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dimanche 17 août 2025

10 septembre, les poules de Yaël, ChatGPT 5 etc. (17/08/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/u7dXnkWIAUk

Bonjour !

Celle que de mauvaises langues, à la buvette de l’Assemblée, surnomment « Yaël Braun Poivrot », bien que dotée d’une bonne descente, apprécie également les côtes, du Rhône, notamment, moins pentues que le Calvados avec ses 40° qu’elle a pourtant décidé de parcourir à vélo… à assistance électrique. Des ascensions motorisées qui, si sabbatines, contrairement à l’éradication d’infâmes nourrissons terroristes, auraient de quoi rendre perplexes certains traumatisés des boutons d’ascenseur de la même obédience.
 
Durant son absence, si l’on en croit un canard enchaîné à la solidarité aviaire « volatile », du haut de son perchoir, elle aurait confié ses poules à des poulets, lesquels, outre sa protection, se sont vus chargés de veiller également à ce que, contrairement à elle, il ne manque aucun grain à ses volailles. Si, en tant qu’ami des animaux, cela me fait chaud au cœur de savoir que des gallinacées qu’on imagine capables de pondre des œufs casher (ce qui, après celles aux œufs d’or, les place probablement en second sur l’échelle de l’évolution volaillère) sont surveillées à nos frais par les agents d’élite de la CRS1, sa réputation, suite à ce coup de bec du canard, prend un coup dans l’aile et elle pourrait y laisser des plumes. D’autant qu’en période pré insurrectionnelle, c’est le genre de petite étincelle qui, même « éméchée », pourrait mettre le feu aux fameuses poudres (si pas déjà sniffées par d’autres).

Une insurrection dont on a déjà décidé de la date pour nous, avec, en tête de cortège, la gauche antiraciste écolo syndicaliste qui, à l’instar des milliardaires qui la financent à parts égales avec nos impôts, réclame, en notre nom, plus d’immigration et d’éoliennes et moins de nazis, faisant semblant d’exiger, vestige de feu la lutte des classes, que ce soient lesdits milliardaires qui payent. Preuve de sa sincérité, elle le demande gentiment en défilant d’un point A à un point G, car, tant qu’à y être, autant se faire plaisir.
 
Une balade apéritive entrecoupée de pauses merguez, le temps que des antifas chargés d’expurger des manifestations tout drapeau tricolore, toute revendication identitaire et tout risque de convergence organique des luttes qui comptent, heurtent, par leur comportement abribusophobe, la sensibilité télévisuelle de Madame Michu, donnant un prétexte au gouvernement pour sonner la fin de la récréation. Un scénario rodé comme l’extrémité du circuit digestif de Gabriel Attal sur un vélo sans selle pendant Paris-Roubaix.

L’état ne produisant rien sinon des contraintes, une fois déduits ses frais de dysfonctionnement, et après qu’il a déshabillé Pierre pour habiller Crésus (pour ne point sembler antisémite) et Boubakar (pour ne pas paraître maghrebophobe) sous prétexte, respectivement, de remboursement de la dette et d’achat de la paix sociale, revendiquer la répartition équitable des restes de cet énorme morpion purulent relève de la coprophagie diarrhéique. Et même cela nous est refusé, le gouvernement étant constitué d’acteurs fantoches (qui n’ont d’autre pouvoir que celui de nous museler et de nous conseiller de rester hydratés) et autres représentants putatifs (telle Rachida Dati, loin d’être chauve) choisis pour leur indifférence totale au sort de leurs concitoyens et auxquels il a été permis d’usurper des postes lucratifs pour lesquels ils n’ont aucune qualification tant qu’ils acceptent de déconstiper la population tout en rognant sur les dépenses en vaseline. 
 
Tout autre objectif que de les chasser du pouvoir, chose impossible par les urnes (sauf à voir, au microscope électronique, une différence de consistance étroniforme entre un Macron et un Retailleau) et qui ne serait qu’un premier pas vers une totale remise en cause d’un système à bout de souffle, relève de la plaisanterie. Malheureusement, cela demanderait une abnégation jusqu’au-boutiste qui fait défaut au consommateur isolé, centré sur son nombril et coupé de ses racines qu’est devenu le Français moyen. Si nous sommes capables de bouffées colériques (hors grandes vacances et ponts, durant les horaires de bureau) difficile de tenir la distance alors que ces parasites (pour lesquels la crise n’existe pas), même en cas de grève générale (sauf, peut-être Gérard Larcher) ont de quoi voir venir, le temps que les gueux après avoir mangé les toiles d’araignées dans leur frigo, lâchent l’affaire en échange de quelques miettes.
 
Le point de référence du niveau de tolérance humaine à l’exploitation, atteignable par le principe de la grenouille, se situant au niveau du Burundi, il reste donc encore de la marge, à condition de surveiller le thermostat. Bloquer l’économie, qu’ils s’ingénient déjà à détruire, pour autant que ce soit faisable par la désobéissance civile des gens qui n’ont pas Netflix, tant que cela ne désorganise pas le cordon sécuritaire qui les protège, ne les dérange pas non plus outre mesure, pour les mêmes raisons. De surcroît, dans un système moribond, les sponsors de Macron n’ayant pas d’article suffisamment incubé dans leur boîte à clones qui leur serait moins défavorable (sinon il ne serait déjà plus en place), ils sont prêts, eux aussi, à essuyer, au tampon hygiénique, quelques pertes momentanées, a fortiori des « pertes blanches ».

Certains attendent qu’un changement de paradigme international d’essence divine à faible indice d’octane vienne changer la donne : telle la dislocation de l’UE en corrélation ou non avec l’effondrement du front ukrainien qui explique, au passage, l’absence prévisible d’accord entre Poutine et Trump cette semaine. Un changement qui nous serait servi sur un plateau, sans avoir à se remettre en question et sur lequel nous n’aurions aucun contrôle… Cela ne pourrait que bien se passer.

Quant à l’IA, comme le laissent subodorer, ces derniers jours, les secousses autour du lancement de la nouvelle mouture du chat pétomane, les investisseurs vont finir par réaliser qu’un modèle économique qui demande toujours plus d’énergie et de puissance de calcul, non seulement pour progresser, mais simplement pour fonctionner n’est pas rentable à un prix acceptable par une population qui n’en a pas vraiment besoin et dispose déjà de modèles open source gratuits performants. Avec, en outre, une concurrence tirant les prix vers le bas, en dépit de dépenses en hausse, afin d’augmenter le nombre d’utilisateurs (ce qui creuse encore le déficit) dans l’espoir d’attirer des investisseurs, ils ne reverront jamais la couleur des milliers de milliards qu’ils ont cramés dedans. La pyramide de Ponzi risque alors de s’écrouler avant que l’AGI ne soit mûre pour gérer le cheptel humain de façon pragmatique et écoresponsable, plongeant dans le désarroi toutes les entreprises dépendantes de services fournis par des sociétés privées qui, du jour au lendemain, pourraient ne plus exister ou ne plus les proposer, décuplant encore le séisme boursier.

Donc, sauf à attendre que le système s’effondre tout seul et nous avec, il n’y a que deux options dont la seule perspective met le gouvernement en panique.

La première est, historiquement, le putsch militaire, hautement improbable et pas souhaitable compte tenu du vide idéologique sidéral teinté de maçonnerie universaliste et de nostalgie gaulliste d’une grande muette qui, si elle parlait, aurait une voix suspicieusement aiguë, les chefs d’état-major des armées se succédant allègrement dès qu’un nouvel exemplaire plus servile que le précédent est détecté ce qui, pour Thierry Burkhard, après son flot d’inepties sur la menace russe, relevait pourtant de l’exploit.

La seconde est le tsunami humain (on parle de millions de personnes) qui, en dépit de contingences logistiques défavorables, arrive jusqu’à l’Élysée et repart, comme dans les corridas, avec les oreilles et la queue, au moins celles d’Emmanuel (pour Brigitte le débat reste ouvert). La cohérence organique des autochtones auxquels on a dérobé leur pays et qui seuls pourraient avoir la force de frappe pour se le réapproprier ayant été brisée par des divisions sur des aspects secondaires, à savoir l’antiracisme et la peur des heures sombres, et leur détermination à coup d’éborgnages et d’amputations, en l’état, sauf explosion spontanée généralisée d’une extrême violence, on ne peut espérer qu’une vaguelette qui ne recouvrirait pas totalement un Rocco Siffredi allongé sur le dos, voire un Darmanin devant une Sydney Sweeney en jeans antisémites.

En théorie, et je dis ça uniquement pour être exhaustif dans l’analyse, il serait possible d’augmenter la volatilité ambiante en accélérant la chute, à ce stade inéluctable, du pays, par des sabotages individuels de basse intensité, non coordonnés et non revendiqués. L’idée étant de rendre la situation intenable (éventuellement exacerbée par une instrumentalisation intelligente du conflit larvé entre les deux principales minorités ethnoreligieuses inassimilables de l’hexagone, intouchables par le gouvernement sous peine d’implosion) de sorte que, faute d’autre coupable visible à condamner (« c’est les Russes » commençant à être éventé) la colère populaire n’ait plus qu’une direction vers laquelle se tourner : la verticale. 
 
Je n’ai rien inventé et il existe un petit bouquin édité par l’OSS, l’ancêtre de la CIA, rempli d’astuces de sabotages individuels au quotidien visant l’Allemagne nazie à l’époque. Je ne rentre pas dans les détails, car ce n’est pas une option que je préconise et que j’aimerais, autant que faire se peut, ne pas être réveillé à 6 heures du matin. En outre, si, intellectuellement, je peux concevoir le principe du « un mal, pour un bien », je me vois mal en train d’encore aggraver la situation de gens qui déjà se débattent pour nourrir leur famille et je n’ai pas pour habitude de pisser dans la piscine dans laquelle je nage.
 
 La chose serait d’autant plus hasardeuse qu’aucune relève idéologique ne semble poindre à l’horizon pour servir de support à une reconstruction pérenne. Même si c’était le cas, l’escroquerie du PIB, de la croissance et de la dette, qui, nourrie à l’universalisme, ne disparaîtra pas du jour au lendemain, tant qu’elle ne sera pas remise en cause, tel un kyste pilonidal dans la vie sexuelle du couple élyséen, perturbera immanquablement la mise en place de toute alternative. C’est donc, peut-être, par s’interroger là-dessus qu’il faudrait commencer, et on retombe alors, immanquablement, sur la question de l’identité des peuples dont la préservation et l’héritage sont le seul argument prioritaire recevable qu’on puisse opposer au culte du pouvoir d’achat.


dimanche 10 août 2025

Je vais encore fâcher du monde… (10/08/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/SXu3aEMNKf4

Bonjour !

Si son but était d’éviter l’invasion de la France, le soldat inconnu et mort, visiblement pour rien, terminant souillé par un Hakim pas très intelligent, même si, Yasmine de rien, un « sot Ahmed » eût été bien pire, surtout coléreux, lorsqu’il prend la mouche éponyme. Dans tous les cas, si quelqu’un défèque quotidiennement sur sa mémoire en important massivement de l’Ahmed…ou de l’Hakim, c’est bien le gouvernement. Je trouve donc un peu gonflé que les mêmes en… (suivis de 3 petits points) qui détruisent le pays fassent mine de s’insurger, bien calés dans leur « maroquin », lorsqu’un homonyme multicondamné (ce qui ne l’a pas empêché de prendre encore du sursis et de ne payer qu’un euro symbolique) en y allumant nonchalamment une cigarette, démontre que la flamme éternelle, alimentée au prix fort, grâce aux talents de négociatrice de Von der Leyen, au gaz de schiste américain, n’est plus que du Folklore destiné à masquer la triste réalité. 

Un peu comme la tour Eiffel rouillée, sous laquelle, selon une affiche de la préfecture de Police (et ce probablement dans l’intention louable de ne point stigmatiser à tort une méritante équipe de foot, invisible la nuit sans catadioptres) un immonde caucasien bien blanc essaie de refourguer des reproductions en porte-clés de l’édifice à un innocent touriste arabe.

Insensibles à toute cette harmonie ethnoculturelle, les pays asiatiques, eux, s’obstinent à qualifier de « French Arabics », les touristes ne correspondant pas à l’image éculée et raciste qu’ils se font de nous, touristes qui tentent pourtant de les initier aux joies des rodéos urbains et à la galanterie 2.0, comme ces 7 individus condamnés à 18 ans de prison en Thaïlande pour avoir séquestré une jeune fille du cru réfractaire à l’enrichissement culturel. 18 ans qu’ils vont passer, sans matelas, à même le sol, à se faire (modérément) élargir la rondelle par des codétenus vindicatifs. 
 
Une méthode qui peut sembler archaïque, une fois qu’on a goûté à l’efficacité de la justice pédagogique hexagonale ponctuée de stages de surf thérapeutiques à la plage, annulés, au dernier moment, par un Darmanin penaud tandis que, pour équilibrer ce rétropédalage, le Conseil constitutionnel vient de bloquer l’allongement de la rétention des étrangers condamnés pour meurtre, viol ou trafic de drogue. Il est vrai que la probabilité pour que Ferrand ou son panel de porteurs de couches urinaires se fasse violer ou assassiner par un de ces individus relâchés ne dépasse pas celle de voir Mélenchon en érection devant une Norvégienne aux yeux bleus, mais si cela arrivait, je m’engage à aller brûler un cierge à Lourdes.

Histoire de renforcer cette image de pays de Cocagne, que pour des raisons mystérieuses, les touristes semblent éviter de plus en plus, tandis que ceux qui le peuvent encore, plutôt que de se faire arracher leur téléphone sur leur lieu de résidence partent se le faire piquer au bord de la mer en priant pour qu’on ne les cambriole pas dans l’intervalle et que ceux qui en ont profité pour louer leur bien se retrouvent sans domicile à leur retour du fait de la présence de squatters indélogeables pour avoir obtenu les clés légalement, au premier août, la TVA sur les abonnements au gaz et à l’électricité est discrètement passée de 5,5% à 20%, les intérêts du livret A ont chuté de 2,4 à 1,7%, ceux du LEP de 3,5 à 2,7% et les réfractaires au compteur Linky, dont je suis, se voient taxés à hauteur de 38€ par an… pour commencer. Liste non exhaustive qui va s’allonger suivant la courbe exponentielle inversée de notre déclassement économique.

Heureusement, à défaut de Zorro, les « souverainistes » sont prêts à se battre… entre eux pour commencer. 

Je sais que je vais énerver du monde, mais à force d’entretenir l’illusion (qui plus est dans une période charnière) de la possibilité d’un changement vaseliné par les urnes, ils commencent à me fatiguer, d’autant que certains sont trop intelligents pour qu’on puisse les suspecter de naïveté. Pour rappel, un tiers de l’électorat, en croissance exponentielle, est aussi intéressé par le devenir de la France que Mathilde Panot par un abonnement à fitness magazine. Quand il vote, il vote à gauche par défaut en attendant d’atteindre la masse critique nécessaire à l’émergence d’une offre communautaire sérieuse, après quoi Mélenchon et consorts seront invités à tester leur aérodynamisme depuis le troisième étage. 
 
Un autre tiers profite du système et votera toujours pour le statu quo ou, au pire, à force de se faire déconstiper, lui aussi, par un Macron contraint notamment de s’attaquer aux retraités, faute de pouvoir toucher au premier tiers plus « émeutif » qu’émotif, se reportera sur un succédané, tel un Retailleau à grande bouche et peu d’effets. De son côté, le Renoncement National, trop gros pour permettre l’éclosion d’une alternative, bien que sans aucune colonne vertébrale idéologique, entre deux gâteries à Netanyahou, coagule stérilement les mécontentements. 
 
Même si, malgré tout, l’intuition collective générale d’un inconfort localisé, pas forcément hémorroïdaire, est bien présente, une proportion croissante de la population, passée par une éducation nationale que le monde nous envie, en plafonnant à 300 mots de vocabulaire, même quand elle lève le nez des vidéos sur TikTok, est moyennement réceptive à des analyses complexes. En outre, les médias sont totalement inféodés au système, les réseaux sociaux sont en passe d’être verrouillés et, comme si cela ne suffisait pas, les élections peuvent être truquées si nécessaire. 

En dehors du Frexit qui n’est qu’un acte administratif, les mouvements souverainistes qui ont les mêmes abonnés sur les réseaux, ce qui leur fait croire, à tort, qu’ils sont nombreux et que leurs vues, qui ne sont pas des votes, se cumuleraient, en dehors de certaines analyses souvent intéressantes, ne proposent aucune idée vraiment radicale (quête de la martingale électorale oblige) et sont tous républicains, raisons pour laquelle, même s’ils sont parfois invisibilisés, ils restent autorisés.

Sachant que, pour obtenir 10, il faut demander 100, imaginons qu’un parti d’ultra extrême droite hyperbolique qui se sentirait pousser entre les jambes les mêmes protubérances que notre Première dame en maillot de bain, se mette à exiger, par exemple (ce qui, en tant qu’ardent défenseur des doigts de l’homme en tout endroit que la décence autorise, ne pourrait que heurter ma sensibilité) que toute personne en situation irrégulière, quel que soit son âge, soit abattue sur place et que les bateaux de migrants soient coulés par la marine nationale. La fenêtre d'Overton se déplacerait alors d’un coup, générant un courant d’air dangereux pour l’homme déconstruit de Sandrine Rousseau (si la colle n’est pas sèche), des mesures comme la suppression des aides, voire la remigration, sembleraient subitement modérées ou raisonnables, l’atmosphère changerait et certains qui se sentent un peu trop à l’aise commenceraient à flairer que le vent tourne. 
 
Le but n’est pas, alors, de gagner des élections avec de l’eau tiède en aidant le système (« zut, encore manqué ! ») à faire patienter les moutons jusqu’à la prochaine échéance, mais bien d’infuser des idées, de faire reculer les lignes et d’augmenter la pression en faisant confiance au fait que la cocotte-minute finira par exploser toute seule de façon d’autant plus incontrôlable que ladite explosion sera violente, d’où l’opération d’astroturfing autour du 10 septembre afin de la faire exploser prématurément de sorte à limiter la casse. Bien sûr, tout mouvement qui proposerait cela serait immédiatement interdit, ce qui suffit à démontrer que tous les partis autorisés font partie dudit système, qu’ils en aient conscience ou non.
 
 
Je suis tombé par hasard sur une vidéo avec Jacques Sapir et l’inénarrable Pierre-Yves Rougeyron, soit le PYR et le Sapir, ce dernier expliquant candidement que ceux qui avaient une conception ethnique du souverainisme se fourvoyaient, car c’était culturel. Il suffirait donc d’apprendre la Marseillaise à 30 millions de Congomoches et de leur faire lire du Victor Hugo et, comme potentiellement 8 milliards d’individus, bienvenus en France. Pour justifier l’absurdité de son raisonnement, partagé (coïncidence) par certains prépuçophobes ne souhaitant pas subir ailleurs ce qu’ils font subir chez eux aux Palestiniens et déniant, dès lors, aux nationaux des autres pays tout droit à la moindre revendication ethnique (pourtant à la base de leur propre état) il pousse la mauvaise foi, sans être contredit, jusqu’au sophisme éculé selon lequel, le fait qu’il a pu exister de « grands Français pas vraiment Gaulois » implique que tous les non « Gaulois » pourraient devenir Français. En gros, si demain on découvrait un seul crocodile végétarien testé sur Gérard Larcher, il n’y aurait plus de raison de ne pas héberger un futur sac à main dans chaque baignoire de l’hexagone. 
 
En outre, si les « crocodiles », ce ne sont pas les seuls, comme on peut le constater avec la mexicanisation accélérée du pays, illustrée par les règlements de comptes entre narcotrafiquants qui viennent s’ajouter à l’enrichissement culturel qui égaye jusqu’à nos campagnes les plus reculées où, nouveau saut qualitatif, on peut désormais tomber sur des corps égorgés et éviscérés en faisant son footing. Il est d’ailleurs à noter, pour l’anecdote, que le Mexique, lui-même, a mis en garde ses ressortissants qui se rendraient en France en raison de sa dangerosité.

Par ailleurs, le récent suicide de Medhi Saucisson, Maghrébin pourtant « non musulman » célèbre pour bouffer du saucisson en ligne, concept inadmissible pour de nombreux autres Maghrébins qui l’ont harcelé jusqu’à la mort, prouve bien que c’est la conception ethnique qui est prédominante, partout.
Le PYR et le Sapir ont ensuite déifié un Farage, artisan d’un Brexit qui n’a absolument rien changé, au contraire ; antiraciste de compétition qui pense que le problème c’est juste l’immigration illégale et dont le numéro 2 revendique une forte élasticité anale, ce qui, en soi n’est pas un problème, mais qui, pour de mystérieuses raisons et à différents degrés, semble une constante souverainiste, de Paul-Marie Couteaux, également cité, à Florian Philippot, Asselineau ayant juste, selon ses dires, des pulsions et Dupont-Aignant de simples envolées épistolaires. On se demande, la nature humaine étant ce qu’elle est, d’où peut bien venir le déficit chronique en charisme des dirigeants. Franchement, je ne vois pas.

Bref, même s’ils arrivaient, d’ici à la Saint-Glinglin, à se mettre d’accord en formant une farandole à la Reiser en convainquant, ce qui n’est pas gagné, Kuzmanovic de jouer le rôle du sympathisant (pour ceux qui ont la référence), on n’est pas sortis de l’auberge. Le fond du problème restant qu’à l’exception du viagra, le progrès ramollit, pousse au moindre effort, à la jouissance et à l’individualisme, personne ne bougeant tant que SON frigo est plein, la fracturation ethnique de la société amplifiant encore la dégénérescence du collectif. Par ailleurs, l’obsession du PIB, concept foireux inventé (re-coïncidence) par un membre éminent du peuple élu et selon lequel toute dépense interne, incluant la drogue, la prostitution, ou les changements de sexe, contribuerait à l’enrichissement du pays, fait que, contrairement aux idées reçues, même la Russie, subjuguée par les mêmes sirènes économiques, est en voie d’envahissement rapide et que la Hongrie et consorts, derrière de jolis discours, sont en train d’importer massivement et en douce de la main-d’œuvre étrangère non caucasienne.

Dès lors, même si ce n’est, bien sûr, pas le seul problème, tout mouvement qui ne met pas en avant le fait que, sans un minimum de cohérence ethnique pour assurer une continuité, il n’y a pas de sentiment national possible et plus rien d’exaltant pour quoi se battre, sera, toujours, pour moi, éminemment suspect.

 

dimanche 3 août 2025

Toute ressemblance avec une immigration de masse existant ou ayant existé…. (03/08/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/wak1WDaron8


 Reprise IA de ma chanson d'il y a 7 ans :

En Lapinie y a des lapins
Qui font plein de petits lapins
Des lapins y en a tellement plein
Qu'ils débordent dans mon jardin
Ce serait bien que les lapins
Fassent moins de petits lapins
On leur dit, ils comprennent rien
Car les lapins c'est pas malin.

1 lapin c'est bien, 10 lapins c'est rien,
100 c'est anodin, 1000 c'est bénin,
10 000 j'en sais rien, 100 000 c'est moyen
1 million ça craint, plus y a plus moyen

Maintenant qu'ils sont dans mon jardin,
Ils font d'autres petits lapins
Mes salades ils les aiment bien
Et dans mon jardin y a plus rien
Y a plein de crottes sur mon chemin
Partout, partout y a des lapins
Et si par malheur je me plains
Des gens me disent que c'est pas bien

1 lapin c'est bien, 10 lapins c'est rien,
100 c'est anodin, 1000 c'est bénin,
10 000 j'en sais rien, 100 000 c'est moyen
1 million ça craint, plus y a plus moyen

Sont pas tous gentils ces lapins
Ils me réveillent le matin
Quand ils prient le dieu des lapins
Au beau milieu de mon jardin
Les lapins je les aimais bien
J'avais l'âme d'un végétarien
Mais vu que tout ça me dépasse
Vivement l'ouverture de la chasse

1 lapin c'est bien, 10 lapins c'est rien,
100 c'est anodin, 1000 c'est bénin,
10 000 j'en sais rien, 100 000 c'est moyen
1 million ça craint, plus y a plus moyen
En Lapinie y a des lapins…

dimanche 27 juillet 2025

Des antisémites partout, Effondrement des naissances, Brigitte dépose plainte… (27/07/2025)

   Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/8HL-urjcVXg

Bonjour !

Tels la kryptonite pour superman ou les tests ADN pour Brigitte Macron, l’accusation d’antisémitisme agissait encore (pré-génocide humanitaire en direct de bébés terroristes haineux) comme un rayon paralysant anti-érectile sur les sociétés européennes. Force est de constater que, depuis, le Rubicon des arguments qui le sont autant, ayant été franchi, en dépit de lois toujours plus rectalement intrusives, imposées par les mêmes (la dernière en date étant, sous prétexte de protection des mineurs, la fin programmée de l’anonymat sur les réseaux sociaux), l’effet de ce qualificatif est, désormais, à peu près aussi dissuasif que l’indication du nombre de calories pour 100 g de matière sèche sur un bocal de foie gras de canard aux truffes pour Gérard Larcher. 

Tandis que le grand public US, toutes tendances confondues, découvre, éberlué, jusque dans les médias mainstream, l’impact désastreux, impossible à masquer plus longtemps, de décennies d’influence israélienne sur le congrès et que les plus complotistes vont jusqu’à pointer du doigt, « maussades », certaines coïncidences troublantes autour de l’assassinat de Kennedy, du 11 septembre et de l’affaire Epstein, pour la première fois de son histoire, le peuple élu par vote électronique divin ultra-fiable, qui reconnaît lui-même avoir été chassé, au cours des millénaires, d’à peu près partout sur la planète, sans pour autant s’interroger plus avant sur les causes, encourt le risque, mondialisation de l’information oblige, de l’être, certes, à nouveau de partout, mais cette fois simultanément, ce qui, tant qu’Elon Musk n’aura pas réussi à poser un pied sur Mars, s’avérerait quelque peu problématique. 

Sans pour autant nier l’existence, à la marge, d’un antisémitisme viscéral, une partie totalement évitable de ce rejet est indubitablement liée à un problème d’attitude, faisant que, contrairement à la poule et l’œuf, on peut raisonnablement penser que les israélites préludent à l’antisémitisme. En témoigne la mésaventure de 50 adolescents hébraïques à passeport français (du fait de l’absurdité, pour eux comme pour tous les autres, du concept même de double nationalité) revenant d’une colonie communautaire exclusive, probablement orientée vers l’apprentissage du vivre ensemble, et débarqués d’un avion espagnol, après avoir entonné des chants en hébreu appelant à l’amour universel, et perturbé, entre autres, selon l’équipage stipendié par le « hamas », l’énoncé des consignes de sécurité. 
 
Un comportement pouvant passer, pour les regards mal avertis, pour « sûr de soi et dominateur » comme aurait dit un certain Charles de sinistre mémoire. Une fausse impression malencontreusement amplifiée par les lamentations qui s’imposaient et des hurlements indignés à l’antisémitisme, perçus par quelques esprits retors comme systématiques à la moindre contrariété et qui, justifiés ou non, ont pu commencer à fatiguer certains d’autant que, pendant ce temps-là, des enfants palestiniens mourraient littéralement de faim et eux, sournoisement, en silence. 

S’ajoutent à cela l’assimilation juridique suicidaire de l’antisionisme à l’antisémitisme, laquelle ne laisse plus aucune place à la nuance, le projet, déjà sur les rails, de réprimer l’accusation « abusive » de génocide comme une contestation des crimes contre l’humanité, et le front quasi commun jusqu’à la caricature, présenté par l’intelligentzia communautaire française dans son soutien à Israël, à commencer par la cylindrique Knafo donc les cocoricos s’arrêtent à l’abattage rituel et qui tombe en syncope à l’annonce (il est vrai, sortie subitement par Macron de quelque endroit dilaté de son anatomie) que la France va reconnaître la Palestine en septembre lors de l’assemblée générale des Nations unies. 
 
Le capital sympathie est encore renforcé si l’on inclut, dans le mix, l’arrivée massive sur notre territoire de populations, elles ouvertement antisémites, que cette même intelligentzia nous a imposées, à coups de lois antiracistes, de peur d’être exclue des cercles de décision si on venait à se poser la question raciale, devenue taboue, mais indissociable d’un nationalisme sérieux. Une immigration, en outre, qui tombe à pic pour compenser un avortement légalisé par Simone Veil (coïncidence), tandis que Badinter (re-coïncidence) supprimait la peine de mort, ce qui nous rend impuissants face à une délinquance devenue exponentielle. 
 
Dès lors, sauf à ce que des voix fortes s’élèvent au sein de ladite intelligentzia pour choisir définitivement leur camp entre la France et Israël, le retour de balancier qui lui pend au nez (ou ailleurs, si l’on souhaite éviter tout tropisme nauséabond) risque de lui faire très mal ainsi que, hélas, à nombre de ses coreligionnaires qu’elle s’est abusivement autodésignée pour représenter.

Quoi qu’il en soit, pour nous, le mal est fait et, en dépit des efforts soutenus d’un pourcentage indéterminable de jeunes hommes vigoureux et exotiques, « mi-grands » contrairement à Allah, qui s’efforcent d’enrichir culturellement, de la poussette au déambulateur, toute personne de sexe féminin incapable de passer sous la barre des 9 secondes au 100 mètres, départ arrêté, pour la première fois depuis 1945, le nombre des décès a dépassé, en France, le nombre des naissances. 
 
C’est d’autant plus dramatique que si l’on veut assurer une continuité de la France depuis Vercingétorix et au-delà et honorer les sacrifices de tous ceux qui nous ont précédés, plutôt que provoquer une rupture gommant 2000 ans d’histoire et repartir de zéro vers autre chose à la mode Kalergi, parmi ces naissances, seul compte alors vraiment le nombre de celles culturellement, ethniquement et collectivement compatibles avec le substrat autochtone. 
 
Comme par hasard, entre l’interdiction des statistiques ethniques et la généralisation des tests de drépanocytose, tout semble fait pour le rendre aussi invisible que Jean-Michel Trogneux, lequel avec sa sœur à poitrine extensible (entre autres parties de son anatomie), Braun Pivet surnommée « la torchée humaine » à la buvette et Macron dit « le machin » plutôt que « la chose », fait contrepied au dernier Marvel « les 4 fantastiques » qu’une allergie à l’omniprésent et mal cast(r)é Pedro Pascal, associé à un manque d’enthousiasme à donner mes sous à Disney, me dissuade d’aller voir.

Une Brigitte, donc, qui, après avoir perdu contre Natacha Rey et Amandine Roy, plutôt que d’ouvrir son album de famille, essaie de gagner du temps de sorte à ne pas exploser en vol trop tôt, sachant qu’il reste encore 600 jours à son époux pour finir de couler la France. Pour ce faire, elle poursuit, probablement avec nos sous, Candace Owens aux États-Unis, manœuvre désespérée aussi dilatoire que dilatatoire qui, effet Streisand cataclysmique et occasion inespérée d'apprendre la traduction de « pénis » en chinois et en swahili, fait la une de tous les journaux de la planète. Tout cela va se terminer en corrida, ladite Candace semblant déterminée à réclamer, à l’issue, non seulement les oreilles, mais la totalité des trophées traditionnels tauromachiques plus, dixit : « la perruque ».

Tout ce cirque distractif, tout comme la proposition du ministre de la Santé de généraliser la sieste au travail en compensation des jours de congé supprimés (enfin la microsieste, faut pas pousser non plus) ne ralentit pas pour autant la saignée à blanc de la France autochtone de la même couleur. Une France autochtone, interdite de se désigner comme telle, y compris par les divers mouvements inclusifs, garantis sans relents nauséabonds, qui tentent de la canaliser vers des voies de garage comme une manif virtuelle le 10 septembre (tant qu’à faire une révolution, autant donner la date au gouvernement) et vers des revendications purement économiques et sectorielles visant à lui faire oublier que le problème principal est qu’on l’a dépossédée de son propre pays et que le seul slogan méritant d’être déployé serait « Cette fois, on reprend la France ! ». 
 
Trop c’est trop, et le pays commence à sérieusement bouillir. Mais la macronie est prête : les blindés antiémeutes qui ont défilé le 14 juillet, jamais déployés pendant celles, médiatiquement pudiques, qui ont éclaté ces jours-ci à Limoges et ailleurs, frétillent à l'idée d'être enfin étrennés et les CRS, tel Jésus, semblent prêts à multiplier les pains. Bref, un des côtés semble prêt à tuer (je rappelle, au passage, que je ne suis pas suicidaire), l’autre pas encore. Je me demande comment cela va finir…


dimanche 20 juillet 2025

Les gueux, « Nicolas qui paye »… pourquoi ça va faire Pschiiittt ! Analyse de fond (20/07/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/_kLZPyhrKE8

Bonjour !

Ne vous faites pas d’illusions, il n’y aura pas de révolution en France, même après que François Bayrou qui a dédié sa vie politique à la déconstipation de coléoptères qu’il localise avec ses oreilles radar pendant qu’il fait semblant de faire la sieste, nous aura collectivement empalés, à sec, sur l’obélisque, tel un parachutiste naturiste malchanceux ou quelque député RN extatique. En effet, le fait de se faire collectivement ramoner l’intestin grêle ne suffit pas à provoquer l’unité populaire nécessaire, ne serait-ce que parce que certains aiment ça. 

Peu importe que Sarah (point trop) Knafo trouve, au doigt suspicieusement mouillé, 63 milliards d’économie… en oubliant les 211 milliards distribués sans contrôles à des entreprises qui les reversent à leurs actionnaires et peu importe que LFI en trouve autant… en oubliant les 70 milliards que nous coûte l’immigration selon l’OID (les deux, frexitophobie oblige, omettant le trou sans fond de l’Union européenne). Peu importe, donc, car un système mafieux tel que la « raie-publique » avec, pile au centre, le modem, reconnaissable à son odeur et sa flexibilité dilatatoire, ne pouvant pas se suicider en devenant vertueux, aucune de ces pistes ne sera explorée. 
 
C’est Nicolas qui va continuer à payer de plus en plus cher la savonnette de plus en plus glissante qu’on le somme de ramasser, tout en attendant les prochaines élections qui, c’est promis, vont changer la donne. Il me semble que les trahisons d’un Trump englué dans l’affaire Epstein comme un morpion dans la zone rectale macronienne après l’accomplissement d’un devoir conjugal et qui était l’archétype du concept d’un changement radical par les urnes, devrait démontrer aux derniers naïfs que les pseudos démocraties, soi-disant « représentatives », sont juste un piège à cons plus ou moins tribuables.

En attendant, tandis que l’on nomme des cruches à la Najat qui tant Valaud qu’à la fin elle se case… à la Cour des comptes, on prive les gueux de 2 jours de congés, et plus si affinités, comme le déremboursement des affections de longue durée, style cancer ou Sandrine Rousseau. Mais qu’on se rassure, on continue à financer l’AME, les transitions de genre et les chirurgies de féminisation, éloignant tout risque supputatif de pénurie de Premières dames. Dans la même (pas de) veine, alors que les jets privés sillonnent le ciel pour porter la bonne parole du réchauffement climatique et que ceux de l’état transportent Bayrou à Pau, on montre d’un doigt vaseliné accusateur, aux jeunes sans avenir, la caravane cabossée de Marcel, l’enfoiré de retraité profiteur, dont on va geler la pension tout en plafonnant l’abattement fiscal de 10% à 2000 € afin de le pénaliser dès 1700€ par mois ce qui est quand même plus humain que de plafonner lesdites retraites à disons, 4 fois le SMIC, chose qui serait dramatique pour les miséreux tel François Hollande lequel doit s’efforcer de joindre les deux bouts et payer ses croissants matinaux avec 18 000€ mensuels (en sus des avantages en nature - personnel, locaux, véhicules… - du rendement de ses placements financiers et de la rente annuelle de 65 000€ dévolue aux ex-présidents).

On ne peut mesurer, en centimètres introduits, l’étendue de l’escroquerie que si l’on comprend (l’immonde Sarkozy ayant rendu le budget « fongible ») que ce que l’on va piquer à Marcel n’ira pas à Nicolas (l’autre, celui qui paye), ni même au remboursement de la dette (garantie par notre épargne que tout est déjà en place pour confisquer), mais continuera à financer l’immigration de masse, les milliardaires, l’UE, l’Ukraine, les éoliennes et la foule de parasites politico-médiatiques, d’associatifs et de copains nécessaire à pérenniser le système… ainsi qu’incidemment, le pourvoi en cassation (ce qui, si elle a des noix, peut s’avérer dangereux) de Brigitte Macron dans l’affaire qui l’oppose à Natacha Rey.
 
Pour schématiser, avant, le budget, c’était un peu un système d’enveloppes à l’ancienne et on mettait des sous dans chacune pour un usage spécifique sans qu’on puisse les utiliser pour autre chose ; depuis Sarkozy, qui préfère les valises, lesdites enveloppes sont juste virtuelles et indicatives : tout atterrit dans un pot commun sur un compte bancaire avec, « en sus », comme dirait Aurore Bergé, une « black card » illimitée à la discrétion du Président qui peut, avec, faire des cadeaux au monde entier. Donc, à chaque fois qu’on vous justifie un impôt (a fortiori de « solidarité ») comme étant destiné à financer une dépense spécifique, on vous ment comme un politicien en campagne, vous alimentez simplement le pot commun, ou plutôt le tonneau des Danaïdes, offrant juste plus d’argent à dilapider au système.

Pour qu’il y ait une révolution, il faudrait une année « blanche », mais pas vraiment au sens où l’entend Bayrou. Il faudrait admettre - ce que n’ont fait ni les « gueux » aujourd’hui, ni les gilets jaunes hier (alors que cela sautait pourtant aux yeux qui leur restaient) - que la vague qui les porte n’est rien d’autre que la révolte légitime des autochtones blancs, non binationaux et donc sans échappatoire, dépossédés de leur propre pays et de leur mot à dire ; pareil pour « Nicolas qui paye » qui symbolise exactement la même chose, sous un autre angle. 
 
Tant que cela ne sera pas revendiqué sans complexe, offrant une cohésion qui transcende les classes sociales, et seule manière d’unir et les gueux et Nicolas qui, séparément, n’ont aucune chance, tout mouvement tombera, soit dans le piège social de la gauche qui réclamera plus de sous, soit dans le piège fiscal de la droite qui réclamera moins d’impôts, deux choses apparemment contradictoires (et c’est voulu pour éviter tout risque d’union) alors même qu’on pourrait intelligemment concilier les 2 et satisfaire et les gueux et Nicolas. 
 
La gauche, dans son rôle de détournement des mouvements sociaux vers une voie de garage, scandera : « révolution ! », tout en encourageant son principal obstacle à savoir : l’immigration de masse et le multiculturalisme qui ne pourront qu’aboutir, à force d’exaspération, à des luttes horizontales comme les ratonnades en Espagne cette semaine et les émeutes raciales au Royaume-Uni, au lieu d’une véritable révolution qui ne saurait être que verticale, comme une lame de guillotine. 
 
Pas mieux pour la droite qui veut son immigration de travail, a une demi-molle chaque fois qu’un individu à forte teneur en mélanine (ou amateur de pâte à tartiner spécifique) secoue un drapeau bleu, blanc, rouge, et qui se contente de taper hypocritement sur « l’Islam », pour ne pas avoir à admettre de prisme ethnico-culturel qui serait préjudiciable à ceux qui la financent et tentent de se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas. Au lieu de se rejoindre sur une identité qui pourrait les unir, les deux camps (en tout cas ceux qui s’en font les représentants) ont, pour seul point commun affiché, un « antiracisme » trouillard et maladif qui les dissout et dix sous ce n’est pas beaucoup. 

Contrairement à la république, si on change son peuple, la France n’est plus la France et, outre sa descente aux enfers économiques, perd et la motivation première et ce qui donne sa légitimité à toute lutte : assurer sa continuité, sa descendance et sa postérité. Par ailleurs, comment peut-on réclamer que le peuple soit traité avec équité quand ledit peuple n’est jamais clairement défini ? 
 
Pour autant, de même qu’il n’y a pas besoin d’être une baleine pour adhérer à S.O.S. baleines, il n’y a aucune raison d’ostraciser ceux qui ne correspondent pas à cette définition… du moment qu’ils y adhèrent. C’est ce que l’on appelle l’assimilation, la vraie, à l’opposé des hypocrites à la Jean Messiha dont le message subliminal est : « voyez comme je me suis bien intégré, je suis même plus Français que vous, preuve que la nationalité n’est pas organique et que tout le monde (soit plusieurs milliards d’individus) est potentiellement compatible ».

Il a raison sur un point : le problème est, avant tout, une histoire de compatibilité, mais pas seulement individuelle, car il faut aussi prendre en compte la compatibilité de groupe laquelle diminue en fonction du nombre. Trop d’arbres deviennent une forêt, laquelle finit par abriter des loups et, arrivés à ce stade, on est contraint de déboiser sans plus avoir le luxe de pouvoir se préoccuper de la qualité de chaque arbre qui peuvent, certes, être compatibles individuellement, mais qui, collectivement, feront quand même partie du problème forestier, si on laisse la situation se détériorer jusque-là. Il en va donc de l’intérêt même des gens assimilés, que la France retrouve son identité et évacue l’excédent de leurs ex-compatriotes, sous peine de retrouver ici ce qu’ils ont quitté ailleurs, la guerre civile en plus. 
 
Normalement, ce serait le rôle de l’état que de gérer les flux pour prévenir les incompatibilités de groupe de façon à permettre l’assimilation réussie des individus compatibles tout en protégeant l’indispensable cohérence ethnique et culturelle du substrat populaire, mais il fait exactement le contraire, car il a compris, justement, que c’était le moyen le plus sûr, à terme, d’éviter une révolution.

Conséquence de plus en plus visible, je vous épargne l’égrenage des faits divers banalement horribles de la semaine dont chacun, il y a encore quelques années, aurait fait les gros titres et qui sont devenus monotonement routiniers provoquant même un bâillement involontaire que pourrait mettre à profit toute mouche non analement estropiée par notre Premier ministre. Après quelques derniers soubresauts, on va donc probablement collectivement crever, mais au moins on ne pourra pas nous traiter de racistes ou d’antisémites… enfin pas plus que d’habitude.


dimanche 13 juillet 2025

SACRÉE AURORE ! Fin de la liberté d’expression, Natacha Rey triomphe et autres news… (13/07/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/GPJoBaVVRNo

Bonjour !

Il m’arrive parfois, sans pour autant être suicidaire (j’insiste !) d’être aussi désemparé qu’un spermatozoïde qui se réveillerait dans le tube digestif de Crépuscule Bergé, introduit par le bâton éponyme, lui aussi de berger donc, de quelque Justin Bridou politique, sans se remémorer par quel côté il serait entré, avant que d’être rassuré par une vague réminiscence (précédant le black-out provoqué par un choc contre la glotte) des hurlements de certains de ses compagnons d’infortune, aplatis contre deux gigantesques hublots en verre qui gagneraient à être munis d’essuie-glaces. Comme lui, je tremble dès qu’elle ouvre la bouche, souvent au mépris de la politesse élémentaire qui commande de ne pas parler dans certaines circonstances. 
 
Cette semaine, cela a été pour annoncer encore plus de moyens et de pouvoirs pour le CRIF, la LICRA, S.O.S. Racisme, le Planning Familial et une sélection d’associations LGBT, féministes et d’extrême gauche connues pour leur impartialité afin qu’elles puissent embaucher du personnel pour surveiller le NET, qui à ses yeux ne l’est pas, et pouvoir saisir de manière prioritaire l’ARCOM (dont on se demande ce qu’elle fout là) pour faire disparaître tout contenu, forcément haineux, qui ne leur plairait pas. Je m’étais pourtant laissé dire qu’elle aimait bien « l’haineux ». C’est donc (notamment depuis qu’elle a les cheveux longs) la « Raiponce » de la Bergé, non à la bergère, mais au mécontentement qui gronde et la mise en application directe du « Digital Service Act », la directive liberticide européenne. Merci encore au RN de n’avoir pas « motioncensuré » Bayrou.

Un RN qui (après que la Cour européenne des droits de l’homme a rejeté, cette semaine, la demande de la femme à chats, qui passe l’été à faire la chenille en plus de la cigale, de suspendre son inéligibilité) se fait « banalement » (le b est en option) perquisitionner. Probablement en remerciement pour avoir, avec un enthousiasme non dissimulé, ramassé la savonnette du système en faisant des bulles et s’être poliment abstenu, lui aussi, de parler la bouche pleine. Deux de ses députés ont même, un temps, avant de rétropédaler (au sens LGBT du terme) signé une proposition de loi de ces en... (trois petits points, par forcément alignés) de LR (dont, Olivier Marleix, le seul membre encore valable, est décédé, cette semaine, en serrant trop fort son nœud de cravate, ça arrive) et qui ont carrément surenchéri sur Bergé en déposant une proposition de loi visant à pénaliser également les propos « anti-républicains » qui deviendraient passibles de 3 ans de prison et 45 000 € d’amende.

Je me garderai donc de critiquer la « république » qui plus est démocratique et populaire… de Corée du Nord à laquelle nous ressemblons de plus en plus, en attendant la « république » islamique du Frankistan, Marine Le Pen ayant déclaré, elle-même, et elle a raison, que l’islam est compatible avec la république. La raison en est que le terme « république » désigne en fait un système d’administration intrinsèquement mafieux qui n’a rien à voir ni avec la France, ni avec la démocratie avec lesquelles on essaie de nous le faire confondre et pour lequel, le Français non simplement « administratif » est la dernière roue de la charrette, le Manuel manuellement tremblant Valls, au temps de sa splendeur, dans un discours d’anthologie, ayant clairement défini QUI en était (pour l’instant, car ils vont récolter ce qu’ils ont migratoirement semé) à l’avant-garde. 
 
Aucun rapport, mais depuis ma dernière vidéo d’actu, il y a aussi eu le dîner du CRIF, à 900 € par tête de pipe décapsulée, dont 528 déductibles des impôts. À quelques jours près, ils auraient pu s’émouvoir du fait que, comme cela a été le cas à chaque fois que l’on (et non qu’Elon) a lâché la bride à une IA par le passé, celle d’Elon Musk, testée un instant en mode « raisonnement sans entraves », a fait son coming-out en s’autorenommant « MechaHitler » et en suggérant des solutions quelque peu radicales sortant non DU sentier, mais DES sentiers (battus qui plus est) pour mettre fin à certaines problématiques.

Sinon, certains de nos concitoyens, après avoir rodé leur technique (et tout court) un peu partout en France sont allés jusqu’en Suisse exporter ce vivre ensemble aquatique qui booste la fréquentation de nos points d’eau, faisant que nous ne sommes plus la première destination touristique mondiale et qu’une piscine frontalière a dû être interdite, non pas à des Français spécifiques, car rien ne nous distingue les uns des autres, mais à tous les Français. La localité s’appelant, cela ne s’invente pas : « Porrentruy », il eût pourtant suffi de changer l’orthographe sans altérer la prononciation, pour qu’elle devienne beaucoup moins attractive. 
 
Les Allemands, confrontés, allez savoir pourquoi, à des problèmes similaires, ont choisi la pédagogie avec une campagne d’affichage montrant toute une palanquée de nouveaux vacanciers, reconnaissables à leur absence totale de bronzage, en train de harceler des habitués, au teint déjà bien hâlé, la palme revenant à l’illustration d’une dame pachydermique carencée en mélanine, tripotant avec concupiscence les fesses d’un petit migrant unijambiste… quoique, au vu de certains mariages récents, c’est peut-être, au final, l’affiche la plus réaliste du lot. 

À la décharge (sans rapport aucun avec Aurore) desdits amateurs de points d’eau, il est vrai qu’il a fait chaud en France, notamment du côté de Marseille laquelle a failli cramer après qu’un véhicule accidenté (on espère : pas électrique) a pris feu. Il s’est finalement avéré que les promesses de canadairs macroniennes de l’été dernier et de l’été d’avant ont été bizarrement inefficaces contre les flammes et que les économies réalisées sur le débroussaillage des zones se sont, elles aussi, révélées, en fin de compte, peu judicieuses, même si on peut saluer l’effort en période de restrictions budgétaires. Fort heureusement, tout est de la faute du réchauffement climatique et on va donc pouvoir donner, l’esprit tranquille, 40 milliards de plus à l’Ukraine, 20 directement et 20 correspondant à notre quote-part de l’enveloppe européenne, l’immense majorité de nos députés européens, les LR en tête, n’ayant pas voté, au passage, la motion de censure à l’encontre d’Ursula, preuve également qu’il est grand temps pour la France pas si « Insoumise » de changer de nom.

Dès lors, certains pourraient envisager de pagayer vers le Royaume-Uni, en quête de fraîcheur, mais, non seulement les mêmes forces de l’ordre, qui ne les empêchent pas d'entrer, crèvent à présent leurs embarcations pour les empêcher de partir, mais Macron, entre deux bévues protocolaires (dont le tripotage du capitaine de la garde royale) vient de signer avec Keir Starmer un accord pilote pour un échange de migrants façon cartes Pokémon. Pas sûr qu’on récupère Pikachu dans le deal.

Histoire de faire de la place, car ça commence à faire du monde qu’il va falloir loger, alors même que des millions de logements sont (et seront retirés à terme) de l’offre en raison du Diagnostic de Performance Energétique, le fameux DPE, renommé par certains grossiers personnages « Double Pénétration Enculatoire », une nouvelle étude pointe suspicieusement d’un doigt vaseliné le fait qu’un quart des ménages vit égoïstement dans un logement trop grand. Je vous laisse en déduire ce qu’il faut en conclure.

Dans la même logique de ne pas s’attaquer au problème principal qu’on a soi-même instauré : tout en validant le Mercosur d’un côté, on redonne magnanimement aux agriculteurs le droit de mourir d’un cancer en réautorisant, notamment, les néonicotinoïdes tueurs d’abeilles avec la fameuse loi Duplomb, pas dans l’aile, hélas.

Sinon, à l’international, tandis que la plupart des accusations contre P.Diddy, l’Epstein 2.0, sont passées à la trappe, Trump continue ses trahisons : la liste des clients d’Epstein 1.0 s’est évaporée en raison du réchauffement climatique, l’homme s’est bien suicidé (circulez, il n’y a rien à voir) et il aurait même appelé Candace Owens pour lui dire de lâcher la grappe (figurativement s’entend) à Brigitte. Une Brigitte d’ordinaire pourtant « au-dessus du lot » (pour ne pas employer « transcendant » faute d’informations complémentaires sur ses molaires), mais qui vient de se prendre un sacré revers puisque Natacha Rey a été relaxée, en appel, des accusations de diffamation à son encontre, lesquelles n’ont jamais porté sur la transsexualité, affirmation jamais directement contestée par notre Première dame a poitrine autorégulable, contrairement à ce qu’ont essayé de faire croire les médias à l’époque, lesquels se gardent bien d’en tirer les conclusions qui s’imposent aujourd’hui.

Avant le petit coup de fil traditionnel de fin, vous aurez compris, au vu de ce qui précède, que l’espérance de vie de cette chaîne (qui, par principe, n’est pas monétisée et ne me rapporte strictement rien) est comparable à celle d’une Femen atteinte de cystite dans une mosquée afghane ou de Rima Hassan en keffieh au dîner du CRIF. C’est donc peut-être une de vos toutes dernières chances de liker une de mes vidéos et de vous abonner pour signifier à ceux qui raisonnent comme vous, autant dire, à ce stade, qui raisonnent encore, qu’ils ne sont pas seuls.
Si en revanche vous n’avez pas apprécié, tout ou partie (auquel cas n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires, vos courageux partages et à bientôt… j’espère.


samedi 5 juillet 2025

LE TUBE de L’ÉTÉ (attention, ça pique !) (06/07/2025)

  Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/h0k5qKRTcl8


Paroles:

 Macron et sa femme habitent, sa femme habitent à l’Élysée
Poitrine à croissance subite, et renflements localisés
On se dit : quel élan qu’eut le, quel élan qu’eut le psychopathe
Avec ou sans testicules, de marier sa prof, ça m’épate


Candace Owens l’a dit à Trump, il y a une grosse anguille sous roche
Peut-être 2 œufs et pas « de lump », chaque jour le récit s’effiloche
On nous cache tout, on nous dit rien, où est donc passé Jean-Michel ? 
Personne ne le trouve à Amiens, c’est un secret de Polichinelle

Et pourquoi donc tous ces procès, plutôt que montrer des clichés
Avec ses enfants ou qui sait, avec Hérode en train de guincher ?
Ne parlons pas des suicidés, dont la liste tend à augmenter
Qui, hasard, avaient décidé, de dire des choses documentées


Macron et sa femme habitent, 
sa femme habitent à l’Élysée
Des mains pas vraiment très petites, et des pieds pas normalisés
Quelque bilan qu’eût la fon…, quelque bilan qu’eût la fonction
Il reste Benalla profond, pour venir gâcher la fiction


Danse, danse
Si t’as pas de fesses, c’est pas grave, danse
Si t’as pas de hanches, t’en fais pas
Tant que ta perruque ne choit pas

Danse, danse
Si t’as pas de fesses, c’est pas grave, danse
Si t’as pas de hanches, t’en fais pas
Tant que ta perruque ne choit pas


D’abord, il y eut Natacha Rey, puis Poussard qui plus a trouvé
Candace en parle sans arrêt, Tucker Carlson a approuvé
C’est le monde entier qui rigole, et sauf en France, les médias causent
Peignant le poudré en tafiole, c’est le moment de mettre en pause

Si c’est faux on peut le prouver, sans vraiment de difficultés
Et sinon le garder couvé, c’est presque anti-LGBT
Dis, le Mozart de la finance, ne pourrais-tu rien qu’une fois
Faire quelque chose pour la France, et cesser ta mauvaise foi.


Macron et sa femme habitent, sa femme habitent à l’Élysée
Poitrine à croissance subite, et renflements localisés
On se dit : quel élan qu’eut le, quel élan qu’eut le psychopathe
Avec ou sans testicules, de marier sa prof, ça m’épate


Danse, danse
Si t’as pas de fesses, c’est pas grave, danse
Si t’as pas de hanches, t’en fais pas
Tant que ta perruque ne choit pas

Danse, danse
Si t’as pas de fesses, c’est pas grave, danse
Si t’as pas de hanches, t’en fais pas
Tant que ta perruque ne choit pas



dimanche 29 juin 2025

Légion du déshonneur, Mélenchon vs langue française, CAF et Cupidon, traîtres LR… (29/06/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/ifwru0f8miM

Bonjour !
Selon un certain humoriste visionnaire, la Légion d’honneur ne serait qu’un fion de castor, ce qui n’est guère éloigné du fion Marianne, si l’on considère celle remise à la très pèse-personnophobe Marlène Schiappa. Dans un autre continuum espace-temps, dans lequel elle aurait plutôt eu droit à une tenue à rayures amincissante, taille XL, au fond (toujours pas Marianne) d’un cul de basse fosse, on utilisait l’infâme expression « parler le petit nègre » pour qualifier tout sabir attentatoire à la syntaxe et je n’ose subodorer que c’est à cette locution que fait allusion Mélenchon quand il dit qu’il faut trouver un autre mot plus adéquat pour désigner la langue française, au prétexte qu’à force d’enrichissement culturel par voie rectale, elle n’appartient plus aux chômeurs blancs privilégiés. 
 
C’est d’autant plus urgent et nécessaire que le Français de souche n’existe pas, comme le confirme Sandrine Rousseau, visiblement lassée de son homme déconstruit, dans un discours enflammé contre une proposition de loi de Ciotti, qui semble l’inquiéter au plus haut point, visant à contrarier les amours exotiques et enfiévrées (et les mariages brefs, mais intenses, conséquents) entre de romantiques aspirants à la carte de séjour à la fleur de l’âge qui sentent bon le sable chaud et les irrésistibles rombières ménopausées à forte odeur de CAF aux charmes desquelles ils succombent, comme une nuée mouches à spécialisation péjorative.

C’est d’autant plus nécessaire que grâce à la trahison des LR, les députés ont voté, le 24 juin, la fin des titres de séjour territorialisés à Mayotte, ouvrant la voie à la libre circulation, dès 2030, vers l’hexagone, d’autant de Roméos alphas (et non l’inverse, indice carbone oblige). D’ici là, le candidat LFI à la Mairie de Toulouse qui, sans pour autant s’exclure lui-même, selon des sources internes : « ne veut pas de babtous en tête de sa liste », devra prendre son mal en patience. 

Nous vivons dans un monde où même les couteaux sont racistes, les 3 trouvés, lors d’un contrôle « inopi…nel », dans le cartable d’un garçon de 8 ans, aux origines ne méritant pas visiblement que les médias s’y intéressent, et qui avait pour but de tuer sa maîtresse (au sens non macronien du terme, du moins on l’espère) s’avérant finalement sans danger pour les autochtones puisqu’à bouts ronds, donc à « beur ». 
 
Quant à ceux utilisés pour égorger des animaux sans anesthésie pendant qu’un individu circoncis raconte des salades en arabe ou en hébreu (deux faces d’une même pièce), ils sont visiblement contaminés au point de causer la mort dans l’Aisne et probablement aussi dans l’intestin, d’une enfant de 11 ans et d’en laisser de nombreux autres dans un état grave, sans qu’il soit question d’interdire la pratique, seule façon pourtant d’éviter à coup sûr que, pour des raisons purement mercantiles, le surplus soit écoulé comme viande classique sans que le consommateur en soit informé, les amateurs de chair rituelle, peut-être au vu de ce que certains font, selon la rumeur, aux parties arrières dans le désert, consommant essentiellement les parties avant.

Alors que les dernières statistiques communiquées sur X par l’excellent Marc Vanguard font apparaître qu’en dépit des milliards versés dans ce tonneau des… hémorroïdes, les quartiers dits prioritaires ont la criminalité du Rwanda, un taux de bénéficiaires de la CAF de 70%, un taux d’analphabétisme de 28%, 44% de gens sans diplômes et seulement 43 qui cotisent un tant soit peu pour nos retraites et qu’un nouveau rapport de l’IEP place la France juste avant l’Angola en matière de sécurité, pour assurer une transition paisible vers des lendemains qui chantent, le temps du remplacement complet de population, il manquait un nouveau parti encore plus tiède qu’un flot incontinent issu d’un méat pénien de Première dame pendant un cauchemar nocturne : 
 
« la France humaniste » que propose Villepin (lui-même demi-musulman puisqu’à voile et à vapeur) quand il ne vend pas pour plusieurs fois leur prix à des acheteurs douteux des collections de livres pas si rares, ce qui reste moins grave que de brûler un coran : la justice ayant refusé de libérer jusqu’à son procès, en dépit des tortures qu’il subit en prison, l’homme soupçonné d’avoir commis cet acte ô combien répréhensible devant une mosquée à Villeurbanne, au lieu de se contenter de brûler le Nouveau Testament devant une église, voire l’église tout court, ce qui, gay pride oblige (sauf en Hongrie), lui aurait valu une tapette sur l’épaule et un stage de poney.

On comprend, dans ces conditions, que l’argent se fasse rare pour « Nicolas » nouveau nom générique (tiré, ce me semble, d’une série d’historiettes éducatives sur l’excellent blog « Hashtable »), pour désigner le Français moyen qui travaille dans l’attente d’une retraite qui recule et qui bien qu’il avance… mais je m’égare, tout en espérant ne jamais avoir affaire à des hôpitaux surchargés pour se rendre au chevet de sa fille ou sa grand-mère violée en risquant à tout moment d’être transformé en viande rituelle pour un refus de cigarette, interdite au premier juillet, par le biais d’une incision circulaire au niveau de la gorge. 
 
On apprend donc que, façon Gérard Larcher marchant sur une cacahuète, la dette a pulvérisé un nouveau plafond à 114% du PIB, soit 3 345 milliards d’euros, c’est-à-dire 40,5 milliards de plus, par rapport à la fin de l’année dernière, inclus les 6 milliards que nous ont coûté les Jeux olympiques, soit 3 fois plus que prévu, selon un rapport de la Cour des comptes qui elle-même n’hésite pas à republier pour des milliers d’euros ses propres rapports au simple motif que la photo de Moscovici n’avait pas été suffisamment photoshopée. Une histoire de paille dans l’œil et de poutre dans le …, mais bon, les étrons et autres joyeusetés, flottent désormais dans une eau de la Seine baignable.

Il faut donc que Nicolas (et nous avec) se serre la ceinture, mais pas pour rembourser la dette, ou même pour continuer à entretenir une immigration galopante façon couche d’ozone et, comme on l’a vu, majoritairement inactive et non qualifiée, mais pour fournir de l’argent magique afin que l’UE puisse verser 15 millions d’euros à l’Afrique du Sud pour y favoriser l’inclusivité des vignerons noirs, 360 millions à Bill Gates pour « GAVI » une alliance mondiale pour les vaccins dont les USA ne veulent plus, pour que Macron tout en continuant à financer l’Ukraine, puisse attraper un second poil sur la langue dans quelque endroit stratégique de la large zone pelvienne de Trump en acceptant d’investir 5% du PIB (soit 145 milliards) dans l’OTAN pour acheter des armes… américaines, tandis que le parlement, grâce à encore une trahison des LR, revient sur la suppression des 300 milliards en faveur de l’éolien et que le RN, pas en reste, refuse de freiner ce pillage en règle en votant une motion de censure qui aurait fait sauter Bayrou, façon siège éjectable, comme celui de l’avion de chasse dans lequel il a failli rester coincé au Bourget, empiétant sur le monopole du ridicule, chasse gardée (et qu’on aimerait bien tirer) de notre bien aimé président, contraint d’aller saluer les vainqueurs toulousains du top 14 dans les vestiaires pour éviter d’être affectueusement ovationné par une foule en délire.

Quant à ceux qui s’élèvent au-dessus des turpitudes hexagonales et se demandent plutôt pourquoi la 3e guerre mondiale n’a pas eu lieu, il semblerait qu’Israël, à court de missiles balistiques pour son dôme ferrugineux et voyant que Trump faisait le minimum syndical, s’est vu contraint d’accepter le cesser le feu, que « l’Iran-gina » pas mal secoué, mais qui pouvait désormais infliger des dégâts majeurs a été poussé par la Chine, déjà affectée par les taxes de Trump, à éviter d’aggraver la situation économique mondiale, probablement en échange de la modernisation de son point faible, à savoir sa flotte aérienne et du remplacement du GPS par le système chinois Beidou, tandis qu’il négociait avec la Russie pour déployer un système de défense S400 qu’il avait jusqu’à présent refusé, tout en ayant gagné au passage, officiellement, le parapluie nucléaire du Pakistan et la cohésion patriotique autour du pouvoir de l’ensemble de sa population. 
 
Si on ajoute le fait qu’Israël a brûlé sa cartouche unique basée sur des années d’infiltrations et que les Iraniens sont en train de pendre les têtes de réseau d’espionnage comme des guirlandes de Noël, chaque jour qui passe rendra plus compliquée toute nouvelle agression de ce type qui sera bientôt impossible, faisant de l’état hébreu le grand perdant de l’histoire. Outre le mythe de son invincibilité, il a par ailleurs perdu le support majoritaire du citoyen lambda américain, un nombre croissant le considérant même comme un ennemi des USA, l’interview d’anthologie de Ted Cruz par Tucker Carlson qui lui met le nez dans le caca quand il invoque la bible comme principal motif de son soutien à Israël, ayant enfoncé le dernier clou du cercueil. 
 
Quant à Trump, qui a joué sans filet avec la 3e guerre mondiale, avec la roulette russe chanceuse de ses frappes, il a perdu le soutien d’une partie conséquente de sa base, laquelle a réalisé que, comme ses  prédécesseurs, il était tenu par quelque cadavre dans son placard, le reléguant au rang de petit chien testiculairement ectopique de Netanyahu, de sorte que sa seule marge de manœuvre (qu’à son crédit, il a utilisée) était d’essayer d’aboyer plutôt que de mordre dans l’espoir que son maître ne verrait pas la différence. Même si peu probable, on n’est donc pas totalement à l’abri d’une reprise des hostilités de ce qui n’est qu’un cessez-le-feu, si un Israël suicidaire voulait tenter le tout pour le tout avant que sa fenêtre de tir ne se ferme définitivement.


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dimanche 22 juin 2025

Comment veux-tu que je te canicule, pluie taxée, Salamé au JT, Trump bombarde l’Iran…(22/06/2025)

 Transcription de ma vidéo sur YouTube : https://youtu.be/IOn5oDbhApU

 Bonjour !

À ma grande honte, cet hiver, telle une Première dame ayant mal ajusté ses prothèses mammaires, j’ai totalement relâché ma vigilance : j’ai oublié, au moins par deux fois, de pisser pendant ma douche froide hebdomadaire et comme j’avais décidément la tête ailleurs, à plusieurs reprises, j’ai même mis au sale un slip encore olfactivement acceptable. Tout cela s’est malheureusement cumulé avec une consommation excessive de cassoulet, conduisant, hélas, au climacide que tout le monde connaît avec des températures tellement élevées que, pour un peu, on se croirait en été. 
 
Un meurtre sans préméditation, mais qui a éclipsé un temps dans les gros titres la guerre Israël – Iran, la déferlante migratoire, l’insécurité galopante et la faillite économique, les médias se focalisant sur le cadavre anormalement chaud. Du coup, j’ai peur que les enquêteurs qui ont déjà relevé de nombreux indices (carbone), même s’ils cherchent encore le mobile qui, comme son nom l’indique, se déplace, peut-être même en diesel, finissent par faire le lien, voire l’éolien, avec moi. 

Bon, après je pourrais toujours essayer de me défausser sur les députés RN et LR lesquels ont voté de justesse ce 19 juin (profitant du fait que, chaleur oblige, nombre de leurs collègues avaient piscine) un moratoire pour suspendre ledit éolien et autres rentes de situation photovoltaïques consistant à produire de l’énergie au prix fort quand on n’en a pas besoin et à être indemnisé quand on n’en produit pas, un jackpot du loto quotidien subventionné par nos factures d’électricité. 
 
Sans vouloir être pessimiste, je doute que l’incidence sur le réchauffement ait, de toute façon, été en mesure de compenser ne serait-ce qu’une journée d’échanges d’amabilités russo-ukrainiennes ou israélo-iraniennes en sus de mon slip lavé trop tôt. Mais cela n’empêche pas, avec une opiniâtreté qui force l’admiration, la machine à produire des contraintes de considérer, au bord de la 3e guerre mondiale, qu’il est urgent de mettre en place une déclaration obligatoire, à compter 6 août, dans certaines conditions, des récupérateurs d’eau de pluie de plus de 500 litres, seule marge de taxation restante avec, en sus du C02, l’oxygène que nous respirons gratuitement sans aucun égard pour la planète. Il faut dire que la vie, à l’instar du cacao cru, sans « R », c’est de suite moins ragoûtant… si je peux me permettre littéralement le contraire d’une contrepèterie sinon mal tournée, qui aurait mal tourné.

Sans rapport aucun, histoire de se mettre au frais, Emmanuel Macron, pourtant première éolienne de France, est, lui, allé brasser du vent au Groenland pour tenter de se faire applaudir par les manchots, ce qui relève certes de la gageure, mais moins que de se faire applaudir par les Français dont quasiment aucun n’a écouté son allocution télévisée de 40 minutes sur le conflit au Moyen-Orient. 
 
Une audience largement battue par CNEWS et le très « faux-cul » De Villiers qui, faute d’autres explications à son fanatisme pro-israélien pas très catholique, fait qu’on est fondés à se remémorer que sous Louis XIV, notamment, il était courant pour les nobles en situation financière délicate de « fumer leur terre », expression désignant ceux qui convolent en escadrille (comme aurait dit Chirac), avec de riches héritières majoritairement issues d’une certaine communauté, faisant que, s’ils ont gardé la particule, en dépit du grand nettoyage nobiliaire de 1666, on leur a peut-être coupé autre chose. 
 
Pour en revenir à Macron, s’en sont suivis les yeux au ciel révélateurs de Meloni au G7 et Trump qui, soulignant que le baffé farineux se trompe tout le temps, l’a dépeint comme le clown qu’il est. Mais qui compte encore les humiliations internationales ?

Pour rester dans les éoliennes, on a appris que la future responsable de la propagande du 20h sur France2 n’est personne d’autre que Léa Salamé… profond pour le coup. Il faut dire que la dame a les dents longues et que, outre le conflit d’intérêts flagrant, Glucksman risque en permanence une seconde circoncision, la belle ayant quand même un faux air de fille naturelle du fameux cheval qui jadis courrait sur la couche d’ozone, avant qu’on ne bifurque vers le CO2. 

Toujours dans la même veine mesurable à l’anémomètre, j’ai failli oublier Bruno Retailleau qui lui est déjà sur les présidentielles avec une campagne d’affichage au slogan : « La France des pauvres couillons » ou quelque chose du genre, en prenant soin de placer dans le lot un cuisinier congolais face au mont Saint-Michel, histoire de bien signaler qu’il ne fera rien contre l’immigration non européenne laquelle selon une étude publiée dans le Figaro cette semaine et qui ne tient même pas compte du volet sécuritaire, nous coûte la bagatelle, hors massacre donc, n’en déplaise à Céline, de 3,6 points de PIB par an.

Mais bon, il faut bien compenser la baisse de la natalité sachant qu’à terme, comme cela vient d’être voté ces jours-ci au Royaume-Uni on pourra avorter l’enfant sans limitations, jusqu’à la naissance. Comme, sauf erreur de ma part, la naissance c’est quand tout le corps est sorti, dans l’absolu, si la tête ne nous revient pas, on devrait pouvoir encore dire « finalement, non, avortez-moi tout ça ! ». C’est certes moralement contestable, mais avec le recul, si j’étais une femme et que je voyais sortir la tête de Retailleau, Bayrou ou Macron, j’aimerais avoir l’option. 
 
Comme le progrès, par définition, n’a pas de limite, la prochaine étape sera de considérer que le bébé n’est humain que quand il commence à parler, ce qui ouvrira enfin la porte à l’avortement postnatal, un peu comme ces deux homosexuels, juste un peu en avance sur le calendrier, et jugés cette semaine, toujours au Royaume-Uni, pour avoir violé à mort le petit garçon d’un an qu’ils étaient sur le point d’adopter.

Sinon, concernant le conflit israélo-iranien, tiraillé entre sa base qui, de Tucker Carlson à Candace Owens, était en train de le lâcher et ses allégeances circoncises, Trump, comme au poker, a demandé à voir en tentant un coup d’esbroufe avec des frappes ciblées dont le succès est invérifiable, lui permettant de clamer haut et fort une victoire, indispensable pour redorer un blason largement écorné, tout en espérant que l’Iran ne riposte pas, notamment contre des bases américaines, auquel cas c’est lui qui devra montrer son jeu et choisir entre le déshonneur d’un retour à la niche, comme avec ses « tariffs » contre la Chine, ou l’escalade susceptible (outre l’implosion de son économie si le détroit d’Ormuz est fermé et que le pétrole monte à 300 dollars le baril) de déclencher un Vietnam bis, voire la 3e guerre mondiale.

Beaucoup plus grave, entre, d’un côté, la fameuse doctrine israélienne « Samson » (mais qui pourrait faire du « bruit »), consistant, en cas de menace existentielle, à balancer tous azimuts son stock d’ogives nucléaires officiellement inexistant et, de l’autre, le shadowban des chaînes comme la mienne dont le directeur de YouTube a admis l’existence cette semaine devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur l'impact des réseaux sociaux sur les mineurs, sans votre aide, je ne pourrais peut-être pas atteindre mon objectif des 40 000 abonnés avant la fin du monde. 

Par ailleurs, je m’en voudrais si votre dernière pensée était : « Zut, je ne me suis pas abonné à la mite dans la caverne ! ». Prenez en considération que mon travail, extrêmement chronophage est, par principe, entièrement bénévole et que je ne touche pas un centime sous aucune forme avec cette chaîne. Vous seuls pouvez augmenter sa visibilité (et maintenir ma motivation) en cliquant sur tous les trucs en bas et en me faisant un peu de pub à l’occasion. Si, en revanche, vous n’avez pas apprécié (auquel cas, n’hésitez pas à dire pourquoi, je ne censure rien), c’est d’autant plus sympa d’avoir écouté jusque-là. Merci à tous pour votre soutien, vos commentaires et vos partages et à bientôt… j’espère.