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lundi 20 février 2023

PALMADE : on ne vous dira pas ça à la télé (20/02/2023)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube:https://youtu.be/MmVMKm38t24


Bonjour ! 

Décidément, les Turcs n’ont pas de chance : quand ils ne subissent pas 2 séismes forcément provoqués par Allah (vraisemblablement pour punir Erdogan d’avoir insulté Emmanuel Macron), ils se prennent Pierre Palmade en frontal en Peugeot 3008. Je ne sais pas si son avocat va oser dire qu’à ce stade, un de plus, un de moins… et qu’avec la quasi constitutionnalisation de l’avortement, l’éjection, façon toast, d’un fœtus de 6 mois, victime lui aussi d’une déportation, mérite plus, au nom des valeurs de la république, le prix Simone Veil 2023 qu’un séjour à Fleury-Mérogis, mais en tout cas, contrairement au proverbe, Pierre qui roule (sous cocaïne) amasse mousse… médiatique. Beaucoup de mousse laquelle permet d’éviter de parler d’autres choses qui pourraient énerver les gens. 

Comme étant encore en février, il s’agit d’un fait d’hiver, se pose non seulement le problème de la « neige »… par voie nasale (sachant qu’entre la route et le rail, il faut choisir), mais aussi, à peine, juste un poil (si l’algorithme veut bien me laisser m’expliquer) d’une certaine forme d’homosexualité. Je ne vise aucun président qui a épousé sa grand-mère en particulier, mais les deux vont souvent de pair, une paire n’étant par ailleurs, à l’instar des chaussures, pas vraiment un couple, mais je digresse. Pour les non « homophobes d’extrême droite » qui ne voient pas le rapport avec l’accident, il faut considérer, et ce n’est pas une blague, qu’un des deux passagers exotiques de l’humoriste s’appelait « Sambou » et que, selon ce qu’ils étaient en train de faire, on espère que Palmade n’a pas fini pareil. 

Ensuite, la pratique en vogue (qu’on appelle « chemsex ») qui consiste à se gaver de substances qui augmentent le plaisir sexuel, l’endurance et diminuent le discernement tout en permettant de rester plusieurs jours sans dormir à faire la fête, fête à laquelle sont conviés, par notification sur leur portable, aux fins de s’emboîter à la chaîne façon lego, un grand nombre d’inconnus, est principalement le fait d’homosexuels et plus précisément, pour des raisons propres (hormis quelques résidus fécaux) à la psyché masculine, d’homosexuels hommes (bien évidemment pas représentatifs) et dont la réforme des retraites n’est pas la préoccupation principale. 

Sauf à n’être qu’un ignoble misogyne qui sent des pieds, force m’est d’admettre qu’à l’inverse, les amatrices de pelouse sont, elles, par définition, parfaites. Il suffit d’ailleurs d’observer Sandrine Rousseau laquelle, dans son dernier tweet, appelle, pour le 8 mars, rien moins qu’au renversement du patriarcat, pour réaliser à quel point il s’agit d’une avancée sociétale majeure lorsque des personnes de cet acabit (là encore non représentatives), surtout si, en plus, elles n’aiment pas les hommes, même déconstruits, se retrouvent en charge de petits garçons non binaires conçus en éprouvette. 

Les choses ayant sensiblement évolué depuis l’âge d’or de Nadine Morano, afin d’assurer la pérennité de la chaîne, je recherche activement un ami qui serait non seulement noir, mais également musulman, homosexuel, Ukrainien, triple vacciné et en surpoids avec une mère qui s’appelle Rachel. Pour l’instant j’ai fait chou blanc « privilégié », mais je ne désespère pas. Dans l’intervalle, qu’il soit porté à mon actif que j’ai toujours critiqué la propension des Afghans à tester l’aérodynamisme des membres de la ligue anticonstipation en les jetant du haut des immeubles (d’autant qu’il y a des gens en bas). 

Certains me contesteront le droit de parler du sujet au prétexte que je préfère les moules marinières aux chipolatas, un peu comme si un docteur n’avait pas le droit de faire un diagnostic s’il n’est pas lui-même malade. À ma décharge solidaire, jusqu’à présent, en rétrograde obtus que je suis, je pensais que rien n’était parfait et que tout était critiquable ; qu’un médicament aussi bon est-il pouvait aussi être un poison, que ce qui nous rend heureux pouvait aussi nous rendre malheureux, mais tel un hérisson sur une brosse à cheveux, je m’étais apparemment fourvoyé. Il existe désormais une foultitude de choses incritiquables, fait dont on ne peut que déduire qu’elles sont absolument parfaites et dépourvues de tout aspect négatif, tel l’élixir de la vie éternelle à ARN messager et l’enculage récréatif tellement en symbiose avec les valeurs de la république qu’on y sensibilise les enfants dès la maternelle et que le drapeau arc-en-ciel est devenu le symbole de notre civilisation au point que si Poutine le faisait flotter sur le Kremlin, les livraisons d’armes à l’Ukraine cesseraient immédiatement. 

Bien sûr, je ne prétends pas détenir la vérité et si vous avez des arguments à opposer à ce que j’ai et vais continuer à développer dans cette vidéo, les commentaires sont là pour ça. 

Pour en revenir au sujet, même homosexuel, un homme reste un homme avec une propension patriarcalement toxique à multiplier des rapports physiques complètement dissociés de tout investissement affectif. Faute, en face, d’une femme conçue par la nature pour se laisser désirer et vouloir à tout prix repeindre en fuchsia le petit meuble du vestibule (ce qui a tendance à freiner les élans), entre hommes (principalement citadins) qui ne veulent que du sexe, la mécanique s’emballe dans les backrooms de bars spécialisés. Un homme pensant différemment avant et après s’être vidé les gonades, confronté à froid à la sordidité de certains actes que je n’évoquerai pas par respect pour les gens qui mangent et les amateurs de mousse au chocolat, peut en outre se faire jour un phénomène, assumé ou non, de dégoût de soi. Une addiction en entraînant souvent une autre, on se réfugie alors facilement dans la drogue jusqu’à l’accident (quand on conduit une voiture) et la 3e guerre mondiale (quand on conduit un pays). 

Par ailleurs, les stimuli masculins étant essentiellement visuels, la vie n’est pas forcément rose pour les homos vieillissants à testicules pendouillants rendant problématique la présence d’un chat au domicile ; sauf à avoir assez de ressources pour fournir ladite drogue laquelle sera utilisée comme pot de miel afin d’attirer des partenaires au sphincter encore assez souple pour ne pas avoir à porter des couches et qui n’intéresseront pas le chat. Cette combinaison détonante ne peut qu’aggraver le problème de l’abus de substances dans la communauté, substances qui renforcent encore la tendance masculine (plus prégnante que chez la femme) à la prise de risques, tendance qui peut avoir un impact non négligeable sur la prolifération de MST exotiques comme le sida, la variole du singe ou l’aurorebergite, lesquelles ne restent pas, ensuite, cantonnées à la sphère homosexuelle de par la bisexualité de certains. 

Loin de moi l’idée de faire le procès de l’homosexualité qui, contrairement à la TVA, a toujours fait partie du paysage, préexistant jusqu’à Brigitte Macron, et qui est donc une chose parfaitement naturelle, au sens littéral, puisqu’effectivement elle est présente dans la nature. En revanche elle n’est pas « normale », là encore au sens littéral du terme (la nature n’ayant que faire des normes dites sociétales), puisque très minoritaire, sans quoi nous ne serions pas là à attendre le strike YouTube et la terre serait encore peuplée de dodos et de rhinocéros blancs qui provoqueraient un réchauffement climatique en pétant.

L’homosexualité, comme beaucoup de choses, est compliquée, s’accommode mal d’une simplification binaire et peut être représentée par une courbe de Gauss, la grosse majorité se trouvant en deçà de la ligne médiane. Dans une société saine, c’est-à-dire qui a un but collectif et qui privilégie le groupe et sa pérennité à la « quéquête » illusoire et égoïste du bonheur, bonheur agité devant ses yeux de consommateur comme une carotte éventuellement recyclable pour d’autres usages, l’immense majorité de la population ne se pose pas de question sur sa sexualité. Les autres subissent une pression sociale suffisante pour que même une partie de ceux qui se trouvent au-delà de la ligne médiane puissent fonder, s’ils le souhaitent, une famille conventionnelle avec, éventuellement, quelques arrangements (la France en particulier, épargnée par le puritanisme anglo-saxon, ayant toujours été relativement tolérante sur ces sujets au cours de son histoire). 

À partir du moment où un homme a été capable de faire un enfant à Élisabeth Borne il est difficile de croire qu’une partie conséquente des homosexuels, quitte à prendre du viagra en suppositoire, n’est pas capable, si elle veut une famille, d’en fonder une sur le modèle traditionnel en faisant bénéficier ses enfants du minimum syndical, à savoir : un père et une mère, les couples hétéros n’ayant pas toujours, eux non plus, le ou la partenaire de leurs rêves. Si on remplace le pragmatisme par des considérations morales, c’est-à-dire le bon et le mauvais par le bien et le mal, on peut en arriver à l’absurdité de considérer que ce qui est bon pour le pays est mal et que ce qui est mauvais pour le pays est bien. Dans ce type de société suicidaire où les valeurs sont inversées, l’homosexualité finit par devenir une norme sociale, faisant qu’une partie plus conséquente de la population, même en deçà de la ligne médiane, peut être poussée dans cette direction. 

En général, le souhait (qu’on peut comprendre) d’une minorité et de ses activistes d’augmenter leur base se heurte, tel un char de GayPride contre une mosquée salafiste, au mur de la réalité, mais pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, nous sommes soumis à une pollution intense par ces mêmes perturbateurs endocriniens et substances diverses qui font changer les poissons et les premières dames de sexe et pourraient faire sauter la barrière génétique garantissant que l’homosexualité reste suffisamment minoritaire pour ne pas représenter une menace existentielle. D’ores et déjà, même si on m’objectera, à raison, que certains homosexuels peuvent être virils et inversement, il n’en demeure pas moins que les hommes le sont, physiquement, et comportementalement, de moins en moins. 

On ne peut qu’observer que la mise en avant et la promotion de l’homosexualité, comme, jadis, dans la Grèce antique ou l’Empire romain, sont des marqueurs de fin de civilisations sans qu’on sache vraiment si elles en sont une des causes ou simplement une conséquence. Cette promotion dévalorise mécaniquement le modèle familial traditionnel en diminuant, face à la multiplication des modèles alternatifs, la pression sociale sur les femmes à se marier, les rendant plus difficiles, moins avenantes et faisant que 80 pour cent d’entre-elles, abusées quant à leur valeur réelle par les affamés d’Instagram, visent les mêmes dix pour cent d’hommes pour lesquels elles n’existent même pas et gaspillent ainsi les années où leur valeur «sexuelle » plus élevée leur permettrait de trouver facilement un bon époux tout en leur donnant les années de vie commune nécessaires à s’ajuster dans la durée, le tout débouchant sur une explosion des familles monoparentales et des célibataires à chats de mauvais augure pour la pérennité de la société.

 Parallèlement un certain nombre d’hommes qui, jadis, auraient eu une vie sexuelle hétéro, face aux murs dressés par les femmes, peuvent être tentés par une homosexualité plus facile d’accès ou une forme d’abstinence. Enfin, foutu pour foutu, j’irai jusqu’à dire que l’existence d’une communauté homosexuelle entraîne, comme toutes les autres communautés, des phénomènes de népotisme et de « co-pinage », notamment dans la sphère politique et médiatique, qui faussent encore un peu plus les mécanismes de sélection des élites lesquelles deviennent de plus en plus médiocres et ne se préoccupent plus de l’intérêt général. 

Au bout du compte, même s’il y a bien sûr d’autres causes, la natalité est au point mort, paradoxalement notre pays se remplit de gens qui n’aiment pas du tout les homosexuels et qui bientôt seront majoritaires, la civilisation s’effondre et, alors que le droit au bonheur est l’argument principal de vente, même avec un col roulé, personne n’est heureux dans l’histoire et visiblement pas Pierre Palmade. 

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