la forme cognitive spécifique nécessaire à faire société dans des pays occidentaux. Il en ressort qu’ils ne sont ni assimilables, ni intégrables, ni éducables, ni intimidables, ni expulsables, ni même emprisonnables (faute de place et en raison d’un laxisme judiciaire d’extrême gauche) de sorte que, comme pour toute invasion de parasites, en dernier recours, il ne resterait que le Baygon vert, (jaune pour ceux qui « volent »), chose impossible avec les oxymores que sont tant « l’ordre républicain » que « l’état de droit ». C’est en effet ladite république qui provoque elle-même le désordre par son idéologie absurde des « droits de l’autre » laquelle implique que tous les hommes sont égaux et donc ont le droit de venir chez nous, non invités, sans risquer d’être abattus.
 
 Ce fut pourtant la norme pendant des siècles et ça l’est encore ailleurs, comme en Israël qui lui a, apparemment, le droit (en tout cas, il prend le gauche) au nom de sa « survie », de tuer des gosses avec des frappes chirurgicales au bistouri pour le moins mal calibré, ce que certains de ses ressortissants binationaux médiatiques et associatifs (par peur d’être les suivants sur la liste en cas de résurgence d’un nationalisme qui se poserait un peu trop fort la question de savoir qui est français et qui ne l’est pas) nous interdisent de faire chez nous y compris pour des criminels. En parallèle, entre deux coups de marteau et autres règlements de comptes à la mexicaine, des « sombres héros » de la bien-pensance (bien français, eux, quelle que soit la définition) lesquels en redemandent et sont beaucoup plus nocifs que n’importe quel migrant, ont pour priorité de censurer la BD Spirou et Fantasio pour des dessins jugés trop caricaturaux.
 
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dimanche 27 octobre 2024

Dire « ENCU1€ » dans les stades c’est fini… (28/10/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/Rj1ous2qohc

Bonjour !
Ne vous méprenez pas, je ne suis pas du tout contre les homosexuels, je préfère au contraire m’en éloigner, mais à l’instar d’un spermatozoïde de (ou dans ?) Gabriel Attal quand il réalise vers quoi il nage, j’ai la vague impression que nous sommes nous aussi, collectivement dans la m…., mais je m’égare. Tant que les homos restent dans leur petit univers parallèle ou « troufion » compte double au scrabble par un raisonnement « anal-logique », surtout si ledit troufion est chiant, ce qui est mieux que concupiscent, plus ambigu, que ce soit (pour les érudits) selon Saint-Augustin avec son concept de triple concupiscence ou phonétiquement (pour les autres), peu me chaut. Mais quand certains activistes tels le ministre des Sports Gil Avérous (marié avec un homme selon Wikipédia) font un caca nerveux qui atteste d’une ouverture qui n’est pas d’esprit et instrumentalisent le concept d’homophobie, dévoyé pour décréter, sans avoir consulté personne, qu’en cas de chants perçus comme homophobes dans les stades, les matchs seront désormais « arrêtés » et « perdus pour l'équipe qui reçoit », outre que cela va inciter les visiteurs à donner de la voix (ce qui démontre à quel point c’est con), j’ai le vague sentiment d’une dilatation à la Bruno Le Maire quelque peu imposée. 
 
Si je suis contre l’homophobie quand elle consiste, à la talibane, à tester, du haut du toit des immeubles, l’aérodynamisme des membres, actifs pour le coup, de la communauté de l’anus, quand ils y mettent l’Hobbit, il n’en demeure pas moins que, nonobstant, par ailleurs, les qualités et compétences qu’ils peuvent avoir dans différents domaines et qui, elles, sont utiles, j’ai du mal à percevoir la valeur ajoutée que les homosexuels, en tant que tels, apportent à une société qui serait incapable de se reproduire s’ils étaient trop nombreux. Il en ressort (surtout si c’était au préalable rentré), que s’ils doivent être traités humainement, la plupart n’aspirant par ailleurs qu’à l’indifférence, les valoriser, en revanche, comme l’a bien compris un Poutine, relève du suicide collectif. D’autres argumenteront qu’au contraire le problème est le patriarcat toxique qui contamine jusqu’à Sandrine Rousseau laquelle a fait un bras d’honneur au sein (nourricier) de l’hémicycle (non menstruel) quand le député RN Tanguy, dont l’homosexualité n’est pas la qualité principale, a réussi à faire passer, au moins provisoirement, un amendement réduisant de 5 milliards la contribution de la France à l’UE.
 
Pour en revenir au ministre des sports qui nous ferait presque regretter Oudéa « dja dja » Castéra, l’élément déclencheur dudit caca nerveux a été l’usage répandu, au sein des prolétaires qui paient pour voir des millionnaires souvent bien mieux lotis, y compris en mélanine, courir derrière un ballon, d’un terme rimant, de façon aussi riche (et évoquant la même odeur) que Musk, avec le mot « acculé », pourtant simple rappel des réalités anthropologiques. Un mot, certes, perçu comme une insulte, mais, sauf à misogynement occulter une partie du public concerné, pas spécialement homophobe : dans les faits il s’agit plus d’une description « suppositoire » à tous les sens du terme. 
 
On en arrive au stade (là aussi dans toutes les acceptions du terme) où des gens qui se discriminent tous seuls, en se revendiquant haut et fort de quelque minorité, interdisent aux autres de les désigner comme en faisant partie, sauf à les valoriser (et encore). Ce faisant, à l’encontre des principes mêmes de la liberté non seulement d’expression, mais de pensée, la simple neutralité n’étant, hélas, plus possible dans un monde manichéen, ils établissent le fait que, contrairement aux petit-pois, on est obligés de les aimer ou de fermer sa gueule. C’est ainsi, suivant la même logique, qu’un individu se baladant dans le métro avec un t-shirt floqué « ANTI-JUIF » ce qui est, à la base, une opinion qui n’engage que lui, comme l’aurait été un juridiquement plus sûr (mais physiquement plus risqué) « anti-musulman » ou un anodin « anti-chrétien », a défrayé la chronique, excité les politiciens toujours en quête d’un « pis à lait » pour faire croire aux veaux qu’ils servent à quelque chose et se retrouve derrière les barreaux car, pour ce genre de faits, force est de constater que, contrairement aux ovaires putatifs de notre first Lady, la justice fonctionne encore.
 
Pour les autres faits, il vaut mieux prévenir que guérir, comme cette jeune femme de Bayonne à l’organe olfactif développé (sans rapport aucun avec ce qui précède) réveillée en sursaut, selon ses dires « par l’odeur de transpiration » de deux migrants (dont un sous OQTF) à l’instant où ils ouvraient sa fenêtre, donnant raison à feu Jacques Chirac et lui évitant, par une prompte réaction, d’être amalgamement récupérée par une extrême droite surfant sur un sentiment d’insécurité, si d’aventure, fait exceptionnel en France, contrairement à l’Italie où, officiellement, 11 141 Italiennes ont été violées par des étrangers en 5 ans, un futur ingénieur en génie atomique lui avait réclamé, de bonne guerre, une petite avance en nature avant que de se mettre consciencieusement à cotiser pour lui payer sa retraite.
 
Et c’est vrai que le pauvre devra pas mal cotiser pour financer les plus de 150 000€ d’opérations qu’a subi un individu, qui s’en vante sur les réseaux sociaux, pour son changement de sexe remboursé à 100% par la sécu y compris pour les étrangers, tandis que nos braves députés s’écharpent (de députés…) pour trouver de nouvelles idées de taxes (avoisinant déjà les 40 milliards à ce jour à l’assemblée) plutôt que de rogner sur ce type de dépenses. La plus récente, on a du mal à suivre, porterait non pas sur les glucides en général, mais sur le seul sucre, drogue du pauvre et du sans-dents, les frais dentaires semblant moins vitaux que l’ablation du pénis en matière de prise en charge, la décharge n’étant, il est vrai, dans ce dernier cas, plus vraiment une option. Une substance qui sera simplement remplacée, profit oblige, par des édulcorants toxiques, sirops de maïs et autres céréales extrudées sans diminuer d’un iota les calories ou l’indice glycémique ni, au final, rapporter un centime de plus dans les poches trouées de l’état.
 
Sinon, tandis que le très isolé, multicancéreux, Poutine, mis à genoux par Bruno Le Maire, converse à Kazan avec les 2 tiers de la planète et le secrétaire général de l’ONU présent sur place ; en dépit des efforts louables d’Israël qui, après Gaza et le Liban, vient de bombarder l’Iran, la 3e guerre Mondiale devra encore attendre un peu le résultat des élections américaines. Pour résumer la semaine US : après avoir fait frire des frites dans un MacDo dont, depuis, les employés qui n’y sont pour rien, sont harcelés par des démocrates mécontents, « MacDonald » TRUMP se voit accusé par une ex-mannequin qui retrouve la mémoire à deux semaines des élections, d’une main aux fesses dans les années 1990, chose gravissime apparemment, puisque dans l’hexagone, le fils à papa donneur de leçons Nicolas Bedos, défendu, le monde est petit, par la femme de Benjamin Griveaux laquelle n’a pas songé à plaider que, n’étant pas une lumière, il n’avait pas les codes, argument qui, pourtant, fonctionne pour d’autres, a été condamné à un an de prison pour des faits similaires. 
 
Kamala HARRIS quant à elle, dont Michelle Obama, « au bas mot » un peu vache, a déclare qu’elle n’a pas besoin d’être intelligente pour être présidente, qualifie son adversaire de NAZI alors qu’il apparaît qu’elle-même, aurait scripturalement génocidé dans son livre autobiographique ses ancêtres irlandais juifs possesseurs d’esclaves pour s’en inventer, à la place, des plus mélaninés plus électoralement acceptables, en se faisant abusivement passer pour noire par la même occasion. Sentant le vent tourner, dans la foulée du Washington Post, possédé pas Jeff Bezos, plusieurs grands journaux « démocrates » optent pour la neutralité et n’appelleront pas à voter pour elle. Si on ajoute que Trump est passé dans la véritable institution que représente le podcast de Joe ROGAN, lequel, non seulement n’a pas été fichu de lui poser une question gênante, mais s’est fait piéger en se retrouvant souvent dans la position de l’interviewé, ce qui est plutôt une bonne opération pour le candidat, mais m’a fait perdre 3 heures de ma vie à écouter pour rien une banale conversation de comptoir, même si on n’est jamais à l’abri d’une surprise, il semblerait que la balance, et pas seulement la Terraillon, penche en faveur de Donald Trump.
 
Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.


 

dimanche 20 octobre 2024

TAXE sur LES CHIENS & LES CHATS, ils y pensent (21/10/2024)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/OtJX935tcIw

Bonjour !
Nous assistons à un véritable concours « Lépine » (rien à voir avec notre Première dame) de la taxation, dans le but non pas de nous fournir des services, un système de santé, une éducation et des routes décents, mais de continuer à dilapider n’importe comment 545 milliards par an sur le modèle de l’OMS qui dépense 42 millions en médicaments et équipement médicaux pour 53 en frais de voyage et 247 en salaires. Si l’on en croit la presse (chargée de nous tâter l’opinion et tout ce qui rime et fait pleurer) sont désormais dans le collimateur tous les animaux familiers, des punaises de lits aux chiens et chats (félidés, notamment femelles, là aussi sans rapport, mais vraiment aucun, avec notre première dame). Des bestioles qui, à l’instar des vaches (et contrairement aux migrants bienvenus en masse pour n’émettre, eux, que de l’oxygène parfumé à la rose), flatulent du méthane et du C02 toxique et contribuent, par leur soutien affectif carboné, à garder trop longtemps en vie des personnes âgées qui coûtent cher au système et pour lesquelles on a concocté une jolie loi euthanasie. 
 
En attendant que la chose soit votée, on a, d’ores et déjà, commencé par les dindons (de la farce) expatriés. Ces braves bêtes, pour s’être imaginées à l’abri des conséquences de leur vote, ont beau être en grande majorité macronophiles, elles vont désormais devoir payer la différence entre ce qu’elles donnent au fisc du pays où elles résident et ce qu’elles auraient payé si elles étaient restées en France… sauf à n’avoir pas remis les pieds dans l’hexagone pendant au moins la moitié de l’âge de leur idole quand elle a été pénétrée, sur les bancs de l’école, par la flèche de cupidon (là encore rien à voir avec notre Première dame), soit environ 7 ans consécutifs. De même que lorsqu’on n’a qu’un marteau tout ressemble à un clou, lorsqu’on n’a qu’un plug anal tout ressemble… à un fantasme de Bruno Le Maire.
 
Sachant que l’on taxe déjà l’eau, l’air avec le CO2, la nourriture, l’énergie, les transports, la mort, tout ce que l’on achète ou que l’on vend, chaque centime que l’on gagne et que l’on taxe même les taxes avec la CSG, les possibilités de racket commencent à se faire aussi rares que des statues de l’abbé Pierre depuis sa « metooisation » et la question se posera vite du choix cornélien entre ponctionner la retraite des castors, ou renoncer à l’accueil des sacro-saints migrants supposés la financer, l’enrichissement autre que culturel se faisant un petit peu attendre et provoquant, comme pour l’insécurité, un « sentiment » d’extrême droite : l’impression, accompagnée de fortes tensions hémorroïdaires, qu’on n’en a jamais eu autant et que pourtant on n’a jamais été aussi pauvres. 
 
Pour vous donner un indice quant à l’option qui sera choisie tant qu’on restera dans l’U.E. : la totalité des pitoyables 16 migrants illégaux envoyés en Albanie par Meloni, à grand renfort de publicité (et aussi par bateau), pour faire oublier les 500 000 légaux qu’elle a fait entrer, est déjà de retour, aux frais des con - (plus ou moins) - tribuables italiens, en territoire transalpin (sans rapport, là non plus, avec notre Première dame), les juges italiens ayant estimé que cette procédure contrevenait à un récent arrêt de la Cour européenne. Barnier clame haut et fort et, pour une fois à raison, que suivre l’exemple italien n’est pas possible, mais il oublie de rajouter qu’en revanche, il serait tout à fait envisageable de construire un centre de rétention en Guyane, au milieu de la forêt amazonienne, où ceux qui parviendraient à s’en échapper, plutôt que de violer des innocentes auraient tout loisir de tenter leur chance avec des mygales ou des caïmans réputés pour leurs fellations inoubliables, contribuant à entretenir le biotope de façon écologique, et ce sans que nous ayons besoin de demander la permission à personne puisque c’est un territoire français. Mais nul, y compris dans la pseudo-opposition, ne le propose. 
 
Et ce n’est pas « Le Pen » de compter sur Bardella pour faire mieux, trop occupé qu’il est à faire part sur les réseaux sociaux de sa fierté d’avoir serré l’organe de Zelensky qui ne lui sert pas à jouer du piano. Un Zelensky qui envisage rien moins que de bricoler une arme nucléaire avec les vieux modes d’emploi datant de l’ex-URSS qui traînent dans ses tiroirs si on ne lui donne pas quelques milliards de plus. Menace qui sera certainement reprise par Netanyahou (lequel a manqué de peu de se prendre une roquette antisémite sur son domicile) si on s’avisait de l’empêcher de bombarder tout ce qui bouge (ou non) à Gaza et au Liban et d’atomiser le chef du Hamas, remplacé environ 12 secondes après, et dont ces abrutis ont trouvé judicieux de diffuser, à l’attention de gens qui rêvent précisément de mourir en martyr, les images où on le voit, au milieu des cadavres de ses compagnons, se battre jusqu’à son dernier souffle en dépit d’un membre arraché, les narines déjà emplies des effluves piscicoles des 72 houris qui l’attendent les jambes écartées. 
 
En parlant d’abrutis et de jambes écartées, Kamala « à risque », incapable de répondre quoi que ce soit de cohérent à la moindre question sensée ; après avoir justifié l’interdiction de présenter une pièce d’identité pour voter, dans certains états démocrates, par la difficulté à trouver des photocopieuses à la campagne, a été calamiteuse lors de sa dernière interview sur Fox News, ses propres conseillers, hors champ, agitant les bras comme des désespérés pour lui demander de se taire. Pour couronner le tout, Candace Owens vient de démontrer que, contrairement à ses affirmations, si elle est bien « hindoue » par sa mère, son père, lui, est plutôt « un dur » faisant qu’elle n’est pas du tout noire, mais issue d’ancêtres écossais possesseurs d’esclaves et que toute la généalogie qu’elle présente dans son livre, à commencer par la photo de sa grand-mère, est totalement bidonnée. Le niveau de triche nécessaire à la faire gagner semble d’ores et déjà inatteignable, mais les records sont faits pour être battus comme la femme que, pour tout arranger, son mari a frappée au visage, en pleine rue, la faisant tourner sur place. Bref, c’est mal parti pour elle.
 
Pendant ce temps, dans une France à la pointe de l’innovation où, après les machettes et les couteaux, on est passés au massacre à la tronçonneuse pour de vrai, et où un individu (dont les ancêtres ont probablement beaucoup souffert) se croyant à Gaza, confond un cycliste avec un membre du Hamas en lui roulant tranquillement dessus, les agriculteurs, en dépit de douleurs récurrentes quand ils posent leurs fesses sur le siège, depuis leur dernière interaction (passée de « banale » à un peu plus court) avec la FNSEA et Gabriel Attal, expert reconnu dans le domaine, remontent peu à peu sur leurs tracteurs et promettent un mois de novembre agité. La question étant de savoir s’ils auront appris de leurs erreurs, iront jusqu’au bout de la démarche et afficheront des slogans du style « plus pour les paysans, moins pour les migrants », non que lesdits migrants soient leur principal souci, mais parce que c’est la seule façon de faire fuir, comme l’ail les vampires ou une calculette Bruno Le Maire, toute la lie gauchiste systématiquement utilisée par l’état pour pourrir tous les mouvements sociaux, façon gilets jaunes.
 
Pour rester dans le sujet agricole, Mbappé de vache, si l’on en juge par son indice carbone et les 25 tonnes de CO2 dépensées pour aller tirer non pas des buts, mais tout court, en Suède, se faisant par ailleurs porter pâle (ce qui confine à la white-face) pour le match France-Israël, a ramené dans ses bagages une accusation de viol, portée par une femme (ou assimilée), selon la presse locale. Force est de reconnaître qu’il se comportait mieux quand il était régulièrement caressé par Macron, que sans aucune forme de mimétisme, il sortait avec un mannequin transgenre et donnait des conseils électoraux absolument indispensables. Espérons que, quitte à briser l’homogénéité de notre belle équipe, il sera définitivement blanchi…
 
Mon travail est, par principe, entièrement bénévole et je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne qui, par ailleurs, n’est pas spécialement mise en avant par YouTube (allez savoir pourquoi). Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en vous abonnant (si ce n’est pas déjà fait) et en cliquant sur tous les trucs en bas. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.